Ventes d'œuvres le 1820.11.22

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  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau de genre ; sujet de chasse ; au milieu, sur le devant, est un panier rempli de divers oiseaux ; on y voit trois chiens qui gardent le gibier, et deux lièvres pendus à une branche d'arbre. Tableau d'une brillante couleur, et dont tous les détails sont rendus avec autant de fermeté que de précision. (Fyt (Jean))|Tableau de genre ; sujet de chasse ; au milieu, sur le devant, est un panier rempli de divers oiseaux ; on y voit trois chiens qui gardent le gibier, et deux lièvres pendus à une branche d'arbre. Tableau d'une brillante couleur, et dont tous les détails sont rendus avec autant de fermeté que de précision.]] réalisée par Fyt (Jean), vendue par Quintin Craufurd au prix de 72 fl. [5]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Charles Pâris d'Orléans, dernier duc de Longueville, tué au passage du Rhin en 1672 ; il est représenté jusqu'aux genoux, couvert d'une cuirasse, et ajusté d'un manteau pourpre agité par le vent. Le bras droit nu et la main appuyée sur une canne, il est dans l'attitude du commandement. Cette figure se détache en vigueur sur un fond de ciel et une grande étendue d'eau indiquant les bords d'un fleuve. (Bourdon (Sébastien))|Charles Pâris d'Orléans, dernier duc de Longueville, tué au passage du Rhin en 1672 ; il est représenté jusqu'aux genoux, couvert d'une cuirasse, et ajusté d'un manteau pourpre agité par le vent. Le bras droit nu et la main appuyée sur une canne, il est dans l'attitude du commandement. Cette figure se détache en vigueur sur un fond de ciel et une grande étendue d'eau indiquant les bords d'un fleuve.]] réalisée par Bourdon (Sébastien), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Adam au prix de 71 fl. [7]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de ce peintre par lui-même ; il s'est représenté jusqu'aux genoux près d'un mur d'appui, la tête tournée vers le spectateur, tenant de la main gauche son crayon et de l'autre ses gants. Cette figure ressort sur un monument d'architecture, décoré d'un groupe en marbre, et surmonté d'une frise, sujet de jeux d'enfans ; à droite est un vaste lointain de pays montagneux. Portrait intéressant, qui joint au mérite de l'exécution celui de représenter les traits d'un artiste dessinateur et graveur, dont toutes les productions sont marquées au coin du génie. (Calot (Jacques))|Le portrait de ce peintre par lui-même ; il s'est représenté jusqu'aux genoux près d'un mur d'appui, la tête tournée vers le spectateur, tenant de la main gauche son crayon et de l'autre ses gants. Cette figure ressort sur un monument d'architecture, décoré d'un groupe en marbre, et surmonté d'une frise, sujet de jeux d'enfans ; à droite est un vaste lointain de pays montagneux. Portrait intéressant, qui joint au mérite de l'exécution celui de représenter les traits d'un artiste dessinateur et graveur, dont toutes les productions sont marquées au coin du génie.]] réalisée par Calot (Jacques), vendue par Quintin Craufurd au prix de 225 [ou] 22.5 fl. [8]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madame la marquise de Langeac, gouvernante des enfans de France sous Louis XIII, représentée avec le Dauphin, depuis Louis XIV, et son frère, Philippe d'Orlèans. Tous ces portraits, d'une exécution soignée et d'un coloris très-brillant, ressortent sur les détails d'un riche appartement. Dans le haut du tableau on voit deux génies portant un écusson sur lequel on lit les noms des personnages représentés. (Champaigne (Philippe de))|Madame la marquise de Langeac, gouvernante des enfans de France sous Louis XIII, représentée avec le Dauphin, depuis Louis XIV, et son frère, Philippe d'Orlèans. Tous ces portraits, d'une exécution soignée et d'un coloris très-brillant, ressortent sur les détails d'un riche appartement. Dans le haut du tableau on voit deux génies portant un écusson sur lequel on lit les noms des personnages représentés.]] réalisée par Champaigne (Philippe de), vendue par Quintin Craufurd au prix de 280 fl. [10]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'Isabelle-Claire-Eugénie, fille de Philippe II, gouvernante des Pays-Bas ; elle est représentée jusqu'aux genoux dans le costume de religieuse, les deux mains devant elle, et tenant une partie de son voile. Ce portrait, d'une grande finesse et d'une grande vérité, a toujours été regardé comme une répétition de celui qui est au Musée. (Voir le no. 379 du livret.) (Dick (Antoine Van))|Le portrait d'Isabelle-Claire-Eugénie, fille