Ventes d'œuvres le 1816.01.08

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  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site de paysage offrant dans le milieu de la composition un bouquet d'arbres et broussailles plantés sur une petite hauteur formant presqu'île ; on voit sur le devant une jeune bergère occupée à garder ses troupeaux. Ce petit tableau précieux d'exécution est d'une touche légère et d'un coloris brillant. (Cotibert)|Site de paysage offrant dans le milieu de la composition un bouquet d'arbres et broussailles plantés sur une petite hauteur formant presqu'île ; on voit sur le devant une jeune bergère occupée à garder ses troupeaux. Ce petit tableau précieux d'exécution est d'une touche légère et d'un coloris brillant.]] réalisée par Cotibert, vendue par M. Sarrazin au prix de 16 fl. [2]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux compositions à l'imitaion de Paul Potter ; l'une offre une étendue de prairie où l'on voit sur le premier plan quatre belles vaches dont deux sont assises au pied d'un saule. Dans l'autre on voit également un troupeau de vaches et moutons gardés par un pâtre. Ces deux tableaux sont d'un ton chaud et d'un éclat riant qui justifient le degré de réputation dont l'auteur jouit dans son pays. (M. Jean Deroy (de Bruxelles))|Deux compositions à l'imitaion de Paul Potter ; l'une offre une étendue de prairie où l'on voit sur le premier plan quatre belles vaches dont deux sont assises au pied d'un saule. Dans l'autre on voit également un troupeau de vaches et moutons gardés par un pâtre. Ces deux tableaux sont d'un ton chaud et d'un éclat riant qui justifient le degré de réputation dont l'auteur jouit dans son pays.]] réalisée par M. Jean Deroy (de Bruxelles), vendue par M. Sarrazin, achetée par Billaudel au prix de 121 fl. [5]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre paysage, pris à l'effet d'une matinée et offre une cascade, au bord de laquelle une jeune fille et deux garçons s'amusent à prendre du poisson. Les figures heureusement placées dans ces deux jolis tableaux, sont de la main de M. Duval. (M. Naudoux)|Un autre paysage, pris à l'effet d'une matinée et offre une cascade, au bord de laquelle une jeune fille et deux garçons s'amusent à prendre du poisson. Les figures heureusement placées dans ces deux jolis tableaux, sont de la main de M. Duval.]] réalisée par M. Naudoux, vendue par M. Sarrazin au prix de 50 fl. [11]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage à l'effet de soleil couchant, et coupé par une chute d'eau. Sur le premier plan, un jeune berger, appuyé sur son âne, paraît s'entretenir avec une jeune fille qui garde ses moutons. Les figures heureusement placées dans ces deux jolis tableaux, sont de la main de M. Duval. (M. Naudoux)|Un paysage à l'effet de soleil couchant, et coupé par une chute d'eau. Sur le premier plan, un jeune berger, appuyé sur son âne, paraît s'entretenir avec une jeune fille qui garde ses moutons. Les figures heureusement placées dans ces deux jolis tableaux, sont de la main de M. Duval.]] réalisée par M. Naudoux, vendue par M. Sarrazin au prix de 50 fl. [12]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue des restes de la maison de Marius, dans l'île de Sora. Ces deux tableaux exécutés à Rome en 1791, joignent à une couleur ferme, le mérite de représenter des monumens curieux, et distribués avec une intelligence parfaite : ils seraient très-convenables pour décorer un beau salon. (M. César Vanloo)|Vue des restes de la maison de Marius, dans l'île de Sora. Ces deux tableaux exécutés à Rome en 1791, joignent à une couleur ferme, le mérite de représenter des monumens curieux, et distribués avec une intelligence parfaite : ils seraient très-convenables pour décorer un beau salon.]] réalisée par M. César Vanloo, vendue par M. Sarrazin. [15]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du tombeau de Cecilia Metella, nommé Capo di Bove, près de Rome. Ces deux tableaux exécutés à Rome en 1791, joignent à une couleur ferme, le mérite de représenter des monumens curieux, et distribués avec une intelligence parfaite : ils seraient très-convenables pour décorer un beau salon. (M. César Vanloo)|Vue du tombeau de Cecilia Metella, nommé Capo