Ventes d'œuvres le 1819.11.02
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- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un Troubadour écoute une jeune dame pincer de la harpe. réalisée par M. Dunant, vendue par Varroc au prix de 26 fl. [1]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un 3e. paysage réalisée par Genre de Berghem, vendue par Varroc. [2]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme 2 petits paysages avec figures, dr Mr Budelot réalisée par Mr Budelot, vendue par Varroc au prix de 36.5 fl. [3]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage traversé par un pont, avec march de troupeau. réalisée par Lallemand, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 27 fl. [4]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un cavalier saluant un paysan hollandaise sur le pas de sa porte. réalisée par Genre de Cuyp, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 36 [ou] 37 fl. [5]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages mêlés de rivières, fabriques et montagnes avec jolies figures de pâtres et bestiaux. réalisée par Genre de Berghem, vendue par Varroc, achetée par Sallé au prix de 62 fl. [6]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage avec figure de cavalier. réalisée par Goût de Vanache, vendue par Varroc, achetée par Barazhay? au prix de 6.05 [ou] 6 fl. [7]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux dont un est le marché aux chevaux. réalisée par Genre de Vanbloemen, vendue par Varroc au prix de 62 [ou] 14 fl. [8]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Port de mer avec figures d'Arméniens. réalisée par Vanderkabel, vendue par Varroc au prix de 25.5 fl. [9]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux petites marines, calme et tempête. réalisée par Genre de Vernet, vendue par Varroc. [10]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Intérieur d'une forêt, avec maisonnette et figures de villageoise avec son troupeau. réalisée par Peintre Moderne, vendue par Varroc. [11]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Opérateur pansant un homme blessé. réalisée par D'après Teniers, vendue par Varroc au prix de 27 fl. [12]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Famille de paysans, cheminant avec leur âne. réalisée par Lenain, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 32 fl. [13]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un satyre faisant danser des bacchantes. réalisée par Style de Gérard-Hoet, vendue par Varroc, achetée par Guevillers au prix de 20 fl. [14]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Extérieur d'une ville près d'un canal glacé, avec figures e patineurs. réalisée par Genre de Vanderheyden, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 35 [ou] 22 fl. [15]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Marine couverte de barques. réalisée par Storck, vendue par Varroc, achetée par France au prix de 56 [ou] 30 fl. [16]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Grand place d'un village de Flandres. devant laquelle sont arrêtés des cavaliers, dont plusieurs donnent à manger à leurs chevaux. réalisée par Molenart, vendue par Varroc au prix de 74.5 fl. [17]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Dispute de paysans jouant aux cartes ; l'un d'eux est arrêté par deux femmes. réalisée par Genre de Béga, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 23.05 fl. [18]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des militaires sous une tente. réalisée par J. Miel, vendue par Varroc au prix de 29.05 fl. [19]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Danse et festin de villageois. réalisée par Genre de Teniers, vendue par Varroc, achetée par PSimari au prix de 50.05 fl. [20]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge tenant sur ses genoux l'Enfant Jésus, le montre au petit Saint-Jean qui lui présente la croix ; près d'eux est Saint-Joseph : le groupe de ces quatre personnages, d'une composition gracieuse, repose dans un site mêlé d'arbres. réalisée par Mignard, vendue par Varroc au prix de 101 [ou] 100 fl. [21]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une femme hollandaise compte l'argent que deux cavaliers viennent de lui donner pour payer leur écot. réalisée par Signé P. de Hoog, vendue par Varroc, achetée par Billaudel. [22]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Annonciation, composition de deux figures. réalisée par Genre de l'Albane, vendue par Varroc, achetée par Gagnereu au prix de 39 [ou] 13 fl. [23]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Villageois présentant une rose à une lessiveuse. réalisée par Ch. Eisen, vendue par Varroc au prix de 16 fl. [24]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysans buvant autour d'une table, tandis qu'un pauvre jouant du violon, accompagne un jeune homme qui chante. réalisée par S. Bourdon, vendue par Varroc, achetée par Dufour au prix de 160.5 fl. [25]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux portraits encadrés dans de très-anciennes bordures. réalisée par Largillere, vendue par Varroc au prix de 93.05 fl. [26]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Joli sujet de l'Annonciation ; composition de deux figures. réalisée par Attribué à Trévisani, vendue par Varroc au prix de 39 [ou] 40.50 fl. [27]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des Voyageurs se chauffent autour d'un feu. réalisée par Genre de Dietrick, vendue par Varroc au prix de 30 [ou] 32 fl. [28]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Marche d'animaux dans un paysage, et cascades sur les devans. réalisée par Asselin, vendue par Varroc au prix de 21.05 fl. [29]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Entrée d'un hameau où quelques cavaliers ornent le premier plan. réalisée par Emmanuel Meurant, vendue par Varroc au prix de 55 [ou] 50 fl. [30]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Petit tableau représentant une bataille. réalisée par Vandermeer de Yong, vendue par Varroc. [31]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Bataille de cavalerie entre les turcs et les chrétiens ; elle a lieu près d'un port de mer dont on apperçoit une tour ; tableau remarquable par la