Ventes d'œuvres le 1813.03.31

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  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux sujets religieux : l'un représente le Christ entouré d'anges ; et l'autre la Vierge, également environnée. Ces deux tableaux sont d'un peintre qui jouit d'une grande réputation en Espagne, où il s'est distingué également dans la peinture, la sculpture et l'architecture. (Alonzo Cano)|Deux sujets religieux : l'un représente le Christ entouré d'anges ; et l'autre la Vierge, également environnée. Ces deux tableaux sont d'un peintre qui jouit d'une grande réputation en Espagne, où il s'est distingué également dans la peinture, la sculpture et l'architecture.]] réalisée par Alonzo Cano, vendue par Billaudel, achetée par Barrois au prix de 53 fl. [9]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux sujets religieux : l'un représente le Christ entouré d'anges ; et l'autre la Vierge, également environnée. Ces deux tableaux sont d'un peintre qui jouit d'une grande réputation en Espagne, où il s'est distingué également dans la peinture, la sculpture et l'architecture. (Alonzo Cano)|Deux sujets religieux : l'un représente le Christ entouré d'anges ; et l'autre la Vierge, également environnée. Ces deux tableaux sont d'un peintre qui jouit d'une grande réputation en Espagne, où il s'est distingué également dans la peinture, la sculpture et l'architecture.]] réalisée par Alonzo Cano, vendue par Billaudel, achetée par Barrois au prix de 53 fl. [10]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur des dunes qui bordent le rivage de la mer, on voit une grande quantité de personnages qui sont attirés par la vue d'un énorme poisson qui vient de s'éschouer ; à gauche et au pied d'une hauteur sur laquelle on aperçoit Scheweningen, des tentes sont dressées pour la commodité des spectateurs ; plusieurs d'entr'eux sont à cheval, et d'autres en chariot. On montre encore aujourd'hui dans l'église de Scheweningen, près de la Haue, de monstrueux ossements d'une baleine qui y échoua du vivant de Beelt, et cet artiste a sans doute voulu nous retracer dans son tableau cet événement extraordinaire. La vérité des figures est frappante ; leur mouvement naturel, la variété des costumes, sont les caractères remarquables de cette scène prise d'après nature. (Beelt (C.))|Sur des dunes qui bordent le rivage de la mer, on voit une grande quantité de personnages qui sont attirés par la vue d'un énorme poisson qui vient de s'éschouer ; à gauche et au pied d'une hauteur sur laquelle on aperçoit Scheweningen, des tentes sont dressées pour la commodité des spectateurs ; plusieurs d'entr'eux sont à cheval, et d'autres en chariot. On montre encore aujourd'hui dans l'église de Scheweningen, près de la Haue, de monstrueux ossements d'une baleine qui y échoua du vivant de Beelt, et cet artiste a sans doute voulu nous retracer dans son tableau cet événement extraordinaire. La vérité des figures est frappante ; leur mouvement naturel, la variété des costumes, sont les caractères remarquables de cette scène prise d'après nature.]] réalisée par Beelt (C.), vendue par Billaudel, achetée par Laneuville au prix de 126 fl. [11]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un naufrage. Plusieurs navires sont jetés sur des rochers qui bordent la côte. L'un d'eux vient de s'échouer sur un roc ; des mastelots s'accrochent aux cordages, tandis que d'autres viennent de se précipiter dans les eaux et tâchent de gagner le rivage. Les eaux sont touchées avec une grande vérité ; l'harmonie qui existe dans ce tableau complète l'illusion de cette scène effrayante. (Beerstraaten)|Un naufrage. Plusieurs navires sont jetés sur des rochers qui bordent la côte. L'un d'eux vient de s'échouer sur un roc ; des mastelots s'accrochent aux cordages, tandis que d'autres viennent de se précipiter dans les eaux et tâchent de gagner le rivage. Les eaux sont touchées avec une grande vérité ; l'harmonie qui existe dans ce tableau complète l'illusion de