Walter Mittelholzer

Walter Mittelholzer, sa vie

• 1894.04.02: Naissance de Walter Mittelholzer à Saint-Gall [1]
• 1917: Après avoir abandonné des études de chimie, Walter Mittelholzer entre dans l'aviation militaire dans laquelle il obtient son brevet de lieutenant-aviateur. Il se consacre cependant à la photographie aérienne.
• 1918: Walter Mittelholzer termine son instruction en tant que pilote militaire.
• 1919.11.05: Fondation de la société Comte, Mittelholzer & Co. avec son ami et aviateur Alfred Comte [2]. Pendant cette période, Mittelholzer photographie de magnifiques vues des Alpes [3] [4]
• 1920: Walter Mittelholzer devient premier lieutenant [5]
• 1921: Rachat de la société Comte, Mittelholzer & Co. par l'entreprise Ad-Astra Aero.
• 1925: Walter Mittelholzer devient un des directeurs et le chef de la photographie de la société Ad-Astra Aero.
• 1931: Nomination de Walter Mittelholzer aux postes de directeur technique et instructeur en chef de la compagnie aérienne nationale helvétique Swissair, devenue SWISS en 2002. [6] Fondation de la société Swissair Group AG [7] par laquelle Walter Mittelholzer diffuse ses photos aériennes au grand public.

Walter Mittelholzer, ses aventures

• 1922.03.10: Retour de Walter Mittelholzer de Milan au cours duquel il est bloqué dans les Alpes par un terrible ouragan, mais s'en sort vivant.

Walter Mittelholzer entreprit un voyage en 9 étapes sur le continent africain. Au cours de son aventure, il communiquait avec sa Suisse natale par le moyen de télégrammes et de lettres, ce qui a permis de retracer ses pas. [8]

• 1924.12.18: Walter Mittelholzer s'envole depuis Zurich, accompagné du mécanicien Bisegger, jusqu'à Pise, à bord d'un monoplan Junker [9]. Ce voyage de 500 km dura 3h40. Quatre heures de vol et 440 km plus tard, ils atterrissent à Naples. [10] Après Naples, Walter Mittelholzer et son compagnon de voyage se rendent à Brindisi, à 500 km de Naples.
• 1924.12.23: Après 700 km et 5h de vol en provenance de Naples, Walter Mittelholzer atterrit à Athènes. [11]. Malgré des difficultés diplomatiques, il est obligé de s'arrêter à Smyrne car il y avait envoyé un train d'atterrissage de rechange, nécessaire pour la continuation de son voyage.