Ventes d'œuvres le 1818.03.09

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  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans une prairie, éclairée par un beau soleil, on distingue deux vaches, dont une au repos et appuyée contre un saule.Cet échantillon du talent de M. Kobel fut exposé aux derniers salon sous le no. 550. Nous le regardons comme un des ouvrages les plus soignés de ce peintre, heureux imitateur de Paul Potter. (Feu Kobel, peintre hollandais)|Dans une prairie, éclairée par un beau soleil, on distingue deux vaches, dont une au repos et appuyée contre un saule.Cet échantillon du talent de M. Kobel fut exposé aux derniers salon sous le no. 550. Nous le regardons comme un des ouvrages les plus soignés de ce peintre, heureux imitateur de Paul Potter.]] réalisée par Feu Kobel, peintre hollandais, vendue par Lavallée, achetée par Paillet au prix de 480 fl. [112]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un pauvre napolitain assis contre les murs d'un couvent et considéré par son chien. Le fond du tableau indique une distribution de vivres à des Lazaronis. Toutes les productions de Mlle. Lescot sont admirées sous le rapport de la vérité, de la force de pinceau et du goût de couleur. (Mlle. Lescot)|Un pauvre napolitain assis contre les murs d'un couvent et considéré par son chien. Le fond du tableau indique une distribution de vivres à des Lazaronis. Toutes les productions de Mlle. Lescot sont admirées sous le rapport de la vérité, de la force de pinceau et du goût de couleur.]] réalisée par Mlle. Lescot, vendue par Lavallée, achetée par Lavallée au prix de 263 fl. [113]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mlle. Delavallière au couvent des Carmélites ; elle est à genoux, exhortée par l'abbesse et devant un prie-dieu. Ce tableau, exposé au salon sous le n. 626. offre un sujet plein d'intérêt est traité avec toute la délicatesse de pinceau que l'on connaît à son auteur. (Mme. Sophie Lemire)|Mlle. Delavallière au couvent des Carmélites ; elle est à genoux, exhortée par l'abbesse et devant un prie-dieu. Ce tableau, exposé au salon sous le n. 626. offre un sujet plein d'intérêt est traité avec toute la délicatesse de pinceau que l'on connaît à son auteur.]] réalisée par Mme. Sophie Lemire, vendue par Lavallée, achetée par Mdme Lavallée au prix de 499.95 fl. [115]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue de rivière passant auprès d'un mur formant massif, avec quelques bouquets d'arbres. On distingue sur ce côté un bateau chargé de différens voyageurs et animaux. Ce tableau, hors de la manière ordinaire de M. Demarne, est vigoureux de ton. On croirait qu'inspiré des maîtres hollandais il a voulu, sinon les surpasser, du moins prouver qu'il connaissait assez les ressources de son art pour produire ce qu'on admire en eux, l'effet piquant et l'harmonie des couleurs. (M. Demarne)|Point de vue de rivière passant auprès d'un mur formant massif, avec quelques bouquets d'arbres. On distingue sur ce côté un bateau chargé de différens voyageurs et animaux. Ce tableau, hors de la manière ordinaire de M. Demarne, est vigoureux de ton. On croirait qu'inspiré des maîtres hollandais il a voulu, sinon les surpasser, du moins prouver qu'il connaissait assez les ressources de son art pour produire ce qu'on admire en eux, l'effet piquant et l'harmonie des couleurs.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Lavallée, achetée par Paillet au prix de 281 fl. [116]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue extérieure d'un parc ; un cavalier et une dame, accompagnés d'un nègre, descendent les degrès, tandis qu'un jeune garçon leur présente un beau cheval blanc. Le paysage et les parties d'architectire frappés des rayons du soleil répandent dans cette agréable production un ton doré joint à l'effet le plus piquant. (M. Rhoen)|Vue extérieure d'un parc ; un cavalier et une dame, accompagnés d'un nègre, descendent les degrès, tandis qu'un jeune garçon leur présente un beau cheval blanc. Le paysage et les parties d'architectire frappés des rayons du soleil répandent dans cette agréable production un ton doré joint à l'effet le plus piquant.]] réalisée par M. Rhoen, vendue par Lavallée, achetée par Mdme Lavallée au prix de 150 fl. [119]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Port de la Méditerranée cerné par une chaîne de montagnes surmontées de tours et de quelques arbustes. Plusieurs arméniens sont occupés au débarquement de leurs marchandises. On distingue, sur le premier plan de cette composition, trois figures principales dans de riches costumes ; quelques accessoires relatifs au sujet répandent une variété piquante. Cet échantillon du talent de M. Rhoen, que l'on pourrait surnommer le Pynaker moderne, est touché avec infiniment d'esprit et de goût, et n'est pas un des moins intéressans que nous ayons à présenter aux amateurs dans cette charmante collection. (M. Rhoen)|Port de la Méditerranée cerné par une chaîne de montagnes surmontées de tours et de quelques arbustes. Plusieurs