Ventes d'œuvres le 1811.04.17

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  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait du Dante, vu de profil, vêtu de rouge, et couronné de lauriers. Il n'y a aucun doute que ce Tableau aura servi à Raphaël pour le placer dans son Parnasse. Cet ouvrage, l'un des premiers de la création de l'art, est du plus grand intérêt sous tous les rapports et pour le portrait qu'il offre et pour le peintre. (André Mantaigne)|Le portrait du Dante, vu de profil, vêtu de rouge, et couronné de lauriers. Il n'y a aucun doute que ce Tableau aura servi à Raphaël pour le placer dans son Parnasse. Cet ouvrage, l'un des premiers de la création de l'art, est du plus grand intérêt sous tous les rapports et pour le portrait qu'il offre et pour le peintre.]] réalisée par André Mantaigne, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Constantin au prix de 141 fl. [1]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Mère d'André del Sarto, peinte à mi-corps, vue debout, la tête couverte d'un voile léger de mousseline retombant en fichu ; elle est vêtue de noir, les bras croisés l'un sur l'autre, la main droite appuyée sur le bras gauche, tenant un livre à demi ouvert. Ce Tableau authentique de cet habile maître, offre des détails de première beauté, et a été exécuté dans sa plus grande force. Il sort de la Collection du palais Ricardi à Florence. (André del Sarto)|La Mère d'André del Sarto, peinte à mi-corps, vue debout, la tête couverte d'un voile léger de mousseline retombant en fichu ; elle est vêtue de noir, les bras croisés l'un sur l'autre, la main droite appuyée sur le bras gauche, tenant un livre à demi ouvert. Ce Tableau authentique de cet habile maître, offre des détails de première beauté, et a été exécuté dans sa plus grande force. Il sort de la Collection du palais Ricardi à Florence.]] réalisée par André del Sarto, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Henry au prix de 81 fl. [2]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une tête d'Homme, vu de trois quarts, éclairé de gauche ; il porte cheveux courts, moustaches et barbe ; son col est ceint d'un revers de chemise, et il est vêtu d'un habit noir. Ce Tableau, d'une étude savante et d'une riche couleur, mérite l'attention des amateurs du vrai beau. (Marc Titien)|Une tête d'Homme, vu de trois quarts, éclairé de gauche ; il porte cheveux courts, moustaches et barbe ; son col est ceint d'un revers de chemise, et il est vêtu d'un habit noir. Ce Tableau, d'une étude savante et d'une riche couleur, mérite l'attention des amateurs du vrai beau.]] réalisée par Marc Titien, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Le Prince D'Aremberg au prix de 20 fl. [4]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge, de proportion naturelle, vue jusqu'à mi-jambe, tenant dans son bras l'Enfant Jésus qu'elle regarde ; elle est environnée d'une couronne d'étoiles et d'une gloire lumineuse qui laisse apercevoir huit chérubins. Ce Tableau, de la belle couleur et de la touche facile et brillante de ce maître, est digne des premières collections. (Jacques Robusti, dit le Tintoret)|La Vierge, de proportion naturelle, vue jusqu'à mi-jambe, tenant dans son bras l'Enfant Jésus qu'elle regarde ; elle est environnée d'une couronne d'étoiles et d'une gloire lumineuse qui laisse apercevoir huit chérubins. Ce Tableau, de la belle couleur et de la touche facile et brillante de ce maître, est digne des premières collections.]] réalisée par Jacques Robusti, dit le Tintoret, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Brunot au prix de 96 fl. [5]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ attaché à la colonne et flagellé par deux bourreaux, tandis qu'au-dessus voltigent deux anges dans la plus profonde douleur ; l'un d'eux tient des balances, pour indiquer l'injustice des souffrances que le Christ endure. Ce précieux Tableau, exécuté sur pierre de touche qui en fait tout le fond, est d'une riche couleur et d'une belle exécution. (Alexandre Véronèse)|Le Christ attaché à la colonne et flagellé par deux bourreaux, tandis qu'au-dessus voltigent deux anges dans la plus profonde douleur ; l'un d'eux tient des balances, pour indiquer l'injustice des souffrances que le Christ endure. Ce précieux Tableau, exécuté sur pierre de touche qui en fait tout le fond, est d'une riche couleur et d'une belle exécution.]] réalisée par Alexandre Véronèse, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Coquille au prix de 455 fl. [6]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Buste d'un Vieillard vu de face, portant cheveux et barbe grise, vêtu d'un riche manteau de velours cramoisi, galonné d'or, portant devant la poitrine une plaque en or suspendue à une chaîne. Ce Tableau, dont la couleur et la vérité sont portés au plus haut degré de l'art, a été regardé par plusieurs personnes éclairée comme étant sortie du pinceau du Titien. (Piazetta)|Le Buste d'un Vieillard vu de face, portant cheveux et barbe grise, vêtu d'un riche manteau de velours cramoisi, galonné d'or, portant devant la poitrine une plaque en or suspendue à une chaîne. Ce Tableau, dont la couleur