Ventes d'œuvres le 1820.11.13

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  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis paysages faisant pendans ; ils représentent des sites d'après nature dont l'artiste a su tirer un grand parti pour faire ses tableaux ; ils sont d'une exécution fine et agréable et les devans sont enrichis par plusieurs jolis figures. (Mr Jolivar, Eleve de M. Bertin, et connu par différentes expositions deu Salon)|Deux jolis paysages faisant pendans ; ils représentent des sites d'après nature dont l'artiste a su tirer un grand parti pour faire ses tableaux ; ils sont d'une exécution fine et agréable et les devans sont enrichis par plusieurs jolis figures.]] réalisée par Mr Jolivar, Eleve de M. Bertin, et connu par différentes expositions deu Salon, vendue par Durand au prix de 41 fl. [12]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représentant un ST.-Sébastien percé de flèches ; le Saint paraît souffrir avec beaucoup de résignation ; sa pose est noble, fière, sa tête pleine de vie et d'expression. Ce tableau est généralement d'une très-belle couleur. (Morillos, peintre espagnol)|Ce tableau représentant un ST.-Sébastien percé de flèches ; le Saint paraît souffrir avec beaucoup de résignation ; sa pose est noble, fière, sa tête pleine de vie et d'expression. Ce tableau est généralement d'une très-belle couleur.]] réalisée par Morillos, peintre espagnol, vendue par Durand. [13]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage d'un site très-pittoresque, d'une composition très-agráble et vraie ; les devans sont enrichis d'un troupeau prêt à passer un gué. Ce tableau, ainsi que tous les ouvrages de cet artiste, est d'une belle exécution et d'un bel effet. (Mr Regnier)|Paysage d'un site très-pittoresque, d'une composition très-agráble et vraie ; les devans sont enrichis d'un troupeau prêt à passer un gué. Ce tableau, ainsi que tous les ouvrages de cet artiste, est d'une belle exécution et d'un bel effet.]] réalisée par Mr Regnier, vendue par Durand au prix de 144 fl. [20]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[On aperçoit dans le fond d'une forêt un jeune chasseur qu'une jeune Nymphe cherche à séduire. Le peintre s'est livré pendant long-tems à faire des grands tableaux d'histoire, et des portraits avec beaucoup de succès ; mais depuis quelque temps il paraît prendre plaisir à faire des tableaux (Mr Lafond)|On aperçoit dans le fond d'une forêt un jeune chasseur qu'une jeune Nymphe cherche à séduire. Le peintre s'est livré pendant long-tems à faire des grands tableaux d'histoire, et des portraits avec beaucoup de succès ; mais depuis quelque temps il paraît prendre plaisir à faire des tableaux]] réalisée par Mr Lafond, vendue par Durand. [25]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau a été exposé au Salon dernier avec beaucoup de succès. Il représente un très-beau paysage dans le style de Salvator-Rose ; riches de détails ; d'une couleur ferme, vigoureuse et transparente ; les devans sont enrichis par un sujet de Machbet, au moment où les trois sorcières lui prédisent qu'il sera roi. (Mr Régnier)|Ce tableau a été exposé au Salon dernier avec beaucoup de succès. Il représente un très-beau paysage dans le style de Salvator-Rose ; riches de détails ; d'une couleur ferme, vigoureuse et transparente ; les devans sont enrichis par un sujet de Machbet, au moment où les trois sorcières lui prédisent qu'il sera roi.]] réalisée par Mr Régnier, vendue par Durand au prix de 400 fl. [26]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce peintre habile a eu pour élève Mr Taunay, qui se glorifie de l'avoir eu pour maître. Ce tableau est d'une belle composition, riche et poétique. Ce n'est rien pour des soldats français que de passer un pont bien défendu ; mais lutter contre le tonerre, le vent, la pluie, c'est quelque chose ; déjà plus d'un a mordu la poussière ; les nuages amoncelés ont annoncé l'orage qui vient d'éclater ; les arbres n'ont pu résister à la force toute puissante de ce rayon lumineux qu'on aperçoit au milieu du tableau, et pour cette fois, nos soldats tournent le dos à l'ennemi. Qui oserait lui résister ? Ce tableau