Ventes d'œuvres le 1819.01.18

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  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des fleurs de toutes sortes sont placées dans un vase ; quelques-unes sont tombées sur le socle qui supporte le vase. On ne saurait trop admirer le bon goût avec lequel ces fleurs sont groupées, la beauté, la variété et la vérité de leurs formes et de leurs couleurs. (Baptiste)|Des fleurs de toutes sortes sont placées dans un vase ; quelques-unes sont tombées sur le socle qui supporte le vase. On ne saurait trop admirer le bon goût avec lequel ces fleurs sont groupées, la beauté, la variété et la vérité de leurs formes et de leurs couleurs.]] réalisée par Baptiste, vendue par D, achetée par de Boulogne au prix de 52 fl. [17]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur les deux côtés d'un chemin creux, s'élèvent des terreins couverts de gazon et ombragés par des arbres épais, entre lesquels on aperçoit une maison sur le bord d'une rivière ; derrière, les plans sont multipliés et s'étendent au loin ; sur le devant, on voit deux femmes et un homme entourés de moutons. Les figures, d'un bon style, sont de M. Duval. (Bruandet (Eléazar))|Sur les deux côtés d'un chemin creux, s'élèvent des terreins couverts de gazon et ombragés par des arbres épais, entre lesquels on aperçoit une maison sur le bord d'une rivière ; derrière, les plans sont multipliés et s'étendent au loin ; sur le devant, on voit deux femmes et un homme entourés de moutons. Les figures, d'un bon style, sont de M. Duval.]] réalisée par Bruandet (Eléazar), vendue par D, achetée par Deboissac au prix de 99.91 fl. [19]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un villageois présente un verre de vin à s jeune épouse qui se repose, fatiguée de la provision qu'elle vient de rapporter. Elle le regarde tendrement, et semble lui demander, si après avoir été plus long-tems en ménage, il sera toujours aussi complaisant ? L'expression des têtes, le goût et l'esprit avec lesquels sont touchés les accessoires font, de ce petit tableau, une des plus jolies productions de cet artiste. (M. Brun)|Un villageois présente un verre de vin à s jeune épouse qui se repose, fatiguée de la provision qu'elle vient de rapporter. Elle le regarde tendrement, et semble lui demander, si après avoir été plus long-tems en ménage, il sera toujours aussi complaisant ? L'expression des têtes, le goût et l'esprit avec lesquels sont touchés les accessoires font, de ce petit tableau, une des plus jolies productions de cet artiste.]] réalisée par M. Brun, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Roux au prix de 72.05 fl. [22]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[M. Budelot a suivi la manière de son maître, et l'a si bien imité, que, quand il le copie, il trompe les connaisseurs. Ce tableau est de sa composition, et comme Bruandet, il a cherché à rendre la simplicité et la vérité de la nature. (M. Budelot, élève de Bruandet)|M. Budelot a suivi la manière de son maître, et l'a si bien imité, que, quand il le copie, il trompe les connaisseurs. Ce tableau est de sa composition, et comme Bruandet, il a cherché à rendre la simplicité et la vérité de la nature.]] réalisée par M. Budelot, élève de Bruandet, vendue par [[G[eorge]]], achetée par De Boulogne au prix de 25.1 fl. [24]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un nombreux troupeau, conduit par deux pâtres, vient s'abreuver dans un ruisseau, au pied d'une masse de rocher couverte d'arbres de ruines et de chaumières. Les animaux, et surtout les vaches, sont d'un dessin aussi savant et d'un aussi bien coloris qu'on peut l'attendre d'un des meilleurs élèves de Berghem. (Carré (Michel))|Un nombreux troupeau, conduit par deux pâtres, vient s'abreuver dans un ruisseau, au pied d'une masse de rocher couverte d'arbres de ruines et de chaumières. Les animaux, et surtout les vaches, sont d'un dessin aussi savant et d'un aussi bien coloris qu'on peut l'attendre d'un des meilleurs élèves de Berghem.]] réalisée