cette scène effrayante.]] réalisée par Beerstraaten, vendue par Billaudel, achetée par Martin au prix de 61.5 fl. [12]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Venise, représentant un canal couvert d'une infinité de barques de différentes grandeurs, dont la partie droite offre la ville en perspective, et la gauche de beaux édifices. Ce morceau, d'un effet piquant, est d'une vérité surprenante. (Canaletti)|Vue de Venise, représentant un canal couvert d'une infinité de barques de différentes grandeurs, dont la partie droite offre la ville en perspective, et la gauche de beaux édifices. Ce morceau, d'un effet piquant, est d'une vérité surprenante.]] réalisée par Canaletti, vendue par Billaudel, achetée par Laneuville au prix de 125 fl. [13]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet historique tiré de l'Ecriture Sainte, composé de trois figures vues à mi-corps et de proportion plus forte que nature. Le berger David tenant de ses deux mains la tête de géant Goliath, la présente à Saül. Le roi paraît recevoir cette offrande avec surprise et dans une attitude dédaigneuse ; un troisième personnage est dans la demi-teinte. Ce morceau, traité dans le genre grandiose, est d'un caractère imposant ; la pureté du dessin, la fraîcheur du coloris, l'expression noble et vigoureuse des personnages, distinguent éminemment cette belle production. Les amateurs y sauront reconnaître le beau faire d'un des plus grands maîtres de l'école italienne. (Cagliari, dit Paul Véronèse)|Sujet historique tiré de l'Ecriture Sainte, composé de trois figures vues à mi-corps et de proportion plus forte que nature. Le berger David tenant de ses deux mains la tête de géant Goliath, la présente à Saül. Le roi paraît recevoir cette offrande avec surprise et dans une attitude dédaigneuse ; un troisième personnage est dans la demi-teinte. Ce morceau, traité dans le genre grandiose, est d'un caractère imposant ; la pureté du dessin, la fraîcheur du coloris, l'expression noble et vigoureuse des personnages, distinguent éminemment cette belle production. Les amateurs y sauront reconnaître le beau faire d'un des plus grands maîtres de l'école italienne.]] réalisée par Cagliari, dit Paul Véronèse, vendue par Billaudel. [15]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site sauvage et d'un effet pittoresque. On remarque deux ermites en prière, dont l'un est à genoux devant un crucifix sur une roche couronnée d'arbres. On trouve dans cette étude, faite d'après nature, une fermeté extraordinaire, jointe à un pinceau facile ; ce qui la fera particulièrement distinguer des artistes. (Dietrick (C. W.))|Site sauvage et d'un effet pittoresque. On remarque deux ermites en prière, dont l'un est à genoux devant un crucifix sur une roche couronnée d'arbres. On trouve dans cette étude, faite d'après nature, une fermeté extraordinaire, jointe à un pinceau facile ; ce qui la fera particulièrement distinguer des artistes.]] réalisée par Dietrick (C. W.), vendue par Billaudel, achetée par Laneuville au prix de 159 fl. [16]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition aimable et d'un beau coloris, représentant une allégorie à la Paix. Des guerriers sont enchaînés sous les attributs de Mars ; la Victoire couronne la Paix, environnée de déesses qui répandent l'abondance ; des Amours se jouent autour d'elle, et Mercure, le dieu des arts et de l'industrie, les accompagne. (Diepinbeek)|Composition aimable et d'un beau coloris, représentant une allégorie à la Paix. Des guerriers sont enchaînés sous les attributs de Mars ; la Victoire couronne la Paix, environnée de déesses qui répandent l'abondance ; des Amours se jouent autour d'elle, et Mercure, le dieu des arts et de l'industrie, les accompagne.]] réalisée par Diepinbeek, vendue par Billaudel, achetée par Laneuville au prix de 50 fl. [17]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage d'une nature agreste et sauvage. Une masse énorme de rochers groupés les uns sur les autres, laisse entrevoir dans un fond une chaumière ; deux voyageurs sont prêts de s'y rendre : deux eaux jaillissantes sortant des fentes des rochers viennent se briser au pied, en bouillonnant, et se réunissent pour former un canal. Sur la gauche, deux grands arbres d'un feuiller piquant et d'une touche ferme présentent une rare imitation de la nature ; quelques figures distribuées sur le premier plan et une grande variété d'accessoires ajoutent au mérite de cette charmante production. (Everdingen (A.))