est d'un conception digne des plus grands maîtres dans ce genre, et nous laisse à regretter que Casanove ait un peu négligé de châtier son dessin. Quoi qu'il en soit, comme il faut pardonner les défauts en faveur des grandes qualités, nous espérons que ce tableau sera vu avec intérêt. (Casanova)|Ce peintre habile a eu pour élève Mr Taunay, qui se glorifie de l'avoir eu pour maître. Ce tableau est d'une belle composition, riche et poétique. Ce n'est rien pour des soldats français que de passer un pont bien défendu ; mais lutter contre le tonerre, le vent, la pluie, c'est quelque chose ; déjà plus d'un a mordu la poussière ; les nuages amoncelés ont annoncé l'orage qui vient d'éclater ; les arbres n'ont pu résister à la force toute puissante de ce rayon lumineux qu'on aperçoit au milieu du tableau, et pour cette fois, nos soldats tournent le dos à l'ennemi. Qui oserait lui résister ? Ce tableau est d'un conception digne des plus grands maîtres dans ce genre, et nous laisse à regretter que Casanove ait un peu négligé de châtier son dessin. Quoi qu'il en soit, comme il faut pardonner les défauts en faveur des grandes qualités, nous espérons que ce tableau sera vu avec intérêt.]] réalisée par Casanova, vendue par Durand au prix de 77.05 fl. [28]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mr Michallon nous offre dans cette production la vue d'une forteresse éclairé par un soleil levant ; une voiture attelée de deux boeufs et conduite par un paysan, est sur le point d'entrer sous la porte du fort qui est gardée par un factionnaire ; les figures sont de Mr Leprince. Le nom de Mr Michallon nous dispense de toute apologie. (Mr Michallon)|Mr Michallon nous offre dans cette production la vue d'une forteresse éclairé par un soleil levant ; une voiture attelée de deux boeufs et conduite par un paysan, est sur le point d'entrer sous la porte du fort qui est gardée par un factionnaire ; les figures sont de Mr Leprince. Le nom de Mr Michallon nous dispense de toute apologie.]] réalisée par Mr Michallon, vendue par Durand, achetée par Simon au prix de 70.[ou] 90.50 fl. [54]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Assise auprès d'une cabane, une jeune femme coupe un morceau de pain ; un jeune garçon, une chèvre, un chien et deux moutons l'environnent et semblent attendre qu'elle le leur distribue. Ce morceau est remarquable par le ton de couleur et la finesse du pinceau. (Mr Demarne)|Assise auprès d'une cabane, une jeune femme coupe un morceau de pain ; un jeune garçon, une chèvre, un chien et deux moutons l'environnent et semblent attendre qu'elle le leur distribue. Ce morceau est remarquable par le ton de couleur et la finesse du pinceau.]] réalisée par Mr Demarne, vendue par Durand au prix de 181 fl. [55]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une nouvelle accouchée reçoit près de son feu les visites de ses voisins ; une vieille femme debout présente au médecin un enfant, tandis que la nourrice en sort un autre de son berceau ; plusieurs autres personnages animent encore cette composition. Ces deux tableaux sont du meilleur faire ce maître. (Hormans)|Une nouvelle accouchée reçoit près de son feu les visites de ses voisins ; une vieille femme debout présente au médecin un enfant, tandis que la nourrice en sort un autre de son berceau ; plusieurs autres personnages animent encore cette composition. Ces deux tableaux sont du meilleur faire ce maître.]] réalisée par Hormans, vendue par Durand au prix de 79.95 fl. [77]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le galant François Ier. aux genoux de la belle Ferronnière, lui présente un anneau comme gage de sa tendresse ; une femme, debout dans un coin, sourit en les examinant. Ce joli tableau, d'une beau ton de couleur et d'une grande harmonie, a été exposé au Salon de 1819. (Mr Malbranche)|Le galant François Ier. aux genoux de la belle Ferronnière, lui présente un anneau comme gage de sa tendresse ; une femme, debout dans un coin, sourit en les examinant. Ce joli tableau, d'une beau ton de couleur et d'une grande harmonie, a été exposé au Salon de 1819.]] réalisée par Mr Malbranche, vendue par Durand au prix de 74 