Ventes d'œuvres le 1819.04.26

De Wikipast
Version datée du 30 mai 2021 à 14:06 par Unknown user (discussion) (Page créée avec « * 1819.04.26/ maison de ventes : Dinter. Vente de l'œuvre décrite comme ''Boeren binnen-huys, fraey geschilderd op pan… »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche
  • 1819.04.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Villageois, appuyé sur son bâton, cause avec une jeune femme qui garde un troupeau de vaches et de brebis. Ces figures sont, pour le sûr, de la première manière de Kobell ; le paysage a été retouché par un habile artiste de notre école. (Kobell)|Un Villageois, appuyé sur son bâton, cause avec une jeune femme qui garde un troupeau de vaches et de brebis. Ces figures sont, pour le sûr, de la première manière de Kobell ; le paysage a été retouché par un habile artiste de notre école.]] réalisée par Kobell, vendue par Simon au prix de 60 fl. [132]
  • 1819.04.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Famille de villageois revenant du marché, s'est arrêtée en chemin près d'une petite chapelle ; l'un d'eux saisit ce moment pour compter sa recette. -- M. Noël, jeune artiste étranger, vint à Paris, il y a quelques années, pour y étudier la peinture, et prit pour maître M. Swebach. Ses tableaux, peu connus des amateurs, décèlent les plus rares dispositions. (Noel (M.))|Une Famille de villageois revenant du marché, s'est arrêtée en chemin près d'une petite chapelle ; l'un d'eux saisit ce moment pour compter sa recette. -- M. Noël, jeune artiste étranger, vint à Paris, il y a quelques années, pour y étudier la peinture, et prit pour maître M. Swebach. Ses tableaux, peu connus des amateurs, décèlent les plus rares dispositions.]] réalisée par Noel (M.), vendue par Simon, achetée par Descat rue de Bourbon no.101 au prix de 150 fl. [143]
  • 1819.04.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeanne d'Albret sic faisant lire à son fils la vie de Louis XII. -- Cet agréable tableau est l'esquisse terminée d'une semblable composition que l'auteur exposa au salon de 1817, et qui lui avait été commandée par S. Exc. le Ministre de l'Intérieur. M. Mallet ne le cède à aucun peintre sous le rapport du goût, et l'accueil qu'on fait à toutes ses productions nous dispense de louer celle-ci. (Mallet (M.))|Jeanne d'Albret sic faisant lire à son fils la vie de Louis XII. -- Cet agréable tableau est l'esquisse terminée d'une semblable composition que l'auteur exposa au salon de 1817, et qui lui avait été commandée par S. Exc. le Ministre de l'Intérieur. M. Mallet ne le cède à aucun peintre sous le rapport du goût, et l'accueil qu'on fait à toutes ses productions nous dispense de louer celle-ci.]] réalisée par Mallet (M.), vendue par Simon, achetée par Camure rue Ste Croix de la Bretonnerie no.34 au prix de 291 fl. [145]
  • 1819.04.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dont les premières places sont garnies d'arbres et fabriques ; deux figures, homme et femme, occupent la partie gauche, et les fonds se terminent par une grande étendue de mer et des rochers dont le sommet se perd dans les nuages. (Gouaspre Poussin)|Paysage dont les premières places sont garnies d'arbres et fabriques ; deux figures, homme et femme, occupent la partie gauche, et les fonds se terminent par une grande étendue de mer et des rochers dont le sommet se perd dans les nuages.]] réalisée par Gouaspre Poussin, vendue par P.H. Valenciennes au prix de 40.5 fl. [184]
  • 1819.04.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Effet de lune éclairant un Paysage. Le milieu est traversé par une rivière dont le courant des eaux a rompu la digue. Quelques fabriques ombragées de pins et de peupliers, et quartre figures de pêcheurs garnissent la partie droite en opposition avec de belles masses de rochers. Le tableau porte la date de 1811. (P.H. Valenciennes)|Effet de lune éclairant un Paysage. Le milieu est traversé par une rivière dont le courant des eaux a rompu la digue. Quelques fabriques ombragées de pins et de peupliers, et quartre figures de pêcheurs garnissent la partie droite en opposition avec de belles masses de rochers. Le tableau porte la date de 1811.]] réalisée par P.H. Valenciennes, vendue par P.H. Valenciennes au prix de 80 fl. [192]
