Ventes d'œuvres le 1817.10.15
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- 1817.10.15/ maison de ventes : Twisk (Jan). Vente de l'œuvre décrite comme 2 Landschappen op paneel, gestoffeerd met Beelden en Beesten réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Derk van Rhyn, achetée par Gruiter au prix de 48 frs. [1]
- 1817.10.15/ maison de ventes : Twisk (Jan). Vente de l'œuvre décrite comme 1 kunstig op glas geschilderde Bijbelsche Ordonantie, verbeeldende de bespotting van den Zaligmaker by Cajaphas, door Anna Barbara van Esch, in vergulde lijst réalisée par Anna Barbara van Esch, vendue par Derk van Rhyn, achetée par Levi Samuel au prix de 160 frs. [2]
- 1817.10.15/ maison de ventes : Twisk (Jan). Vente de l'œuvre décrite comme 2 Tafereelen der Oudheid, op dito glas, door dezelve Anna Barbara van Esch, in dito vergulde lijst réalisée par Anna Barbara van Esch, vendue par Derk van Rhyn, achetée par Levi Samuel au prix de 160 frs. [3]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau Paysage. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par h, achetée par Lafont au prix de 115 fl. [4]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par [[C [?]]], achetée par Pelletier au prix de 20 05 fl. [5]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par S, achetée par Simon au prix de 39 10 fl. [6]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par S, achetée par Quélard au prix de 8 50 fl. [7]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par ha, achetée par Michel rue planche mibrai no.11 au prix de 9 50 fl. [8]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par ha, achetée par Quélard au prix de 17 50 fl. [9]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par h, achetée par Quélard au prix de 9 85 fl. [10]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par h au prix de 7 95 fl. [11]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par h, achetée par Trinchot au prix de 12 50 fl. [12]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par B au prix de 3 fl. [13]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Trois tableaux. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par ha, achetée par Descat au prix de 2 fl. [14]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux paysages d'un style noble, d'une riche composition et représent6D'es, l'un avec celles du matin, quelques heures après le lever du soleil. On remarque surtout dans ce dernier le cours rapide d'un torrent qui se précipite du haut d'un rocher. Ces paysages sont une preuve du grand talent de Van huysum dans ce genre de peinture. Comme peintre de fleurs, il n'a point d'égaux. (Huysum (Jean Van))|Deux paysages d'un style noble, d'une riche composition et représent6D'es, l'un avec celles du matin, quelques heures après le lever du soleil. On remarque surtout dans ce dernier le cours rapide d'un torrent qui se précipite du haut d'un rocher. Ces paysages sont une preuve du grand talent de Van huysum dans ce genre de peinture. Comme peintre de fleurs, il n'a point d'égaux.]] réalisée par Huysum (Jean Van), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Martin au prix de 86 fl. [15]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un très-riche paysage orné de fabriques situées à mi-côte d'une montagne. Des bergers, vêtus à l'antique, gardent, à l'ombre des grand arbres, un troupeau de brebis renfermées dans un parc. Ce tableau ne le cède en rien pour la composition à un beau paysage du Carrache ou du Dominiquin. (Bolognèse (Francesco Grimaldi, dit le))|Un très-riche paysage orné de fabriques situées à mi-côte d'une montagne. Des bergers, vêtus à l'antique, gardent, à l'ombre des grand arbres, un troupeau de brebis renfermées dans un parc. Ce tableau ne le cède en rien pour la composition à un beau paysage du Carrache ou du Dominiquin.]] réalisée par Bolognèse (Francesco Grimaldi, dit le), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Descat au prix de 100 fl. [16]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait en buste et d'une grande vérité. Il représente un personnage de distinction, ayant la barbe rousse et portant une fraise avec un rabat. réalisée par Bordone (Paris), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Francillon rue d'Anjou St Honoré no.24 au prix de 28 fl. [17]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus, accablé sous le poids de la croix où il va subir l'arrêt de sa mort, est rencontré par une vénérable femme qui prend part à ses maux. Trois croix sont dressées au sommet du mont Calvaire qu'on aperçoit dans le lointain. La couleur de ce tableau est vraie, et l'expression de ses personnages dénote d'une manière admirable l'état de deux ames profondément souffrantes. En Italie, les connaisseurs l'ont attribué à Maria Crespi. (Crespi (Maria))|Jésus, accablé sous le poids de la croix où il va subir l'arrêt de sa mort, est rencontré par une vénérable femme qui prend part à ses maux. Trois croix sont dressées au sommet du mont Calvaire qu'on aperçoit dans le lointain. La couleur de ce tableau est