fl. [78]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Plusieurs paysans assis à la porte d'un cabaret sont occupés les uns à jouer aux cartes, les autres à boire et à regarder un jeune garçon qui, au son d'un flûte et d'un tambourin, fait danser deux poupées, et excite la gaieté et les ris des spectateurs. Ce tableau, par la finesse des tons et du pinceau, la vérité des expressions, rapelle les productions des maîtres flamands. (Mr Coene)|Plusieurs paysans assis à la porte d'un cabaret sont occupés les uns à jouer aux cartes, les autres à boire et à regarder un jeune garçon qui, au son d'un flûte et d'un tambourin, fait danser deux poupées, et excite la gaieté et les ris des spectateurs. Ce tableau, par la finesse des tons et du pinceau, la vérité des expressions, rapelle les productions des maîtres flamands.]] réalisée par Mr Coene, vendue par Durand au prix de 119.95 fl. [85]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant une habitation rustique on aperçoit des moutons, une vache et une chèvre au pâturage ; une jeune fille dans le fond joue avec un enfant. Cette production est remarquable par la simplicité de sa composition et la légèreté des tons. (Mr Charlé)|Devant une habitation rustique on aperçoit des moutons, une vache et une chèvre au pâturage ; une jeune fille dans le fond joue avec un enfant. Cette production est remarquable par la simplicité de sa composition et la légèreté des tons.]] réalisée par Mr Charlé, vendue par Durand. [86]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le fils de Tobie sur le point de quitter ses parens, reçoit les avis de son père ; sa mère, accablée de douleur, le presse entre ses bras ; l'Ange debout, les contemple avec intérêt. De retour de son voyage, le jeune Tobie frotte les yeux de son père pour lui rendre la vue ; tous les spectateurs attendent avec la plus vive émotion le succès de ce remède ; dans le fond, des esclaves déchargent des chameaux qui ont ramené leur maître. Mr Lordon, élève de Mr Prudhon, se montre digne du grand nom de ce peintre dans ces deux tableaux. (Mr Lordon)|Le fils de Tobie sur le point de quitter ses parens, reçoit les avis de son père ; sa mère, accablée de douleur, le presse entre ses bras ; l'Ange debout, les contemple avec intérêt. De retour de son voyage, le jeune Tobie frotte les yeux de son père pour lui rendre la vue ; tous les spectateurs attendent avec la plus vive émotion le succès de ce remède ; dans le fond, des esclaves déchargent des chameaux qui ont ramené leur maître. Mr Lordon, élève de Mr Prudhon, se montre digne du grand nom de ce peintre dans ces deux tableaux.]] réalisée par Mr Lordon, vendue par Durand, achetée par Td au prix de 162 fl. [95]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Escarmouche de cavalerie ; sur le premier plan, des guerriers combattent avec acharnement ; à droite et à gauche, dans le fond, on aperçoit des escadrons qui en viennent aux mains. C'est un des jolis échantillons de ce maître. (Mr Swebach (Desfontaines))|Escarmouche de cavalerie ; sur le premier plan, des guerriers combattent avec acharnement ; à droite et à gauche, dans le fond, on aperçoit des escadrons qui en viennent aux mains. C'est un des jolis échantillons de ce maître.]] réalisée par Mr Swebach (Desfontaines), vendue par Durand, achetée par Delasalle au prix de 51 fl. [96]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis petits tableaux formant pendans ; l'un représente l'intérieur d'une ferme ; dans le fond, un homme et deux femmes se chauffent à la cheminée ; sur le devant, des paysans près d'une table boivent et causent ; Dans l'autre, un raccomodeur de souliers, à la porte d'une maison, travaille près d'une femme et deux enfans. Ces trois articles sont remarquables par la finesse qui caractèrise les ouvrages de Mr Swagers. (Mr Swagers)|Deux jolis petits tableaux formant pendans ; l'un représente l'intérieur d'une ferme ; dans le fond, un homme et deux femmes se chauffent à la cheminée ; sur le devant, des paysans près d'une table boivent et causent ; Dans l'autre, un raccomodeur de souliers, à la porte d'une maison, travaille près d'une femme et deux enfans. Ces trois articles sont