Ventes d'œuvres le 1812.03.30

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  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux enrichis de ruines, d'architecture et de sculpture. L'un offre Saint-Paul prêchant à Athènes. Composition de treize figures. L'autre représente Saint-Paul dans l'ile de Malte. Ces deux tableaux du beau faire de ce maître ne le cèdent en rien au précédent. (Jean-Paul Pannini)|Deux tableaux enrichis de ruines, d'architecture et de sculpture. L'un offre Saint-Paul prêchant à Athènes. Composition de treize figures. L'autre représente Saint-Paul dans l'ile de Malte. Ces deux tableaux du beau faire de ce maître ne le cèdent en rien au précédent.]] réalisée par Jean-Paul Pannini, vendue par Villers, achetée par Marcady au prix de 992 fl. [6]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage orné de rochers, de ruines où l'on voit, sur le devant, quatre jolies figures de femmes qui se disposent à entrer au bain. Ce tableau est de première classe de ce maître, par la finesse de son exécution, et sa riche composition. Sur bois à pans coupés du haut. (Corneille Poelinburg)|Un Paysage orné de rochers, de ruines où l'on voit, sur le devant, quatre jolies figures de femmes qui se disposent à entrer au bain. Ce tableau est de première classe de ce maître, par la finesse de son exécution, et sa riche composition. Sur bois à pans coupés du haut.]] réalisée par Corneille Poelinburg, vendue par Villers, achetée par Hazard au prix de 675 fl. [7]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les quatre Saisons, en quatre tableaux, savoir : le Printemps représenté par un jardinier portant un oranger ; plus loin, deux autres qui préparent un parterre. L'Été représenté par un jeune paysan vêtu en chemise, tenant devant lui une botte de paille ; plus loin, dans un champ de blé, l'on voit un homme tenant sa faucille, et une femme qui prépare les bottes. L'Automne représenté par un vigneron en gaieté, tenant un verre de vin, et une petit cruche ; sur la droite et dans le fond, quatre autres figures sont occupées à fouler le raisin dans la cuve, tandis que les autres rétablissent les tonneaux. L'Hiver représenté par un vieillard assis, vêtu de velours et fourrure, se chauffant sur un réchaud en terre cuite. On voit également une petite cruche et un verre ; le tout placé sur une table couverte d'un tapis. Sur la gauche, la vue d'un canal glacé où sont différens patineurs. Ces quatre tableaux, faits en même temps que l'Enfant prodigue du Musée Napoléon, sont de la plus belle manière, et ne laissent rien à desirer, soit pour l'esprit de la touche, soit pour le ton blond et argentin qui est si remarquable dans cet habile maître. Il se trouve gravé par le Bas. (David Teniers)|Les quatre Saisons, en quatre tableaux, savoir : le Printemps représenté par un jardinier portant un oranger ; plus loin, deux autres qui préparent un parterre. L'Été représenté par un jeune paysan vêtu en chemise, tenant devant lui une botte de paille ; plus loin, dans un champ de blé, l'on voit un homme tenant sa faucille, et une femme qui prépare les bottes. L'Automne représenté par un vigneron en gaieté, tenant un verre de vin, et une petit cruche ; sur la droite et dans le fond, quatre autres figures sont occupées à fouler le raisin dans la cuve, tandis que les autres rétablissent les tonneaux. L'Hiver représenté par un vieillard assis, vêtu de velours et fourrure, se chauffant sur un réchaud en terre cuite. On voit également une petite cruche et un verre ; le tout placé sur une table couverte d'un tapis. Sur la gauche, la vue d'un canal glacé où sont différens patineurs. Ces quatre tableaux, faits en même temps que l'Enfant prodigue du Musée Napoléon, sont de la plus belle manière, et ne laissent rien à desirer, soit pour l'esprit de la touche, soit pour le ton blond et argentin qui est si remarquable dans cet habile maître. Il se trouve gravé par le Bas.]] réalisée par David Teniers, vendue par Villers au prix de 1800 fl. [8]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une