suavité du pinceau. réalisée par Lingelback, vendue par Varroc. [32]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des buveurs se prennent de querelle ; l'un d'eux, saisi d'un couteau, veut en frapper son adversaire ; mais il est arrêté par une vieille femme dont les efforts vont être secondés par d'autres paysans. réalisée par Isaac Ostade, vendue par Varroc, achetée par Souin au prix de 220 [ou] 200 fl. [33]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le médecin aux urines ; très-belle copie, d'après le tableau original perdu dans la trajet de mer. réalisée par D'après Gérard Douv, vendue par Varroc, achetée par Billaudel au prix de 300 fl. [34]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Terrain sablonneux surmonté d'arbustes ; il est au pied d'une rivière traversée d'un petit pont. réalisée par Wynants, vendue par Varroc, achetée par Hazard au prix de 162 fl. [35]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'entrée d'un bois où l'on apperçoit sur les devants environ six figures de paysans et un cavalier. Ce tableau porte la signature de Wynants. réalisée par Devris, vendue par Varroc. [36]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux belles vaches, des moutons et une génisse reposent sur un terrain semé de plantes et gazons, et à l'ombre d'un massif de bois ; ce maître que nous mettons fréquemment au nombre des peintres secondaires, peut être ici classé dans ceux du premier ordre. (Vanderdoes)|Deux belles vaches, des moutons et une génisse reposent sur un terrain semé de plantes et gazons, et à l'ombre d'un massif de bois ; ce maître que nous mettons fréquemment au nombre des peintres secondaires, peut être ici classé dans ceux du premier ordre.]] réalisée par Vanderdoes, vendue par Varroc, achetée par Billaudel au prix de 315 fl. [37]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Petite marine par un temps calme. On présume cette esquisse de Guillaume Vandevelde. réalisée par Van Capel, vendue par Varroc, achetée par Billaudel au prix de 30 fl. [38]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre paysage, composition de Berghem, avec figures et animaux. réalisée par Carré (Michel), vendue par Varroc au prix de 101 fl. [39]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage mêlé de boiset rochers, avec troupeaux de bestiaux, et figures de paysans. réalisée par Zolmacher, vendue par Varroc. [40]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'une partie de la ville d'Amsterdam, prise du milieu d'un canal. On distingue plusieurs figures, hommes, femmes et enfans. réalisée par Cortt (Pierre de), vendue par Varroc, achetée par Simon au prix de 141 fl. [41]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site agreste et marécageux ; on distingue à la gauche, une petite monticule couverte d'arbustes et broussailles, et sur la droite, un bouquet d'arbres touffus qui se détachent sur un joli ciel éclairé du soleil couchant ; une mare d'eau qui arrose les premiers plans reflette d'une manière piquante une grande partie de cette composition. (J. Ruisdal)|Site agreste et marécageux ; on distingue à la gauche, une petite monticule couverte d'arbustes et broussailles, et sur la droite, un bouquet d'arbres touffus qui se détachent sur un joli ciel éclairé du soleil couchant ; une mare d'eau qui arrose les premiers plans reflette d'une manière piquante une grande partie de cette composition.]] réalisée par J. Ruisdal, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 115 [ou] 118 fl. [42]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Allusion à Frédéric, duc de Saxe : il est représenté dans un costume bizarre, et est environné de ses maîtresses. réalisée par Cranack (Lucas), vendue par Varroc au prix de 300 fl. [43]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une dame vêtue d'une pelisse bordée d'hermine, et tenant un livre devant elle ; morceau d'un grand caractère d'une touche large. réalisée par G. Metzu, vendue par Varroc. [44]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Oracle avait prédit au poète Eschile qu'il périrait par la chute d'une maison. Voulant donner un démenti à l'oracle, il n'habita plus qu'en plein champ ; mais il avait le front chauve, et un jour qu'il etait occupé à composer une de ses tragédies, un aigle, qui venait d'enlever une tortue, prenant le ront d'Eschile pour un rocher, laissa tomber, sur cette tête chauve, la tortue dont il voulait brisser l'écaille, mais en même temps il tua Eschille, Ainsi s'accomplit l'oracle, puisque le poète perdit la vie par la chute de la maison d'une tortue. (D. Teniers)|Un Oracle avait prédit au poète Eschile qu'il périrait par la chute d'une maison. Voulant donner un démenti à l'oracle, il n'habita plus qu'en plein champ ; mais il avait le front chauve, et un jour qu'il etait occupé à composer une de ses tragédies, un aigle, qui venait d'enlever une tortue, prenant le ront d'Eschile pour un rocher, laissa tomber, sur cette tête chauve, la tortue dont il voulait brisser l'écaille, mais en même temps il tua Eschille, Ainsi s'accomplit l'oracle, puisque le poète perdit la vie par la chute de la maison d'une tortue.]] réalisée par D. Teniers, vendue par Varroc. [45]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Coriolan condamné à un bannissement perpétuel, prit les armes contre Rome, sa patrie ; prêt à assiéger cette ville, le Sénaut lui envoya deux députations ; une, composée de consulaires ; l'autre, de Pontifes ; il fut inexorable. Venturie, sa mère et Volumnie, son épouse, eurent plus de pouvoir sur lui ; leurs larmes le touchèrent ; et reprenant le chemin d'Antium, il ne commit aucune hostilité. C'est le trait d'histoire que le peintre hollandais a traité, et dans lequel il s'est montré digne de l'affection que lui témoignait Rimbrandt, son maître, et du cas tout particulier qu'il en faissait ; ce tableau provient d'un cabinet célèbre de la Hollande, et contribuerait à la fois l'intérêt du sujet et la beauté de la couleur. (Gerbrandt (Venden Eeckhout))|Coriolan condamné à un bannissement perpétuel, prit les armes contre Rome, sa patrie ; prêt à assiéger cette ville, le Sénaut lui envoya deux députations ; une, composée de consulaires ; l'autre, de Pontifes ; il fut inexorable. Venturie, sa mère