Ventes d'œuvres le 1816.12.23

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  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un joli point de vue de paysage avec un terrain sablonneux chargé de divers plantes et troncs d'arbres ; quelques bouquets d'arbrisseaux et des lointains variés et vaporeux se détachent sur un ciel frais et léger. Ces deux petits tableaux, fleuris de touche et très-agréables, sont ornés de figures par Linguelbach. (Vinants (Jean))|Un joli point de vue de paysage avec un terrain sablonneux chargé de divers plantes et troncs d'arbres ; quelques bouquets d'arbrisseaux et des lointains variés et vaporeux se détachent sur un ciel frais et léger. Ces deux petits tableaux, fleuris de touche et très-agréables, sont ornés de figures par Linguelbach.]] réalisée par Vinants (Jean), vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Pelion au prix de 300 fl. [1]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un site de paysage offrant de petites monticules surmontées d'arbrisseaux et un terrain élevé couvert de broussailles et de plantes qui contrastent parfaitement avec des lointains de prairies coupées par des chemins. Ces deux petits tableaux, fleuris de touche et très-agréables, sont ornés de figures par Linguelbach. (Vinants (Jean))|Un site de paysage offrant de petites monticules surmontées d'arbrisseaux et un terrain élevé couvert de broussailles et de plantes qui contrastent parfaitement avec des lointains de prairies coupées par des chemins. Ces deux petits tableaux, fleuris de touche et très-agréables, sont ornés de figures par Linguelbach.]] réalisée par Vinants (Jean), vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Pelion au prix de 200 fl. [2]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'un jeune guerrier revêtu d'une cuirasse, avec une écharpe rouge, et ayant un chapeau sur la tête. Ce morceau, fait d'une manière large, et d'une couleur vigoureuse, paraît avoir été peint par cet habile artiste lorsqu'il voyageait en Italie. (Antoine Vandich)|Le portrait d'un jeune guerrier revêtu d'une cuirasse, avec une écharpe rouge, et ayant un chapeau sur la tête. Ce morceau, fait d'une manière large, et d'une couleur vigoureuse, paraît avoir été peint par cet habile artiste lorsqu'il voyageait en Italie.]] réalisée par Antoine Vandich, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 121 fl. [4]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente un alchimiste dans son laboratoire d'un bonnet de poil ; ses vêtemens sont garnis d'une large fourrure ; il est assis auprès d'une table couverte d'un tapis vert et de différens ustensiles propres à la chimie. Ce précieux échantillon présente tout l'esprit et le charme du coloris de cet inestimable peintre. (David Teniers)|Ce tableau représente un alchimiste dans son laboratoire d'un bonnet de poil ; ses vêtemens sont garnis d'une large fourrure ; il est assis auprès d'une table couverte d'un tapis vert et de différens ustensiles propres à la chimie. Ce précieux échantillon présente tout l'esprit et le charme du coloris de cet inestimable peintre.]] réalisée par David Teniers, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Paillet au prix de 401 fl. [5]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente l'origine de la peinture. Dibutade dessine sur la muraille l'ombre de son amant, à la lumière d'un flambeau que tient un amour. Ce tableau peut être regardé comme le plus parfait de cet habile peintre de l'École Française, tant par la grâce du dessin, que par son coloris brillant et son harmonie. Il vient des cabinets de M. Randon de Bosset et de M. de Beaujon, et a été vendu 5999 fr. 19 c. (Jean Raoux)|Ce tableau représente l'origine de la peinture. Dibutade dessine sur la muraille l'ombre de son amant, à la lumière d'un flambeau que tient un amour. Ce tableau peut être regardé comme le plus parfait de cet habile peintre de l'École Française, tant par la grâce du dessin, que par son coloris brillant et son harmonie. Il vient des cabinets de M. Randon de Bosset et de M. de Beaujon, et a été vendu 5999 fr. 19 c.]] réalisée par Jean Raoux, vendue par [[Comte de C[haptal]]]. [6]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Martyre de deux Saints, composition de 15 fig. Cette scène touchante se passe dans un cirque : ils sont à genoux, entourés de soldats prêts à leur donner la mort. Le caractère tranquille et féroce de ces bourreaux fait le contraste le plus frappant avec le calme et la résignation de ces saints personnages dont les regards sont fixés vers le ciel. Des anges, portés sur des nuages, leur montrent la palme et la couronne du martyre. Ce tableau semble avoir été fait par cet homme célébre dans les premiers voyages qu'il fit en Italie. (Nicolas Poussin)|Le Martyre de deux Saints, composition de 15 fig. Cette scène touchante se passe dans un cirque : ils sont à genoux, entourés de soldats prêts à leur donner la mort. Le caractère tranquille et féroce de ces bourreaux fait le contraste le plus frappant avec le calme et la résignation de ces saints personnages dont les regards sont fixés vers le ciel. Des anges, portés sur des nuages, leur montrent la palme et la couronne du martyre. Ce tableau semble avoir été fait par cet homme célébre dans les premiers voyages qu'il fit en Italie.]] réalisée par Nicolas Poussin, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Barbier au prix de 60.1 fl. [8]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madeleine