remarquables par la finesse qui caractèrise les ouvrages de Mr Swagers.]] réalisée par Mr Swagers, vendue par Durand, achetée par Gerard au prix de 33 fl. [97]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau représentant un port de mer composé des monumens les plus riches de l'Italie. Le peintre paraît s'être inspiré du Claude le Lorrain ; les devans sont enrichis de jolis figures par Pater ; les uns sont occupés à dessiner et d'autres à des travaux de construction. (Salviouse)|Tableau représentant un port de mer composé des monumens les plus riches de l'Italie. Le peintre paraît s'être inspiré du Claude le Lorrain ; les devans sont enrichis de jolis figures par Pater ; les uns sont occupés à dessiner et d'autres à des travaux de construction.]] réalisée par Salviouse, vendue par Durand au prix de 89 fl. [115]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente une jolie femme se regardant dans un miroir qu'elle tient à la main ; un jeune homme, placé derrière elle, paraît lui faire des observations malicieuses sur ses appas. Ce tableau est d'une très-belle couleur, d'une exécution très-soignée. (Vander-Hert (Attribué à))|Ce tableau représente une jolie femme se regardant dans un miroir qu'elle tient à la main ; un jeune homme, placé derrière elle, paraît lui faire des observations malicieuses sur ses appas. Ce tableau est d'une très-belle couleur, d'une exécution très-soignée.]] réalisée par Vander-Hert (Attribué à), vendue par Durand au prix de 37 fl. [121]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux têtes faisant pendans, homme et femme ; l'homme tient un verre à la main et la femme une fleur. Quand on a nommé Miéris on n'a pas besoin de s'étendre sur les qualités qui caractérisent ce maître, on sait qu'il est vrai, fin d'exécution et d'une belle couleur. (Miéris)|Deux têtes faisant pendans, homme et femme ; l'homme tient un verre à la main et la femme une fleur. Quand on a nommé Miéris on n'a pas besoin de s'étendre sur les qualités qui caractérisent ce maître, on sait qu'il est vrai, fin d'exécution et d'une belle couleur.]] réalisée par Miéris, vendue par Durand. [124]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quand on a nommé le gracieux, l'inimitable Corrége, on a tout dit. Ne pouvant faire mieux, nous présentons au Public une copie de ce grand peintre, nommée vulgairement la Vierge au lapin. Cette belle copie a toutes les conditions requises ; elle est sur bois de cèdre et bien conservée. (Corrège (copie de))|Quand on a nommé le gracieux, l'inimitable Corrége, on a tout dit. Ne pouvant faire mieux, nous présentons au Public une copie de ce grand peintre, nommée vulgairement la Vierge au lapin. Cette belle copie a toutes les conditions requises ; elle est sur bois de cèdre et bien conservée.]] réalisée par Corrège (copie de), vendue par Durand. [126]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Très-joli clair de lune ; sur la droite on aperçoit une forteresse à l'extrémité de laquelle on voit un fanal ; sur la gauche est une áglise gothique en ruine ; les devans sont enrichis par quelques figures. Ce tableau est d'un effet très-piquant. (St.-Martin)|Très-joli clair de lune ; sur la droite on aperçoit une forteresse à l'extrémité de laquelle on voit un fanal ; sur la gauche est une áglise gothique en ruine ; les devans sont enrichis par quelques figures. Ce tableau est d'un effet très-piquant.]] réalisée par St.-Martin, vendue par Durand au prix de 25.05 fl. [131]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau, très-riche composition, représente une grande route et une auberge très-considérable ; des voyageurs descendent de voiture pour s'y arrêter ; sur la gauche du tableau se trouve une fontaine auprès de laquelle trois ou quatre paysannes font abreuver leurs bestiaux. (Mr Demarne (Très-belle copie))|Ce tableau, très-riche composition, représente une grande route et une auberge très-considérable ; des voyageurs descendent de voiture pour s'y arrêter ; sur la gauche du tableau se trouve une fontaine auprès de laquelle trois ou quatre paysannes font abreuver leurs bestiaux.]] réalisée par Mr Demarne (Très-belle copie), vendue par Durand au prix de 116.