vraie, et l'expression de ses personnages dénote d'une manière admirable l'état de deux ames profondément souffrantes. En Italie, les connaisseurs l'ont attribué à Maria Crespi.]] réalisée par Crespi (Maria), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Bouché au prix de 59 fl. [18]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bains publics d'une grande magnifience. Ils se composent de bassins pratiqués au milieu de deux cours entourées d'un pérystile, et séparées l'une de l'autre par des galeries à colonnes de jaspe vert. Quelques personnages se baignent dans ce lieu ; d'autres se promenent ou se reposent sous les galeries. A travers une arcade du pérystile on aperçoit un vaisseau à l'ancre dans un port. Toutes les parties de ce tableau sont délicatement peintes. La disposition des jours et des ombres y produit un effet aussi piquant que vrai. P. de Hooch enfin n'y aurait pas mieux fait sentir la lumière brillante du soleil. (Garoli (Pierfrancesco), Pièmontais)|Bains publics d'une grande magnifience. Ils se composent de bassins pratiqués au milieu de deux cours entourées d'un pérystile, et séparées l'une de l'autre par des galeries à colonnes de jaspe vert. Quelques personnages se baignent dans ce lieu ; d'autres se promenent ou se reposent sous les galeries. A travers une arcade du pérystile on aperçoit un vaisseau à l'ancre dans un port. Toutes les parties de ce tableau sont délicatement peintes. La disposition des jours et des ombres y produit un effet aussi piquant que vrai. P. de Hooch enfin n'y aurait pas mieux fait sentir la lumière brillante du soleil.]] réalisée par Garoli (Pierfrancesco), Pièmontais, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Jaunez au prix de 76 fl. [19]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Charité romaine. Elle est représentée par une jeune femme visitant à travers les barreaux d'un cachot un prisonnier qui regarde derrière lui, et paraît craindre d'être aperçu de ses gardiniens. réalisée par Guerchin (Gio Francesco Barbieri, dit le), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Jaunez au prix de 74 fl. [20]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Sur le devant d'un paysage, Vénus, mollement assise sur des conssins, ordonne à deux Amours d'enchaîner et de corriger un faune qui implore sa grâce en vain, la déesse étant sourdé à ses prières. réalisée par Lauri (Filippo), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Laneuville au prix de 70 fl. [21]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Diane, montrant du doigt Actéon, semble s'applaudir de la vengeance qu'elle vient d'exercer sur lui pour le punir de sa curiosité. La déesse est accompagnée de trois de ses nymphes qui témoignent diversement les impressions que la crainte exerce sur leur pudeur. Ce tableau est largement et savamment exécuté. (Maratti (Carlo))|Diane, montrant du doigt Actéon, semble s'applaudir de la vengeance qu'elle vient d'exercer sur lui pour le punir de sa curiosité. La déesse est accompagnée de trois de ses nymphes qui témoignent diversement les impressions que la crainte exerce sur leur pudeur. Ce tableau est largement et savamment exécuté.]] réalisée par Maratti (Carlo), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Francillon au prix de 70 fl. [22]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jacob, fuyant avec ses deux femmes, Rachel et Lia, de chez Laban son beau-père, est rejoint par ce dernier près de la montagne de Galaad. Le moment choisi par le peintre est celui où Laban fait chercher dans les coffres du fugitif les idoles qu'il y avait fait cacher lui-même. Ce beau tableau est regardé par les connaisseurs comme étant de Mola. La couleur et le pinceau rappèlent en effet ce maître. (Mola (Francesco))|Jacob, fuyant avec ses deux femmes, Rachel et Lia, de chez Laban son beau-père, est rejoint par ce dernier près de la montagne de Galaad. Le moment choisi par le peintre est celui où Laban fait chercher dans les coffres du fugitif les idoles qu'il y avait fait cacher lui-même. Ce beau tableau est regardé par les connaisseurs comme étant de Mola. La couleur et le pinceau rappèlent en effet ce maître.]] réalisée par Mola (Francesco), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lamy au prix de 64 fl. [23]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enfant Jésus sur les genoux de sa mère, entre sainte Catherine et saint Joseph de Padoue. Figures à mi-corps et de demi-nature. Le vieux Palme, imitateur du Giorgion, est admirable sous le rapport du colorîs ; ses teintes sont d'une finesse extrême et d'une union parfaite. (Palme (Jacobo-Palma il Vecchio, dit le Vieux))|L'enfant Jésus sur les genoux de sa mère, entre sainte Catherine et saint Joseph de Padoue. Figures à mi-corps et de demi-nature. Le vieux Palme, imitateur du Giorgion, est admirable sous le rapport du colorîs ; ses teintes sont d'une finesse extrême et d'une union parfaite.]] réalisée par Palme (Jacobo-Palma il Vecchio, dit le Vieux), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Francillon au prix de 300 