arméniens sont occupés au débarquement de leurs marchandises. On distingue, sur le premier plan de cette composition, trois figures principales dans de riches costumes ; quelques accessoires relatifs au sujet répandent une variété piquante. Cet échantillon du talent de M. Rhoen, que l'on pourrait surnommer le Pynaker moderne, est touché avec infiniment d'esprit et de goût, et n'est pas un des moins intéressans que nous ayons à présenter aux amateurs dans cette charmante collection.]] réalisée par M. Rhoen, vendue par Lavallée, achetée par Paillet au prix de 262 fl. [120]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune guerrier vient de déposer sa lance pour prendre une lyre dont les accens doivent retentir jusqu'à la tour o`u repose la dame de ses pensées ; un effet de clair de lune éclaire mystérieusement ce sujet, traité avec toute la finesse de pinceau qui fait rechercher les productions de ce peintre aimable. (M. Laurent)|Un jeune guerrier vient de déposer sa lance pour prendre une lyre dont les accens doivent retentir jusqu'à la tour o`u repose la dame de ses pensées ; un effet de clair de lune éclaire mystérieusement ce sujet, traité avec toute la finesse de pinceau qui fait rechercher les productions de ce peintre aimable.]] réalisée par M. Laurent, vendue par Lavallée, achetée par Aubri au prix de 151 fl. [123]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site pris dans les montagnes d'Italie ; elles sont séparées par une rivière traversée par un pont ; on y distingue quelques figures et animaux. Nous n'ajouterons rien aux éloges tant de fois répétés sur les ouvrages de ce peintre, lorsqu'ils sont, comme celui-ci, de la touche la plus suave et la plus délicate. Il porte la même dimension que le tableau précédent. (M. Bidaut)|Site pris dans les montagnes d'Italie ; elles sont séparées par une rivière traversée par un pont ; on y distingue quelques figures et animaux. Nous n'ajouterons rien aux éloges tant de fois répétés sur les ouvrages de ce peintre, lorsqu'ils sont, comme celui-ci, de la touche la plus suave et la plus délicate. Il porte la même dimension que le tableau précédent.]] réalisée par M. Bidaut, vendue par Lavallée, achetée par Paillet au prix de 400 fl. [124]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage séparé par un chemin où l'on distingue des bergers avec leurs troupeaux, et quelques voyageurs. Plusieurs fabriques sur la partie gauche s'élèvent au dessus d'arbres et broussailles et se détachent sur un ciel nuagé. Précieux tableau de ce maître, et pouvant faire pendant au no. 23, par M. Bidaut. (M. Taunay)|Paysage séparé par un chemin où l'on distingue des bergers avec leurs troupeaux, et quelques voyageurs. Plusieurs fabriques sur la partie gauche s'élèvent au dessus d'arbres et broussailles et se détachent sur un ciel nuagé. Précieux tableau de ce maître, et pouvant faire pendant au no. 23, par M. Bidaut.]] réalisée par M. Taunay, vendue par Lavallée, achetée par Lemêle au prix de 299 [ou] 308 fl. [125]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet allégorique pour un plafond. Minerve et Jupiter, descendus de l'Olympe, animent du feu divin une figure humaine, personifiant les arts. La Peinture, la Sculpture et l'Architecture forment un groupe porté par des nuages, et concourent à l'harmonie de cette composition. (Berthelemy)|Sujet allégorique pour un plafond. Minerve et Jupiter, descendus de l'Olympe, animent du feu divin une figure humaine, personifiant les arts. La Peinture, la Sculpture et l'Architecture forment un groupe porté par des nuages, et concourent à l'harmonie de cette composition.]] réalisée par Berthelemy, vendue par Lavallée au prix de 81 fl. [127]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un des plus gracieux sujets sortis du pinceau de ce peintre habile ; il représente Venus debout sur sa coquille et traînée par des colombes : elle est accompagnée de l'Amour qui voyage avec elle ; un autre enfant, porté par un dauphin, semble précéder cette marche. Ce tableau, dont les tons de chair sont du plus beau coloris, vient d'être remis sur toile sous les yeux de feu M. Lavallé, et nous avons cru convenable de laisser à l'acquéreur le soin d'en surveiller le peu de restoration qui lui est nécessaire. (P. Véronèse)|Un des plus gracieux sujets sortis du pinceau de ce peintre habile ; il représente Venus debout sur sa coquille et traînée par des colombes : elle est accompagnée de l'Amour qui voyage avec elle ; un autre enfant, porté par un dauphin, semble précéder cette marche. Ce tableau, dont les tons de chair sont du plus beau coloris, vient d'être remis sur toile sous les yeux de feu M. Lavallé, et nous avons cru convenable de laisser à l'acquéreur le soin d'en surveiller le peu de restoration qui lui est nécessaire.]] réalisée par P. Véronèse, vendue par Lavallée au prix de 425 fl. [129]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vieille Femme assise dans un fauteuil et appuyée contre un oreiller ; elle tient un livre sur ses genoux. Ce