de Philippe II, gouvernante des Pays-Bas ; elle est représentée jusqu'aux genoux dans le costume de religieuse, les deux mains devant elle, et tenant une partie de son voile. Ce portrait, d'une grande finesse et d'une grande vérité, a toujours été regardé comme une répétition de celui qui est au Musée. (Voir le no. 379 du livret.)]] réalisée par Dick (Antoine Van), vendue par Quintin Craufurd au prix de 41 fl. [12]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Portrait en pied de Louise de Coligny, fille de l'amiral, 4e. femme de Guillaume III, prince d'Orange, qui fut assasiné à Delft le 10 juiller 1584, et mère de Henri Frédéric, second stathouder ; elle est morte en 1620. Cette princesse, vue de trois quarts, est représentée debout dans un ajustement d'une étoffe blanche gaufrée, orné de broderies et de boutons en pierres précieuses qui se continuent sur le corset et se terminent par une grosse perle ; la tête ornée d'un diadême et le regard fixe, elle paraît être dans un moment de réflexion ; à ses pieds on voit un petit chien dogue. Tableau d'une très-belle couleur, et dont les moindres détails sont rendus avec précision. (Fernandès (François))|Le Portrait en pied de Louise de Coligny, fille de l'amiral, 4e. femme de Guillaume III, prince d'Orange, qui fut assasiné à Delft le 10 juiller 1584, et mère de Henri Frédéric, second stathouder ; elle est morte en 1620. Cette princesse, vue de trois quarts, est représentée debout dans un ajustement d'une étoffe blanche gaufrée, orné de broderies et de boutons en pierres précieuses qui se continuent sur le corset et se terminent par une grosse perle ; la tête ornée d'un diadême et le regard fixe, elle paraît être dans un moment de réflexion ; à ses pieds on voit un petit chien dogue. Tableau d'une très-belle couleur, et dont les moindres détails sont rendus avec précision.]] réalisée par Fernandès (François), vendue par Quintin Craufurd au prix de 92 fl. [14]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[C.P. J. de Crébillon fils, mort en 1777, dans sa soixante-dixième année ; le corps tourné de profil et la tête de trois quarts, il regarde le spectateur en souriant ; son vêtement est composé d'un manteau vert rehaussé d'une collerette qui lui dégage le cou. Portrait plein d'expression, dont la touche spirituelle répond à l'harmonie de la couleur. (Grimoux (N.))|C.P. J. de Crébillon fils, mort en 1777, dans sa soixante-dixième année ; le corps tourné de profil et la tête de trois quarts, il regarde le spectateur en souriant ; son vêtement est composé d'un manteau vert rehaussé d'une collerette qui lui dégage le cou. Portrait plein d'expression, dont la touche spirituelle répond à l'harmonie de la couleur.]] réalisée par Grimoux (N.), vendue par Quintin Craufurd au prix de 46 fl. [15]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait en pied de Charles IX, représenté dans un riche costume, la main droite appuyée sur le dos d'un fauteuil de velours cramoisi, brodé en aegent, et l'autre sur le pommeau de son épée ; sa tête est couverte d'une toque surmontée d'une plume. Ce précieux morceau offre toutes les perfections qui distinguent les ouvrages de ce peintre. Quelques personnes donnent aussi ce portrait à F. Porbus. (Clouet (François) dit Janet)|Portrait en pied de Charles IX, représenté dans un riche costume, la main droite appuyée sur le dos d'un fauteuil de velours cramoisi, brodé en aegent, et l'autre sur le pommeau de son épée ; sa tête est couverte d'une toque surmontée d'une plume. Ce précieux morceau offre toutes les perfections qui distinguent les ouvrages de ce peintre. Quelques personnes donnent aussi ce portrait à F. Porbus.]] réalisée par Clouet (François) dit Janet, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Denon au prix de 561 fl. [19]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jacques Guillaume, fils de Jacques II roi d'Angleterre, à l'âge de 7 ans, et sa soeur Louise, âgée de 5. - Jacques Guillaume, connu sous le noms de Jacques III, du Prétendant, du Chevalier de Saint-Georges, mourut à Rome en 1766, à l'âge de 78 ans. Ils sont représentés se promenant dans un parc. Le jeune prince dans un habit rouge, est décoré de l'ordre de Saint-Georges et de celui de la Jarretière ; la soeur, dans une robe de satin blanc avec tablier de mousseline brodée, tient une branche d'oranger. Ces deux figures, d'un pinceau suave et d'un coloris plein de vérité, ressortent sur un fond d'arbres indiquant l'entrée d'un parc. (Largillère (Nicolas))|Jacques Guillaume, fils de Jacques II roi d'Angleterre, à l'âge de 7 