et la vérité sont portés au plus haut degré de l'art, a été regardé par plusieurs personnes éclairée comme étant sortie du pinceau du Titien.]] réalisée par Piazetta, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Le Prince D'Aremberg au prix de 141 fl. [8]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue du Palais de Capo di Monte, sur la route du Vésuve, que l'on voit élevé sur la gauche. Ce palais a depuis été considérablement augmenté ; les jardins ont aussi éprouvé des changemens, ce qui rend ce Tableau curieux. L'on y admire le ton fin et vrai de la nature, et la touche facile et spirituelle de cet habile maître. (J. Paul Panini)|La Vue du Palais de Capo di Monte, sur la route du Vésuve, que l'on voit élevé sur la gauche. Ce palais a depuis été considérablement augmenté ; les jardins ont aussi éprouvé des changemens, ce qui rend ce Tableau curieux. L'on y admire le ton fin et vrai de la nature, et la touche facile et spirituelle de cet habile maître.]] réalisée par J. Paul Panini, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Souyn au prix de 35 fl. [9]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérior d'une Chambre, où l'on voit trois hommes. L'un assis, vêtu de rouge, chante auprès d'un second assis, tenant un verre et un pot, tandis qu'un de bout, et le poing sur la hanche, semble l'é- couter. L'on connoît la rareté des vrais ouvrages de ce maître, et le cas qu'en faisoit Rubens. Celui-ci est de son bon faire. (Adrien Brauwer)|L'Intérior d'une Chambre, où l'on voit trois hommes. L'un assis, vêtu de rouge, chante auprès d'un second assis, tenant un verre et un pot, tandis qu'un de bout, et le poing sur la hanche, semble l'é- couter. L'on connoît la rareté des vrais ouvrages de ce maître, et le cas qu'en faisoit Rubens. Celui-ci est de son bon faire.]] réalisée par Adrien Brauwer, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Royer au prix de 39 fl. [11]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un Canal et d'un grand chemin de Flandre, où l'on voit différens groupes de voyageurs et ca- valiers ; sur la droite, est un village. Diverses barques de transport et de pêcheurs enrichissent ce joli Tableau, d'une touche spirituelle et d'une couleur transparente. (Michauld)|La vue d'un Canal et d'un grand chemin de Flandre, où l'on voit différens groupes de voyageurs et ca- valiers ; sur la droite, est un village. Diverses barques de transport et de pêcheurs enrichissent ce joli Tableau, d'une touche spirituelle et d'une couleur transparente.]] réalisée par Michauld, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Langlier au prix de 41 fl. [13]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un chemin, sur le devant duquel on observe un chien suivant la route, de l'autre côté de la- quelle est un puits à bascule, où une femme est occupée à tirer de l'eau, tandis qu'un homme la regarde. Des habitations de paysans, une meule de grains couverts ; plus loin, sur le chemin, une voiture que l'on charge, et sept divers personnages terminent ce Tableau, qui ne le cède pas au précédent. (Van Goyen 1635)|La vue d'un chemin, sur le devant duquel on observe un chien suivant la route, de l'autre côté de la- quelle est un puits à bascule, où une femme est occupée à tirer de l'eau, tandis qu'un homme la regarde. Des habitations de paysans, une meule de grains couverts ; plus loin, sur le chemin, une voiture que l'on charge, et sept divers personnages terminent ce Tableau, qui ne le cède pas au précédent.]] réalisée par Van Goyen 1635, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Seriot Je au prix de 81 fl. [14]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage d'une grande étendue, où l'on remarque un moulin à dessécher, quelques maisons de paysans et trois vaches sur le devant. Un Paysage d'une grande étendue, où l'on re- marque un moulin à dessecher, quelques maisons de paysans et de trois vaches sur le devant. (Molingue)|Un Paysage d'une grande étendue, où l'on remarque un moulin à dessécher, quelques maisons de paysans et trois vaches sur le devant. Un Paysage d'une grande étendue, où l'on re- marque un moulin à dessecher, quelques maisons de paysans et de trois vaches sur le devant.]] réalisée par Molingue, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Coisy au prix de 47.95 fl. [15]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Philosophe dans son cabinet, assis devant une table couverte d'un tapis rouge, sur laquelle sont des livres, une sphère terrestre et des cartes. Il tient de la main droite un compas, et la gauche est appuyée sur un grand livre. Ce Tableau qui tient de l'effet et de l'harmonie des ouvrages de Rembrandt ; en offre aussi la transparence et tout le charme. Il est à regretter que les ouvrages de ce maître soient si rares. (Maas)|Un Philosophe dans son cabinet, assis devant une table couverte d'un tapis rouge, sur laquelle sont des livres, une sphère terrestre et des cartes. Il tient de la main droite un compas, et la gauche est appuyée sur un grand livre. Ce Tableau qui tient de l'effet et de l'harmonie des ouvrages de Rembrandt ; en offre aussi la transparence et tout le charme. Il