par Carré (Michel). [25]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un effet de nuit. Un feu très ardent est allumé devant une chaumière grossièrement construite ; une femme et quatre enfans se chauffent autour ; deux autres accourent à la vue de la flamme. La vigueur et la vérité du coloris qui existent dans les ouvrages de ce maître sont surtout remarquables dans celui-ci. (Colonia)|Un effet de nuit. Un feu très ardent est allumé devant une chaumière grossièrement construite ; une femme et quatre enfans se chauffent autour ; deux autres accourent à la vue de la flamme. La vigueur et la vérité du coloris qui existent dans les ouvrages de ce maître sont surtout remarquables dans celui-ci.]] réalisée par Colonia, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Streicker au prix de 40.05 fl. [26]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le chasseur de retour se prépare à déjeuner ; mais son appétit cède encore au plaisir qu'il éprouve en caressant une jolie suivante, qui cherche à lui faire apercevoir qu'il verse à côté du verre, le vin dont il croit le remplir. Ce petit tableau, d'un coloris agréable et vrai, est un de ceux que son auteur s'est plu à soigner. (M. Dabos)|Le chasseur de retour se prépare à déjeuner ; mais son appétit cède encore au plaisir qu'il éprouve en caressant une jolie suivante, qui cherche à lui faire apercevoir qu'il verse à côté du verre, le vin dont il croit le remplir. Ce petit tableau, d'un coloris agréable et vrai, est un de ceux que son auteur s'est plu à soigner.]] réalisée par M. Dabos, vendue par [[Da[bos]]], achetée par Deboulogne au prix de 60 fl. [27]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jolie cuisinière, revenant du marché, vient de poser, sur une table, un poulet d'Inde et un panier rempli de divers légumes ; elle est accoudée sur la table, et réfléchit à la manière de tirer son profit des achats qu'elle vient de faire. (M. Dabos)|Une jolie cuisinière, revenant du marché, vient de poser, sur une table, un poulet d'Inde et un panier rempli de divers légumes ; elle est accoudée sur la table, et réfléchit à la manière de tirer son profit des achats qu'elle vient de faire.]] réalisée par M. Dabos, vendue par [[Da[bos]]], achetée par Trayer rue Montorgeuil no.96 au prix de 47 fl. [28]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le paysage du bac. Paysage baigné, en partie, par une rivière dont les eaux vont s'étendre jusques entre les montagnes les plus reculées. Sur le premier plan, à droite, un paysan s'occupe à pêcher ; de l'autre côté, un voyageur, une femme et son âne semblent attendre le retour du bac, qui s'apprête à la traverser, chargé de deux militaires, de deux vaches, d'une charette attelée d'un cheval noir, et d'un troupeau de mouton : au-devant un batelet passe l'eau ; à l'opposé du rivage est une tour et un mur blanchâtre qui donne reflet à des arbres de la plus belle forme ; plus loin, de petits côteaux, enrichis de tous les dons de la nature, bordent le rivage. Cette composition si variée et si agréable, cette idée si juste des beautés de la campagne, cette vérité si surprenante, qu'on trouve dans tous les ouvrages de M. Demarne, en font autant de chefs-d'oeuvres qui feront passer son nom à la postérité. (M. Demarne)|Le paysage du bac. Paysage baigné, en partie, par une rivière dont les eaux vont s'étendre jusques entre les montagnes les plus reculées. Sur le premier plan, à droite, un paysan s'occupe à pêcher ; de l'autre côté, un voyageur, une femme et son âne semblent attendre le retour du bac, qui s'apprête à la traverser, chargé de deux militaires, de deux vaches, d'une charette attelée d'un cheval noir, et d'un troupeau de mouton : au-devant un batelet passe l'eau ; à l'opposé du rivage est une tour et un mur blanchâtre qui donne reflet à des arbres de la plus belle forme ; plus loin, de petits côteaux, enrichis de tous les dons de la nature, bordent le rivage. Cette composition si variée et si agréable, cette idée si juste des beautés de la campagne, cette vérité