Ventes d'œuvres le 1810.01.08

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  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau, de toute vérité, d'une grande finesse et d'une belle dimension, représente un jeune pâtre qui s'amuse à pêcher en gardant ses bestiaux dont il est entouré. Nous annonçons ce morceau comme de première classe et de grand prix. (Ad. Van de Velde)|Ce tableau, de toute vérité, d'une grande finesse et d'une belle dimension, représente un jeune pâtre qui s'amuse à pêcher en gardant ses bestiaux dont il est entouré. Nous annonçons ce morceau comme de première classe et de grand prix.]] réalisée par Ad. Van de Velde au prix de 300 fl. [2]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un personnage de caractère, vu à mi-corps, assis devant une table chargée de livres, et méditant sur quelque passage relatif aux sciences. Morceau d'une vérité frappante et d'une étonnante harmonie de clair obscur, qui justifie la célébrité de son auteur, et présente l'un des premiers disciples de Rembrandt. (Ph. de Koning)|Un personnage de caractère, vu à mi-corps, assis devant une table chargée de livres, et méditant sur quelque passage relatif aux sciences. Morceau d'une vérité frappante et d'une étonnante harmonie de clair obscur, qui justifie la célébrité de son auteur, et présente l'un des premiers disciples de Rembrandt.]] réalisée par Ph. de Koning. [3]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet d'une scène familière, offrant dans un intérieur une jeune dame hollandaise assise, ayant près d'elle le berceau de son enfant. Elle semble parler à une femme vêtue d'un large manteau de lit, bordé d'hermine. Un coup de soleil le plus puissant vient frapper sur la muraille, et détache tous les détails dans la plus savante demi-teinte. Cette admirable production est digne de rivaliser avec les plus beaux ouvrages de G. Metzu. (Pierre de Hooge)|Le sujet d'une scène familière, offrant dans un intérieur une jeune dame hollandaise assise, ayant près d'elle le berceau de son enfant. Elle semble parler à une femme vêtue d'un large manteau de lit, bordé d'hermine. Un coup de soleil le plus puissant vient frapper sur la muraille, et détache tous les détails dans la plus savante demi-teinte. Cette admirable production est digne de rivaliser avec les plus beaux ouvrages de G. Metzu.]] réalisée par Pierre de Hooge. [4]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trois personnages dans un appartement pavé de marbre, et occupés à faire de la musique. Les productions fort estimées de ce peintre amateur, sont de toute rareté. Celle-ci est d'un effet général un peu sérieux. (Voir ce que dit M. Le Brun de cet artiste, dans son ouvrage historique des peintres flamands et hollandais.) (Van der Meer de Delft)|Trois personnages dans un appartement pavé de marbre, et occupés à faire de la musique. Les productions fort estimées de ce peintre amateur, sont de toute rareté. Celle-ci est d'un effet général un peu sérieux. (Voir ce que dit M. Le Brun de cet artiste, dans son ouvrage historique des peintres flamands et hollandais.)]] réalisée par Van der Meer de Delft, vendue par Sauzay, achetée par Laneuville au prix de 131 fl. [46]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de cinq personnages devant la porte d'un cabaret pittoresque, offrant une scène de Napolitains de la classe du peuple. Etude d'un excellent goût de couleur et de touche, qui ne peut échapper à l'oeil de l'artiste et du connaisseur. (C. Dujardin)|Le sujet de cinq personnages devant la porte d'un cabaret pittoresque, offrant une scène de Napolitains de la classe du peuple. Etude d'un excellent goût de couleur et de touche, qui ne peut échapper à l'oeil de l'artiste et du connaisseur.]] réalisée par C. Dujardin, vendue par Sauzay, achetée par Paillet au prix de 150 fl. [47]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La rareté des ouvrages de ce grand artiste, peut donner du prix à celui que nous allons décrire, et qui nous est indiqué comme de son tems d'Italie. Il représente un site de ruines mêlées de paysages, avec lointain de montagnes dans la partie gauche. Tout le premier plan est couvert de personnages qui indiquent le costume napolitain, parmi lesquels on distingue dans le milieu un jeune garçon monté sur un cheval blanc. Nombre de détails font encore accessoire et richesse dans cet intéressant sujet. (C. Dujardin)|La rareté des ouvrages de ce grand artiste, peut donner du prix à celui que nous allons décrire, et qui nous est indiqué comme de son tems d'Italie. Il représente un site de ruines mêlées de paysages, avec lointain de montagnes dans la partie gauche. Tout le premier plan est couvert de personnages qui indiquent le costume napolitain, parmi lesquels on distingue dans le milieu un jeune garçon monté sur un cheval blanc. Nombre de détails font encore accessoire et richesse dans cet intéressant sujet.]] réalisée par C. Dujardin, vendue par Sauzay, achetée par Henry au prix de 485 fl. [48]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce petit tableau heureusement choisi comme échantillon du maître, représente un jeune marchand devant sa boutique, où sont exposés des cabillauds et différens autres poissons. A sa droite est encore un personnage qui lit les papiers nouvelles. (J. Victors)|Ce petit tableau heureusement choisi comme échantillon du maître, représente