est à regretter que les ouvrages de ce maître soient si rares.]] réalisée par Maas, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Francillon au prix de 560 fl. [16]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Vue d'Eau prise dans les environs de l'Escaut ; à gauche, sur le devant, sont une masse de terre, et plusieurs masses d'arbres, près desquelles on voit dans une barque trois pêcheurs, et plus loin quelques petits vaisseaux à la voile. Ce Tableau, de ton blond et argentin, est aussi d'une touche vive et empâtée, telles ont été les premières productions de ce maître. (Albert Cuyp)|Une Vue d'Eau prise dans les environs de l'Escaut ; à gauche, sur le devant, sont une masse de terre, et plusieurs masses d'arbres, près desquelles on voit dans une barque trois pêcheurs, et plus loin quelques petits vaisseaux à la voile. Ce Tableau, de ton blond et argentin, est aussi d'une touche vive et empâtée, telles ont été les premières productions de ce maître.]] réalisée par Albert Cuyp, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Ducray au prix de 91 fl. [17]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage richement boisé, coupé de ravins et torrens tombant sur le devant en cascades ; sur la gauche et en devant, l'on voit un arbre arraché de son tronc ; plus sur la gauche, deux hommes dont un assis au pied d'un arbre. Sur un horizon lumineux, se détachent les arbres variés dont il est orné. Ce Tableau, d'une touche ferme, facile et brillante, est encore un de ces morceaux précieux que les artistes et les amateurs admirent. Il vient d'une vente faite à Amsterdam. (Jacques Ruysdaal)|Un Paysage richement boisé, coupé de ravins et torrens tombant sur le devant en cascades ; sur la gauche et en devant, l'on voit un arbre arraché de son tronc ; plus sur la gauche, deux hommes dont un assis au pied d'un arbre. Sur un horizon lumineux, se détachent les arbres variés dont il est orné. Ce Tableau, d'une touche ferme, facile et brillante, est encore un de ces morceaux précieux que les artistes et les amateurs admirent. Il vient d'une vente faite à Amsterdam.]] réalisée par Jacques Ruysdaal, vendue par [[[Lebrun]]] au prix de 1799.95 fl. [18]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue de la ville d'Amsterdam, en venant de la Haye, prise du côté de l'Amstell. L'on voit sur la gauche des prairies, des maisons, la rivière et la route. Ce Tableau de la plus grande vérité, offre aussi un coup de lumière qui frappe sur la ville, ce qui lui donne l'effet le plus piquant ; un ciel lumineux, ménagé avec art, le rend encore un des ouvrages marquans de ce maître. (Jacques Ruysdaal)|La Vue de la ville d'Amsterdam, en venant de la Haye, prise du côté de l'Amstell. L'on voit sur la gauche des prairies, des maisons, la rivière et la route. Ce Tableau de la plus grande vérité, offre aussi un coup de lumière qui frappe sur la ville, ce qui lui donne l'effet le plus piquant ; un ciel lumineux, ménagé avec art, le rend encore un des ouvrages marquans de ce maître.]] réalisée par Jacques Ruysdaal, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Laneuville pour Madame Thevenin au prix de 511 fl. [19]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'une des plus riches et des plus belles compositions que l'on puisse voir. Dans le milieu et sur la droite s'offre un groupe de gibier, tels qu'un chevreuil, un canard et divers oiseaux ; tout près est le marchand, occupé à vendre à une dame qui ordonne à sa suivante de payer ce qu'elle vient d'acheter. Plus loin sont différens cavaliers, valets de pied et autres personnages. Au pied d'un groupe mutilé de J. de Boulogne, représentant l'enlèvement d'une Sabine se détachant sur le tombeau de Plautius, qui se trouve au bas de Tivoli, l'on voit encore nombre de personnages sur un escalier, d'autres sous une treille, occupés à se refraîchir. un pont de plusieurs arches, une rivière et des lointains à perte de vue, remplissent toute la gauche du Tableau. Le devant est orné de plantes variées en fleurs, tandis que le côté droit est enrichi d'un superbe palais où l'on voit du monde sur les escaliers, et dans le bas un chien levrier. Ce Tableau, à juste titre regardé comme le plus capital et le plus connu, offre toutes les beautés de composition, de couleur et d'exécution. L'art y est porté à sa plus grande perfection. Il sort du cabinet de M. de Smeth, #. 118 du catalogue de sa vente. (J. B. Weeninx)|L'une des plus riches et des plus belles compositions que l'on puisse voir. Dans le milieu et sur la droite s'offre un groupe de gibier, tels qu'un chevreuil, un canard et divers oiseaux ; tout près est le marchand, occupé à vendre à une dame qui ordonne à sa suivante de payer ce qu'elle vient d'acheter. Plus loin sont différens cavaliers, valets de pied et autres personnages. Au pied d'un groupe mutilé de J. de Boulogne, représentant l'enlèvement d'une Sabine se détachant sur le tombeau de Plautius, qui se trouve au bas de Tivoli, l'on voit encore nombre de personnages sur un escalier, d'autres sous une treille, occupés à se refraîchir. un pont de plusieurs arches, une rivière et des lointains à perte de vue, remplissent toute la gauche du Tableau. Le devant est orné de plantes variées en fleurs, tandis que le côté droit est enrichi d'un superbe palais où l'on voit du monde sur les escaliers, et dans le bas un chien levrier. Ce Tableau, à juste titre regardé comme le plus capital et le plus connu, offre toutes les beautés de composition, de couleur et d'exécution. L'art y est porté à sa plus grande perfection. Il sort du cabinet de M. de Smeth, #. 