si surprenante, qu'on trouve dans tous les ouvrages de M. Demarne, en font autant de chefs-d'oeuvres qui feront passer son nom à la postérité.]] réalisée par M. Demarne, vendue par D, achetée par Fontalard au prix de 281 fl. [32]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce petit paysage, d'un aspect romantique, d'une composition riante, est divisé en deux parties : par une chute d'eau qui vient se perdre sur les premiers plans ; sur la gauche, on remarque deux amans qui semblent écrire sur l'écorce d'un arbre, tandis que leurs moutons paissent tranquillement. (M. Demarne)|Ce petit paysage, d'un aspect romantique, d'une composition riante, est divisé en deux parties : par une chute d'eau qui vient se perdre sur les premiers plans ; sur la gauche, on remarque deux amans qui semblent écrire sur l'écorce d'un arbre, tandis que leurs moutons paissent tranquillement.]] réalisée par M. Demarne, vendue par [[G[eorge]]], achetée par George au prix de 46 fl. [33]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Châteauneuf, sur la rivière du Cher ; la ville se présente en une espèce d'amphithéâtre, dont le château, bâti par Guillaume l'Aube-Epine, occupe la partie la plus élevée. Le premier plan est orné d'une quantité de personnages et animaux. (M. Duclos)|Vue de Châteauneuf, sur la rivière du Cher ; la ville se présente en une espèce d'amphithéâtre, dont le château, bâti par Guillaume l'Aube-Epine, occupe la partie la plus élevée. Le premier plan est orné d'une quantité de personnages et animaux.]] réalisée par M. Duclos, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Dubois au prix de 20 fl. [36]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau offre l'aspect d'un paysage, aussi riche qu'agréable. Une partie entourée d'arbres se présente au milieu ; à droite, est un torrent ; à gauche, une monticule couronnée d'arbres ; on aperçoit dans le lointain plusieurs fabriques d'un bon choix. Les devants sont enrichis de troncs d'arbres et de diverses plantes, d'un travail et d'une vérité remarquables. La manière vraie, la légéreté de la touche qu'on remarque, sur-tout dans le feuillé des arbres, en fait parfaitement distinquer l'espèse. Les figures et les animaux sont d'une touche spirituelle, et d'une belle exécution ; elles contribuent à l'embellissement de ce tableau, qui peut mettre au rang de nos premiers paysagistes, cet artiste peu connu encore pour ses tableaux à l'huile. (M. Gadbois)|Ce tableau offre l'aspect d'un paysage, aussi riche qu'agréable. Une partie entourée d'arbres se présente au milieu ; à droite, est un torrent ; à gauche, une monticule couronnée d'arbres ; on aperçoit dans le lointain plusieurs fabriques d'un bon choix. Les devants sont enrichis de troncs d'arbres et de diverses plantes, d'un travail et d'une vérité remarquables. La manière vraie, la légéreté de la touche qu'on remarque, sur-tout dans le feuillé des arbres, en fait parfaitement distinquer l'espèse. Les figures et les animaux sont d'une touche spirituelle, et d'une belle exécution ; elles contribuent à l'embellissement de ce tableau, qui peut mettre au rang de nos premiers paysagistes, cet artiste peu connu encore pour ses tableaux à l'huile.]] réalisée par M. Gadbois, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Testard Boulevard St Martin au prix de 115 fl. [43]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de l'une des fontaines du Luxembourg, en entrant par le jardin. Un grouppe de jolies petit-filles, composé avec goût et peint avec esprit, s'amuse près de la fontaine. L'une d'elle tenant un vase à la main, fait boire sa plus jeune soeur ; une autre, verse l'eau de sa cruche dans celle de sa compagne ; plus loin, on remarque une partie du jardin, sous les allées duquel on voit plusieurs personnes se promener. Nous regardons ce tableau comme un jolie échantillon du talent de M. Gérard. (M. Gérard, élève de M. Bertin)|Vue de l'une des fontaines du Luxembourg, en entrant par le jardin. Un grouppe de jolies petit-filles, composé avec goût et peint avec