Ventes d'œuvres le 1801.03.23

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  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage. Sur le premier plan, à l'entrée d'un bois, un homme avec un chien, parle à une femme et à un homme assis, ayant leurs paquets à côtés deux ; plus loin deux autres hommes font route. Un cavalier et un homme à pied, avec deux chiens, passent devant une maison ; quelques autres figures descendent dans une plaine étendue où l'on voit quelques clochers ; la mer et des montagnes terminent l'horison. Sur le devant, un tronc d'arbre sec et des plantes d'un beau détail. Beau tableau, site riche et agréable et d'un bel effet. (Jean Wynantz)|Un Paysage. Sur le premier plan, à l'entrée d'un bois, un homme avec un chien, parle à une femme et à un homme assis, ayant leurs paquets à côtés deux ; plus loin deux autres hommes font route. Un cavalier et un homme à pied, avec deux chiens, passent devant une maison ; quelques autres figures descendent dans une plaine étendue où l'on voit quelques clochers ; la mer et des montagnes terminent l'horison. Sur le devant, un tronc d'arbre sec et des plantes d'un beau détail. Beau tableau, site riche et agréable et d'un bel effet.]] réalisée par Jean Wynantz, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Brunot au prix de 261 fl. [3]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Intérieur de Corps-de-garde ; on voit sur le devant un jeune homme et une jeune fille endormis ; un officier qui reçoit une lettre a les yeux fixés sur eux ; deux hommes les regardent avec compassion. Ce sujet paroît être le Rossignol de Bocace, traité dans le genre noble. Ce tableau précieux et intéressant, réunit beaucoup de perfections. (Emmanuel de Witte)|Un Intérieur de Corps-de-garde ; on voit sur le devant un jeune homme et une jeune fille endormis ; un officier qui reçoit une lettre a les yeux fixés sur eux ; deux hommes les regardent avec compassion. Ce sujet paroît être le Rossignol de Bocace, traité dans le genre noble. Ce tableau précieux et intéressant, réunit beaucoup de perfections.]] réalisée par Emmanuel de Witte, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Martin Laporte au prix de 101 fl. [4]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage et Ruines d'architecture ; le jour d'une porte éclaire le premier plan sur lequel une femme assise, parle à un homme debout ; diverses autres figures sur différens plans jusqu'à la mer où l'on voit plusieurs vaisseaux ; une chaine de montagnes termine l'horison. Un coq, une poule et divers plantes, ornent le premier plan. Tableau agréable et d'un beau faire. (J. B. Weninx)|Un Paysage et Ruines d'architecture ; le jour d'une porte éclaire le premier plan sur lequel une femme assise, parle à un homme debout ; diverses autres figures sur différens plans jusqu'à la mer où l'on voit plusieurs vaisseaux ; une chaine de montagnes termine l'horison. Un coq, une poule et divers plantes, ornent le premier plan. Tableau agréable et d'un beau faire.]] réalisée par J. B. Weninx, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Martin Laporte au prix de 381 fl. [5]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Port de Livourne. Sous un fort qui en défend l'entrée, on carène un vaisseau ; une galère qu'on décharge, est à l'ancre, un yacht y donne le salut. Un Turc fait ouvrir un balot, des Turcs font la cuisine au bas d'une statue ; la mer est chargée de bâtimens. Tableau rare et capital. (Willem Schellings)|Le Port de Livourne. Sous un fort qui en défend l'entrée, on carène un vaisseau ; une galère qu'on décharge, est à l'ancre, un yacht y donne le salut. Un Turc fait ouvrir un balot, des Turcs font la cuisine au bas d'une statue ; la mer est chargée de bâtimens. Tableau rare et capital.]] réalisée par Willem Schellings, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Constantin au prix de 230 fl. [15]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Réjouissance Flamande. Devant quelques fabriques, derrière lesquelles est un clocher, et dans une fermée en partie par une cloison de planches, des paysans et paysannes sont à deux tables ; d'autres conversent. Sur un tertre, au