118 du catalogue de sa vente.]] réalisée par J. B. Weeninx, vendue par [[[Lebrun]]] au prix de 6400 fl. [20]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Fête de village, grande composition de plus de 67 figures. On remarque sur le devant de la porte d'un principal cabaret, une danse de sept hommes et femmes. Ce Tableau capital, qui peut figurer honorablement dans les premiéres collections, à côté de ceux de Van Ostade, rappelle toutes les beautés de ce peintre, dont Dusart étoit l'élève. Il vient du cabinet de M. de Smeth, #. 28 du catalogue de sa vente. (Corneille Dusart)|Une Fête de village, grande composition de plus de 67 figures. On remarque sur le devant de la porte d'un principal cabaret, une danse de sept hommes et femmes. Ce Tableau capital, qui peut figurer honorablement dans les premiéres collections, à côté de ceux de Van Ostade, rappelle toutes les beautés de ce peintre, dont Dusart étoit l'élève. Il vient du cabinet de M. de Smeth, #. 28 du catalogue de sa vente.]] réalisée par Corneille Dusart, vendue par [[[Lebrun]]] au prix de 1345 fl. [21]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une Chambre, où l'on voit une jeune femme assise, travaillant à faire de la dentelle ; près de la gauche, une table couverte d'un tapis vert sur lequel est un pot de fleurs ; une carte accrochée dans le haut de l'appartement ; à terre et en devant, l'on voit une pantoufle et une paire de ciseaux. Ce Tableau, d'une grande finesse et de la plus grande vérité, sort du cabinet de M. Daniel de Jongh, de Rotterdam, #. 34 du catalogue de sa vente. (Pierre Van Slingelandt)|L'Intérieur d'une Chambre, où l'on voit une jeune femme assise, travaillant à faire de la dentelle ; près de la gauche, une table couverte d'un tapis vert sur lequel est un pot de fleurs ; une carte accrochée dans le haut de l'appartement ; à terre et en devant, l'on voit une pantoufle et une paire de ciseaux. Ce Tableau, d'une grande finesse et de la plus grande vérité, sort du cabinet de M. Daniel de Jongh, de Rotterdam, #. 34 du catalogue de sa vente.]] réalisée par Pierre Van Slingelandt, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Constantin au prix de 392 fl. [22]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage d'une grande fraîcheur, où l'on remarque à gauche une dune sabloneuse sur l'éminence de laquelle est un vieux chêne, les derrières vus en plan coupé, sont occupés par un bois d'où l'on voit sortir deux cavaliers et une femme à cheval, accompagnés d'un valet de chiens, lesquels poursuivent un cerf qui s'élance à la rivière qui s'étend sur le devant du Tableau. De vastes lointains terminent cette composition, qui est du faire le plus fin et le meilleur de ce maître. (Jean Vinantz)|Un Paysage d'une grande fraîcheur, où l'on remarque à gauche une dune sabloneuse sur l'éminence de laquelle est un vieux chêne, les derrières vus en plan coupé, sont occupés par un bois d'où l'on voit sortir deux cavaliers et une femme à cheval, accompagnés d'un valet de chiens, lesquels poursuivent un cerf qui s'élance à la rivière qui s'étend sur le devant du Tableau. De vastes lointains terminent cette composition, qui est du faire le plus fin et le meilleur de ce maître.]] réalisée par Jean Vinantz, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Coquille au prix de 495 fl. [23]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Mer agitée par un coup de vent. On remarque sur le devant un léger bâtiment, et dans le fond deux vaisseaux de guerre. Ce fin et précieux Tableau, de l'effet le plus piquant, est aussi de sa plus belle manière. Il vient de la collection de M. Daniel de Jongh, de Rotterdam, #. 32 du catalogue de sa vente. (Guillaume Vanden Velde)|Une Mer agitée par un coup de vent. On remarque sur le devant un léger bâtiment, et dans le fond deux vaisseaux de guerre. Ce fin et précieux Tableau, de l'effet le plus piquant, est aussi de sa plus belle manière. Il vient de la collection de M. Daniel de Jongh, de Rotterdam, #. 32 du catalogue de sa vente.]] réalisée par Guillaume Vanden Velde, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Coquille au prix de 700 fl. [24]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un vaste pays coupé de montagnes, enrichi de pont, de bâtimens, de masses d'arbres et de montagnes élevées les unes sur les autres. On voit sur le premier plan, une femme montée sur un âne, et deux pâtres debout près d'elle ; en plan coupé, un homme conduit son cheval chargé, vers un gué auprès duquel on voit deux ânes et deux personnages. Ce Tableau, exécuté en Italie, vient de la vente de M. de Smeth, #. 