di Bove, près de Rome. Ces deux tableaux exécutés à Rome en 1791, joignent à une couleur ferme, le mérite de représenter des monumens curieux, et distribués avec une intelligence parfaite : ils seraient très-convenables pour décorer un beau salon.]] réalisée par M. César Vanloo, vendue par M. Sarrazin. [16]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du pont d'Auguste et de ses environs ; paysage composé dans le style historique, offrant une variété de site où le peintre s'est plu à placer quelques figures épisodiques. Ils ont été peints l'un et l'autre à Rome, pour le propriétaire, en 1790. (M. Bidault)|Vue du pont d'Auguste et de ses environs ; paysage composé dans le style historique, offrant une variété de site où le peintre s'est plu à placer quelques figures épisodiques. Ils ont été peints l'un et l'autre à Rome, pour le propriétaire, en 1790.]] réalisée par M. Bidault, vendue par M. Sarrazin au prix de 1000 fl. [18]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enfance de Paul et Virginie : l'instant de la scène est celui où la mère de Paul et celle de Virginie, prêtent une mutuelle attention aux caresses de ces deux enfans, couchés dans le même berceau, et présageant déjà de l'amour qu'ils devaient sentir l'un pour l'autre. Ce tableau, dont le sujet agréable convenait parfaitement au pinceau de M. Valin, est rendu avec toute la grace qui le caractérise et le place aux rangs de nos peintres modernes dont les productions aimables trouvent toujours un grand nombre d'admirateurs. (M. Valin)|L'enfance de Paul et Virginie : l'instant de la scène est celui où la mère de Paul et celle de Virginie, prêtent une mutuelle attention aux caresses de ces deux enfans, couchés dans le même berceau, et présageant déjà de l'amour qu'ils devaient sentir l'un pour l'autre. Ce tableau, dont le sujet agréable convenait parfaitement au pinceau de M. Valin, est rendu avec toute la grace qui le caractérise et le place aux rangs de nos peintres modernes dont les productions aimables trouvent toujours un grand nombre d'admirateurs.]] réalisée par M. Valin, vendue par M. Sarrazin, achetée par Salé au prix de 84 fl. [20]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux cavaliers arrêtés sur le devant d'une maison située au bas d'un chemin, et semblent demander à un paysan la route qu'ils doivent prendre ; plusieurs accessoires sur le devant sont rendus avec vérité. Tableau d'un joli pinceau, et qui tient à la touche de Karel Dujardin. (Rohen)|Deux cavaliers arrêtés sur le devant d'une maison située au bas d'un chemin, et semblent demander à un paysan la route qu'ils doivent prendre ; plusieurs accessoires sur le devant sont rendus avec vérité. Tableau d'un joli pinceau, et qui tient à la touche de Karel Dujardin.]] réalisée par Rohen, vendue par M. Sarrazin au prix de 139 fl. [21]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un intérieur de corps-de-garde. Une jeune fille y est introduite et paraît s'entretenir avec le commendant du poste, tandis que deux militaires sont occupés, l'un à fumer, l'autre à boire. Divers accessoires de guerre comme cuirasses, épées et tambours, contribuent à rendre les effets piquans dans ce joli tableau exécuté avec beaucoup de soin. (Sweback Desfontaines)|Un intérieur de corps-de-garde. Une jeune fille y est introduite et paraît s'entretenir avec le commendant du poste, tandis que deux militaires sont occupés, l'un à fumer, l'autre à boire. Divers accessoires de guerre comme cuirasses, épées et tambours, contribuent à rendre les effets piquans dans ce joli tableau exécuté avec beaucoup de soin.]] réalisée par Sweback Desfontaines, vendue par M. Sarrazin au prix de 48.5 fl. [23]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une corbeille posée sur une table de marbre et chargée de différens fruits de la plus belle espèce, parmi lesquels se trouve un ananas, des grappes de raisins noirs et blancs, des pêches et des prunes. L'exécution si précieuse et si vraie dans ce genre que le peintre s'est plu à étudier, prêtent une illusion tellement frappante à tous ses ouvrages, que le degré de perfection auquel il est parvenu lui assigne une place auprès de ceux qui comme lui se sont rendus rivaux de la nature. (Mr. Vandael)|Une corbeille