repentante ; elle est à genoux et semble invoquer la miséricorde divine : un groupe d'anges entourés d'une gloire céleste, semble lui montrer le séjour divin. Ce morceau précieux est d'une grande vérité d'effet comme sont toutes les compositions de ce peintre, dont les productions sont aussi variées qu'agréables. (Corneille Poelemburg)|La Madeleine repentante ; elle est à genoux et semble invoquer la miséricorde divine : un groupe d'anges entourés d'une gloire céleste, semble lui montrer le séjour divin. Ce morceau précieux est d'une grande vérité d'effet comme sont toutes les compositions de ce peintre, dont les productions sont aussi variées qu'agréables.]] réalisée par Corneille Poelemburg, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Reville au prix de 110 fl. [9]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce site pittoresque, présente à droite une masse de roches, aux pieds desquelles s'élève un grand arbre et quelques arbrisseaux. A gauche, dans un chemin où frappe le soleil, on voit un homme à cheval, et quelques figures de la main de Berghem. Le fond se termine par de vastes lointains, entrecoupés de prairies et de montagnes qui se détachent sur un ciel frais et léger. (Moucheron (Frédéric))|Ce site pittoresque, présente à droite une masse de roches, aux pieds desquelles s'élève un grand arbre et quelques arbrisseaux. A gauche, dans un chemin où frappe le soleil, on voit un homme à cheval, et quelques figures de la main de Berghem. Le fond se termine par de vastes lointains, entrecoupés de prairies et de montagnes qui se détachent sur un ciel frais et léger.]] réalisée par Moucheron (Frédéric), vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 400 fl. [10]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un paysage, d'un style élevé, représentant un beau site de la Thessalie. Il offre un terrain cultivé, traversé par une rivière et coupé par des monticules plantées d'arbres dont le feuiller spirituel et léger se détache sur un ciel heureusement nuagé. Parmi les figures qui ornent cette belle production, on distingue un philosophe conversant avec un jeune homme, et un pâtre conduisant un troupeau de vaches et de moutons. La vue seule de ce tableau peut donner une idée de sa perfection par les belles lignes et la richesse des fabriques et des arbres, qui rappelle les paysages du célébre Poussin, que Milé a toujours pris pour modèle. (Francisque Milé)|Le point de vue d'un paysage, d'un style élevé, représentant un beau site de la Thessalie. Il offre un terrain cultivé, traversé par une rivière et coupé par des monticules plantées d'arbres dont le feuiller spirituel et léger se détache sur un ciel heureusement nuagé. Parmi les figures qui ornent cette belle production, on distingue un philosophe conversant avec un jeune homme, et un pâtre conduisant un troupeau de vaches et de moutons. La vue seule de ce tableau peut donner une idée de sa perfection par les belles lignes et la richesse des fabriques et des arbres, qui rappelle les paysages du célébre Poussin, que Milé a toujours pris pour modèle.]] réalisée par Francisque Milé, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 801 fl. [11]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendant, et de forme ovale : l'un représente un repos de chasse, et l'autre une danse villageoise. Il est rare de trouver deux productions de ce maître, d'une touche aussi délicate et d'une couleur aussi claire, la plûpart des tableaux de ce maître étant poussés au noir : ceux-ci peuvent rivaliser avec Karel-Dujardin. (Jean Miel)|Deux tableaux faisant pendant, et de forme ovale : l'un représente un repos de chasse, et l'autre une danse villageoise. Il est rare de trouver deux productions de ce maître, d'une touche aussi délicate et d'une couleur aussi claire, la plûpart des tableaux de ce maître étant poussés au noir : ceux-ci peuvent rivaliser avec Karel-Dujardin.]] réalisée par Jean Miel, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Levi au prix de 380 fl. [12]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition très-agréable de dix fig., représentant le Repos de la Sainte Famille, où l'on voit l'Enfant Jésus servi par les Anges. Ce tableau a été fait par ce grand peintre lorsqu'il résidait en Italie. Il est d'un coloris vigoureux et transparent : la tête de la Vierge est remplie d'expression et de grâces. (Charles Lebrun)|Composition très-agréable de dix fig., représentant le Repos de la Sainte Famille, où l'on voit l'Enfant Jésus servi par les Anges. Ce tableau a été fait par ce grand peintre lorsqu'il résidait en Italie. Il est d'un coloris vigoureux et transparent : la tête de la Vierge est remplie d'expression et de grâces.]] réalisée par Charles Lebrun, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Marthe au prix de 75 fl. [13]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente une jeune femme assise, jouant de la guitare, auprès d'elle est un cavalier debout, dont la figure semble exprimer le plaisir qu'il éprouve. Ce morceau est d'une grande vigueur de coloris et d'un bel effet de lumière. (Pitre de Hooge)|Ce tableau représente une jeune femme assise, jouant de la guitare, auprès d'elle est un cavalier debout, dont la figure semble exprimer le plaisir qu'il éprouve. Ce morceau est d'une grande vigueur de coloris et d'un bel effet de lumière.]] réalisée par Pitre de Hooge, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 37.5 