et Volumnie, son épouse, eurent plus de pouvoir sur lui ; leurs larmes le touchèrent ; et reprenant le chemin d'Antium, il ne commit aucune hostilité. C'est le trait d'histoire que le peintre hollandais a traité, et dans lequel il s'est montré digne de l'affection que lui témoignait Rimbrandt, son maître, et du cas tout particulier qu'il en faissait ; ce tableau provient d'un cabinet célèbre de la Hollande, et contribuerait à la fois l'intérêt du sujet et la beauté de la couleur.]] réalisée par Gerbrandt (Venden Eeckhout), vendue par Varroc. [46]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de salon hollandais où est représentée une mère tenant son enfant sur les genoux, le montrant à un cavalier vêtu de noir, et qui semble être son époux. On voit, à la gauche du spectateur, une porte entr'ouverte et laissant apercevoir d'autres appartemens d'un effet très-piquant. Le lieu où est représenté cette scène familière est enrichi de meubles et accessoires d'une frappante vérité. Ce tableau, quoique d'une composition plus sage, peut devenir un pendant à celui de J. Steen, en ce qu'il est d'une même dimension et d'une harmonie parfaitement en rapport avec ce dernier. (Maas (Nicolas))|Intérieur de salon hollandais où est représentée une mère tenant son enfant sur les genoux, le montrant à un cavalier vêtu de noir, et qui semble être son époux. On voit, à la gauche du spectateur, une porte entr'ouverte et laissant apercevoir d'autres appartemens d'un effet très-piquant. Le lieu où est représenté cette scène familière est enrichi de meubles et accessoires d'une frappante vérité. Ce tableau, quoique d'une composition plus sage, peut devenir un pendant à celui de J. Steen, en ce qu'il est d'une même dimension et d'une harmonie parfaitement en rapport avec ce dernier.]] réalisée par Maas (Nicolas), vendue par Varroc au prix de 410 fl. [47]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quatorze figures, représentées dans un intérieur de chambre hollandaise, concurrent à la composition capitale de ce beau tableau. Une des plus remarquable est une mère nourrissant son enfant ; elle est assise, au pied posé sur une chauffrette ; auprès d'elle un jeune garçon joue de tambour et tourne ses regards vers sa mère ; dans le fond, on aperçoit deux jeunes filles occupées à faire des gauffres ; à peu de distance, deux hommes et une vieille femme causent ensemble, et dans le fond à gauche, est un joyeux banquet de cinq buveurs. L'un d'eux sonne la trompette, deux autres chantent à tue-tête ; un quatrième, monté sur une chaise, sable avec gaité la liqueur d'un vidercôme, et le cinquième enfin, le coude appuyé sur les hanches, écoute avec sécurité ce bruyant concert. Beaucoup d'accessoires et de jolis détails contibuent à la richesse de ce morceau important et de première classe, sous le rapport de la variété des figures et sous celui de l'exécution la plus soignée. (Steen (Jean))|Quatorze figures, représentées dans un intérieur de chambre hollandaise, concurrent à la composition capitale de ce beau tableau. Une des plus remarquable est une mère nourrissant son enfant ; elle est assise, au pied posé sur une chauffrette ; auprès d'elle un jeune garçon joue de tambour et tourne ses regards vers sa mère ; dans le fond, on aperçoit deux jeunes filles occupées à faire des gauffres ; à peu de distance, deux hommes et une vieille femme causent ensemble, et dans le fond à gauche, est un joyeux banquet de cinq buveurs. L'un d'eux sonne la trompette, deux autres chantent à tue-tête ; un quatrième, monté sur une chaise, sable avec gaité la liqueur d'un vidercôme, et le cinquième enfin, le coude appuyé sur les hanches, écoute avec sécurité ce bruyant concert. Beaucoup d'accessoires et de jolis détails contibuent à la richesse de ce morceau important et de première classe, sous le rapport de la variété des figures et sous celui de l'exécution la plus soignée.]] réalisée par Steen (Jean), vendue par Varroc, achetée par Jamard au prix de 1775 fl. [48]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux fixés, d'après Claude Lorrain. réalisée par Claude Lorrain, vendue par Varroc au prix de 48 [ou] 50 [ou] 20.05 fl. [49]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue prise d'après nature dans les environs de Chantilly. réalisée par M. Saint-Martin fils, vendue par Varroc, achetée par Michel au prix de 78 [ou] 40 fl. [50]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage de site varié avec figures et animaux. réalisée par M. Duval, vendue par Varroc. [51]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre paysage coupé par un chemin qui conduit à un abreuvoir où vient un troupeau de bestiaux conduit par des bergers. réalisée par M. Watelet, vendue par Varroc, achetée par Tardieu au prix de 129 [ou] 201 fl. [52]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage, effet de soleil couchant avec figures et animaux en grand nombre. réalisée par M. Watelet, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 201 [ou] 130 fl. [53]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux forts jolis pendans, l'un intérieur de couvent avec sujet d'une lecture, et l'autre cloître italien où se fait une distribution. réalisée par M. Ronmi, vendue par Varroc, achetée par Gerard pour Lenielle au prix de 140 [ou] 141 fl. [54]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Pêches, raisins et prunes, posés sur une table de marbre ; ces fruits sont d'une exécution admirable. réalisée par Vandael, vendue par Varroc, achetée par Laneuville au prix de 345 [ou] 366 fl. [55]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Forêt traversé par un chemin, avec figures de cavaliers et dames. réalisée par Leprince, vendue par Varroc, achetée par Billaudel au prix de 120 fl. [56]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Fille romaine à genoux devant une chapelle de la Vierge, y est venue poser un vase de fleurs, pour faire librement sa prière ; on aperçoit sur la droite un escalier, dont la porte toute ouverte laisse entrevoir un charmant jardin. Ce joli tableau est connu sous le titre de la Frascataur, et fut exposé au salon dernier, sous la no. (Mlle Lescot)|Une jeune Fille romaine à genoux devant une chapelle de la Vierge, y est venue poser un vase de