[ou] 176 fl. [132]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Joli tableau de ce maître ; représentant des soldats occupés à déshabiller leurs ennemis vaincus. Ce tableau est éclairé par un coup de soleil qui passe au travers des nuages et la fumée, ce qui produit sur ce tableau un effet très-piquant et convenable au sujet. (Casanove)|Joli tableau de ce maître ; représentant des soldats occupés à déshabiller leurs ennemis vaincus. Ce tableau est éclairé par un coup de soleil qui passe au travers des nuages et la fumée, ce qui produit sur ce tableau un effet très-piquant et convenable au sujet.]] réalisée par Casanove, vendue par Durand au prix de 115.[ou] 175 fl. [137]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[St.-Vincent de Paul est le patron des pauvres, et c'est en son nom qu'une jeune et jolie femme, sensible et bonne, leur fit distribuer de l'argent. Un ecclésiastique, son aumônier sans doute, est chargé de la répandre à pleines mains. Cette dame est sans doute une princesse, ou au moins une dame riche et distinguée par ses sentimens ; n'importe. Quelle dame et quel ecclésiastique se refuserait à jouer un si beau rôle ? Si j'étais l'un ou l'autre, j'aimerais à me dire : c'est moi que l'on a voulu peindre, et je suis heureux d'être le motif d'un pareil tableau. Mr Taunay a été bien pénétré de son sujet : il fait arriver sur la scène des pauvres de différens sexes ; tous viennent en foule pour participer aux bienfaits de ces âmes bienfaisantes placées sur le balcon qui est à gauche du monument ; sur le devant, à gauche du tableau, est une jeune fille qui étend son tablier pour recevoir une portion de cette pluie d'or, à côté, une vieille femme en béquilles manque de force pour prendre part au butin, mais un jeune garçon, qui sans doute est son fils, lui en apporte. Je ne finirais pas si je voulais analyser tout le tableau, qui est facile à décrire tant il est bien composé et d'une manière claire ; je ne puis cependant m'arrêter avant d'inviter à observer sur la droite ce jeune porteur d'eau et beaucoup d'autres figures de différens sexe ; ils ne sont animés que par le sentiment de curiosité, l'intérêt ne les touche pas : ils sont jeunes et ne connaissent pas le besoin ; c'est sans doute ce que M r Taunay a voulu exprimer ; il connaît le coeur humain et s'entend bien à peindre ses différentes passions. La scène s'est sans doute passée en Italie ; le style de l'architecture me le fait croire. Ce tableau est des plus capitaux de ce maître, que nous regrettons sans cesse et dont nous désirons le retour. On me pardonnera un article aussi long, il compte pour la préface dont j'exxempte le Public. (Mr Taunay)|St.-Vincent de Paul est le patron des pauvres, et c'est en son nom qu'une jeune et jolie femme, sensible et bonne, leur fit distribuer de l'argent. Un ecclésiastique, son aumônier sans doute, est chargé de la répandre à pleines mains. Cette dame est sans doute une princesse, ou au moins une dame riche et distinguée par ses sentimens ; n'importe. Quelle dame et quel ecclésiastique se refuserait à jouer un si beau rôle ? Si j'étais l'un ou l'autre, j'aimerais à me dire : c'est moi que l'on a voulu peindre, et je suis heureux d'être le motif d'un pareil tableau. Mr Taunay a été bien pénétré de son sujet : il fait arriver sur la scène des pauvres de différens sexes ; tous viennent en foule pour participer aux bienfaits de ces âmes bienfaisantes placées sur le balcon qui est à gauche du monument ; sur le devant, à gauche du tableau, est une jeune fille qui étend son tablier pour recevoir une portion de cette pluie d'or, à côté, une vieille femme en béquilles manque de force pour prendre part au butin, mais un jeune garçon, qui sans doute est son fils, lui en apporte. Je ne finirais pas si je voulais analyser tout le tableau, qui est facile à décrire tant il est bien composé et d'une manière claire ; je ne puis cependant m'arrêter avant d'inviter à observer sur la droite ce jeune porteur d'eau et beaucoup d'autres figures de différens sexe ; ils ne sont animés que par le sentiment de curiosité, l'intérêt ne les touche pas : ils sont jeunes et ne connaissent pas le besoin ; c'est sans doute ce que M r Taunay a voulu exprimer ; il connaît le coeur humain et s'entend bien à peindre ses différentes passions. La scène s'est sans doute passée en Italie ; le style de l'architecture me le fait croire. Ce tableau est des plus capitaux de ce maître, que nous regrettons sans cesse et dont nous désirons le retour. On me pardonnera un article aussi long, il compte pour la préface dont j'exxempte le Public.]] réalisée par Mr Taunay, vendue par Durand au prix de 2000 fl. [140]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau est fait pour exciter l'intérêt des Amateurs ; il représente une vue du Brésil ; il est très-riche en figures qui sont touchées avec tout l'esprit que ce peintre a coutume de mettre dans ses ouvrages. En voyant ce tableau on croit voir Mr Taunay, et on est tenté de lui dire : "Qu'allez-vous faire dans ces maudites galères ? Embarquez-vous ; vos pénates vous attendent." (Mr Taunay)|Ce tableau est fait pour exciter l'intérêt des Amateurs ; il représente une vue du Brésil ; il est très-riche en figures qui sont touchées avec tout l'esprit que ce peintre a coutume de mettre dans ses ouvrages. En voyant ce tableau on croit voir Mr Taunay, et on est tenté de lui dire : "Qu'allez-vous faire dans ces maudites galères ? Embarquez-vous ; vos pénates vous attendent."]] réalisée par Mr Taunay, vendue par Durand, achetée par Td au prix de 835.[ou] 235 fl. [141]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis tableaux faisant pendans, représentant deux sujets de Paul et Virginie ; dans l'un on les voit sur un brancard porté par des nègres ; et dans l'autre Virginie au moment où on lui annonce qu'il faut penser à son départ. Ces deux tableaux, qui ont été faits pour être gravés, ne sont pas très-polis. Le peintre les a fait ainsi avec intention pour la gravure, ils n'en ont que plus d'esprit ; toutes les figures sont remarquables par la finesse de leur expression. (Mr Taunay)|Deux jolis tableaux faisant pendans, représentant deux sujets de Paul et Virginie ; dans l'un on les voit sur un brancard porté par des nègres ; et dans l'autre Virginie au moment où on lui annonce qu'il faut penser à son départ. Ces deux tableaux, qui ont été faits pour être gravés, ne sont pas très-polis. Le peintre les a fait ainsi avec intention pour la gravure, ils n'en ont que plus d'esprit ; toutes les figures sont remarquables par la finesse de leur expression.]] réalisée par Mr Taunay, vendue par Durand, achetée par Dusommerat au prix de 177 fl. [143]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ces deux jolis tableaux sont faits depuis son retour de la Russie. L'un des deux représente un paysage pittoresque ; sur le devant, une mère allaitant son enfant, tandis que son mari, couché sans façon sur le ventre, la contemple ; à côté une jeune fille semble indiquer la route à un mosieur monté sur un cheval blanc. L'autre représente un paysan se reposant sur un sac de farine ou de ce que l'on voudra ; il semble parler à sa femme qui tient son enfant dans ses bras ; deux chevaux attendent paisiblement la fin de la conversation. Tout ce monde là est à l'abri sous un hangar très-pittoresquement ajusté. Swebac, pour s'être éloigné du centre des arts pendant quelques années, n'a point perdu son talent ; au contraire, il est plus coloriste et fait ses figures d'une dimension un peu plus grande, ce qui le force à faire des détails plus étudiés et donne par conséquent plus d'intérêt à ses tableaux. Vous avez été en Russie, Mr Sweback ? Vous avez bien fait. Vous êtes de retour, c'est encore mieux, et je vous en fais mon compliment. (Mr Swebac père)|Ces deux jolis tableaux sont faits depuis son retour de la Russie. L'un des deux représente un paysage pittoresque ; sur le devant, une mère allaitant son enfant, tandis que son mari, couché sans façon sur le ventre, la contemple ; à côté une jeune fille semble indiquer la route à un mosieur monté sur un cheval blanc. L'autre représente un paysan se reposant sur un sac de farine ou de ce que l'on voudra ; il semble parler à sa femme qui tient son enfant dans ses bras ; deux chevaux attendent paisiblement la fin de la conversation. Tout ce monde