fl. [15]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un lieu écarté et mystérieux, la Vierge assise s'occupe de la lecture, pendant que Saint Joseph cueille des fleurs à l'Enfant Jésus ; plusieurs Anges ajoutent à l'intérêt de ce précieux tableau, d'un ton transparent et harmonieux, et d'une touche de la plus grande finesse et de la plus grande vérité. Cette production est intéressante par la réunion de ces deux maîtres. (Claude le Lorrain)|Dans un lieu écarté et mystérieux, la Vierge assise s'occupe de la lecture, pendant que Saint Joseph cueille des fleurs à l'Enfant Jésus ; plusieurs Anges ajoutent à l'intérêt de ce précieux tableau, d'un ton transparent et harmonieux, et d'une touche de la plus grande finesse et de la plus grande vérité. Cette production est intéressante par la réunion de ces deux maîtres.]] réalisée par Claude le Lorrain, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par [[Alpain [?]]] au prix de 151 fl. [17]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de la plage de Scheveling. Le devant offre un panier de poissons de mer. On distingue plusieurs figures dans le lointain ; il est signé AVB. Il est impossible de peindre avec plus de magie, de rendre la nature avec plus de vérité. Les productions de ce maître sont très-rares. Le Brun cite un tableau du même auteur qui est dans la galerie impériale de Vienne. (A. Van Beck)|Vue de la plage de Scheveling. Le devant offre un panier de poissons de mer. On distingue plusieurs figures dans le lointain ; il est signé AVB. Il est impossible de peindre avec plus de magie, de rendre la nature avec plus de vérité. Les productions de ce maître sont très-rares. Le Brun cite un tableau du même auteur qui est dans la galerie impériale de Vienne.]] réalisée par A. Van Beck, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 180 fl. [20]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre paysage pouvant servir de pendant au précédent. Il représente un extérieur de ferme au pied de laquelle est un abreuvoir où plusieurs paysans conduisent leurs chevaux. Plusieurs autres animaux tels que vaches, moutons et chèvres contribuent à enrichir ce tableau dont le fond est terminé par une grande étendue de vastes lointains. (Pierre Van Bloemen, frère d'Orisonti)|Un autre paysage pouvant servir de pendant au précédent. Il représente un extérieur de ferme au pied de laquelle est un abreuvoir où plusieurs paysans conduisent leurs chevaux. Plusieurs autres animaux tels que vaches, moutons et chèvres contribuent à enrichir ce tableau dont le fond est terminé par une grande étendue de vastes lointains.]] réalisée par Pierre Van Bloemen, frère d'Orisonti, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 390 fl. [21]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau connu sous le nom de la Laveuse, composition de cinq fig. La Vierge, à genoux près d'une fontaine, est occupée à laver quelques linges, pendant que l'enfant Jésus les porte à saint Joseph pour les attacher à des branches d'arbres pour les faire sécher. Ce sujet, simple en lui-même, est ennobli par le pinceau de l'Albane, et par la grâce et l'expression qu'il a mises dans cette charmante production. (Albane (François))|Tableau connu sous le nom de la Laveuse, composition de cinq fig. La Vierge, à genoux près d'une fontaine, est occupée à laver quelques linges, pendant que l'enfant Jésus les porte à saint Joseph pour les attacher à des branches d'arbres pour les faire sécher. Ce sujet, simple en lui-même, est ennobli par le pinceau de l'Albane, et par la grâce et l'expression qu'il a mises dans cette charmante production.]] réalisée par Albane (François), vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Zeloni au prix de 64.5 fl. [22]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition de dix figures représentant la Déesse Flore couronnée de fleurs par des Amours ; d'autres s'occupent à cueillir des fleurs ; des Zéphirs, portés sur des nuages, annoncent le printemps par les parfums qu'ils répandent sur la terre. Ce tableau, restauré par une main habile, deviendrait une des productions les plus intéressantes de ce célèbre peintre. (Albane (François))|Composition de dix figures représentant la Déesse Flore couronnée de fleurs par des Amours ; d'autres s'occupent à cueillir des fleurs ; des Zéphirs, portés sur des nuages, annoncent le printemps par les parfums qu'ils répandent sur la terre. Ce tableau, restauré par une main habile, deviendrait une des productions les plus intéressantes de ce célèbre peintre.]] réalisée par Albane (François), vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Chevigny au prix de 455 fl. [23]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Enlèvement des Sabines, composition de la plus riche ordonnance, dans laquelle on compte plus de 50 figures. Cette scène imposante se passe près du péristile d'un temple d'une noble architecture. Plusieurs grands peintres ont traité ce sujet ; mais aucun ne l'a traité avec plus de feu et d'imagination. L'artiste a trouvé le moyen d'éclairer son sujet avec tant d'art, que l'effet des groupes sur le devant du tableau qui sont du plus brillant coloris, produit un contraste aussi vrai que frappant avec le ton suave et vaporeux du second plan. (Pietro Berrettini dit Pietre de Cortone)|L'Enlèvement des Sabines, composition de la plus riche ordonnance, dans laquelle on compte plus de 50 figures. Cette scène imposante se passe près du péristile d'un temple d'une noble architecture. Plusieurs