fleurs, pour faire librement sa prière ; on aperçoit sur la droite un escalier, dont la porte toute ouverte laisse entrevoir un charmant jardin. Ce joli tableau est connu sous le titre de la Frascataur, et fut exposé au salon dernier, sous la no.]] réalisée par Mlle Lescot, vendue par Varroc au prix de 500 fl. [57]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La vue d'un Moulin à eau auquel on arrive par un pont. Ce massif de fabriqu se détache sur un ciel clair et très-brillant. réalisée par Boisselier, vendue par Varroc au prix de 99.95 fl. [58]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune pâtre qui était occupé à traire une chèvre, vient de renverser son lait, en voulant se défendre contre trois jolies villageoises, qui s'amusant à le lutiner ; l'une d'elles qu'il a saisie par le bas du jupon, lui tire l'oreille sans paraître disposée à lâcher prise ; un autre lui prend son chapeau, et la troisème, en passant un de ses doigts sur l'autre, lui fait entendre par ce geste moqueur, qu'il ne doit rien attendre d'elle ; un chien aboie contre le berger, un autre profite du lait renversé. Cette petit scène se passe sur le devant d'un paysage, où l'on voit plusieurs vaches er autres animaux groupées au pied d'un bosquet d'arbres. (M. Demarne)|Un jeune pâtre qui était occupé à traire une chèvre, vient de renverser son lait, en voulant se défendre contre trois jolies villageoises, qui s'amusant à le lutiner ; l'une d'elles qu'il a saisie par le bas du jupon, lui tire l'oreille sans paraître disposée à lâcher prise ; un autre lui prend son chapeau, et la troisème, en passant un de ses doigts sur l'autre, lui fait entendre par ce geste moqueur, qu'il ne doit rien attendre d'elle ; un chien aboie contre le berger, un autre profite du lait renversé. Cette petit scène se passe sur le devant d'un paysage, où l'on voit plusieurs vaches er autres animaux groupées au pied d'un bosquet d'arbres.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc. [59]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le devant d'une prairie que baigne un limpide ruisseau, des faneurs assis ou couchés sur le gazon, entourent une grande jatte de lait et font un frugal déjeuné ; l'un d'eux cherchant à faire avaler une cuillerée de lait à une jolie paysanne, qui s'y refuse, se laisse tirer l'oreille par une vieille, qui ne vent pas qu'on s'amuse avec les jeunes filles. Pendant ce temps le maître de la prairie, en chemise et appuyé contre un arbre, se fait donner à boire par un de ses valets. Une femme s'avance cers les faneurs, avec un panier contenant des provisions ; au-delà est un côteau couvert de vignobles et de terres labourables. (M. Demarne)|Sur le devant d'une prairie que baigne un limpide ruisseau, des faneurs assis ou couchés sur le gazon, entourent une grande jatte de lait et font un frugal déjeuné ; l'un d'eux cherchant à faire avaler une cuillerée de lait à une jolie paysanne, qui s'y refuse, se laisse tirer l'oreille par une vieille, qui ne vent pas qu'on s'amuse avec les jeunes filles. Pendant ce temps le maître de la prairie, en chemise et appuyé contre un arbre, se fait donner à boire par un de ses valets. Une femme s'avance cers les faneurs, avec un panier contenant des provisions ; au-delà est un côteau couvert de vignobles et de terres labourables.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc au prix de 630 fl. [60]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux beaux Portiques au travers desquels on aperçoit des jarins ; ils sont l'un et l'autre enrichis de figures très-elégantes et de monumens d'architecture par M. Rhoen. réalisée par M. Pergier (par un Elève de), vendue par Varroc, achetée par Billaudel au prix de 210 fl. [61]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage traversé par un lac ; on y distingue des figures de chasseurs. réalisée par M. Bertin (École de), vendue par Varroc, achetée par Billaudel au prix de 31.5 fl. [62]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Moulin et ferme au bord d'une rivière et entourés de saules et de peupliers. Un jeune garçon conduit deux vaches et une chèvre. réalisée par M. Saint-Martin, vendue par Varroc, achetée par Michel au prix de 40 fl. [63]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux jolis petits tableaux de fleurs et de fruits bien heureusement groupés. réalisée par M. Prevot, vendue par Varroc, achetée par [[Payette [?]]] au prix de 70 fl. [64]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Tableau gravé sous le titre du Concert des Amans. réalisée par M. Boilly, vendue par Varroc. [65]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux Paysages traversés par des montagnes ; il y a de jolies figures et bien variées. réalisée par M. Naudoux, vendue par Varroc, achetée par [[Barbier [?]]] au prix de 59 fl. [66]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux vues des Bords du Rhin. réalisée par Schutz, vendue par Varroc au prix de 151 fl. [67]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage historique exposé au salon sous la nos 395. L'auteur est élève de M. Girodet. réalisée par M. Letellier, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 35 fl. [68]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Convoi d'artillerie et cavallerie, commandé par un officier de Cuirassiers qui semble interroger un militaire ; tous ces personnages se détachent sur un ciel nuagé d'une brillante manière, et donnent à ce charmant tableau un air de coquetterie séduisante. (Sweback)|Convoi d'artillerie et cavallerie, commandé par un officier de Cuirassiers qui semble interroger un militaire ; tous ces personnages se détachent sur un ciel nuagé d'une brillante manière, et donnent à ce charmant tableau un air de coquetterie séduisante.]] réalisée par Sweback, vendue par Varroc, achetée par Paillet au prix de 245 fl. [69]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Petit paysage dans lequel un berger conduit ses moutons. réalisée par M. Valin, vendue par Varroc, achetée par St Martin au prix de 31 fl. [70]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage mêlé de ruines avec march de troupeaux. réalisée par M. Duval, vendue par Varroc au prix de 30 fl. [71]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Intérieur