3 du catalogue. (Carle Dujardin)|La Vue d'un vaste pays coupé de montagnes, enrichi de pont, de bâtimens, de masses d'arbres et de montagnes élevées les unes sur les autres. On voit sur le premier plan, une femme montée sur un âne, et deux pâtres debout près d'elle ; en plan coupé, un homme conduit son cheval chargé, vers un gué auprès duquel on voit deux ânes et deux personnages. Ce Tableau, exécuté en Italie, vient de la vente de M. de Smeth, #. 3 du catalogue.]] réalisée par Carle Dujardin, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Royer au prix de 321 fl. [25]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'une Mer agitée, où l'on compte neuf différens bâtimens de gerre et autres, cherchant à se prémunir contre un gros temps qui semble s'élever. Ce tableau dont l'effet est des plus piquans, offre tout ce que l'on peut voir de plus fin pour l'exécution, et n'a de rival que la nature. Il provient de la collection de M. N. Seber, à Bâle, #. 924 du catalogue de sa vente. (Ludolphe Bakhuysen)|La Vue d'une Mer agitée, où l'on compte neuf différens bâtimens de gerre et autres, cherchant à se prémunir contre un gros temps qui semble s'élever. Ce tableau dont l'effet est des plus piquans, offre tout ce que l'on peut voir de plus fin pour l'exécution, et n'a de rival que la nature. Il provient de la collection de M. N. Seber, à Bâle, #. 924 du catalogue de sa vente.]] réalisée par Ludolphe Bakhuysen, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Jamard au prix de 725 fl. [26]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une Chambre, où l'on voit une jeune et jolie femme coiffée en cheveux plats et tombans, la poitrine et les épaules couvertes d'un schall noir, vêtue d'une robe, d'une jupe, et d'un tablier blancs ; elle est assise, vue jusqu'à mi-jambe, le regard baissé, et paroît indécise sur la carte qu'elle doit mettre sur un as qu'un cavalier placé devant elle, sur la droite, vient de jeter. La table est couverte d'un tapis de velours de couleur changeante. Ce tableau, l'un des plus séduisans que l'on puisse voir pour la finesse, le charme et l'harmonie, peut être classé au rang des plus précieux ouvrages de Metsu. Il vient de cabinet de M. Daniel de Jongh, de Rotterdam, #.29 du catalogue de sa vente. (Gabriel Metzu)|L'intérieur d'une Chambre, où l'on voit une jeune et jolie femme coiffée en cheveux plats et tombans, la poitrine et les épaules couvertes d'un schall noir, vêtue d'une robe, d'une jupe, et d'un tablier blancs ; elle est assise, vue jusqu'à mi-jambe, le regard baissé, et paroît indécise sur la carte qu'elle doit mettre sur un as qu'un cavalier placé devant elle, sur la droite, vient de jeter. La table est couverte d'un tapis de velours de couleur changeante. Ce tableau, l'un des plus séduisans que l'on puisse voir pour la finesse, le charme et l'harmonie, peut être classé au rang des plus précieux ouvrages de Metsu. Il vient de cabinet de M. Daniel de Jongh, de Rotterdam, #.29 du catalogue de sa vente.]] réalisée par Gabriel Metzu, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Desmarets au prix de 1449.95 fl. [27]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une Chambre éclairée par une croisée cintrée, à quatre compartimens. Le premier et le second plan de la partie gauche du Tableau sont occupés par beaucoup d'accessoires de tout genre, des fruits, des légumes et des ustensiles de ménage. Le troisième plan et le fond de la pièce représente une espèce de Turc assis devant une table couverte d'un tapis, ayant devant lui des livres, un sablier ; plus loin une sphère céleste bleaux peut être comparé aux plus beaux G. Dow, aux plus beaux Ostade, pour son harmonie, sa transparence et son admirable exécution. Les Tableaux de ce maître sont d'une telle rareté qu'à peine l'on peut s'en rappeler quelques-uns ; et les Hollandais les portant au plus grand prix, à peine en est-il sorti du pays. Nous n'avons pu faire graver ce maître dans notre ouvrage, faute d'avoir pu nous en procurer. (Coedyk)|L'Intérieur d'une Chambre éclairée par une croisée cintrée, à quatre compartimens. Le premier et le second plan de la partie gauche du Tableau sont occupés par beaucoup d'accessoires de tout genre, des fruits, des légumes et des ustensiles de ménage. Le troisième plan et le fond de la pièce représente une espèce de Turc assis devant une table couverte d'un tapis, ayant devant lui des livres, un sablier ; plus loin une sphère céleste bleaux peut être comparé aux plus beaux G. Dow, aux plus beaux Ostade, pour son harmonie, sa transparence et son admirable exécution. Les Tableaux de ce maître sont d'une telle rareté qu'à peine l'on peut s'en rappeler quelques-uns ; et les Hollandais les portant au plus grand prix, à peine en est-il sorti du pays. Nous n'avons pu faire graver ce maître dans notre ouvrage, faute d'avoir pu nous en procurer.]] réalisée par Coedyk, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Potrelle au prix de 482 fl. [28]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage richement boisé, offrant sur la gauche une grande étendue de pays. Ce maître, dont les ouvrages sont rares, a été un des peintres les plus habiles dans la manière avec laquelle il a su rendre la nature ; aussi trouvera-t on beaucoup de parties qui tiennent de Claude le