posée sur une table de marbre et chargée de différens fruits de la plus belle espèce, parmi lesquels se trouve un ananas, des grappes de raisins noirs et blancs, des pêches et des prunes. L'exécution si précieuse et si vraie dans ce genre que le peintre s'est plu à étudier, prêtent une illusion tellement frappante à tous ses ouvrages, que le degré de perfection auquel il est parvenu lui assigne une place auprès de ceux qui comme lui se sont rendus rivaux de la nature.]] réalisée par Mr. Vandael, vendue par M. Sarrazin au prix de 326 fl. [25]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Auprès d'une jeune fille mangeant des cerises, avec un jeune garçon, on voit une quantité de troupeaux composés de vaches, moutons, chèvres et ânes paissant dans une prairie bordée au loin par une rivière et quelques chaînes de montagnes ; plusieurs arbres plantés ça et là, rendent la composition plus intéressante. Nous voyons avec plaisir que les productions de cet artiste infatiguable échappent rarement aux amateurs de goût, qui savent en apprécier le mérite, et n'ignorent pas que le peintre suffit à peine aux nombreuses commandes qui lui sont faites. (Mr. Demarne)|Auprès d'une jeune fille mangeant des cerises, avec un jeune garçon, on voit une quantité de troupeaux composés de vaches, moutons, chèvres et ânes paissant dans une prairie bordée au loin par une rivière et quelques chaînes de montagnes ; plusieurs arbres plantés ça et là, rendent la composition plus intéressante. Nous voyons avec plaisir que les productions de cet artiste infatiguable échappent rarement aux amateurs de goût, qui savent en apprécier le mérite, et n'ignorent pas que le peintre suffit à peine aux nombreuses commandes qui lui sont faites.]] réalisée par Mr. Demarne, vendue par M. Sarrazin, achetée par Laneuville au prix de 321 fl. [26]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux sujet de genre ; l'un représente l'intérieur et les détails d'une étable, tels que vaches, moutons, poules et divers accessoires ; l'autre, un point de vue de chaumières, avec plusieurs belles vaches sur le premier plan. Ces charmans ouvrages sans être d'une grande force de couleur, offrent un véritable intérêt, par cette simplicité naturelle qui retrace le caractère de leur auteur qui a également traité le genre de l'histoire avec succès. (L'Epicier (Jean Fr.))|Deux tableaux sujet de genre ; l'un représente l'intérieur et les détails d'une étable, tels que vaches, moutons, poules et divers accessoires ; l'autre, un point de vue de chaumières, avec plusieurs belles vaches sur le premier plan. Ces charmans ouvrages sans être d'une grande force de couleur, offrent un véritable intérêt, par cette simplicité naturelle qui retrace le caractère de leur auteur qui a également traité le genre de l'histoire avec succès.]] réalisée par L'Epicier (Jean Fr.), vendue par M. Sarrazin au prix de 65 fl. [32]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage, offrant, à la gauche, une rivière, coupée par un pont, que traverse un pâtre avec ses bestiaux, et sur la droite, un cavalier avec un chasseur à pied. On trouve dans ce tableau, comme dans tous ceux de Vanhuysum, une vapeur aërienne et une transparence que peu de maîtres ont su rendre avec autant de vérité. (Vanhuysum)|Un paysage, offrant, à la gauche, une rivière, coupée par un pont, que traverse un pâtre avec ses bestiaux, et sur la droite, un cavalier avec un chasseur à pied. On trouve dans ce tableau, comme dans tous ceux de Vanhuysum, une vapeur aërienne et une transparence que peu de maîtres ont su rendre avec autant de vérité.]] réalisée par Vanhuysum, vendue par M. Sarrazin, achetée par Jamard au prix de 101 fl. [43]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un très beau portrait d'homme, vu presque de face, vêtu de noir et ajusté d'une fraise blanche ; il tient ses gans d'une main et de l'autre, semble faire un geste. Nous rappellerons l'attention des amateurs sur ce portrait plein de vérité, et renfermant toutes les beautés de l'école. (École de Rembrandt)|Un très beau portrait d'homme, vu presque de face, vêtu de noir et ajusté d'une fraise blanche ; il tient ses gans d'une main et de l'autre, semble faire un geste. Nous rappellerons l'attention des