de la cour d'une ferme ; on y remarque plusieurs figures formant scènes épisodiques. réalisée par Vangorp, vendue par Varroc, achetée par Souin au prix de 73 fl. [72]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Trois Artistes voyageurs contemplant la Nature sur une éminence. réalisée par Droling, vendue par Varroc, achetée par Souin au prix de 65 fl. [73]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Grande étendu de prairie où passent des vaches, chèvres et moutons ; des chaînes de montagnes viennent se joindre à une rivière et forment l'horizon, éclairé par un soleil brûlant. Ce tableau est signé Oméganck. réalisée par De Roi (de Bruxelles), vendue par Varroc, achetée par Thevenin au prix de 166 fl. [74]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des bacchanales. Ces trois jolis tableaux sortent de l'exposition du Salon, et y étaient compris sous les Nos 1112, 1113 et 1114. réalisée par M. Vallin, vendue par Varroc au prix de 310 fl. [75]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Jeunes femmes de Sparte s'amusant à des jeux gymnastiques. Ces trois jolis tableaux sortent de l'exposition du Salon, et y étaient compris sous les Nos 1112, 1113 et 1114. réalisée par M. Vallin, vendue par Varroc. [76]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des nymphes se disposent à se baigner. Ces trois jolis tableaux sortent de l'exposition du Salon, et y étaient compris sous les nos. 1112, 1113 et 1114. réalisée par M. Vallin, vendue par Varroc. [77]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des buveurs dans une chambre basse ; l'un d'eux accorde son violon, et les autres lécoutent en chantant. réalisée par M. Senave, vendue par Varroc au prix de 61 fl. [78]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue des ruines de Palmire ; tableau en forme de frise, et figures d'Arméniens. réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc, achetée par [[Ben Licui[...]r [?]]] au prix de 115 [ou] 7.16 [ou] 114 fl. [79]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Petit paysage dont les devans sont montagneux et les fonds meublés de heaucoup de fabriques. réalisée par M. Leprince, vendue par Varroc au prix de 43 fl. [80]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux formant pendant ; l'un est l'extérieur d'une ville où sont campés des militaires ; l'autre, l'extérieur d'un village avec une halte de bergers et leurs troupeaux. réalisée par Duplessis, vendue par Varroc, achetée par [[Le Crieur [Simon]]] au prix de 120 fl. [81]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux charmans points de vue de marine à effect de soleil couchant et temps couvert ; ils proviennent de la vente de M. Pillot, et sont considérés comme deux échantillons des meilleurs ouvrages de ce peintre. réalisée par M. Swagers, vendue par Varroc, achetée par Laneuville au prix de 101 fl. [82]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue du bois de Boulogne ; paysage exécute dans la manière de M. Sweback, avec figures de chasseurs. réalisée par M. Petit, vendue par Varroc au prix de 39 fl. [83]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Terrain, couvert de plantes, arbres et gibier, dont un lievre et un faisan. On découvre un échappé de marine à la gauche du tableau. réalisée par M. J. Vaubs, vendue par Varroc au prix de 66 fl. [84]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Halte de cavaliers près d'une tente de cantihiers ; scène représentée dans un paysage, sur le devant duquel on distingue trois chevaux de hussards, dont un se cabrant. On ne peut reindre d'une manière plus précieuse et plus spirituelle à la fois tout ce qui sort du pinceau de ce charmant peintre. (M. Sweback)|Halte de cavaliers près d'une tente de cantihiers ; scène représentée dans un paysage, sur le devant duquel on distingue trois chevaux de hussards, dont un se cabrant. On ne peut reindre d'une manière plus précieuse et plus spirituelle à la fois tout ce qui sort du pinceau de ce charmant peintre.]] réalisée par M. Sweback, vendue par Varroc, achetée par [[Le Crieur [Simon]]] au prix de 303 [ou] 307 fl. [85]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre intérieur d'église, avec figures d'assistants. réalisée par Lafontaine, vendue par Varroc, achetée par Dubois au prix de 51 fl. [86]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Intérieur, d'église d'une belle perspective, et enrichi de figures de bon goût et bien touchées, par M. Demarne. réalisée par Lafontaine, vendue par Varroc, achetée par Simon Le Crieur au prix de 151 fl. [87]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Halte de cavaliers au bord d'une rivière ; l'un d'eux reçoit du vin d'une vivandière. réalisée par Duplessis, vendue par Varroc. [88]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La vue d'un camp à l'extérieur d'une ville. On y distingue un grand nombre de militaires escortant des convois. réalisée par Duplessis, vendue par Varroc au prix de 160 fl. [89]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Intérieur d'une des salles du Musée des monumens. réalisée par M. Leblanc, vendue par Varroc au prix de 35.05 fl. [90]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'une des cours du Musée, des monumens, plusieurs personnages s'y promènant, et semblent contempler différens fragments d'architecture. réalisée par M. Leblanc, vendue par Varroc au prix de 151 fl. [91]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'ombre d'Hector apparaissant à Enée ; esquisse d'un grand tableau projeté par l'auteur. réalisée par Pagnest (François), vendue par Varroc au prix de 40 fl. [92]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage dont la droite offre un amas d'immenses rochers, autour duquel semble tourner au chemin. Le peintre y a placé trois figures, dont le sujet épisodique du Bélissaire. réalisée par Droling, vendue par Varroc, achetée par [[Chenad [?]]] au prix de 130 fl. [93]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Paysages représentant des intérieurs de bois, dont le milieu est occupé par une mare d'eau ; l'un de ces deux paysages est animé par une marche de troupeaux qui conduisant de jeune bergers, l'autre n'est pas moins intéressant, par un groupe de cavaliers et de dames