|Paysage d'une nature agreste et sauvage. Une masse énorme de rochers groupés les uns sur les autres, laisse entrevoir dans un fond une chaumière ; deux voyageurs sont prêts de s'y rendre : deux eaux jaillissantes sortant des fentes des rochers viennent se briser au pied, en bouillonnant, et se réunissent pour former un canal. Sur la gauche, deux grands arbres d'un feuiller piquant et d'une touche ferme présentent une rare imitation de la nature ; quelques figures distribuées sur le premier plan et une grande variété d'accessoires ajoutent au mérite de cette charmante production.]] réalisée par Everdingen (A.), vendue par Billaudel, achetée par Hazard au prix de 94 fl. [18]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Belle esquisse représentant un maître d'école faisant écrire quatre élèves sous sa dictée. L'expression frappante de vérité dans la pose des figures, la disposition des demi-teintes, la grande liberté dans la touche, et la brillante opposition des couleurs caractérisent l'école du plus grand maître des peintres hollandais. Flinck a si bien imité la manière de Rembrandt, qu'on pourrait facilement attribuer à ce dernier cette composition. (Flinck)|Belle esquisse représentant un maître d'école faisant écrire quatre élèves sous sa dictée. L'expression frappante de vérité dans la pose des figures, la disposition des demi-teintes, la grande liberté dans la touche, et la brillante opposition des couleurs caractérisent l'école du plus grand maître des peintres hollandais. Flinck a si bien imité la manière de Rembrandt, qu'on pourrait facilement attribuer à ce dernier cette composition.]] réalisée par Flinck, vendue par Billaudel, achetée par Laneuville au prix de 119 fl. [19]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une belle étude de chevaux faite d'après nature. Un paysan garde des chevaux dans une prairie auprès d'une rivière, traversée par un pont, et sur lequel est un chariot attelé. L'horizon est couronné de hautes montagnes surmontées de fabriques. La couleur brillante, la facilité avec laquelle les chevaux sont touches, le ciel disposé avec art et d'un ton vrai, donnent une idée avantageuse de cet artiste qui jouit d'une grande réputation en Hollande. Les tableaux de ce maître sont très peu connus en France. (Huchtenburg (Jean))|Une belle étude de chevaux faite d'après nature. Un paysan garde des chevaux dans une prairie auprès d'une rivière, traversée par un pont, et sur lequel est un chariot attelé. L'horizon est couronné de hautes montagnes surmontées de fabriques. La couleur brillante, la facilité avec laquelle les chevaux sont touches, le ciel disposé avec art et d'un ton vrai, donnent une idée avantageuse de cet artiste qui jouit d'une grande réputation en Hollande. Les tableaux de ce maître sont très peu connus en France.]] réalisée par Huchtenburg (Jean), vendue par Billaudel, achetée par Desmoris au prix de 150 fl. [20]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de la porte d'une ville de Hollande. On aperçoit un pont sur le canal, et auprès promenade ornée d'habitations. Divers détails, tels que figures et animaux d'un fini précieux, animent ce joli sujet. Les eaux éclairées par un ciel vaporeux sont naturelles, et l'ensemble forme une imitation vraie et fidèle du site que cet artiste a voulu représenter. (Janson (J.))