grands peintres ont traité ce sujet ; mais aucun ne l'a traité avec plus de feu et d'imagination. L'artiste a trouvé le moyen d'éclairer son sujet avec tant d'art, que l'effet des groupes sur le devant du tableau qui sont du plus brillant coloris, produit un contraste aussi vrai que frappant avec le ton suave et vaporeux du second plan.]] réalisée par Pietro Berrettini dit Pietre de Cortone, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Caire au prix de 275 fl. [26]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente le sujet d'une Bacchanale. Le premier plan offre plusieurs figures, dont une Bacchante pressant du raisin dans une coupe que lui présente un Satire. Le fond est terminé par des lointains dans lequel on distingue une danse de nymphes et de Faunes. Ce morceau joint à la vigueur de coloris la correction du dessin et le brillant de l'exécution. (Carlo Cignani)|Ce tableau représente le sujet d'une Bacchanale. Le premier plan offre plusieurs figures, dont une Bacchante pressant du raisin dans une coupe que lui présente un Satire. Le fond est terminé par des lointains dans lequel on distingue une danse de nymphes et de Faunes. Ce morceau joint à la vigueur de coloris la correction du dessin et le brillant de l'exécution.]] réalisée par Carlo Cignani, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Francillon au prix de 201 fl. [30]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une belle figure de femme vue à mi-corps et proportion de nature ; elle est assise devant une table tenant une plume d'une main, et de l'autre s'appuyant sur un livre de musique. Ce morceau, d'un beau pinceau et d'un grand caractère, provient de la vente Tolozan, n. 23. (Carlo Cignani)|Une belle figure de femme vue à mi-corps et proportion de nature ; elle est assise devant une table tenant une plume d'une main, et de l'autre s'appuyant sur un livre de musique. Ce morceau, d'un beau pinceau et d'un grand caractère, provient de la vente Tolozan, n. 23.]] réalisée par Carlo Cignani, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Paillet au prix de 105 fl. [31]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux dont les compositions sont pleines d'énergie ; ils offrent des sujets de batailles et de chocs de cavalerie entre des Maures et des chrétiens. Ces deux morceaux, de la plus vigoureuse couleur, prouvent que ce grand peintre rivalise avec Salvator Rosa par la fermeté de sa touche et le mouvement qu'il donne à ses figures. (Jacques Courtois, dit le Bourguignon)|Deux tableaux dont les compositions sont pleines d'énergie ; ils offrent des sujets de batailles et de chocs de cavalerie entre des Maures et des chrétiens. Ces deux morceaux, de la plus vigoureuse couleur, prouvent que ce grand peintre rivalise avec Salvator Rosa par la fermeté de sa touche et le mouvement qu'il donne à ses figures.]] réalisée par Jacques Courtois, dit le Bourguignon, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Marthe au prix de 121 fl. [33]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis paysages, dont l'un représente la vue du parc et de l'église della Riccia, près d'Albano, et l'autre la vue du petit Temple de St.-André près la porte du Peuple à Rome. Ces deux petits tableaux, dans le style du Guaspre Poussin, sont ornés de figures et d'animaux. (Jean Batiste Busiri, Peintre de Paysage)|Deux jolis paysages, dont l'un représente la vue du parc et de l'église della Riccia, près d'Albano, et l'autre la vue du petit Temple de St.-André près la porte du Peuple à Rome. Ces deux petits tableaux, dans le style du Guaspre Poussin, sont ornés de figures et d'animaux.]] réalisée par Jean Batiste Busiri, Peintre de Paysage, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Durand au prix de 34.5 fl. [35]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un port de mer où l'on voit sur le devant des ruines d'architecture d'ordre composite. Le second plan offre un arc de triomphe et plusieurs autres monumens. Beaucoup de figures de Michel-Ange Cerquozzi enrichissent ce tableau, d'une touche ferme et d'une belle harmonie. (Viviano Cadogera, dit le Viviani)|La vue d'un port de mer où l'on voit sur le devant des ruines d'architecture d'ordre composite. Le second plan offre un arc de triomphe et plusieurs autres monumens. Beaucoup de figures de Michel-Ange Cerquozzi enrichissent ce tableau, d'une touche ferme et d'une belle harmonie.]] réalisée par Viviano Cadogera, dit le Viviani, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Laneuville au prix de 40 fl. [36]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Descente de Croix, composition de cinq figures. Le Christ étendu a la tête appuyée sur les genoux de la Vierge, dont la figure exprime une douleur calme et sublime qui tient du caractère de la Divinité ; les autres personnages contribuent, par leur noble attitude et leur caractère expressif, à donner le plus grand intérèt à cette scène touchante. (Joseph-Maria Crespi)|Une Descente de Croix, composition de cinq figures. Le Christ étendu a la tête appuyée sur les genoux de la Vierge, dont la figure exprime une douleur calme et sublime qui tient du caractère de la Divinité ; les autres personnages contribuent, par leur noble attitude et leur caractère expressif, à donner le plus grand intérèt à cette scène touchante.]] réalisée par Joseph-Maria Crespi, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Didot au prix de 460 fl. [37]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Entrevue de St. Charles Borromée avec St.