amateurs sur ce portrait plein de vérité, et renfermant toutes les beautés de l'école.]] réalisée par École de Rembrandt, vendue par M. Sarrazin, achetée par Laroche au prix de 80 fl. [47]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un plan de fraises, dont la plupart sont cueillies et semées par terre ; une couleuvre sort des broussailles et semble les envier. Le fond du tableau offre un intérieur de bois légèrement indiqué, et en quelque sorte sacrifié pour appeller l'oeil sur l'objet principal, que le peintre s'est plu à représenter. (Mortel)|Un plan de fraises, dont la plupart sont cueillies et semées par terre ; une couleuvre sort des broussailles et semble les envier. Le fond du tableau offre un intérieur de bois légèrement indiqué, et en quelque sorte sacrifié pour appeller l'oeil sur l'objet principal, que le peintre s'est plu à représenter.]] réalisée par Mortel, vendue par M. Sarrazin. [60]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet d'un savetier à son travail et prêtant néanmoins attention au compte que lui rend une jeune servante, revenant du marché avec un seau de cuivre à son bras. Ce tableau du caractère le plus vrai, est traité avec autant d'art que de finesse, et doit être distingué comme un des ouvrages de choix de ce fameux élève de Gérard Dow. (Van Tool)|Le sujet d'un savetier à son travail et prêtant néanmoins attention au compte que lui rend une jeune servante, revenant du marché avec un seau de cuivre à son bras. Ce tableau du caractère le plus vrai, est traité avec autant d'art que de finesse, et doit être distingué comme un des ouvrages de choix de ce fameux élève de Gérard Dow.]] réalisée par Van Tool, vendue par M. Sarrazin, achetée par Paillet au prix de 218 fl. [61]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un capital paysage, coupé par une route garnie de nombre de bestiaux et cavaliers. Sur des plans plus reculés, on voit de beaux massifs d'arbres, et dans le lointain, quelques indications de village. Le tout se détache sur un très-beau ciel (Salomon Ruisdael)|Un capital paysage, coupé par une route garnie de nombre de bestiaux et cavaliers. Sur des plans plus reculés, on voit de beaux massifs d'arbres, et dans le lointain, quelques indications de village. Le tout se détache sur un très-beau ciel]] réalisée par Salomon Ruisdael, vendue par M. Sarrazin, achetée par Roux au prix de 129 fl. [68]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le bord d'une rivière, qu'une jeune fille passe à gué, avec ses deux vaches, on en voit une autre occupée à se laver les pieds ; le fond du paysage offre une prairie entourée d'arbres et couverte de quantité de bestiaux. Tableau d'une grande vérité. (Jean Sibrechts)|Sur le bord d'une rivière, qu'une jeune fille passe à gué, avec ses deux vaches, on en voit une autre occupée à se laver les pieds ; le fond du paysage offre une prairie entourée d'arbres et couverte de quantité de bestiaux. Tableau d'une grande vérité.]] réalisée par Jean Sibrechts, vendue par M. Sarrazin, achetée par Billaudel au prix de 61 fl. [69]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage du plus riche détail, offrant sur le premier plan, un groupe de femmes, dont une personnifie l'abondance ; on voit, répandues autour d'elles, une immense quantité de fleurs, poissons et coquillages. Tableau du plus bel aspect et parfaitement conservé. (Breughel)|Paysage du plus riche détail, offrant sur le premier plan, un groupe de femmes, dont une personnifie l'abondance ; on voit, répandues autour d'elles, une immense quantité de fleurs, poissons et coquillages. Tableau du plus bel aspect et parfaitement conservé.]] réalisée par Breughel, vendue par M. Sarrazin, achetée par Descat au prix de 150 fl. [71]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'une côte semée d'arbustes et bordée d'une rivière à laquelle un voyageur vient faire boire son cheval. Ce joli paysage, dont la simplicité de la composition offre, sans doute, une vue prise d'après nature, pourrait être considérée comme une étude des premiers tems de Ph. Wouwermans. (P. Wouwermans)|La vue d'une côte semée d'arbustes et bordée d'une rivière à laquelle un voyageur vient faire boire son cheval. Ce joli paysage, dont la simplicité de