fl. [24]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus, sur les genoux de sa mère, tend les mains à sainte Catherine en présence du petit saint Jean. Ce charmant tableau, qui ne séduit pas moins par son coloris que par les graces répandues sur toutes ses figures, serait-il, comme le prétendent quelques personnages, une répétition faite par Titien même ? C'est aux connaisseurs à en juger. (Titien (école de Titiano Vecelli, dit le))|Jésus, sur les genoux de sa mère, tend les mains à sainte Catherine en présence du petit saint Jean. Ce charmant tableau, qui ne séduit pas moins par son coloris que par les graces répandues sur toutes ses figures, serait-il, comme le prétendent quelques personnages, une répétition faite par Titien même ? C'est aux connaisseurs à en juger.]] réalisée par Titien (école de Titiano Vecelli, dit le), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Bouché au prix de 81 fl. [25]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage. Les premiers plans sont baignés par une rivière au delà de laquelle on voit une plaine et quelques fabriques ; en deçà l'on remarque un homme à cheval, un pâtre et des bestiaux. réalisée par Zuccarelli, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lafont au prix de 17 fl. [26]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un jeune prince, à genoux devant un autel, est accompagné de son ange gardien, qui lui montre la Vierge et son Fils apparaissant dans une gloire. Il règne dans ce tableau beaucoup de vérité et une grande manière de faire. réalisée par Cigniani, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lantillae au prix de 40 fl. [27]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux représentant l'un et l'autre des vues de la forêt de Soignies. V. Artois, large dans son exécution, est mis au rang des grands paysagistes. réalisée par Artois (Jacques Van), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Simon au prix de 47.05 fl. [28]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux représentant l'un et l'autre des vues de la forêt de Soignies. V. Artois, large dans son exécution, est mit au rang des grands paysagistes. réalisée par Artois (Jacques Van), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Simon au prix de 47.05 fl. [29]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'une route percée dans le bord d'un bois ; au delà est une rivière et plus loin une vaste campagne. On remarque de plus dans ce paysage deux chasseurs courant un cerf que des chiens tiennent en arrêt. réalisée par Asch (Pierre Van), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Simon au prix de 60 fl. [30]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tabagie hollandaise. Dans le milieu sont assis autour d'un tonneau trois fumeurs, dont un s'entretient avec la maîtresse de la maison. Ailleurs sont placés deux autres personnages qui s'amusent à écouter un joueur de violon. Ce tableau, riche, clair et piquant, est un des bons ouvrages de son auteur. (Bega (Corneille))|Tabagie hollandaise. Dans le milieu sont assis autour d'un tonneau trois fumeurs, dont un s'entretient avec la maîtresse de la maison. Ailleurs sont placés deux autres personnages qui s'amusent à écouter un joueur de violon. Ce tableau, riche, clair et piquant, est un des bons ouvrages de son auteur.]] réalisée par Bega (Corneille), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Souin au prix de 288 fl. [31]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des traîneaux et une grande quantité de patineurs sur une rivière glacée, au pied des murs d'une ville. Les figures de ce riche tableau rappellent celles d'Adrien Vanden Velde, tant elles sont moëlleusement peintes et remplies de naturel. (Bergheyden (Job))|Des traîneaux et une grande quantité de patineurs sur une rivière glacée, au pied des murs d'une ville. Les figures de ce riche tableau rappellent celles d'Adrien Vanden Velde, tant elles sont moëlleusement peintes et remplies de naturel.]] réalisée par Bergheyden (Job), vendue par [[M[imaut]]] au prix de 72 fl. [32]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait en buste d'un jeune guerrier représenté nu-tête et cuirassé. Ce portrait est digne de Rembrant. réalisée par Bol (Ferdinand), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Bouché au prix de 35 fl. [33]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Les Mages adorant l'enfant Jésus ; esquisse terminée et d'une grande légèreté de pinceau. réalisée par Bosschaert (Thomas-Willeborts, dit), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Trinchot au prix de 13 fl. [34]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de cabaret de village ; un buveur y cuve son vin sur le bout d'une table, tandis que deux autres causent auprès de la cheminée, et qu'un quatrième se présente à la porte, ayant sous le bras une petite bouteille qu'il vient sans doute faire remplir. Deux enfans et nombre d'ustensiles de ménage, en ajoutant à la richesse de cette composition, en font un ouvrage d'autant plus capital pour ce maître, qu'il a rarement