Lorrain. Son feuillé varié comme la nature, est de la plus belle exécution. (Vander Hagen)|Un Paysage richement boisé, offrant sur la gauche une grande étendue de pays. Ce maître, dont les ouvrages sont rares, a été un des peintres les plus habiles dans la manière avec laquelle il a su rendre la nature ; aussi trouvera-t on beaucoup de parties qui tiennent de Claude le Lorrain. Son feuillé varié comme la nature, est de la plus belle exécution.]] réalisée par Vander Hagen, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Chariot au prix de 699.95 fl. [29]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Boulanger vu à mi-corps, sur l'appui du devant de sa boutique, sonnant de la corne pour avertir que les pains viennent d'être retirés du four. Il est vêtu en chemise, la tête couverte d'une calotte. Des pains sont étalés au dehors, et d'autres garnissent le fond de la boutique. Ce Tableau qui est d'un dessin très-correct, montre une expression parfaite. La chemise est drapée du meilleur goût, et l'effet et l'harmonie en sont parfaits. Nous ferons remarquer que les Tableaux de sce maître sont très rares à rencontrer, les deux frères ayant presque toujours peint ensemble. L'on connoôt de celui-ci, au Muséum, son Diogéne sur la place de Harlem ; satire du temps. (J.H. Berkeyden)|Un Boulanger vu à mi-corps, sur l'appui du devant de sa boutique, sonnant de la corne pour avertir que les pains viennent d'être retirés du four. Il est vêtu en chemise, la tête couverte d'une calotte. Des pains sont étalés au dehors, et d'autres garnissent le fond de la boutique. Ce Tableau qui est d'un dessin très-correct, montre une expression parfaite. La chemise est drapée du meilleur goût, et l'effet et l'harmonie en sont parfaits. Nous ferons remarquer que les Tableaux de sce maître sont très rares à rencontrer, les deux frères ayant presque toujours peint ensemble. L'on connoôt de celui-ci, au Muséum, son Diogéne sur la place de Harlem ; satire du temps.]] réalisée par J.H. Berkeyden, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Laneuville au prix de 84 fl. [30]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'une Femme, vue de trois quarts, la tête et le sein couverts l'une d'une bonnette, l'autre d'un fichu de mousseline ; elle est vêtue d'un juste au corps noir, et tient de sa main gauch : sa fille passée sous son bras droit ; le fond est occupé par un rideau ; le tout vu à travers une ouverture de croisée en pierre, de forme ovale. Nous prions les vrais amateurs d'étudier ce Tableau, par la rapprochement que l'on peut en faire avec les plus beaux de Scalken, son maître, Henri Devoës et le vieux Mieris. Ce maître, déjà gravé et cité par nous dans notre Galerie des Peintres flamands, &c., est de la plus grande rareté. Ce Tableau-ci provient du précieux cabinet de M. de Smeth, #. 22 du catalogue. (Otton Van Deuren. 1686.)|Le portrait d'une Femme, vue de trois quarts, la tête et le sein couverts l'une d'une bonnette, l'autre d'un fichu de mousseline ; elle est vêtue d'un juste au corps noir, et tient de sa main gauch : sa fille passée sous son bras droit ; le fond est occupé par un rideau ; le tout vu à travers une ouverture de croisée en pierre, de forme ovale. Nous prions les vrais amateurs d'étudier ce Tableau, par la rapprochement que l'on peut en faire avec les plus beaux de Scalken, son maître, Henri Devoës et le vieux Mieris. Ce maître, déjà gravé et cité par nous dans notre Galerie des Peintres flamands, &c., est de la plus grande rareté. Ce Tableau-ci provient du précieux cabinet de M. de Smeth, #. 22 du catalogue.]] réalisée par Otton Van Deuren. 1686., vendue par [[[Lebrun]]] au prix de 99.95 fl. [31]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une composition historique et singulière dans un paysage. On remarque à gauche une jeune fille assise auprès d'un arbre, ayant entre ses genoux un vieillard assis à terre, les bras croisés et les mains dans ses manches. Il porte une longue barbe et une toque brune ; tout son vêtement est de même couleur. Il semble regarder six jeunes gens richement vtus, deux par deux, de couleur jaune, rouge et pourpre, et formant une gradation d'âge. L'explication en cinq grands paragraphes se trouve au-dessous, en écriture probablement hollandaise ; on y admire cette belle couleur et cette grande vérité, qui fait le charme de l'art. (Jean Victor)|Une composition historique et singulière dans un paysage. On remarque à gauche une jeune fille assise auprès d'un arbre, ayant entre ses genoux un vieillard assis à terre, les bras croisés et les mains dans ses manches. Il porte une longue barbe et une toque brune ; tout son vêtement est de même couleur. Il semble regarder six jeunes gens richement vtus, deux par deux, de couleur jaune, rouge et pourpre, et formant une gradation d'âge. L'explication en cinq grands paragraphes se trouve au-dessous, en écriture probablement hollandaise ; on y admire cette belle couleur et cette grande vérité, qui fait le charme de l'art.]] réalisée par Jean Victor, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Laneuville au prix de 129.95 fl. [32]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des