la composition offre, sans doute, une vue prise d'après nature, pourrait être considérée comme une étude des premiers tems de Ph. Wouwermans.]] réalisée par P. Wouwermans, vendue par M. Sarrazin, achetée par Paillet au prix de 70 fl. [72]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un cavalier et une dame, arrêtés devant une hôtellerie pour y faire raffraîchir leurs chevaux ; plus loin, un homme, conduisant un cheval à la rivière. Nous présentons ce tableau, comme un des plus précieux du frère de Ph. Wouwermans, et tout à fait dans sa manière, tant par la composition, que par le faire moëlleux et le brillant de la couleur. (P. Wouwermans)|Un cavalier et une dame, arrêtés devant une hôtellerie pour y faire raffraîchir leurs chevaux ; plus loin, un homme, conduisant un cheval à la rivière. Nous présentons ce tableau, comme un des plus précieux du frère de Ph. Wouwermans, et tout à fait dans sa manière, tant par la composition, que par le faire moëlleux et le brillant de la couleur.]] réalisée par P. Wouwermans, vendue par M. Sarrazin au prix de 130 fl. [73]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de Messire François Salignac de Fénélon, archevêque de Cambrai. Il est vêtu de la robe épiscopale et la tête nue. On ne verra, sans doute pas sans intérêt, un des monumens qui rappelle aux yeux de la société cet écrivain célèbre. (Philippe de Champaignes)|Portrait de Messire François Salignac de Fénélon, archevêque de Cambrai. Il est vêtu de la robe épiscopale et la tête nue. On ne verra, sans doute pas sans intérêt, un des monumens qui rappelle aux yeux de la société cet écrivain célèbre.]] réalisée par Philippe de Champaignes, vendue par M. Sarrazin, achetée par Laneuville au prix de 100 fl. [74]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un capital tableau de ce maître, et sans contredit le plus beau que nous connaissions : il représente l'extérieur d'une porte de ville, où l'on voit six chevaux au repos, tous variés de couleurs et d'attitudes ; l'un d'eux est monté par un paysan, qui semble attendre la fin de la conversation de ses deux camarades ; sur la gauche, on voit deux vaches couchées, et sur le côté opposé, deux enfans fille et garçon. Quelques fabriques, bâties sur des rochers, se détachent sur un ciel, chargé de nuages, qui reçoivent les rayons du soleil. Ce tableau digne, par sa belle qualité, de tenir la place dans tous les cabinets, nous paraît mériter l'attention de tous les connaisseurs. (Vanblomen)|Un capital tableau de ce maître, et sans contredit le plus beau que nous connaissions : il représente l'extérieur d'une porte de ville, où l'on voit six chevaux au repos, tous variés de couleurs et d'attitudes ; l'un d'eux est monté par un paysan, qui semble attendre la fin de la conversation de ses deux camarades ; sur la gauche, on voit deux vaches couchées, et sur le côté opposé, deux enfans fille et garçon. Quelques fabriques, bâties sur des rochers, se détachent sur un ciel, chargé de nuages, qui reçoivent les rayons du soleil. Ce tableau digne, par sa belle qualité, de tenir la place dans tous les cabinets, nous paraît mériter l'attention de tous les connaisseurs.]] réalisée par Vanblomen, vendue par M. Sarrazin au prix de 237 fl. [75]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux charmans paysages dont l'un, pris à l'effet du clair de lune, offre l'aspect le plus piquant par le contraste du feu auquel se chauffent de pauvres bûcherons. L'autre, d'une composition plus riante, présente un pays couvert de rochers, et traversé d'un chemin garni de figures et de bestiaux qui semblent descendre une montagne. Il nous serait difficile d'indiquer deux plus jolis bijoux de ce maître, et d'une conservation aussi parfaite. (Dietricy)|Deux charmans paysages dont l'un, pris à l'effet du clair de lune, offre l'aspect le plus piquant par le contraste du feu auquel se chauffent de pauvres bûcherons. L'autre, d'une composition plus riante, présente un pays couvert de rochers, et traversé d'un chemin garni de figures et de bestiaux qui semblent descendre une montagne. Il nous serait difficile d'indiquer deux plus jolis bijoux de ce maître, et d'une conservation aussi parfaite.]] réalisée par Dietricy, vendue par M. Sarrazin au prix de 