introduit plus de deux ou trois figures dans chacun de ses tableaux. (Brauwer (Adrien))|Intérieur de cabaret de village ; un buveur y cuve son vin sur le bout d'une table, tandis que deux autres causent auprès de la cheminée, et qu'un quatrième se présente à la porte, ayant sous le bras une petite bouteille qu'il vient sans doute faire remplir. Deux enfans et nombre d'ustensiles de ménage, en ajoutant à la richesse de cette composition, en font un ouvrage d'autant plus capital pour ce maître, qu'il a rarement introduit plus de deux ou trois figures dans chacun de ses tableaux.]] réalisée par Brauwer (Adrien), vendue par [[M[imaut]]] au prix de 121 fl. [35]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Une rivière, après en avoir arrosé les plans lointains, vient couler sur l'avant scène, où passe un paysan chassant un âne devant lui. la manière dont ce paysage est touché, la fraicheur qui y regne, et la dégradation des plans qui en exprime si bien l'immense profondeur, montrent que Champagne n'était pas moins habile dans ce genre de peinture que dans l'histoire et le portrait. (Champagne (Philippe de))|Paysage. Une rivière, après en avoir arrosé les plans lointains, vient couler sur l'avant scène, où passe un paysan chassant un âne devant lui. la manière dont ce paysage est touché, la fraicheur qui y regne, et la dégradation des plans qui en exprime si bien l'immense profondeur, montrent que Champagne n'était pas moins habile dans ce genre de peinture que dans l'histoire et le portrait.]] réalisée par Champagne (Philippe de), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Martin au prix de 113 fl. [36]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La fuite en Egypte. La Vierge, portant Jésus endormi dans ses bras, est montée sur un âne que Saint Joseph, une torche à la main, conduit par le licou et pas à pas. Un ange accompagne la Sainte Famille et plane à côté de Marie. Il paraît indiquer à Saint Joseph, qui se retourne vers lui, le chemin qu'il doit tenir. L'expression de chacun de ces personnages est parfaitement assortie à son caractère, et l'effet général du tableau aussi piquant que naturel. On a vu vendre de ce maître, et parfois très-cher, des ouvrages qui, trop polis ou trop léchés, montraient moins d'art que de peine et de travail. Celui-ci est, à notre avis, d'une espèce préférable. Le faire en est, pour ainsi dire, Carachesque, ainsi que le style, et l'on y découvre l'artiste qui, bien pénétré de son sujet, le mène facilement à sa fin. (Dietrick (William-Ernest))|La fuite en Egypte. La Vierge, portant Jésus endormi dans ses bras, est montée sur un âne que Saint Joseph, une torche à la main, conduit par le licou et pas à pas. Un ange accompagne la Sainte Famille et plane à côté de Marie. Il paraît indiquer à Saint Joseph, qui se retourne vers lui, le chemin qu'il doit tenir. L'expression de chacun de ces personnages est parfaitement assortie à son caractère, et l'effet général du tableau aussi piquant que naturel. On a vu vendre de ce maître, et parfois très-cher, des ouvrages qui, trop polis ou trop léchés, montraient moins d'art que de peine et de travail. Celui-ci est, à notre avis, d'une espèce préférable. Le faire en est, pour ainsi dire, Carachesque, ainsi que le style, et l'on y découvre l'artiste qui, bien pénétré de son sujet, le mène facilement à sa fin.]] réalisée par Dietrick (William-Ernest), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Peillon rue fbg St Hé no.83 au prix de 318 fl. [37]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une paysanne assise sur le devant d'une prairie, à quelques pas de sa chaumière, donne le sein à son enfant et cause avec un homme. Autour d'elle se reposent une vache et plusieurs moutons ; plus loin, la prairie est couverte de bestiaux. Ce charmant tableau est tout à la fois clair, riche et de la plus belle manière de Vander Does. (Does (Simon Vander))|Une paysanne assise sur le devant d'une prairie, à quelques pas de sa chaumière, donne le sein à son enfant et cause avec un homme. Autour d'elle se reposent une vache et plusieurs moutons ; plus loin, la prairie est couverte de bestiaux. Ce charmant tableau est tout à la fois clair, riche et de la plus belle manière de Vander Does.]] réalisée par Does (Simon Vander), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Simon au prix de 78.15 fl. [38]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marine. On y voit, en pleine mer, un vaisseau mouillé, et plusieurs barques faisant voile vers la côté ; sur la grève est échoué un bateau, où des matelots embarquent différens objets ; la mer est calme ; mais le ciel obscurci par d'épaisses nuées annonce un prochain orage. Dubbels aimait à peindre les flots lorsque, soumis à la seule impulsion du flux, ils roulent paisiblement sur une plage sablonneuse et unie. (Dubbels)|Marine. On y voit, en pleine mer, un vaisseau mouillé, et plusieurs barques faisant voile vers la côté ; sur la grève est échoué un bateau, où des matelots embarquent différens objets ; la mer est calme ; mais le ciel obscurci par