-Philippe de Néry et St.-Felix de Cantalice. Une grande richesse de couleur, une touche hardie et surtout la belle expression des têtes impriment un respect religieux pour ces saints personnages. (Joseph-Maria Crespi)|L'Entrevue de St. Charles Borromée avec St.-Philippe de Néry et St.-Felix de Cantalice. Une grande richesse de couleur, une touche hardie et surtout la belle expression des têtes impriment un respect religieux pour ces saints personnages.]] réalisée par Joseph-Maria Crespi, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Bonnemaison au prix de 510 fl. [38]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un beau paysage représentant un site riant de la Lombardie ; le milieu offre une grande rivière bordée de monticules, garnie de grands arbres et d'arbrisseaux ; Les Appenins forment le fond de ce tableau, dont les premiers plans sont enrichis de barques et de figures de la proportion de huit pouces, parmi lesquelles on distingue sur le devant un pêcheur conversant avec un jeune pâtre. A droite, un barcarole conduisant un barque où l'on voit un jeune homme s'accompagnant avec une mandoline. Le second plan est orné d'une autre barque contenant sept personnages, et réflétée dans une eau limpide. Les amateurs saisiront sans doute avec empressement l'occasion qui se présente pour enrichir leurs cabinets d'une production aussi vraie que capitale de ce grand peintre, qui est digne d'orner une galerie de souverain, et de la plus grande rareté. (Domenico Zampieri, dit le Dominiquin)|Vue d'un beau paysage représentant un site riant de la Lombardie ; le milieu offre une grande rivière bordée de monticules, garnie de grands arbres et d'arbrisseaux ; Les Appenins forment le fond de ce tableau, dont les premiers plans sont enrichis de barques et de figures de la proportion de huit pouces, parmi lesquelles on distingue sur le devant un pêcheur conversant avec un jeune pâtre. A droite, un barcarole conduisant un barque où l'on voit un jeune homme s'accompagnant avec une mandoline. Le second plan est orné d'une autre barque contenant sept personnages, et réflétée dans une eau limpide. Les amateurs saisiront sans doute avec empressement l'occasion qui se présente pour enrichir leurs cabinets d'une production aussi vraie que capitale de ce grand peintre, qui est digne d'orner une galerie de souverain, et de la plus grande rareté.]] réalisée par Domenico Zampieri, dit le Dominiquin, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Francillon au prix de 6001 fl. [39]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage agreste indiquant les environs d'une forêt. On distingue sur le devant plusieurs personnages assis sur l'herbe, prenant un repas champêtre ; à gauche, un domestique attache deux chevaux après des branches d'arbres. L'effet et le clair obscur de ce petit tableau contraste avec le calme et l'aspect riant et agréable du précédent. (Domenico Zampieri, dit le Dominiquin)|Un paysage agreste indiquant les environs d'une forêt. On distingue sur le devant plusieurs personnages assis sur l'herbe, prenant un repas champêtre ; à gauche, un domestique attache deux chevaux après des branches d'arbres. L'effet et le clair obscur de ce petit tableau contraste avec le calme et l'aspect riant et agréable du précédent.]] réalisée par Domenico Zampieri, dit le Dominiquin, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Lafond au prix de 80 fl. [40]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Fuite en Egypte, composition de cinq fig. La Vierge et l'Enfant Jésus montées sur un âne et accompagnés de Saint Joseph sont conduits par deux anges qui les précèdent. Petit tableau d'une belle couleur et touché spirituellement. (Artemisia Gentileschi)|La Fuite en Egypte, composition de cinq fig. La Vierge et l'Enfant Jésus montées sur un âne et accompagnés de Saint Joseph sont conduits par deux anges qui les précèdent. Petit tableau d'une belle couleur et touché spirituellement.]] réalisée par Artemisia Gentileschi, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Albin au prix de 69 fl. [41]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce sujet représente le départ d'Adonis pour la chasse ; ce jeune chasseur est vêtu d'une tunique légère, il tient une lance et est accompagné de son chien. Vénus assise, paraît vouloir le retenir et montre, dans l'expression de sa figure, ; le regret qu'elle a de le voir partir. Près d'elle est l'Amour endormi. Cette composition, des plus gracieuses et du plus grand style, offre une exécution facile et vraie, et une carnation chaude et brillante qui caractèrise la belle école vénitienne. (Le Giorgion)|Ce sujet représente le départ d'Adonis pour la chasse ; ce jeune chasseur est vêtu d'une tunique légère, il tient une lance et est accompagné de son chien. Vénus assise, paraît vouloir le retenir et montre, dans l'expression de sa figure, ; le regret qu'elle a de le voir partir. Près d'elle est l'Amour endormi. Cette composition, des plus gracieuses et du plus grand style, offre une exécution facile et vraie, et une carnation chaude et brillante qui caractèrise la belle école vénitienne.]] réalisée par Le Giorgion, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Laneuville au prix de 110 fl. [42]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vénus et l'Amour, demi-figure de grandeur naturelle de forme ovale. Ces deux morceaux, du plus beau coloris, prouvent