tableau, vigoureux de pinceau et d'une couleur transparente, offre toutes les beautés de ce maître auquel il est attribué. (Attribué à Metzu)|Une vieille Femme assise dans un fauteuil et appuyée contre un oreiller ; elle tient un livre sur ses genoux. Ce tableau, vigoureux de pinceau et d'une couleur transparente, offre toutes les beautés de ce maître auquel il est attribué.]] réalisée par Attribué à Metzu, vendue par Lavallée, achetée par Simon au prix de 101 fl. [132]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue d'un village de la Hollande, à effet de nuit. On remarque dans le fond l'incendie d'une maison. Ce petit tableau, visible dans toutes ses parties, est d'une trasparence de ton admirable et d'une couleur tout-à-fait rembranesque. (A. Vanderneer)|Point de vue d'un village de la Hollande, à effet de nuit. On remarque dans le fond l'incendie d'une maison. Ce petit tableau, visible dans toutes ses parties, est d'une trasparence de ton admirable et d'une couleur tout-à-fait rembranesque.]] réalisée par A. Vanderneer, vendue par Lavallée, achetée par Paillet au prix de 163 fl. [142]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage coupé par différens plans de montagnes mêlées d'arbustes, et terminé par des fonds avec indication de fabriques. On remarque sur un chemin montagneux des paysans, hommes et femmes, conduisant leurs mulets. Toutes cette composition, dont le site semble appartenir à l'Italie, est éclairée par un ciel chaud et un soleil brûlant dont les reflets font ressortir des détails piquans et lumineux. (Both D'Italie)|Paysage coupé par différens plans de montagnes mêlées d'arbustes, et terminé par des fonds avec indication de fabriques. On remarque sur un chemin montagneux des paysans, hommes et femmes, conduisant leurs mulets. Toutes cette composition, dont le site semble appartenir à l'Italie, est éclairée par un ciel chaud et un soleil brûlant dont les reflets font ressortir des détails piquans et lumineux.]] réalisée par Both D'Italie, vendue par Lavallée, achetée par Billaudel au prix de 46` fl. [146]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bataille de cavalerie livrée dans une plaine entourée de rivières et de chaînes de montagnes. Toute l'etendue de ce vaste terrain est couverte de combattans à pied et à cheval. Ici deux cavaliers tirent à bout portant, tandis qu'auprès de cette scène terrible un autre cavalier cherche à parer un coup de sabre avec son pistolet : plusieurs assaillans sont étendus morts sur le champ de bataille ; d'autres cherchent à échapper au danger en pressant leurs chevaux et combattant encore. Partout sont répandus l'épouvante et l'effroi. Nous n'arrêterons pas le lecteur par une plus longue analyse du sujet de ce tableau ; la vue seule peut l'achever. Capital par la dimension, et plus encore par sa précieuse qualité, brillant dans toutes les parties, et d'une conservation parfaite, il est digne enfin d'être placé au rang des chefs-d'oeuvre de Ph. Wouvermans, le Raphaël de son genre. Si ce tableau est destiné, par sa richesse, à faire l'ornement d'un cabinet de premier ordre, il fait d'avance honneur au choix de celui qui s'en rendra possesseur, comme il honore à-la-fois le goût de celui qui l'a possédé. (Ph. Wouvermans)|Bataille de cavalerie livrée dans une plaine entourée de rivières et de chaînes de montagnes. Toute l'etendue de ce vaste terrain est couverte de combattans à pied et à cheval. Ici deux cavaliers tirent à bout portant, tandis qu'auprès de cette scène terrible un autre cavalier cherche à parer un coup de sabre avec son pistolet : plusieurs assaillans sont étendus morts sur le champ de bataille ; d'autres cherchent à échapper au danger en pressant leurs chevaux et combattant encore. Partout sont répandus l'épouvante et l'effroi. Nous n'arrêterons pas le lecteur par une plus longue analyse du sujet de ce tableau ; la vue seule peut l'achever. Capital par la dimension, et plus encore par sa précieuse qualité, brillant dans toutes les parties, et d'une conservation parfaite, il est digne enfin d'être placé au rang des chefs-d'oeuvre de Ph. Wouvermans, le Raphaël de son genre. Si ce tableau est destiné, par sa richesse, à faire l'ornement d'un cabinet de premier ordre, il fait d'avance honneur au choix de celui qui s'en rendra possesseur, comme il honore à-la-fois le goût de celui qui l'a possédé.]] réalisée par Ph. Wouvermans, vendue par Lavallée, achetée par Laneuville. [147]
  • 1818.03.09/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Diverses estampes encadrées, porte=feuille et autres objets seront vendus sous ce numéro, ainsi que les articles de tableaux et curiosité qui auraient été omis au présent Catalogue. 1 plateau idem {par de Laar et deux figures (de Laar)|Diverses estampes encadrées, porte=feuille et autres objets seront vendus sous ce numéro, ainsi que les articles de tableaux et curiosité qui auraient été omis au présent Catalogue. 1 plateau idem {par de Laar et deux figures]] réalisée par de Laar, vendue par Lavallée au prix de 37 fl. [163]