Philippe Suchard

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  • -/ Berne. Il commence son apprentissage chez un confiseur où il découvre pour la première fois les mystères du monde du chocolat. [2]
  • -/ -. Il a également amené la navigation à vapeur sur le lac de Neuchâtel, puis il a sillonné le lac à bord de l'Industriel alors que sa femme Rose-Frédérique s'occupait de sa fabrique à Serrières. Aussi, il s'est lancé dans l'élevage de vers à soie, dans le premier projet de correction des eaux du Jura et il a même tenté d'exploiter une mine de de fer au nord de l'état de New-York. Cependant, ce dernier projet à été un echec pour l'entrepreneur qui dû retourner à l'industrie du chocolat. [6]
  • 1865.09.13/ Serrières. Membre du conseil des anciens de la paroisse, il a procuré une douce surprise à l'assemblée présente lors de la fête de Farel, en leur offrant du vin de Jerusalem qu'il s'était procuré lors de son voyage en Palestine qu'il venait tout juste de finir.[7]
  • -/ -. Suite à son séjour en Orient, il décide de constuire sa maison avec les coupoles dorées d'un minaret. Lors de cette période, il entame également des voyages en Afrique du nord et en Espagne.[8]
  • 1872/ -. Il entreprend un tour du monde en passant par l'Egypte, les colonies anglaises et hollandaises de l'Inde, la Chine, le Japon et la Californie à l'âge de 76 ans. [9]
  • 1876.03/ -. Il assure les ouvriers de sa fabrique de chocolat à la Société suisse d'assurance contre les accidents.[11][12]
  • 1876.06/ -. Il met en vente une jument alezan doré de 4 ans pour le prix de 2500 frs. [13]
  • -/ -. En attendant sa mort, il avait fait lui-même préparer sa propre pierre tumulaire où il a fait graver le passage biblique : << Les biens à la miséricorde de Dieu m'ont accompagné tous les jours de ma vie >>. [15]