Ferme où l'on remarque un Pasteur qui semble indiquer à une femme assise, tenant sur elle un pot, l'endroit où il va conduire un nombreux troupeau de moutons. Sur la droite, une femme entrant avec une botte d'herbages sur la tête. Sur la gauche, une vache noire et blanche ; plus loin, une vieille femme, appuyée sur le bord d'une fenêtre, observe ce que l'on fait. Nombre accessoires enrichissent encore ce tableau capital ; nous avons à regretter que l'auteur l'ait fait dans un âge avancé. (David Teniers)|L'Intérieur d'une Ferme où l'on remarque un Pasteur qui semble indiquer à une femme assise, tenant sur elle un pot, l'endroit où il va conduire un nombreux troupeau de moutons. Sur la droite, une femme entrant avec une botte d'herbages sur la tête. Sur la gauche, une vache noire et blanche ; plus loin, une vieille femme, appuyée sur le bord d'une fenêtre, observe ce que l'on fait. Nombre accessoires enrichissent encore ce tableau capital ; nous avons à regretter que l'auteur l'ait fait dans un âge avancé.]] réalisée par David Teniers, vendue par Villers, achetée par Lebrun au prix de 500 fl. [9]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vaste Pays de la plus grande étendue, coupé de rivières et de différentes habitations. On y remarque, sur la droite, à la descente d'une montagne, un jeune pâtre jouant de son flageolet, précédant un troupeau de douze moutons et de deux vaches qu'un berger et un fermier dirigent. Ce tableau, exécuté dans le temps de la plus grande force de ces deux maîtres, doit être regardé comme un de leurs chefs-d'oeuvre. (Van Uden)|Un vaste Pays de la plus grande étendue, coupé de rivières et de différentes habitations. On y remarque, sur la droite, à la descente d'une montagne, un jeune pâtre jouant de son flageolet, précédant un troupeau de douze moutons et de deux vaches qu'un berger et un fermier dirigent. Ce tableau, exécuté dans le temps de la plus grande force de ces deux maîtres, doit être regardé comme un de leurs chefs-d'oeuvre.]] réalisée par Van Uden, vendue par Villers, achetée par Lebrun au prix de 600 fl. [10]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux représentant des intérieurs d'écurie ; dans l'un on voit un cheval blanc moucheté, attaché à sa longe devant son ratelier, et couvert d'une housse rouge ; et dans l'autre, un cheval noir, qu'un petit garçon, vêtu d'une veste rouge, tient par la bride. Ces deux jolis tableaux sont d'un effet piquant et du bon faire de ce maître. (Albert Kuyp)|Deux tableaux représentant des intérieurs d'écurie ; dans l'un on voit un cheval blanc moucheté, attaché à sa longe devant son ratelier, et couvert d'une housse rouge ; et dans l'autre, un cheval noir, qu'un petit garçon, vêtu d'une veste rouge, tient par la bride. Ces deux jolis tableaux sont d'un effet piquant et du bon faire de ce maître.]] réalisée par Albert Kuyp, vendue par Villers, achetée par Marthe au prix de 701 fl. [13]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vue des envirins de Harlem, où le premier plan est occupé par une dune sablonneuse ; plua loin, sur la gauche, diverses habitations de blanchisseuses qui s'étendent au loin ; sur la droite, des masses d'arbres, des maisons, et une grande église se détachent sur un ciel brillant. Ce joli tableau, où la nature est représentée avec un goût exquis, est aussi de l'exécution la plus fine et la plus parfaite de ce maître. (Jacques Ruysdall)|Une vue des envirins de Harlem, où le premier plan est occupé par une dune sablonneuse ; plua loin, sur la gauche, diverses habitations de blanchisseuses qui s'étendent au loin ; sur la droite, des masses d'arbres, des maisons, et une grande église se détachent sur un ciel brillant. Ce joli tableau, où la nature est représentée avec un goût exquis, est aussi de l'exécution la plus fine et la plus parfaite de ce maître.]] réalisée par Jacques Ruysdall, vendue par Villers, achetée par Constantin au prix de 1402 fl. [15]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Hiver où l'un remarque une