se disposent à la chasse. Nous pouvons inviter les amateurs délicats à jeter leurs vues sur ces deux jolies productions de leur auteur, qui s'est plus à les étudier pour qu'elles soient en parfaite harmonies avec les figures et animaux précieusement touchés oar M. Rhoen. (M. Swagers)|Deux Paysages représentant des intérieurs de bois, dont le milieu est occupé par une mare d'eau ; l'un de ces deux paysages est animé par une marche de troupeaux qui conduisant de jeune bergers, l'autre n'est pas moins intéressant, par un groupe de cavaliers et de dames se disposent à la chasse. Nous pouvons inviter les amateurs délicats à jeter leurs vues sur ces deux jolies productions de leur auteur, qui s'est plus à les étudier pour qu'elles soient en parfaite harmonies avec les figures et animaux précieusement touchés oar M. Rhoen.]] réalisée par M. Swagers, vendue par Varroc au prix de 352 fl. [94]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Intérieur de l'atelier d'un forgeron ; il est meublé d'un infinité d'ustensiles éclairés pr la jour d'une seule croisée. réalisée par Behaguel, vendue par Varroc, achetée par Simon Le Crieur au prix de 111 fl. [95]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce charmant Tableau est une réduction de celui exposé au salon de cette année, sous le numéro 150. L'artiste dont a eu occasion d'y admirer les productions fécondes, a donné à celui-ci tous les soins imaginables dans l'exécution et l'entente du claur obscur. (M. Bouhot)|Ce charmant Tableau est une réduction de celui exposé au salon de cette année, sous le numéro 150. L'artiste dont a eu occasion d'y admirer les productions fécondes, a donné à celui-ci tous les soins imaginables dans l'exécution et l'entente du claur obscur.]] réalisée par M. Bouhot, vendue par Varroc, achetée par Varoc au prix de 600 fl. [96]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Villageois, homme et femme assis auprès de leur troupeau, semblent se reposer des fatigues du jour, à l'ombre de quelques arbres ; un ruisseau étroit alimenté par une fontaine, prête plus de fraîcheur encore au lieu qu'ils ont choisi ; l'ensemble de cette composition dont le paysage est roche et vrié, offre un heureux rapprochement avec celle de M. Demarne, dont M. Duval s'est souvent inspiré. On rencontre rarement de lui des ouvrages aussi capitaux et aussi soignés que celui-ci. (M. Duval)|Deux Villageois, homme et femme assis auprès de leur troupeau, semblent se reposer des fatigues du jour, à l'ombre de quelques arbres ; un ruisseau étroit alimenté par une fontaine, prête plus de fraîcheur encore au lieu qu'ils ont choisi ; l'ensemble de cette composition dont le paysage est roche et vrié, offre un heureux rapprochement avec celle de M. Demarne, dont M. Duval s'est souvent inspiré. On rencontre rarement de lui des ouvrages aussi capitaux et aussi soignés que celui-ci.]] réalisée par M. Duval, vendue par Varroc au prix de 190 fl. [97]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un bois traversé par un grand chemin, sur lequel on distingue dans l'éloignement des bergers conduisant leur troupeau ; à droite et sur le premier plan, un pâtre conduit d'autres bestiaux vers une mare d'eau ; le paysage est échaffé par un effet de soleil ardent qui indique le déclin du jour. (Bruandet)|Vue d'un bois traversé par un grand chemin, sur lequel on distingue dans l'éloignement des bergers conduisant leur troupeau ; à droite et sur le premier plan, un pâtre conduit d'autres bestiaux vers une mare d'eau ; le paysage est échaffé par un effet de soleil ardent qui indique le déclin du jour.]] réalisée par Bruandet, vendue par Varroc au prix de 321 fl. [98]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Site agreste et montueux, au bas duquel coule une rivière où deux jeunes filles s'amusent à pêcher. réalisée par Bruandet, vendue par Varroc au prix de 141 [ou] 142 fl. [99]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le site est celui d'une partie du bois de Boulogne ; un cavalier et une dame sont descendus et se reposent auprès d'une dune sabloneuse, tandis que le jockey garde leurs chevaux. Ce tableau capital du maître est d'une exécution si vraie qu'on peut le regarder comme une réduction de la nature. (Bruandet)|Le site est celui d'une partie du bois de Boulogne ; un cavalier et une dame sont descendus et se reposent auprès d'une dune sabloneuse, tandis que le jockey garde leurs chevaux. Ce tableau capital du maître est d'une exécution si vraie qu'on peut le regarder comme une réduction de la nature.]] réalisée par Bruandet, vendue par Varroc au prix de 321.5 fl. [100]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition du plus beau style, et offrant dans sa petite dimension tout ce qu'il est possible de réunir en monumens et fabriques de bon goût et de sage distribution. On distingue sur différens plans quelques figures et animaux parfaitement groupés ; le ton séduisant de cette belle production et son exécution préclusé confirment le jugement du public sur les ouvrages de M. Bidaut, et l'empressement des amateurs délicats à se les procurer en est chaque jour le preuve. (M. Bidaut)|Composition du plus beau style, et offrant dans sa petite dimension tout ce qu'il est possible de réunir en monumens et fabriques de bon goût et de sage distribution. On distingue sur différens plans quelques figures et animaux parfaitement groupés ; le ton séduisant de cette belle production et son exécution préclusé confirment le jugement du public sur les ouvrages de M. Bidaut, et l'empressement des amateurs délicats à se les procurer en est chaque jour le preuve.]] réalisée par M. Bidaut, vendue par Varroc. [101]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux autres jolis bijoux, représentant des sites d'Italie avec quelques figures er animaux. réalisée par M. Bertin, vendue par Varroc au prix de 185 fl. [102]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Charmant paysage dont la droite offre la vue extérieure d'un monastère, ombragé par deux beaux arbres, placés sur une butte auprès de laquelle sont des jeunes filles et un berger ; le devant des terains est garni de belles plantes, arrosées par une rivière qui tourne autour de cette habitation. Ainsi que dans les ouvrages des grands