que ce grand peintre, justement estimé des vrais connaisseurs, sait allier la grâce et l'expression, à la noblesse et à la correction du dessin. (Jean-François Barbieri dit le Guerchin)|Vénus et l'Amour, demi-figure de grandeur naturelle de forme ovale. Ces deux morceaux, du plus beau coloris, prouvent que ce grand peintre, justement estimé des vrais connaisseurs, sait allier la grâce et l'expression, à la noblesse et à la correction du dessin.]] réalisée par Jean-François Barbieri dit le Guerchin, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Bonnemaison au prix de 1002 fl. [43]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mars quittant Vénus pour aller à la guerre. Ces deux morceaux, du plus beau coloris, prouvent que ce grand peintre, justement estimé des vrais connaisseurs, sait allier la grâce et l'expression, à la noblesse et à la correction du dessin. (Jean-François Barbieri dit le Guerchin)|Mars quittant Vénus pour aller à la guerre. Ces deux morceaux, du plus beau coloris, prouvent que ce grand peintre, justement estimé des vrais connaisseurs, sait allier la grâce et l'expression, à la noblesse et à la correction du dessin.]] réalisée par Jean-François Barbieri dit le Guerchin, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Bonnemaison au prix de 1002 fl. [44]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La parabole de l'Enfant-Prodigue. Composition de douze figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capitaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition. (Domenico Feti)|La parabole de l'Enfant-Prodigue. Composition de douze figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capitaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition.]] réalisée par Domenico Feti, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 61 fl. [48]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La parabole du Créncier, qui veut forcer son débiteur à le payer. Composition de deux figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capiteaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition. (Domenico Feti)|La parabole du Créncier, qui veut forcer son débiteur à le payer. Composition de deux figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capiteaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition.]] réalisée par Domenico Feti, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 61 fl. [49]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La parabole du Père de Famille et des Ouvriers de la vigne. Sujets composé de six figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capitaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition. (Domenico Feti)|La parabole du Père de Famille et des Ouvriers de la vigne. Sujets composé de six figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capitaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition.]] réalisée par Domenico Feti, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Zellony au prix de 70 fl. [50]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La parabole du Démon qui sème de l'ivraie. Composition de cinq figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capitaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition. (Domenico Feti)|La parabole du Démon qui sème de l'ivraie. Composition de cinq figures. Ces quatre tableaux sont les esquisses terminées de tableaux peints en grand : ils rappellent des ouvrages capitaux de ce maître, par leur aspect imposant et le style grandiose de leur composition.]] réalisée par Domenico Feti, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Zellony au prix de 70 fl. [51]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge et la Magdeleine caressant l'Enfant Jésus : le fond représente un paysage. On peut admirer dans cette composition, non-seulement la noblesse des caractères et le beau jet des draperies, mais même ce coloris brillant et cette grâce naïve qui caractérisent les ouvrages de ce grand peintre. (Francesco Mazzuoli, dit le Parmesan)|La Vierge et la Magdeleine caressant l'Enfant Jésus : le fond représente un paysage. On peut admirer dans cette composition, non-seulement la noblesse des caractères et le beau jet des draperies, mais même ce coloris brillant et cette grâce naïve qui caractérisent les ouvrages de ce grand peintre.]] réalisée par Francesco Mazzuoli, dit le Parmesan, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 61 fl. [60]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de Pirame et Thisbé. Le peintre a choisi le moment où Thisbé apercevant son amant qui vient d'expirer, se plonge l'épée dans le sein. C'est avec raison que cet habile artiste est comparé au Guide, car il joint à un pinceau moelleux la noblesse et la correction du dessin. (Carlo- Francesco Nuvolone dit Pamphile, ou le Guide de Lombardie)|Le sujet de Pirame et Thisbé. Le peintre a choisi le moment où Thisbé apercevant son amant qui vient d'expirer, se plonge l'épée dans le sein. C'est avec raison que cet habile artiste est comparé au Guide, car il joint à un pinceau moelleux la noblesse et la correction du dessin.]] réalisée par Carlo- Francesco Nuvolone dit Pamphile, ou le Guide de Lombardie, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Legrand au prix de 50.5 fl. [63]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage enchanteur représentant un site pittoresque et garni de beaux arbres. Le devant est orné de plusieurs figures, dont les unes dansent au