rivière glacée, sur laquelle on voit trois figures ; à gauche, un homme monte pour aller traverser un pont de bois sur lequel sont une femme et un homme. La droite est occupée par plusieurs masures de paysans élevées le long d'un monticule. Joli tableau fin de ce maître. (Ph. Wouwermans)|Un Hiver où l'un remarque une rivière glacée, sur laquelle on voit trois figures ; à gauche, un homme monte pour aller traverser un pont de bois sur lequel sont une femme et un homme. La droite est occupée par plusieurs masures de paysans élevées le long d'un monticule. Joli tableau fin de ce maître.]] réalisée par Ph. Wouwermans, vendue par Villers, achetée par Laneuville au prix de 757 fl. [16]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant des ruines d'anciennes constructions l'on voit, sur le premier plan de ce tableau, un Laboureur rentrant avec sa charrue attelée d'un cheval blanc, et d'un brun sur lequel il est monté. Il est vu par le dos, et vêtu de rouge. Il est arrêté, et semble parler à une jeune paysanne, à qui paraît appartenir un âne placé près d'elle. L'on remarque aussi une chèvre et un chien, plus loin deux vaches ; l'une de face et l'autre par la croupe, sont à boire au milieu d'un gué. Plus loin, sous une voûte, quatre moutons à droite, au bas de plusieurs rochers, couronnés de feuillages ; un courant tombe en nappe d'eau. Ce précieux et fin tableau peut être regardé comme étant un des ouvrages le plus fin et le plus soigné de cet habile maître. (Nicolas Berghem)|Devant des ruines d'anciennes constructions l'on voit, sur le premier plan de ce tableau, un Laboureur rentrant avec sa charrue attelée d'un cheval blanc, et d'un brun sur lequel il est monté. Il est vu par le dos, et vêtu de rouge. Il est arrêté, et semble parler à une jeune paysanne, à qui paraît appartenir un âne placé près d'elle. L'on remarque aussi une chèvre et un chien, plus loin deux vaches ; l'une de face et l'autre par la croupe, sont à boire au milieu d'un gué. Plus loin, sous une voûte, quatre moutons à droite, au bas de plusieurs rochers, couronnés de feuillages ; un courant tombe en nappe d'eau. Ce précieux et fin tableau peut être regardé comme étant un des ouvrages le plus fin et le plus soigné de cet habile maître.]] réalisée par Nicolas Berghem, vendue par Villers, achetée par Rolland au prix de 3501 fl. [17]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Vue des environs de Naples. On voit, sur une haute montagne de belles Fabriques éclairées par le soleil, ainsi que sur un chemin qui serpente, où se trouvent plusieurs voyageurs dont un cavalier sur un cheval blanc. La gauche est occupé par une grande étendue de Montagnes d'un ton fin et digne de Claude le Lorrain. (Guillaume Deheusse)|Une Vue des environs de Naples. On voit, sur une haute montagne de belles Fabriques éclairées par le soleil, ainsi que sur un chemin qui serpente, où se trouvent plusieurs voyageurs dont un cavalier sur un cheval blanc. La gauche est occupé par une grande étendue de Montagnes d'un ton fin et digne de Claude le Lorrain.]] réalisée par Guillaume Deheusse, vendue par Villers. [21]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Porte d'une Auberge où l'on voit différens cavaliers arrêtés, les uns à cheval, les autres à pied, auxquels une femme, sortant de la maison, apporte des fruits ; sur la gauche, deux chiens dont un noir. Un paysage léger et un ciel chaud terminent ce tableau exécuté en Italie. (Carle Dujardin)|La Porte d'une Auberge où l'on voit différens cavaliers arrêtés, les uns à cheval, les autres à pied, auxquels une femme, sortant de la maison, apporte des fruits ; sur la gauche, deux chiens dont un noir. Un paysage léger et un ciel chaud terminent ce tableau exécuté en Italie.]] réalisée par Carle Dujardin, vendue par Villers, achetée par Marthe au prix de 184 fl. [22]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage où se voit, sur le premier plan, à gauche, une jeune Fileuse et un Pêcheur, se détachant sur une rivière, qui laisse un gué, sur la droite, que va traverser