esprit, s'amuse près de la fontaine. L'une d'elle tenant un vase à la main, fait boire sa plus jeune soeur ; une autre, verse l'eau de sa cruche dans celle de sa compagne ; plus loin, on remarque une partie du jardin, sous les allées duquel on voit plusieurs personnes se promener. Nous regardons ce tableau comme un jolie échantillon du talent de M. Gérard.]] réalisée par M. Gérard, élève de M. Bertin, vendue par [[Ge[rard]]], achetée par Simon rue des vieux Augustins au prix de 41.05 fl. [44]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bonne copie d'après M. Demarne, offrant la vue d'un champ de blé. Une rivière baigne une partie du premier plan ; un paysan monté sur un âne la traverse, conduisant des vaches, des moutons et des chèvres. Sur la gauche, on remarque quelques chaumières, entourées d'arbres et de jardins, dans l'un desquels on voit une femme occupée à cueillir des choux. A la porte de cette habitation, un homme assis sur une chaise tient un livre à la main : à la droite, une échappée de vue laisse apercevoir la campagne. (M. Gérard)|Bonne copie d'après M. Demarne, offrant la vue d'un champ de blé. Une rivière baigne une partie du premier plan ; un paysan monté sur un âne la traverse, conduisant des vaches, des moutons et des chèvres. Sur la gauche, on remarque quelques chaumières, entourées d'arbres et de jardins, dans l'un desquels on voit une femme occupée à cueillir des choux. A la porte de cette habitation, un homme assis sur une chaise tient un livre à la main : à la droite, une échappée de vue laisse apercevoir la campagne.]] réalisée par M. Gérard, vendue par [[Ge[rard]]], achetée par Lacroix au prix de 77.5 fl. [45]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau représentant des militaires français, de différens corps, arrêtés à la porte d'un cabaret, en Bavière. L'hôte et sa jolie compagne s'empressent à les servir. Cet artiste réussit d'autant mieux dans les sujets de ce genre, qu'étant lui-même ancien militaire il en connaît toutes les habitudes. (M. Delassus)|Un tableau représentant des militaires français, de différens corps, arrêtés à la porte d'un cabaret, en Bavière. L'hôte et sa jolie compagne s'empressent à les servir. Cet artiste réussit d'autant mieux dans les sujets de ce genre, qu'étant lui-même ancien militaire il en connaît toutes les habitudes.]] réalisée par M. Delassus, vendue par [[G[eorge]]], achetée par George au prix de 109 fl. [54]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage d'une vaste étendue, offrant un site montagneux ; le devant est en partie baigné par une rivière, traversée par un pont sur lequel des maisons sont bâties à chaque extrémité ; sur la droite, au pied d'un chemin descendant, on remarque un homme à cheval et un troupeau de gros et menu bétail ; à gauche, s'élève de hautes montagnes, qui se prolongent à l'horizon. Ce tableau, du plus beau faire de son auteur, rappelle les sites majestueux de la Suisse. (M. Michel)|Paysage d'une vaste étendue, offrant un site montagneux ; le devant est en partie baigné par une rivière, traversée par un pont sur lequel des maisons sont bâties à chaque extrémité ; sur la droite, au pied d'un chemin descendant, on remarque un homme à cheval et un troupeau de gros et menu bétail ; à gauche, s'élève de hautes montagnes, qui se prolongent à l'horizon. Ce tableau, du plus beau faire de son auteur, rappelle les sites majestueux de la Suisse.]] réalisée par M. Michel, vendue par [[Tar[dieu]]], achetée par Gerard au prix de 56.05 fl. [59]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau forme pendant avec le précédent. Sur le devant, au bas d'un tertre couvert d'arbres, se présentent un homme et une femme sur une charrette, précédée de deux chiens. A gauche, sur le bord d'un chemin qui conduit à un bourg qu'on voit dans la plaine, est assise une marchande de fruits avec sa petite fille ; d'autres personages vont et viennent sur le chemin. L'horizon est terminé par des montagnes qui s'enfoncent insensiblement. (M. Michel)|Ce tableau forme pendant