Ventes d'œuvres le 1812.02.17

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  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Palais de la plus riche architecture, occupant la partie gauche du tableau qui est en opposition avec un lointain de mer et de riches monumens. On remarque le départ d'Hélène avec Pâris ; ils sont précédés de guerriers qui dirigent et protégent leur marche vers le bord de la mer, où ils sont attendus dans un bâtiment magnifiquement pavoisé. On aperçoit encore dans les airs l'Amour qui tient un flambeau et guide leurs pas. Ce tableau est, sans contredit, le plus beau que l'on puisse rencontrer de ces deux maîtres. Il provient du cabinet Conti, no. 137, et du cabinet de M. Petit Coupray-Dupré, no. (Le Salucie (connu sous le nom de Salviouse))|Un Palais de la plus riche architecture, occupant la partie gauche du tableau qui est en opposition avec un lointain de mer et de riches monumens. On remarque le départ d'Hélène avec Pâris ; ils sont précédés de guerriers qui dirigent et protégent leur marche vers le bord de la mer, où ils sont attendus dans un bâtiment magnifiquement pavoisé. On aperçoit encore dans les airs l'Amour qui tient un flambeau et guide leurs pas. Ce tableau est, sans contredit, le plus beau que l'on puisse rencontrer de ces deux maîtres. Il provient du cabinet Conti, no. 137, et du cabinet de M. Petit Coupray-Dupré, no.]] réalisée par Le Salucie (connu sous le nom de Salviouse), vendue par Lébe, achetée par Chaize au prix de 633 fl. [5]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune et jolie Femme qui vient d'écrire une lettre, tentant la poudrière de sa main gauche, et de la main droite sa plume. Elle est vêtue dans un ancien costume qui laisse voir la beauté de son cou et de ses épaules, d'où lui tombe une chaîne d'or. Une table couverte d'un tapis vert, un encrier, un couteau et un vase terminent ce tableau ; où l'on remarque une noblesse et une candeur admirable. Il est rare de trouver, parmi les maîtres du premier âge de l'art, une production aussi séduisante et aussi bien conservée. No. 53 de notre belle collection du 5 avril 1811 (Jean de Mabuse)|Une jeune et jolie Femme qui vient d'écrire une lettre, tentant la poudrière de sa main gauche, et de la main droite sa plume. Elle est vêtue dans un ancien costume qui laisse voir la beauté de son cou et de ses épaules, d'où lui tombe une chaîne d'or. Une table couverte d'un tapis vert, un encrier, un couteau et un vase terminent ce tableau ; où l'on remarque une noblesse et une candeur admirable. Il est rare de trouver, parmi les maîtres du premier âge de l'art, une production aussi séduisante et aussi bien conservée. No. 53 de notre belle collection du 5 avril 1811]] réalisée par Jean de Mabuse, vendue par Lébe, achetée par Constantin au prix de 321 fl. [9]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre Point de Vue, occupé à droite par un rocher surmonté de quelques ruines, servant de repoussoir à un lointain immense qui se perd dans l'horison : quelques jolies figures distribuées sur ces différens plans ajoutent encore à l'intérêt de ce tableau, que nous présentons, ainsi que le précédent, comme deux ouvrages faits pour fixer l'attention des connaisseurs, tant par la beauté des sites et la noblesse des figures, que par le charme de la couleur et le précieux de l'execution. Hauteur 9 p., largeur 12 p. B., ovales en travers. Ils proviennent du cabinet de M. Petit Coupray-Dupré (Bartholomé Bréenberg)|Un autre Point de Vue, occupé à droite par un rocher surmonté de quelques ruines, servant de repoussoir à un lointain immense qui se perd dans l'horison : quelques jolies figures distribuées sur ces différens plans ajoutent encore à l'intérêt de ce tableau, que nous présentons, ainsi que le précédent, comme deux ouvrages faits pour fixer l'attention des connaisseurs, tant par la beauté des sites et la noblesse des figures, que par le charme de la couleur et le précieux de l'execution. Hauteur 9 p., largeur 12 p. B., ovales en travers. Ils proviennent du cabinet de M. Petit Coupray-Dupré]] réalisée par Bartholomé Bréenberg, vendue par Lébe au prix de 600 fl. [13]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Site d'Italie traversé au milieu par une rivière où l'on voit un matelot conduisant à bord un bac pour y recevoir trois passagers, parmi lesquels on distingue une femme portant son enfant dans ses bras. Le fond offre, sur la gauche, les ruines d'un ancien monument en opposition avec un lointain de montagnes ...ovales en travers. Ils proviennent du cabinet de M. Petit Coupray-Dupré (Bartholomé Bréenberg)|Un Site d'Italie traversé au milieu par une rivière où l'on voit un matelot conduisant à bord un bac pour y recevoir trois passagers, parmi lesquels on distingue une femme portant son enfant dans ses bras. Le fond offre, sur la gauche, les ruines d'un ancien monument en opposition avec un lointain de montagnes ...ovales en travers. Ils proviennent du cabinet de M. Petit Coupray-Dupré]] réalisée par Bartholomé Bréenberg, vendue par Lébe au prix de 600 fl. [14]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur de la Chambre d'un chirurgien de village. On y voit le chirurgien agenouillé sur un billot, occupé à lever une emplâtre de dessus le pied d'un homme, tandis qu'une femme debout, les bras croisés, les regarde ; plus loin, à droite, un jeune garçon fait chauffer l'emplâtre qu'on prépare ; dans le fond, une porte entr'ouverte laisse voir un homme qui entre, appuyé sur ses béquilles. Ce tableau, de