d'épaisses nuées annonce un prochain orage. Dubbels aimait à peindre les flots lorsque, soumis à la seule impulsion du flux, ils roulent paisiblement sur une plage sablonneuse et unie.]] réalisée par Dubbels, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lafont au prix de 94 fl. [39]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous un vestibule très-profond, sont représentés un stadhouder et la princesse son épouse, sortant de leur palais, à la clarté des flambeaux, pour monter dans une voiture qui les attend ; avec eux, est une foule de courtisans et de valets. On découvre à la droite du tableau, à travers l'obscurité de la nuit, un fleuve sur lequel flotte un yacht, où, sans doute, le prince va s'embarquer. On a pensé que cet ouvrage, remarquable par son effet, était d'A. Cuyp ; et c'est ainsi qu'il était désigné dans le cabinet de M. le Ch. M***. Le monogramme que nous y avons aperçu, en détruisant l'erreur, ne détruit oas le sentiment d'admiration que commande ici la magie de la couleur. (Signé G.H.)|Sous un vestibule très-profond, sont représentés un stadhouder et la princesse son épouse, sortant de leur palais, à la clarté des flambeaux, pour monter dans une voiture qui les attend ; avec eux, est une foule de courtisans et de valets. On découvre à la droite du tableau, à travers l'obscurité de la nuit, un fleuve sur lequel flotte un yacht, où, sans doute, le prince va s'embarquer. On a pensé que cet ouvrage, remarquable par son effet, était d'A. Cuyp ; et c'est ainsi qu'il était désigné dans le cabinet de M. le Ch. M***. Le monogramme que nous y avons aperçu, en détruisant l'erreur, ne détruit oas le sentiment d'admiration que commande ici la magie de la couleur.]] réalisée par Signé G.H., vendue par [[M[imaut]]], achetée par Didot au prix de 200 fl. [40]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une dame et un cavalier assis près d'une table, dans une chambre à coucher, font une partie de cartes en présence de trois autres personnages qui s'amusent à les regarder. Gerraerts a traité ce genre de sujets avec une noblesse qui relève le mérite de ses ouvrages ; son coloris est d'ailleurs plein de force, son pinceau facile et assez semblable à celui de Lairesse. (Gerraerts Van Zyt)|Une dame et un cavalier assis près d'une table, dans une chambre à coucher, font une partie de cartes en présence de trois autres personnages qui s'amusent à les regarder. Gerraerts a traité ce genre de sujets avec une noblesse qui relève le mérite de ses ouvrages ; son coloris est d'ailleurs plein de force, son pinceau facile et assez semblable à celui de Lairesse.]] réalisée par Gerraerts Van Zyt, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lafont au prix de 18 fl. [41]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une villageoise chargée d'un fagot cause avec un vieillard dans un chemin tracé sur le devant d'un paysage ; plus loin, un troupeau de moutouns paît dans une espèce de bruyère ; de hautes montagnes terminent le point de vue. Ce paysage, d'une couleur dorée, plein de soleil, rivaliserait de mérite avec un ouvrage de J. Both. (Hagen (Vander))|Une villageoise chargée d'un fagot cause avec un vieillard dans un chemin tracé sur le devant d'un paysage ; plus loin, un troupeau de moutouns paît dans une espèce de bruyère ; de hautes montagnes terminent le point de vue. Ce paysage, d'une couleur dorée, plein de soleil, rivaliserait de mérite avec un ouvrage de J. Both.]] réalisée par Hagen (Vander), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Paillet au prix de 83.05 fl. [42]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre paysage dont l'effet annonce également un coucher de soleil. Le premier plan est presque tout occupé par une rivière ; sur les autres, on voit ça et là des arbres et des rochers. Ce tableau, peint avec feu et facilité, paraît être une étude. (Heusch (Guillaume de))|Autre paysage dont l'effet annonce également un coucher de soleil. Le premier plan est presque tout occupé par une rivière ; sur les autres, on voit ça et là des arbres et des rochers. Ce tableau, peint avec feu et facilité, paraît être une étude.]] réalisée par Heusch (Guillaume de), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Martin au prix de 64 fl. [43]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jupiter, accompagné de son aigle, saisit et semble vouloir retenir une nymphe qui tâche de fuir. Derrière le maître du ciel apparaît la jalouse Junon, qui vient sans doute épier son époux et traverser ses nouvelles amours. Jordaens, qu'aucun peintre n'a surpassé du côté du coloris, est ici admirable dans cette partie de l'art. On ne peut donner à la combinaison des couleurs plus d'éclat ni plus de relief et de vérité. (Jordaens (Jacques))|Jupiter, accompagné de son aigle, saisit et semble vouloir retenir une nymphe qui tâche de fuir. Derrière le maître du ciel apparaît la jalouse Junon, qui vient sans doute épier son époux et traverser ses nouvelles amours. Jordaens, qu'aucun peintre n'a surpassé du côté du coloris, est ici admirable dans cette partie