là est à l'abri sous un hangar très-pittoresquement ajusté. Swebac, pour s'être éloigné du centre des arts pendant quelques années, n'a point perdu son talent ; au contraire, il est plus coloriste et fait ses figures d'une dimension un peu plus grande, ce qui le force à faire des détails plus étudiés et donne par conséquent plus d'intérêt à ses tableaux. Vous avez été en Russie, Mr Sweback ? Vous avez bien fait. Vous êtes de retour, c'est encore mieux, et je vous en fais mon compliment.]] réalisée par Mr Swebac père, vendue par Durand au prix de 290 [ou] 299 fl. [144]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ces deux jolis tableaux sont faits depuis son retour de la Russie. L'un des deux représente un paysage pittoresque ; sur le devant, une mère allaitant son enfant, tandis que son mari, couché sans façon sur le ventre, la contemple ; à côté une jeune fille semble indiquer la route à un mosieur monté sur un cheval blanc. L'autre représente un paysan se reposant sur un sac de farine ou de ce que l'on voudra ; il semble parler à sa femme qui tient son enfant dans ses bras ; deux chevaux attendent paisiblement la fin de la conversation. Tout ce monde là est à l'abri sous un hangar très-pittoresquement ajusté. Swebac, pour s'être éloigné du centre des arts pendant quelques années, n'a point perdu son talent ; au contraire, il est plus coloriste et fait ses figures d'une dimension un peu plus grande, ce qui le force à faire des détails plus étudiés et donne par conséquent plus d'intérêt à ses tableaux. Vous avez été en Russie, Mr Sweback ? Vous avez bien fait. Vous êtes de retour, c'est encore mieux, et je vous en fais mon compliment. (Mr Swebac père)|Ces deux jolis tableaux sont faits depuis son retour de la Russie. L'un des deux représente un paysage pittoresque ; sur le devant, une mère allaitant son enfant, tandis que son mari, couché sans façon sur le ventre, la contemple ; à côté une jeune fille semble indiquer la route à un mosieur monté sur un cheval blanc. L'autre représente un paysan se reposant sur un sac de farine ou de ce que l'on voudra ; il semble parler à sa femme qui tient son enfant dans ses bras ; deux chevaux attendent paisiblement la fin de la conversation. Tout ce monde là est à l'abri sous un hangar très-pittoresquement ajusté. Swebac, pour s'être éloigné du centre des arts pendant quelques années, n'a point perdu son talent ; au contraire, il est plus coloriste et fait ses figures d'une dimension un peu plus grande, ce qui le force à faire des détails plus étudiés et donne par conséquent plus d'intérêt à ses tableaux. Vous avez été en Russie, Mr Sweback ? Vous avez bien fait. Vous êtes de retour, c'est encore mieux, et je vous en fais mon compliment.]] réalisée par Mr Swebac père, vendue par Durand au prix de 260 [ou] 270 fl. [145]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendans. L'un représente un paysan russe à la porte d'un cabak, et l'autre un Russe finois donnant à manger à son cheval. Mr E. Sweback, élève de son père, marche sur ses traces, et a déjà unjoli talent. Ses tableaux seront sans doute vus avec intérêt. (M. E. Sweback fils)|Deux tableaux faisant pendans. L'un représente un paysan russe à la porte d'un cabak, et l'autre un Russe finois donnant à manger à son cheval. Mr E. Sweback, élève de son père, marche sur ses traces, et a déjà unjoli talent. Ses tableaux seront sans doute vus avec intérêt.]] réalisée par M. E. Sweback fils, vendue par Durand au prix de 106 fl. [148]
  • 1820.11.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau représentant un port de mer composé des monumens les plus riches de l'Italie. Le peintre paraît s'être inspiré du Claude le Lorrain ; les devans sont enrichis de jolis figures par Pater ; les uns sont occupés à dessiner et d'autres à des travaux de construction. (Salviouse)|Tableau représentant un port de mer composé des monumens les plus riches de l'Italie. Le peintre paraît s'être inspiré du Claude le Lorrain ; les devans sont enrichis de jolis figures par Pater ; les uns sont occupés à dessiner et d'autres à des travaux de construction.]] réalisée par Salviouse, vendue par Durand au prix de 50 fl. [152]