maîtres, on choisit quelquefois parmi ceux de M. Bertin, il serait difficile de trouver dns celui-ci une parti inférieur à l'autre, tant l'exécution est généralemtn bien rendue. (M. Bertin)|Charmant paysage dont la droite offre la vue extérieure d'un monastère, ombragé par deux beaux arbres, placés sur une butte auprès de laquelle sont des jeunes filles et un berger ; le devant des terains est garni de belles plantes, arrosées par une rivière qui tourne autour de cette habitation. Ainsi que dans les ouvrages des grands maîtres, on choisit quelquefois parmi ceux de M. Bertin, il serait difficile de trouver dns celui-ci une parti inférieur à l'autre, tant l'exécution est généralemtn bien rendue.]] réalisée par M. Bertin, vendue par Varroc. [103]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune fileuse reçoit d'une colombe le message qu'elle attendait avec impatience ; sa physionomie, quoique douce, laisse entrevoir une légère impression du plaisir qu'elle éprouve ; elle tend une main compaisante à son fidèle courrier, prêt à déposer sur ses genoux l'objet de ses plus tendres désirs. Voici encore une occasion qui, tout naturellement, doit donner matière à prodiguer à l'auteur les plus grands éloges, si nous n'étions arrétés par la crainte d'en fatiguer le lecteur ; mais il est facile de les abréger, en assimilant cette production précieuse aux précieuses productions de l'auteur du Calot, de Verf-Vert, et de plusieurs autres d'une admirable finesse d'exécution. (M. Laurent)|Une jeune fileuse reçoit d'une colombe le message qu'elle attendait avec impatience ; sa physionomie, quoique douce, laisse entrevoir une légère impression du plaisir qu'elle éprouve ; elle tend une main compaisante à son fidèle courrier, prêt à déposer sur ses genoux l'objet de ses plus tendres désirs. Voici encore une occasion qui, tout naturellement, doit donner matière à prodiguer à l'auteur les plus grands éloges, si nous n'étions arrétés par la crainte d'en fatiguer le lecteur ; mais il est facile de les abréger, en assimilant cette production précieuse aux précieuses productions de l'auteur du Calot, de Verf-Vert, et de plusieurs autres d'une admirable finesse d'exécution.]] réalisée par M. Laurent, vendue par Varroc. [104]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce n'est que depuis quatre à six ans environ que les ouvrages de M. Berée sont connus ; le salon de cette année n'en offre pas d'une dimension aussi capitale que celui-ci nous représente un intérieur d'étable à vaches où reposent quatre de ces animaux. Imitateur de la nature, M. Berrée marche sur les traces des Paul Potter, Cuyp, Campuysen, par la vigueur du coloris et l'extrème vérité avec laquelle il s'attache à rendre les choses, même les plus simples. (M. Berrée)|Ce n'est que depuis quatre à six ans environ que les ouvrages de M. Berée sont connus ; le salon de cette année n'en offre pas d'une dimension aussi capitale que celui-ci nous représente un intérieur d'étable à vaches où reposent quatre de ces animaux. Imitateur de la nature, M. Berrée marche sur les traces des Paul Potter, Cuyp, Campuysen, par la vigueur du coloris et l'extrème vérité avec laquelle il s'attache à rendre les choses, même les plus simples.]] réalisée par M. Berrée, vendue par Varroc. [105]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un des plus charmans paysages qui ait été exposé au salon de 1817, et l'un de ceux dont on ait le plus facilement conservé le souvenir. La vue est prise d'après nature et représente une partie du village de Ville d'Avray, du côte le plus proche de Versailles. Sur le milieu du chemin, on distingue quelques figures du villageois et plusieurs animaux qui le disputent de vérité au paysage pittoresque dans lequel les lumières habilement placés et les heureux reflets du soleil ont rendus de la manière la plus piquante. (L'Anglacé)|Un des plus charmans paysages qui ait été exposé au salon de 1817, et l'un de ceux dont on ait le plus facilement conservé le souvenir. La vue est prise d'après nature et représente une partie du village de Ville d'Avray, du côte le plus proche de Versailles. Sur le milieu du chemin, on distingue quelques figures du villageois et plusieurs animaux qui le disputent de vérité au paysage pittoresque dans lequel les lumières habilement placés et les heureux reflets du soleil ont rendus de la manière la plus piquante.]] réalisée par L'Anglacé, vendue par Varroc au prix de 298 fl. [106]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux vues des côtes de la Normandie ; les plages sont couvertes de pêcheurs, hommes, femmes, et enfans qui ramassent du poisson et des coquillages. On ne peut rien de plus piquant que ces deux jolis bijoux. réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc au prix de 299 95 fl. [107]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cinq personnages, dont quatre cavaliers et une dame sont réunis dans l'intérieur d'un corps-de-garde, et semblent se livrer à la gaité en mêlant leurs chants a ceux de leur aimable compagne. Ce groupe joyeux est environné de différens accessoires, tels que tapis, drapeaux, tambours, dont la richesse des détails le dispute à leurs ajustemens. Nous ne connaissons dans ce genre de M. Demarne, rien de plus fin ni de plus transparent, et qui soutienne aussi puissemment le parallèle avec les maîtres précieux de l'école Hollandaise. (M. Demarne)|Cinq personnages, dont quatre cavaliers et une dame sont réunis dans l'intérieur d'un corps-de-garde, et semblent se livrer à la gaité en mêlant leurs chants a ceux de leur aimable compagne. Ce groupe joyeux est environné de différens accessoires, tels que tapis, drapeaux, tambours, dont la richesse des détails le dispute à leurs ajustemens. Nous ne connaissons dans ce genre de M. Demarne, rien de plus fin ni de plus transparent, et qui soutienne aussi puissemment le parallèle avec les maîtres précieux de l'école Hollandaise.