de l'art. On ne peut donner à la combinaison des couleurs plus d'éclat ni plus de relief et de vérité.]] réalisée par Jordaens (Jacques), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Martin au prix de 116 fl. [44]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des raisins rouges et blancs, des pêches, des prunes et autres fruits groupés avec des fleurs. Tous ces objets représentés avec beaucoup de vérité, sont aussi très-soigneusement exécutés. réalisée par Juncker (1764), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Mimaut au prix de 63 fl. [45]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des fabriques, des ruines et un tombeau sur différens plans d'un paysage, où l'auteur rivalise de goût avec le Guaspre et le Poussin. réalisée par Milé (Francisque), vendue par [[M[imaut]]] au prix de 41 fl. [46]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre paysage. De cinq personnages qu'on voit sur les premiers plans, un se repose sur le gazon, et un autre prend le frais sur le bord d'une rivière qui va baigner au loin le pied d'une colline couverte de fabriques. réalisée par Milé (Francisque), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lafont au prix de 14 fl. [47]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Port de mer du Levant. Des Asiatiques montés sur des chevaux superbes et suivis d'esclaves qui conduisent des chameaux, occupent avec d'autres personnages le devant de cette composition ; vers le second plan des forteresses bâties sur le haut de rocs escarpés défendent l'entrée du port ; plus loin un vaisseau prêt à jeter l'ancre annonce son arrivée par une volée de coups de canon. Les productions de Minderhout, trop peu connues, présentent une grande richesse d'idées, et sont aussi amusantes que bien peintes. (Minderhout)|Port de mer du Levant. Des Asiatiques montés sur des chevaux superbes et suivis d'esclaves qui conduisent des chameaux, occupent avec d'autres personnages le devant de cette composition ; vers le second plan des forteresses bâties sur le haut de rocs escarpés défendent l'entrée du port ; plus loin un vaisseau prêt à jeter l'ancre annonce son arrivée par une volée de coups de canon. Les productions de Minderhout, trop peu connues, présentent une grande richesse d'idées, et sont aussi amusantes que bien peintes.]] réalisée par Minderhout, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lafont au prix de 80 fl. [48]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un tertre coupé par un ravin et situé au pied d'une colline, sont dispersées plusieurs vaches, chèvres et brebis qu'une jeune femme est occupée à traire. On ne voit que peu d'arbres dans ce paysage, et tout y porte tempreinte d'un climat desséché par les ardeurs du soleil. (Momers)|Sur un tertre coupé par un ravin et situé au pied d'une colline, sont dispersées plusieurs vaches, chèvres et brebis qu'une jeune femme est occupée à traire. On ne voit que peu d'arbres dans ce paysage, et tout y porte tempreinte d'un climat desséché par les ardeurs du soleil.]] réalisée par Momers, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Souyn au prix de 120 fl. [49]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ruines d'anciens palais, porte de ville et groupe d'arbres sur un terrain avoisinant la mer : tels sont les objets représentés avec beaucoup d'art dans ce tableau. Il est à remarquer que les figures sont de G. Lairesse, et qu'il a été gravé. (Moucheron (Isaac))|Ruines d'anciens palais, porte de ville et groupe d'arbres sur un terrain avoisinant la mer : tels sont les objets représentés avec beaucoup d'art dans ce tableau. Il est à remarquer que les figures sont de G. Lairesse, et qu'il a été gravé.]] réalisée par Moucheron (Isaac), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Coignet au prix de 80 fl. [50]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur de la cathédrale d'Anvers ; tableau capital, où l'on compte çà et là plus de cinquante personnages, prêtres, dévots, curieux et mendians. Ces figures sont de F. Franck. réalisée par Neef (Pierre), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Henry au prix de 176 fl. [51]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un enfant richement habillé se récrée à faire des bulles d'eau de savon. Il est accoudè sur un entablement de balustrade où des vases d'argent sont posès sur un tapis de Turquie. Le fini et la beauté du faire, le charme de la couleur s'unissent ici à l'expression gracieuse et naive de l'enfance, et font de ce délicieux tableau un morceau digne de tous les cabinets. (Netscher (Gaspard))|Un enfant richement habillé se récrée à faire des bulles d'eau de savon. Il est accoudè sur un entablement de balustrade où des vases d'argent sont posès sur un tapis de Turquie. Le fini et la beauté du faire, le charme de la couleur s'unissent ici à l'expression gracieuse et naive de l'enfance, et font de ce délicieux tableau un morceau digne de tous les cabinets.]] réalisée par Netscher (Gaspard), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Henry au prix de 160 