pied d'un arbre, un vielleux fait danser un homme et une femme ; deux paysans en emmènent un ivre. On y compte plus de quarante figures. Ce tableau est gravé. (Attribué à David Téniere)|Réjouissance Flamande. Devant quelques fabriques, derrière lesquelles est un clocher, et dans une fermée en partie par une cloison de planches, des paysans et paysannes sont à deux tables ; d'autres conversent. Sur un tertre, au pied d'un arbre, un vielleux fait danser un homme et une femme ; deux paysans en emmènent un ivre. On y compte plus de quarante figures. Ce tableau est gravé.]] réalisée par Attribué à David Téniere, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Renou au prix de 241 fl. [16]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Jeu de croix-pile dans le chapeau ; un paysan assis devant une table tient le chapeau ; deux autres, dont un tient un pot, et l'autre une pipe, le regardent ; d'autres se chauffent. Divers accessoires, tels que pots et bouteilles enrichissent ce tableau. (David Téniere)|Le Jeu de croix-pile dans le chapeau ; un paysan assis devant une table tient le chapeau ; deux autres, dont un tient un pot, et l'autre une pipe, le regardent ; d'autres se chauffent. Divers accessoires, tels que pots et bouteilles enrichissent ce tableau.]] réalisée par David Téniere, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Cannelle au prix de 67 fl. [17]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Philippe II et sa maîtresse ; elle est nue, couchée sur un lit couvert d'un drap blanc ; le corps posé sur une draperie violette ; elle est vue de face ; elle a le bras droit étendu sur sa cuisse, le bras gauche appuyé sur l'oreiller ; elle regarde un Amour qui l'embrasse : par derrière Philippe assis sur le pied du lit, devant un orgue, les mains sur le clavier, se retourne du côté des beautés qui lui sont prodiguées. Dans le fond est une allée de jardin. Ce tableau rempli de vérité, est du plus beau pinceau. (Titien Vecelli)|Philippe II et sa maîtresse ; elle est nue, couchée sur un lit couvert d'un drap blanc ; le corps posé sur une draperie violette ; elle est vue de face ; elle a le bras droit étendu sur sa cuisse, le bras gauche appuyé sur l'oreiller ; elle regarde un Amour qui l'embrasse : par derrière Philippe assis sur le pied du lit, devant un orgue, les mains sur le clavier, se retourne du côté des beautés qui lui sont prodiguées. Dans le fond est une allée de jardin. Ce tableau rempli de vérité, est du plus beau pinceau.]] réalisée par Titien Vecelli, vendue par François Tronchin des Délices. [20]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Magdelaine pénitente ; elle est vêtue de velours gros bleu, les cheveux attachés, un voile pend derrière sa tête, et lui couvre les épaules ; elle est appuyée sur sa main gauche, une table devant elle, sur laquelle sont deux livres et une tête de mort, une croix est derrière. Tableau terminé de son bon tems. (Rembrandt Van Ryn)|La Magdelaine pénitente ; elle est vêtue de velours gros bleu, les cheveux attachés, un voile pend derrière sa tête, et lui couvre les épaules ; elle est appuyée sur sa main gauche, une table devant elle, sur laquelle sont deux livres et une tête de mort, une croix est derrière. Tableau terminé de son bon tems.]] réalisée par Rembrandt Van Ryn, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par La Roche au prix de 54 fl. [23]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Jugement de Pâris ; il est assis sur un tertre vu par le dos ; il présente la pomme à Vénus qui est nue et vue de face. L'Amour est près d'elle ; de l'autre côté Junon et Pallas expriment leur dépit. Il est pur de dessin et d'un effet piquant ; il vient du cabinet de M. de Menars. (Corneille Poelembourg)|Le Jugement de Pâris ; il est assis sur un tertre vu par le dos ; il présente la pomme à Vénus qui est nue et vue de face. L'Amour est près d'elle ; de l'autre côté Junon et Pallas expriment leur dépit. Il est pur de dessin et d'un effet piquant ; il vient du cabinet de M. de Menars.]] réalisée par Corneille Poelembourg, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Delesser au prix de 405 