une femme et un enfant avec plusieurs chèvres et moutons ; le tout se dessus un monticule élevé, couvert d'arbres et d'arbustes. Un lointain montueux et un ciel brillant terminent ce joli tableau, que l'on n'a pas craint de signer J. Ruysdaal, par sa vigueur et son goût. (Verbomme)|Un Paysage où se voit, sur le premier plan, à gauche, une jeune Fileuse et un Pêcheur, se détachant sur une rivière, qui laisse un gué, sur la droite, que va traverser une femme et un enfant avec plusieurs chèvres et moutons ; le tout se dessus un monticule élevé, couvert d'arbres et d'arbustes. Un lointain montueux et un ciel brillant terminent ce joli tableau, que l'on n'a pas craint de signer J. Ruysdaal, par sa vigueur et son goût.]] réalisée par Verbomme, vendue par Villers, achetée par Royer au prix de 75 fl. [23]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux. L'un représente la Vue d'un Port où l'on voit un vaisseau au carénage ; l'autre, un Pâtre et une Femme conduisant leurs bestiaux à travers un gué pierreux ; sur la droite, des rochers que traverse un torrent. Des montagnes et fabriques terminent ce tableau éclairé au soleil couchant. (Loutherbourg)|Deux tableaux. L'un représente la Vue d'un Port où l'on voit un vaisseau au carénage ; l'autre, un Pâtre et une Femme conduisant leurs bestiaux à travers un gué pierreux ; sur la droite, des rochers que traverse un torrent. Des montagnes et fabriques terminent ce tableau éclairé au soleil couchant.]] réalisée par Loutherbourg, vendue par Villers, achetée par Lafontaine au prix de 400 fl. [27]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Marine éclairée au Soleil levant. La gauche est occupée par la vue d'une ville et des montagnes. Dans le milieu du tableau est un Fort pour assurer la rade ; plusieurs vaisseaux de guerre sur le devant, et sur le preumier plan un pêcheur à la ligne, et deux hommes debout qui semblent s'entretenir ; à droite est une masse de rochers élevés et couronnés d'arbres. Tous les amateurs savent que les productions de ce maître sont très-rares et très-recherchées. (Claude Gelée, dit Le Lorrain)|Une Marine éclairée au Soleil levant. La gauche est occupée par la vue d'une ville et des montagnes. Dans le milieu du tableau est un Fort pour assurer la rade ; plusieurs vaisseaux de guerre sur le devant, et sur le preumier plan un pêcheur à la ligne, et deux hommes debout qui semblent s'entretenir ; à droite est une masse de rochers élevés et couronnés d'arbres. Tous les amateurs savent que les productions de ce maître sont très-rares et très-recherchées.]] réalisée par Claude Gelée, dit Le Lorrain, vendue par Villers, achetée par Lebrun au prix de 1460 fl. [29]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage agreste, dans le genre des environs du château Saint-Ange, baigné par le Tibre. Sur le devant un homme et une femme conduisent un troupeau de bestiaux ; de belles fabriques, des mases d'arbres, et des montagnes élevées concourent à la richesse de ce tableau, que nous regardons comme tout ce que ce maître a produit de plus fin et de plus précieux. (Sébastien Bourdon)|Un Paysage agreste, dans le genre des environs du château Saint-Ange, baigné par le Tibre. Sur le devant un homme et une femme conduisent un troupeau de bestiaux ; de belles fabriques, des mases d'arbres, et des montagnes élevées concourent à la richesse de ce tableau, que nous regardons comme tout ce que ce maître a produit de plus fin et de plus précieux.]] réalisée par Sébastien Bourdon, vendue par Villers, achetée par Lebrun au prix de 600 fl. [31]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre Paysage avec fabriques et usines construites sur une rivière où l'on voit un pâtre qui vient faire boire ses bestiaux ; des masses des rochers et d'arbres, qui se détachent sur de hautes montagnes, terminent ce tableau, qui peut servir de pendant au précédent. (Sébastien Bourdon)|Un autre Paysage avec fabriques et usines construites sur une rivière où l'on voit un pâtre qui vient faire boire ses bestiaux ; des masses