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc, achetée par Varroc au prix de 980 fl. [108]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre Tableau, qui peut également s'appeler l'abreuvoir ; des paysans y conduisent leur troupeau de vaches, chèvres et moutons ; il peut servir de pendant au précedent, et ne lui cède en rien pour la vérité et la belle exécution. réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc. [109]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre Paysage dont la vue semble prise d'après nature ; dans une prairie bordée de saules, un nombreux troupeau de vaches y paissent tranquillement, et se désaltèrent à une mare d'eau, tandis que les bergers qui les gardent se livrent aux plaisirs de leur âge ; une jeune fille ne craint point les dangers de la balançoire, et une autre en trayant sa vache est un peu distraite par les caresses d'un jeune villageois. C'est ainsi que chacune des composition de notre aimable paysagiste sont remplies d'un intérêt dont la variété n'exclut point l décence. (M. Demarne)|Un autre Paysage dont la vue semble prise d'après nature ; dans une prairie bordée de saules, un nombreux troupeau de vaches y paissent tranquillement, et se désaltèrent à une mare d'eau, tandis que les bergers qui les gardent se livrent aux plaisirs de leur âge ; une jeune fille ne craint point les dangers de la balançoire, et une autre en trayant sa vache est un peu distraite par les caresses d'un jeune villageois. C'est ainsi que chacune des composition de notre aimable paysagiste sont remplies d'un intérêt dont la variété n'exclut point l décence.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc au prix de 620 fl. [110]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les tableaux de cet artiste fécond portent, pour ainsi dire, leur nom, et c'est ainsi que l'on distingue chacun par le sujet qu'en forme la composition. Nous avons vu tour à tour celui connu sous le titre de la lecture de la Bible, un autre initulé le déjeûner des moissonneurs, le Père porté par ses enfans, la Foire de Guibray, celle de St.-Denis, la grande route, le canal, etc. ; celui-ci peut s'appeler l'abreuvoir, parc qu' à la gauche du tableau et un Ier plan, des jeunes filles y conduisent leurs bestiaux ; d'autres scènes ont un autre intérêt : près d'une hôtellerie arrive une charette où debarquent des voyageurs reçus par un bon paysan, et sous une porte placée à la partie droite, on distingue les dépendances d'une ferme. Chaque place de ce riant séjour offre une multitude de détails peints d'une manière brillante, et dont le plaisir qu'ils font éprouver en les voyant, est le plus bel éloge que l'on en puisse faire. (M. Demarne)|Les tableaux de cet artiste fécond portent, pour ainsi dire, leur nom, et c'est ainsi que l'on distingue chacun par le sujet qu'en forme la composition. Nous avons vu tour à tour celui connu sous le titre de la lecture de la Bible, un autre initulé le déjeûner des moissonneurs, le Père porté par ses enfans, la Foire de Guibray, celle de St.-Denis, la grande route, le canal, etc. ; celui-ci peut s'appeler l'abreuvoir, parc qu' à la gauche du tableau et un Ier plan, des jeunes filles y conduisent leurs bestiaux ; d'autres scènes ont un autre intérêt : près d'une hôtellerie arrive une charette où debarquent des voyageurs reçus par un bon paysan, et sous une porte placée à la partie droite, on distingue les dépendances d'une ferme. Chaque place de ce riant séjour offre une multitude de détails peints d'une manière brillante, et dont le plaisir qu'ils font éprouver en les voyant, est le plus bel éloge que l'on en puisse faire.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc au prix de 960 [ou] 970.50 fl. [111]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dont la diversité des plans offre une richesse de site des plus variés ; sur la droite, on apperçoit un rocher fort élevé d'où s'échappe un torrent qui alimente une rivière dont les eaux rafraîchissent les bois qui l'environnent. L droite présente une pelouse semée d'arbres qui pretent leur ombrage à de jeunes bergères occupées à parer de fleurs le dieu des champs ; des plantes et des gazons mêlés à des troncs d'arbres, rendent cette composition animée et fort peu différente en tout du tableau de cet artiste, placé à la galerie du Luxembourg. Je ne crois pas nécessaire de provoquer, par de nouveaux éloges, l'attention des amateurs ni des artistes sur le talent de M. Watelet ; les salons d'exposition de cette année, riches de ses plus belles productions, proclament assez hautement le rang qu'il tient parmi nos paysagistes, et malgré mon enthousiasme pour ses ouvrages et ma reconnaissance pour les consiles que ju reçois de lui sur la peinture, je craindrais que ma voix devint faible après celle d'un public impartial, et premier dispensateur des louanges méritées. (M. Watelet)|Paysage dont la diversité des plans offre une richesse de site des plus variés ; sur la droite, on apperçoit un rocher fort élevé d'où s'échappe un torrent qui alimente une rivière dont les eaux rafraîchissent les bois qui l'environnent. L droite présente une pelouse semée d'arbres qui pretent leur ombrage à de jeunes bergères occupées à parer de fleurs le dieu des champs ; des plantes et des gazons mêlés à des troncs d'arbres, rendent cette composition animée et fort peu différente en tout du tableau de cet artiste, placé à la galerie du Luxembourg. Je ne crois pas nécessaire de provoquer, par de nouveaux éloges, l'attention des amateurs ni des artistes sur le talent de M. Watelet ; les salons d'exposition de cette année, riches de ses plus belles productions, proclament assez hautement le rang qu'il tient parmi nos paysagistes, et malgré mon enthousiasme pour ses ouvrages et ma reconnaissance pour les consiles que ju reçois de lui sur la peinture, je craindrais que ma voix devint faible après celle d'un public impartial, et premier dispensateur des louanges méritées.]] réalisée par M. Watelet, vendue par Varroc, achetée par Varroc au prix de 510 fl. [112]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux vues des côtes de la Normandie ; les plages sont couvertes de pêcheurs, hommes, femmes, et enfans qui ramassent du poisson et des coquillages. On ne peut rien de plus piquant que ces deux jolis bijoux. réalisée par M. Demarne, vendue par Varroc au prix de 298 fl. [113]
- 1819.11.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux autres jolis bijoux, représentant des sites d'Italie avec quelques figures er animaux. réalisée par M. Bertin, vendue par Varroc au prix de 186 fl. [114]