avec le précédent. Sur le devant, au bas d'un tertre couvert d'arbres, se présentent un homme et une femme sur une charrette, précédée de deux chiens. A gauche, sur le bord d'un chemin qui conduit à un bourg qu'on voit dans la plaine, est assise une marchande de fruits avec sa petite fille ; d'autres personages vont et viennent sur le chemin. L'horizon est terminé par des montagnes qui s'enfoncent insensiblement.]] réalisée par M. Michel, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Dubois au prix de 50 fl. [60]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un hiver. Les devants de ce tableau sont enrichis d'arbustes et de roseaux d'espèces très-variées. Sur le second plan, un homme patine, d'autres sont occupés à différentes choses. Plus loin, un petit pont de bois, et sur le dernier plan, une église et un hameau. Ce tableau, d'un effet bien soutenue, est d'une finesse admirable et d'une vérité frappante. (Neer (Eglon vander))|Un hiver. Les devants de ce tableau sont enrichis d'arbustes et de roseaux d'espèces très-variées. Sur le second plan, un homme patine, d'autres sont occupés à différentes choses. Plus loin, un petit pont de bois, et sur le dernier plan, une église et un hameau. Ce tableau, d'un effet bien soutenue, est d'une finesse admirable et d'une vérité frappante.]] réalisée par Neer (Eglon vander), vendue par [[Tar[dieu]]], achetée par George au prix de 47 fl. [62]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au milieu d'un paysage d'une riche ordonnance s'élèvent des monuments d'une architecture élégante ; des lointains savamment traités, des terreins touchés avec un art et une facilité admirables, un pinceau d'une finesse et d'une pureté extrême. Tout enfin est réuni dans ce charmant tableau qu'embellissent encore de jolies figures de M. Demarne. (Nivaro)|Au milieu d'un paysage d'une riche ordonnance s'élèvent des monuments d'une architecture élégante ; des lointains savamment traités, des terreins touchés avec un art et une facilité admirables, un pinceau d'une finesse et d'une pureté extrême. Tout enfin est réuni dans ce charmant tableau qu'embellissent encore de jolies figures de M. Demarne.]] réalisée par Nivaro, vendue par [[Tar[dieu]]], achetée par George au prix de 120 fl. [63]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un ciel léger et bien nuagé, se détache une maison de plaisance d'une belle architecture entourée de jardins. Au milieu d'un escalier superbe sont plusieurs fontaines, ou des femmes viennent laver leur linge. A droite, un mur orné de niches et de statues, sur lesquels se détachent deux grands pins. A la vérité qui existe dans ce tableau, on voit qu'il a été fait d'après nature, il est en même tems d'un soin et d'une finesse qu'on remarque rarement chez ce maître. (Robert)|Sur un ciel léger et bien nuagé, se détache une maison de plaisance d'une belle architecture entourée de jardins. Au milieu d'un escalier superbe sont plusieurs fontaines, ou des femmes viennent laver leur linge. A droite, un mur orné de niches et de statues, sur lesquels se détachent deux grands pins. A la vérité qui existe dans ce tableau, on voit qu'il a été fait d'après nature, il est en même tems d'un soin et d'une finesse qu'on remarque rarement chez ce maître.]] réalisée par Robert, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Trayer au prix de 55 fl. [67]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Entre les arbres touffus dont elle est couverte, coule tranquillement une rivière sur laquelle est une barque conduite par des pêcheurs occupés à retirer leurs filets. Un échappé laisse voir au loin une ville. Sur la droite du tableau, une route tortueuse va se perdre à l'entrée d'une forêt. Une femme et un jeune garçon se présentent sur ce chemin. Ce tableau, d'une exécution ferme et facile, d'une couleur chaude et vigoureuse, est sans contredit une des meilleures productions de ce maître. (M. Swagers)|Entre les arbres touffus dont elle est couverte, coule tranquillement une rivière sur laquelle est une barque