  • 1819.04.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet du Tableau de Démétrius. Mithridate, fils d'Ariobarzane, vivait à la cour du roi Antigonus, qui avait un fils nommé Démétrius. Mithridate, ami de ce jeune prince, était du même âge. Le roi vit en songe Mithridate lui enlever la riche moisson qu'il avait obtenue en semant de la limaille d'or. Il conçut des soupçons contre ce prince, et les révéla, sous serment, à son fils, en ajoutant gu'il avait résolu de le faire mourir. Démétrius ayant entendu cette terrible résolution, en fut très-affligé, et le même jour Mithridate étant allé le voir, comme à son ordinaire, pour se divertir avec lui, Démétrius, à cause de son serment, n'osa lui rien dire de ce qu'il avit entendu, mais l'éloigna de ses autres amis, et quand ils furent sans témois, il écrivit sur le sable, avec le bout de sa pique : fuis, Mithridate! Celui-ci comprenant le danger, s'ensuit la vuit suivante en Cappadoce. Ce suject et représenté dans un magnifique paysage, dont tous les plans, savamment distribues, offrent une richesse immense de sites variés ; la partie droite est occupée par une masse de rochers, couronnés d'un temple et près duquel on aperçoit l'indication d'une ville. En parcourant une chaîne de montagnes qui termine l'horison, le spectateur promène ses regards sur des rivières, des fontaines, des pelouses, et arrive à la gauche de la composition dont l'extrémité se termine par un tombeau ombragé de quelques arbres. C'est au gouvernement protecteur des talents, prompt et généreux à les récompesner, qu'appartient ce dernier ouvrage, le Chant du cygne. Il est ici placé autant pour honorer la mémoire de cet artiste, justement célèbre, que pour procurer aux amateurs le vue d'un de ses productions les plus marquantes. Nota. Ce tableau ne fera point partie de la vente. (P.H. Valenciennes)|Sujet du Tableau de Démétrius. Mithridate, fils d'Ariobarzane, vivait à la cour du roi Antigonus, qui avait un fils nommé Démétrius. Mithridate, ami de ce jeune prince, était du même âge. Le roi vit en songe Mithridate lui enlever la riche moisson qu'il avait obtenue en semant de la limaille d'or. Il conçut des soupçons contre ce prince, et les révéla, sous serment, à son fils, en ajoutant gu'il avait résolu de le faire mourir. Démétrius ayant entendu cette terrible résolution, en fut très-affligé, et le même jour Mithridate étant allé le voir, comme à son ordinaire, pour se divertir avec lui, Démétrius, à cause de son serment, n'osa lui rien dire de ce qu'il avit entendu, mais l'éloigna de ses autres amis, et quand ils furent sans témois, il écrivit sur le sable, avec le bout de sa pique : fuis, Mithridate! Celui-ci comprenant le danger, s'ensuit la vuit suivante en Cappadoce. Ce suject et représenté dans un magnifique paysage, dont tous les plans, savamment distribues, offrent une richesse immense de sites variés ; la partie droite est occupée par une masse de rochers, couronnés d'un temple et près duquel on aperçoit l'indication d'une ville. En parcourant une chaîne de montagnes qui termine l'horison, le spectateur promène ses regards sur des rivières, des fontaines, des pelouses, et arrive à la gauche de la composition dont l'extrémité se termine par un tombeau ombragé de quelques arbres. C'est au gouvernement protecteur des talents, prompt et généreux à les récompesner, qu'appartient ce dernier ouvrage, le Chant du cygne. Il est ici placé autant pour honorer la mémoire de cet artiste, justement célèbre, que pour procurer aux amateurs le vue d'un de ses productions les plus marquantes. Nota. Ce tableau ne fera point partie de la vente.]] réalisée par P.H. Valenciennes, vendue par P.H. Valenciennes. [193]