un jeune marchand devant sa boutique, où sont exposés des cabillauds et différens autres poissons. A sa droite est encore un personnage qui lit les papiers nouvelles.]] réalisée par J. Victors, vendue par Sauzay, achetée par Paillet au prix de 100 fl. [49]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'une chaumière pittoresque dans un fourré d'arbres, où l'on voit entr'autres personnages un paysan assis devant sa porte, et devant lui une femme qui semble lui demander l'aumône. La richesse de la couleur et le goût de l'exécution permettent de classer cet artiste au nombre des paysagistes du premier rang. (P. de Heer)|Le point de vue d'une chaumière pittoresque dans un fourré d'arbres, où l'on voit entr'autres personnages un paysan assis devant sa porte, et devant lui une femme qui semble lui demander l'aumône. La richesse de la couleur et le goût de l'exécution permettent de classer cet artiste au nombre des paysagistes du premier rang.]] réalisée par P. de Heer, vendue par Sauzay, achetée par Paillet au prix de 250 fl. [51]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Très-beau tableau de cet habile artiste, représentant un riche bouquet de fleurs groupées avec autant de grâce que l'exécution en est brillante. La Société des Amis des arts en avait fait l'acquisition pour en faire un des premiers lots de ses distributions. (M. Van Daël)|Très-beau tableau de cet habile artiste, représentant un riche bouquet de fleurs groupées avec autant de grâce que l'exécution en est brillante. La Société des Amis des arts en avait fait l'acquisition pour en faire un des premiers lots de ses distributions.]] réalisée par M. Van Daël, vendue par Sauzay, achetée par Laneuville au prix de 1209.95 fl. [68]
  • 1810.01.08/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux représentant Louis XIV aux époques les plus remarquables de son règne : celle où il déclara la guerre à la Hollande et en fit la conquête, en 1672. Dans le premier sujet ont sic voit ce monarque entouré de ses ministres, Louvois, Vivonne et Colbert, à qui il dicte ses volontés. Toute la partie droite est couverte de nombreux bataillons, et du côté opposé, une vaste étendue de mer couverte de vaisseaux de tous les rangs ; de ce même côté et sur un plan en avant, Madame de Montespan, alors favorite, reçoit des mains de l'Amour une couronne de laurier qui doit être le prix des grandes actions de son illustre amant. Le génie du peintre semble avoir réuni à la fois celui de poëte et d'historien, par un nombre de figures, toutes allégoriques, qui donnent à cette composition la dignité et la richesse qui appartenait à un sujet de si haute importance. Le second tableau, qui fait suite à ce premier, est le Congrès qui donna la paix à l'Europe, après sept années de guerre ; elle y fut signée en 1677, par les plénipotentiaires des puissances belligérantes. On y voit Louis XIV dans tout l'appareil de sa puissance, qui distribue à chacun d'eux le traité qu'il vient de signer. Madame de Montespan, encore présente à cet événement, se fait remarquer entre Colbert et Vivonne. Apollon, Minerve et la Renommée, terminent ingénieusement cette composition, ainsi qu'un arc de triomphe que l'on distingue sur la droite, et nombre de troupes qui semblent s'éloigner. Il n'est pas indifférent d'observer que tous les détails des fonds de ces deux tableaux, uniques dans leur genre, sont de la main de Van der Meulen, premier peintre de batailles de Louis XIV. Ils ont constamment appartenu à la famille des ducs de Valentinois. (Charles Le Brun)|Deux tableaux représentant Louis XIV aux époques les plus remarquables de son règne : celle où il déclara la guerre à la Hollande et en fit la conquête, en 1672. Dans le premier sujet ont sic voit ce monarque entouré de ses ministres, Louvois, Vivonne et Colbert, à qui il dicte ses volontés. Toute la partie droite est couverte de nombreux bataillons, et du côté opposé, une vaste étendue de mer couverte de vaisseaux de tous les rangs ; de ce même côté et sur un plan en avant, Madame de Montespan, alors favorite, reçoit des mains de l'Amour une couronne de laurier qui doit être le prix des grandes actions de son illustre amant. Le génie du peintre semble avoir réuni à la fois celui de poëte et d'historien, par un nombre de figures, toutes allégoriques, qui donnent à cette composition la dignité et la richesse qui appartenait à un sujet de si haute importance. Le second tableau, qui fait suite à ce premier, est le Congrès qui donna la paix à l'Europe, après sept années de guerre ; elle y fut signée en 1677, par les plénipotentiaires des puissances belligérantes. On y voit Louis XIV dans tout l'appareil de sa puissance, qui distribue à chacun d'eux le traité qu'il vient de signer. Madame de Montespan, encore présente à cet événement, se fait remarquer entre Colbert et Vivonne. Apollon, Minerve et la Renommée, terminent ingénieusement cette composition, ainsi qu'un arc de triomphe que l'on distingue sur la droite, et nombre de troupes qui semblent s'éloigner. Il n'est pas indifférent d'observer que tous les détails des fonds de ces deux tableaux, uniques dans leur genre, sont de la main de Van der Meulen, premier peintre de batailles de Louis XIV. Ils ont constamment appartenu à la famille des ducs de Valentinois.]] réalisée par Charles Le Brun, vendue par Sauzay, achetée par Lamoignon au prix de 1305 fl. [82]