Habitations de paysans. Sur le devant de la principale, on remarque un puits à corde sur un tourniquet formé de vieux arbres morts ; un seau, un auge, des poules enrichissent le devant. Sur la gauche, sont une rivière, un pont et des masses d'arbres. Ce Tableau, l'un des plus beaux et des plus riches que l'on puisse voir, est d'une couleur et d'une harmonie des plus admirables. Il offre tout le piquant des beaux Ruysdaal et d'Isaac Ostade. (Deckert)|Des Habitations de paysans. Sur le devant de la principale, on remarque un puits à corde sur un tourniquet formé de vieux arbres morts ; un seau, un auge, des poules enrichissent le devant. Sur la gauche, sont une rivière, un pont et des masses d'arbres. Ce Tableau, l'un des plus beaux et des plus riches que l'on puisse voir, est d'une couleur et d'une harmonie des plus admirables. Il offre tout le piquant des beaux Ruysdaal et d'Isaac Ostade.]] réalisée par Deckert, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Perignon au prix de 423 fl. [33]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage richement orné de monumens et de fabriques. Le milieu du Tableau est occupé par un chemin bordé de monticules et de masses de broussailles. A droite et sur le devant, on voit un homme assis sur un petit monticule, et qui semble indiquer à un homme debout son chemin. Derrière eux, coule une rivière dans ses sinuosités. Ce Table clair et riche, est d'une exécution fine et délicate. (Francisque Millet)|Un Paysage richement orné de monumens et de fabriques. Le milieu du Tableau est occupé par un chemin bordé de monticules et de masses de broussailles. A droite et sur le devant, on voit un homme assis sur un petit monticule, et qui semble indiquer à un homme debout son chemin. Derrière eux, coule une rivière dans ses sinuosités. Ce Table clair et riche, est d'une exécution fine et délicate.]] réalisée par Francisque Millet, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Henry au prix de 120 fl. [34]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage éclairé par un soleil couchant. L'on remarque sur le devant un valet-de-pied et ses chiens. Il semble attendre un cavalier suivi de valets portant des faucons. A gauche est un pont de bois où passent deux ânes, dont un monté par une femme. De beaux arbres élevés et de beaux lointains terminent ce Tableau, dont les figures sont de Lingelbac. (Frédéric Moucheron)|Un Paysage éclairé par un soleil couchant. L'on remarque sur le devant un valet-de-pied et ses chiens. Il semble attendre un cavalier suivi de valets portant des faucons. A gauche est un pont de bois où passent deux ânes, dont un monté par une femme. De beaux arbres élevés et de beaux lointains terminent ce Tableau, dont les figures sont de Lingelbac.]] réalisée par Frédéric Moucheron, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Chariot au prix de 168 fl. [35]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage dont le point de vue est au bas de Tivoli. On y voit la rivière traversant des rochers couverts d'arbustes et tombant en cascade. Un ciel chaud éclaire une grande étendue de montagne. Sur le premier plan sont deux jeunes étudians, l'un occupé à dessiner, et l'autre le regardant. Ce Tableau est d'une belle couleur et d'une touche facile et spirituelle. (Jean Both)|Un Paysage dont le point de vue est au bas de Tivoli. On y voit la rivière traversant des rochers couverts d'arbustes et tombant en cascade. Un ciel chaud éclaire une grande étendue de montagne. Sur le premier plan sont deux jeunes étudians, l'un occupé à dessiner, et l'autre le regardant. Ce Tableau est d'une belle couleur et d'une touche facile et spirituelle.]] réalisée par Jean Both, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Desmarets au prix de 199.95 fl. [36]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le devant d'une Maison de Paysan, où l'on remarque un puits, et une femme tirant son seau de derrière un baquet ; des choux, des carottes, un pot au lait de cuivre jaune, une oie, deux canards, une roue de charrette, et autres accessoires ; sur la droite et en demi-teinte, un pâtre faisant rentrer un troupeau de sept bestiaux, composent ce Tableau, de l'effet le plus piquant, et où l'on retrouve toute l'harmonie de Rembrandt. (Saflevenne)|Le devant d'une Maison de Paysan, où l'on remarque un puits, et une femme tirant son seau de derrière un baquet ; des choux, des carottes, un pot au lait de cuivre jaune, une oie, deux canards, une roue de charrette, et autres accessoires ; sur la droite et en demi-teinte, un pâtre faisant rentrer un troupeau de sept bestiaux, composent ce Tableau, de l'effet le plus piquant, et où l'on retrouve toute l'harmonie de Rembrandt.]] réalisée par Saflevenne, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Potrelle au prix de 90 fl. [37]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un Canal au-delà duquel l'on voit les murailles d'un clos de jardin et maison, ainsi que les ruines d'une ancienne tour que baigne une rivière où l'on voit une barque chargée, conduite par deux hommes ; dans le fond, à gauche, sont une autre barque, et plusieurs bâtimens dont un surmonté d'un