Ventes d'œuvres le 1818.12.14

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  • 1818.12.14/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme [[Toutes les peintures ayant servi pour l'embellissement d'une chambre, consistant en sept pièces, dont 3 panneaux, 2 médaillons et 2 supports, représentant des fêtes villageoises avec grand nombre de figures, agréablement peints sur toile, par M. Simon, de Bruxelles (M. Simon, de Bruxelles)|Toutes les peintures ayant servi pour l'embellissement d'une chambre, consistant en sept pièces, dont 3 panneaux, 2 médaillons et 2 supports, représentant des fêtes villageoises avec grand nombre de figures, agréablement peints sur toile, par M. Simon, de Bruxelles]] réalisée par M. Simon, de Bruxelles. [1]
  • 1818.12.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'Eglise avec figures d'assistans ; le point de vue est pris du milieu même de la Cathédrale dont les côtés sont autant de Chapelles prises sous les arcades. Les tableau est éclairée par un grand effet de jour ; les lignes d'architecture en sont précises, les figures d'un bon goût et le ton local très-harmonieux ; c'est, en un mot, une de plus coquettes productions de ce maître. (Peterneefs)|Intérieur d'Eglise avec figures d'assistans ; le point de vue est pris du milieu même de la Cathédrale dont les côtés sont autant de Chapelles prises sous les arcades. Les tableau est éclairée par un grand effet de jour ; les lignes d'architecture en sont précises, les figures d'un bon goût et le ton local très-harmonieux ; c'est, en un mot, une de plus coquettes productions de ce maître.]] réalisée par Peterneefs, vendue par M. le comte L., achetée par Paillet au prix de 265 fl. [6]
  • 1818.12.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Banquier recevant le compte d'un juif ; il écrit sur son registre, tandis que sa femme considère avec avidité les pièces répandues sur la table ; indépendamment de la grande conservation de ce tableau. Il est encore curieux par son ancienneté. (Quintin Messis (dit le Maréchal d'Anvers))|Banquier recevant le compte d'un juif ; il écrit sur son registre, tandis que sa femme considère avec avidité les pièces répandues sur la table ; indépendamment de la grande conservation de ce tableau. Il est encore curieux par son ancienneté.]] réalisée par Quintin Messis (dit le Maréchal d'Anvers), vendue par M. le comte L. au prix de 99 fl. [13]
  • 1818.12.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une des plus riches compositions de cet habile paysagiste. Tous les premiers plans sont garnis de plantes et herbages qui servent de pâture à un troupeau de vaches, chèvres et moutons ; la partie gauche du tableau est occuppée par un arbre tortueux dont les branchages se détachent sur un ciel ardent ; les lointains sont terminés par une riviD`ere qui borde les montagnes et sur laquelle des pointes d'île forment sinuosités. Cette production, de l'aspect le plus riant, et dans laquelle M. Omeganck a déployé toute son habileté, a fait partie du cabinet de l'ex-roi de Westphalie. (M. Omeganck)|Une des plus riches compositions de cet habile paysagiste. Tous les premiers plans sont garnis de plantes et herbages qui servent de pâture à un troupeau de vaches, chèvres et moutons ; la partie gauche du tableau est occuppée par un arbre tortueux dont les branchages se détachent sur un ciel ardent ; les lointains sont terminés par une riviD`ere qui borde les montagnes et sur laquelle des pointes d'île forment sinuosités. Cette production, de l'aspect le plus riant, et dans laquelle M. Omeganck a déployé toute son habileté, a fait partie du cabinet de l'ex-roi de Westphalie.]] réalisée par M. Omeganck, vendue par M. le comte L.. [28]
  • 1818.12.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Encore un de ces tableaux d'une illusion frappante et connu sous la dénomination de la route de Pantin ; nombre de détails concourent à la richesse de ce tableau ; des troupeaux de moutons et de vaches, des rouliers chargés de ballots, des paysans conduisant leurs charettes, des villageois au repos près de leurs charrues, enfin une réunion de mille objet divers, parés des charmes du talent et des beautés de la nature. (M. Demarne)|Encore un de ces tableaux d'une illusion frappante et connu sous la dénomination de la route de Pantin ; nombre de détails concourent à la richesse de ce tableau ; des troupeaux de moutons et de vaches, des rouliers chargés de ballots, des paysans conduisant leurs charettes, des villageois au repos près de leurs charrues, enfin une réunion de mille objet divers, parés des charmes du talent et des beautés de la nature.]] réalisée par M. Demarne, vendue par M. le comte L. au prix de 980 fl. [71]
  • 1818.12.14/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux magnifiques paysages portant la date de l'an 6 et 1798, l'un et l'autre faits à l'époque de la plus grande force de ce maître. Ces compositions grandioses offrent à la fois le site le plus enchanteur et le plus sévère par la beauté du style. Nous ne saurions faire une longue description de la variété des fabriques, de la majesté des arbres qui les couronnent et des monumens qui y sont multipliés `l'infini. Ce sont deux pages admirables, qui attesteront un jour que c'est avec justice que ce peintre habile est placé au rang de premiers paysagistes. L'honneur qu'accordent les Princes français aux artistes modernes, ne nous permet pas de douter que ceux-ci ne fassent un jour l'ornement d'un palais. (M. Bertin)|Deux magnifiques paysages portant la date de l'an 6 et 1798, l'un et l'autre faits à l'époque de la plus grande force de ce maître. Ces compositions grandioses offrent à la fois le site le plus enchanteur et le plus sévère par la beauté du style. Nous ne saurions faire une longue description de la variété des fabriques, de la majesté des arbres qui les couronnent et des monumens qui y sont multipliés `l'infini. Ce sont deux pages admirables, qui attesteront un jour que c'est avec justice que ce peintre habile est placé au rang de premiers paysagistes. L'honneur qu'accordent les Princes français aux artistes modernes, ne nous permet pas de douter que ceux-ci ne fassent un jour l'ornement d'un palais.]] réalisée par M. Bertin, vendue par M. le comte L. au prix de 400 fl. [72]