fl. [52]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un enfant gardant avec un vieillard un troupeau de différens animaux domestiques, prèsente une poignée d'herbe à une chèvre. A ces deux pasteurs est réuni un troisième villageois tenant un âne par le licou. Cette pastiche à l'imitation de Jacques Bassan, est une de ces peintures curieuses qui montrent avec quelle merveilleuse facilité Teniers savait imiter le style et le faire de chaque maître. (Teniers, (David))|Un enfant gardant avec un vieillard un troupeau de différens animaux domestiques, prèsente une poignée d'herbe à une chèvre. A ces deux pasteurs est réuni un troisième villageois tenant un âne par le licou. Cette pastiche à l'imitation de Jacques Bassan, est une de ces peintures curieuses qui montrent avec quelle merveilleuse facilité Teniers savait imiter le style et le faire de chaque maître.]] réalisée par Teniers, (David), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Paillet au prix de 56.05 fl. [53]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un hameau par un tems de neige. Deux paysans qui causent tranquillement au milieu de la campagne, y bravent la riguear des frimats. Un troisième chasse deux cochons. L'air de vérité de ce paysage, et le large qui règne dans son exécution, sont également remarquables. (Teniers, (David))|Vue d'un hameau par un tems de neige. Deux paysans qui causent tranquillement au milieu de la campagne, y bravent la riguear des frimats. Un troisième chasse deux cochons. L'air de vérité de ce paysage, et le large qui règne dans son exécution, sont également remarquables.]] réalisée par Teniers, (David), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Michel Jeune au prix de 119.05 fl. [54]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cinq ou six villageois fumant, buvant et jouant à la boule à la porte d'un cabaret. Ces deux derniers tableaux, quoique généralement considérés comme étant de Téniers, pourraient bien n'être que d'Abshoven, son meilleur élève. (Teniers, (David))|Cinq ou six villageois fumant, buvant et jouant à la boule à la porte d'un cabaret. Ces deux derniers tableaux, quoique généralement considérés comme étant de Téniers, pourraient bien n'être que d'Abshoven, son meilleur élève.]] réalisée par Teniers, (David), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Henry au prix de 70 fl. [55]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un cavalier, accompagné d'une dame et suivi d'un page, vient de mettre pied à terre devant le perron d'un château, et s'y entretient avec la maîtresse du lieu. Avec cette dernière est une jeune fille qui s'amuse à jouer de la mandoline. Cet agréable sujet est peint sur bois. (Verschuring (Henri))|Un cavalier, accompagné d'une dame et suivi d'un page, vient de mettre pied à terre devant le perron d'un château, et s'y entretient avec la maîtresse du lieu. Avec cette dernière est une jeune fille qui s'amuse à jouer de la mandoline. Cet agréable sujet est peint sur bois.]] réalisée par Verschuring (Henri), vendue par [[M[imaut]]] au prix de 77 fl. [56]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Portrait d'une vieille femme décrépite. Elle est vue en buste et porte un voile sur la tête. réalisée par Vinne (Vincent Vander), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Berthaud au prix de 20 fl. [57]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus, se trainant sous sa croix vers le lieu de son martyre, remet à Sainte Véronique le linge où se sont miraculeusement empreints les traits de son visage. Des soldats précédés de leurs chefs accompagnent le Christ ; derriere lui viennent les deux larrons. On voit au loin, dans une vallée, la ville de Jérusalem. Ce petit tableau a beaucoup de ressemblance avec certains ouvrages de Rembrandt, et son coloris plein de force est aussi d'une grande transparence. (De Wet)|Jésus, se trainant sous sa croix vers le lieu de son martyre, remet à Sainte Véronique le linge où se sont miraculeusement empreints les traits de son visage. Des soldats précédés de leurs chefs accompagnent le Christ ; derriere lui viennent les deux larrons. On voit au loin, dans une vallée, la ville de Jérusalem. Ce petit tableau a beaucoup de ressemblance avec certains ouvrages de Rembrandt, et son coloris plein de force est aussi d'une grande transparence.]] réalisée par De Wet, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Henry au prix de 18 fl. [58]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des hommes et des femmes font la conversation près d'une fontaine en dehors des murs d'une ville. Excellent ouvrage de ce maître. réalisée par Wyck (Thomas), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Henry au prix de 81 fl. [59]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Une rivière qui entretient la fraicheur du premier plan, et sépare d'une côté ombragée d'arbres une colline couverte de maisons de plaisance, va fertiliser de vastes campagnes, qu'une échappée de vue laisse apercevoir au loin sous une légère vapeur. La composition de ce paysage, ainsi que celle