son d'un instrument, et les autres allument des feux. On distingue dans le fond des pâtres faisant des offrandes au dieu Pan. (Gio Francisco Van Bloemen, dit Orisonti)|Paysage enchanteur représentant un site pittoresque et garni de beaux arbres. Le devant est orné de plusieurs figures, dont les unes dansent au son d'un instrument, et les autres allument des feux. On distingue dans le fond des pâtres faisant des offrandes au dieu Pan.]] réalisée par Gio Francisco Van Bloemen, dit Orisonti, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 82 fl. [64]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux sites d'Italie représentant des points de vue d'un paysage pittoresque et montagneux. Toute la partie du premier plan offre un terrain garni de grands arbres, de plantes et de broussailles ; le second plan est entrecoupé de rivières, de cascades et de hautes montagnes surmontées de belles fabriques, parmi lesquelles on distingue le temple de la Sybille, tous ces objets se détachent sur un ciel léger et argentin. Le devant de ces deux tableaux est orné de figures d'un beau contour et drapées dans le meilleur style par Placido Constanzi. (Gio Francisco Van Bloemen, dit Orisonti)|Deux sites d'Italie représentant des points de vue d'un paysage pittoresque et montagneux. Toute la partie du premier plan offre un terrain garni de grands arbres, de plantes et de broussailles ; le second plan est entrecoupé de rivières, de cascades et de hautes montagnes surmontées de belles fabriques, parmi lesquelles on distingue le temple de la Sybille, tous ces objets se détachent sur un ciel léger et argentin. Le devant de ces deux tableaux est orné de figures d'un beau contour et drapées dans le meilleur style par Placido Constanzi.]] réalisée par Gio Francisco Van Bloemen, dit Orisonti, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 795 fl. [65]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition de quatre fig. représentant la Vierge, l'Enfant Jésus, St.-Joseph et St.-Augustin. Ce tableau, très-fin de coloris et d'exécution, rappelle la savante école du Titien, dans laquelle Palme le vieux a justement été regardé comme celui de ses élèves qui a le plus approché de sa perfection. (Jacobo Palma, dit le vieux Palme)|Composition de quatre fig. représentant la Vierge, l'Enfant Jésus, St.-Joseph et St.-Augustin. Ce tableau, très-fin de coloris et d'exécution, rappelle la savante école du Titien, dans laquelle Palme le vieux a justement été regardé comme celui de ses élèves qui a le plus approché de sa perfection.]] réalisée par Jacobo Palma, dit le vieux Palme, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Francillon au prix de 406 fl. [67]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La réunion de plusieurs monumens antiques, tels que le Colisée, l'Obélisque égyptien, le Temple de la Sybille, la Pyramide Sextius hors des murs de rome, l'Hercule Farnèse et l'Arc de triomphe de Tite ; le tout enrichi de plusieurs figures. On ne peut offrir une production plus capitale et plus distinguée de cet habile peintre, qui a porté jusqu'à la perfection l'art de rendre et les monumens et les ruines antiques. Ce tableau excita tellement l'enthousiasme de M. le duc de Choiseuil, lorsqu'il était ambassadeur à Rome, que ne pouvant en avoir une répétition de la main de cet artiste, il en fit faire une copie par feu M. Robert. (Pannini (Jean-Paul))|La réunion de plusieurs monumens antiques, tels que le Colisée, l'Obélisque égyptien, le Temple de la Sybille, la Pyramide Sextius hors des murs de rome, l'Hercule Farnèse et l'Arc de triomphe de Tite ; le tout enrichi de plusieurs figures. On ne peut offrir une production plus capitale et plus distinguée de cet habile peintre, qui a porté jusqu'à la perfection l'art de rendre et les monumens et les ruines antiques. Ce tableau excita tellement l'enthousiasme de M. le duc de Choiseuil, lorsqu'il était ambassadeur à Rome, que ne pouvant en avoir une répétition de la main de cet artiste, il en fit faire une copie par feu M. Robert.]] réalisée par Pannini (Jean-Paul), vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 600 fl. [68]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[St.-Jean-Baptiste tenant un roseau auquel est attachée une banderolle sur laquelle est écrit : (Ecce agnus Dei.) Ce tableau, d'un des disciples de Raphaël, est digne de ce célèbre peintre par le caractère de dessin et son coloris chaud et transparent ; il est, en outre, très-bien conservé. (Andrea Sabbatini, dit André de Salerne)|St.-Jean-Baptiste tenant un roseau auquel est attachée une banderolle sur laquelle est écrit : (Ecce agnus Dei.) Ce tableau, d'un des disciples de Raphaël, est digne de ce célèbre peintre par le caractère de dessin et son coloris chaud et transparent ; il est, en outre, très-bien conservé.]] réalisée par Andrea Sabbatini, dit André de Salerne, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Didot au prix de 125 fl. [74]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cette jolie figure représente Ste-Lucie, tenant une palme d'une main et de l'autre une coupe dans laquelle sont ses yeux : son attitude gracieuse et son regard expressif rendent plus odieux les bourreaux qui ont eu la cruanté d'arracher d'aussi beaux yeux. Les productions de ce maître sont très-rares. (Andre Vaccaro)|Cette jolie figure représente Ste-Lucie, tenant une palme d'une main et de l'autre une coupe dans laquelle sont ses yeux : son attitude gracieuse et