fl. [24]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage et marine, effets d'orage, avec arc-en-ciel ; deux bâtimens, dont l'un a ses mats couchés, sont à l'ancre, des matelots sont à terre, sous des arbres, et dans une grotte : ce tableau, d'un effet piquant, est du plus beau de ce maître. (Bonaventure Peters, 1649)|Un paysage et marine, effets d'orage, avec arc-en-ciel ; deux bâtimens, dont l'un a ses mats couchés, sont à l'ancre, des matelots sont à terre, sous des arbres, et dans une grotte : ce tableau, d'un effet piquant, est du plus beau de ce maître.]] réalisée par Bonaventure Peters, 1649, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Constantin au prix de 38 fl. [25]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les deux effets réunis du soleil couchant, et du lever de la lune. Vue d'un canal, au milieu deux barques et plusieurs chaloupes ; cinq pêcheurs tirent un filet : on voit une ville dans le fond. Ce tableau, piquant d'effet, vient du cabinet Verschuring. (Aart Vander Neer)|Les deux effets réunis du soleil couchant, et du lever de la lune. Vue d'un canal, au milieu deux barques et plusieurs chaloupes ; cinq pêcheurs tirent un filet : on voit une ville dans le fond. Ce tableau, piquant d'effet, vient du cabinet Verschuring.]] réalisée par Aart Vander Neer, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Constantin au prix de 36 fl. [27]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une sainte famille ; la Vierge, assise et vêtue de verd, tient un livre sur ses genoux ; un épagneul dort sur le bas de sa robe ; à sa droite une table chargée de pain, fromage, etc. devant, l'enfant mesure avec un compas, une croix ; dans le fond, on voit Saint-Joseph dans son attelier : ce tableau précieux n'était pas fini à la mort de François Mieris ; c'est William Mieris qui a fait l'enfant ; il vient du cabinet Desonbrie de Leoden. (François Mieris)|Une sainte famille ; la Vierge, assise et vêtue de verd, tient un livre sur ses genoux ; un épagneul dort sur le bas de sa robe ; à sa droite une table chargée de pain, fromage, etc. devant, l'enfant mesure avec un compas, une croix ; dans le fond, on voit Saint-Joseph dans son attelier : ce tableau précieux n'était pas fini à la mort de François Mieris ; c'est William Mieris qui a fait l'enfant ; il vient du cabinet Desonbrie de Leoden.]] réalisée par François Mieris, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Constantin au prix de 650 fl. [30]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Mélancolie, nom sous lequel ce tableau est indiqué dans Descamps. Composition allégorique, pour prouver que les talens ne garantissent pas de l'ennui. La Sculpture, par un enfant de marbre ; la Peinture, par un chevalet sur lequel est une toile ; la Musique, par une basse de viole, qui est sur une table où l'on voit une bourse et un parchemin, d'où pend un sceau de cire rouge, indiquant des titres de noblesse ; un Clepsidre renversé, pour marquer que l'ennui ne compte pas les heures : tous ces attributs sont éclairés d'une lampe de cuivre posée sur la table ; la Mélancolie est indiquée par une figure assise dans un cabinet, tanant un papier : ce tableau précieux et piquant d'effet, vient du cabinet de Julienne. (François Mieris)|La Mélancolie, nom sous lequel ce tableau est indiqué dans Descamps. Composition allégorique, pour prouver que les talens ne garantissent pas de l'ennui. La Sculpture, par un enfant de marbre ; la Peinture, par un chevalet sur lequel est une toile ; la Musique, par une basse de viole, qui est sur une table où l'on voit une bourse et un parchemin, d'où pend un sceau de cire rouge, indiquant des titres de noblesse ; un Clepsidre renversé, pour marquer que l'ennui ne compte pas les heures : tous ces attributs sont éclairés d'une lampe de cuivre posée sur la table ; la Mélancolie est indiquée par une figure assise dans un cabinet, tanant un papier : ce tableau précieux et piquant d'effet, vient du cabinet de Julienne.]] réalisée par François Mieris, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Langlier pour Bonnemaison au prix de 303 fl. [31]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux, riches de