clocher. Ce beau Tableau, d'un effet et d'un goût exquis, est d'une transparence étonante, et de l'effet le plus piquant. (R. Devrys)|La Vue d'un Canal au-delà duquel l'on voit les murailles d'un clos de jardin et maison, ainsi que les ruines d'une ancienne tour que baigne une rivière où l'on voit une barque chargée, conduite par deux hommes ; dans le fond, à gauche, sont une autre barque, et plusieurs bâtimens dont un surmonté d'un clocher. Ce beau Tableau, d'un effet et d'un goût exquis, est d'une transparence étonante, et de l'effet le plus piquant.]] réalisée par R. Devrys, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Perignon au prix de 158 fl. [38]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue intérieure d'une Basse-Cour de campagne, remplie d'oies, de canards, de coqs, de poules et de pigeons. L'on remarque un homme qui descend un escalier, tenant un pigeon qu'il vient de prendre au colombier, et nombre d'accessoires tels que baquets, tonneaux, pots de cuivre, jatte de terre, &c. Un Paysage frais et riche termine ce Tableau très-amusant, et où la nature est rendue avec la plus grande vérité. Il est à remarquer que souvent les petits Tableaux de ce maître sont vendus pour des Winaniz de sa première manière. (Wyntrack)|La Vue intérieure d'une Basse-Cour de campagne, remplie d'oies, de canards, de coqs, de poules et de pigeons. L'on remarque un homme qui descend un escalier, tenant un pigeon qu'il vient de prendre au colombier, et nombre d'accessoires tels que baquets, tonneaux, pots de cuivre, jatte de terre, &c. Un Paysage frais et riche termine ce Tableau très-amusant, et où la nature est rendue avec la plus grande vérité. Il est à remarquer que souvent les petits Tableaux de ce maître sont vendus pour des Winaniz de sa première manière.]] réalisée par Wyntrack, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Paillet au prix de 116 fl. [40]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Paysages de plus parfaits connus de ce maître. L'un représente la vue d'un chemin, un homme qui conduit une brouette ; et en plan coupé, deux femmes chargées. A droite est une muraille élevée d'où tombent des arbustes, et que couronnent des masses d'arbres et une montagne lumineuse. Plus loin, est un bâtiment sur le haut d'une montagne et un petit lointain. L'autre offre au bas de grands rochers, l'habitation d'un hermite ; et sur la gauche une chute d'eau à travers des roches ; des masses de verdure et des montagnes terminent ce Tableau. Ils proviennent de la vente de M. Wille, graveur, où ils ont toujours été regardés comme de plus précieux sortis de ses mains. (C. G. E. Dietrici)|Deux Paysages de plus parfaits connus de ce maître. L'un représente la vue d'un chemin, un homme qui conduit une brouette ; et en plan coupé, deux femmes chargées. A droite est une muraille élevée d'où tombent des arbustes, et que couronnent des masses d'arbres et une montagne lumineuse. Plus loin, est un bâtiment sur le haut d'une montagne et un petit lointain. L'autre offre au bas de grands rochers, l'habitation d'un hermite ; et sur la gauche une chute d'eau à travers des roches ; des masses de verdure et des montagnes terminent ce Tableau. Ils proviennent de la vente de M. Wille, graveur, où ils ont toujours été regardés comme de plus précieux sortis de ses mains.]] réalisée par C. G. E. Dietrici, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Potrelle au prix de 1000 fl. [42]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ au tombeau, composition de huit figures. L'on y remarque les trois Maries, et S. Jean qui retire la couronne d'épine de dessus la tête du Sauveur. Ce trait provien de m. le chevalier d'Azara, qui recueillit tout ce qu'il put de cet habile artiste. (Mengs, trait au noir de Cologne, sur une toile blanche)|Le Christ au tombeau, composition de huit figures. L'on y remarque les trois Maries, et S. Jean qui retire la couronne d'épine de dessus la tête du Sauveur. Ce trait provien de m. le chevalier d'Azara, qui recueillit tout ce qu'il put de cet habile artiste.]] réalisée par Mengs, trait au noir de Cologne, sur une toile blanche, vendue par [[[Lebrun]]] au prix de 36 fl. [43]
  • 1811.04.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Prairie sur le devant de laquelle l'on voit une vache debout et quatre autres accroupies ; derrière elles sont un pâtre et une paysanne portant un panier sur sa tête ; sur une petite colline, à droite, s'offrent les restes d'un ancien édifice ; la gauche est occupée par un lointain de rivières et de pays. Un ton chaud éclaire ce Tableau qui ne le cède en rien pour l'excellence au précédent. (Jean Van Stry)|Une Prairie sur le devant de laquelle l'on voit une vache debout et quatre autres accroupies ; derrière elles sont un pâtre et une paysanne portant un panier sur sa tête ; sur une petite colline, à droite, s'offrent les restes d'un ancien édifice ; la gauche est occupée par un lointain de rivières et de pays. Un ton chaud éclaire ce Tableau qui ne le cède en rien pour l'excellence au précédent.]] réalisée par Jean Van Stry, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Laneuville au prix de 221 fl. [44]