215.95 fl. [78]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un très-bon tableau de ce maître, offrant un sujet de bataille de cavalerie. Déjà plusieurs combattans vaincus sont renversés de leurs chevaux, et étendus sur le terrain. Ce tableau dont l'action est pleine de chaleur, n'offre aucun aspect désagréable et qui se rencontrent si souvent dans ceux de ce genre. La couleur en est brillante, et la touche vive et spirituelle. (Vandermeulen)|Un très-bon tableau de ce maître, offrant un sujet de bataille de cavalerie. Déjà plusieurs combattans vaincus sont renversés de leurs chevaux, et étendus sur le terrain. Ce tableau dont l'action est pleine de chaleur, n'offre aucun aspect désagréable et qui se rencontrent si souvent dans ceux de ce genre. La couleur en est brillante, et la touche vive et spirituelle.]] réalisée par Vandermeulen, vendue par M. Sarrazin au prix de 100 fl. [79]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un intérieur de chambre basse où deux hommes y sont représentés, l'un tenant un verre et une cruche, tandis que l'autre appuyé sur le dos d'une chaise, lui lit une gazette. On aperçoit dans le fond une femme et deux petits enfans. Cet échantillon précieux de ce maître peut rivaliser avec les productions d'Adrien Van Ostade, tant par les caractères de figures que par sa couleur harmonieuse et brillante. (Corneille Dussart)|Un intérieur de chambre basse où deux hommes y sont représentés, l'un tenant un verre et une cruche, tandis que l'autre appuyé sur le dos d'une chaise, lui lit une gazette. On aperçoit dans le fond une femme et deux petits enfans. Cet échantillon précieux de ce maître peut rivaliser avec les productions d'Adrien Van Ostade, tant par les caractères de figures que par sa couleur harmonieuse et brillante.]] réalisée par Corneille Dussart, vendue par M. Sarrazin, achetée par Paillet au prix de 120 fl. [81]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un canal chargé d'un bateau de pêcheurs, et situé sur la lisière d'un bois éclairé par un soleil brûlant qui indique le déclin du jour ; on aperçoit un homme et une femme à cheval, suivis de leur chien, et paraissant s'acheminer vers le bois. Ce magnifique tableau d'une étonnante puissance de couleur, renferme toutes les beautés du Cuyp, auquel il a plusieurs fois été attribué. (Adam Pynacker)|Vue d'un canal chargé d'un bateau de pêcheurs, et situé sur la lisière d'un bois éclairé par un soleil brûlant qui indique le déclin du jour ; on aperçoit un homme et une femme à cheval, suivis de leur chien, et paraissant s'acheminer vers le bois. Ce magnifique tableau d'une étonnante puissance de couleur, renferme toutes les beautés du Cuyp, auquel il a plusieurs fois été attribué.]] réalisée par Adam Pynacker, vendue par M. Sarrazin, achetée par Rolland au prix de 300 fl. [82]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un terrain garni de rochers, une jeune fille assise, garde son troupeau de moutons. On voit près d'elle un homme appuyé sur un cheval blanc dépouillé de tous ces harnois ; le fond de la composition présente une masse de fabriques éclairées par le soleil. Ce tableau réunit à la fois un ton de chaleur et une naïveté de dessin qui caractérisent les moindres productions de ce maître habile. (Karel Dujardin)|Sur un terrain garni de rochers, une jeune fille assise, garde son troupeau de moutons. On voit près d'elle un homme appuyé sur un cheval blanc dépouillé de tous ces harnois ; le fond de la composition présente une masse de fabriques éclairées par le soleil. Ce tableau réunit à la fois un ton de chaleur et une naïveté de dessin qui caractérisent les moindres productions de ce maître habile.]] réalisée par Karel Dujardin, vendue par M. Sarrazin au prix de 360 fl. [83]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une belle femme représentée à mi-corps et de face, devant une table, la tête sur sa main gauche, et dans l'expression de réfléchir sur quelques passages d'un livre qu'elle tient ouvert de la main droite. Cette figure, brillante par la richesse du ton de couleur, est éclairée avec le plus grand art par une forte lumière placée derrière un garde-vue. Ce morceau du plus vigoureux coloris, est de la touche hardie et savante de son auteur ; il