|Vue de la porte d'une ville de Hollande. On aperçoit un pont sur le canal, et auprès promenade ornée d'habitations. Divers détails, tels que figures et animaux d'un fini précieux, animent ce joli sujet. Les eaux éclairées par un ciel vaporeux sont naturelles, et l'ensemble forme une imitation vraie et fidèle du site que cet artiste a voulu représenter.]] réalisée par Janson (J.), vendue par Billaudel au prix de 81 fl. [21]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau représentant un Christ à mi-corps, grand comme nature ; il est vu de trois quarts et couronné d'épines ; le sang jaillit sur la figure divine, les bras sont liés par une corde ; de la main droite il tient un roseau ; une draperie rouge est jetée sur ses épaules. Morales doit sa grande réputation à la manière étonnante dont il peignit des sujets du même genre que celui-ci. Il est facile de se convaincre que cette oeuvre admirable est digne de la célébrité de son auteur.Quoique l'on ne connaisse point en France de tableau de ce maître, il n'est pas nécessaire d'établir une comparaison pour rechausser le mérite de celui-ci, on peut le mettre à côté des chefs-d'oeuvre du Corrège et de Léonard de Vinci, et les amateurs sauront reconnaître que Moralès-le-Divin est au moins leur égal, s'il ne les surpasse. Nous ne nous étendrons pas sur le caractère des beautés inimitables répandues sur ce sujet, nos expressions ne pourraient qu'affaiblir la pensée ; c'est aux connaisseurs à voir, à sentir et à juger eux-mêmes le mérite de cette rare production, qui, par sa parfaite conservation, est d'autant plus recommandable, et digne de figurer dans la première galerie de l'Europe. (Moralès, surnommé le Divin)|Tableau représentant un Christ à mi-corps, grand comme nature ; il est vu de trois quarts et couronné d'épines ; le sang jaillit sur la figure divine, les bras sont liés par une corde ; de la main droite il tient un roseau ; une draperie rouge est jetée sur ses épaules. Morales doit sa grande réputation à la manière étonnante dont il peignit des sujets du même genre que celui-ci. Il est facile de se convaincre que cette oeuvre admirable est digne de la célébrité de son auteur.Quoique l'on ne connaisse point en France de tableau de ce maître, il n'est pas nécessaire d'établir une comparaison pour rechausser le mérite de celui-ci, on peut le mettre à côté des chefs-d'oeuvre du Corrège et de Léonard de Vinci, et les amateurs sauront reconnaître que Moralès-le-Divin est au moins leur égal, s'il ne les surpasse. Nous ne nous étendrons pas sur le caractère des beautés inimitables répandues sur ce sujet, nos expressions ne pourraient qu'affaiblir la pensée ; c'est aux connaisseurs à voir, à sentir et à juger eux-mêmes le mérite de cette rare production, qui, par sa parfaite conservation, est d'autant plus recommandable, et digne de figurer dans la première galerie de l'Europe.]] réalisée par Moralès, surnommé le Divin, vendue par Billaudel au prix de 6000 fl. [25]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux sujets de batailles. Dans le premier, un convoi est arrêté sur le revers d'une montagne surmontée de ruines et d'arbrisseaux. L'action représente une mêlée sanglante ; les chevaux paraissent partager l'ardeur des combattants. Le second représente l'attaque d'un pont, sur lequel une colonne d'infanterie est engagée et poursuivie de la cavalerie : diverses actions particulières se passent sur le devant ; les hauteurs sont couronnées de forts qui défendent les défilés. Le plus grand mouvement existe dans ces deux compositions capitales ; la couleur est franche et d'un grand effet ; le paysage et tous les accessoires sont traites dans la manière de Berghem, et rappellent avantageusement le beau faire de cette école. (Maas (Thiery))|Deux sujets de batailles. Dans le premier, un convoi est arrêté sur le revers d'une montagne surmontée de ruines et d'arbrisseaux. L'action représente une mêlée sanglante ; les chevaux paraissent partager l'ardeur des combattants. Le second représente l'attaque d'un pont, sur lequel une colonne d'infanterie est engagée et poursuivie de la cavalerie : diverses actions particulières se passent sur le devant ; les hauteurs sont