du tableau exposé au dernier Salon, sous le No. 74, rappelle la vallée de Roncigliano ; et la petite scène qui s'y passe entre deux bergers, lui donne un aspect tout-à-fait romantique. La palme que M. Bidauld a obtenue au dernier Salon, en faisant l'éoge de son charmant talent, fait aussi celui de ses productions, et justifie l'empressement avec lequel elles sont rechérchées par les amateurs. Celle-ci sera vue avec d'autant plus de plaisir que les ventes publiques en offrent rarement qui lui soient comparables. (M. Bidault)|Paysage. Une rivière qui entretient la fraicheur du premier plan, et sépare d'une côté ombragée d'arbres une colline couverte de maisons de plaisance, va fertiliser de vastes campagnes, qu'une échappée de vue laisse apercevoir au loin sous une légère vapeur. La composition de ce paysage, ainsi que celle du tableau exposé au dernier Salon, sous le No. 74, rappelle la vallée de Roncigliano ; et la petite scène qui s'y passe entre deux bergers, lui donne un aspect tout-à-fait romantique. La palme que M. Bidauld a obtenue au dernier Salon, en faisant l'éoge de son charmant talent, fait aussi celui de ses productions, et justifie l'empressement avec lequel elles sont rechérchées par les amateurs. Celle-ci sera vue avec d'autant plus de plaisir que les ventes publiques en offrent rarement qui lui soient comparables.]] réalisée par M. Bidault, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Giroux au prix de 319 fl. [60]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une grande prairie attenant à la lisière d'un bois. M. Sweback a orné ce beau paysage d'une quantité de jolies figures, parmi lesquelles il a représenté des chasseurs poursuivant un cerf. On pourrait dire de la réunion de ces deux artistes que c'est l'esprit et la vérité marchant de compagnie. (Bruandet (Leasar))|Vue d'une grande prairie attenant à la lisière d'un bois. M. Sweback a orné ce beau paysage d'une quantité de jolies figures, parmi lesquelles il a représenté des chasseurs poursuivant un cerf. On pourrait dire de la réunion de ces deux artistes que c'est l'esprit et la vérité marchant de compagnie.]] réalisée par Bruandet (Leasar), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Simon au prix de 130 fl. [61]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Jean-Baptiste assis sur le devant d'un paysage, montre au loin le Sauveur. Ce petit tableau, attribué depuis long-tems au Guerchin, nous paraît être de R. Tassel, qui fut, dit-on, son élève, et qui imita parfois Jean Miel. La couleur en est excellente, et le pinceau coulant et moëlleux. (Tassel (Richard))|Saint Jean-Baptiste assis sur le devant d'un paysage, montre au loin le Sauveur. Ce petit tableau, attribué depuis long-tems au Guerchin, nous paraît être de R. Tassel, qui fut, dit-on, son élève, et qui imita parfois Jean Miel. La couleur en est excellente, et le pinceau coulant et moëlleux.]] réalisée par Tassel (Richard), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Martin au prix de 120 fl. [62]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Gabriel de Vergy. Fayel surprend Raoul de Concy aux pieds de Gabrielle. Il s'est introduit par une porte dérobée, et force à se taire une femme que la frayeur a fait évanouir. Déjà l'écuyer de Raoul est assassiné dans le fond d'une galerie, par l'ordre de Fayel. Ce beau tableau de l'auteur de la Condamnation de Marie-Stuart, si justement admirée au Salon de 1808, fut exposé au Salon de 1810 sous le No. 826, et y réunit les suffrages de tous les amateurs. M. Landon l'a fait graver au traît, dans ses Annales du Musée, page 86. Nous ne pouvons mieux faire que de citer ici ce que l'historien du Musée dit de ce tableau : "Le mouvement de cette scène est entièrement de l'invention du peintre ; le costume y est bien observé, et l'ensemble de ce tableau, bien composé et soigné, a tout le caractère du tems." (M. Vermay)|Gabriel de Vergy. Fayel surprend Raoul de Concy aux pieds de Gabrielle. Il s'est introduit par une porte dérobée, et force à se taire une femme que la frayeur a fait évanouir. Déjà l'écuyer de Raoul est assassiné dans le fond d'une galerie, par l'ordre de Fayel. Ce beau tableau de l'auteur de la Condamnation de Marie-Stuart, si justement admirée au Salon de 1808, fut exposé au Salon de 1810 sous le No. 826, et y réunit les suffrages de tous les amateurs. M. Landon l'a fait graver au traît, dans ses Annales du Musée, page 86. Nous ne pouvons mieux faire que de citer ici ce que l'historien du Musée dit de ce tableau : "Le mouvement de cette scène est entièrement de l'invention du peintre ; le costume y est bien observé, et l'ensemble de ce tableau, bien composé et soigné, a tout le caractère du tems."]] réalisée par M. Vermay, vendue par [[M[imaut]]], achetée par Billaudel au prix de 131.05 fl. [63]
- 1817.10.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Plusieurs villageois italiens se livrent à divers amusemens. réalisée par Michel-Ange des batailles, ou des bambochades (Cerquozzi, dit), vendue par [[M[imaut]]], achetée par Lafont au prix de 10.6 fl. [64]