provient du cabinet de M. de Tolozan, vendu sous le numéro 106. (Santerre)|Une belle femme représentée à mi-corps et de face, devant une table, la tête sur sa main gauche, et dans l'expression de réfléchir sur quelques passages d'un livre qu'elle tient ouvert de la main droite. Cette figure, brillante par la richesse du ton de couleur, est éclairée avec le plus grand art par une forte lumière placée derrière un garde-vue. Ce morceau du plus vigoureux coloris, est de la touche hardie et savante de son auteur ; il provient du cabinet de M. de Tolozan, vendu sous le numéro 106.]] réalisée par Santerre, vendue par M. Sarrazin au prix de 50 fl. [84]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une paysanne de Nord-Hollande, tenant dans ses bras son enfant qui est endormi. Cette figure, vue à mi-corps, a le visage tourné de profil, et entièrement en demi-teinte, se détachant sur un fond clair et jaunâtre. Ce petit échantillon vigoureux de couleur, provient de la collection du feu duc de Choiseul-Praslin, n. 43 du catalogue, année 1793. (Rembrandt)|Une paysanne de Nord-Hollande, tenant dans ses bras son enfant qui est endormi. Cette figure, vue à mi-corps, a le visage tourné de profil, et entièrement en demi-teinte, se détachant sur un fond clair et jaunâtre. Ce petit échantillon vigoureux de couleur, provient de la collection du feu duc de Choiseul-Praslin, n. 43 du catalogue, année 1793.]] réalisée par Rembrandt, vendue par M. Sarrazin, achetée par Laneuville au prix de 245 fl. [87]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage ; vue des environs de la Flandre. Il est traversé par un chemin où repose un voyageur causant avec une femme qui porte un enfant sur le dos. Le premier plan de la partie droite est entièrement occupé par une hauteur de terrain sablonneux entouré de broussailles, et surmonté de trois beaux arbres d'un léger feuillé ; du côté gauche et sur un plan un peu plus reculé, on distingue une porte de couvent dont le clocher s'élève à la hauteur des arbres ; l'oeil porté vers le milieu découvre une étendue de terrain dont la perspective est interrompue par une chaîne de montagnes. Ce tableau de la belle qualité du maître et d'une conservation parfaite, est enrichi de figures de la touche précieuse de Lingelbach. (Jean Wynants)|Un paysage ; vue des environs de la Flandre. Il est traversé par un chemin où repose un voyageur causant avec une femme qui porte un enfant sur le dos. Le premier plan de la partie droite est entièrement occupé par une hauteur de terrain sablonneux entouré de broussailles, et surmonté de trois beaux arbres d'un léger feuillé ; du côté gauche et sur un plan un peu plus reculé, on distingue une porte de couvent dont le clocher s'élève à la hauteur des arbres ; l'oeil porté vers le milieu découvre une étendue de terrain dont la perspective est interrompue par une chaîne de montagnes. Ce tableau de la belle qualité du maître et d'une conservation parfaite, est enrichi de figures de la touche précieuse de Lingelbach.]] réalisée par Jean Wynants, vendue par M. Sarrazin au prix de 401 fl. [89]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un des jolis tableaux de ce maître, offrant à la gauche de hautes montagnes garnies d'arbres. On y remarque entr'autres figures occupant le côté opposé, un berger qui danse avec une jeune nymphe. Le milieu laisse entrevoir une chaîne de montagnes d'une charmante dégradation de tons éclairés par un ciel brillant. (Corneille Poelembourg)|Un des jolis tableaux de ce maître, offrant à la gauche de hautes montagnes garnies d'arbres. On y remarque entr'autres figures occupant le côté opposé, un berger qui danse avec une jeune nymphe. Le milieu laisse entrevoir une chaîne de montagnes d'une charmante dégradation de tons éclairés par un ciel brillant.]] réalisée par Corneille Poelembourg, vendue par M. Sarrazin, achetée par Paillet au prix de 100 fl. [90]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau paysage mêlé de ruines, et de la plus grande puissance de couleurs. Tout le premier plan de la composition est garni de divers animaux, tels que chèvres, moutons, etc. qui sont gardés par deux jeunes pâtres assis sur une hauteur, et au pied de belles ruines. Cet ouvrage, un des plus capitaux