Général Henri Guisan

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Biographie

Général Henri Guisan à Visp, 1942
  • 1893 / Lausanne. Etude de la théologie et du droit à l'université de Lausanne puis l'agronomie à l'école d'agriculture d'Ecully [3]
  • 1894 / Bière. Fais son école de recrue puis est promu lieutenant.[4]
  • 1908 / Puis il devient capitaine de l'état major général [6]
  • 1911 / Est Ensuite nommé major de l'état major général (EMG) [7]
  • 1916 / Berne. Devient Lieutenant-colonel EMG à la section Opérations à Berne [9]
  • 1919 / Berne. Il devient chef d'état-major de la 2e division et simultanément commandant du régiment d'infanterie 9, avec lequel il fit du service d'ordre à Zurich, [10]
  • 1932 / Il est nominé commandant de corps, favorisé le chef du Département militaire fédéral Rudolph Minger. Il fut d'abord à la tête du deuxième corps d'armée, germanophone, puis du premier, francophone. [11]
  • 1940 / Il ordonna une requête contre 124 officiers suspects de sympathies frontistes ou national-socialistes. [13]
  • 1940.25.07 / Il tient au Grütli un rapport d'armée concernant la stratégie du réduit national qui impliquait le repli du gros de l'armée dans le secteur alpin. Il la réalisa ensuite par étapes, à cause de l'opposition de plusieurs officiers généraux et de son souci de faire comprendre cette stratégie aux habitants du Plateau, sur lequel seuls des combats retardateurs auraient eu lieu. .[14]
  • 1943 / Suite à des propositions d'apaisement avec l'Allemagne proposée au Conseil fédéral qui ne portèrent pas leurs fruits, il accepta, en mars, de rencontrer le général SS Walter Schellenberg. [15]
  • 1944 / Il est nommé docteur honoris causa de l'Univesité de Bâle. [16]
  • 1945.20.08 / Demande au Conseil Fédéral de le décharger de ses responsabilités militaires suite à la fin de la guerre, il est donc ensuite mis à disposition. [17]
  • 1946 / Créé la fondation Henri Guisan, pour venir en aide financièrement aux militaires de tous grades qui, tombés malades ou victimes d’accident pendant le service militaire, n’ont pas récupéré leur pleine capacité de travail et qui ne sont plus, ne sont que partiellement ou pour des raisons diverses, n’ont jamais été secourus par des organisations existantes. [18]
  • 1960.07.04 / Décès de Henri Guisan à Pully, quelques 300'000 personnes, dont beaucoup de vétérans du service actif en uniforme, se massèrent sur le passage de son convoi funèbre afin de lui rendre hommage.[19]


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