composition ; l'un qui représente la place des Thermes de Diocletien, est orné de vingt figures, quatre ânes et deux chiens. L'autre, la vue du muro Torso, hors la porte du peuple à Rome ; il est aussi orné de figures, chevaux et chiens ; ils sont d'un beau faire et d'un bon effet. (Jean Miel)|Deux tableaux, riches de composition ; l'un qui représente la place des Thermes de Diocletien, est orné de vingt figures, quatre ânes et deux chiens. L'autre, la vue du muro Torso, hors la porte du peuple à Rome ; il est aussi orné de figures, chevaux et chiens ; ils sont d'un beau faire et d'un bon effet.]] réalisée par Jean Miel, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Langlier au prix de 351 fl. [32]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un repos en Egypte. La Vierge assise, vêtue de rouge et bleu, tient sur ses genoux l'Enfant Jésus ; deux Anges, dont l'un lui présente une corbeille de fleurs, sont à ses genoux ; Joseph appuyé sur le coin d'un mur, lit sur un plan éloigné ; un Ange conduit l'âne, un obélisque et un sphinx sont au coin du tableau dont le fond offre un paysage. Ce tableau est un des plus beaux de ce maître. (P. F. Mola)|Un repos en Egypte. La Vierge assise, vêtue de rouge et bleu, tient sur ses genoux l'Enfant Jésus ; deux Anges, dont l'un lui présente une corbeille de fleurs, sont à ses genoux ; Joseph appuyé sur le coin d'un mur, lit sur un plan éloigné ; un Ange conduit l'âne, un obélisque et un sphinx sont au coin du tableau dont le fond offre un paysage. Ce tableau est un des plus beaux de ce maître.]] réalisée par P. F. Mola, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Henry au prix de 265 fl. [39]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une foire devant une église, située sur un tertre ; une procession sort de l'église. Un charlatan entouré de spectateurs, arrache une dent. On fait la cuisine et l'on mange sous des tentes ; on joue aux cartes, on se bat, on danse ; un estropié demande l'aumône. On y voit des chevaux, des ânes et des chiens ; on y compte cent quatorze figures. Ce tableau précieux et piquant d'effet est le plus parfait de ce maître. (Pierre de Laar, dit Le Bamboche)|Une foire devant une église, située sur un tertre ; une procession sort de l'église. Un charlatan entouré de spectateurs, arrache une dent. On fait la cuisine et l'on mange sous des tentes ; on joue aux cartes, on se bat, on danse ; un estropié demande l'aumône. On y voit des chevaux, des ânes et des chiens ; on y compte cent quatorze figures. Ce tableau précieux et piquant d'effet est le plus parfait de ce maître.]] réalisée par Pierre de Laar, dit Le Bamboche, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Henry au prix de 151 fl. [40]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Abraham visité par les anges ; les trois anges sont assis autour d'une table, couverte de plats, pains et laitage. Abraham debout derrière la table, apporte un gâteau ; Sara sur le pas de la porte écoute ; le fond d'architecture laisse voir des arbres et le ciel. Ce tableau piquant vient du cabinet Braam-Camp sic. (G. Lairesse)|Abraham visité par les anges ; les trois anges sont assis autour d'une table, couverte de plats, pains et laitage. Abraham debout derrière la table, apporte un gâteau ; Sara sur le pas de la porte écoute ; le fond d'architecture laisse voir des arbres et le ciel. Ce tableau piquant vient du cabinet Braam-Camp sic.]] réalisée par G. Lairesse, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par De camp au prix de 112 fl. [41]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Coche volé. Dans une grande route, au milieu d'une forêt, des voleurs arrêtent une voiture attelée de trois chevaux, dont l'un est tué ; les voyageurs sont dépouillés. Composition de vingt-quatre figures diversement groupées. (Alexandre Kierings)|Le Coche volé. Dans une grande route, au milieu d'une forêt, des voleurs arrêtent une voiture attelée de trois chevaux, dont l'un est tué ; les voyageurs sont dépouillés. Composition de vingt-quatre figures diversement groupées.]] réalisée par Alexandre Kierings, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Renard au prix de 75 fl. [43]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une Ferme. Un vieillard assis, regarde une femme qui donne à manger à des volailles ; un enfant la tient par son tablier ; une femme plume une poule, un jeune homme est appuyé contre un arbre : sur un plan plus éloigné, deux cavaliers, une meute et quelques vaches. (Jean Huber, amateur. 