conduite par des pêcheurs occupés à retirer leurs filets. Un échappé laisse voir au loin une ville. Sur la droite du tableau, une route tortueuse va se perdre à l'entrée d'une forêt. Une femme et un jeune garçon se présentent sur ce chemin. Ce tableau, d'une exécution ferme et facile, d'une couleur chaude et vigoureuse, est sans contredit une des meilleures productions de ce maître.]] réalisée par M. Swagers, vendue par D, achetée par George au prix de 114 fl. [68]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un ciel léger et bien nuagé, se détachent les principaux édifices d'une ville. Un bras de mer qui la côtoye est couvert de plusieurs vaisseaux de différentes grandeurs. Sur une terrasse que forme le premier plan, un homme et une femme paraissent attendre l'arrivée d'un bac, dans lequel on voit des moutons, des vaches et trois personnages. (M. Swagers)|Sur un ciel léger et bien nuagé, se détachent les principaux édifices d'une ville. Un bras de mer qui la côtoye est couvert de plusieurs vaisseaux de différentes grandeurs. Sur une terrasse que forme le premier plan, un homme et une femme paraissent attendre l'arrivée d'un bac, dans lequel on voit des moutons, des vaches et trois personnages.]] réalisée par M. Swagers, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Deboulogne au prix de 70 fl. [69]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le devant de ce tableau est un officier de hussards, monté sur un cheval qui se cabre dans le fond, à gauche, des hussards accourent avec impétuosité ; sur la droite, le combat est engagé, et se continue avec acharnement ; les fonds se terminent par des torrents de fumée qui s'élèvent vers le Ciel. Ce tableau recommandable par la beauté des formes, la vigueur du coloris et la hardiesse, et la finesse de la touche est d'un effet merveilleux, et fait le plus grand honneur à l'artiste habile qui l'a produit. (M. Swebach (Des Fontaines))|Sur le devant de ce tableau est un officier de hussards, monté sur un cheval qui se cabre dans le fond, à gauche, des hussards accourent avec impétuosité ; sur la droite, le combat est engagé, et se continue avec acharnement ; les fonds se terminent par des torrents de fumée qui s'élèvent vers le Ciel. Ce tableau recommandable par la beauté des formes, la vigueur du coloris et la hardiesse, et la finesse de la touche est d'un effet merveilleux, et fait le plus grand honneur à l'artiste habile qui l'a produit.]] réalisée par M. Swebach (Des Fontaines), vendue par [[G[eorge]]], achetée par George au prix de 200 fl. [70]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur les devants d'un paysage d'une vaste étendue, on voit une voiture chargée de gerbes qui conduit un paysan ; près d'elle sont deux femmes et un enfant ; un militaire semble s'informer du chemin à un vieillard ; d'autres militaires défilent de tous côtés dans la plaine. (M. Swebach (Des Fontaines))|Sur les devants d'un paysage d'une vaste étendue, on voit une voiture chargée de gerbes qui conduit un paysan ; près d'elle sont deux femmes et un enfant ; un militaire semble s'informer du chemin à un vieillard ; d'autres militaires défilent de tous côtés dans la plaine.]] réalisée par M. Swebach (Des Fontaines), vendue par D, achetée par Le chevalier de Jousserant rue Chabannais au prix de 132 fl. [72]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le devant d'une route, bordée de tous côtés par des rochers et des montagnes, on remarque un voyageur faisant la conversation avec une femme occupée à filer, assise sur son âne ; plus loin, est un berger, conduisant un troupeau de moutons. Ce tableau, d'une touche moëlleuse et spirituelle, est d'une couleur vigoureuse et transparente. Depuis le départ de M. Taunay, ses ouvrages devenant tous les jours plus rares, il doit être agréable aux amateurs de notre école moderne, qui n'ont aucune production de cet habile peintre, d'orner leur cabinet d'un aussi joli petit échantillon. (M. Taunay)|Sur le devant d'une route, bordée de tous côtés par des rochers et des