couronnées de forts qui défendent les défilés. Le plus grand mouvement existe dans ces deux compositions capitales ; la couleur est franche et d'un grand effet ; le paysage et tous les accessoires sont traites dans la manière de Berghem, et rappellent avantageusement le beau faire de cette école.]] réalisée par Maas (Thiery), vendue par Billaudel au prix de 350 fl. [27]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux sujets de batailles. Dans le premier, un convoi est arrêté sur le revers d'une montagne surmontée de ruines et d'arbrisseaux. l'action représente une mêlée sanglante ; les chevaux paraissent pertager l'ardeur des combattants. Le second représente l'attaque d'un pont, sur lequel une colonne d'infanterie est engagée et poursuivie de la cavalerie : diverses actions particulières se passent sur le devant ; les hauteurs sont couronnées de forts qui défendent les défilés. Le plus grand mouvement existe dans ces deux compositions capitales ; la couleur est franche et d'un grand effet ; le paysage et tous les accessoires sont traites dans la manière de Berghem, et rappellent avantagement le beau faire de cette école. (Maas (Thiery))|Deux sujets de batailles. Dans le premier, un convoi est arrêté sur le revers d'une montagne surmontée de ruines et d'arbrisseaux. l'action représente une mêlée sanglante ; les chevaux paraissent pertager l'ardeur des combattants. Le second représente l'attaque d'un pont, sur lequel une colonne d'infanterie est engagée et poursuivie de la cavalerie : diverses actions particulières se passent sur le devant ; les hauteurs sont couronnées de forts qui défendent les défilés. Le plus grand mouvement existe dans ces deux compositions capitales ; la couleur est franche et d'un grand effet ; le paysage et tous les accessoires sont traites dans la manière de Berghem, et rappellent avantagement le beau faire de cette école.]] réalisée par Maas (Thiery), vendue par Billaudel au prix de 350 fl. [28]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux charmants paysages faisant pendants, présentent la vue de prairies, rochers, broussailles, plantes et autres arbustes servant de pâture à des moutons et à des chèvres. On aperçoit dans les lointains un berger conduisant son troupeau. Les animaux formant le sujet principal de ces deux compositions, sont peints avec la plus grande vérité ; à sa touche moelleuse et délicate, on reconnaît facilement les talents de l'habile peintre d'Anvers. (M. Omméganck)|Deux charmants paysages faisant pendants, présentent la vue de prairies, rochers, broussailles, plantes et autres arbustes servant de pâture à des moutons et à des chèvres. On aperçoit dans les lointains un berger conduisant son troupeau. Les animaux formant le sujet principal de ces deux compositions, sont peints avec la plus grande vérité ; à sa touche moelleuse et délicate, on reconnaît facilement les talents de l'habile peintre d'Anvers.]] réalisée par M. Omméganck, vendue par Billaudel, achetée par Autriet au prix de 203 fl. [29]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux charmants paysages faisant pendants, présentent la vue de prairies, rochers, broussailles, plantes et autres arbustes servant de pâture à des moutons et à des chèvres. On aperçoit dans les lointains un berger conduisant son troupeau. Les animaux formant le sujet principal de ces deux compositions, sont peints avec la plus grande vérité ; à sa touche moelleuse et délicate, on reconnaît facilement les talents de l'habile peintre d'Anvers. (M. Omméganck)|Deux charmants paysages faisant pendants, présentent la vue de prairies, rochers, broussailles, plantes et autres arbustes servant de pâture à des moutons et à des chèvres. On aperçoit dans les lointains un berger conduisant son troupeau. Les animaux formant le sujet principal de ces deux compositions, sont peints avec la plus grande vérité ; à sa touche moelleuse et délicate, on reconnaît facilement les talents de l'habile peintre d'Anvers.]] réalisée par M. Omméganck, vendue