des rochers et d'arbres, qui se détachent sur de hautes montagnes, terminent ce tableau, qui peut servir de pendant au précédent.]] réalisée par Sébastien Bourdon, vendue par Villers, achetée par Lebrun au prix de 130 fl. [32]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apothéose de la Vierge ; belle composition de dix-neuf figures : projet d'une coupole. On connaît, pour les grandes machines, le rare talent de ce peintre célèbre, dont le plafond des Invalides sera toujours regardé comme un chef-d'oeuvre. (Charles de Lafosse)|L'Apothéose de la Vierge ; belle composition de dix-neuf figures : projet d'une coupole. On connaît, pour les grandes machines, le rare talent de ce peintre célèbre, dont le plafond des Invalides sera toujours regardé comme un chef-d'oeuvre.]] réalisée par Charles de Lafosse, vendue par Villers, achetée par Lebrun au prix de 240 fl. [34]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux charmantes Esquisses arrêtées, sujets tirés du Premier Navigateur : l'une représente au moment qu'il arrive guidé par l'Amour, et entrant dans la chambre de deux femmes, dont une jeune fille ; l'autre le représente avec la jeune fille qu'il amène vers sa barque, que dirigent quatre petits Amours. En voyant cette charmante production, on ne peut que regretter la perte trop précoce de cet artiste estimable, qui était destiné à figurer avec honneur dans la belle Ecole Française. (Gauffier)|Deux charmantes Esquisses arrêtées, sujets tirés du Premier Navigateur : l'une représente au moment qu'il arrive guidé par l'Amour, et entrant dans la chambre de deux femmes, dont une jeune fille ; l'autre le représente avec la jeune fille qu'il amène vers sa barque, que dirigent quatre petits Amours. En voyant cette charmante production, on ne peut que regretter la perte trop précoce de cet artiste estimable, qui était destiné à figurer avec honneur dans la belle Ecole Française.]] réalisée par Gauffier, vendue par Villers, achetée par Chaise au prix de 206 fl. [37]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Paysages de forme ronde ; l'un offre une grande chûte d'eau qui forme plusieurs iles ; sur le devant, deux pêcheurs regardent leurs poissons ; l'autre offre un pâtre gardant plusieurs bestiaux ; plus loin, une rivière, des arbres élevés, et de hautes montagnes. Un ton fin et une couleur piquante s'y font admirer. (M. Bidau)|Deux Paysages de forme ronde ; l'un offre une grande chûte d'eau qui forme plusieurs iles ; sur le devant, deux pêcheurs regardent leurs poissons ; l'autre offre un pâtre gardant plusieurs bestiaux ; plus loin, une rivière, des arbres élevés, et de hautes montagnes. Un ton fin et une couleur piquante s'y font admirer.]] réalisée par M. Bidau, vendue par Villers, achetée par Brisebare au prix de 301 fl. [38]
  • 1812.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Femme blonde, assise sur le banc d'un balcon, et appuyée du bras droit sur une balustrade, où se trouve un vase rempli de marguerites ; elle en tient de la main gauche. Cette figure, de grandeur naturelle, vue jusqu'au-dessus des genoux, est vêtue de blanc et d'un schall. Ce tableau, dont la composition est neuve, le dessin correct, et l'effet très-piquant, est aussi d'un pinceau moëlleux. Il a obtenu de justes éloges lors de son exposition au Salon, et classe madame Villers au rang des artistes distinguées de l'École Française. (Mme Villers)|Une jeune Femme blonde, assise sur le banc d'un balcon, et appuyée du bras droit sur une balustrade, où se trouve un vase rempli de marguerites ; elle en tient de la main gauche. Cette figure, de grandeur naturelle, vue jusqu'au-dessus des genoux, est vêtue de blanc et d'un schall. Ce tableau, dont la composition est neuve, le dessin correct, et l'effet très-piquant, est aussi d'un pinceau moëlleux. Il a obtenu de justes éloges lors de son exposition au Salon, et classe madame Villers au rang des artistes distinguées de l'École Française.]] réalisée par Mme Villers, vendue par Villers, achetée par Lebrun au prix de 540 fl. [40]