son regard expressif rendent plus odieux les bourreaux qui ont eu la cruanté d'arracher d'aussi beaux yeux. Les productions de ce maître sont très-rares.]] réalisée par Andre Vaccaro, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Laneuville au prix de 60 fl. [83]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux différens points de vue, dont l'un représente la ville de Fiésole, près de Florence, et l'autre le promontoire et la grotte de Pausilippe à Naples. Ils sont ornés, sur différens plans, de figures, de chevaux et de gondoles, qui répandent un véritable intérêt sur ces précieux ouvrages. (Gasparo Van Vitelli)|Deux différens points de vue, dont l'un représente la ville de Fiésole, près de Florence, et l'autre le promontoire et la grotte de Pausilippe à Naples. Ils sont ornés, sur différens plans, de figures, de chevaux et de gondoles, qui répandent un véritable intérêt sur ces précieux ouvrages.]] réalisée par Gasparo Van Vitelli, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Francillon au prix de 152 fl. [85]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le commencement de l'éruption du Mont-Vésuve, au mois de juin 1794, vue de nuit et à l'effet d'un clair de lune, où l'on voit la lave sortir du pied de la montagne, et se diriger sur Résina et Portici. Ce tableau est orné de beaucoup de figures, dont les attitudes expriment la terreur et le désespoir. (Le Chevalier Volaire)|Le commencement de l'éruption du Mont-Vésuve, au mois de juin 1794, vue de nuit et à l'effet d'un clair de lune, où l'on voit la lave sortir du pied de la montagne, et se diriger sur Résina et Portici. Ce tableau est orné de beaucoup de figures, dont les attitudes expriment la terreur et le désespoir.]] réalisée par Le Chevalier Volaire, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 100 fl. [86]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de la même d'eruption, prise également par un effet de nuit : on distingue divers courans de lave enflammée, qui, après avoir menacé Résina et Portici, se dirigent sur le village Della-Torre del Greco, le détruisent et vout se perdre dans la mer. Beaucoup de figures ajoutent à l'intérêt de ce tableau, et la lueur des flammes sortant du volcan, contribue à en rendre l'effet plus piquant. (Le Chevalier Volaire)|Vue de la même d'eruption, prise également par un effet de nuit : on distingue divers courans de lave enflammée, qui, après avoir menacé Résina et Portici, se dirigent sur le village Della-Torre del Greco, le détruisent et vout se perdre dans la mer. Beaucoup de figures ajoutent à l'intérêt de ce tableau, et la lueur des flammes sortant du volcan, contribue à en rendre l'effet plus piquant.]] réalisée par Le Chevalier Volaire, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 100 fl. [87]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre vue de la même Éruption, prise de jour, du quai de la Mergellina à Pausilippe : une épaisse colonne de cendre et de fumée s'élève du volcan, qui vomit de son cratère des torrens de lave et d'eau bouillante. Sur le devant du tableau, on voit une procession d'habitans qui implorent la miséricorde divine. (Le Chevalier Volaire)|Autre vue de la même Éruption, prise de jour, du quai de la Mergellina à Pausilippe : une épaisse colonne de cendre et de fumée s'élève du volcan, qui vomit de son cratère des torrens de lave et d'eau bouillante. Sur le devant du tableau, on voit une procession d'habitans qui implorent la miséricorde divine.]] réalisée par Le Chevalier Volaire, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 90 fl. [88]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendant, dont l'un représente sur le premier plan un gros choc de cavalerie près d'une fortresse, l'autre un champ de bataille après l'action. Ces deux morceaux peuvent être considérés comme les chefs-d'oeuvres de cet habile artiste, tant par la proportion des figures et la fermeté de la touche, que par leur composition pleine de feu et d'énergie. (Pierre Van Bloemen, frère d'Orisonti)|Deux tableaux faisant pendant, dont l'un représente sur le premier plan un gros choc de cavalerie près d'une fortresse, l'autre un champ de bataille après l'action. Ces deux morceaux peuvent être considérés comme les chefs-d'oeuvres de cet habile artiste, tant par la proportion des figures et la fermeté de la touche, que par leur composition pleine de feu et d'énergie.]] réalisée par Pierre Van Bloemen, frère d'Orisonti, vendue par [[Comte de C[haptal]]], achetée par Couturier au prix de 313 fl. [98]
  • 1816.12.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage dont le premier plan offre une grande voûte servant d'hôtellerie où l'on voit plusieurs cavaliers avec leurs chevaux. On distingue dans le fond, des ruines, plusieurs belles fabriques et des arbres qui se détachent sur un ciel léger et argentin : des vaches et des moutons enrichissent ce tableau d'un ton vigoureux et transparent et d'une touche mâle. (Pierre Van Bloemen, frère d'Orisonti)|Un paysage dont le premier plan offre une grande voûte servant d'hôtellerie où l'on voit plusieurs cavaliers avec leurs chevaux. On distingue dans le fond, des ruines, plusieurs belles fabriques et des arbres qui se détachent sur un ciel léger et argentin : des vaches et des moutons enrichissent ce tableau d'un ton vigoureux et transparent et d'une touche mâle.]] réalisée par Pierre Van Bloemen, frère d'Orisonti, vendue par [[Comte de C[haptal]]] au prix de 390 fl. [99]