par Billaudel, achetée par Autriet au prix de 203 fl. [30]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage orné d'animaux. Au pied d'une maison rustique, différents animaux se reposent, tandis que d'autres paissent et se répandent dans la campagne. En perspective, on aperçoit un vieux château sur le haut d'une colline couronnée d'arbres. La partie du troupeau qui reçoit la lumière, produit un effet agréable. (Romain (Van))|Un paysage orné d'animaux. Au pied d'une maison rustique, différents animaux se reposent, tandis que d'autres paissent et se répandent dans la campagne. En perspective, on aperçoit un vieux château sur le haut d'une colline couronnée d'arbres. La partie du troupeau qui reçoit la lumière, produit un effet agréable.]] réalisée par Romain (Van), vendue par Billaudel, achetée par Andriel au prix de 91 fl. [34]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un belle copie d'après Gerard Douw, représentant l'intérieur d'un laboratoire. Un médecin regarde des urines dans une bouteille ; à côté, une vieille femme les mains croisées le contemple avec inquiétude. Un tapis mélangé des plus riches couleurs, suspendu au plafond descend jusque sur le devant, une sphère, un plat, un mortier, un livre ouvert et une quantité d'objets divers, garnissent le premier plan. On reconnaîtra dans cette jolie composition un pinceau d'un travail précieux, et qui rappelle, de la manière la plus distinguée, l'oeuvre capitale de son auteur. (Vantole)|Un belle copie d'après Gerard Douw, représentant l'intérieur d'un laboratoire. Un médecin regarde des urines dans une bouteille ; à côté, une vieille femme les mains croisées le contemple avec inquiétude. Un tapis mélangé des plus riches couleurs, suspendu au plafond descend jusque sur le devant, une sphère, un plat, un mortier, un livre ouvert et une quantité d'objets divers, garnissent le premier plan. On reconnaîtra dans cette jolie composition un pinceau d'un travail précieux, et qui rappelle, de la manière la plus distinguée, l'oeuvre capitale de son auteur.]] réalisée par Vantole, vendue par Billaudel, achetée par Laneuville au prix de 200 fl. [35]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un pont de bois de l'effet le plus pittoresque, qui conduit d'une chaussée à une habitation champêtre, un homme à cheval, couvert d'un manteau rouge, est sur le point de traverser ; derrière lui, deux paysans sont assis. Plus bas, sa ligne sur les eaux qui s'étendent au loin ; une barque, des canards et autres oiseaux ornent ce joli paysage. Le ton fini et délicat, la couleur harmonieuse et l'air répandu dans ce tableau, le feraient attribuer à Philippe Wauvermans. (Wauvermans (Pierre))|Sur un pont de bois de l'effet le plus pittoresque, qui conduit d'une chaussée à une habitation champêtre, un homme à cheval, couvert d'un manteau rouge, est sur le point de traverser ; derrière lui, deux paysans sont assis. Plus bas, sa ligne sur les eaux qui s'étendent au loin ; une barque, des canards et autres oiseaux ornent ce joli paysage. Le ton fini et délicat, la couleur harmonieuse et l'air répandu dans ce tableau, le feraient attribuer à Philippe Wauvermans.]] réalisée par Wauvermans (Pierre), vendue par Billaudel, achetée par Laneuville au prix de 70 fl. [36]
  • 1813.03.31/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[On a représenté l'intérieur d'une église gothique, vue en perspective, et sur différents plans plusieurs groupes de figures ornent cet objet curieux, dont les détails sont soignés et présentent une variété infinie. Cette peinture, d'un genre rare, mérite de fixer l'attention des amateurs. (artiste anonyme)|On a représenté l'intérieur d'une église gothique, vue en perspective, et sur différents plans plusieurs groupes de figures ornent cet objet curieux, dont les détails sont soignés et présentent une variété infinie. Cette peinture, d'un genre rare, mérite de fixer l'attention des amateurs.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Billaudel. [38]