ans, et sa soeur Louise, âgée de 5. - Jacques Guillaume, connu sous le noms de Jacques III, du Prétendant, du Chevalier de Saint-Georges, mourut à Rome en 1766, à l'âge de 78 ans. Ils sont représentés se promenant dans un parc. Le jeune prince dans un habit rouge, est décoré de l'ordre de Saint-Georges et de celui de la Jarretière ; la soeur, dans une robe de satin blanc avec tablier de mousseline brodée, tient une branche d'oranger. Ces deux figures, d'un pinceau suave et d'un coloris plein de vérité, ressortent sur un fond d'arbres indiquant l'entrée d'un parc.]] réalisée par Largillère (Nicolas), vendue par Quintin Craufurd au prix de 285 fl. [21]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le général Washington, en habit militaire, est debout à l'entrée de sa tente ; il tient de la main gauche des imprimés sur l'un desquels est écrit : déclaration de l'indépendance ; près de la tente, en second plan, est son cheval retenu par un nègre ; à la gauche du spectateur on voit dans le lointain, le camp des Américains. (Le Paon (1780.))|Le général Washington, en habit militaire, est debout à l'entrée de sa tente ; il tient de la main gauche des imprimés sur l'un desquels est écrit : déclaration de l'indépendance ; près de la tente, en second plan, est son cheval retenu par un nègre ; à la gauche du spectateur on voit dans le lointain, le camp des Américains.]] réalisée par Le Paon (1780.), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Couturier au prix de 73 fl. [22]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Louis XIV, figure plus forte que nature, et représentée en pieds dans le costume romain ; près de lui est un page lui présentant son casque. La tête tourné de profil, il porte son regard sur des hauteurs fortifiées précédées d'un camp où l'on distingue plusieurs soldats. Sur la poignée de son épée sont tracés les caractères ci-après : LVD.XIIII.GAL.IMP. (Mignard (Pierre))|Louis XIV, figure plus forte que nature, et représentée en pieds dans le costume romain ; près de lui est un page lui présentant son casque. La tête tourné de profil, il porte son regard sur des hauteurs fortifiées précédées d'un camp où l'on distingue plusieurs soldats. Sur la poignée de son épée sont tracés les caractères ci-après : LVD.XIIII.GAL.IMP.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd au prix de 265 fl. [23]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madame la duchesse de Nevers, fille de madame de Thjianges et nièce de madame de Montespan, est représentée assise dans un parc, à l'arbres, dans le costume d'une chasseresse ; elle porte un carquois, tient son arc de la main droite et caresse de l'autre un chien épagneul couché près d'elle. (Mignard (Pierre))|Madame la duchesse de Nevers, fille de madame de Thjianges et nièce de madame de Montespan, est représentée assise dans un parc, à l'arbres, dans le costume d'une chasseresse ; elle porte un carquois, tient son arc de la main droite et caresse de l'autre un chien épagneul couché près d'elle.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Quintin Craufurd au prix de 139.95 fl. [24]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jean Hérauld, seigneur de Gourville, mort à Paris en 1703, auteur des Mémoires qui portent son nom (en 2 vol.), ami du surintendant Fouquet. Il fut enveloppé dans sa disgrâce, et vécut pendant quelque temps en pays étrangers. Boileau lui fit cette épitaphe : Ci-gît, justement regretté, Un savant homme sans science ; Un gentilhomme sans naissance ; Un très-bon homme sans bonté. On le voit ici représenté dans le costume d'un grand seigneur, portant longue chevelure, cravate et jabot de dentelle, et habit d'étoffe brochée en or, ajusté d'un manteau doublé de velours violet. (Rigaud (Hyacinthe))|Jean Hérauld, seigneur de Gourville, mort à Paris en 1703, auteur des Mémoires qui portent son nom (en 2 vol.), ami du surintendant Fouquet. Il fut enveloppé dans sa disgrâce, et vécut pendant quelque temps en pays étrangers. Boileau lui fit cette épitaphe : Ci-gît, justement regretté, Un savant homme sans science ; Un gentilhomme sans naissance ; Un très-bon homme sans bonté. On le voit ici représenté dans le costume d'un grand seigneur, portant longue chevelure, cravate et jabot de dentelle, et habit d'étoffe brochée en or, ajusté d'un manteau doublé de velours violet.]] réalisée par Rigaud (Hyacinthe), vendue par Quintin Craufurd, achetée par Meunier au prix de 79 fl. [29]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Élisabeth-Angélique de Montmorenci, duchesse de Chatillon, morte en 1695, à 69 ans ; elle est représentée assise auprès d'un rocher dans un lieu agreste, et vêtue d'un habillement jaune enrichi de perles ; l'énorme lion, sur lequel est appuyé sa main gauche, fait vraisemblablement allusion au Grand-Condé qui l'aima, et sur l'esprit duquel elle conserva toujours un grand ascendant. (artiste anonyme)|Élisabeth-Angélique de Montmorenci, duchesse de Chatillon, morte en 1695, à 69 ans ; elle est représentée assise auprès d'un rocher dans un lieu agreste, et vêtue d'un habillement jaune enrichi de perles ; l'énorme lion, sur lequel est appuyé sa main gauche, fait vraisemblablement allusion au Grand-Condé qui l'aima, et sur l'esprit duquel elle conserva toujours un grand ascendant.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Paillet au prix de 99 fl. [33]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[François-Louis de Bourbon, prince de Conti, élu roi de Pologne en 1697, mort en 1709 ; on le voit dans le costume de guerrier tenant d'une main son casque et de l'autre son bâton de commendement ; il porte l'écharpe blanche et cordon bleu auquel sont attachés ses différens ordres. (artiste anonyme)|François-Louis de Bourbon, prince de Conti, élu roi de Pologne en 1697, mort en 1709 ; on le voit dans le costume de guerrier tenant d'une main son casque et de l'autre son bâton de commendement ; il porte l'écharpe blanche et cordon bleu auquel sont attachés ses différens ordres.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd, achetée par Couturier au prix de 60 fl. [34]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madame de la Sablière représentée à mi-corps, tenant de la main gauche une partie de son ajustement, composé d'une robe d'étoffe brune à larges manches agrafées : la tête presque de face est ajustée avec grâce, d'un voile noir qui lui retombe sur les épaules. Portrait d'une excellente couleur et d'un pinceau suave. Nota : Il était écrit sur ce portrait : Madame de la Sablière, protectrice de la Fontaine ; ce qui fait présumer que ce portrait a appartenu à ce dernier. (artiste anonyme)|Madame de la Sablière représentée à mi-corps, tenant de la main gauche une partie de son ajustement, composé d'une robe d'étoffe brune à larges manches agrafées : la tête presque de face est ajustée avec grâce, d'un voile noir qui lui retombe sur les épaules. Portrait d'une excellente couleur et d'un pinceau suave. Nota : Il était écrit sur ce portrait : Madame de la Sablière, protectrice de la Fontaine ; ce qui fait présumer que ce portrait a appartenu à ce dernier.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd au prix de 80 fl. [35]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait présumé celui de Michel Montaigne, mort en 1592, à l'âge de soixante ans ; il est vu jusqu'au buste dans un vêtement noir et décoré du cordon de l'ordre de Saint-Michel. Portrait qui joint au mérite d'une exécution précieuse, caractère des ouvrages du temps, celui d'une bonne conservation. (artiste anonyme)|Portrait présumé celui de Michel Montaigne, mort en 1592, à l'âge de soixante ans ; il est vu jusqu'au buste dans un vêtement noir et décoré du cordon de l'ordre de Saint-Michel. Portrait qui joint au mérite d'une exécution précieuse, caractère des ouvrages du temps, celui d'une bonne conservation.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd, achetée par [[Escudid [?]]] au prix de 83 fl. [36]
  • 1820.11.22/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de la célèbre Marie-Thérèse, mère de la feue Reine Marie-Antoinette ; vêtue d'un habillement noir, elle est assise auprès d'une table couverte de tous les attributs royaux. Ce morceau, qui offre beaucoup de vérité et de simplicité dans la pose, est d'une dimension convenable pour les hauteurs, et peut se soutenir à côté des plus beaux portraits ; il était dans l'appartement de la feue Reine, à Versailles. Ce portrait fait pendant à celui de Marie-Thérèse, et provient également du château de Versailles. (artiste anonyme)|Portrait de la célèbre Marie-Thérèse, mère de la feue Reine Marie-Antoinette ; vêtue d'un habillement noir, elle est assise auprès d'une table couverte de tous les attributs royaux. Ce morceau, qui offre beaucoup de vérité et de simplicité dans la pose, est d'une dimension convenable pour les hauteurs, et peut se soutenir à côté des plus beaux portraits ; il était dans l'appartement de la feue Reine, à Versailles. Ce portrait fait pendant à celui de Marie-Thérèse, et provient également du château de Versailles.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quintin Craufurd au prix de 140 fl. [37]