de ce grand coloriste, est de cette touche facile et brillante qui en a toujours fait porter les productions au plus haut prix. Sa dimension est de 36 pouces de haut sur 48 de large, sur toile, dans une riche bordure sculptée en bois. (Weninx (Jean-Baptiste))|Un beau paysage mêlé de ruines, et de la plus grande puissance de couleurs. Tout le premier plan de la composition est garni de divers animaux, tels que chèvres, moutons, etc. qui sont gardés par deux jeunes pâtres assis sur une hauteur, et au pied de belles ruines. Cet ouvrage, un des plus capitaux de ce grand coloriste, est de cette touche facile et brillante qui en a toujours fait porter les productions au plus haut prix. Sa dimension est de 36 pouces de haut sur 48 de large, sur toile, dans une riche bordure sculptée en bois.]] réalisée par Weninx (Jean-Baptiste), vendue par M. Sarrazin au prix de 410 fl. [91]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux portraits d'homme et de femme représentés presque à mi-corps, dans des habillemens noirs, selon l'ancien costume, avec ajustement de fraise et collet de batiste. Ces morceaux d'une vérité frappante et d'une grande fraîcheur de carnation, justifient la renommée et les grands talens de leur auteur. Ils portent la date de 1551 sic, à la suite de la signature. (Albert Cuyp)|Deux portraits d'homme et de femme représentés presque à mi-corps, dans des habillemens noirs, selon l'ancien costume, avec ajustement de fraise et collet de batiste. Ces morceaux d'une vérité frappante et d'une grande fraîcheur de carnation, justifient la renommée et les grands talens de leur auteur. Ils portent la date de 1551 sic, à la suite de la signature.]] réalisée par Albert Cuyp, vendue par M. Sarrazin, achetée par Marte au prix de 146 fl. [92]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux de la plus riche ordonnance, offrant les plus beaux points de vue de palais et ruines de monumens. Ils sont ornés de nombre de figures répandues sur les différens plans, avec autant d'art que de vérité. Ces morceaux d'un grand détail, offrent dans toutes les parties de leur exécution, cette touche ferme et énergique qui caractérise la plus grande force de Panini. Ils ont joui dans la curiosité de cette réputation accordée aux chefs-d'oeuvres de chaque genre. On y admire particulièrement une perspective exacte, un goût admirable de touche, et un esprit de dessin dans les figures, qui ne peut être surpassé. Ils ont été rapportés de Rome par M. Choiseul de Stainville, qui en faisait avec raison le plus grand cas. (Panini (Jean Paul))|Deux tableaux de la plus riche ordonnance, offrant les plus beaux points de vue de palais et ruines de monumens. Ils sont ornés de nombre de figures répandues sur les différens plans, avec autant d'art que de vérité. Ces morceaux d'un grand détail, offrent dans toutes les parties de leur exécution, cette touche ferme et énergique qui caractérise la plus grande force de Panini. Ils ont joui dans la curiosité de cette réputation accordée aux chefs-d'oeuvres de chaque genre. On y admire particulièrement une perspective exacte, un goût admirable de touche, et un esprit de dessin dans les figures, qui ne peut être surpassé. Ils ont été rapportés de Rome par M. Choiseul de Stainville, qui en faisait avec raison le plus grand cas.]] réalisée par Panini (Jean Paul), vendue par M. Sarrazin, achetée par Paillet au prix de 380 fl. [93]
  • 1816.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune fille, appuyée sur sa fenêtre ; elle est coiffée d'un voile qui flotte sur ses épaules ; ses cheveux sont ornés d'un bandeau de perles, et son col d'une chaînette en or. Ce portrait dont la tête est d'une expression remplie de grace et de finesse, joint à ce mérite celui d'une couleur digne d'un des plus habiles disciples de Rembrandt. (Ferdinand Bol)|Une jeune fille, appuyée sur sa fenêtre ; elle est coiffée d'un voile qui flotte sur ses épaules ; ses cheveux sont ornés d'un bandeau de perles, et son col d'une chaînette en or. Ce portrait dont la tête est d'une expression remplie de grace et de finesse, joint à ce mérite celui d'une couleur digne d'un des plus habiles disciples de Rembrandt.]] réalisée par Ferdinand Bol, vendue par M. Sarrazin au prix de 53 fl. [95]