1765)|Vue d'une Ferme. Un vieillard assis, regarde une femme qui donne à manger à des volailles ; un enfant la tient par son tablier ; une femme plume une poule, un jeune homme est appuyé contre un arbre : sur un plan plus éloigné, deux cavaliers, une meute et quelques vaches.]] réalisée par Jean Huber, amateur. 1765, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Caillard au prix de 21 fl. [45]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre Paysage ; un cavalier parle à une femme qui allaite un enfant ; derrière est un vieillard. Ce tableau est enrichi de vaches, chèvres, moutons et agneaux : sur un plan plus éloigné, une rivière avec un bateau. C'est le pendant du précédent. (Le Chevalier Fassin)|Autre Paysage ; un cavalier parle à une femme qui allaite un enfant ; derrière est un vieillard. Ce tableau est enrichi de vaches, chèvres, moutons et agneaux : sur un plan plus éloigné, une rivière avec un bateau. C'est le pendant du précédent.]] réalisée par Le Chevalier Fassin, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Caillard au prix de 80 fl. [53]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Norwege ; Site sauvage et montagneux, planté de sapins et autres arbres ; divers cabanes sont au-dessus d'une chute d'eau qui traverse des rochers ; un peintre assis sur un arbre abattu, dessine ; un homme en manteau, le regarde. Tableau capital et d'un bon effet. (Albert Van Everdingen)|Vue de Norwege ; Site sauvage et montagneux, planté de sapins et autres arbres ; divers cabanes sont au-dessus d'une chute d'eau qui traverse des rochers ; un peintre assis sur un arbre abattu, dessine ; un homme en manteau, le regarde. Tableau capital et d'un bon effet.]] réalisée par Albert Van Everdingen, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Laneuville au prix de 120 fl. [54]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Moulin de Lescaut, port d'un village. Un bateau chargé de monde, y aborde ; trois boyers et quatre autres bateaux y sont amarrés ; le rivage est orné de divers grouppes de figures, chariot couvert, charrettes, etc. le canal est bordé de maisons. Tableau fin : on y compte plus de 60 figures. Il vient du cabinet Lormier. (Jean Breughel de Velours)|Le Moulin de Lescaut, port d'un village. Un bateau chargé de monde, y aborde ; trois boyers et quatre autres bateaux y sont amarrés ; le rivage est orné de divers grouppes de figures, chariot couvert, charrettes, etc. le canal est bordé de maisons. Tableau fin : on y compte plus de 60 figures. Il vient du cabinet Lormier.]] réalisée par Jean Breughel de Velours, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Constantin au prix de 99 fl. [60]
  • 1801.03.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de chambre rustique. Une femme en corset gris, assise devant une table, tient un verre de bière ; vis-à-vis, un homme assis joue du violon ; un autre assis et tenant une cruche, l'écoute ; derrière, un homme et une femme s'embrassent ; deux hommes, dont un pisse, regardent ceux qui sont à table, sur laquelle est un réchaud, une pique et du tabac ; dans le fond est une armoire et une fenêtre au-dessus. Ce tableau très-fin, est un des plus capitaux de ce maître. (Corneille Bega)|Intérieur de chambre rustique. Une femme en corset gris, assise devant une table, tient un verre de bière ; vis-à-vis, un homme assis joue du violon ; un autre assis et tenant une cruche, l'écoute ; derrière, un homme et une femme s'embrassent ; deux hommes, dont un pisse, regardent ceux qui sont à table, sur laquelle est un réchaud, une pique et du tabac ; dans le fond est une armoire et une fenêtre au-dessus. Ce tableau très-fin, est un des plus capitaux de ce maître.]] réalisée par Corneille Bega, vendue par François Tronchin des Délices, achetée par Constantin au prix de 140 fl. [63]