montagnes, on remarque un voyageur faisant la conversation avec une femme occupée à filer, assise sur son âne ; plus loin, est un berger, conduisant un troupeau de moutons. Ce tableau, d'une touche moëlleuse et spirituelle, est d'une couleur vigoureuse et transparente. Depuis le départ de M. Taunay, ses ouvrages devenant tous les jours plus rares, il doit être agréable aux amateurs de notre école moderne, qui n'ont aucune production de cet habile peintre, d'orner leur cabinet d'un aussi joli petit échantillon.]] réalisée par M. Taunay, vendue par [[Tar[dieu]]], achetée par Devillers rue de Richelieu no.89 au prix de 113 fl. [73]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Si l'on pouvait ajouter à la réputation de M. Vallin, et au juste tribut d'éloges qu'il mérite, nous n'aurions qu'à présenter aux amateurs, le dernier tableau qu'il vient de produire : c'est une érigone couronnée de raisin qui en presse une grappe sur son sein. Son pinceau, dans ce tableau, paraît avoir été conduit par la main des Grâces, il a su y répandre cette vérité et cette expression qui caractérisent ses figures et semblent leur faire respirer la vie et le plaisir. (M. Vallin)|Si l'on pouvait ajouter à la réputation de M. Vallin, et au juste tribut d'éloges qu'il mérite, nous n'aurions qu'à présenter aux amateurs, le dernier tableau qu'il vient de produire : c'est une érigone couronnée de raisin qui en presse une grappe sur son sein. Son pinceau, dans ce tableau, paraît avoir été conduit par la main des Grâces, il a su y répandre cette vérité et cette expression qui caractérisent ses figures et semblent leur faire respirer la vie et le plaisir.]] réalisée par M. Vallin, vendue par [[G[eorge]]], achetée par Jolimont rue Thevenot no. 19 au prix de 110 fl. [74]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage offrant un site des plus agréables et une composition des plus variées. Sur le devant d'un chemin tortueux, on remarque un homme à cheval conversant avec un piéton : près de là, une femme assise semble implorer la charité des voyageurs. Plus loin, on aperçoit encore un homme à cheval, que suit aussi un piéton. Une rivière, qui coupe la composition de ce paysage, va se perdre à l'horizon et y reflet de jolie lointains. Des vieux troncs d'arbres renversés, des plantes d'un fini précieux, des masses d'arbres d'une belle forme et d'un feuillé léger où pénètre la lumière, sont une preuve certaine que ce tableau est une fidèle imitation de la nature que cet habile peintre copiait servilement. (Vynants)|Paysage offrant un site des plus agréables et une composition des plus variées. Sur le devant d'un chemin tortueux, on remarque un homme à cheval conversant avec un piéton : près de là, une femme assise semble implorer la charité des voyageurs. Plus loin, on aperçoit encore un homme à cheval, que suit aussi un piéton. Une rivière, qui coupe la composition de ce paysage, va se perdre à l'horizon et y reflet de jolie lointains. Des vieux troncs d'arbres renversés, des plantes d'un fini précieux, des masses d'arbres d'une belle forme et d'un feuillé léger où pénètre la lumière, sont une preuve certaine que ce tableau est une fidèle imitation de la nature que cet habile peintre copiait servilement.]] réalisée par Vynants, vendue par [[Tar[dieu]]], achetée par Couturier au prix de 191 fl. [77]
  • 1819.01.18/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur la droite, un homme considère attentivement un tableau posé sur une table, ou l'on remarque des attributs de peinture. A gauche, une porte entr'ouverte laisse distinguer une femme assise sur les lieux d'aisance. Plus loin, plusieurs chambres où l'on distingue diverses personnes. (Ecole Moderne Hollandaise)|Sur la droite, un homme considère attentivement un tableau posé sur une table, ou l'on remarque des attributs de peinture. A gauche, une porte entr'ouverte laisse distinguer une femme assise sur les lieux d'aisance. Plus loin, plusieurs chambres où l'on distingue diverses personnes.]] réalisée par Ecole Moderne Hollandaise. [83]