Ventes d'œuvres le 1817.09.16

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  • 1817.09.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le premier plan d'un riche paysage, une femme éplorée se jette aux pieds de Jésus-Christ entouré de ses disciples, et le prie pour sa fille qui se meurt (la Cananéenne du Nouveau Testament) ; plus loin, des bateliers sur un fleuve traversé par un pont de pierre couvert de maisons ; dans le fond, on aperçoit une ville. Ce superbe tableau, qui faisait l'admiration des artistes et des amateurs de Naples, où il faisait partie d'un cabinet distingué, et dont le propriétaire d'alors ne voulut jamais se dessaisir, quelques offres qu'on lui pût faire, doit être considéré comme l'un des plus beaux de ce maître. (David Teniers le jeune)|Sur le premier plan d'un riche paysage, une femme éplorée se jette aux pieds de Jésus-Christ entouré de ses disciples, et le prie pour sa fille qui se meurt (la Cananéenne du Nouveau Testament) ; plus loin, des bateliers sur un fleuve traversé par un pont de pierre couvert de maisons ; dans le fond, on aperçoit une ville. Ce superbe tableau, qui faisait l'admiration des artistes et des amateurs de Naples, où il faisait partie d'un cabinet distingué, et dont le propriétaire d'alors ne voulut jamais se dessaisir, quelques offres qu'on lui pût faire, doit être considéré comme l'un des plus beaux de ce maître.]] réalisée par David Teniers le jeune, vendue par François Astruc au prix de 8000 fl. [1]
  • 1817.09.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Jérôme méditant sur la mort, demi-figure. Le sentiment, l'expression, animent ce vieillard vénérable, dont le corps robuste encore, quoique hâlé par le soleil brûlant de la Thébaïde, est l'image de la vigueur de son esprit : on retrouve dans cette tête l'ardeur que mit dans ses écrits ce père de l'Eglise. (Guido Reni)|Saint Jérôme méditant sur la mort, demi-figure. Le sentiment, l'expression, animent ce vieillard vénérable, dont le corps robuste encore, quoique hâlé par le soleil brûlant de la Thébaïde, est l'image de la vigueur de son esprit : on retrouve dans cette tête l'ardeur que mit dans ses écrits ce père de l'Eglise.]] réalisée par Guido Reni, vendue par François Astruc. [2]
  • 1817.09.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au milieu d'un riche paysage, trois voyageurs se reposent en conversant ; on voit des bestiaux qui regagnent le village, placé sur le deuxième plan. Pour bien juger ce beau tableau, il faut le comparer aux deux de ce maître qui existent au Musée royal. (Gaspard Dughet, dit Le Guaspre)|Au milieu d'un riche paysage, trois voyageurs se reposent en conversant ; on voit des bestiaux qui regagnent le village, placé sur le deuxième plan. Pour bien juger ce beau tableau, il faut le comparer aux deux de ce maître qui existent au Musée royal.]] réalisée par Gaspard Dughet, dit Le Guaspre, vendue par François Astruc. [4]
  • 1817.09.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Melchisedech sur le parvis d'un temple, distribue le pain aux Israélites dans un temps de famine. Les tableaux de ce maître sont excessivement rares en France et même en Italie, attendu qu'il s'occupa davantage de la sculpture que de la peinture. Le Musée royal n'en possède qu'un seul ; ils portent le cachet de la grande et belle école du siècle de Léon X ; et pour se convaincre que le présent tableau est de ce maître, on n'a pas qu'à examiner les estampes qui nous restent dudit Pandinelli. (Baccio Bandinelli, rival de Michel-Ange)|Melchisedech sur le parvis d'un temple, distribue le pain aux Israélites dans un temps de famine. Les tableaux de ce maître sont excessivement rares en France et même en Italie, attendu qu'il s'occupa davantage de la sculpture que de la peinture. Le Musée royal n'en possède qu'un seul ; ils portent le cachet de la grande et belle école du siècle de Léon X ; et pour se convaincre que le présent tableau est de ce maître, on n'a pas qu'à examiner les estampes qui nous restent dudit Pandinelli.]] réalisée par Baccio Bandinelli, rival de Michel-Ange, vendue par François Astruc. [5]
  • 1817.09.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Alexandre-Louis Farnèse, premier duc de Parme et de Plaisance, priant la Vierge, sous l'intercession de son patron, Saint Louis, évêque. Ce petit ex voto que le Parmesan a traité avec un soin extrême, et où il approché de bien près Raphaël, vient d'une des premières galeries de Parme. (François Mazzuola, dit le Parmesan)|Alexandre-Louis Farnèse, premier duc de Parme et de Plaisance, priant la Vierge, sous l'intercession de son patron, Saint Louis, évêque. Ce petit ex voto que le Parmesan a traité avec un soin extrême, et où il approché de bien près Raphaël, vient d'une des premières galeries de Parme.]] réalisée par François Mazzuola, dit le Parmesan, vendue par François Astruc au prix de 170 fl. [7]
  • 1817.09.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux dans le genre des fresques grecques antiques qu'on voyait à cette époque aux bains de Tite, et qu'on voit actuellement à Pompéïa. Ces tableaux donnent l'idée et l'image le plus parfaite de la manière de dessiner et peindre des anciens ; les deux ci-dessus tenaient une place honorable dans une des premières galeries de Naples. (Jean d'Udine, disciple de Raphael)|Deux tableaux dans le genre des fresques grecques antiques qu'on voyait à cette époque aux bains de Tite, et qu'on voit actuellement à Pompéïa. Ces tableaux donnent l'idée et l'image le plus parfaite de la manière de dessiner et peindre des anciens ; les deux ci-dessus tenaient une place honorable dans une des premières galeries de Naples.]] réalisée par Jean d'Udine, disciple de Raphael, vendue par François Astruc, achetée par Maurin au prix de 11.: fl. [12]
  • 1817.09.16/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux dans le genre des fresques grecques antiques qu'on voyait à cette époque aux bains de Tite, et qu'on voit actuellement à Pompéïa. Ces tableaux donnent l'idée et l'image le plus parfaite de la manière de dessiner et peindre des anciens ; les deux ci-dessus tenaient une place honorable dans une des premières galeries de Naples. (Jean d'Udine, disciple de Raphael)|Deux tableaux dans le genre des fresques grecques antiques qu'on voyait à cette époque aux bains de Tite, et qu'on voit actuellement à Pompéïa. Ces tableaux donnent l'idée et l'image le plus parfaite de la manière de dessiner et peindre des anciens ; les deux ci-dessus tenaient une place honorable dans une des premières galeries de Naples.]] réalisée par Jean d'Udine, disciple de Raphael, vendue par François Astruc, achetée par Maurin au prix de 11.: fl. [13]