ton harmonieux, offre des expressions vraies et variées (David Téniers)|L'Intérieur de la Chambre d'un chirurgien de village. On y voit le chirurgien agenouillé sur un billot, occupé à lever une emplâtre de dessus le pied d'un homme, tandis qu'une femme debout, les bras croisés, les regarde ; plus loin, à droite, un jeune garçon fait chauffer l'emplâtre qu'on prépare ; dans le fond, une porte entr'ouverte laisse voir un homme qui entre, appuyé sur ses béquilles. Ce tableau, de ton harmonieux, offre des expressions vraies et variées]] réalisée par David Téniers, vendue par Lébe, achetée par Hazard au prix de 650 fl. [17]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une chambre de paysan où l'on voit une jeune fille debout, qui vient présenter un verre de vin à un paysan assis et qui la regarde en souriant, tandis qu'un autre se prépare à allumer sa pipe ; à gauche et sur le devant, on remarque le berceau d'un enfant ; plus loin, dans le fond, deux autres hommes, dont l'un est debout : divers autres accessoires enrichissent cette composition. Il est très-rare de trouver un tableau aussi parfait de ce maître, qui ne le cède en rien aux plus beaux ouvrages d'Adrien Van-Ostade. Il suffit de dire qu'il sort du cabinet de M. Desmeth et vient de notre vente du 5 avril 1811, no. 163 : il y fut vendu 939 fr. (Corneille Bega)|L'Intérieur d'une chambre de paysan où l'on voit une jeune fille debout, qui vient présenter un verre de vin à un paysan assis et qui la regarde en souriant, tandis qu'un autre se prépare à allumer sa pipe ; à gauche et sur le devant, on remarque le berceau d'un enfant ; plus loin, dans le fond, deux autres hommes, dont l'un est debout : divers autres accessoires enrichissent cette composition. Il est très-rare de trouver un tableau aussi parfait de ce maître, qui ne le cède en rien aux plus beaux ouvrages d'Adrien Van-Ostade. Il suffit de dire qu'il sort du cabinet de M. Desmeth et vient de notre vente du 5 avril 1811, no. 163 : il y fut vendu 939 fr.]] réalisée par Corneille Bega, vendue par Lébe, achetée par Jamard au prix de 860 [ou] 868 fl. [24]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Paysages des plus parfaits connus de ce maître ; l'un représente la vue d'un chemin, où l'on remarque, sur le devant, un homme qui conduit une vache ; sur un autre chemin, un homme qui conduit une brouette ; et l'autre offre, au bas de grands rochers, l'habitation d'un ermite (C.G.E. Dietrici)|Deux Paysages des plus parfaits connus de ce maître ; l'un représente la vue d'un chemin, où l'on remarque, sur le devant, un homme qui conduit une vache ; sur un autre chemin, un homme qui conduit une brouette ; et l'autre offre, au bas de grands rochers, l'habitation d'un ermite]] réalisée par C.G.E. Dietrici, vendue par Lébe, achetée par Hazard au prix de 1001.[ou] 1601 fl. [73]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Portrait d'une femme qu l'on dit être Madame de Montespan représenté en Vénus, et celui d'un enfant en amour, que l'on regarde comme le Duc de Bourgogne. Sa riche couleur et son précieux fini l'ont fait attribuer à Constantin Netscher (Detoy-Grandpère)|Le Portrait d'une femme qu l'on dit être Madame de Montespan représenté en Vénus, et celui d'un enfant en amour, que l'on regarde comme le Duc de Bourgogne. Sa riche couleur et son précieux fini l'ont fait attribuer à Constantin Netscher]] réalisée par Detoy-Grandpère, vendue par Lébe, achetée par Durocher au prix de 39.95 fl. [79]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage agreste traversé par la chute d'une rivière au pied de laquelle des femme se baignent et se disposent à se sauver d'un lion que l'on voit, de l'autre côté, sortir de dessous une voûte élevée de roches. Tableau vigoureux et d'un effet piquant (M. Bideau)|Un Paysage agreste traversé par la chute d'une rivière au pied de laquelle des femme se baignent et se disposent à se sauver d'un lion que l'on voit, de l'autre côté, sortir de dessous une voûte élevée de roches. Tableau vigoureux et d'un effet piquant]] réalisée par M. Bideau, vendue par Lébe, achetée par Constantin au prix de 125.5 fl. [83]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Pâtre vu par le dos, monté sur un cheval et conduisant des bestiaux ; deux autres pâtres conduisant d'autres troupeaux sur des montagnes, et fabriques enrichies. Cette composition est éclairée par un soleil couchant. Ce tableau provient de la vente de M. Silvestre (Ecole de Nicolas Berchem)|Un Pâtre vu par le dos, monté sur un cheval et conduisant des bestiaux ; deux autres pâtres conduisant d'autres troupeaux sur des montagnes, et fabriques enrichies. Cette composition est éclairée par un soleil couchant. Ce tableau provient de la vente de M. Silvestre]] réalisée par Ecole de Nicolas Berchem, vendue par Lébe, achetée par Hazard au prix de 400 fl. [91]
  • 1812.02.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage ouvert, éclairé par un soleil chaud. On remarque deux cavaliers, homme et femme, près d'une tente de Bohémiens, se faisant dire la bonne aventure. Ce tableau capital, d'une belle harmonie, a toujours été regardé comme d'Albert Cuyp (Par un Maître Hollandais)|Un Paysage ouvert, éclairé par un soleil chaud. On remarque deux cavaliers, homme et femme, près d'une tente de Bohémiens, se faisant dire la bonne aventure. Ce tableau capital, d'une belle harmonie, a toujours été regardé comme d'Albert Cuyp]] réalisée par Par un Maître Hollandais, vendue par Lébe, achetée par Constantin au prix de 160 fl. [92]