Ventes d'œuvres le 1938.03.17
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- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Bronzerelief, Indianer, und 1 Kupferrelief, Mädchen réalisée par Unbekannt. [1]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 3 Miniaturen auf Elfenbein, Napoleon, Josephine u. Herzog v. Reichstadt (zus. gerahmt) réalisée par Unbekannt. [2]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Damenbildnis, Ölg. réalisée par Maler des 18. Jahrh.. [3]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Altes Ölgemälde nach David, Napoleon zu Pferde réalisée par David. [4]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Gebirgslandschaften, 2 Ölg., sign. réalisée par Jos. Jonas. [5]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Zeus und Psyche, Ölg., sign. u. dat. 1846 réalisée par Ludwig Beyfuß. [6]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Studienkopf, Kohlezeichnung, sign. réalisée par Hans Larwin. [7]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Landhaus, Ölg., sign. réalisée par T. Schachner. [8]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Obststilleben, 2 Ölg., sign. réalisée par M. Egerer. [9]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Dorfstraße, Bleistiftzeichnung, sign. u. dat. 1907, und Frauenkopf, Rötelzeichnung, sign. u. dat. 1914 réalisée par Josef Köpf. [10]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Bayrischer Bauer, Ölg., sign. réalisée par Müller-Baumgarten. [11]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Am Hintersee, Ölg., sign. u. dat. 1864 réalisée par Eugen Jettel. [12]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Lesendes Mädchen, Ölg., sign. réalisée par Otto Herschel. [13]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Landschaft mit Kühen, Ölg. réalisée par Englisch, 18. Jahrh.. [14]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Frauenaktstudie m. Nachlaßstempel réalisée par Hans Makart. [15]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Brand, Ölg. réalisée par Unbek. Meister. [16]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Carrara-Marmorfigur, Venus, beschäd. réalisée par Unbekannt. [17]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Elfenbeindose m. Miniaturebild und 1 Miniature auf Elfenbein, Damenbildnis réalisée par Unbekannt. [18]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Ovales Ölgemälde auf Blech, Mädchen mit Eierkorb réalisée par Unbekannt. [19]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Hühner und Enten, 2 Ölg., sign. réalisée par Otto Scheuerer. [20]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Spanierin, Ölg., sign. réalisée par R. Valero. [21]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Markt, Ölg., sign. réalisée par C. Mahsmann. [22]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Flieder, Ölg., sign. réalisée par Olga Wisinger-Florian. [23]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Bronze-Damenbüste réalisée par un.e artiste anonyme. [24]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Wald im Winter, Guache, sign. réalisée par L. H. Fischer. [25]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Sommertag, Ölg., sign. u. dat. 1918 réalisée par L. Valenta. [26]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Gebirgssee mit Schiffen, Ölg., sign. réalisée par Carl Hasch. [27]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Bäuerinnen in Stube, Aquarell m. Nachlaßstempel réalisée par Alois Schönn. [28]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 2 Miniaturebilder, Maria Theresia u. Kaiser Josef réalisée par Unbekannt. [29]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Stilleben, Ölg., sign. réalisée par E. v. Weinrichter. [30]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Ovales Bild, Mädchen in südländischer Landschaft réalisée par Unbekannt. [31]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Altes Ölgemälde auf Kupfer, nach Leonardo da Vinci, Jesus u. Johannesknabe réalisée par Leonardo da Vinci. [32]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 2 ovale Ölgemälde auf Blech, Offiziere aus den Befreiungskriegen réalisée par Unbekannt. [33]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Frauenakt, Farbstiftzeichnung, sign. réalisée par Alois Hans Schramm. [34]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Kleines Ölgemälde, Gebirgssee; Aquarell, Landhaus m. Nachlaßstempel A. H. Schramm und 2 Baumstudien réalisée par Unbekannt. [35]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Ungar. Bauernhof, Aquarell, sign. réalisée par Ludwig Heinrich Fischer. [36]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Schirmverkäufer, Aquarell, sign., und Kronstein, Fiaker, Aquarell, sign. u. dat. 1903 réalisée par L. Montes. [37]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Heimkehr, Ölg., sign. réalisée par J. Koganowsky. [38]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Parkmauer, Ölg., sign. réalisée par J. Koganowsky. [39]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Castellina-Marmorfigur, Pierrot, sign. Dakon réalisée par Unbekannt. [40]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 2 Castellina-Marmorfiguren, Dante u. Frauenbüste réalisée par Unbekannt. [41]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 4 Castellina-Marmorbüsten (Shakespeare, Heine, Viktor Hugo u. Tolstoi) réalisée par un.e artiste anonyme. [42]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 3 Castellina-Mamor-Kinderfiguren réalisée par Unbekannt. [43]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Altes Ölgemälde, Dom in Florenz réalisée par Unbekannt. [44]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Ölgemälde, Stilleben, sign. Goebel réalisée par Goebel. [45]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Alte Ölkopie nach Raphael, Madonna m. Jesus u. Johannesknaben und 2 Rahmen réalisée par Raphael. [46]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Heil. Josef u. Andreas, 2 Ölstudien réalisée par Führich. [47]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Blumen in Vase, Ölg., sign. réalisée par W. Kraus. [48]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Schweizer Berge, Bleistiftzeichnung réalisée par A. Calame. [49]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Pusztareiter, Skizze réalisée par August v. Pettenkofen. [50]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Mädchen, Bleistiftzeichnung réalisée par Eugen v. Blaas. [51]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 2 kleine Ölgemälde, Aulandschaften, und 1 Gobelinbild, Elfe réalisée par Unbekannt. [52]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Bildnis einer Südländerin, Ölg., unger. réalisée par Leopold Carl Müller (?). [53]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Mädchen in südländischer Volkstracht, Ölg., fälschlich sign. M. v. Schwind réalisée par Unbek. Meister. [54]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 3 Aquarelle, Landschaften réalisée par Unbekannt. [55]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Bauernhof, Ölg., sign., und 2 diverse Bilder réalisée par R. v. Timoni. [56]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Dürnstein, Ölg., sign. réalisée par M. Suppantschitsch. [57]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Freyung, Aquarell, und Heinz Bumba, Hof in Heiligenstadt, Farbstiftzeichnung réalisée par E. Graner (?). [58]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Junge Dame, Ölg., und 2 Reproduktionen réalisée par Unbek. Meister. [59]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Castellina-Marmor-Geier, sign. Zeiller réalisée par Zeiller. [60]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Blumen in Vase, Ölg., sign. réalisée par W. Kraus. [61]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme A. Reich, Hühnerhof, und Czoernig, Landschaft, 2 Ölg., sign. réalisée par A. Reich. [62]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme A. Reich, Hühnerhof, und Czoernig, Landschaft, 2 Ölg., sign. réalisée par Czoernig. [63]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Gartenidylle und Endlich allein, 2 Ölg., sign. réalisée par A. Salvarani. [64]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Strandterrasse, Aquarell, sign. réalisée par Giuttina. [65]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Lesende Dame, Ölg. réalisée par Unbek. Meister. [66]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Sumpflandschaft, Ölg., sign. u. dat. 1900 réalisée par Kezdi Kovacs. [67]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Altes Bild, Malende Mädchen réalisée par Unbekannt. [68]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme 2 kleine Ölgemälde, Burgen, eines sign. J. Klement réalisée par J. Klement. [69]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Fischer (J.). Vente de l'œuvre décrite comme Kleines Ölbild, Neapolitanerinnen, und 1 Damenbildnis réalisée par Unbekannt. [70]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHORBOGEN - KRUZIFIXUS (aus dem Dom zu Augsburg?). Die monumentale Gestalt des Gekreuzigten steht mit waagrecht ausgebreiteten Armen aufrecht auf einem Suppedaneum. Die Füße sind nebeneinander genagelt. Das bärtige, von langem Haar umrahmte Haupt ist geradeaus gerichtet. Die Augen sind geöffnet. - Der Kopf des Gekreuzigten ist, abgesehen von einigen unwesentlichen, verwurmten Stellen, in seiner ursprünglichen Form ausgezeichnet erhalten geblieben; einzelne Teile des Körpers, so der Brustkorb und die Beine, sind später durch Überschneiden geglättet worden; das Lendentuch ist roh verschnitten. Das Kreuz ist neu. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. SCHWÄBISCH, UM 1200. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 230 cm, Spannweite der Arme 215 cm; Höhe des Kreuzes 330 cm. Aus Augsburg stammend. Ehemals Sammlung Rudolf Kuppelmayr (München). Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Rudolf Kuppelmayr, bei Hugo Helbing, München, 1919, Nr. 143 und Abbildung auf Tafel 7. Dort bezeichnet als: "Aus Augsburg, 13. Jahrhundert". Hans Buchheit berichtet im Vorwort dieses Kataloges, daß Rudolf Kuppelmayr den Kruzifixus einst in Augsburg um 12 fl. 25 kr. hat erwerben hönnen. - Die Nachricht, daß das Bildwerk aus dem Dom zu Augsburg stamme, geht auf eine Aufschreibung Georg Schusters zurück. TAFEL 1 (Schwäbisch, um 1200)|CHORBOGEN - KRUZIFIXUS (aus dem Dom zu Augsburg?). Die monumentale Gestalt des Gekreuzigten steht mit waagrecht ausgebreiteten Armen aufrecht auf einem Suppedaneum. Die Füße sind nebeneinander genagelt. Das bärtige, von langem Haar umrahmte Haupt ist geradeaus gerichtet. Die Augen sind geöffnet. - Der Kopf des Gekreuzigten ist, abgesehen von einigen unwesentlichen, verwurmten Stellen, in seiner ursprünglichen Form ausgezeichnet erhalten geblieben; einzelne Teile des Körpers, so der Brustkorb und die Beine, sind später durch Überschneiden geglättet worden; das Lendentuch ist roh verschnitten. Das Kreuz ist neu. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. SCHWÄBISCH, UM 1200. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 230 cm, Spannweite der Arme 215 cm; Höhe des Kreuzes 330 cm. Aus Augsburg stammend. Ehemals Sammlung Rudolf Kuppelmayr (München). Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Rudolf Kuppelmayr, bei Hugo Helbing, München, 1919, Nr. 143 und Abbildung auf Tafel 7. Dort bezeichnet als: "Aus Augsburg, 13. Jahrhundert". Hans Buchheit berichtet im Vorwort dieses Kataloges, daß Rudolf Kuppelmayr den Kruzifixus einst in Augsburg um 12 fl. 25 kr. hat erwerben hönnen. - Die Nachricht, daß das Bildwerk aus dem Dom zu Augsburg stamme, geht auf eine Aufschreibung Georg Schusters zurück. TAFEL 1]] réalisée par Schwäbisch, um 1200, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [71]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, aus Tegernsee. Maria sitzt auf einer profilierten, mit einem Kissen belegten Bank. Sie ist bekleidet mit weitem Mantel, eng anliegendem, gegürtetem Gewand und trägt auf dem Haupte Zackenkrone und Schleier. Das Kind trägt gleichfalls einen Mantel über dem Gewand. Es fehlen die rechte Hand der Maria, die beiden Hände und Füße des Kindes und die obere Hälfte des Kinderkopfes. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt und mit altem Rückbrett aus Tannenholz belegt. Reste alter Bemalung: Mantel der Maria blau, Kleid rot. Der Mantel des Kindes rot. BAYERISCH, UM 1250. Lindenholz. Höhe 64 cm. Aus Tegernsee stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 9, Tafel 3. TAFEL 5 (Bayerisch, um 1250)|MARIA MIT DEM KINDE, aus Tegernsee. Maria sitzt auf einer profilierten, mit einem Kissen belegten Bank. Sie ist bekleidet mit weitem Mantel, eng anliegendem, gegürtetem Gewand und trägt auf dem Haupte Zackenkrone und Schleier. Das Kind trägt gleichfalls einen Mantel über dem Gewand. Es fehlen die rechte Hand der Maria, die beiden Hände und Füße des Kindes und die obere Hälfte des Kinderkopfes. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt und mit altem Rückbrett aus Tannenholz belegt. Reste alter Bemalung: Mantel der Maria blau, Kleid rot. Der Mantel des Kindes rot. BAYERISCH, UM 1250. Lindenholz. Höhe 64 cm. Aus Tegernsee stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 9, Tafel 3. TAFEL 5]] réalisée par Bayerisch, um 1250, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [72]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit nebeneinander auf ein Suppedaneum genagelten Füßen, waag* recht ausgestreckten Ober* und leicht erhobenen Unterarmen. Das bärtige Haupt ist leicht nach links geneigt, das schurzartige Schamtuch ist in Hüfthöhe gegürtet; von einem großen Knoten in der Körpermitte fällt das Ende des Tuches senkrecht auf das linke Knie herab. Das Suppedaneum ist mit einem Blatt*Schuppenmuster verziert. Es fehlen: die rechte Hand und vier Finger der linken Hand. Hochrelief artige Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Bemalung: Fleisch* färbe gelblichgrau; Haare und Bart braun; Schamtuch weiß; Suppedaneum grün. SÜDDEUTSCH, WOHL NIEDERBAYERISCH, UM 1250, Lindenholz. Höhe 134 cm. Verwandt mit dem Kruzifixus im Kloster Niederviehbach, abgebildet in: Die Kunstdenkmäler von Niederbayern, Heft 1, Fig. 74. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 11, Tafel 4. TAFEL 6 (Süddeutsch, wohl Niederbayerisch, um 1250)|KRUZIFIXUS, mit nebeneinander auf ein Suppedaneum genagelten Füßen, waag* recht ausgestreckten Ober* und leicht erhobenen Unterarmen. Das bärtige Haupt ist leicht nach links geneigt, das schurzartige Schamtuch ist in Hüfthöhe gegürtet; von einem großen Knoten in der Körpermitte fällt das Ende des Tuches senkrecht auf das linke Knie herab. Das Suppedaneum ist mit einem Blatt*Schuppenmuster verziert. Es fehlen: die rechte Hand und vier Finger der linken Hand. Hochrelief artige Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Bemalung: Fleisch* färbe gelblichgrau; Haare und Bart braun; Schamtuch weiß; Suppedaneum grün. SÜDDEUTSCH, WOHL NIEDERBAYERISCH, UM 1250, Lindenholz. Höhe 134 cm. Verwandt mit dem Kruzifixus im Kloster Niederviehbach, abgebildet in: Die Kunstdenkmäler von Niederbayern, Heft 1, Fig. 74. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 11, Tafel 4. TAFEL 6]] réalisée par Süddeutsch, wohl Niederbayerisch, um 1250, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 5100 sch. [73]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VESPERBILD. Maria sitzt frontal auf einer profilierten Bank und hält mit den beiden (jetzt verlorengegangenen) Händen den in waagrechter Haltung auf ihren Knien liegenden Leichnam des Sohnes. Sie ist bekleidet mit langem Unterkleid und halblangem Mantel; das eine Ende des Kopftuches ist in schön ausgeschwungenem Bogen über die Brust und die linke Schulter gelegt. Maria hat den Kopf nach links, dem toten Christus zugewandt. Dieser ist mit einem Lendenschurz bekleidet, seine Hände sind in der Höhe der Oberschenkel über den Körper gebreitet. Das Haupt ist bärtig, das Haar fällt in breiten Lockensträhnen am Hals herab. Es fehlen: der rechte Unterarm und die linke Hand der Maria, die linke Hand Christi und vier Fingerglieder der rechten Hand Christi. Wandgruppe. Rückseite der Maria ausgehöhlt. Schöne Reste alter Bemalung: Mantel der Maria blau mit Goldsaum; Kopftuch weiß mit blauen Streifen und Goldsaum; Gewand rot; Schuhe schwarz; Fleischfarbe grau-rosa; Haare der Maria braun, des Christus schwarz. Die Christusfigur durch einen (später erneuerten) Holzdiebel an der Sitzfigur der Maria befestigt. NIEDERBAYERISCH, UM 1350. Lindenholz. Höhe 125 cm. Die Gruppe, deren Entstehungszeit zweifellos in die Mitte des 14. Jahrhunderts fällt, zeigt nicht den treppenförmigen Diagonaltypus, der den verwandten Vesperbildern in Coburg und Erfurt (Ursulinenkloster) eigen ist. Zwar hat die Figur der Maria eine ähnliche Haltung, wenn auch das Schreckhafte in dem Gesicht unserer Maria gemildert ist. Der Christus ist jedoch nicht aufgerichtet, sondern liegt waagrecht, wie bei den Vesperbildern vom Anfang des 15. Jahrhunderts. Vgl. Passarge, Das deutsche Vesperbild im Mittelalter, Köln, 1924, Abb. 1, 3, 6 und 29. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 15, Tafel 6. TAFEL 10 (Niederbayerisch, um 1350)|VESPERBILD. Maria sitzt frontal auf einer profilierten Bank und hält mit den beiden (jetzt verlorengegangenen) Händen den in waagrechter Haltung auf ihren Knien liegenden Leichnam des Sohnes. Sie ist bekleidet mit langem Unterkleid und halblangem Mantel; das eine Ende des Kopftuches ist in schön ausgeschwungenem Bogen über die Brust und die linke Schulter gelegt. Maria hat den Kopf nach links, dem toten Christus zugewandt. Dieser ist mit einem Lendenschurz bekleidet, seine Hände sind in der Höhe der Oberschenkel über den Körper gebreitet. Das Haupt ist bärtig, das Haar fällt in breiten Lockensträhnen am Hals herab. Es fehlen: der rechte Unterarm und die linke Hand der Maria, die linke Hand Christi und vier Fingerglieder der rechten Hand Christi. Wandgruppe. Rückseite der Maria ausgehöhlt. Schöne Reste alter Bemalung: Mantel der Maria blau mit Goldsaum; Kopftuch weiß mit blauen Streifen und Goldsaum; Gewand rot; Schuhe schwarz; Fleischfarbe grau-rosa; Haare der Maria braun, des Christus schwarz. Die Christusfigur durch einen (später erneuerten) Holzdiebel an der Sitzfigur der Maria befestigt. NIEDERBAYERISCH, UM 1350. Lindenholz. Höhe 125 cm. Die Gruppe, deren Entstehungszeit zweifellos in die Mitte des 14. Jahrhunderts fällt, zeigt nicht den treppenförmigen Diagonaltypus, der den verwandten Vesperbildern in Coburg und Erfurt (Ursulinenkloster) eigen ist. Zwar hat die Figur der Maria eine ähnliche Haltung, wenn auch das Schreckhafte in dem Gesicht unserer Maria gemildert ist. Der Christus ist jedoch nicht aufgerichtet, sondern liegt waagrecht, wie bei den Vesperbildern vom Anfang des 15. Jahrhunderts. Vgl. Passarge, Das deutsche Vesperbild im Mittelalter, Köln, 1924, Abb. 1, 3, 6 und 29. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 15, Tafel 6. TAFEL 10]] réalisée par Niederbayerisch, um 1350, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [74]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige, mit der Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links geneigt. Das schurzartige Schamtuch bildet vor der Körpermitte tiefe Schüsselfalten; seine beiden Enden hängen zu beiden Seiten der Oberschenkel senkrecht herab. Es fehlen: zwei Fingerspitzen der rechten, eine Fingerspitze der linken Hand. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung (auf Leinengrund) unter einem neueren Anstrich in grauer Farbe. BODENSEE ODER TIROL, UM 1350. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 152 cm, des Kreuzes 198 cm. TAFEL 6 (Bodensee oder Tirol um 1350)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige, mit der Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links geneigt. Das schurzartige Schamtuch bildet vor der Körpermitte tiefe Schüsselfalten; seine beiden Enden hängen zu beiden Seiten der Oberschenkel senkrecht herab. Es fehlen: zwei Fingerspitzen der rechten, eine Fingerspitze der linken Hand. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung (auf Leinengrund) unter einem neueren Anstrich in grauer Farbe. BODENSEE ODER TIROL, UM 1350. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 152 cm, des Kreuzes 198 cm. TAFEL 6]] réalisée par Bodensee oder Tirol um 1350, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [75]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Das auf dem linken Arm der Mutter sitzende Kind greift mit der Rechten nach dem Schleier und hält mit der Linken einen Vogel. Maria ist bekleidet mit einem in Hüfthöhe gegürteten Gewand und einem über die Schultern gelegten, die Brust freilassenden Mantel. Die rechte Hand der Maria und der linke Arm des Kindes mit dem Vogel sind ergänzt. Die Krone auf dem Haupt der Maria ist weggeschnitten. Freiplastisches Bruchstück einer stehenden Marienfigur, die in Hüfthöhe zur Halbfigur abgeschnitten wurde. NIEDERDEUTSCH, WOHL WESTFÄLISCH, UM 1360. Unter französischem Einfluß entstanden. Eichenholz. Höhe 32 cm. Ehemals Sammlung Saulmann, Erlenhof, Eningen. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 13, Tafel 5. TAFEL 9 (Niederdeutsch, wohl Westfälisch, um 1360)|MARIA MIT DEM KINDE. Das auf dem linken Arm der Mutter sitzende Kind greift mit der Rechten nach dem Schleier und hält mit der Linken einen Vogel. Maria ist bekleidet mit einem in Hüfthöhe gegürteten Gewand und einem über die Schultern gelegten, die Brust freilassenden Mantel. Die rechte Hand der Maria und der linke Arm des Kindes mit dem Vogel sind ergänzt. Die Krone auf dem Haupt der Maria ist weggeschnitten. Freiplastisches Bruchstück einer stehenden Marienfigur, die in Hüfthöhe zur Halbfigur abgeschnitten wurde. NIEDERDEUTSCH, WOHL WESTFÄLISCH, UM 1360. Unter französischem Einfluß entstanden. Eichenholz. Höhe 32 cm. Ehemals Sammlung Saulmann, Erlenhof, Eningen. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 13, Tafel 5. TAFEL 9]] réalisée par Niederdeutsch, wohl Westfälisch, um 1360, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1100 sch. [76]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, stehend, mit ausgeschwungener Hüfte, in der gotischen S-Linie bewegt, mit beiden Händen das nackte Kind in Brusthöhe haltend. Maria ist bekleidet mit langem Kleid und Mantel; sie steht auf abgeschrägter, eckiger Standplatte. Ihr Haupt ist stark nach rechts geneigt; unter dem Kronreif kommen das wellig bewegte, in der Mitte gescheitelte Haar und das in Dütchenfalten herabfallende Kopftuch hervor. Das Kind hält in der Linken einen Apfel. Ergänzt: Der Kronreif, das Kopftuch, das über den rechten Arm der Maria herabhängende Mantelende. Freiplastische Standfigur, Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung: Fleisch*-färbe rosa; blaues Mantelfutter; goldener Mantelsaum; roter Apfel. DEUTSCH-SÜDBÖHMISCHER MEISTER, UM 1410. Gelblich-weißer Kelheimer Stein. Höhe 68 cm. Das Bildwerk stammt aus dem Bayerischen Wald. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 18, Tafel 8. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 293. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstdenkmäler" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 11 (Deutsch-Südböhmischer Meister, um 1410)|MARIA MIT DEM KINDE, stehend, mit ausgeschwungener Hüfte, in der gotischen S-Linie bewegt, mit beiden Händen das nackte Kind in Brusthöhe haltend. Maria ist bekleidet mit langem Kleid und Mantel; sie steht auf abgeschrägter, eckiger Standplatte. Ihr Haupt ist stark nach rechts geneigt; unter dem Kronreif kommen das wellig bewegte, in der Mitte gescheitelte Haar und das in Dütchenfalten herabfallende Kopftuch hervor. Das Kind hält in der Linken einen Apfel. Ergänzt: Der Kronreif, das Kopftuch, das über den rechten Arm der Maria herabhängende Mantelende. Freiplastische Standfigur, Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung: Fleisch*-färbe rosa; blaues Mantelfutter; goldener Mantelsaum; roter Apfel. DEUTSCH-SÜDBÖHMISCHER MEISTER, UM 1410. Gelblich-weißer Kelheimer Stein. Höhe 68 cm. Das Bildwerk stammt aus dem Bayerischen Wald. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 18, Tafel 8. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 293. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstdenkmäler" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 11]] réalisée par Deutsch-Südböhmischer Meister, um 1410, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 22000 sch. [77]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KREUZIGUNGSGRUPPE auf einem monstranzartigen Sockel. Auf vierpaßförmigem Grundriß erhebt sich der Schaft der in der Form einer Monstranz aufgebauten Kreuzigungsgruppe. Aus dem Nodus schwingt nach rechts und links je eine Volute heraus, die die obere Begrenzung von zwei Rundreliefs mit den Darstellungen der Heimsuchung und Verkündigung bildet. (Auf deren Rückseite Reliefs mit den Darstellungen der Kreuztragung und des Vesperbildes.) Nach oben zweigen aus diesen beiden Voluten die Stiele zweier Kreuzblumen ab, auf denen die Assistenzfiguren der trauernden Maria und des Johannes Ev. aufgesetzt sind. Das von Ästen umrahmte Kreuz trägt an den vier Enden in Vierpaßform die Evangelistensymbole in Relief Schnitzerei (auf der Rückseite oben: Auferstehender Christus; links, rechts und unten: Engel mit Kelch). Die Figur des Gekreuzigten füllt mit den ausgestreckten Armen genau den Zwischenraum zwischen den beiden Symbolen am Kreuzquerbalken aus, während die Füße an der Oberkante des Vierpasses des Evangelistensymbols am Fußende des Kreuzes aufsitzen. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Der monstranzartige Sockel, das Kreuz und das Lendentuch Christi in alter Vergoldung. Die beiden Assistenzfiguren in farbiger Bemalung. OBERÖSTERREICHISCH, GEGEN 1400. Lindenholz. Höhe 76 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 12, Tafel 4. TAFEL 7 (Oberösterreichisch, gegen 1400)|KREUZIGUNGSGRUPPE auf einem monstranzartigen Sockel. Auf vierpaßförmigem Grundriß erhebt sich der Schaft der in der Form einer Monstranz aufgebauten Kreuzigungsgruppe. Aus dem Nodus schwingt nach rechts und links je eine Volute heraus, die die obere Begrenzung von zwei Rundreliefs mit den Darstellungen der Heimsuchung und Verkündigung bildet. (Auf deren Rückseite Reliefs mit den Darstellungen der Kreuztragung und des Vesperbildes.) Nach oben zweigen aus diesen beiden Voluten die Stiele zweier Kreuzblumen ab, auf denen die Assistenzfiguren der trauernden Maria und des Johannes Ev. aufgesetzt sind. Das von Ästen umrahmte Kreuz trägt an den vier Enden in Vierpaßform die Evangelistensymbole in Relief Schnitzerei (auf der Rückseite oben: Auferstehender Christus; links, rechts und unten: Engel mit Kelch). Die Figur des Gekreuzigten füllt mit den ausgestreckten Armen genau den Zwischenraum zwischen den beiden Symbolen am Kreuzquerbalken aus, während die Füße an der Oberkante des Vierpasses des Evangelistensymbols am Fußende des Kreuzes aufsitzen. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Der monstranzartige Sockel, das Kreuz und das Lendentuch Christi in alter Vergoldung. Die beiden Assistenzfiguren in farbiger Bemalung. OBERÖSTERREICHISCH, GEGEN 1400. Lindenholz. Höhe 76 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 12, Tafel 4. TAFEL 7]] réalisée par Oberösterreichisch, gegen 1400, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [78]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht, in der gotischen S-Linie bewegt, auf einer an den Ecken abgeschrägten Standplatte. Sie hält mit beiden Händen das Kind, das in schräger Haltung vor ihrem Leib schwebt. Die Rechte des Kindes liegt auf der Brust der Mutter, die Linke hält das Ende des Mantels der Maria fest. Maria ist bekleidet mit langem Gewand und weitem, in reichen Dütchen- und Schüsselfalten bis zum Boden herabfallendem Mantel. Unter dem Kronreif kommen das in der Mitte gescheitelte, wellige Haar und der zu beiden Seiten des Kopfes auf die Brust herabfallende Schleier hervor. Das Haupt der Maria ist nach rechts abwärts geneigt und dem Kinde zugewandt. Der Kronreif und Stücke des Schleiers spätere Ergänzung. Es fehlen der linke Fuß des Kindes und kleinere Stücke der Standplatte. Statue. Rückseite bearbeitet. DEUTSCH-SUDBÖHMISCHER MEISTER, UM 1400, Nachfolger des Meisters der "Krummauer Madonna". Gelblich-grauer Kalkstein. Höhe 112 cm. Das Bildwerk gehört in den Kreis der "Schönen Madonnen" und ist bei seiner fast wörtlichen Übereinstimmung mit der "Krummauer Madonna" (in der Staatlichen Gemäldegalerie zu Wien) in der Werkstätte dieses Meisters oder von einem seiner Nachfolger gemeißelt worden. Vgl. Kieslinger, Zur Geschichte der gotischen Plastik in Österreich (1923), S. 22 ff., S. 26, 27 und Tafel 30. Vgl. Pinder, Die deutsche Plastik des 15. Jahrhunderts (1924), Tafel 16. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 17, Tafel 7. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 12 (Deutsch-Südböhmischer Meister, um 1400)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht, in der gotischen S-Linie bewegt, auf einer an den Ecken abgeschrägten Standplatte. Sie hält mit beiden Händen das Kind, das in schräger Haltung vor ihrem Leib schwebt. Die Rechte des Kindes liegt auf der Brust der Mutter, die Linke hält das Ende des Mantels der Maria fest. Maria ist bekleidet mit langem Gewand und weitem, in reichen Dütchen- und Schüsselfalten bis zum Boden herabfallendem Mantel. Unter dem Kronreif kommen das in der Mitte gescheitelte, wellige Haar und der zu beiden Seiten des Kopfes auf die Brust herabfallende Schleier hervor. Das Haupt der Maria ist nach rechts abwärts geneigt und dem Kinde zugewandt. Der Kronreif und Stücke des Schleiers spätere Ergänzung. Es fehlen der linke Fuß des Kindes und kleinere Stücke der Standplatte. Statue. Rückseite bearbeitet. DEUTSCH-SUDBÖHMISCHER MEISTER, UM 1400, Nachfolger des Meisters der "Krummauer Madonna". Gelblich-grauer Kalkstein. Höhe 112 cm. Das Bildwerk gehört in den Kreis der "Schönen Madonnen" und ist bei seiner fast wörtlichen Übereinstimmung mit der "Krummauer Madonna" (in der Staatlichen Gemäldegalerie zu Wien) in der Werkstätte dieses Meisters oder von einem seiner Nachfolger gemeißelt worden. Vgl. Kieslinger, Zur Geschichte der gotischen Plastik in Österreich (1923), S. 22 ff., S. 26, 27 und Tafel 30. Vgl. Pinder, Die deutsche Plastik des 15. Jahrhunderts (1924), Tafel 16. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 17, Tafel 7. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 12]] réalisée par Deutsch-Südböhmischer Meister, um 1400, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 14000 sch. [79]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. GEORG, aus Mühldorf. Die Gestalt steht in stark nach links ausgebogener Haltung auf dem am Boden liegenden Drachen. Der Ritter trägt den hohen Herzogshut, unter dem das Haupthaar zu beiden Seiten des Kopfes in reichen Schneckenlocken hervorquillt, außerdem zweigeteilten Spitz-und Schnurrbart. Er ist bekleidet mit kurzem, bis fast an die Knie reichendem Leibrock, Brustharnisch, Beinzeug, Dupsing mit Rosetten und einem über die beiden Schultern herabfallenden, die Brust und den Leib freilassenden, halblangen Mantel. Einzelne Anstückungen. Statue. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung und Vergoldung: Hut rot; Mantel Gold; im Gesicht schöne Reste des alten Kreidegrundes. BAYERISCH, UM 1410-20. Lindenholz. Höhe 132 cm. Aus Mühldorf stammend. Verwandte Darstellungen (als hl. Georg oder als hl. Florian zu deuten) finden sich im Bayerischen Nationalmuseum und in der Sammlung Amann, München. Vgl. Halm-Lill, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, I. Abteilung (1924), Nr. 227, 228,285. Vgl. Festschrift des Münchner Altertumsvereins (1914), S. 37, Abb. 18. TAFEL 13 (Bayerisch, um 1410-20)|HL. GEORG, aus Mühldorf. Die Gestalt steht in stark nach links ausgebogener Haltung auf dem am Boden liegenden Drachen. Der Ritter trägt den hohen Herzogshut, unter dem das Haupthaar zu beiden Seiten des Kopfes in reichen Schneckenlocken hervorquillt, außerdem zweigeteilten Spitz-und Schnurrbart. Er ist bekleidet mit kurzem, bis fast an die Knie reichendem Leibrock, Brustharnisch, Beinzeug, Dupsing mit Rosetten und einem über die beiden Schultern herabfallenden, die Brust und den Leib freilassenden, halblangen Mantel. Einzelne Anstückungen. Statue. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung und Vergoldung: Hut rot; Mantel Gold; im Gesicht schöne Reste des alten Kreidegrundes. BAYERISCH, UM 1410-20. Lindenholz. Höhe 132 cm. Aus Mühldorf stammend. Verwandte Darstellungen (als hl. Georg oder als hl. Florian zu deuten) finden sich im Bayerischen Nationalmuseum und in der Sammlung Amann, München. Vgl. Halm-Lill, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, I. Abteilung (1924), Nr. 227, 228,285. Vgl. Festschrift des Münchner Altertumsvereins (1914), S. 37, Abb. 18. TAFEL 13]] réalisée par Bayerisch, um 1410-20, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 7000 sch. [80]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE, aus Landshut. Stehend, in der gotischen S-Linie gebogen, mit langem, in straffen Falten herabfallendem Mantel bekleidet. Das Haupt von breiten Lockenwellen umrahmt und mit einer mächtigen Krone geschmückt. Die beiden Hände sind in Hüfthöhe erhoben, die Linke trägt ein Buch. Es fehlen die Kronzacken. Ergänzt sind die beiden Hände mit dem Buch. Rückseite stark durch Wurmfraß beschädigt. Statuette, Rückseite bearbeitet. NIEDERBAYERN, UM 1410. Kirschholz, Höhe 27 cm. Nach einer neueren Mitteilung des Vorbesitzers aus Pfaffenberg, Bez.-A. Mallersdorf stammend. (Niederbayern, um 1410)|WEIBLICHE HEILIGE, aus Landshut. Stehend, in der gotischen S-Linie gebogen, mit langem, in straffen Falten herabfallendem Mantel bekleidet. Das Haupt von breiten Lockenwellen umrahmt und mit einer mächtigen Krone geschmückt. Die beiden Hände sind in Hüfthöhe erhoben, die Linke trägt ein Buch. Es fehlen die Kronzacken. Ergänzt sind die beiden Hände mit dem Buch. Rückseite stark durch Wurmfraß beschädigt. Statuette, Rückseite bearbeitet. NIEDERBAYERN, UM 1410. Kirschholz, Höhe 27 cm. Nach einer neueren Mitteilung des Vorbesitzers aus Pfaffenberg, Bez.-A. Mallersdorf stammend.]] réalisée par Niederbayern, um 1410, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [81]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VESPERBILD. Maria sitzt auf einer Bank und hält auf ihrem Schoß den Leichnam ihres Sohnes. Sie sitzt mit nach links gesenktem Haupte frontal; ihre Rechte stützt das niedersinkende Haupt Christi, mit ihrer Linken hält sie die Rechte des Leichnams fest. Christus, in sich zusammengesunken, ist mit einem Lendentuch bekleidet und trägt die Dornenkrone. Maria ist bekleidet mit einem nur an der Brust sichtbaren Gewand, hellem Schleier und einem in reichen Röhren- und Schüsselfalten herniederfallenden Mantel, dessen Säume auf dem profilierten Sockel schleifen. Ihr Gesicht zeigt einen ergreifenden Ausdruck stiller Trauer. Wandgruppe mit ausgehöhlter Rückseite. Sehr gut erhaltene, sorgfältige alte Bemalung: Mantel der Maria hellblau mit breitem Goldsaum, Futter hellblau; Gewand braunrot mit Goldrand; Sockel grün und rot; Bank grün; Schleier lichtgrau mit Goldrand. Lendentuch Christi weiß mit Goldrand. SCHWÄBISCHER MEISTER VON ERISKIRCH (BODENSEE), UM 1420-30. Lindenholz. Höhe mit dem alten, zugehörigen Sockel 90 cm. Der Kopf der Maria stimmt in Form und Ausdruck vollkommen mit dem Kopf der "Trauernden Maria" überein, die aus der Pfarrkirche zu Eriskirch am Bodensee in die Sammlung der Lorenzkapelle zu Rottweil gelangte. Vgl. Pinder, Die deutsche Plastik des 15. Jahrhunderts (1924), Tafel 28. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 23, Tafel 11 und 12. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 294. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland gebracht werden. TAFEL 14 (Schwäbischer Meister von Eriskirch (Bodensee), um 1420-30)|VESPERBILD. Maria sitzt auf einer Bank und hält auf ihrem Schoß den Leichnam ihres Sohnes. Sie sitzt mit nach links gesenktem Haupte frontal; ihre Rechte stützt das niedersinkende Haupt Christi, mit ihrer Linken hält sie die Rechte des Leichnams fest. Christus, in sich zusammengesunken, ist mit einem Lendentuch bekleidet und trägt die Dornenkrone. Maria ist bekleidet mit einem nur an der Brust sichtbaren Gewand, hellem Schleier und einem in reichen Röhren- und Schüsselfalten herniederfallenden Mantel, dessen Säume auf dem profilierten Sockel schleifen. Ihr Gesicht zeigt einen ergreifenden Ausdruck stiller Trauer. Wandgruppe mit ausgehöhlter Rückseite. Sehr gut erhaltene, sorgfältige alte Bemalung: Mantel der Maria hellblau mit breitem Goldsaum, Futter hellblau; Gewand braunrot mit Goldrand; Sockel grün und rot; Bank grün; Schleier lichtgrau mit Goldrand. Lendentuch Christi weiß mit Goldrand. SCHWÄBISCHER MEISTER VON ERISKIRCH (BODENSEE), UM 1420-30. Lindenholz. Höhe mit dem alten, zugehörigen Sockel 90 cm. Der Kopf der Maria stimmt in Form und Ausdruck vollkommen mit dem Kopf der "Trauernden Maria" überein, die aus der Pfarrkirche zu Eriskirch am Bodensee in die Sammlung der Lorenzkapelle zu Rottweil gelangte. Vgl. Pinder, Die deutsche Plastik des 15. Jahrhunderts (1924), Tafel 28. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 23, Tafel 11 und 12. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 294. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland gebracht werden. TAFEL 14]] réalisée par Schwäbischer Meister von Eriskirch (Bodensee), um 1420-30, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 12000 sch. [82]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER CHRISTUSKNABE. (Wohl Bruchstück einer Gruppe der thronenden Maria mit dem Kinde.) Der Knabe sitzt frontal, die Arme in Brusthöhe erhoben. Die linke Hand umfaßt den Stiel einer (jetzt verlorengegangenen) Birne. Ein Tuch umhüllt die Hüften und den rechten Oberschenkel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Schön erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Fleischfarbe rosa; Lendentuch gelblich-weiß; Haare hellbraun. RHEINISCH, UM 1420. Lindenholz. Höhe 38 cm. (Rheinisch, um 1420)|SITZENDER CHRISTUSKNABE. (Wohl Bruchstück einer Gruppe der thronenden Maria mit dem Kinde.) Der Knabe sitzt frontal, die Arme in Brusthöhe erhoben. Die linke Hand umfaßt den Stiel einer (jetzt verlorengegangenen) Birne. Ein Tuch umhüllt die Hüften und den rechten Oberschenkel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Schön erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Fleischfarbe rosa; Lendentuch gelblich-weiß; Haare hellbraun. RHEINISCH, UM 1420. Lindenholz. Höhe 38 cm.]] réalisée par Rheinisch, um 1420, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [83]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA VON EINER VERKÜNDIGUNG, in weitem Mantel auf einer Bank sitzend, auf dem Haupt Perlenkranz und Schleier, mit der Rechten das auf dem Schoß liegende Buch haltend, die Linke zur Brust erhoben. Das enganliegende Kleid ist unter der Brust durch einen Gürtel zusammengehalten, der mit Blei= Ornamenten verziert ist. Am Saum des Kleides, in der Mitte des Halsausschnittes runde, aufgesetzte Bleiagraffe. Die beiden Bankwangen spätere Ergänzung. Wandfigur mit z. T. gut erhaltener, teilweise übergangener Bemalung und Vergoldung. Mantel blau mit Goldrand; Kleid rot; Schleier weiß; Haare ehemals vergoldet. UNTER-ELSASS, UM 1420. Lindenholz. Höhe 90 cm. Das Bildwerk gehört in die Reihe von Marienfiguren aus dem Unter-Elsaß, die Ilse Futterer dem Schulkreis des Meisters der Berliner Geburt aus Mutzig im Breuschtal zugewiesen hat. Es ist im Kopftypus verwandt der Maria von Hüttenheim. Vgl. Futterer, Zur gotischen Plastik im Elsaß in: Oberrheinische Kunst, III. Jahrgang, Heft 1/2, 1928, S. 48, Tafel 24-26. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 20, Tafel 9. TAFEL 15 (Unter-Elsass, um 1420)|MARIA VON EINER VERKÜNDIGUNG, in weitem Mantel auf einer Bank sitzend, auf dem Haupt Perlenkranz und Schleier, mit der Rechten das auf dem Schoß liegende Buch haltend, die Linke zur Brust erhoben. Das enganliegende Kleid ist unter der Brust durch einen Gürtel zusammengehalten, der mit Blei= Ornamenten verziert ist. Am Saum des Kleides, in der Mitte des Halsausschnittes runde, aufgesetzte Bleiagraffe. Die beiden Bankwangen spätere Ergänzung. Wandfigur mit z. T. gut erhaltener, teilweise übergangener Bemalung und Vergoldung. Mantel blau mit Goldrand; Kleid rot; Schleier weiß; Haare ehemals vergoldet. UNTER-ELSASS, UM 1420. Lindenholz. Höhe 90 cm. Das Bildwerk gehört in die Reihe von Marienfiguren aus dem Unter-Elsaß, die Ilse Futterer dem Schulkreis des Meisters der Berliner Geburt aus Mutzig im Breuschtal zugewiesen hat. Es ist im Kopftypus verwandt der Maria von Hüttenheim. Vgl. Futterer, Zur gotischen Plastik im Elsaß in: Oberrheinische Kunst, III. Jahrgang, Heft 1/2, 1928, S. 48, Tafel 24-26. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 20, Tafel 9. TAFEL 15]] réalisée par Unter-Elsass, um 1420, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3100 sch. [84]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS (Fragment einer in Hüfthöhe abgeschnittenen ganzen Figur). Auf den in frontaler Ansicht gezeigten Körper neigt sich das bärtige Haupt nach links herab. Das gescheitelte Haupthaar ist auf der oberen Kopfhälfte, die ehemals die Dornenkrone trug, nur angedeutet. Zu beiden Seiten des Kopfes hängt das Haar in großen Ringellocken auf die Brust herab. Der Ansatz des Schamtuches, das weggeschnitten wurde, ist in Hüfthöhe noch sichtbar. Es fehlen: die beiden Arme, die Dornenkrone und der ganze untere Teil des Bildwerkes von den Hüften abwärts. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung unter einer späteren Bemalung. BAYERISCH, WOHL CHIEMGAU, UM 1420. Lindenholz. Höhe 51 cm. (Bayerisch, wohl Chiemgau, um 1420)|KRUZIFIXUS (Fragment einer in Hüfthöhe abgeschnittenen ganzen Figur). Auf den in frontaler Ansicht gezeigten Körper neigt sich das bärtige Haupt nach links herab. Das gescheitelte Haupthaar ist auf der oberen Kopfhälfte, die ehemals die Dornenkrone trug, nur angedeutet. Zu beiden Seiten des Kopfes hängt das Haar in großen Ringellocken auf die Brust herab. Der Ansatz des Schamtuches, das weggeschnitten wurde, ist in Hüfthöhe noch sichtbar. Es fehlen: die beiden Arme, die Dornenkrone und der ganze untere Teil des Bildwerkes von den Hüften abwärts. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung unter einer späteren Bemalung. BAYERISCH, WOHL CHIEMGAU, UM 1420. Lindenholz. Höhe 51 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl Chiemgau, um 1420, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [85]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, aus der Gegend von Mühldorf. Maria thront auf einer Bank, die mit einem Tuch und einem troddelgezierten Kissen belegt ist. Ihr Körper ist stark nach links ausgebogen, der mit einer mächtigen Krone gezierte Kopf nach rechts geneigt. Mit der linken Hand hält sie das auf ihrem linken Knie sitzende nackte Kind, mit der Rechten bietet sie diesem einen Apfel dar. Das Kind hält ein aufgeschlagenes Buch auf seinem Schoß. Unter der Zackenkröne (mit edelsteinbesetztem Reif) quillt das lockige Haar hervor, das von einem weißen Schleier umrahmt wird. In der Mitte des Halsausschnittes ziert das Gewand eine Agraffe. - Der Sockel mit Engelskopf und Fruchtkränzen später, 17. Jahrhundert. - Die Krone ist alt. Wandgruppe. Rückseite ausgehöhlt. Alte Bemalung und Vergoldung: Mantel vergoldet, Futter blau; Schleier weißsgrau. SALZBURGISCH, UM 1430. Lindenholz. Höhe ohne Sockel 84 cm. Aus der Gegend von Mühldorf stammend. Freie Wiederholung der Seeoner Muttergottes, die im Bayerischen Nationalmuseum zu München verwahrt wird. Eine verwandte Wiederholung des Seeoner Gnadenbildes (96 cm hoch) befand sich in der Sammlung Oertel München. Vgl. Halm-Lill, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, I. Abteilung (1924) Nr. 158, Abb. Tafel 77 u. 86. Vgl. Demmler, Katalog der Sammlung Oertel-München, Versteigerung in Lepkes Kunstauktionshaus, Berlin (1913) Nr. 23, Abb. Tafel 8. Vgl. Wilm, Die gotische Holzfigur (1923), Tafel 61. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 22, Tafel 10. TAFEL 17 (Salzburgisch, um 1430)|MARIA MIT DEM KINDE, aus der Gegend von Mühldorf. Maria thront auf einer Bank, die mit einem Tuch und einem troddelgezierten Kissen belegt ist. Ihr Körper ist stark nach links ausgebogen, der mit einer mächtigen Krone gezierte Kopf nach rechts geneigt. Mit der linken Hand hält sie das auf ihrem linken Knie sitzende nackte Kind, mit der Rechten bietet sie diesem einen Apfel dar. Das Kind hält ein aufgeschlagenes Buch auf seinem Schoß. Unter der Zackenkröne (mit edelsteinbesetztem Reif) quillt das lockige Haar hervor, das von einem weißen Schleier umrahmt wird. In der Mitte des Halsausschnittes ziert das Gewand eine Agraffe. - Der Sockel mit Engelskopf und Fruchtkränzen später, 17. Jahrhundert. - Die Krone ist alt. Wandgruppe. Rückseite ausgehöhlt. Alte Bemalung und Vergoldung: Mantel vergoldet, Futter blau; Schleier weißsgrau. SALZBURGISCH, UM 1430. Lindenholz. Höhe ohne Sockel 84 cm. Aus der Gegend von Mühldorf stammend. Freie Wiederholung der Seeoner Muttergottes, die im Bayerischen Nationalmuseum zu München verwahrt wird. Eine verwandte Wiederholung des Seeoner Gnadenbildes (96 cm hoch) befand sich in der Sammlung Oertel München. Vgl. Halm-Lill, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, I. Abteilung (1924) Nr. 158, Abb. Tafel 77 u. 86. Vgl. Demmler, Katalog der Sammlung Oertel-München, Versteigerung in Lepkes Kunstauktionshaus, Berlin (1913) Nr. 23, Abb. Tafel 8. Vgl. Wilm, Die gotische Holzfigur (1923), Tafel 61. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 22, Tafel 10. TAFEL 17]] réalisée par Salzburgisch, um 1430, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [86]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. ELISABETH, aus der Gegend von Altötting. Die Heilige steht, mit gegürtetem Gewand und langem Mantel bekleidet, auf eckiger Standplatte. Das nach rechts abwärts geneigte Haupt ist von breiten, lockigen Haarwellen um: rahmt; der Schleier fällt zu beiden Seiten des Hauptes auf die Brust herab. Das obere Kopfende ist kreisrund beschnitten und zum Aufsetzen einer Metallkrone vorbereitet. Die Heilige hält mit der Rechten das Mantelende. In der Linken trägt sie einen (ergänzten) Korb mit Blumen. Freiplastische Standfigur. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: Mantel grau-blau mit Goldsaum, Futter rötlich; Kleid rot; Schleier weiß; Haar ehemals vergoldet. NIEDERBAYERISCH, UM 1440. Lindenholz. Höhe 99 cm. Aus der Gegend von Altötting stammend. Das Bildwerk ist nahe verwandt mit einer hl. Magdalena in der Stuttgarter Altertümersammlung, die vormals in der Sammlung Oertel war und aus der Gegend von Pfarrkirchen (Niederbayern) stammt. Vgl. Baum, Deutsche Bildwerke des 10. bis 18. Jahrhunderts (1917), Nr. 352. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 21, Tafel 9. TAFEL 15 (Niederbayerisch, um 1440)|HL. ELISABETH, aus der Gegend von Altötting. Die Heilige steht, mit gegürtetem Gewand und langem Mantel bekleidet, auf eckiger Standplatte. Das nach rechts abwärts geneigte Haupt ist von breiten, lockigen Haarwellen um: rahmt; der Schleier fällt zu beiden Seiten des Hauptes auf die Brust herab. Das obere Kopfende ist kreisrund beschnitten und zum Aufsetzen einer Metallkrone vorbereitet. Die Heilige hält mit der Rechten das Mantelende. In der Linken trägt sie einen (ergänzten) Korb mit Blumen. Freiplastische Standfigur. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: Mantel grau-blau mit Goldsaum, Futter rötlich; Kleid rot; Schleier weiß; Haar ehemals vergoldet. NIEDERBAYERISCH, UM 1440. Lindenholz. Höhe 99 cm. Aus der Gegend von Altötting stammend. Das Bildwerk ist nahe verwandt mit einer hl. Magdalena in der Stuttgarter Altertümersammlung, die vormals in der Sammlung Oertel war und aus der Gegend von Pfarrkirchen (Niederbayern) stammt. Vgl. Baum, Deutsche Bildwerke des 10. bis 18. Jahrhunderts (1917), Nr. 352. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 21, Tafel 9. TAFEL 15]] réalisée par Niederbayerisch, um 1440, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1700 sch. [87]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, aus Straubing. Maria steht frontal, in langem Gewände, mit Krone und Schleier. Sie hält das Kind auf dem linken Arm und reicht ihm mit der Rechten eine Traube dar. Die Säume des Kleides und Mantels schleifen auf der an beiden Seiten abgeschrägten Standplatte Statue. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung. Am Mantel Goldsaum und blaues Futter. Gewand vergoldet; Gürtel rot; Krone vergoldet. NIEDERBAYERISCH (STRAUBING), UM 1440-50. Gebrannter roter Ton. Höhe 96 cm. Das Bildwerk stammt aus einer Hausnische in Straubing (Niederbayern) und ist verwandt mit einer Gruppe von Marienfiguren in gebranntem Ton, die gleichfalls in der Gegend von Straubing zu lokalisieren sind. Vgl. Wilm, Gotische Tonplastik in Deutschland (1929), Seite 75 und Abb. 166, 168, 169. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 16, Tafel 6. TAFEL 16 (Niederbayerisch (Straubing), um 1440-50)|MARIA MIT DEM KINDE, aus Straubing. Maria steht frontal, in langem Gewände, mit Krone und Schleier. Sie hält das Kind auf dem linken Arm und reicht ihm mit der Rechten eine Traube dar. Die Säume des Kleides und Mantels schleifen auf der an beiden Seiten abgeschrägten Standplatte Statue. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung. Am Mantel Goldsaum und blaues Futter. Gewand vergoldet; Gürtel rot; Krone vergoldet. NIEDERBAYERISCH (STRAUBING), UM 1440-50. Gebrannter roter Ton. Höhe 96 cm. Das Bildwerk stammt aus einer Hausnische in Straubing (Niederbayern) und ist verwandt mit einer Gruppe von Marienfiguren in gebranntem Ton, die gleichfalls in der Gegend von Straubing zu lokalisieren sind. Vgl. Wilm, Gotische Tonplastik in Deutschland (1929), Seite 75 und Abb. 166, 168, 169. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 16, Tafel 6. TAFEL 16]] réalisée par Niederbayerisch (Straubing), um 1440-50, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 7000 sch. [88]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[JOHANNES DER TÄUFER, stehend auf hoher, rechteckiger Standplatte. Die mit einem langen härenen Gewand und darübergezogenem Mantel bekleidete Gestalt ist leicht in der S=Linie gebogen. Das frontal gerichtete, mächtige Haupt wird von strähnigen, in der Mitte gescheitelten Haaren umrahmt. Der in lockige Wellen gelegte Bart reicht bis auf die Brustmitte herab. Unter dem Rock und Mantel werden die beiden nackten Füße sichtbar. Die beiden Hände des Heiligen sind abgebrochen, ebenso das Lamm, das er als sein Attribut wohl einstmals auf dem linken Arm getragen hat. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Spätere Bemalung: Mantel rot, Futter blau; Härenes Gewand braun; Sockel grün. BAYERISCH, WOHL CHIEMGAU, UM 1450. Lindenholz. Höhe 104 cm. (Bayerisch, wohl Chiemgau, um 1450)|JOHANNES DER TÄUFER, stehend auf hoher, rechteckiger Standplatte. Die mit einem langen härenen Gewand und darübergezogenem Mantel bekleidete Gestalt ist leicht in der S=Linie gebogen. Das frontal gerichtete, mächtige Haupt wird von strähnigen, in der Mitte gescheitelten Haaren umrahmt. Der in lockige Wellen gelegte Bart reicht bis auf die Brustmitte herab. Unter dem Rock und Mantel werden die beiden nackten Füße sichtbar. Die beiden Hände des Heiligen sind abgebrochen, ebenso das Lamm, das er als sein Attribut wohl einstmals auf dem linken Arm getragen hat. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Spätere Bemalung: Mantel rot, Futter blau; Härenes Gewand braun; Sockel grün. BAYERISCH, WOHL CHIEMGAU, UM 1450. Lindenholz. Höhe 104 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl Chiemgau, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 250 sch. [89]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[JOHANNES DER TÄUFER. Der Heilige steht, das Lamm auf dem linken Arm haltend, in härenem Gewand, von einem weiten Mantel umhüllt, in frontaler Stellung. Das bärtige Haupt ist von einem mächtigen Lockenschwall umrahmt. Das linke Bein ist in stark nach auswärts gerichteter Haltung vor den Körper gestellt. Es fehlt die rechte Hand. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Alte Bemalung: Härenes Gewand vergoldet; Mantel blau, Futter rot, mit Goldsaum; Haare braun; Lamm weiß. OBERSCHWÄBISCH, WOHL ULMISCH, UM 1440-50. Lindenholz. Höhe 90 cm. Aus dem Umkreise Hans Multschers, vielleicht von dem Meister des Georgsaltars in Scharrenstetten, der um 1440-50 von einem oberschwäbischen, durch Multschers Kunst beeinflußten Meister geschnitzt wurde. Vgl. Gerstenberg, Hans Multscher (1928), Seite 146 ff. und Abb. 92, 95. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 30, Tafel 15. (Oberschwäbisch, wohl Ulmisch, um 144050)|JOHANNES DER TÄUFER. Der Heilige steht, das Lamm auf dem linken Arm haltend, in härenem Gewand, von einem weiten Mantel umhüllt, in frontaler Stellung. Das bärtige Haupt ist von einem mächtigen Lockenschwall umrahmt. Das linke Bein ist in stark nach auswärts gerichteter Haltung vor den Körper gestellt. Es fehlt die rechte Hand. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Alte Bemalung: Härenes Gewand vergoldet; Mantel blau, Futter rot, mit Goldsaum; Haare braun; Lamm weiß. OBERSCHWÄBISCH, WOHL ULMISCH, UM 1440-50. Lindenholz. Höhe 90 cm. Aus dem Umkreise Hans Multschers, vielleicht von dem Meister des Georgsaltars in Scharrenstetten, der um 1440-50 von einem oberschwäbischen, durch Multschers Kunst beeinflußten Meister geschnitzt wurde. Vgl. Gerstenberg, Hans Multscher (1928), Seite 146 ff. und Abb. 92, 95. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 30, Tafel 15.]] réalisée par Oberschwäbisch, wohl Ulmisch, um 144050, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 650 sch. [90]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VESPERBILD. Maria sitzt auf einer profilierten Bank und hält den toten Sohn auf ihren Knien. Ihre Rechte stützt das Haupt des Christus. Der rechte Arm Christi hängt zum Boden herab. Maria ist bekleidet mit einem gegürteten Gewand und weitem Mantel; das Kopftuch ist über die Brust herabgezogen. Freiplastische Gruppe. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung und Vergoldung: Mantel der Maria hellblau mit Goldsaum und Schwarzbroten Streublumen, Futter blau; Gewand und Kopftuch grau; Lendentuch Christi ockergelb, wohl einstmals vergoldet. MITTELRHEINISCH, UM 1450. Gebrannter roter Ton. Höhe mit dem zugehörigen alten Holzsockel 52 cm. TAFEL 10 (Mittelrheinisch, um 1450)|VESPERBILD. Maria sitzt auf einer profilierten Bank und hält den toten Sohn auf ihren Knien. Ihre Rechte stützt das Haupt des Christus. Der rechte Arm Christi hängt zum Boden herab. Maria ist bekleidet mit einem gegürteten Gewand und weitem Mantel; das Kopftuch ist über die Brust herabgezogen. Freiplastische Gruppe. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung und Vergoldung: Mantel der Maria hellblau mit Goldsaum und Schwarzbroten Streublumen, Futter blau; Gewand und Kopftuch grau; Lendentuch Christi ockergelb, wohl einstmals vergoldet. MITTELRHEINISCH, UM 1450. Gebrannter roter Ton. Höhe mit dem zugehörigen alten Holzsockel 52 cm. TAFEL 10]] réalisée par Mittelrheinisch, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 7800 sch. [91]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[JOHANNES DER EVANGELIST, auf eckiger Standplatte stehend, Körper und Kopf leicht nach links gewendet, den Kelch mit beiden Händen in Brusthöhe haltend. Er trägt langes Kleid und langen Mantel, der bis zum Boden herabfällt und den linken Arm und den linken Fuß freiläßt. Das breite Gesicht ist von Ringellocken umrahmt. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Barocke Bemalung: Mantel rot, Futter blau; Gewand grün; Kelch vergoldet. OBERRHEINISCH, MITTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 89 cm. Im Typus der Gestalt an die gemalten Figuren des Konrad Witz anklingend. (Oberrheinisch, Mitte des 15. Jahrhunderts)|JOHANNES DER EVANGELIST, auf eckiger Standplatte stehend, Körper und Kopf leicht nach links gewendet, den Kelch mit beiden Händen in Brusthöhe haltend. Er trägt langes Kleid und langen Mantel, der bis zum Boden herabfällt und den linken Arm und den linken Fuß freiläßt. Das breite Gesicht ist von Ringellocken umrahmt. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Barocke Bemalung: Mantel rot, Futter blau; Gewand grün; Kelch vergoldet. OBERRHEINISCH, MITTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 89 cm. Im Typus der Gestalt an die gemalten Figuren des Konrad Witz anklingend.]] réalisée par Oberrheinisch, Mitte des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 130 sch. [92]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RITTER (HEILIGER KÖNIG?) MIT BARETT UND SCHWERT. Die schlanke, in der gotischen S-Linie bewegte Gestalt steht auf einem gewölbten Rasensockel. Sie ist bekleidet mit einem enganliegenden Rock, dessen Kragen am Hals durch eine Verschnürung zusammengehalten wird und dessen unteres Ende über Kniehöhe mit Pelz verbrämt ist. Die mit enganliegenden Strümpfen bekleideten Beine stecken in langen, spitzen Schnabelschuhen. Über die Schultern ist ein weiter Mantel geworfen, der auf der Brust durch eine Spange gehalten wird, rechts in gerader Linie senkrecht nach abwärts fällt, während er links in brüchige Falten gelegt ist. Der faltenreiche Überschlag des Mantels fällt in der Mitte der Figur bis über Kniehöhe herab. Das mit einem Barett mit Pelzbesatz bedeckte Haupt ist etwas nach rechts abwärts geneigt. Das ausdrucksvolle Gesicht wird von breitem, in strähnigen Locken herabwallendem Haar umrahmt. Kinn- und Schnurrbart sind gleichfalls in strähnige Wellen gelegt. Unter dem Mantelüberschlag kommt unten die Spitze des Schwertes hervor, das der Ritter einst mit der Linken festhielt. Es fehlen Teile der beiden Hände und das Attribut, das der Ritter wohl einst in der rechten Hand hielt, ebenso der obere Teil des Schwertes. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Teilweise sehr gut erhaltene alte Vergoldung und Bemalung: Mantel Gold, Futter blau auf Silber; Rock mit Silberornamenten verziert, Goldsaum; Barett Gold; Haare dunkelbraun; Rasensockel grün. OBERRHEINISCHER MEISTER DER DANGOLSHEIMER MARIA, UM 1465-70. Lindenholz. Höhe 117 cm. Das Bildwerk zeigt überzeugend den überraschenden Sinn für die Hohlräumigkeit der rundplastischen Gestaltung, den wir an der "Dangolsheimer Maria" im Deutschen Museum zu Berlin bewundern. Auch Einzelheiten der Gewandung, wie die senkrecht abfallende Mantelkante, die einen mächtigen Hohlraum umschließt, dann die sorgfältige Durchbildung der Haare, kennzeichnen die Handschrift des Dangolsheimer Meisters, der im Umkreis des Nicolaus Gerhaert in Straßburg am Werke war. Vermutlich stellt das Bildwerk einen der Hl. Drei Könige von einer Gruppe der Anbetung dar. Vgl. Wertheimer, Nicolaus Gerhaert, Seine Kunst und seine Wirkung (1929), Tafel 58, 59. Vgl. auch die Ähnlichkeit der Kopfhaltung des Ritters mit der der Maria der Anna-Selbdritt-Gruppe von Nicolaus Gerhaert in Berlin und der nach rechts blickenden Sandsteinbüste des Berliner Deutschen Museums, abgebildet bei Wertheimer, a. a. O., Tafel 4 und 52. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 43, Tafel 22, 23. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abb. auf S. 296. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 18 (Oberrheinischer Meister der Dangolsheimer Maria, um 1465-70)|RITTER (HEILIGER KÖNIG?) MIT BARETT UND SCHWERT. Die schlanke, in der gotischen S-Linie bewegte Gestalt steht auf einem gewölbten Rasensockel. Sie ist bekleidet mit einem enganliegenden Rock, dessen Kragen am Hals durch eine Verschnürung zusammengehalten wird und dessen unteres Ende über Kniehöhe mit Pelz verbrämt ist. Die mit enganliegenden Strümpfen bekleideten Beine stecken in langen, spitzen Schnabelschuhen. Über die Schultern ist ein weiter Mantel geworfen, der auf der Brust durch eine Spange gehalten wird, rechts in gerader Linie senkrecht nach abwärts fällt, während er links in brüchige Falten gelegt ist. Der faltenreiche Überschlag des Mantels fällt in der Mitte der Figur bis über Kniehöhe herab. Das mit einem Barett mit Pelzbesatz bedeckte Haupt ist etwas nach rechts abwärts geneigt. Das ausdrucksvolle Gesicht wird von breitem, in strähnigen Locken herabwallendem Haar umrahmt. Kinn- und Schnurrbart sind gleichfalls in strähnige Wellen gelegt. Unter dem Mantelüberschlag kommt unten die Spitze des Schwertes hervor, das der Ritter einst mit der Linken festhielt. Es fehlen Teile der beiden Hände und das Attribut, das der Ritter wohl einst in der rechten Hand hielt, ebenso der obere Teil des Schwertes. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Teilweise sehr gut erhaltene alte Vergoldung und Bemalung: Mantel Gold, Futter blau auf Silber; Rock mit Silberornamenten verziert, Goldsaum; Barett Gold; Haare dunkelbraun; Rasensockel grün. OBERRHEINISCHER MEISTER DER DANGOLSHEIMER MARIA, UM 1465-70. Lindenholz. Höhe 117 cm. Das Bildwerk zeigt überzeugend den überraschenden Sinn für die Hohlräumigkeit der rundplastischen Gestaltung, den wir an der "Dangolsheimer Maria" im Deutschen Museum zu Berlin bewundern. Auch Einzelheiten der Gewandung, wie die senkrecht abfallende Mantelkante, die einen mächtigen Hohlraum umschließt, dann die sorgfältige Durchbildung der Haare, kennzeichnen die Handschrift des Dangolsheimer Meisters, der im Umkreis des Nicolaus Gerhaert in Straßburg am Werke war. Vermutlich stellt das Bildwerk einen der Hl. Drei Könige von einer Gruppe der Anbetung dar. Vgl. Wertheimer, Nicolaus Gerhaert, Seine Kunst und seine Wirkung (1929), Tafel 58, 59. Vgl. auch die Ähnlichkeit der Kopfhaltung des Ritters mit der der Maria der Anna-Selbdritt-Gruppe von Nicolaus Gerhaert in Berlin und der nach rechts blickenden Sandsteinbüste des Berliner Deutschen Museums, abgebildet bei Wertheimer, a. a. O., Tafel 4 und 52. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 43, Tafel 22, 23. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abb. auf S. 296. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 18]] réalisée par Oberrheinischer Meister der Dangolsheimer Maria, um 1465-70, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 9200 sch. [93]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE, aus der Gegend von Freiburg i. Br. Die Gestalt steht, mit nach abwärts geneigtem Haupt, frontal auf einer achteckigen Standplatte. Das in der Mitte gescheitelte üppige Haar fällt in weichen, lockigen Wellen über die rechte Schulter bis zur Hüfte herab, auf der anderen Kopfseite über die linke Schulter auf den Rücken. Die Heilige ist gekleidet in ein gegürtetes, langes Gewand und weiten, langen Mantel, der den Oberkörper frei läßt. Beide Hände sind in der Gegend des Handgelenkes abgebrochen. Sie hielten wohl ursprünglich ein Attribut, oder, was noch wahrscheinlicher ist, ein Christuskind, so daß das Bildwerk also ehemals vermutlich eine Maria mit dem Kinde gewesen ist. Die Standplatte und Teile der unteren Faltenpartie sind spätere Ergänzung. Wandstatue. Rückseite hohl, mit einem Brett verschlossen. Reste der alten Fassung: Mantel Gold, Futter blau auf Silbergrund. OBERRHEINISCHER MEISTER DER DANGOLSHEIMER MARIA (Werkstatt), UM 1465-70. Lindenholz. Höhe 123 cm. Aus der Gegend von Freiburg i. Br. stammend. Das Bildwerk zeigt im Gesichtstypus, in der Behandlung der Haare und der Gewandfalten enge Verwandtschaft, ja Übereinstimmung mit der Dangolsheimer Maria im Deutschen Museum zu Berlin. Die Erfindung der Faltengebung unseres Bildwerks geht, wenn auch in freierer Form, auf die gleichen zwei Stiche des Meisters E. S. zurück, die auch bei der Entstehung der Dangolsheimer Maria eine wichtige Rolle gespielt haben: auf die Stiche "Maria mit den Maiglöckchen" (L. 79) und "Madonna auf der Schlange" (L. 71). Fast wörtlich kehrt die Faltengebung unseres Bildwerkes auf dem Stich "Maria mit dem Rosenkranz auf der Mondsichel" des Meisters E. S. wieder (L. 62), Abbildung bei: Geisberg, Der Meister E. S. (1924), 2. Aufl., Tafel 2. Vgl. Hessig, Die Kunst des Meisters E. S. und die Plastik der Spätgotik (1935), Tafel 10b und 10c, Tafel 28a und 29a, b. Vgl. Hessig, a. a. O. Tafel 60b und c, die Bildwerke einer hl. Agnes in Freiburg i. Br. und einer Maria mit Kind in Straßburg, das erstere eine Arbeit von Hans Wydyz, das zweite eine Arbeit eines seiner Nachfolger. Beide Bildwerke gehen auf den Stich "Madonna auf der Schlange" zurück und sind zeitlich eine Weiterentwicklung unserer Heiligen ohne Attribut. TAFEL 19 (Oberrheinischer Meister der Dangolsheimer Maria, Um 1465-70)|WEIBLICHE HEILIGE, aus der Gegend von Freiburg i. Br. Die Gestalt steht, mit nach abwärts geneigtem Haupt, frontal auf einer achteckigen Standplatte. Das in der Mitte gescheitelte üppige Haar fällt in weichen, lockigen Wellen über die rechte Schulter bis zur Hüfte herab, auf der anderen Kopfseite über die linke Schulter auf den Rücken. Die Heilige ist gekleidet in ein gegürtetes, langes Gewand und weiten, langen Mantel, der den Oberkörper frei läßt. Beide Hände sind in der Gegend des Handgelenkes abgebrochen. Sie hielten wohl ursprünglich ein Attribut, oder, was noch wahrscheinlicher ist, ein Christuskind, so daß das Bildwerk also ehemals vermutlich eine Maria mit dem Kinde gewesen ist. Die Standplatte und Teile der unteren Faltenpartie sind spätere Ergänzung. Wandstatue. Rückseite hohl, mit einem Brett verschlossen. Reste der alten Fassung: Mantel Gold, Futter blau auf Silbergrund. OBERRHEINISCHER MEISTER DER DANGOLSHEIMER MARIA (Werkstatt), UM 1465-70. Lindenholz. Höhe 123 cm. Aus der Gegend von Freiburg i. Br. stammend. Das Bildwerk zeigt im Gesichtstypus, in der Behandlung der Haare und der Gewandfalten enge Verwandtschaft, ja Übereinstimmung mit der Dangolsheimer Maria im Deutschen Museum zu Berlin. Die Erfindung der Faltengebung unseres Bildwerks geht, wenn auch in freierer Form, auf die gleichen zwei Stiche des Meisters E. S. zurück, die auch bei der Entstehung der Dangolsheimer Maria eine wichtige Rolle gespielt haben: auf die Stiche "Maria mit den Maiglöckchen" (L. 79) und "Madonna auf der Schlange" (L. 71). Fast wörtlich kehrt die Faltengebung unseres Bildwerkes auf dem Stich "Maria mit dem Rosenkranz auf der Mondsichel" des Meisters E. S. wieder (L. 62), Abbildung bei: Geisberg, Der Meister E. S. (1924), 2. Aufl., Tafel 2. Vgl. Hessig, Die Kunst des Meisters E. S. und die Plastik der Spätgotik (1935), Tafel 10b und 10c, Tafel 28a und 29a, b. Vgl. Hessig, a. a. O. Tafel 60b und c, die Bildwerke einer hl. Agnes in Freiburg i. Br. und einer Maria mit Kind in Straßburg, das erstere eine Arbeit von Hans Wydyz, das zweite eine Arbeit eines seiner Nachfolger. Beide Bildwerke gehen auf den Stich "Madonna auf der Schlange" zurück und sind zeitlich eine Weiterentwicklung unserer Heiligen ohne Attribut. TAFEL 19]] réalisée par Oberrheinischer Meister der Dangolsheimer Maria, Um 1465-70, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 12800 sch. [94]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE MIT BUCH, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Das Haupt bekrönt mit einem Kronreif, der mit Blattornamenten umgeben ist; unter dem Kronreif kommen zu beiden Seiten des Gesichtes üppige, zu Zöpfen geflochtene Haare heraus, die zum Nacken laufen. Die linke Hand hält vor die Mitte des Leibes ein aufgeschlagenes Buch, die Rechte ist in sprechender Gebärde zur Brusthöhe erhoben. Kleidung: Modisches, gegürtetes, langes Gewand, das am Brustausschnitt das Hemd frei läßt, darüber langer Mantel, Schleier, spitzer Schnabelschuh. Der Kronreif wohl Ergänzung. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Bedeutende Reste der alten Fassung: Gewand Silber; Mantel Gold, Futter blau; Schleier weiß. SCHULE DES NICOLAUS GERHAERT VON LEYDEN, UM 1470. Lindenholz. Höhe 153 cm. Das Bildwerk ist stilistisch verwandt mit der sicher einige Jahre früher entstandenen Dangolsheimer Maria im Deutschen Museum zu Berlin. Es ist in der Gesichtsbildung und in der Gestaltung der modischen Haartracht auch verwandt mit der verschollenen Büste der hl. Genoveva aus Weißenburg i. E., die Vöge zuerst veröffentlicht hat und die Wertheimer als eigenhändiges Werk des Dangolsheimer Meisters bezeichnet. Zwei Stiche des Meisters E. S. kommen als Anregung zu unserem Bildwerk in Frage: Die hl. Barbara (L. 164), nach der ein fränkischer Meister um 1480 eine fast wörtliche Kopie geschnitzt hat und die "Madonna auf der Schlange" (L. 71), deren Faltenwurf in der Maria des Nicolaus Gerhaert im Trierer Domkreuzgang wiederkehrt. In seiner betont eckigen Faltengebung steht unser Bildwerk auch in Beziehungen zu der großen Maria mit dem Kinde der Sammlung Böhler (München), die sich noch ausgeprägter als die Dangolsheimerin an den Stich der "Maria mit den Maiglöckchen" des Meisters E. S. (L. 79) anlehnt. Vgl. Wertheimer, Nicolaus Gerhaert (1929), Tafel 58, 59, 60 und Tafel 2. Vgl. Hessig, Die Kunst des Meisters E. S. und die Plastik der Spätgotik (1935), S. 100 ff., Abb. 64, 65, Tafel 10. Vgl. Wilm, Die gotische Holzfigur (1923), Tafel 141, 142, 143. Vgl. auch die auffällige Verwandtschaft unserer Heiligen (Körperhaltung und Gesichtsbildung) mit der Maria in der Hardenrathkapelle (St. Maria im Capitol) zu Köln, abgebildet bei Wertheimer, a. a. O., Tafel 56. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 41, 42, Tafel 20, 21. TAFEL 20 (Nicolaus Gerhaert von Leyden)|WEIBLICHE HEILIGE MIT BUCH, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Das Haupt bekrönt mit einem Kronreif, der mit Blattornamenten umgeben ist; unter dem Kronreif kommen zu beiden Seiten des Gesichtes üppige, zu Zöpfen geflochtene Haare heraus, die zum Nacken laufen. Die linke Hand hält vor die Mitte des Leibes ein aufgeschlagenes Buch, die Rechte ist in sprechender Gebärde zur Brusthöhe erhoben. Kleidung: Modisches, gegürtetes, langes Gewand, das am Brustausschnitt das Hemd frei läßt, darüber langer Mantel, Schleier, spitzer Schnabelschuh. Der Kronreif wohl Ergänzung. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Bedeutende Reste der alten Fassung: Gewand Silber; Mantel Gold, Futter blau; Schleier weiß. SCHULE DES NICOLAUS GERHAERT VON LEYDEN, UM 1470. Lindenholz. Höhe 153 cm. Das Bildwerk ist stilistisch verwandt mit der sicher einige Jahre früher entstandenen Dangolsheimer Maria im Deutschen Museum zu Berlin. Es ist in der Gesichtsbildung und in der Gestaltung der modischen Haartracht auch verwandt mit der verschollenen Büste der hl. Genoveva aus Weißenburg i. E., die Vöge zuerst veröffentlicht hat und die Wertheimer als eigenhändiges Werk des Dangolsheimer Meisters bezeichnet. Zwei Stiche des Meisters E. S. kommen als Anregung zu unserem Bildwerk in Frage: Die hl. Barbara (L. 164), nach der ein fränkischer Meister um 1480 eine fast wörtliche Kopie geschnitzt hat und die "Madonna auf der Schlange" (L. 71), deren Faltenwurf in der Maria des Nicolaus Gerhaert im Trierer Domkreuzgang wiederkehrt. In seiner betont eckigen Faltengebung steht unser Bildwerk auch in Beziehungen zu der großen Maria mit dem Kinde der Sammlung Böhler (München), die sich noch ausgeprägter als die Dangolsheimerin an den Stich der "Maria mit den Maiglöckchen" des Meisters E. S. (L. 79) anlehnt. Vgl. Wertheimer, Nicolaus Gerhaert (1929), Tafel 58, 59, 60 und Tafel 2. Vgl. Hessig, Die Kunst des Meisters E. S. und die Plastik der Spätgotik (1935), S. 100 ff., Abb. 64, 65, Tafel 10. Vgl. Wilm, Die gotische Holzfigur (1923), Tafel 141, 142, 143. Vgl. auch die auffällige Verwandtschaft unserer Heiligen (Körperhaltung und Gesichtsbildung) mit der Maria in der Hardenrathkapelle (St. Maria im Capitol) zu Köln, abgebildet bei Wertheimer, a. a. O., Tafel 56. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 41, 42, Tafel 20, 21. TAFEL 20]] réalisée par Nicolaus Gerhaert von Leyden, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [95]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[APOSTEL PAULUS, aus dem badischen Schwarzwald. Die Gestalt steht steil aufgerichtet mit nackten Füßen auf einem gewölbten Rasensockel. Sie ist bekleidet mit langem, in Hüfthöhe gegürtetem Gewand und mit einem Mantel, der über dem rechten Arm umgeschlagen ist. Mit dem linken Arm wird die emporgeraffte andere Hälfte des Mantels festgehalten. Die Linke hält ein großes, aufgeschlagenes Buch, in dessen Seiten die Rechte blättert. Das von welligem Haar umrahmte bärtige Haupt ist nach links gerichtet. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Alte Fassung: Mantel gold, Futter blau; Gewand braunrot, Futter rot; Haare braun; Schnitt des Buches rot; Rasensockel grün. OBERRHEINISCH, UM 1490. Lindenholz. Höhe 107 cm. Aus dem Schwarzwald stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 44 und 47, Tafel 23, 24. (Oberrheinisch, um 1490)|APOSTEL PAULUS, aus dem badischen Schwarzwald. Die Gestalt steht steil aufgerichtet mit nackten Füßen auf einem gewölbten Rasensockel. Sie ist bekleidet mit langem, in Hüfthöhe gegürtetem Gewand und mit einem Mantel, der über dem rechten Arm umgeschlagen ist. Mit dem linken Arm wird die emporgeraffte andere Hälfte des Mantels festgehalten. Die Linke hält ein großes, aufgeschlagenes Buch, in dessen Seiten die Rechte blättert. Das von welligem Haar umrahmte bärtige Haupt ist nach links gerichtet. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Alte Fassung: Mantel gold, Futter blau; Gewand braunrot, Futter rot; Haare braun; Schnitt des Buches rot; Rasensockel grün. OBERRHEINISCH, UM 1490. Lindenholz. Höhe 107 cm. Aus dem Schwarzwald stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 44 und 47, Tafel 23, 24.]] réalisée par Oberrheinisch, um 1490, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3100 sch. [96]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KOPF EINER HEILIGEN (Bruchstück). Der nach links abwärts blickende, nach rechts geneigte Kopf ist mit einem Schleier umgeben, der die Haare vollkommen verdeckt. Vermutlich gehörte der Kopf einst zu einer trauernden Maria oder trauernden Heiligen. Bruchstück einer Statue. Reste alter Bemalung. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Weißlichgrauer Stuck. Höhe 27 cm. (Oberrheinisch, 2. Hälfte des 15. Jahrhunderts)|KOPF EINER HEILIGEN (Bruchstück). Der nach links abwärts blickende, nach rechts geneigte Kopf ist mit einem Schleier umgeben, der die Haare vollkommen verdeckt. Vermutlich gehörte der Kopf einst zu einer trauernden Maria oder trauernden Heiligen. Bruchstück einer Statue. Reste alter Bemalung. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Weißlichgrauer Stuck. Höhe 27 cm.]] réalisée par Oberrheinisch, 2. Hälfte des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 520 sch. [97]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. CHRISTOPHORUS. Der Heilige schreitet durch das zu seinen Füßen in stilisierten Wellen dargestellte Wasser. Er hat den rechten Arm über seine Schulter erhoben, um das auf seinem Nacken sitzende Kind festzuhalten. Er trägt bis zum Knie reichendes, gegürtetes Oberkleid mit halblangen Ärmeln, darunter ein Unterkleid. Der auf der Brust durch einen Knopf zusammengehaltene lange Mantel ist über die Schultern zurückgeworfen und läßt den ganzen Körper frei. Der Heilige hat lockiges Haupt« und Barthaar und trägt eine turbanartige Kopfbedeckung. Das Kind ist mit einem langen Gewand bekleidet; es hält in seiner Linken die Weltkugel. Es fehlen: der linke Unterarm des Christopherus und der rechte Unterarm des Kindes. Die beiden Füße des Heiligen, das Wasser und die Sockelplatte spätere Ergänzungen. Wandstatue. Rückseite abgeflacht und ausgehöhlt. Barockfassung: Mantel blau, Futter blau; Gewand rot, Futter hellrot; Gewand des Kindes graublau; Haupt- und Barthaar braun; Turban schwarz. OBERRHEINISCH, UM 1490. Lindenholz. Höhe 105 cm. TAFEL 39 (Oberrheinisch, um 1490)|HL. CHRISTOPHORUS. Der Heilige schreitet durch das zu seinen Füßen in stilisierten Wellen dargestellte Wasser. Er hat den rechten Arm über seine Schulter erhoben, um das auf seinem Nacken sitzende Kind festzuhalten. Er trägt bis zum Knie reichendes, gegürtetes Oberkleid mit halblangen Ärmeln, darunter ein Unterkleid. Der auf der Brust durch einen Knopf zusammengehaltene lange Mantel ist über die Schultern zurückgeworfen und läßt den ganzen Körper frei. Der Heilige hat lockiges Haupt« und Barthaar und trägt eine turbanartige Kopfbedeckung. Das Kind ist mit einem langen Gewand bekleidet; es hält in seiner Linken die Weltkugel. Es fehlen: der linke Unterarm des Christopherus und der rechte Unterarm des Kindes. Die beiden Füße des Heiligen, das Wasser und die Sockelplatte spätere Ergänzungen. Wandstatue. Rückseite abgeflacht und ausgehöhlt. Barockfassung: Mantel blau, Futter blau; Gewand rot, Futter hellrot; Gewand des Kindes graublau; Haupt- und Barthaar braun; Turban schwarz. OBERRHEINISCH, UM 1490. Lindenholz. Höhe 105 cm. TAFEL 39]] réalisée par Oberrheinisch, um 1490, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3600 sch. [98]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGEL (von einer Verkündigung?). Die Gestalt steht in Linksprofilstellung auf einer hohen rechteckigen Sockelplatte. Sie ist bekleidet mit Alba, Dalmatika und Pluviale. Das Haupt ist von Schneckenlocken umrahmt. Auf der Rückseite Diebellöcher zur Aufnahme der beiden Flügel. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf der Rückseite. Es fehlen der linke Arm, die rechte Hand und die beiden Flügel. NIEDERRHEINISCH, UM 1500. Eichenholz. Höhe mit dem (neuen) Sockel 20 cm. (Niederrheinisch, um 1500)|ENGEL (von einer Verkündigung?). Die Gestalt steht in Linksprofilstellung auf einer hohen rechteckigen Sockelplatte. Sie ist bekleidet mit Alba, Dalmatika und Pluviale. Das Haupt ist von Schneckenlocken umrahmt. Auf der Rückseite Diebellöcher zur Aufnahme der beiden Flügel. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf der Rückseite. Es fehlen der linke Arm, die rechte Hand und die beiden Flügel. NIEDERRHEINISCH, UM 1500. Eichenholz. Höhe mit dem (neuen) Sockel 20 cm.]] réalisée par Niederrheinisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 520 sch. [99]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. DIONYSIUS, Bischof von Athen. Die Gestalt steht in Bischofstracht frontal und trägt als Märtyrer den abgeschlagenen Kopf in beiden Händen. Statuette. Rückseite abgeflacht, innen ausgehöhlt. Reste einer älteren Bemalung: Dalmatika rot mit Goldsaum, Futter grün; Alba weiß; Mitra rot-gold; Sockel grün. NIEDERRHEINISCH, IM STIL DER ZEIT VON 1520/30. Möglicherweise spätere Nachbildung. Gebrannter roter Ton. Höhe 23 cm. (Niederrheinisch)|HL. DIONYSIUS, Bischof von Athen. Die Gestalt steht in Bischofstracht frontal und trägt als Märtyrer den abgeschlagenen Kopf in beiden Händen. Statuette. Rückseite abgeflacht, innen ausgehöhlt. Reste einer älteren Bemalung: Dalmatika rot mit Goldsaum, Futter grün; Alba weiß; Mitra rot-gold; Sockel grün. NIEDERRHEINISCH, IM STIL DER ZEIT VON 1520/30. Möglicherweise spätere Nachbildung. Gebrannter roter Ton. Höhe 23 cm.]] réalisée par Niederrheinisch, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [100]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE AUF EINEM WOLKENSOCKEL. Die Halbfigur der Maria sitzt auf einem halbkreisförmigen Wolkensockel. Maria trägt enganliegendes Gewand mit weiten Ärmeln, darüber einen vorn offenen, über der Brust mit einer Spange zusammengehaltenen Mantel. Das nackte Kind hält sie mit beiden Händen vor ihre Brust. Das lockenumrahmte Haupt ist nach rechts geneigt und dem Kinde zugewandt. Kleinere Ausstückungen. Ergänzt: der linke Arm des Kindes mit dem Apfel. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. Wolkensockel auch unten bearbeitet. MITTELRHEINISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe 36 cm. Verwandt mit der Rosenkranzmadonna der Sammlung Oertel. Vgl. Demmler, Katalog der Sammlung Oertel-München, Versteigerung in R. Lepkes Kunstauktionshaus, Berlin (1913), Nr. 73 und Tafel 50. Dort ist die 93 cm hohe Rosenkranzmadonna in alter Bemalung als "mittelfränkisch, um 1520" bezeichnet. TAFEL 9 (Mittelrheinisch, um 1510)|MARIA MIT DEM KINDE AUF EINEM WOLKENSOCKEL. Die Halbfigur der Maria sitzt auf einem halbkreisförmigen Wolkensockel. Maria trägt enganliegendes Gewand mit weiten Ärmeln, darüber einen vorn offenen, über der Brust mit einer Spange zusammengehaltenen Mantel. Das nackte Kind hält sie mit beiden Händen vor ihre Brust. Das lockenumrahmte Haupt ist nach rechts geneigt und dem Kinde zugewandt. Kleinere Ausstückungen. Ergänzt: der linke Arm des Kindes mit dem Apfel. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. Wolkensockel auch unten bearbeitet. MITTELRHEINISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe 36 cm. Verwandt mit der Rosenkranzmadonna der Sammlung Oertel. Vgl. Demmler, Katalog der Sammlung Oertel-München, Versteigerung in R. Lepkes Kunstauktionshaus, Berlin (1913), Nr. 73 und Tafel 50. Dort ist die 93 cm hohe Rosenkranzmadonna in alter Bemalung als "mittelfränkisch, um 1520" bezeichnet. TAFEL 9]] réalisée par Mittelrheinisch, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1500 sch. [101]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. SEBASTIAN, auf einem Rasensockel stehend, an einen Baumstamm gebunden, nur mit einem reich in Falten gelegten, flatternden Lendentuch bekleidet. Das bärtige, lockenumrahmte Haupt ist in Profilansicht stark nach links gewendet. Es fehlen: der rechte Arm, einige Finger der linken Hand, Teile des Baumstammes und die Pfeile, deren Einschußlöcher am Leib und an den Beinen des Heiligen sichtbar sind. Statue. Rückseite bearbeitet. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Lendentuch Gold; Fleischfarbe rosa; Haare dunkelbraun; Rasensockel und Baumstamm grün. MITTELRHEINISCHER MEISTER DER MOSBACHER KREUZIGUNG, UM 1520. Lindenholz. Höhe 98 cm. Vgl. Die Abbildung der Mosbacher Kreuzigungsgruppe (jetzt Darmstadt, Landesmuseum) in: Feurstein, Matthias Grünewald (1930), Abb. 57. Abgebildet bei: Pinder, Die deutsche Plastik vom ausgehenden Mittelalter bis zum Ende der Renaissance, II. Teil (1929) Abb. 433 und Seite 454. Pinder erwähnt das Bildwerk als besonders bezeichnendes Beispiel des zweiten, spätgotischen Barocks und schreibt: "Man vergleiche zu Beginn zwei Sebastiansdarstellungen: die kleine des Berliner Museums (Abb. 432), die neuerdings (ziemlich überzeugend) auf Sixt von Stauffen, einen echten Frühbarockmeister, benannt wird, und den Sebastian aus Privatbesitz (Abb. 433). In beiden rauscht die Gewandung, aber im Berliner Sebastian ist sie eine Begleitung, nach außen verwiesenes Mitströmen neben einer wundervoll stark gebogenen, in ihrer Fülle und kraftvollen Schönheit bejahenden Gestalt. In dem anderen ist sie fast gleichwertiges Element. Die Proportion ist in diesem innerlich jüngeren Werk wieder gotischer! Hinter dem Berliner wartet Rubens, hinter dem anderen Greco. In einem ist von der bejahten Gestalt durch erweitertes Durcherlebnis, als ihr Effekt, expansiv die Gesamtform erobert. Im anderen ist in ein Gitter hagerer Gesamtformen die Gestalt mit hineingepreßt, sie dient wieder vorgefaßten Linien, sie erzeugt sie nicht aus der schwellenden Kraft ihrer eigenen dehnungskräftigen Massivität." Vgl. Alte Kunst am Mittelrhein (1927) Katalog der Darmstädter Ausstellung, Nr. 255. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 50, Tafel 27. TAFEL 37 (Mittelrheinischer Meister der Mosbacher Kreuzigung, um 1520)|HL. SEBASTIAN, auf einem Rasensockel stehend, an einen Baumstamm gebunden, nur mit einem reich in Falten gelegten, flatternden Lendentuch bekleidet. Das bärtige, lockenumrahmte Haupt ist in Profilansicht stark nach links gewendet. Es fehlen: der rechte Arm, einige Finger der linken Hand, Teile des Baumstammes und die Pfeile, deren Einschußlöcher am Leib und an den Beinen des Heiligen sichtbar sind. Statue. Rückseite bearbeitet. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Lendentuch Gold; Fleischfarbe rosa; Haare dunkelbraun; Rasensockel und Baumstamm grün. MITTELRHEINISCHER MEISTER DER MOSBACHER KREUZIGUNG, UM 1520. Lindenholz. Höhe 98 cm. Vgl. Die Abbildung der Mosbacher Kreuzigungsgruppe (jetzt Darmstadt, Landesmuseum) in: Feurstein, Matthias Grünewald (1930), Abb. 57. Abgebildet bei: Pinder, Die deutsche Plastik vom ausgehenden Mittelalter bis zum Ende der Renaissance, II. Teil (1929) Abb. 433 und Seite 454. Pinder erwähnt das Bildwerk als besonders bezeichnendes Beispiel des zweiten, spätgotischen Barocks und schreibt: "Man vergleiche zu Beginn zwei Sebastiansdarstellungen: die kleine des Berliner Museums (Abb. 432), die neuerdings (ziemlich überzeugend) auf Sixt von Stauffen, einen echten Frühbarockmeister, benannt wird, und den Sebastian aus Privatbesitz (Abb. 433). In beiden rauscht die Gewandung, aber im Berliner Sebastian ist sie eine Begleitung, nach außen verwiesenes Mitströmen neben einer wundervoll stark gebogenen, in ihrer Fülle und kraftvollen Schönheit bejahenden Gestalt. In dem anderen ist sie fast gleichwertiges Element. Die Proportion ist in diesem innerlich jüngeren Werk wieder gotischer! Hinter dem Berliner wartet Rubens, hinter dem anderen Greco. In einem ist von der bejahten Gestalt durch erweitertes Durcherlebnis, als ihr Effekt, expansiv die Gesamtform erobert. Im anderen ist in ein Gitter hagerer Gesamtformen die Gestalt mit hineingepreßt, sie dient wieder vorgefaßten Linien, sie erzeugt sie nicht aus der schwellenden Kraft ihrer eigenen dehnungskräftigen Massivität." Vgl. Alte Kunst am Mittelrhein (1927) Katalog der Darmstädter Ausstellung, Nr. 255. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 50, Tafel 27. TAFEL 37]] réalisée par Mittelrheinischer Meister der Mosbacher Kreuzigung, um 1520, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3800 sch. [102]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. BARBARA. Stehend, in modischem Gewand mit langem, über die Schultern in reichen Falten herabfallendem Mantel, den sie mit der linken Hand in Schenkelhöhe festhält. Zu beiden Seiten des mit einer Krone geschmückten Hauptes fallen die Haare in welligen Locken herab. In der Rechten hält sie den Kelch, wobei der Knauf zwischen Mittelfinger und Goldfinger sichtbar hervortritt. Die Figur steht auf einem halbrunden Rasensockel. Auf der Rückseite trägt sie, mit schwarzer Farbe alt aufgemalt, die Bezeichnung: "W-H. W. maler v. B." Auf der Brust, am Besatz des Gewandes, eingeschnitzte Schrift: "Sant Maria." Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. WERKSTATT DES HANS WYDYZ (FREIBURG IM BREISGAU), UM 1520. Lindenholz. Höhe 93 cm. Das Bildwerk ist vermutlich von der gleichen Hand wie die Figuren das Altars des Hl. Pankratius aus Dangolsheim, der sich jetzt im Straßburger Münster befindet. Die im Schrein dieses Altars rechts vom Pankratius stehende Katharina stimmt in der Haltung, im Gesichtsausdruck und im Faltenwurf fast wörtlich mit der Barbara überein. Clemens Sommer schreibt diesen 1522 datierten Altar einem Nachfolger des Hans Wydyz zu. Vgl. Sommer, Beiträge zum Werke des Bildschnitzers Hans Wydyz, in: Oberrheinische Kunst, Vierteljahresberichte der oberrheinischen Museen, III. Jahrg., Heft 1/2, Freiburg i. Br., Seite 102 und Tafel 42 (mit verwechselter Unterschrift). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 48, Tafel 25. TAFEL 19 (Hans Wydyz)|HL. BARBARA. Stehend, in modischem Gewand mit langem, über die Schultern in reichen Falten herabfallendem Mantel, den sie mit der linken Hand in Schenkelhöhe festhält. Zu beiden Seiten des mit einer Krone geschmückten Hauptes fallen die Haare in welligen Locken herab. In der Rechten hält sie den Kelch, wobei der Knauf zwischen Mittelfinger und Goldfinger sichtbar hervortritt. Die Figur steht auf einem halbrunden Rasensockel. Auf der Rückseite trägt sie, mit schwarzer Farbe alt aufgemalt, die Bezeichnung: "W-H. W. maler v. B." Auf der Brust, am Besatz des Gewandes, eingeschnitzte Schrift: "Sant Maria." Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. WERKSTATT DES HANS WYDYZ (FREIBURG IM BREISGAU), UM 1520. Lindenholz. Höhe 93 cm. Das Bildwerk ist vermutlich von der gleichen Hand wie die Figuren das Altars des Hl. Pankratius aus Dangolsheim, der sich jetzt im Straßburger Münster befindet. Die im Schrein dieses Altars rechts vom Pankratius stehende Katharina stimmt in der Haltung, im Gesichtsausdruck und im Faltenwurf fast wörtlich mit der Barbara überein. Clemens Sommer schreibt diesen 1522 datierten Altar einem Nachfolger des Hans Wydyz zu. Vgl. Sommer, Beiträge zum Werke des Bildschnitzers Hans Wydyz, in: Oberrheinische Kunst, Vierteljahresberichte der oberrheinischen Museen, III. Jahrg., Heft 1/2, Freiburg i. Br., Seite 102 und Tafel 42 (mit verwechselter Unterschrift). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 48, Tafel 25. TAFEL 19]] réalisée par Hans Wydyz, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1600 sch. [103]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[a, b EIN PAAR SCHWEBENDE ENGEL. Beide reich bewegt, in bauschigen Gewändern mit Puffärmeln. Der linke Engel hat den Kopf weit nach aufwärts gehoben und singt mit weit offenem Mund. Der rechte Engel dreht den Kopf nach rechts. Der linke Engel hat offenes, in weichen Locken herabfallendes Haar, der rechte Schneckenlocken. Statuetten. Die Rückseiten etwas vernachlässigt. Es fehlen: Beim linken Engel beide Unterarme und beide Flügel, beim rechten Engel der rechte Unterarm und der rechte Flügel, der Fuß und der linke Daumen. OBERRHEINISCH, UM 1525-30. AUS DEM UMKREIS DES MEISTERS SIXT VON STAUFFEN. Lindenholz. Höhe je 25 cm. Vgl. Die Teilaufnahmen des "Locherer-Altars" im Münster zu Freiburg i. Breisgau, abgebildet bei: Schmitt, Oberrheinische Plastik im ausgehenden Mittelalter (1924), Tafel 136-139. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 37, 38, Tafel 19. TAFEL 25 (Meisters Sixt von Stauffen)|a, b EIN PAAR SCHWEBENDE ENGEL. Beide reich bewegt, in bauschigen Gewändern mit Puffärmeln. Der linke Engel hat den Kopf weit nach aufwärts gehoben und singt mit weit offenem Mund. Der rechte Engel dreht den Kopf nach rechts. Der linke Engel hat offenes, in weichen Locken herabfallendes Haar, der rechte Schneckenlocken. Statuetten. Die Rückseiten etwas vernachlässigt. Es fehlen: Beim linken Engel beide Unterarme und beide Flügel, beim rechten Engel der rechte Unterarm und der rechte Flügel, der Fuß und der linke Daumen. OBERRHEINISCH, UM 1525-30. AUS DEM UMKREIS DES MEISTERS SIXT VON STAUFFEN. Lindenholz. Höhe je 25 cm. Vgl. Die Teilaufnahmen des "Locherer-Altars" im Münster zu Freiburg i. Breisgau, abgebildet bei: Schmitt, Oberrheinische Plastik im ausgehenden Mittelalter (1924), Tafel 136-139. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 37, 38, Tafel 19. TAFEL 25]] réalisée par Meisters Sixt von Stauffen, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1650 sch. [104]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS (Fragment), mit einst übereinandergenagelten (jetzt fehlenden) Füßen und leicht nach links geneigtem, bärtigem, mit einer Dornenkrone bedecktem Haupt. Zwei Haarlocken fallen auf die beiden Schultern herab. Das Schamtuch ist in der Körpermitte geknotet und läuft in zwei flatternde, reich in Knorpelfalten gelegte Enden aus. Es fehlen: beide Arme, die ehemals angediebelt waren, und die beiden durch spätere Beschädigung abgebrochenen Füße. Ein kleines Stück der Dornenkrone ist ausgebrochen. Freiplastisch. Rückseite nur zum Teil bearbeitet. OBERRHEINISCH, UM 1520. Buchsbaumholz. Höhe 21,5 cm. Das Bildwerk ist verwandt mit der kleinen Birnbaumgruppe des "Martyriums des hl. Sebastian" im Deutschen Museum zu Berlin, vgl. Bange, Die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin, Band IV (1930), Nr. 44. Dort als Arbeit eines "oberrheinischen Meisters, um 1520" bezeichnet. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 75, Tafel 41, dort als "mittelrheinisch, um 1520" angesprochen. (Oberrheinisch, um 1520)|KRUZIFIXUS (Fragment), mit einst übereinandergenagelten (jetzt fehlenden) Füßen und leicht nach links geneigtem, bärtigem, mit einer Dornenkrone bedecktem Haupt. Zwei Haarlocken fallen auf die beiden Schultern herab. Das Schamtuch ist in der Körpermitte geknotet und läuft in zwei flatternde, reich in Knorpelfalten gelegte Enden aus. Es fehlen: beide Arme, die ehemals angediebelt waren, und die beiden durch spätere Beschädigung abgebrochenen Füße. Ein kleines Stück der Dornenkrone ist ausgebrochen. Freiplastisch. Rückseite nur zum Teil bearbeitet. OBERRHEINISCH, UM 1520. Buchsbaumholz. Höhe 21,5 cm. Das Bildwerk ist verwandt mit der kleinen Birnbaumgruppe des "Martyriums des hl. Sebastian" im Deutschen Museum zu Berlin, vgl. Bange, Die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin, Band IV (1930), Nr. 44. Dort als Arbeit eines "oberrheinischen Meisters, um 1520" bezeichnet. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 75, Tafel 41, dort als "mittelrheinisch, um 1520" angesprochen.]] réalisée par Oberrheinisch, um 1520, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 700 sch. [105]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. SEBASTIAN. Der Heilige steht, mit den Händen an einen Baumstamm gebunden, auf einem gewölbten Rasensockel. Sein Oberkörper ist stark nach links abwärts geneigt, und mit einem Lendentuch bekleidet. Das Haupt wird von Schneckenlocken umrahmt. Kleinere Ausstückungen. Es fehlen: ein Ast des Baumstammes und der linke Unterarm, der an diesen Ast angebunden war. Statuette. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. OBERRHEINISCH, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 62 cm. (Oberrheinisch, um 1510-20)|HL. SEBASTIAN. Der Heilige steht, mit den Händen an einen Baumstamm gebunden, auf einem gewölbten Rasensockel. Sein Oberkörper ist stark nach links abwärts geneigt, und mit einem Lendentuch bekleidet. Das Haupt wird von Schneckenlocken umrahmt. Kleinere Ausstückungen. Es fehlen: ein Ast des Baumstammes und der linke Unterarm, der an diesen Ast angebunden war. Statuette. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. OBERRHEINISCH, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 62 cm.]] réalisée par Oberrheinisch, um 1510-20, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 240 sch. [106]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE MIT BUCH, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Das in der Mitte gescheitelte Haar ist in durchflochtenen, aufgebundenen Zöpfen um das Haupt gelegt. Die linke Hand hält ein geschlossenes Buch. Kleidung: modisches Gewand mit langem Brustausschnitt, darüber weiter, langer Mantel. Es fehlt die rechte Hand. Statue. Rückseite bearbeitet. Schöne Reste alter Bemalung: Fleischfarbe hell; Gewand grün; Mantel rot, Futter blau. NIEDERRHEINISCH, UM 1520. Lindenholz. Höhe 121 cm. TAFEL 40 (Niederrheinisch, um 1520)|WEIBLICHE HEILIGE MIT BUCH, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Das in der Mitte gescheitelte Haar ist in durchflochtenen, aufgebundenen Zöpfen um das Haupt gelegt. Die linke Hand hält ein geschlossenes Buch. Kleidung: modisches Gewand mit langem Brustausschnitt, darüber weiter, langer Mantel. Es fehlt die rechte Hand. Statue. Rückseite bearbeitet. Schöne Reste alter Bemalung: Fleischfarbe hell; Gewand grün; Mantel rot, Futter blau. NIEDERRHEINISCH, UM 1520. Lindenholz. Höhe 121 cm. TAFEL 40]] réalisée par Niederrheinisch, um 1520, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3400 sch. [107]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, auf einer profilierten Bank sitzend. Maria hält das Kind, das auf ihrem linken Knie sitzt, mit der Linken fest; mit der erhobenen Rechten bietet sie ihm einen Apfel dar. Maria trägt enges, gegürtetes Gewand, weiten, über der Brust mit einer Agraffe zusammengehaltenen Mantel und Schleier. Das gescheitelte Haar umrahmt in zwei welligen Strähnen das Haupt. Über der Stirne trägt sie einen schmalen Reif. Das Kind ist unbekleidet. Wandfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Alte Bemalung: Mantel blau mit Goldsaum, Futter hellblau; Kleid rot; Bank rot*grün; Gürtel gelb; Schleier weiß. SCHWABEN, WOHL ULM, UM 1450. Gebrannter roter Ton. Höhe 45 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 27 Tafel 13. (Schwaben, wohl Ulm, um 1450)|MARIA MIT DEM KINDE, auf einer profilierten Bank sitzend. Maria hält das Kind, das auf ihrem linken Knie sitzt, mit der Linken fest; mit der erhobenen Rechten bietet sie ihm einen Apfel dar. Maria trägt enges, gegürtetes Gewand, weiten, über der Brust mit einer Agraffe zusammengehaltenen Mantel und Schleier. Das gescheitelte Haar umrahmt in zwei welligen Strähnen das Haupt. Über der Stirne trägt sie einen schmalen Reif. Das Kind ist unbekleidet. Wandfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Alte Bemalung: Mantel blau mit Goldsaum, Futter hellblau; Kleid rot; Bank rot*grün; Gürtel gelb; Schleier weiß. SCHWABEN, WOHL ULM, UM 1450. Gebrannter roter Ton. Höhe 45 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 27 Tafel 13.]] réalisée par Schwaben, wohl Ulm, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 800 sch. [108]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÜSTE EINES CHRISTKINDES. Das bis zur Brusthöhe unbekleidete Kind trägt auf dem Haupte Schneckenlocken und blickt, mit etwas nach abwärts geneigtem Gesicht, geradeaus auf den Beschauer. In Brusthöhe ist um die ganze Gestalt ein faltenreiches Tuch mit eingekerbtem Rand geschlungen. Statuette. Reste alter Fassung an den Fleischteilen und Haaren. OBERSCHWÄBISCH, WOHL ULMISCH, UM 1450. Lindenholz. Höhe 14 cm. (Oberschwäbisch, wohl Ulmisch, um 1450)|BÜSTE EINES CHRISTKINDES. Das bis zur Brusthöhe unbekleidete Kind trägt auf dem Haupte Schneckenlocken und blickt, mit etwas nach abwärts geneigtem Gesicht, geradeaus auf den Beschauer. In Brusthöhe ist um die ganze Gestalt ein faltenreiches Tuch mit eingekerbtem Rand geschlungen. Statuette. Reste alter Fassung an den Fleischteilen und Haaren. OBERSCHWÄBISCH, WOHL ULMISCH, UM 1450. Lindenholz. Höhe 14 cm.]] réalisée par Oberschwäbisch, wohl Ulmisch, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 240 sch. [109]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE, stehend, in langem, auf die achteckige Standplatte herabfallendem Gewand und enganliegendem, bis über Kniehöhe reichendem Mantel, dessen Überschlag sie mit der Rechten festhält. Das mit schmalen Bändern durchflochtene, modisch frisierte Lockenhaar wird umschlossen von einem Schleier mit eingekerbtem Rand. Das Gesicht zeigt ernsten Ausdruck; der Blick ist nach rechts abwärts gewandt. Schreinfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Beträchtliche Reste einer sorgfältigen alten Bemalung und Vergoldung: Mantel Silber mit breitem Goldsaum; Gewand blau; Gürtel Gold; Haare vergoldet; Schleier weiß mit gravierten Rillen und eingekerbtem Rand. Es fehlt die linke Hand der Heiligen, die vermutlich ein Attribut umfaßt hielt. HANS MULTSCHER (ULM), UM 1460. Lindenholz. Höhe 96 cm. Das Bildwerk weist das gleiche Höhenmaß (96 cm) auf wie die beiden Figuren der hl. Barbara und hl. Magdalena aus der Klosterkirche zu Heiligkreuztal, die sich heute in der Lorenzkapelle zu Rott- weil befinden. Es ist eng verwandt mit den Figuren der weiblichen Heiligen in dem 1458 vollendeten Hochaltar in Sterzing. Gesichtstypus und Haarbehandlung stimmen am meisten mit dem Kopfe der hl. Barbara von diesem Altar überein. Vielleicht handelt es sich bei unserem Bildwerk um eine trauernde Frau von einer Grablegung, was die betont ruhige, in den Hüften nicht ausgebogene Haltung der Gestalt erklären würde. Vgl. Gerstenberg, Hans Multscher, Leipzig (1928), Abb. 103-107 und Abb. 72-75. Vgl. auch Baum, Die Bildwerke der Rottweiler Lorenzkapelle, Nr. 57, 58. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 26, Tafel 13 und 13a. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. mit Abbildung (Teilaufnahme) auf einer ganzseitigen Tafel. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 22 (Hans Multscher)|WEIBLICHE HEILIGE, stehend, in langem, auf die achteckige Standplatte herabfallendem Gewand und enganliegendem, bis über Kniehöhe reichendem Mantel, dessen Überschlag sie mit der Rechten festhält. Das mit schmalen Bändern durchflochtene, modisch frisierte Lockenhaar wird umschlossen von einem Schleier mit eingekerbtem Rand. Das Gesicht zeigt ernsten Ausdruck; der Blick ist nach rechts abwärts gewandt. Schreinfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Beträchtliche Reste einer sorgfältigen alten Bemalung und Vergoldung: Mantel Silber mit breitem Goldsaum; Gewand blau; Gürtel Gold; Haare vergoldet; Schleier weiß mit gravierten Rillen und eingekerbtem Rand. Es fehlt die linke Hand der Heiligen, die vermutlich ein Attribut umfaßt hielt. HANS MULTSCHER (ULM), UM 1460. Lindenholz. Höhe 96 cm. Das Bildwerk weist das gleiche Höhenmaß (96 cm) auf wie die beiden Figuren der hl. Barbara und hl. Magdalena aus der Klosterkirche zu Heiligkreuztal, die sich heute in der Lorenzkapelle zu Rott- weil befinden. Es ist eng verwandt mit den Figuren der weiblichen Heiligen in dem 1458 vollendeten Hochaltar in Sterzing. Gesichtstypus und Haarbehandlung stimmen am meisten mit dem Kopfe der hl. Barbara von diesem Altar überein. Vielleicht handelt es sich bei unserem Bildwerk um eine trauernde Frau von einer Grablegung, was die betont ruhige, in den Hüften nicht ausgebogene Haltung der Gestalt erklären würde. Vgl. Gerstenberg, Hans Multscher, Leipzig (1928), Abb. 103-107 und Abb. 72-75. Vgl. auch Baum, Die Bildwerke der Rottweiler Lorenzkapelle, Nr. 57, 58. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 26, Tafel 13 und 13a. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. mit Abbildung (Teilaufnahme) auf einer ganzseitigen Tafel. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 22]] réalisée par Hans Multscher, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 75000 sch. [110]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHER HEILIGER MIT SCHUTZBEFOHLENEN. Stehend, in Kleid, langem Mantel und Kapuze. Das bärtige Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Beide Arme sind etwa in Hüfthöhe erhoben, die (einst eingediebelten) Hände sind verlorengegangen. Die Linke hielt das Mantelende, die Rechte wohl ein Attribut. Zu Füßen des Heiligen, auf eckiger Standplatte, knien fünf betende Schutzbefohlene. Es fehlen: die beiden Hände des Heiligen, zwei Köpfe der Knienden und die ganze Vorderseite einer zur Rechten des Heiligen knienden (weiblichen?) Gestalt. Kleinere Ausstückungen am Mantel. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. AUGSBURG, UM 1480. Lindenholz. Höhe 94 cm. Georg Schuster hat die Vermutung ausgesprochen, daß es sich bei dieser Gruppe um eine Arbeit des Augsburger Meisters Hans Beierlein (tätig in Augsburg von 1470-1508) handelt. Da von diesem Meister nur Werke in Stein bekannt sind, fällt eine eindeutige Zuweisung schwer. Immerhin besteht zwischen der Gruppe und den beglaubigten Steinbildwerken des Meisters auffallende Verwandtschaft Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik (1922), Nr. 81 und 82. (Augsburg, um 1480)|MÄNNLICHER HEILIGER MIT SCHUTZBEFOHLENEN. Stehend, in Kleid, langem Mantel und Kapuze. Das bärtige Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Beide Arme sind etwa in Hüfthöhe erhoben, die (einst eingediebelten) Hände sind verlorengegangen. Die Linke hielt das Mantelende, die Rechte wohl ein Attribut. Zu Füßen des Heiligen, auf eckiger Standplatte, knien fünf betende Schutzbefohlene. Es fehlen: die beiden Hände des Heiligen, zwei Köpfe der Knienden und die ganze Vorderseite einer zur Rechten des Heiligen knienden (weiblichen?) Gestalt. Kleinere Ausstückungen am Mantel. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. AUGSBURG, UM 1480. Lindenholz. Höhe 94 cm. Georg Schuster hat die Vermutung ausgesprochen, daß es sich bei dieser Gruppe um eine Arbeit des Augsburger Meisters Hans Beierlein (tätig in Augsburg von 1470-1508) handelt. Da von diesem Meister nur Werke in Stein bekannt sind, fällt eine eindeutige Zuweisung schwer. Immerhin besteht zwischen der Gruppe und den beglaubigten Steinbildwerken des Meisters auffallende Verwandtschaft Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik (1922), Nr. 81 und 82.]] réalisée par Augsburg, um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1000 sch. [111]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht, das nackte Kind in sitzender Stellung mit dem linken Arm vor die linke Brust haltend, auf achteckiger, abgeschrägter Standplatte. Sie ist bekleidet mit langem Gewand und langem Mantel, dessen Enden links und rechts über die Plinte herabfallen. Sie trägt eine Krone, unter der das in waagrechte Wellen gelegte Haar und der Schleier hervorquellen. Das Kind hat die Rechte segnend erhoben und trägt in der Linken einen Apfel (oder Weltkugel?). Die Krone ist ergänzt. Freiplastische Standfigur. Reste alter Bemalung: Mantel blau; Gewand rosa; Sockel rot; Krone vergoldet; Haare braun; Schleier weiß. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, UM 1490. Lindenholz. Höhe 64 cm. Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik (1922), Nr. 84. Die dort abgebildete Maria mit Kind, auf einem musizierenden Engel schwebend (im Dom zu Augsburg), ist verwandt mit unserem Bildwerk, das in den Proportionen der Maria allerdings kürzer und breiter geraten ist. (Schwäbisch, wohl Augsburg, um 1490)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht, das nackte Kind in sitzender Stellung mit dem linken Arm vor die linke Brust haltend, auf achteckiger, abgeschrägter Standplatte. Sie ist bekleidet mit langem Gewand und langem Mantel, dessen Enden links und rechts über die Plinte herabfallen. Sie trägt eine Krone, unter der das in waagrechte Wellen gelegte Haar und der Schleier hervorquellen. Das Kind hat die Rechte segnend erhoben und trägt in der Linken einen Apfel (oder Weltkugel?). Die Krone ist ergänzt. Freiplastische Standfigur. Reste alter Bemalung: Mantel blau; Gewand rosa; Sockel rot; Krone vergoldet; Haare braun; Schleier weiß. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, UM 1490. Lindenholz. Höhe 64 cm. Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik (1922), Nr. 84. Die dort abgebildete Maria mit Kind, auf einem musizierenden Engel schwebend (im Dom zu Augsburg), ist verwandt mit unserem Bildwerk, das in den Proportionen der Maria allerdings kürzer und breiter geraten ist.]] réalisée par Schwäbisch, wohl Augsburg, um 1490, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 900 sch. [112]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria thront frontal auf einer profilierten, mit einem Kissen belegten Bank, die auf einer eckig begrenzten Standplatte steht. Das Kleid der Maria zeigt eckig geformten, mit einer breiten Borte eingefaßten Halsausschnitt. Der Mantel, der über beide Schultern gelegt ist, fällt in weichem, schön ausgeschwungenem Bogen zu Boden. Über der hohen Stirn der Maria liegt der mehrmals gefaltete Schleier, der zur rechten Seite bis zum Kinde herabfällt. Das in der Mitte gescheitelte Haar der Mutter fällt in einzelnen Locken bis zur Hüfthöhe herunter. Mit beiden Händen hält Maria das auf ihrem linken Knie sich aufrichtende, bewegte Kind, das sich stark nach der rechten Seite wendet und mit den Händen nach einem dargereichten Gegenstand zu greifen scheint. Vermutlich war die Gruppe das Mittelstück einer Anbetung der Könige, wodurch die Bewegung des Kindes, das sich einem knienden König zuwendet, erst verständlich wird. Wandgruppe. Schöne Reste der alten Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau; Gewand Silber mit Ornamenten; Schleier Silber; Bank Silber. Es fehlt die rechte Hand des Kindes. FRIEDRICH SCHRAMM VON RAVENSBURG (BODENSEE), UM 1480. Lindenholz. Höhe 102 cm. Aus der Gegend von Augsburg stammend. Das Bildwerk, das nach Ansicht von Georg Schuster dem Meister des Blaubeurer Hochaltars, Gregor Erhart, zugewiesen werden sollte, ist aufs engste verwandt mit einer seeschwäbischen Schutzmantelmaria im Deutschen Museum zu Berlin. Nach glaubwürdiger Überlieferung stammt diese Schutzmantelmaria aus dem Hochaltar der Pfarrkirche zu Ravensburg, dessen Inschrift nach Dursch folgenden Wortlaut hatte: "Diese Tafel hat Meister Friedrich Schramm geschnitten und Meister Christof Keltenofer gemalt und gefaßt 1480". Vgl. Demmler, Die Bildwerke in Holz, Stein und Ton (Großplastik). Die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin, Band III (1930), Nr. 421. Dort bezeichnet als "Oberschwäbisch (Friedrich Schramm von Ravensburg?), um 1480". Vgl. G. Otto, Die Ulmer Plastik der Spätgotik (1927), Seite 100 ff. und Abb. 107, 112. Dort eine gedrängte Zusammenfassung der Stellung Friedrich Schramms innerhalb der schwäbischen Plastik mit Angaben der wichtigsten Literatur. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 29, Tafel 14, 15. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abb. auf S. 295. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 23 (Friedrich Schramm von Ravensburg)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria thront frontal auf einer profilierten, mit einem Kissen belegten Bank, die auf einer eckig begrenzten Standplatte steht. Das Kleid der Maria zeigt eckig geformten, mit einer breiten Borte eingefaßten Halsausschnitt. Der Mantel, der über beide Schultern gelegt ist, fällt in weichem, schön ausgeschwungenem Bogen zu Boden. Über der hohen Stirn der Maria liegt der mehrmals gefaltete Schleier, der zur rechten Seite bis zum Kinde herabfällt. Das in der Mitte gescheitelte Haar der Mutter fällt in einzelnen Locken bis zur Hüfthöhe herunter. Mit beiden Händen hält Maria das auf ihrem linken Knie sich aufrichtende, bewegte Kind, das sich stark nach der rechten Seite wendet und mit den Händen nach einem dargereichten Gegenstand zu greifen scheint. Vermutlich war die Gruppe das Mittelstück einer Anbetung der Könige, wodurch die Bewegung des Kindes, das sich einem knienden König zuwendet, erst verständlich wird. Wandgruppe. Schöne Reste der alten Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau; Gewand Silber mit Ornamenten; Schleier Silber; Bank Silber. Es fehlt die rechte Hand des Kindes. FRIEDRICH SCHRAMM VON RAVENSBURG (BODENSEE), UM 1480. Lindenholz. Höhe 102 cm. Aus der Gegend von Augsburg stammend. Das Bildwerk, das nach Ansicht von Georg Schuster dem Meister des Blaubeurer Hochaltars, Gregor Erhart, zugewiesen werden sollte, ist aufs engste verwandt mit einer seeschwäbischen Schutzmantelmaria im Deutschen Museum zu Berlin. Nach glaubwürdiger Überlieferung stammt diese Schutzmantelmaria aus dem Hochaltar der Pfarrkirche zu Ravensburg, dessen Inschrift nach Dursch folgenden Wortlaut hatte: "Diese Tafel hat Meister Friedrich Schramm geschnitten und Meister Christof Keltenofer gemalt und gefaßt 1480". Vgl. Demmler, Die Bildwerke in Holz, Stein und Ton (Großplastik). Die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin, Band III (1930), Nr. 421. Dort bezeichnet als "Oberschwäbisch (Friedrich Schramm von Ravensburg?), um 1480". Vgl. G. Otto, Die Ulmer Plastik der Spätgotik (1927), Seite 100 ff. und Abb. 107, 112. Dort eine gedrängte Zusammenfassung der Stellung Friedrich Schramms innerhalb der schwäbischen Plastik mit Angaben der wichtigsten Literatur. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 29, Tafel 14, 15. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abb. auf S. 295. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 23]] réalisée par Friedrich Schramm von Ravensburg, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 15000 sch. [113]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BETTLERFIGUR (Bruchstück von einer Darstellung des hl. Martin mit dem Bettler). Der Bettler kniet, nach rechts gewendet, mit dem hölzernen Knieschutz seines krüppelhaften rechten Beines auf einem in Bruchstücken erhaltenen Rasensockel. Mit der rechten Hand umfaßt er die Krücke, die unter der rechten Schulter eingesetzt ist. Die Linke ist bittend hochgehoben. Er ist bekleidet mit Bluse und kurzem Rock; auf dem bärtigen Haupt sitzt eine Mütze. Es fehlen einige Finger- spitzen der linken Hand. Statuette. Spätere Bemalung. OBERSCHWABEN, ENDE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 50 cm. (Oberschwaben, Ende des 15. Jahrhunderts)|BETTLERFIGUR (Bruchstück von einer Darstellung des hl. Martin mit dem Bettler). Der Bettler kniet, nach rechts gewendet, mit dem hölzernen Knieschutz seines krüppelhaften rechten Beines auf einem in Bruchstücken erhaltenen Rasensockel. Mit der rechten Hand umfaßt er die Krücke, die unter der rechten Schulter eingesetzt ist. Die Linke ist bittend hochgehoben. Er ist bekleidet mit Bluse und kurzem Rock; auf dem bärtigen Haupt sitzt eine Mütze. Es fehlen einige Finger- spitzen der linken Hand. Statuette. Spätere Bemalung. OBERSCHWABEN, ENDE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 50 cm.]] réalisée par Oberschwaben, Ende des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 240 sch. [114]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÜSTE EINES BÄRTIGEN MANNES (Bruchstück). Der mit einem weiten Mantel bekleidete bärtige Mann hat seinen ausdrucksvollen, von welligem Haar umrahmten Kopf halblinks nach aufwärts gerichtet. Das zweifellos als Rest einer ganzen Figur anzusehende Bildwerk ist in Brusthöhe roh abgesägt. Der linke Arm ist am Schulteransatz abgeschnitten. Freiplastisches Fragment. Spuren alter Bemalung: Haare braun; Mantelfutter blau. OBERSCHWÄBISCH, UM 1490. Lindenholz. Höhe 15 cm. Die Büste stammt aus Iggenau. Georg Schuster hat sie als Bruchstück der Figur eines Gottvaters angesprochen, der zu einer Gruppe der Marienkrönung gehörte, die einst in der Sammlung Oppenheim war. (Oberschwäbisch, um 1490)|BÜSTE EINES BÄRTIGEN MANNES (Bruchstück). Der mit einem weiten Mantel bekleidete bärtige Mann hat seinen ausdrucksvollen, von welligem Haar umrahmten Kopf halblinks nach aufwärts gerichtet. Das zweifellos als Rest einer ganzen Figur anzusehende Bildwerk ist in Brusthöhe roh abgesägt. Der linke Arm ist am Schulteransatz abgeschnitten. Freiplastisches Fragment. Spuren alter Bemalung: Haare braun; Mantelfutter blau. OBERSCHWÄBISCH, UM 1490. Lindenholz. Höhe 15 cm. Die Büste stammt aus Iggenau. Georg Schuster hat sie als Bruchstück der Figur eines Gottvaters angesprochen, der zu einer Gruppe der Marienkrönung gehörte, die einst in der Sammlung Oppenheim war.]] réalisée par Oberschwäbisch, um 1490, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 420 sch. [115]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHER HEILIGER (Prophet?), aus Ulm. Die Gestalt steht, mit dem Körper und dem bärtigen Haupt nach links gewendet, auf einem gewölbten Rasensockel. Die rechte Hand hält in Hüfthöhe das Mantelende; der linke Arm ist in Brusthöhe erhoben, die linke Hand ist abgebrochen. Kleidung: barettartige Kopfbedeckung mit herabhängendem Schleier; langes Gewand; langer Mantel. Ergänzt: die Nase, der rechte Arm, Teile des Mantels und Sockels. Schreinstatuette. Rückseite abgeflacht. Spuren von Bemalung. ULM, UM 1480. Lindenholz. Höhe 31 cm. Aus Ulm stammend. (Ulm, um 1480)|MÄNNLICHER HEILIGER (Prophet?), aus Ulm. Die Gestalt steht, mit dem Körper und dem bärtigen Haupt nach links gewendet, auf einem gewölbten Rasensockel. Die rechte Hand hält in Hüfthöhe das Mantelende; der linke Arm ist in Brusthöhe erhoben, die linke Hand ist abgebrochen. Kleidung: barettartige Kopfbedeckung mit herabhängendem Schleier; langes Gewand; langer Mantel. Ergänzt: die Nase, der rechte Arm, Teile des Mantels und Sockels. Schreinstatuette. Rückseite abgeflacht. Spuren von Bemalung. ULM, UM 1480. Lindenholz. Höhe 31 cm. Aus Ulm stammend.]] réalisée par Ulm, um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 70 sch. [116]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. FLORIAN. Der Heilige steht in Ritterrüstung auf einem hohen, profilierten Standsockel. Über der Rüstung trägt er einen weiten Mantel mit Kragen, der über der Brust durch eine Schlinge zusammengehalten wird und dessen linkes Ende über den linken Arm geschlagen ist. Das Haupt ist mit einer Mütze bedeckt, unter der zu beiden Seiten des Gesichtes das in Schneckenlocken gedrehte Haar hervorkommt. Kurzer Backen« und Kinnbart. Die rechte Hand hält ein kleines Wasserschaff, die linke Hand umfaßt den Griff eines (schmiedeeisernen) alten Schwertes. Neben dem rechten Fuß des Heiligen steht auf dem Sockel eine brennende Burg. Einzelne Ergänzungen. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. OBERSCHWÄBISCH, WOHL ULM, UM 1500. Lindenholz. Höhe 47 cm. In seiner miniaturhaft genauen Ausführung und in der ungewöhnlichen Sauberkeit der Holzarbeit ist das Bildwerk verwandt mit der aus der Nähe von Ulm stammenden Statuette des betenden Christus am Ölberg der Münchner Sammlung Böhler. Vgl. Habich, Renaissance-Ausstellung des Bayerischen Museumsvereins, I. Plastik in: Münchner Jahrbuch der bildenden Kunst (1907), S. 83 und Abb. 13. (OberSchwäbisch, wohl Ulm, um 1500)|HL. FLORIAN. Der Heilige steht in Ritterrüstung auf einem hohen, profilierten Standsockel. Über der Rüstung trägt er einen weiten Mantel mit Kragen, der über der Brust durch eine Schlinge zusammengehalten wird und dessen linkes Ende über den linken Arm geschlagen ist. Das Haupt ist mit einer Mütze bedeckt, unter der zu beiden Seiten des Gesichtes das in Schneckenlocken gedrehte Haar hervorkommt. Kurzer Backen« und Kinnbart. Die rechte Hand hält ein kleines Wasserschaff, die linke Hand umfaßt den Griff eines (schmiedeeisernen) alten Schwertes. Neben dem rechten Fuß des Heiligen steht auf dem Sockel eine brennende Burg. Einzelne Ergänzungen. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. OBERSCHWÄBISCH, WOHL ULM, UM 1500. Lindenholz. Höhe 47 cm. In seiner miniaturhaft genauen Ausführung und in der ungewöhnlichen Sauberkeit der Holzarbeit ist das Bildwerk verwandt mit der aus der Nähe von Ulm stammenden Statuette des betenden Christus am Ölberg der Münchner Sammlung Böhler. Vgl. Habich, Renaissance-Ausstellung des Bayerischen Museumsvereins, I. Plastik in: Münchner Jahrbuch der bildenden Kunst (1907), S. 83 und Abb. 13.]] réalisée par OberSchwäbisch, wohl Ulm, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1400 sch. [117]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Die in Hüfthöhe abgeschnittene Figur der Maria trägt das nackte Kind auf dem linken Arm. Sie ist bekleidet mit gegürtetem Gewand und weitem Mantel. Durch das in welligen Locken herabfallende Haar ist der Schleier geschlungen. Mutter und Kind blicken nach rechts abwärts. Fragment einer stehenden Maria mit dem Kinde, die später in Hüfthöhe abgeschnitten wurde. Es fehlen die beiden Arme des Kindes und die rechte Hand der Maria. Oberfläche z. T. vom Holzwurm zerfressen. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. WERKSTATT JÖRG SYRLINS D. J., ULM, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 58 cm. Das Bildwerk gehört in den nächsten Umkreis des Ulmer Meisters Jörg Syrlin d. J. und ist vermutlich eine Arbeit des Meisters der Maria in Ennetach (O. A. Saulgau). Vgl. Gertrud Otto, Die Ulmer Plastik der Spätgotik (1927), S. 112 ff. und Abb. 132, 179. (Jörg Syrlins d. J.)|MARIA MIT DEM KINDE. Die in Hüfthöhe abgeschnittene Figur der Maria trägt das nackte Kind auf dem linken Arm. Sie ist bekleidet mit gegürtetem Gewand und weitem Mantel. Durch das in welligen Locken herabfallende Haar ist der Schleier geschlungen. Mutter und Kind blicken nach rechts abwärts. Fragment einer stehenden Maria mit dem Kinde, die später in Hüfthöhe abgeschnitten wurde. Es fehlen die beiden Arme des Kindes und die rechte Hand der Maria. Oberfläche z. T. vom Holzwurm zerfressen. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. WERKSTATT JÖRG SYRLINS D. J., ULM, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 58 cm. Das Bildwerk gehört in den nächsten Umkreis des Ulmer Meisters Jörg Syrlin d. J. und ist vermutlich eine Arbeit des Meisters der Maria in Ennetach (O. A. Saulgau). Vgl. Gertrud Otto, Die Ulmer Plastik der Spätgotik (1927), S. 112 ff. und Abb. 132, 179.]] réalisée par Jörg Syrlins d. J., vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [118]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE, unbekleidet, auf rundem, profiliertem Sockel stehend. Das Haupt ist mit Schneckenlocken bedeckt, die rechte Hand segnend emporgehoben, die Linke hält die Weltkugel mit dem Kreuz. Statuette. Gut erhaltene alte Fassung: helle Fleischfarbe, Backen kräftig rot, Haare und Weltkugel Gold. Sockel rot und grün auf Silbergrund. SCHWÄBISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 43 cm. (Schwäbisch, um 1500)|CHRISTUSKNABE, unbekleidet, auf rundem, profiliertem Sockel stehend. Das Haupt ist mit Schneckenlocken bedeckt, die rechte Hand segnend emporgehoben, die Linke hält die Weltkugel mit dem Kreuz. Statuette. Gut erhaltene alte Fassung: helle Fleischfarbe, Backen kräftig rot, Haare und Weltkugel Gold. Sockel rot und grün auf Silbergrund. SCHWÄBISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 43 cm.]] réalisée par Schwäbisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 400 sch. [119]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE, auf einem Rasensockel stehend, mit eng anliegendem, hochgeschürztem Gewand, über das ein weiter, bis auf den Boden fallender Mantel in langen Falten gelegt ist. Auf dem Haupt trägt die Heilige einen Kranz; das in der Mitte gescheitelte Haar fällt in breiten, lockigen Strähnen herab. Die linke Hand hält den Mantel, die (abgebrochene) Rechte war in Leibhöhe erhoben. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Fassung: Kleid Silber mit Goldsaum; Mantel Gold, Futter rot; Rasensockel grün. SCHWÄBISCH-FRÄNKISCH, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 51 cm. (Schwäbisch-Fränkisch, Gegen 1500)|WEIBLICHE HEILIGE, auf einem Rasensockel stehend, mit eng anliegendem, hochgeschürztem Gewand, über das ein weiter, bis auf den Boden fallender Mantel in langen Falten gelegt ist. Auf dem Haupt trägt die Heilige einen Kranz; das in der Mitte gescheitelte Haar fällt in breiten, lockigen Strähnen herab. Die linke Hand hält den Mantel, die (abgebrochene) Rechte war in Leibhöhe erhoben. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Fassung: Kleid Silber mit Goldsaum; Mantel Gold, Futter rot; Rasensockel grün. SCHWÄBISCH-FRÄNKISCH, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 51 cm.]] réalisée par Schwäbisch-Fränkisch, Gegen 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [120]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. MARTIN MIT DEM BETTLER. Der Heilige, mit Wams, Rock, Mütze und Mantel bekleidet, sitzt zu Pferde und wendet sich im Sattel nach rückwärts, der auf einem Felsensockel knienden Figur des Bettlers zu. Mit der Linken hält der Heilige das Mantelende, mit der Rechten das Schwert, um die Hälfte des Manteltuches abzutrennen. Das Pferd steht in Linksprofilstellung breit auf dem als Sockel verwendeten felsenartigen Geländestück und hat das rechte Vorderbein zu halber Höhe erhoben. Ergänzt sind: Teile des Sockels, beide Hände des hl. Martin, das Schwert und der Schweif des Pferdes. Freiplastische Gruppe. Reste alter Fassung: Pferd dunkelbraun; Mantel des hl. Martin rot, Gewand blau; Gewand des Bettlers grau; Sockel grün. OBERSCHWABEN, UM 1510. AUS DEM UMKREIS DES "MEISTERS DER BIBERACHER SIPPE". Lindenholz. Höhe 45 cm. Zum Vergleich für die untersetzten Gestalten des Meisters und für die Faltengebung kann vor allem die Gruppe einer "Mutter mit Kindern" in Frankfurter Privatbesitz dienen, abgebildet bei: Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst aus Frankfurter Privatbesitz (1921), Nr. 154. Vgl. auch Sprinz, Die Bildwerke der Fürstlich-Hohenzoliernschen Sammlung Sigmaringen (1925), Nr. 91 und Tafel 53. Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik (1922), Abb. 32 und 33, Seite 5. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 39, Tafel 19. TAFEL 25 (Oberschwaben, um 1510)|HL. MARTIN MIT DEM BETTLER. Der Heilige, mit Wams, Rock, Mütze und Mantel bekleidet, sitzt zu Pferde und wendet sich im Sattel nach rückwärts, der auf einem Felsensockel knienden Figur des Bettlers zu. Mit der Linken hält der Heilige das Mantelende, mit der Rechten das Schwert, um die Hälfte des Manteltuches abzutrennen. Das Pferd steht in Linksprofilstellung breit auf dem als Sockel verwendeten felsenartigen Geländestück und hat das rechte Vorderbein zu halber Höhe erhoben. Ergänzt sind: Teile des Sockels, beide Hände des hl. Martin, das Schwert und der Schweif des Pferdes. Freiplastische Gruppe. Reste alter Fassung: Pferd dunkelbraun; Mantel des hl. Martin rot, Gewand blau; Gewand des Bettlers grau; Sockel grün. OBERSCHWABEN, UM 1510. AUS DEM UMKREIS DES "MEISTERS DER BIBERACHER SIPPE". Lindenholz. Höhe 45 cm. Zum Vergleich für die untersetzten Gestalten des Meisters und für die Faltengebung kann vor allem die Gruppe einer "Mutter mit Kindern" in Frankfurter Privatbesitz dienen, abgebildet bei: Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst aus Frankfurter Privatbesitz (1921), Nr. 154. Vgl. auch Sprinz, Die Bildwerke der Fürstlich-Hohenzoliernschen Sammlung Sigmaringen (1925), Nr. 91 und Tafel 53. Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik (1922), Abb. 32 und 33, Seite 5. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 39, Tafel 19. TAFEL 25]] réalisée par Oberschwaben, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2400 sch. [121]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. BARBARA. Die Heilige steht, mit dem Körper und Haupt nach links gewendet, auf flacher, rechteckiger Standplatte. Sie trägt enganliegendes, langes, modisches Gewand und langen, in zügigen Falten herniederfallenden Mantel. Die linke Hand trägt den Kelch und hält zugleich das Mantelende fest; die Rechte ist segnend erhoben. Die Standplatte, schmale Streifen des Mantels rechts und links, die rechte Hand und der Kronreif sind spätere Ergänzung. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Schöne Reste alter Bemalung und Vergoldung: Fleischfarbe im Gesicht gelblichsrosa; Mantel Gold; Gewand rot. OBERSCHWÄBISCH, ULM, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Unter fränkischem Einfluß entstanden. Lindenholz. Höhe 122 cm. Vgl. das verwandte Bildwerk einer hl. Katharina (Ulm, Anfang des 16. Jahrhunderts), abgebildet bei: Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz (1921), Nr. 152. (OberSchwäbisch, Ulm, Anfang des 16. Jahrhunderts)|HL. BARBARA. Die Heilige steht, mit dem Körper und Haupt nach links gewendet, auf flacher, rechteckiger Standplatte. Sie trägt enganliegendes, langes, modisches Gewand und langen, in zügigen Falten herniederfallenden Mantel. Die linke Hand trägt den Kelch und hält zugleich das Mantelende fest; die Rechte ist segnend erhoben. Die Standplatte, schmale Streifen des Mantels rechts und links, die rechte Hand und der Kronreif sind spätere Ergänzung. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Schöne Reste alter Bemalung und Vergoldung: Fleischfarbe im Gesicht gelblichsrosa; Mantel Gold; Gewand rot. OBERSCHWÄBISCH, ULM, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Unter fränkischem Einfluß entstanden. Lindenholz. Höhe 122 cm. Vgl. das verwandte Bildwerk einer hl. Katharina (Ulm, Anfang des 16. Jahrhunderts), abgebildet bei: Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz (1921), Nr. 152.]] réalisée par OberSchwäbisch, Ulm, Anfang des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1500 sch. [122]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGE SIPPE, Bruchstück einer größeren Darstellung. Auf einer Bank sitzt, in Profilansicht nach links gewendet, eine weibliche Gestalt (Mutter Anna?). Sie ist bekleidet mit engem Kleid, weitem Mantel und Kopftuch. Ihre Füße stehen auf einem halbrunden Rasensockel. Hinter dieser weiblichen Figur neigt sich, über den Rand einer Mauer gelehnt, in Halbfigur ein Mann herab. Er trägt enges Kleid und weiten, über den Schultern umgeschlagenen Mantel und eine Mütze über dem bärtigen Haupt. In seiner Rechten hält er einen Apfel. Es fehlt die Fortsetzung der Gruppe nach links hin. Aus zwei Holzstücken alt zusammengesetzt. Die Fuge läuft senkrecht zwischen den Knien der sitzenden Figur hindurch. Hochrelief artige Gruppe. Rückseite flach. Spuren alter Bemalung: Rot am Mantel des Mannes. SCHWABEN, WOHL AUGSBURG, UM 1510. Lindenholz. Höhe 93 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 34, Tafel 17. (Schwaben, wohl Augsburg, um 1510)|HEILIGE SIPPE, Bruchstück einer größeren Darstellung. Auf einer Bank sitzt, in Profilansicht nach links gewendet, eine weibliche Gestalt (Mutter Anna?). Sie ist bekleidet mit engem Kleid, weitem Mantel und Kopftuch. Ihre Füße stehen auf einem halbrunden Rasensockel. Hinter dieser weiblichen Figur neigt sich, über den Rand einer Mauer gelehnt, in Halbfigur ein Mann herab. Er trägt enges Kleid und weiten, über den Schultern umgeschlagenen Mantel und eine Mütze über dem bärtigen Haupt. In seiner Rechten hält er einen Apfel. Es fehlt die Fortsetzung der Gruppe nach links hin. Aus zwei Holzstücken alt zusammengesetzt. Die Fuge läuft senkrecht zwischen den Knien der sitzenden Figur hindurch. Hochrelief artige Gruppe. Rückseite flach. Spuren alter Bemalung: Rot am Mantel des Mannes. SCHWABEN, WOHL AUGSBURG, UM 1510. Lindenholz. Höhe 93 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 34, Tafel 17.]] réalisée par Schwaben, wohl Augsburg, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 360 sch. [123]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS AM ÖLBERG mit dem Engel und den schlafenden Jüngern. Aus Augsburg. Christus kniet in felsiger Landschaft und wendet sich dem oben links hinter einem Felsen knienden Engel zu. Unter der knienden Christusfigur liegen, in das felsige Gelände gebettet, die Gestalten der drei schlafenden Apostel. Es fehlen die Arme und Flügel des Engels. Hochrelief artige Gruppe, hinten abgeflacht. Alte Bemalung: Felsen braun; Rasen grün; Christus in silbernem Gewand mit Goldsaum; die Mäntel der Apostel blau, rot und braun mit Goldsäumen. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURGISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe 34 cm, Breite 21 cm. Das Bildwerk erinnert in seinem malerischen Aufbau sehr auffällig an das Rotmarmorgrabmal des Bischofs Heinrich von Lichtenau (1505-1517) im Augsburger Dom, eines der Hauptwerke des Augsburger Steinbildhauers Hans Beierlein. Da Beierlein um 1508 gestorben ist, muß er mit der Arbeit an diesem Werk schon 1505, als Heinrich von Lichtenau den Bischofsstuhl bestieg, begonnen haben. Vermutlich hat diese berühmte Grabplatte einen der begabten Augsburger Kleinplastiker zu unserem Hochrelief angeregt. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, I. Band (1926), S. 130 ff., und Abb. 122-124. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 33, Tafel 16. TAFEL 24 (Schwäbisch, wohl Augsburgisch, um 1510)|CHRISTUS AM ÖLBERG mit dem Engel und den schlafenden Jüngern. Aus Augsburg. Christus kniet in felsiger Landschaft und wendet sich dem oben links hinter einem Felsen knienden Engel zu. Unter der knienden Christusfigur liegen, in das felsige Gelände gebettet, die Gestalten der drei schlafenden Apostel. Es fehlen die Arme und Flügel des Engels. Hochrelief artige Gruppe, hinten abgeflacht. Alte Bemalung: Felsen braun; Rasen grün; Christus in silbernem Gewand mit Goldsaum; die Mäntel der Apostel blau, rot und braun mit Goldsäumen. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURGISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe 34 cm, Breite 21 cm. Das Bildwerk erinnert in seinem malerischen Aufbau sehr auffällig an das Rotmarmorgrabmal des Bischofs Heinrich von Lichtenau (1505-1517) im Augsburger Dom, eines der Hauptwerke des Augsburger Steinbildhauers Hans Beierlein. Da Beierlein um 1508 gestorben ist, muß er mit der Arbeit an diesem Werk schon 1505, als Heinrich von Lichtenau den Bischofsstuhl bestieg, begonnen haben. Vermutlich hat diese berühmte Grabplatte einen der begabten Augsburger Kleinplastiker zu unserem Hochrelief angeregt. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, I. Band (1926), S. 130 ff., und Abb. 122-124. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 33, Tafel 16. TAFEL 24]] réalisée par Schwäbisch, wohl Augsburgisch, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1650 sch. [124]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. SEBASTIAN, auf einem Rasensockel stehend, mit beiden Armen an die Zweige eines Baumes angebunden. Die nackte Gestalt trägt ein Lendentuch, das an der linken Hüfte zu einem Knoten gebunden ist. Das ausdrucksvolle Haupt ist nach rechts oben erhoben und von flatternden Lockenwellen umrahmt. Es fehlen: der linke Unterarm, der Daumen der rechten Hand und die Pfeile, deren Einschußlöcher am Körper des Heiligen sichtbar sind. Freiplastische Standfigur. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Haare dunkelbraun; Lendentuch weiß, Futter blau; Baumstamm braun; Sockel grün. MEISTER DER BIBERACHER SIPPE (OBERSCHWABEN), UM 1510. Lindenholz. Höhe 70 cm. Vgl. Sprinz, Die Bildwerke der Fürstlich Hohenzollernschen Sammlung Sigmaringen (1925), Nr. 91 und Tafel 53. Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik, München, 1922, Abb. 32 und 33, Seite 5. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 49, Tafel 26. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abb. auf S. 296, 297. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 26 (Meister der Biberacher Sippe, um 1510)|HL. SEBASTIAN, auf einem Rasensockel stehend, mit beiden Armen an die Zweige eines Baumes angebunden. Die nackte Gestalt trägt ein Lendentuch, das an der linken Hüfte zu einem Knoten gebunden ist. Das ausdrucksvolle Haupt ist nach rechts oben erhoben und von flatternden Lockenwellen umrahmt. Es fehlen: der linke Unterarm, der Daumen der rechten Hand und die Pfeile, deren Einschußlöcher am Körper des Heiligen sichtbar sind. Freiplastische Standfigur. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Haare dunkelbraun; Lendentuch weiß, Futter blau; Baumstamm braun; Sockel grün. MEISTER DER BIBERACHER SIPPE (OBERSCHWABEN), UM 1510. Lindenholz. Höhe 70 cm. Vgl. Sprinz, Die Bildwerke der Fürstlich Hohenzollernschen Sammlung Sigmaringen (1925), Nr. 91 und Tafel 53. Vgl. Groeber, Schwäbische Skulptur der Spätgotik, München, 1922, Abb. 32 und 33, Seite 5. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 49, Tafel 26. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abb. auf S. 296, 297. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 26]] réalisée par Meister der Biberacher Sippe, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 14000 sch. [125]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS ALS WELTENRICHTER, in thronender Stellung, die Füße auf die Weltkugel gestellt. Christus ist bekleidet mit einem Lendentuch und weitem, über der Brust mit einer Spange zusammengehaltenen Mantel, der den Oberkörper und die Beine zum Teil freiläßt. Die Rechte ist nach links aufwärts erhoben, die Linke zur rechten Seite nach abwärts gestreckt. Das bärtige Gesicht ist umrahmt von dem in der Mitte gescheitelten, in welligen Strähnen herabfallenden Haar. Die Figur war einstmals wohl Teilstück einer größeren Darstellung des Weltgerichtes, deren übrige Teile verlorengegangen sind. Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Bemalung: Haare braun; Mantel rot; Lendentuch und Weltkugel grün. ALLGÄU, UM 1510-15, RICHTUNG DES JÖRG LEDERER VON KAUFBEUREN. Lindenholz. Höhe 84 cm. Die Darstellung geht wohl auf die frühe Handzeichnung Albrecht Dürers "Christus als Weltenrichter" (im Louvre, Paris) zurück, die Dürer während seiner Lehrjahre bei Wolgemut geschaffen hat und die lange Zeit als eine der frühesten erhaltenen Handzeichnungen Martin Schongauers angesprochen wurde. Die Zeichnung gibt die Christusfigur aus dem "Jüngsten Gericht" Rogiers van der Weyden in Beaune wieder. Vgl. Winkler, Die Zeichnungen Albrecht Dürers (1936), Band I, Nr. 15 und S. 17. Vgl. Rosenberg, Martin Schongauer, Handzeichnungen (1923), S. 25, Abb. 22, 23. (Allgäu, um 1510-15)|CHRISTUS ALS WELTENRICHTER, in thronender Stellung, die Füße auf die Weltkugel gestellt. Christus ist bekleidet mit einem Lendentuch und weitem, über der Brust mit einer Spange zusammengehaltenen Mantel, der den Oberkörper und die Beine zum Teil freiläßt. Die Rechte ist nach links aufwärts erhoben, die Linke zur rechten Seite nach abwärts gestreckt. Das bärtige Gesicht ist umrahmt von dem in der Mitte gescheitelten, in welligen Strähnen herabfallenden Haar. Die Figur war einstmals wohl Teilstück einer größeren Darstellung des Weltgerichtes, deren übrige Teile verlorengegangen sind. Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Bemalung: Haare braun; Mantel rot; Lendentuch und Weltkugel grün. ALLGÄU, UM 1510-15, RICHTUNG DES JÖRG LEDERER VON KAUFBEUREN. Lindenholz. Höhe 84 cm. Die Darstellung geht wohl auf die frühe Handzeichnung Albrecht Dürers "Christus als Weltenrichter" (im Louvre, Paris) zurück, die Dürer während seiner Lehrjahre bei Wolgemut geschaffen hat und die lange Zeit als eine der frühesten erhaltenen Handzeichnungen Martin Schongauers angesprochen wurde. Die Zeichnung gibt die Christusfigur aus dem "Jüngsten Gericht" Rogiers van der Weyden in Beaune wieder. Vgl. Winkler, Die Zeichnungen Albrecht Dürers (1936), Band I, Nr. 15 und S. 17. Vgl. Rosenberg, Martin Schongauer, Handzeichnungen (1923), S. 25, Abb. 22, 23.]] réalisée par Allgäu, um 1510-15, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [126]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER SEBASTIAN, auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Der Heilige trägt über dem nackten, nur mit einem Lendentuch bekleideten Körper einen weiten Mantel, der über der Brust mit zwei Schnüren zusammengehalten wird und die Schultern, die beiden Beine und den Oberkörper frei läßt. Die Rechte hält in Hüfthöhe das Mantelende. Das von einem dicken Lockenwald umrahmte Gesicht zeigt schmerzhaften Ausdruck und ist nach rechts abwärts geneigt. Es fehlt die linke Hand. Wandfigur. Schöne Reste alter Bemalung und Vergoldung. Mantel Gold, Futter blau; Haare grau-braun. OBERSCHWÄBISCH, UM 1520. Lindenholz. Höhe 88 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 70, Tafel 40. TAFEL 38 (OberSchwäbisch, um 1520)|HEILIGER SEBASTIAN, auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Der Heilige trägt über dem nackten, nur mit einem Lendentuch bekleideten Körper einen weiten Mantel, der über der Brust mit zwei Schnüren zusammengehalten wird und die Schultern, die beiden Beine und den Oberkörper frei läßt. Die Rechte hält in Hüfthöhe das Mantelende. Das von einem dicken Lockenwald umrahmte Gesicht zeigt schmerzhaften Ausdruck und ist nach rechts abwärts geneigt. Es fehlt die linke Hand. Wandfigur. Schöne Reste alter Bemalung und Vergoldung. Mantel Gold, Futter blau; Haare grau-braun. OBERSCHWÄBISCH, UM 1520. Lindenholz. Höhe 88 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 70, Tafel 40. TAFEL 38]] réalisée par OberSchwäbisch, um 1520, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [127]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen, leicht erhobenen Armen und nach links geneigtem, bärtigem Haupt, das die Dornenkrone trägt. Das Schamtuch ist in straffe Parallelfalten gelegt, die Enden des Tuchs sind an vier Stellen zipfelartig herausgezogen. Hohes, schwarzes Holzkreuz. Es fehlen Teile der beiden Füße, die rechte Hand und der untere Teil der rechten Haarlocke. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung: Fleischfarbe gelb-rosa; Haare braun; Dornenkrone braun; Schamtuch Gold, Futter blau. SCHWÄBISCH, AUS DEM KREIS DES MEISTERS DER PARALLELFALTEN, UM 1530. Lindenholz. Höhe des Kruzifixes 25 cm, des Kreuzes 59 cm. (Meisters der Parallelfalten)|KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen, leicht erhobenen Armen und nach links geneigtem, bärtigem Haupt, das die Dornenkrone trägt. Das Schamtuch ist in straffe Parallelfalten gelegt, die Enden des Tuchs sind an vier Stellen zipfelartig herausgezogen. Hohes, schwarzes Holzkreuz. Es fehlen Teile der beiden Füße, die rechte Hand und der untere Teil der rechten Haarlocke. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung: Fleischfarbe gelb-rosa; Haare braun; Dornenkrone braun; Schamtuch Gold, Futter blau. SCHWÄBISCH, AUS DEM KREIS DES MEISTERS DER PARALLELFALTEN, UM 1530. Lindenholz. Höhe des Kruzifixes 25 cm, des Kreuzes 59 cm.]] réalisée par Meisters der Parallelfalten, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [128]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE, auf einer achteckigen Standplatte stehend. Die Gestalt trägt enganliegendes, hochgegürtetes Gewand und weiten, langen Mantel. Der Schleier verdeckt die obere Hälfte des nach rechts gedrehten Kopfes; in langen Wellen kommt unter dem Schleier das Haar zu beiden Seiten des Hauptes hervor und fällt über Schultern und Brust bis zu den Hüften herab. Es fehlen die beiden Hände. Die beiden Unterarme, sowie einige Teile der auf der Standplatte aufliegenden Gewandfalten sind spätere Ergänzungen. Vermutlich war die Heilige ursprünglich eine Maria, die das Kind auf dem linken Arm in Brusthöhe gehalten hat. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Fassung: Mantel Gold, Futter blau; Kleid rot; Schleier weiß. ULMISCH, GEGEN 1550. Lindenholz. Höhe 148 cm. (Ulmisch, Gegen 1550)|WEIBLICHE HEILIGE, auf einer achteckigen Standplatte stehend. Die Gestalt trägt enganliegendes, hochgegürtetes Gewand und weiten, langen Mantel. Der Schleier verdeckt die obere Hälfte des nach rechts gedrehten Kopfes; in langen Wellen kommt unter dem Schleier das Haar zu beiden Seiten des Hauptes hervor und fällt über Schultern und Brust bis zu den Hüften herab. Es fehlen die beiden Hände. Die beiden Unterarme, sowie einige Teile der auf der Standplatte aufliegenden Gewandfalten sind spätere Ergänzungen. Vermutlich war die Heilige ursprünglich eine Maria, die das Kind auf dem linken Arm in Brusthöhe gehalten hat. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Fassung: Mantel Gold, Futter blau; Kleid rot; Schleier weiß. ULMISCH, GEGEN 1550. Lindenholz. Höhe 148 cm.]] réalisée par Ulmisch, Gegen 1550, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1800 sch. [129]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE (Trauernde Maria unterm Kreuz?). Maria steht frontal, mit nach links gewandtem Haupte und über der Brust gekreuzten Armen. Ihr in der Mitte gescheiteltes Haar fällt zu beiden Seiten des Hauptes in lockigen Strähnen bis über die Schultern herab. Sie ist bekleidet mit einem Mantel, der die Arme freiläßt und mit einem enganliegenden Gewand mit rechteckigem Brustausschnitt. Die einst in ganzer Figur geschnitzte Gestalt ist in Oberschenkelhöhe abgegeschnitten. Wandstatue. Rückseite abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Mantel Gold, Gewand Silber, jetzt blau; Haare braun. SCHWÄBISCH, UM 1550. Lindenholz. Höhe 62 cm. (Schwäbisch, um 1500)|WEIBLICHE HEILIGE (Trauernde Maria unterm Kreuz?). Maria steht frontal, mit nach links gewandtem Haupte und über der Brust gekreuzten Armen. Ihr in der Mitte gescheiteltes Haar fällt zu beiden Seiten des Hauptes in lockigen Strähnen bis über die Schultern herab. Sie ist bekleidet mit einem Mantel, der die Arme freiläßt und mit einem enganliegenden Gewand mit rechteckigem Brustausschnitt. Die einst in ganzer Figur geschnitzte Gestalt ist in Oberschenkelhöhe abgegeschnitten. Wandstatue. Rückseite abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Mantel Gold, Gewand Silber, jetzt blau; Haare braun. SCHWÄBISCH, UM 1550. Lindenholz. Höhe 62 cm.]] réalisée par Schwäbisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [130]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTKIND MIT TRAUBE, auf einem späteren, nicht zugehörigen, profilierten Sockel stehend. Das nackte Kind hält in der linken Hand eine Traube, in der erhobenen Rechten eine Beere. Sein Haupt ist von Schneckenlocken umrahmt. Statuette. Reste der alten Bemalung: Fleischfarbe hellrosa; Haare hellblond; Traube Silber. BAYERISCH, UM 1450. Lindenholz. Höhe (ohne Sockel) 16 cm. (Bayerisch, um 1450)|CHRISTKIND MIT TRAUBE, auf einem späteren, nicht zugehörigen, profilierten Sockel stehend. Das nackte Kind hält in der linken Hand eine Traube, in der erhobenen Rechten eine Beere. Sein Haupt ist von Schneckenlocken umrahmt. Statuette. Reste der alten Bemalung: Fleischfarbe hellrosa; Haare hellblond; Traube Silber. BAYERISCH, UM 1450. Lindenholz. Höhe (ohne Sockel) 16 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [131]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE, frontal sitzend, mit übereinandergeschlagenen Beinen (Bruch? stück einer Maria mit dem Kinde). Der Kopf ist geradeaus gerichtet und von Schneckenlocken umrahmt. Die linke Hand ist in Brusthöhe erhoben; am linken Oberschenkel ist ein Teil des Daumens der Maria sichtbar. Es fehlen: der rechte Arm, der rechte Fuß, das linke Bein vom Knie abwärts. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet, z. T. beschnitten. Reste alter Fassung. SUDDEUTSCH, NACH 1450. Lindenholz. Höhe 24 cm. (Süddeutsch, Nach 1450)|CHRISTUSKNABE, frontal sitzend, mit übereinandergeschlagenen Beinen (Bruch? stück einer Maria mit dem Kinde). Der Kopf ist geradeaus gerichtet und von Schneckenlocken umrahmt. Die linke Hand ist in Brusthöhe erhoben; am linken Oberschenkel ist ein Teil des Daumens der Maria sichtbar. Es fehlen: der rechte Arm, der rechte Fuß, das linke Bein vom Knie abwärts. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet, z. T. beschnitten. Reste alter Fassung. SUDDEUTSCH, NACH 1450. Lindenholz. Höhe 24 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Nach 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 120 sch. [132]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHER KOPF (Heilige oder Maria?). Der am Halsende abgeschnittene Kopf ist nach rechts geneigt. Die einstmals das ganze Gesicht umrahmenden, geschnitzten Haare und der Schleier sind später roh weggeschnitten worden. Bruchstück einer Wandstatue. Reste alter Bemalung: Fleischfarbe. BAYERISCH, 2. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 29 cm. (Bayerisch, 2. Hälfte des 15. Jahrhunderts)|WEIBLICHER KOPF (Heilige oder Maria?). Der am Halsende abgeschnittene Kopf ist nach rechts geneigt. Die einstmals das ganze Gesicht umrahmenden, geschnitzten Haare und der Schleier sind später roh weggeschnitten worden. Bruchstück einer Wandstatue. Reste alter Bemalung: Fleischfarbe. BAYERISCH, 2. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 29 cm.]] réalisée par Bayerisch, 2. Hälfte des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 30 sch. [133]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE aus Burghausen a. d. Salzach. In langem Gewand und weitem Mantel auf einer profilierten Bank sitzend, hält Maria das nackte Kind auf dem linken Knie. Das Kind hält in der linken Hand eine Weinbeere, während es mit der Rechten nach der ihm von der Mutter dargebotenen Traube greift. Maria mit Zackenkrone und auf den Rücken herabwallendem Haar. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. BAYERISCH, UM 1480. Lindenholz. Höhe 37 cm. Höhe mit dem neuen Sockel 50 cm. Aus Burghausen stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 32, Tafel 16. TAFEL 24 (Bayerisch, um 1450)|MARIA MIT DEM KINDE aus Burghausen a. d. Salzach. In langem Gewand und weitem Mantel auf einer profilierten Bank sitzend, hält Maria das nackte Kind auf dem linken Knie. Das Kind hält in der linken Hand eine Weinbeere, während es mit der Rechten nach der ihm von der Mutter dargebotenen Traube greift. Maria mit Zackenkrone und auf den Rücken herabwallendem Haar. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. BAYERISCH, UM 1480. Lindenholz. Höhe 37 cm. Höhe mit dem neuen Sockel 50 cm. Aus Burghausen stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 32, Tafel 16. TAFEL 24]] réalisée par Bayerisch, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 900 sch. [134]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenem linken Arm (der rechte Arm fehlt) und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach links abwärts geneigt. Es fehlen: der rechte Arm und die Hälfte des linken Fußes, die beiden Enden des Schamtuches, ein Stück der Locken an der linken Kopfseite, die Finger der linken Hand. Wandfigur. Rückseite abgeflacht, aber bearbeitet. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1480. Lindenholz. Höhe 30 cm. (Bayerisch, wohl München, um 1480)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenem linken Arm (der rechte Arm fehlt) und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach links abwärts geneigt. Es fehlen: der rechte Arm und die Hälfte des linken Fußes, die beiden Enden des Schamtuches, ein Stück der Locken an der linken Kopfseite, die Finger der linken Hand. Wandfigur. Rückseite abgeflacht, aber bearbeitet. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1480. Lindenholz. Höhe 30 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 150 sch. [135]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. SEBASTIAN, auf flacher, eckiger Standplatte stehend; bekleidet mit einem weiten, auf der Brust durch eine Spange zusammengehaltenen Mantel, der die Vorderseite des Körpers vom Hals bis zur Mitte des Leibes freiläßt. Das hocherhobene Haupt trägt reiches, lockiges Haar und kurzen Kinnbart. Mit der Linken hält der Heilige das Mantelende empor. Es fehlen die rechte Hand und die Pfeile, deren Einschußlöcher am Oberkörper sichtbar sind. Teile der Standplatte und des Mantels sind später ergänzt. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. BAYERISCH (CHIEMGAU), UM 1480-90. Lindenholz. Höhe 112 cm. Georg Schuster hat das aus dem Chiemgau stammende Bildwerk als frühe Arbeit des Meisters von Rabenden angesprochen. TAFEL 39 (Bayerisch, (Chiemgau), um 1480-90)|HL. SEBASTIAN, auf flacher, eckiger Standplatte stehend; bekleidet mit einem weiten, auf der Brust durch eine Spange zusammengehaltenen Mantel, der die Vorderseite des Körpers vom Hals bis zur Mitte des Leibes freiläßt. Das hocherhobene Haupt trägt reiches, lockiges Haar und kurzen Kinnbart. Mit der Linken hält der Heilige das Mantelende empor. Es fehlen die rechte Hand und die Pfeile, deren Einschußlöcher am Oberkörper sichtbar sind. Teile der Standplatte und des Mantels sind später ergänzt. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. BAYERISCH (CHIEMGAU), UM 1480-90. Lindenholz. Höhe 112 cm. Georg Schuster hat das aus dem Chiemgau stammende Bildwerk als frühe Arbeit des Meisters von Rabenden angesprochen. TAFEL 39]] réalisée par Bayerisch, (Chiemgau), um 1480-90, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [136]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHER HEILIGER MIT BUCH. Die im Niederknien begriffene Gestalt des Heiligen ist mit langem Gewand und langem Mantel bekleidet; der nackte rechte Fuß wird unter dem Rock sichtbar und tritt auf den die ganze Breite des Bildwerkes umfassenden, halbrund gewölbten Rasensockel auf. Das von Locken umrahmte Haupt ist im Dreiviertel-Profil nach links gewandt. Die beiden Hände hat der Heilige über der Brust gefaltet; die Linke hält das vom rechten Arm umschlossene Buch fest. (Vermutlich Johannes Ev.) Hochrelief. Rückseite flach. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1480-90. Lindenholz. Höhe 58 cm. Das Relief ist in seiner formenreinen Faltengebung und in der Zierlichkeit der Hände eng verwandt mit einer Maria mit dem Kinde, die aus der Umgebung von München (aus Isen bei Dorfen) stammt und der gleichen Entstehungszeit angehört. Vgl. Feulner und Baum, Sammlung Hubert Wilm, Katalog der Ausstellung im Kunstverein München, 1931, Nr. 51 und Abbildung auf S. 40. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 40, Tafel 20. (Bayerisch, wohl München, um 1480-90)|MÄNNLICHER HEILIGER MIT BUCH. Die im Niederknien begriffene Gestalt des Heiligen ist mit langem Gewand und langem Mantel bekleidet; der nackte rechte Fuß wird unter dem Rock sichtbar und tritt auf den die ganze Breite des Bildwerkes umfassenden, halbrund gewölbten Rasensockel auf. Das von Locken umrahmte Haupt ist im Dreiviertel-Profil nach links gewandt. Die beiden Hände hat der Heilige über der Brust gefaltet; die Linke hält das vom rechten Arm umschlossene Buch fest. (Vermutlich Johannes Ev.) Hochrelief. Rückseite flach. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1480-90. Lindenholz. Höhe 58 cm. Das Relief ist in seiner formenreinen Faltengebung und in der Zierlichkeit der Hände eng verwandt mit einer Maria mit dem Kinde, die aus der Umgebung von München (aus Isen bei Dorfen) stammt und der gleichen Entstehungszeit angehört. Vgl. Feulner und Baum, Sammlung Hubert Wilm, Katalog der Ausstellung im Kunstverein München, 1931, Nr. 51 und Abbildung auf S. 40. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 40, Tafel 20.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, um 1480-90, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [137]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[APOSTEL MIT BUCH, stehend, in langem Gewand und langem Mantel, das Buch in der linken Hand tragend. Der von lockigem Haar umrahmte, bärtige Kopf ist leicht nach aufwärts gerichtet. Die Gestalt steht auf sechseckiger, abgeschrägter Standplatte. Es fehlen: der rechte Arm mit dem Mantelüberschlag, Teile der linken Hand und des Buches. Statuette. Rückseite vernachlässigt. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1490. Lindenholz, ungefaßt. Höhe 34 cm. (Bayerisch, wohl München, um 1490)|APOSTEL MIT BUCH, stehend, in langem Gewand und langem Mantel, das Buch in der linken Hand tragend. Der von lockigem Haar umrahmte, bärtige Kopf ist leicht nach aufwärts gerichtet. Die Gestalt steht auf sechseckiger, abgeschrägter Standplatte. Es fehlen: der rechte Arm mit dem Mantelüberschlag, Teile der linken Hand und des Buches. Statuette. Rückseite vernachlässigt. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1490. Lindenholz, ungefaßt. Höhe 34 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, um 1490, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 120 sch. [138]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL. Die beiden Engel, die ursprünglich vermutlich mit den beiden nach oben gestreckten Händen zusammen eine Krone getragen haben, schweben mit ausgebreiteten Flügeln. Beide haben lockiges, kurzes Haar, gegürtetes Obergewand mit Halskrausen und langes, in flatternden Falten bewegtes Untergewand, das die nackten Füße freiläßt. Beide tragen am Obergewand Puffärmel. Es fehlen: kleinere Stücker der Flügel, einige Finger und Teile der Füße beider Engel. Hochreliefartige Schnitzereien. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Vergoldung und Bemalung: Die Obergewänder Gold; Untergewänder Silber, Futter rot; Haare dunkel; Flügel Gold und Silber. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 25 cm. TAFEL 35 (Bayerisch, wohl München 1540)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL. Die beiden Engel, die ursprünglich vermutlich mit den beiden nach oben gestreckten Händen zusammen eine Krone getragen haben, schweben mit ausgebreiteten Flügeln. Beide haben lockiges, kurzes Haar, gegürtetes Obergewand mit Halskrausen und langes, in flatternden Falten bewegtes Untergewand, das die nackten Füße freiläßt. Beide tragen am Obergewand Puffärmel. Es fehlen: kleinere Stücker der Flügel, einige Finger und Teile der Füße beider Engel. Hochreliefartige Schnitzereien. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Vergoldung und Bemalung: Die Obergewänder Gold; Untergewänder Silber, Futter rot; Haare dunkel; Flügel Gold und Silber. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 25 cm. TAFEL 35]] réalisée par Bayerisch, wohl München 1540, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 850 sch. [139]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL. Die beiden Engel, die ursprünglich vermutlich mit den beiden nach oben gestreckten Händen zusammen eine Krone getragen haben, schweben mit ausgebreiteten Flügeln. Beide haben lockiges, kurzes Haar, gegürtetes Obergewand mit Halskrausen und langes, in flatternden Falten bewegtes Untergewand, das die nackten Füße freiläßt. Beide tragen am Obergewand Puffärmel. Es fehlen: kleinere Stücker der Flügel, einige Finger und Teile der Füße beider Engel. Hochreliefartige Schnitzereien. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Vergoldung und Bemalung: Die Obergewänder Gold; Untergewänder Silber, Futter rot; Haare dunkel; Flügel Gold und Silber. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 25 cm. TAFEL 35 (Bayerisch, wohl München 1540)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL. Die beiden Engel, die ursprünglich vermutlich mit den beiden nach oben gestreckten Händen zusammen eine Krone getragen haben, schweben mit ausgebreiteten Flügeln. Beide haben lockiges, kurzes Haar, gegürtetes Obergewand mit Halskrausen und langes, in flatternden Falten bewegtes Untergewand, das die nackten Füße freiläßt. Beide tragen am Obergewand Puffärmel. Es fehlen: kleinere Stücker der Flügel, einige Finger und Teile der Füße beider Engel. Hochreliefartige Schnitzereien. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Vergoldung und Bemalung: Die Obergewänder Gold; Untergewänder Silber, Futter rot; Haare dunkel; Flügel Gold und Silber. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 25 cm. TAFEL 35]] réalisée par Bayerisch, wohl München 1540, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 850 sch. [140]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KREUZIGUNGSGRUPPE. Christus am Kreuz und die trauernde Maria. An einem Astkreuz, dessen Fußende in einer achteckigen, mehrfach profilierten Standplatte befestigt ist, hängt der Kruzifixus mit übereinandergenagelten Füßen. Der Oberkörper ist, wie der Kopf, nach links geneigt. Auf dem von Locken um; rahmten, bärtigen Haupt sitzt die Dornenkrone. Das Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet; es hat zwei lebhaft bewegte, in Knorpelfalten gelegte, flatternde Enden. Zu Füßen des Kreuzes, auf einem halbrunden Rasensockel, steht mit gefalteten Händen die Gestalt der Maria, die nach rechts abwärts blickt. Sie trägt langes Gewand und langen, weiten Mantel und Schleier. Freiplastische Gruppe. Alte Fassung: Maria: Mantel Gold, Futter blau auf Silbergrund; Gewand Silber. Christus: Fleischfarbe graurosa; Lendentuch Gold, Futter blau auf Silbergrund; Astkreuz dunkelbraun; Sockel rot, blau, teilvergoldet. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1540. Lindenholz. Höhe mit Sockel 96 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 74, Tafel 41. TAFEL 43 (Bayerisch, wohl München 1540)|KREUZIGUNGSGRUPPE. Christus am Kreuz und die trauernde Maria. An einem Astkreuz, dessen Fußende in einer achteckigen, mehrfach profilierten Standplatte befestigt ist, hängt der Kruzifixus mit übereinandergenagelten Füßen. Der Oberkörper ist, wie der Kopf, nach links geneigt. Auf dem von Locken um; rahmten, bärtigen Haupt sitzt die Dornenkrone. Das Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet; es hat zwei lebhaft bewegte, in Knorpelfalten gelegte, flatternde Enden. Zu Füßen des Kreuzes, auf einem halbrunden Rasensockel, steht mit gefalteten Händen die Gestalt der Maria, die nach rechts abwärts blickt. Sie trägt langes Gewand und langen, weiten Mantel und Schleier. Freiplastische Gruppe. Alte Fassung: Maria: Mantel Gold, Futter blau auf Silbergrund; Gewand Silber. Christus: Fleischfarbe graurosa; Lendentuch Gold, Futter blau auf Silbergrund; Astkreuz dunkelbraun; Sockel rot, blau, teilvergoldet. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1540. Lindenholz. Höhe mit Sockel 96 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 74, Tafel 41. TAFEL 43]] réalisée par Bayerisch, wohl München 1540, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 700 sch. [141]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RITTER GEORG ALS DRACHENTÖTER, aus der Gegend von Moosburg in Niederbayern. Der mit vollständiger Rüstung bekleidete Ritter steht mit beiden Füßen auf dem am Boden sich krümmenden Drachen, dessen Schwanzende er mit der rechten Hand festhält. Seine Linke umfaßt den Schaft einer hohen Lanze, an deren oberem Teil ein flatternder Fahnenwimpel befestigt ist. Das mit einem Barett bedeckte Haupt des Ritters ist von Locken umrahmt und nach rechts abwärts geneigt. Teile der Lanze und des Wimpels ergänzt. Freiplastische Gruppe. Rückseite vernachlässigt. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1500. Lindenholz. Höhe der Ritterfigur 183 cm, Höhe bis zum Ende der Lanze 245 cm. Das aus Moosburg in Niederbayern stammende Bildwerk ist wohl die Arbeit eines Landshuter Meisters aus der Zeit vor Leinbergers Auftreten. Als Vergleich kann der Grabstein des Michael v. Traun (DR 1500) in der Herrenkapelle des Passauer Doms herangezogen werden. Vgl. Die Kunstdenkmäler von Niederbayern, III., Stadt Passau, Tafel XVII und S. 163. Nach neueren Mitteilungen stammt das Bildwerk ursprünglich aus dem von Herzog Georg dem Reichen gestifteten Spital in Pattendorf, Bez.-Amt Rottenburg (Niederbayern). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 65 und Tafel 37. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 300. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 28 (Niederländisch, wohl Landshut, um 1500)|RITTER GEORG ALS DRACHENTÖTER, aus der Gegend von Moosburg in Niederbayern. Der mit vollständiger Rüstung bekleidete Ritter steht mit beiden Füßen auf dem am Boden sich krümmenden Drachen, dessen Schwanzende er mit der rechten Hand festhält. Seine Linke umfaßt den Schaft einer hohen Lanze, an deren oberem Teil ein flatternder Fahnenwimpel befestigt ist. Das mit einem Barett bedeckte Haupt des Ritters ist von Locken umrahmt und nach rechts abwärts geneigt. Teile der Lanze und des Wimpels ergänzt. Freiplastische Gruppe. Rückseite vernachlässigt. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1500. Lindenholz. Höhe der Ritterfigur 183 cm, Höhe bis zum Ende der Lanze 245 cm. Das aus Moosburg in Niederbayern stammende Bildwerk ist wohl die Arbeit eines Landshuter Meisters aus der Zeit vor Leinbergers Auftreten. Als Vergleich kann der Grabstein des Michael v. Traun (DR 1500) in der Herrenkapelle des Passauer Doms herangezogen werden. Vgl. Die Kunstdenkmäler von Niederbayern, III., Stadt Passau, Tafel XVII und S. 163. Nach neueren Mitteilungen stammt das Bildwerk ursprünglich aus dem von Herzog Georg dem Reichen gestifteten Spital in Pattendorf, Bez.-Amt Rottenburg (Niederbayern). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 65 und Tafel 37. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 300. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 28]] réalisée par Niederländisch, wohl Landshut, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [142]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BETENDE MARIA, stehend, mit langem, modisch gegürtetem Gewand, das in langgezogenen Falten vom Gürtel aus zu Boden fällt. Die Hände sind von der Brust zum Gebet gefaltet. Das in der Mitte gescheitelte Haar fällt zu beiden Seiten der Maria in welligen Locken bis zur Kniehöhe herab. Den Halsausschnitt und die Ärmelsäume umzieht eine plastisch ausgeführte Borte von goldenen geflammten Zacken. Dieses Merkmal weist, wie der ganze Typus des Bildwerkes, darauf hin, daß wir es mit einer "Maria im Ährenkleide" zu tun haben, obwohl von den Ähren auf der blauen Fassung des Kleides nichts mehr zu sehen ist. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Fassung: Mantel blau mit Goldsaum; Haare dunkelbraun. NIEDERBAYERISCH (?), GEGEN 1500. Lindenholz, Höhe 79 cm. Vgl. Josephi, Die Werke plastischer Kunst (1910), Nr. 265, Tafel 25. Dort weitere Literatur. Vgl. auch: Kataloge des Bayerischen Nationalmuseums, Band VI, (1896), Nr. 831. TAFEL 40 (Niederbayerisch (?), gegen 1500)|BETENDE MARIA, stehend, mit langem, modisch gegürtetem Gewand, das in langgezogenen Falten vom Gürtel aus zu Boden fällt. Die Hände sind von der Brust zum Gebet gefaltet. Das in der Mitte gescheitelte Haar fällt zu beiden Seiten der Maria in welligen Locken bis zur Kniehöhe herab. Den Halsausschnitt und die Ärmelsäume umzieht eine plastisch ausgeführte Borte von goldenen geflammten Zacken. Dieses Merkmal weist, wie der ganze Typus des Bildwerkes, darauf hin, daß wir es mit einer "Maria im Ährenkleide" zu tun haben, obwohl von den Ähren auf der blauen Fassung des Kleides nichts mehr zu sehen ist. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste alter Fassung: Mantel blau mit Goldsaum; Haare dunkelbraun. NIEDERBAYERISCH (?), GEGEN 1500. Lindenholz, Höhe 79 cm. Vgl. Josephi, Die Werke plastischer Kunst (1910), Nr. 265, Tafel 25. Dort weitere Literatur. Vgl. auch: Kataloge des Bayerischen Nationalmuseums, Band VI, (1896), Nr. 831. TAFEL 40]] réalisée par Niederbayerisch (?), gegen 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1000 sch. [143]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KÖNIG, VON EINER ANBETUNG DES KINDES. Aus Niederbayern. Schmale, lange Gestalt, frontal in leicht ausgebogener Haltung auf einem Rasens sockel stehend. Das enganliegende Gewand steht auf der oberen Kante des Sockels auf; der Mantel, der Brust und Leib des Königs frei läßt, fällt in großen Faltenzügen bis über den Rasensockel hernieder. Das bärtige Haupt ist mit einem Barett bedeckt; die Linke hält einen Maserholzbecher, die erhobene Rechte den unteren Teil eines abgebrochenen Zepters. Statue. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung: Mantel rot, Mütze rot, Gewand blaugrün. Haare braun. Sockel grün. NIEDERBAYERISCH, (GEGEND VON DINGOLFING), UM 1510. Lindenholz. Höhe 76 cm. Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Dr. Richard Oertel (1913), Nr. 117, Tafel 71b. Die dort abgebildete Wandgruppe der Anna selbdritt aus der Zeit um 1520 ist verwandt mit unserem Bildwerk, das wohl zeitlich und stilistisch als Vorstufe der Anna selbdritt gelten darf. TAFEL 15 (Niederbayerisch, (Gegend von Dingolfing), um 1510)|KÖNIG, VON EINER ANBETUNG DES KINDES. Aus Niederbayern. Schmale, lange Gestalt, frontal in leicht ausgebogener Haltung auf einem Rasens sockel stehend. Das enganliegende Gewand steht auf der oberen Kante des Sockels auf; der Mantel, der Brust und Leib des Königs frei läßt, fällt in großen Faltenzügen bis über den Rasensockel hernieder. Das bärtige Haupt ist mit einem Barett bedeckt; die Linke hält einen Maserholzbecher, die erhobene Rechte den unteren Teil eines abgebrochenen Zepters. Statue. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung: Mantel rot, Mütze rot, Gewand blaugrün. Haare braun. Sockel grün. NIEDERBAYERISCH, (GEGEND VON DINGOLFING), UM 1510. Lindenholz. Höhe 76 cm. Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Dr. Richard Oertel (1913), Nr. 117, Tafel 71b. Die dort abgebildete Wandgruppe der Anna selbdritt aus der Zeit um 1520 ist verwandt mit unserem Bildwerk, das wohl zeitlich und stilistisch als Vorstufe der Anna selbdritt gelten darf. TAFEL 15]] réalisée par Niederbayerisch, (Gegend von Dingolfing), um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [144]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. MARTIN ZU PFERDE. Aus Moosburg in Niederbayern. Der Heilige sitzt, bekleidet mit enganliegendem Gewand und weitem Mantel auf dem Pferd und dreht sich mit dem Oberkörper nach rechts. Die Rechte hält das Schwert, die Linke umfaßt das Mantelende. Das bartlose Haupt ist von Locken umrahmt. Er trägt ein Barett und spitze Schnabelschuhe. Kleinere Ausstückungen; ergänzt: die felsenartige Standplatte, das Schwert und die linke Hand des Heiligen. Es fehlt die Bettlergestalt, die wohl einst zu Füßen des Heiligen gekniet hat. Freiplastische Gruppe. Rückseite bearbeitet. Beträchtliche Reste alter Bemalung: Mantel rot mit Goldsaum; Gewand in grüner Lüsterfarbe mit Goldsaum; Barett und Pferd dunkelgrau; Haare dunkelbraun. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1510. Lindenholz. Höhe 128 cm. Aus Moosburg in Niederbayern stammend. TAFEL 27 (Niederbayerisch, wohl Landschut, um 1510)|HL. MARTIN ZU PFERDE. Aus Moosburg in Niederbayern. Der Heilige sitzt, bekleidet mit enganliegendem Gewand und weitem Mantel auf dem Pferd und dreht sich mit dem Oberkörper nach rechts. Die Rechte hält das Schwert, die Linke umfaßt das Mantelende. Das bartlose Haupt ist von Locken umrahmt. Er trägt ein Barett und spitze Schnabelschuhe. Kleinere Ausstückungen; ergänzt: die felsenartige Standplatte, das Schwert und die linke Hand des Heiligen. Es fehlt die Bettlergestalt, die wohl einst zu Füßen des Heiligen gekniet hat. Freiplastische Gruppe. Rückseite bearbeitet. Beträchtliche Reste alter Bemalung: Mantel rot mit Goldsaum; Gewand in grüner Lüsterfarbe mit Goldsaum; Barett und Pferd dunkelgrau; Haare dunkelbraun. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1510. Lindenholz. Höhe 128 cm. Aus Moosburg in Niederbayern stammend. TAFEL 27]] réalisée par Niederbayerisch, wohl Landschut, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [145]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE. Aus Landshut (Niederbayern). Die Gestalt steht auf hohem, profiliertem, sechseckigem Sockel. Die Linke ist in Hüfthöhe erhoben und hielt einst ein (jetzt verlorengegangenes) Attribut. Das in der Mitte gescheitelte Haar fällt, unter einem Kronreif hervorquellend, in welligen Locken über die Schultern und den Rücken herab. Kleidung: Langes Gewand und langer Mantel, der mit der rechten Hand emporgerafft wird. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Schöne Reste alter Fassung: Mantel Gold; Kleid Silber. NIEDERBAYERISCH, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 45 cm. Aus Landshut stammend. Das Bildwerk zeigt Anklänge an oberrheinische Arbeiten vom Ende des 15. Jahrhunderts. Man würde es, wenn die Herkunft aus Landshut nicht gesichert wäre, nicht ohne weiteres der niederbayerischen Schule zuschreiben. TAFEL 40 (Niederbayerisch, gegen 1500)|WEIBLICHE HEILIGE. Aus Landshut (Niederbayern). Die Gestalt steht auf hohem, profiliertem, sechseckigem Sockel. Die Linke ist in Hüfthöhe erhoben und hielt einst ein (jetzt verlorengegangenes) Attribut. Das in der Mitte gescheitelte Haar fällt, unter einem Kronreif hervorquellend, in welligen Locken über die Schultern und den Rücken herab. Kleidung: Langes Gewand und langer Mantel, der mit der rechten Hand emporgerafft wird. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Schöne Reste alter Fassung: Mantel Gold; Kleid Silber. NIEDERBAYERISCH, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 45 cm. Aus Landshut stammend. Das Bildwerk zeigt Anklänge an oberrheinische Arbeiten vom Ende des 15. Jahrhunderts. Man würde es, wenn die Herkunft aus Landshut nicht gesichert wäre, nicht ohne weiteres der niederbayerischen Schule zuschreiben. TAFEL 40]] réalisée par Niederbayerisch, gegen 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [146]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. MARTIN MIT DEM BETTLER. Der Heilige steht frontal auf einem gewölbten Rasensockel. Er trägt vornehme Renaissancetracht: über dem mit Rüschen verzierten, in Fältchen gelegten Hemd enganliegendes Wams und kurzes, bis über die Knie reichendes Untergewand, darüber den in reichen Knorpelfalten herabfallenden, kurzen Mantel. Mit der Linken ist das Mantelende emporgerafft, das die Rechte eben mit dem Schwert abschneidet. Das lockenumrahmte Haupt ist mit einem flachen Barett bedeckt. Zu Füßen des hl. Martin kniet auf dem Rasensockel die Gestalt des Bettlers mit nacktem Oberkörper und langem Untergewand. Er trägt auf seinem Rücken eine von einem Schulterriemen gehaltene Tasche und blickt mit bittender Gebärde zu dem Heiligen empor. Es fehlen: Die Spitze des Schwertes, die beiden Arme und ein Fuß des Bettlers. Schreinfigur mit flacher Rückseite. Schöne Reste alter Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau auf Silber; Gewand einst wohl Silber, ebenso die Strümpfe und Schuhe; Barett Gold; Haare dunkelbraun; Kleid des Bettlers grau; Sockel grüngrau. HANS LEINBERGER, (NACHWEISBAR IN LANDSHUT, NIEDERBAYERN 1516-1530). Lindenholz. Höhe 107 cm. Das Bildwerk ist in der Gestaltung des Gesichtes und in der Faltengebung des Gewandes nahe verwandt dem hl. Kastulus vom Hochaltar der Münsterkirche zu Moosburg. Es gehört stilistisch in die Zeit nach den Arbeiten an den Moosburger Altären, also in die Jahre von 1516-20. Vgl. Feulner, Meisterwerke der Plastik Bayerns, Band III: Hans Leinbergers Moosburger Altar, Tafel II, III. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 55, Tafel 31. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 298, 299. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 29 (Hans Leinberger)|HL. MARTIN MIT DEM BETTLER. Der Heilige steht frontal auf einem gewölbten Rasensockel. Er trägt vornehme Renaissancetracht: über dem mit Rüschen verzierten, in Fältchen gelegten Hemd enganliegendes Wams und kurzes, bis über die Knie reichendes Untergewand, darüber den in reichen Knorpelfalten herabfallenden, kurzen Mantel. Mit der Linken ist das Mantelende emporgerafft, das die Rechte eben mit dem Schwert abschneidet. Das lockenumrahmte Haupt ist mit einem flachen Barett bedeckt. Zu Füßen des hl. Martin kniet auf dem Rasensockel die Gestalt des Bettlers mit nacktem Oberkörper und langem Untergewand. Er trägt auf seinem Rücken eine von einem Schulterriemen gehaltene Tasche und blickt mit bittender Gebärde zu dem Heiligen empor. Es fehlen: Die Spitze des Schwertes, die beiden Arme und ein Fuß des Bettlers. Schreinfigur mit flacher Rückseite. Schöne Reste alter Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau auf Silber; Gewand einst wohl Silber, ebenso die Strümpfe und Schuhe; Barett Gold; Haare dunkelbraun; Kleid des Bettlers grau; Sockel grüngrau. HANS LEINBERGER, (NACHWEISBAR IN LANDSHUT, NIEDERBAYERN 1516-1530). Lindenholz. Höhe 107 cm. Das Bildwerk ist in der Gestaltung des Gesichtes und in der Faltengebung des Gewandes nahe verwandt dem hl. Kastulus vom Hochaltar der Münsterkirche zu Moosburg. Es gehört stilistisch in die Zeit nach den Arbeiten an den Moosburger Altären, also in die Jahre von 1516-20. Vgl. Feulner, Meisterwerke der Plastik Bayerns, Band III: Hans Leinbergers Moosburger Altar, Tafel II, III. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 55, Tafel 31. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 298, 299. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstwerke" und darf ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 29]] réalisée par Hans Leinberger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 46000 sch. [147]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen, in den Knien straff durchgedrückten Beinen und übereinandergenagelten Füßen an einem Kreuz hängend. Das mit einer mächtigen Dornenkrone bedeckte, bärtige Haupt ist in Profilansicht nach links abwärts geneigt. Über dem Kopf des Kruzifixus ist auf dem oberen Ende des Kreuz-Längsbalkens die alte Schrifttafel befestigt. Das in breite Knorpelfalten gelegte Schamtuch zeigt zwei stark bewegte, flatternde Enden, von denen das eine über die Körpermitte herabhängt, während das andere von der linken Hüfte aus in einem Halbbogen nach rechts ausschwingt. Das Haupt und der ganze Körper sind mit größter Sorgfalt durchgebildet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. HANS LEINBERGER, (NACHWEISBAR IN LANDSHUT, NIEDERBAYERN, 1516-1530). Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 126 cm, des Kreuzes 214 cm. Das Bildwerk, das nach der Durchbildung des mächtigen Körpers und des reich bewegten Schamtuches zweifellos eine eigenhändige Arbeit Hans Leinbergers ist, zeigt in der Gestaltung des Kopfes und Gesichtes außerordentliche Verwandtschaft mit dem "Christus in der Rast" des Deutschen Museums zu Berlin, den Feulner "um 1525" datiert. Vgl. Feulner, Die deutsche Plastik des 16. Jahrhunderts (1926), Tafel 66. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 58, 60, Tafel 33, 34. TAFEL 30 (Hans Leinberger)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen, in den Knien straff durchgedrückten Beinen und übereinandergenagelten Füßen an einem Kreuz hängend. Das mit einer mächtigen Dornenkrone bedeckte, bärtige Haupt ist in Profilansicht nach links abwärts geneigt. Über dem Kopf des Kruzifixus ist auf dem oberen Ende des Kreuz-Längsbalkens die alte Schrifttafel befestigt. Das in breite Knorpelfalten gelegte Schamtuch zeigt zwei stark bewegte, flatternde Enden, von denen das eine über die Körpermitte herabhängt, während das andere von der linken Hüfte aus in einem Halbbogen nach rechts ausschwingt. Das Haupt und der ganze Körper sind mit größter Sorgfalt durchgebildet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. HANS LEINBERGER, (NACHWEISBAR IN LANDSHUT, NIEDERBAYERN, 1516-1530). Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 126 cm, des Kreuzes 214 cm. Das Bildwerk, das nach der Durchbildung des mächtigen Körpers und des reich bewegten Schamtuches zweifellos eine eigenhändige Arbeit Hans Leinbergers ist, zeigt in der Gestaltung des Kopfes und Gesichtes außerordentliche Verwandtschaft mit dem "Christus in der Rast" des Deutschen Museums zu Berlin, den Feulner "um 1525" datiert. Vgl. Feulner, Die deutsche Plastik des 16. Jahrhunderts (1926), Tafel 66. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 58, 60, Tafel 33, 34. TAFEL 30]] réalisée par Hans Leinberger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 24000 sch. [148]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. NIKOLAUS, auf profiliertem Sockel stehend, mit Alba, Dalmatika und Pluviale bekleidet, die Mitra auf dem nach rechts abwärts blickenden Haupt. Mit der Linken hält der Heilige in Hüfthöhe sein Attribut, ein Buch mit drei Äpfeln. Die rechte Hand, die wohl einst den Bischofsstab umfaßte, ist abgebrochen. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. HANS LEINBERGER, LANDSHUT, UM 1527. Apfelbaumholz. Höhe mit dem alten Sockel 35 cm. Das zierliche, sorgfältig durchgeführte Bildwerk zeigt den eckiger werdenden Knorpelfaltenstil der Spätzeit des Meisters, der sich vor allem in dem Schmerzensmann des Städtischen Museums zu Weilheim ausdrückt. Vgl. Gert von der Osten, Der Schmerzensmann, Typengeschichte eines deutschen Andachtsbildwerkes (1935), Abb. 158, Tafel 82. Vgl. Buchheit und Lill, Katalog der Leinberger-Ausstellung in Landshut 1932, Nr. 23 mit Abbildung. Dort wird der Weilheimer Schmerzensmann als stilverwandt mit der Pollinger Muttergottes erkannt und als eigenhändige Arbeit Hans Leinbergers aus der Zeit um 1527 bezeichnet. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 61, Tafel 35. TAFEL 32 (Hans Leinberger)|HL. NIKOLAUS, auf profiliertem Sockel stehend, mit Alba, Dalmatika und Pluviale bekleidet, die Mitra auf dem nach rechts abwärts blickenden Haupt. Mit der Linken hält der Heilige in Hüfthöhe sein Attribut, ein Buch mit drei Äpfeln. Die rechte Hand, die wohl einst den Bischofsstab umfaßte, ist abgebrochen. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. HANS LEINBERGER, LANDSHUT, UM 1527. Apfelbaumholz. Höhe mit dem alten Sockel 35 cm. Das zierliche, sorgfältig durchgeführte Bildwerk zeigt den eckiger werdenden Knorpelfaltenstil der Spätzeit des Meisters, der sich vor allem in dem Schmerzensmann des Städtischen Museums zu Weilheim ausdrückt. Vgl. Gert von der Osten, Der Schmerzensmann, Typengeschichte eines deutschen Andachtsbildwerkes (1935), Abb. 158, Tafel 82. Vgl. Buchheit und Lill, Katalog der Leinberger-Ausstellung in Landshut 1932, Nr. 23 mit Abbildung. Dort wird der Weilheimer Schmerzensmann als stilverwandt mit der Pollinger Muttergottes erkannt und als eigenhändige Arbeit Hans Leinbergers aus der Zeit um 1527 bezeichnet. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 61, Tafel 35. TAFEL 32]] réalisée par Hans Leinberger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 6000 sch. [149]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE BÜSTE (Maria oder Heilige). Auf profiliertem, flachem, sechseckigem Sockel erhebt sich das Brustbild einer Frau in hochgeschlossenem Gewand und halboffenem, mit einer ovalen Schließe versehenem Mantel. Auf dem Haupt ein Blattkranz; das in der Mitte gescheitelte Haar fällt in einzelnen langen Strähnen hernieder. Der Kopf ist nach rechts geneigt, der Mund geöffnet. Hochrelief. Rückseite abgeflacht und ausgehöhlt. Reste alter, z. T. übergangener Bemalung: Haare braun; Kranz grün; alte Gesichtsfassung mit roten Lippen; Mantel blau mit Silberrand; Sockelplatte rot=blau. WERKSTATT DES HANS LEINBERGER, LANDSHUT, UM 1520-25. Lindenholz. Höhe 43 cm. Das Bildwerk hat im Gesichtsausdruck große Ähnlichkeit mit dem Gesicht der sitzenden Maria von Hans Leinberger im Deutschen Museum zu Berlin. Es ist im Faltenwurf etwas schematisch durchgeführt, so daß man es nicht mit voller Überzeugung als eigenhändige Arbeit des Meisters ansprechen kann. Doch wird wohl das ausdrucksvolle Gesicht vom Meister selbst übergangen worden sein. Vgl. Demmler, Die Bildwerke in Holz, Stein und Ton (Großplastik), Die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin (1930), Band III, Nr. 5557. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 56, Tafel 32. TAFEL 31 (Hans Leinberger)|WEIBLICHE BÜSTE (Maria oder Heilige). Auf profiliertem, flachem, sechseckigem Sockel erhebt sich das Brustbild einer Frau in hochgeschlossenem Gewand und halboffenem, mit einer ovalen Schließe versehenem Mantel. Auf dem Haupt ein Blattkranz; das in der Mitte gescheitelte Haar fällt in einzelnen langen Strähnen hernieder. Der Kopf ist nach rechts geneigt, der Mund geöffnet. Hochrelief. Rückseite abgeflacht und ausgehöhlt. Reste alter, z. T. übergangener Bemalung: Haare braun; Kranz grün; alte Gesichtsfassung mit roten Lippen; Mantel blau mit Silberrand; Sockelplatte rot=blau. WERKSTATT DES HANS LEINBERGER, LANDSHUT, UM 1520-25. Lindenholz. Höhe 43 cm. Das Bildwerk hat im Gesichtsausdruck große Ähnlichkeit mit dem Gesicht der sitzenden Maria von Hans Leinberger im Deutschen Museum zu Berlin. Es ist im Faltenwurf etwas schematisch durchgeführt, so daß man es nicht mit voller Überzeugung als eigenhändige Arbeit des Meisters ansprechen kann. Doch wird wohl das ausdrucksvolle Gesicht vom Meister selbst übergangen worden sein. Vgl. Demmler, Die Bildwerke in Holz, Stein und Ton (Großplastik), Die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin (1930), Band III, Nr. 5557. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 56, Tafel 32. TAFEL 31]] réalisée par Hans Leinberger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [150]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÄRTIGER MANN MIT KIND (Sippendarstellung?). Der auf einem Rasensockel stehende Mann hält mit der Rechten den linken Arm des zu seiner Rechten am Boden stehenden, nackten Kindes. Der Mann trägt halblanges, gegürtetes Kleid und gleichlangen Mantel mit aufgeschlagenem Kragen, dazu breitrandige, große, runde Mütze. Das schmale Gesicht ist bärtig und wird von strähnig herabfallendem Haar umrahmt. Die Linke des Mannes ist erhoben und hielt einst ein jetzt verlorengegangenes Attribut. Teile der Füße des Mannes und des Kindes und der Rasensockel ergänzt. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Mantel Gold, Futter blau; Haare schwarz; Mütze dunkelbraun. MEISTER VON DINGOLFING, NIEDERBAYERN UM 1520. Lindenholz. Höhe 84 cm. Aus dem Fischerhaus in Landshut stammend. Vgl. Katalog der Leinberger-Ausstellung in Landshut 1932 von Buchheit und Lill, Nr. 118, 119. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik II. Band (1927), S. 181 und Abb. 171. (Johannes Ev.). Dort werden die beiden Johannesfiguren der Pfarrkirche zu Dingolfing noch Hans Leinberger selbst zugewiesen. Vgl. Feulner, Meisterwerke der Plastik Bayerns III, Hans Leinbergers Moosburger Altar. München o. J. (1923). Seite 11, Sp. 2, Abb. 17. Vgl. Eckardt, Die Kunstdenkmäler von Niederbayern, Heft I, München, 1912, Abb. 12 (Johannes d.T.). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 64, Tafel 36. TAFEL 32 (Meister von Dingolfing)|BÄRTIGER MANN MIT KIND (Sippendarstellung?). Der auf einem Rasensockel stehende Mann hält mit der Rechten den linken Arm des zu seiner Rechten am Boden stehenden, nackten Kindes. Der Mann trägt halblanges, gegürtetes Kleid und gleichlangen Mantel mit aufgeschlagenem Kragen, dazu breitrandige, große, runde Mütze. Das schmale Gesicht ist bärtig und wird von strähnig herabfallendem Haar umrahmt. Die Linke des Mannes ist erhoben und hielt einst ein jetzt verlorengegangenes Attribut. Teile der Füße des Mannes und des Kindes und der Rasensockel ergänzt. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Mantel Gold, Futter blau; Haare schwarz; Mütze dunkelbraun. MEISTER VON DINGOLFING, NIEDERBAYERN UM 1520. Lindenholz. Höhe 84 cm. Aus dem Fischerhaus in Landshut stammend. Vgl. Katalog der Leinberger-Ausstellung in Landshut 1932 von Buchheit und Lill, Nr. 118, 119. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik II. Band (1927), S. 181 und Abb. 171. (Johannes Ev.). Dort werden die beiden Johannesfiguren der Pfarrkirche zu Dingolfing noch Hans Leinberger selbst zugewiesen. Vgl. Feulner, Meisterwerke der Plastik Bayerns III, Hans Leinbergers Moosburger Altar. München o. J. (1923). Seite 11, Sp. 2, Abb. 17. Vgl. Eckardt, Die Kunstdenkmäler von Niederbayern, Heft I, München, 1912, Abb. 12 (Johannes d.T.). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 64, Tafel 36. TAFEL 32]] réalisée par Meister von Dingolfing, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3100 sch. [151]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VESPERBILD. Maria kniet, nach rechts gewendet, auf einem halbrunden Rasensockel und hält mit beiden Armen den schräg aufgerichteten Leichnam Christi. Sie ist bekleidet mit enganliegendem Gewand, weitem Mantel und Kopftuch. Der Leichnam Christi trägt ein Lendentuch. Hochrelief artige Gruppe. Rückseite flach. Spuren alter Bemalung: Mantel grün-blau; Kleid rot; Lendentuch des Christus und Kopftuch der Maria weiß; Rasensockel grün. LANDSHUT, NIEDERBAYERN, UM 1520-25. AUS DEM SCHULKREISE DES HANS LEINBERGER. Lindenholz. Höhe 47 cm. Vgl. Katalog der Leinberger-Ausstellung in Landshut (1932) von Hans Buchheit und Georg Lill, Nr. 52, Seite 36 und die zugehörige Abbildung des Vesperbildes aus der Pfarrkirche zu Gerzen, das der Werkstatt Hans Leinbergers zugeschrieben ist. Vgl. die Kunstdenkmäler von Niederbayern, Heft V, Bez.-Amt Vilsbiburg, S. 118, Abb. 81. (Abbildung vor der Neufassung.) TAFEL 35 (Hans Leinberger)|VESPERBILD. Maria kniet, nach rechts gewendet, auf einem halbrunden Rasensockel und hält mit beiden Armen den schräg aufgerichteten Leichnam Christi. Sie ist bekleidet mit enganliegendem Gewand, weitem Mantel und Kopftuch. Der Leichnam Christi trägt ein Lendentuch. Hochrelief artige Gruppe. Rückseite flach. Spuren alter Bemalung: Mantel grün-blau; Kleid rot; Lendentuch des Christus und Kopftuch der Maria weiß; Rasensockel grün. LANDSHUT, NIEDERBAYERN, UM 1520-25. AUS DEM SCHULKREISE DES HANS LEINBERGER. Lindenholz. Höhe 47 cm. Vgl. Katalog der Leinberger-Ausstellung in Landshut (1932) von Hans Buchheit und Georg Lill, Nr. 52, Seite 36 und die zugehörige Abbildung des Vesperbildes aus der Pfarrkirche zu Gerzen, das der Werkstatt Hans Leinbergers zugeschrieben ist. Vgl. die Kunstdenkmäler von Niederbayern, Heft V, Bez.-Amt Vilsbiburg, S. 118, Abb. 81. (Abbildung vor der Neufassung.) TAFEL 35]] réalisée par Hans Leinberger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1600 sch. [152]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit waagrecht ausgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen, schwarzen Kreuz hängend. Das bärtige, von Locken umrahmte Haupt ist frontal nach abwärts geneigt. Das in Knorpelfalten gelegte Schamtuch ist an der linken Hüfte geknotet, das flatternde Ende hängt in bauschigen Falten von der rechten Hüfte senkrecht nach abwärts. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Schöne Reste alter Fassung: Fleischfarbe grau; Haare schwarz; Dornenkrone schwarz; Schamtuch Gold; Kreuz schwarz. NIEDERBAYERISCH, UM 1520. AUS DEM UMKREISE HANS LEINBERGERS. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 92 cm, des Kreuzes 162 cm. (Hans Leinberger)|KRUZIFIXUS, mit waagrecht ausgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen, schwarzen Kreuz hängend. Das bärtige, von Locken umrahmte Haupt ist frontal nach abwärts geneigt. Das in Knorpelfalten gelegte Schamtuch ist an der linken Hüfte geknotet, das flatternde Ende hängt in bauschigen Falten von der rechten Hüfte senkrecht nach abwärts. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Schöne Reste alter Fassung: Fleischfarbe grau; Haare schwarz; Dornenkrone schwarz; Schamtuch Gold; Kreuz schwarz. NIEDERBAYERISCH, UM 1520. AUS DEM UMKREISE HANS LEINBERGERS. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 92 cm, des Kreuzes 162 cm.]] réalisée par Hans Leinberger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [153]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[JOHANNES EVANGELIST, mit langem Gewand und weitem, langem Mantel bekleidet, in Rechtswendung auf einem Rasensockel stehend. Das bartlose, von Locken umrahmte Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Die rechte Hand trägt einen Kelch, die Linke ein aufgeschlagenes Buch. Das Haar z. T. durch Wurmfraß zerstört. Einzelne Teile der Gewandfalten, des Sockels und die beiden Hände mit den Attributen sind spätere Ergänzung. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste von Bemalung: Mantel rot, Futter grün; Kleid grün. LANDSHUTER SCHULE, UM 1520. Lindenholz. Höhe 103 cm. (Landshuter Schule, um 1520)|JOHANNES EVANGELIST, mit langem Gewand und weitem, langem Mantel bekleidet, in Rechtswendung auf einem Rasensockel stehend. Das bartlose, von Locken umrahmte Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Die rechte Hand trägt einen Kelch, die Linke ein aufgeschlagenes Buch. Das Haar z. T. durch Wurmfraß zerstört. Einzelne Teile der Gewandfalten, des Sockels und die beiden Hände mit den Attributen sind spätere Ergänzung. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste von Bemalung: Mantel rot, Futter grün; Kleid grün. LANDSHUTER SCHULE, UM 1520. Lindenholz. Höhe 103 cm.]] réalisée par Landshuter Schule, um 1520, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 800 sch. [154]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, stehend in langem, gegürtetem Gewand und weitem, bauschigem Mantel. Unter ihrem linken Fuße die Mondsichel. Maria trägt auf der rechten Hand das nackte Kind, das sich mit greifender Gebärde nach rechts wendet, der Weltkugel zu, die Maria mit der Linken umfaßt hält. Unter der Krone fällt zu beiden Seiten der breiten, hohen Stirn das Haar in langen, gewellten Strähnen auf den Mantel herab. Der Schleier kommt von der Rückseite des Hauptes der Maria hervor und legt sich in einem Bogen über die Brust. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau; Gewand Silber mit Goldrändern; Haare braun; Schleier grau; Mondsichel Silber; Rasensockel grün. Die Krone der Maria später erneuert. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1520. Lindenholz. Höhe 132 cm. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, Band II (1927), S. 1 ff. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 69, Tafel 39. TAFEL 33 (Meister der Altöttinger Türen)|MARIA MIT DEM KINDE, stehend in langem, gegürtetem Gewand und weitem, bauschigem Mantel. Unter ihrem linken Fuße die Mondsichel. Maria trägt auf der rechten Hand das nackte Kind, das sich mit greifender Gebärde nach rechts wendet, der Weltkugel zu, die Maria mit der Linken umfaßt hält. Unter der Krone fällt zu beiden Seiten der breiten, hohen Stirn das Haar in langen, gewellten Strähnen auf den Mantel herab. Der Schleier kommt von der Rückseite des Hauptes der Maria hervor und legt sich in einem Bogen über die Brust. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau; Gewand Silber mit Goldrändern; Haare braun; Schleier grau; Mondsichel Silber; Rasensockel grün. Die Krone der Maria später erneuert. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1520. Lindenholz. Höhe 132 cm. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, Band II (1927), S. 1 ff. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 69, Tafel 39. TAFEL 33]] réalisée par Meister der Altöttinger Türen, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 4000 sch. [155]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL, die einstmals wohl eine Krone über einer Marienfigur gehalten haben. Beide Engel nach oben blickend, die Arme mit den (abgebrochenen) Händen in tragender Gebärde ausstreckend. Bauschiges Untergewand, Obergewand mit offenen Ärmeln. Die beiden Flügelpaare fehlen. Statuetten. Rückseiten vernachlässigt. Gut erhaltene Fassung und Vergoldung: Gewänder Gold, Futter einst blau; Haare dunkelbraun. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1515-20. Lindenholz. Höhe 38 und 37 cm. Abgebildet bei Wolter, Bayerische Plastik des 15. und 16. Jahrhunderts, in: Festschrift des Münchener Altertumsvereins (1914), Abb. 72. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 67, 68, Tafel 38. TAFEL 34 (Meister der Altöttinger Türen)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL, die einstmals wohl eine Krone über einer Marienfigur gehalten haben. Beide Engel nach oben blickend, die Arme mit den (abgebrochenen) Händen in tragender Gebärde ausstreckend. Bauschiges Untergewand, Obergewand mit offenen Ärmeln. Die beiden Flügelpaare fehlen. Statuetten. Rückseiten vernachlässigt. Gut erhaltene Fassung und Vergoldung: Gewänder Gold, Futter einst blau; Haare dunkelbraun. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1515-20. Lindenholz. Höhe 38 und 37 cm. Abgebildet bei Wolter, Bayerische Plastik des 15. und 16. Jahrhunderts, in: Festschrift des Münchener Altertumsvereins (1914), Abb. 72. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 67, 68, Tafel 38. TAFEL 34]] réalisée par Meister der Altöttinger Türen, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2200 sch. [156]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL, die einstmals wohl eine Krone über einer Marienfigur gehalten haben. Beide Engel nach oben blickend, die Arme mit den (abgebrochenen) Händen in tragender Gebärde ausstreckend. Bauschiges Untergewand, Obergewand mit offenen Ärmeln. Die beiden Flügelpaare fehlen. Statuetten. Rückseiten vernachlässigt. Gut erhaltene Fassung und Vergoldung: Gewänder Gold, Futter einst blau; Haare dunkelbraun. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1515-20. Lindenholz. Höhe 38 und 37 cm. Abgebildet bei Wolter, Bayerische Plastik des 15. und 16. Jahrhunderts, in: Festschrift des Münchener Altertumsvereins (1914), Abb. 72. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 67, 68, Tafel 38. TAFEL 34 (Meister der Altöttinger Türen)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL, die einstmals wohl eine Krone über einer Marienfigur gehalten haben. Beide Engel nach oben blickend, die Arme mit den (abgebrochenen) Händen in tragender Gebärde ausstreckend. Bauschiges Untergewand, Obergewand mit offenen Ärmeln. Die beiden Flügelpaare fehlen. Statuetten. Rückseiten vernachlässigt. Gut erhaltene Fassung und Vergoldung: Gewänder Gold, Futter einst blau; Haare dunkelbraun. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1515-20. Lindenholz. Höhe 38 und 37 cm. Abgebildet bei Wolter, Bayerische Plastik des 15. und 16. Jahrhunderts, in: Festschrift des Münchener Altertumsvereins (1914), Abb. 72. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 67, 68, Tafel 38. TAFEL 34]] réalisée par Meister der Altöttinger Türen, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2200 sch. [157]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KNIENDE WEIBLICHE HEILIGE. Die Gestalt ist auf Profilansicht geschnitzt und kniet, nach links gewendet, auf einem erneuerten, sechseckigen profilierten Sockel. Sie ist bekleidet mit enganliegendem Gewand und weitem, bauschigem Mantel. Das Haar fällt in einzelnen Strähnen über Brust und Schultern herab. Es fehlt die linke Hand; die erhobene Rechte ist beschädigt. Die Krone spätere Zutat. Wandstatue. Rückseite ausgehöhlt. Alte, z. T. übergangene Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau; Gewand Silber mit, roter und grüner Lüsterfärbe; Haare dunkel. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1520. Lindenholz. Höhe (mit Sockel) 91 cm. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, Band II (1927), S. 1 ff. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 62, Tafel 35. TAFEL 34 (Meister der Altöttinger Türen)|KNIENDE WEIBLICHE HEILIGE. Die Gestalt ist auf Profilansicht geschnitzt und kniet, nach links gewendet, auf einem erneuerten, sechseckigen profilierten Sockel. Sie ist bekleidet mit enganliegendem Gewand und weitem, bauschigem Mantel. Das Haar fällt in einzelnen Strähnen über Brust und Schultern herab. Es fehlt die linke Hand; die erhobene Rechte ist beschädigt. Die Krone spätere Zutat. Wandstatue. Rückseite ausgehöhlt. Alte, z. T. übergangene Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau; Gewand Silber mit, roter und grüner Lüsterfärbe; Haare dunkel. MEISTER DER ALTÖTTINGER TÜREN (MATTHÄUS KRENISS VON EGGENFELDEN), UM 1520. Lindenholz. Höhe (mit Sockel) 91 cm. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, Band II (1927), S. 1 ff. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 62, Tafel 35. TAFEL 34]] réalisée par Meister der Altöttinger Türen, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [158]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HIMMELFAHRTS-CHRISTUS. Christus steht frontal mit beiden Beinen auf einem Wolkensockel. Er ist bekleidet mit einem Lendentuch und weitem, über die Schultern gelegtem, langem Mantel, dessen Ende er mit dem linken Arm an den Leib gepreßt hält. Brust und Oberkörper bis zum Lendentuch sind nackt. Das bärtige Gesicht ist zu beiden Seiten von dem in welligen Locken herabhängenden, in der Mitte gescheitelten Haar eingeschlossen. Die (abgebrochene) Rechte war in Brusthöhe erhoben. Es fehlen die beiden Hände und Teile des rechten Fußes. Kleinere Abstoßungen am Wolkensockel und Mantel. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Reste und Spuren alter Bemalung: Mantel Silber mit roter Lüsterfarbe; Wolkensockel blau. SCHULE DES STEFAN ROTTALER (LANDSHUT), UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 27 cm. (Stefan Rottaler)|HIMMELFAHRTS-CHRISTUS. Christus steht frontal mit beiden Beinen auf einem Wolkensockel. Er ist bekleidet mit einem Lendentuch und weitem, über die Schultern gelegtem, langem Mantel, dessen Ende er mit dem linken Arm an den Leib gepreßt hält. Brust und Oberkörper bis zum Lendentuch sind nackt. Das bärtige Gesicht ist zu beiden Seiten von dem in welligen Locken herabhängenden, in der Mitte gescheitelten Haar eingeschlossen. Die (abgebrochene) Rechte war in Brusthöhe erhoben. Es fehlen die beiden Hände und Teile des rechten Fußes. Kleinere Abstoßungen am Wolkensockel und Mantel. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Reste und Spuren alter Bemalung: Mantel Silber mit roter Lüsterfarbe; Wolkensockel blau. SCHULE DES STEFAN ROTTALER (LANDSHUT), UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 27 cm.]] réalisée par Stefan Rottaler, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 260 sch. [159]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BRUSTBILD EINES MANNES (vermutlich Bildnis eines Unbekannten). Auf dem flächig behandelten, in Brusthöhe rund abgegrenzten Körper, der mit Gewand und Mantel bekleidet ist, sitzt das nach rechts blickende, von welligen Locken umrahmte, bartlose Haupt, das mit einem Barett bedeckt ist. Die Faltengebung des Mantels und Gewandes sind wohl später einmal weggeschnitten worden. Hochrelief artiges Rundbild. Rückseite flach. Alte, zum Teil erneuerte Fassung: Hintergrund Silber, schellackiert; Barett Silber auf braunrotem Bolus; Fleischfärbe; rote Lippen; Haare braun; Gewand weinrot mit Goldsaum am Halsausschnitt. KREIS DES STEFAN ROTTALER, LANDSHUT, UM 1520. Lindenholz. Durchmesser 27 cm. Der Kopf ist stilistisch und im Gesichtsausdruck verwandt mit den Köpfen der Reliefs vom Landshuter Vesperstuhl, den Halm dem Stefan Rottaler zugewiesen hat. Zwischen dem Kopf des Hl. Martin und unserem Reliefbildnis bestehen enge Beziehungen. Auch die allgemeine Ähnlichkeit mit den gemalten Bildnissen der "Donauschule" ist überraschend. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Abb. 150. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 66, Tafel 38. TAFEL 31 (Stefan Rottaler)|BRUSTBILD EINES MANNES (vermutlich Bildnis eines Unbekannten). Auf dem flächig behandelten, in Brusthöhe rund abgegrenzten Körper, der mit Gewand und Mantel bekleidet ist, sitzt das nach rechts blickende, von welligen Locken umrahmte, bartlose Haupt, das mit einem Barett bedeckt ist. Die Faltengebung des Mantels und Gewandes sind wohl später einmal weggeschnitten worden. Hochrelief artiges Rundbild. Rückseite flach. Alte, zum Teil erneuerte Fassung: Hintergrund Silber, schellackiert; Barett Silber auf braunrotem Bolus; Fleischfärbe; rote Lippen; Haare braun; Gewand weinrot mit Goldsaum am Halsausschnitt. KREIS DES STEFAN ROTTALER, LANDSHUT, UM 1520. Lindenholz. Durchmesser 27 cm. Der Kopf ist stilistisch und im Gesichtsausdruck verwandt mit den Köpfen der Reliefs vom Landshuter Vesperstuhl, den Halm dem Stefan Rottaler zugewiesen hat. Zwischen dem Kopf des Hl. Martin und unserem Reliefbildnis bestehen enge Beziehungen. Auch die allgemeine Ähnlichkeit mit den gemalten Bildnissen der "Donauschule" ist überraschend. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Abb. 150. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 66, Tafel 38. TAFEL 31]] réalisée par Stefan Rottaler, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1800 sch. [160]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA UND JOHANNES EV., von einer Kreuzigungsgruppe. Maria steht, mit langem Gewand, bauschig herabwallendem Mantel und Kopftuch bekleidet, auf einem halbrunden Rasensockel. Sie hat die beiden Hände über der Brust gekreuzt. Johannes Ev. steht in enganliegendem Gewand mit hohem Kragen und bauschigen Ärmeln, umhüllt von einem Mantel, der über seine rechte Schulter herabfällt und mit beiden Händen in Hüfthöhe gerafft wird. Unter seinem linken Arm trägt der Heilige, eng an den Körper gepreßt, das Buch. Er steht, wie Maria, auf einem halbrunden Rasensockel. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Bei der Maria Mantel Gold, Futter blau; Gewand rote Lüsterfarbe auf Silbergrund; Sockel grün; Kopftuch weiß. Bei Johannes Ev. Mantel Gold, Futter rot; Kleid grüne Lüsterfarbe auf Silbergrund; Haare braun; Buch schwarz; Sockel grün. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 19,5 cm. (Niederbayerisch, wohl Landshut, um 1540)|TRAUERNDE MARIA UND JOHANNES EV., von einer Kreuzigungsgruppe. Maria steht, mit langem Gewand, bauschig herabwallendem Mantel und Kopftuch bekleidet, auf einem halbrunden Rasensockel. Sie hat die beiden Hände über der Brust gekreuzt. Johannes Ev. steht in enganliegendem Gewand mit hohem Kragen und bauschigen Ärmeln, umhüllt von einem Mantel, der über seine rechte Schulter herabfällt und mit beiden Händen in Hüfthöhe gerafft wird. Unter seinem linken Arm trägt der Heilige, eng an den Körper gepreßt, das Buch. Er steht, wie Maria, auf einem halbrunden Rasensockel. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Bei der Maria Mantel Gold, Futter blau; Gewand rote Lüsterfarbe auf Silbergrund; Sockel grün; Kopftuch weiß. Bei Johannes Ev. Mantel Gold, Futter rot; Kleid grüne Lüsterfarbe auf Silbergrund; Haare braun; Buch schwarz; Sockel grün. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 19,5 cm.]] réalisée par Niederbayerisch, wohl Landshut, um 1540, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2800 sch. [161]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA UND JOHANNES EV., von einer Kreuzigungsgruppe. Maria steht, mit langem Gewand, bauschig herabwallendem Mantel und Kopftuch bekleidet, auf einem halbrunden Rasensockel. Sie hat die beiden Hände über der Brust gekreuzt. Johannes Ev. steht in enganliegendem Gewand mit hohem Kragen und bauschigen Ärmeln, umhüllt von einem Mantel, der über seine rechte Schulter herabfällt und mit beiden Händen in Hüfthöhe gerafft wird. Unter seinem linken Arm trägt der Heilige, eng an den Körper gepreßt, das Buch. Er steht, wie Maria, auf einem halbrunden Rasensockel. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Bei der Maria Mantel Gold, Futter blau; Gewand rote Lüsterfarbe auf Silbergrund; Sockel grün; Kopftuch weiß. Bei Johannes Ev. Mantel Gold, Futter rot; Kleid grüne Lüsterfarbe auf Silbergrund; Haare braun; Buch schwarz; Sockel grün. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 19,5 cm. (Niederbayerisch, wohl Landshut, um 1540)|TRAUERNDE MARIA UND JOHANNES EV., von einer Kreuzigungsgruppe. Maria steht, mit langem Gewand, bauschig herabwallendem Mantel und Kopftuch bekleidet, auf einem halbrunden Rasensockel. Sie hat die beiden Hände über der Brust gekreuzt. Johannes Ev. steht in enganliegendem Gewand mit hohem Kragen und bauschigen Ärmeln, umhüllt von einem Mantel, der über seine rechte Schulter herabfällt und mit beiden Händen in Hüfthöhe gerafft wird. Unter seinem linken Arm trägt der Heilige, eng an den Körper gepreßt, das Buch. Er steht, wie Maria, auf einem halbrunden Rasensockel. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Bei der Maria Mantel Gold, Futter blau; Gewand rote Lüsterfarbe auf Silbergrund; Sockel grün; Kopftuch weiß. Bei Johannes Ev. Mantel Gold, Futter rot; Kleid grüne Lüsterfarbe auf Silbergrund; Haare braun; Buch schwarz; Sockel grün. NIEDERBAYERISCH, WOHL LANDSHUT, UM 1540. Lindenholz. Höhe je 19,5 cm.]] réalisée par Niederbayerisch, wohl Landshut, um 1540, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2800 sch. [162]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BISCHOF MIT BUCH. Der Bischof steht, das mit der Mitra bedeckte Haupt nach links gewendet, mit Alba, Kasel und Dalmatika bekleidet, auf einem halbrunden Rasensockel. Mit der Rechten hält er das aufgeschlagene Buch; die Linke umfaßte einst den jetzt fehlenden Bischofsstab. Wandstatue. Rückseite ausgehöhlt. Sehr gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau auf Silber; Fransen am Mantelsaum blau; Gewand Gold mit gravierten Ornamenten; Mitra Gold; Schuhe schwarz, Sockel grün. MEISTER VON RABENDEN, CHIEMGAU, UM 1515. Lindenholz, Höhe 104 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Seite 42 ff. Vgl. Wolter, Bayerische Plastik des 15. und 16. Jahrhunderts, in: Festschrift des Münchner Altertumsvereins (1914), Seite 62 und Abb. 61. Der auf Abb. 61 links wiedergegebene Bischof, den Wolter in die Zeit der Oelberggruppe des Berliner Kaiser-Friedrich-Museums setzte, ist mit unserem Bischof eng verwandt. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 54, Tafel 30. TAFEL 37 (Meister von Rabenden)|BISCHOF MIT BUCH. Der Bischof steht, das mit der Mitra bedeckte Haupt nach links gewendet, mit Alba, Kasel und Dalmatika bekleidet, auf einem halbrunden Rasensockel. Mit der Rechten hält er das aufgeschlagene Buch; die Linke umfaßte einst den jetzt fehlenden Bischofsstab. Wandstatue. Rückseite ausgehöhlt. Sehr gut erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau auf Silber; Fransen am Mantelsaum blau; Gewand Gold mit gravierten Ornamenten; Mitra Gold; Schuhe schwarz, Sockel grün. MEISTER VON RABENDEN, CHIEMGAU, UM 1515. Lindenholz, Höhe 104 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Seite 42 ff. Vgl. Wolter, Bayerische Plastik des 15. und 16. Jahrhunderts, in: Festschrift des Münchner Altertumsvereins (1914), Seite 62 und Abb. 61. Der auf Abb. 61 links wiedergegebene Bischof, den Wolter in die Zeit der Oelberggruppe des Berliner Kaiser-Friedrich-Museums setzte, ist mit unserem Bischof eng verwandt. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 54, Tafel 30. TAFEL 37]] réalisée par Meister von Rabenden, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2500 sch. [163]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VESPERBILD. Maria, mit enganliegendem Gewand, weitem, bauschig herabfallendem Mantel und mit Schleier bekleidet, sitzt auf einer profilierten Bank. Sie wendet sich nach links zu dem auf ihren Knien ruhenden Christus, dessen Leib sie mit beiden Händen festhält. Der rechte Arm Christi hängt fast senkrecht zum Boden herab; sein lockenumrahmtes Haupt ist auf die rechte Schulter herabgesunken. Wandgruppe. Rückseite ausgehöhlt. Prachtvoll erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau mit aufgelegten Ornamenten; Gewand Silber, ornamentiert; Schleier weiß; Haar des Christus dunkel; Lendentuch Gold; Bank und Sockelplatte Gold und Silber. MEISTER VON RABENDEN, CHIEMGAU, UM 1510. Lindenholz. Höhe 90 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, IL Band (1927), Seite 42 ff. Dort wird die Sitzfigur des hl. Jakobus d. Ae. in der Pfarrkirche zu Rohrdorf a. Inn als Vorstufe der Figuren des Hochaltars zu Rabenden, der um 1510 - 1515 entstanden ist, bezeichnet. In die Zeit zwischen der Entstehung dieser Jakobusfigur, die Halm wegen ihrer noch gotischen Gebundenheit um 1500 ansetzt, und die Zeit des Rabendener Altars, also um 1510, ist das Vesperbild, als Frühwerk des Meisters, einzureihen. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 51, Tafel 28, 29. TAFEL 36 (Meister von Rabenden)|VESPERBILD. Maria, mit enganliegendem Gewand, weitem, bauschig herabfallendem Mantel und mit Schleier bekleidet, sitzt auf einer profilierten Bank. Sie wendet sich nach links zu dem auf ihren Knien ruhenden Christus, dessen Leib sie mit beiden Händen festhält. Der rechte Arm Christi hängt fast senkrecht zum Boden herab; sein lockenumrahmtes Haupt ist auf die rechte Schulter herabgesunken. Wandgruppe. Rückseite ausgehöhlt. Prachtvoll erhaltene alte Bemalung und Vergoldung: Mantel Gold, Futter blau mit aufgelegten Ornamenten; Gewand Silber, ornamentiert; Schleier weiß; Haar des Christus dunkel; Lendentuch Gold; Bank und Sockelplatte Gold und Silber. MEISTER VON RABENDEN, CHIEMGAU, UM 1510. Lindenholz. Höhe 90 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, IL Band (1927), Seite 42 ff. Dort wird die Sitzfigur des hl. Jakobus d. Ae. in der Pfarrkirche zu Rohrdorf a. Inn als Vorstufe der Figuren des Hochaltars zu Rabenden, der um 1510 - 1515 entstanden ist, bezeichnet. In die Zeit zwischen der Entstehung dieser Jakobusfigur, die Halm wegen ihrer noch gotischen Gebundenheit um 1500 ansetzt, und die Zeit des Rabendener Altars, also um 1510, ist das Vesperbild, als Frühwerk des Meisters, einzureihen. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 51, Tafel 28, 29. TAFEL 36]] réalisée par Meister von Rabenden, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 67000 sch. [164]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RITTER GEORG ALS DRACHENTÖTER. Der Ritter steht, bekleidet mit einem Lederwams und halblangem Rock mit weiten Ärmeln, frontal auf einem gewölbten Rasensockel. Zwischen seinen Beinen, die mit Beinschienen bewehrt sind, krümmt sich der Drache. Das von Schneckenlocken umrahmte Haupt ist hoch erhoben und blickt nach rechts. Beide Hände sind etwa in Hüfthöhe nach vorwärts ausgestreckt. Die Rechte umfaßt eine Lanze. Statue. Rückseite bearbeitet, unter Verwendung von Föhrenholz. MEISTER VON RABENDEN, CHIEMGAU, UM 1510. Lindenholz. Höhe 105 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süd- deutschen Plastik, II. Band (1927), S. 42 ff. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 53, Tafel 30. TAFEL 37 (Meister von Rabenden)|RITTER GEORG ALS DRACHENTÖTER. Der Ritter steht, bekleidet mit einem Lederwams und halblangem Rock mit weiten Ärmeln, frontal auf einem gewölbten Rasensockel. Zwischen seinen Beinen, die mit Beinschienen bewehrt sind, krümmt sich der Drache. Das von Schneckenlocken umrahmte Haupt ist hoch erhoben und blickt nach rechts. Beide Hände sind etwa in Hüfthöhe nach vorwärts ausgestreckt. Die Rechte umfaßt eine Lanze. Statue. Rückseite bearbeitet, unter Verwendung von Föhrenholz. MEISTER VON RABENDEN, CHIEMGAU, UM 1510. Lindenholz. Höhe 105 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süd- deutschen Plastik, II. Band (1927), S. 42 ff. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 53, Tafel 30. TAFEL 37]] réalisée par Meister von Rabenden, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1300 sch. [165]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS, AUFERSTEHEND. Stehend, mit einem Lendentuch bekleidet. Der über die Schultern gelegte Mantel fällt in reichen Knorpelfalten herab. Die (abgebrochene) Rechte war einst segnend erhoben. Auch die linke Hand fehlt. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone; das gelockte Haar fällt zu beiden Seiten des Kopfes auf die Schultern herab. Gewölbter Rasensockel und rechteckige Standplatte. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung: Fleischfarbe gelbliche-grau; Haare braun; Mantel vergoldet, Futter rot; Lendentuch weiß. MEISTER VON RABENDEN, WERKSTATT, UM 1515. Lindenholz. Höhe 102 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Seite 42 ff. (Meister von Rabenden)|CHRISTUS, AUFERSTEHEND. Stehend, mit einem Lendentuch bekleidet. Der über die Schultern gelegte Mantel fällt in reichen Knorpelfalten herab. Die (abgebrochene) Rechte war einst segnend erhoben. Auch die linke Hand fehlt. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone; das gelockte Haar fällt zu beiden Seiten des Kopfes auf die Schultern herab. Gewölbter Rasensockel und rechteckige Standplatte. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung: Fleischfarbe gelbliche-grau; Haare braun; Mantel vergoldet, Futter rot; Lendentuch weiß. MEISTER VON RABENDEN, WERKSTATT, UM 1515. Lindenholz. Höhe 102 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Seite 42 ff.]] réalisée par Meister von Rabenden, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 380 sch. [166]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STEHENDER HEILIGER (Michael?). Der Heilige steht, mit Alba und in großen Faltenzügen her ab wallender Dalmatika bekleidet, auf leicht gewölbter, eckig begrenzter Standplatte. Die (fehlende) Rechte ist in Hüfthöhe, die (gleichfalls fehlende) Linke ist in Schulterhöhe erhoben. Einzelne Teile des lockigen Haupthaares sind ergänzt. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. MEISTER VON RABENDEN, SCHULE, UM 1515-20. Lindenholz. Höhe 107 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Seite 42 ff. Hier sind vor allem die Arbeiten aus der Werkstätte des Meisters des Hochaltars der Kirche zu Merlbach in Vergleich zu ziehen. (Meister von Rabenden)|STEHENDER HEILIGER (Michael?). Der Heilige steht, mit Alba und in großen Faltenzügen her ab wallender Dalmatika bekleidet, auf leicht gewölbter, eckig begrenzter Standplatte. Die (fehlende) Rechte ist in Hüfthöhe, die (gleichfalls fehlende) Linke ist in Schulterhöhe erhoben. Einzelne Teile des lockigen Haupthaares sind ergänzt. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. MEISTER VON RABENDEN, SCHULE, UM 1515-20. Lindenholz. Höhe 107 cm. Vgl. Halm, Der Meister von Rabenden und die Holzplastik des Chiemgaues, in: Studien zur Süddeutschen Plastik, II. Band (1927), Seite 42 ff. Hier sind vor allem die Arbeiten aus der Werkstätte des Meisters des Hochaltars der Kirche zu Merlbach in Vergleich zu ziehen.]] réalisée par Meister von Rabenden, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 700 sch. [167]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS, IM GRABE LIEGEND. Die nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt ruht flach, mit ausgestreckten, nebeneinander liegenden Beinen und über dem Leib gekreuzten Händen. Das in der Mitte gescheitelte Haar umrahmt in Lockenwellen das bärtige Haupt und fällt bis auf die Schultern herab. Die Augen sind geschlossen. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung unter neuerem, grauem Anstrich. BAYERISCH, CHIEMGAU, UM 1520. Aus dem Umkreis des Meisters von Rabenden. Lindenholz. Länge 98 cm. (Bayerisch, Chiemgau, um 1520)|CHRISTUS, IM GRABE LIEGEND. Die nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt ruht flach, mit ausgestreckten, nebeneinander liegenden Beinen und über dem Leib gekreuzten Händen. Das in der Mitte gescheitelte Haar umrahmt in Lockenwellen das bärtige Haupt und fällt bis auf die Schultern herab. Die Augen sind geschlossen. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung unter neuerem, grauem Anstrich. BAYERISCH, CHIEMGAU, UM 1520. Aus dem Umkreis des Meisters von Rabenden. Lindenholz. Länge 98 cm.]] réalisée par Bayerisch, Chiemgau, um 1520, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [168]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR SCHWEBENDE, LEUCHTERTRAGENDE ENGEL. Aus Rosenheim. Die beiden Engel schweben, mit halbausgebreiteten, hochgezogenen Flugeln und sind einander zugewandt. Sie halten jeweils mit beiden Händen das Unterteil von Standleuchtern, deren Oberteile verlorengegangen sind. Die beiden Gesichter sind von kurz geschnittenem Schneckenlockenhaar umrahmt. Kleidung: Gegürtete Blusen mit langen, weiten Puffärmeln und weites, faltenreiches Untergewand. Statuetten mit alter Fassung: Fleischfarbe kräftig rot; Blusen Gold; Untergewänder und Flügel Silber mit grüner Lüsterfarbe; Haare braun; die Leuchter Gold mit blauer Hohlkehle am Fuß. CHIEMGAU ODER TIROL, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 65 und 67 cm. Aus Rosenheim stammend. (Chiemgau oder Tirol, um 1510-20)|EIN PAAR SCHWEBENDE, LEUCHTERTRAGENDE ENGEL. Aus Rosenheim. Die beiden Engel schweben, mit halbausgebreiteten, hochgezogenen Flugeln und sind einander zugewandt. Sie halten jeweils mit beiden Händen das Unterteil von Standleuchtern, deren Oberteile verlorengegangen sind. Die beiden Gesichter sind von kurz geschnittenem Schneckenlockenhaar umrahmt. Kleidung: Gegürtete Blusen mit langen, weiten Puffärmeln und weites, faltenreiches Untergewand. Statuetten mit alter Fassung: Fleischfarbe kräftig rot; Blusen Gold; Untergewänder und Flügel Silber mit grüner Lüsterfarbe; Haare braun; die Leuchter Gold mit blauer Hohlkehle am Fuß. CHIEMGAU ODER TIROL, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 65 und 67 cm. Aus Rosenheim stammend.]] réalisée par Chiemgau oder Tirol, um 1510-20, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2100 sch. [169]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR SCHWEBENDE, LEUCHTERTRAGENDE ENGEL. Aus Rosenheim. Die beiden Engel schweben, mit halbausgebreiteten, hochgezogenen Flügeln und sind einander zugewandt. Sie halten jeweils mit beiden Händen das Unterteil von Standleuchtern, deren Oberteile verlorengegangen sind. Die beiden Gesichter sind von kurz geschnittenem Schneckenlockenhaar umrahmt. Kleidung: Gegürtete Blusen mit langen, weiten Puffärmeln und weites, faltenreiches Untergewand. Statuetten mit alter Fassung: Fleischfarbe kräftig rot; Blusen Gold; Untergewänder und Flügel Silber mit grüner Lüsterfarbe; Haare braun; die Leuchter Gold mit blauer Hohlkehle am Fuß. CHIEMGAU ODER TIROL, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 65 und 67 cm. Aus Rosenheim stammend. (Chiemgau oder Tirol, um 1510-20)|EIN PAAR SCHWEBENDE, LEUCHTERTRAGENDE ENGEL. Aus Rosenheim. Die beiden Engel schweben, mit halbausgebreiteten, hochgezogenen Flügeln und sind einander zugewandt. Sie halten jeweils mit beiden Händen das Unterteil von Standleuchtern, deren Oberteile verlorengegangen sind. Die beiden Gesichter sind von kurz geschnittenem Schneckenlockenhaar umrahmt. Kleidung: Gegürtete Blusen mit langen, weiten Puffärmeln und weites, faltenreiches Untergewand. Statuetten mit alter Fassung: Fleischfarbe kräftig rot; Blusen Gold; Untergewänder und Flügel Silber mit grüner Lüsterfarbe; Haare braun; die Leuchter Gold mit blauer Hohlkehle am Fuß. CHIEMGAU ODER TIROL, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe 65 und 67 cm. Aus Rosenheim stammend.]] réalisée par Chiemgau oder Tirol, um 1510-20, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2100 sch. [170]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem T-Kreuz, das oben ein leeres Namenschild trägt, hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist fast bis zur rechten Brust herabgesenkt. Eine wellige Strähne des Haares hängt vor der rechten Schulter frei herunter. Das Schamtuch ist an der linken Hüfte geknotet, sein Ende hängt vom Knoten aus senkrecht herab. Teile des linken Fußes ergänzt. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Reste alter Bemalung: Fleischfarbe gelblich; Haare braun; Dornenkrone dunkelgrün; Schamtuch weiß; Kreuz schwarz; Namenschild weiß. BAYERISCH-SCHWÄBISCH, UM 1460. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 74 cm, des Kreuzes 85 cm. (Bayerisch-Schwäbisch, um 1460)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem T-Kreuz, das oben ein leeres Namenschild trägt, hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist fast bis zur rechten Brust herabgesenkt. Eine wellige Strähne des Haares hängt vor der rechten Schulter frei herunter. Das Schamtuch ist an der linken Hüfte geknotet, sein Ende hängt vom Knoten aus senkrecht herab. Teile des linken Fußes ergänzt. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Reste alter Bemalung: Fleischfarbe gelblich; Haare braun; Dornenkrone dunkelgrün; Schamtuch weiß; Kreuz schwarz; Namenschild weiß. BAYERISCH-SCHWÄBISCH, UM 1460. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 74 cm, des Kreuzes 85 cm.]] réalisée par Bayerisch-Schwäbisch, um 1460, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 410 sch. [171]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER, NACKTER CHRISTUSKNABE, in der linken Hand eine Traube, in der rechten eine Beere haltend. Der nach der linken Seite gewandte Kopf ist von Schneckenlocken umrahmt. Vermutlich Bruchstück einer Maria mit dem Kinde. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spätere Bemalung auf Kreidegrund. SÜDDEUTSCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 31 cm. (Süddeutsch, um 1500)|SITZENDER, NACKTER CHRISTUSKNABE, in der linken Hand eine Traube, in der rechten eine Beere haltend. Der nach der linken Seite gewandte Kopf ist von Schneckenlocken umrahmt. Vermutlich Bruchstück einer Maria mit dem Kinde. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spätere Bemalung auf Kreidegrund. SÜDDEUTSCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 31 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [172]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE, AUF EINEM KISSEN SITZEND. Der Knabe sitzt mit nach rechts ausgestreckten Beinen auf einem hohen, mit Quasten geschmückten Kissen. Der Oberkörper ist aufgerichtet, das von kurzen Locken umrahmte Haupt leicht nach rechts geneigt. Die rechte Hand ist in Brusthöhe erhoben und hält eine Beere, die linke umfaßt einen Apfel. Statuette. Schöne Reste alter Bemalung: Fleisch hellrosa; Haare hellbraun; Apfel rot; Kissen Silber mit Goldbändern und goldenen Quasten. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 20 cm. (Bayerisch, um 1500)|CHRISTUSKNABE, AUF EINEM KISSEN SITZEND. Der Knabe sitzt mit nach rechts ausgestreckten Beinen auf einem hohen, mit Quasten geschmückten Kissen. Der Oberkörper ist aufgerichtet, das von kurzen Locken umrahmte Haupt leicht nach rechts geneigt. Die rechte Hand ist in Brusthöhe erhoben und hält eine Beere, die linke umfaßt einen Apfel. Statuette. Schöne Reste alter Bemalung: Fleisch hellrosa; Haare hellbraun; Apfel rot; Kissen Silber mit Goldbändern und goldenen Quasten. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 20 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 600 sch. [173]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BISCHOF MIT BUCH UND LAMM. Die Gestalt steht, mit Alba, Dalmatika und Pluviale bekleidet, auf abgeschrägter, eckiger Standplatte. Auf dem Haupte trägt der Bischof eine breite, halbhohe Mitra, unter der kurzes Lockenhaar zu beiden Seiten hervorkommt. Die Linke umfaßt das auf dem linken Arm ruhende Buch, auf dem ein Lamm liegt. Es fehlen: die rechte Hand und die Spitze des rechten Fußes. Statue. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Schöne Reste alter Bemalung: Gewand Silber; Mantel rot mit Silbersaum, Futter blau; Untergewand weiß; Mitra Silber, die auf den Rücken herabhängenden Bänder grüne Lüsterfarbe auf Silber. Sockelplatte braun; Buch schwarz; Lamm grau. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 78 cm. (Bayerisch, um 1500)|BISCHOF MIT BUCH UND LAMM. Die Gestalt steht, mit Alba, Dalmatika und Pluviale bekleidet, auf abgeschrägter, eckiger Standplatte. Auf dem Haupte trägt der Bischof eine breite, halbhohe Mitra, unter der kurzes Lockenhaar zu beiden Seiten hervorkommt. Die Linke umfaßt das auf dem linken Arm ruhende Buch, auf dem ein Lamm liegt. Es fehlen: die rechte Hand und die Spitze des rechten Fußes. Statue. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Schöne Reste alter Bemalung: Gewand Silber; Mantel rot mit Silbersaum, Futter blau; Untergewand weiß; Mitra Silber, die auf den Rücken herabhängenden Bänder grüne Lüsterfarbe auf Silber. Sockelplatte braun; Buch schwarz; Lamm grau. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 78 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [174]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI VORTRAGESTANGEN MIT WAPPENHALTENDEN ENGELN. Auf unten glattem, von der Mitte an gewundenem Schaft sitzt ein mit Akanthusblättern geschmücktes Kapital mit runder Deckplatte. Darauf steht je ein nackter Engel, der ein Wappenschild mit beiden Händen vor Beine und Leib hält. Die Engel haben Schneckenlocken und Flügel. Auf der Deckplatte des Kapitäls ist je ein schmiedeeiserner Kerzenhalter mit Dorn befestigt. Die auf die Schilder aufgemalten Wappen sind fast bis zur Unkenntlichkeit verwischt. Freiplastische Schnitzereien. Alte Fassung: Haare der Engel gelbbraun; runde Deckplatte rot; Kapital blau auf Silbergrund; Akanthusblätter grün; Schaft der Stangen rot. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 215 und 216 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 46, Tafel 24. TAFEL 27 (Bayerisch, um 1500)|ZWEI VORTRAGESTANGEN MIT WAPPENHALTENDEN ENGELN. Auf unten glattem, von der Mitte an gewundenem Schaft sitzt ein mit Akanthusblättern geschmücktes Kapital mit runder Deckplatte. Darauf steht je ein nackter Engel, der ein Wappenschild mit beiden Händen vor Beine und Leib hält. Die Engel haben Schneckenlocken und Flügel. Auf der Deckplatte des Kapitäls ist je ein schmiedeeiserner Kerzenhalter mit Dorn befestigt. Die auf die Schilder aufgemalten Wappen sind fast bis zur Unkenntlichkeit verwischt. Freiplastische Schnitzereien. Alte Fassung: Haare der Engel gelbbraun; runde Deckplatte rot; Kapital blau auf Silbergrund; Akanthusblätter grün; Schaft der Stangen rot. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 215 und 216 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 46, Tafel 24. TAFEL 27]] réalisée par Bayerisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2000 sch. [175]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI VORTRAGESTANGEN MIT WAPPENHALTENDEN ENGELN. Auf unten glattem, von der Mitte an gewundenem Schaft sitzt ein mit Akanthusblättern geschmücktes Kapital mit runder Deckplatte. Darauf steht je ein nackter Engel, der ein Wappenschild mit beiden Händen vor Beine und Leib hält. Die Engel haben Schneckenlocken und Flügel. Auf der Deckplatte des Kapitäls ist je ein schmiedeeiserner Kerzenhalter mit Dorn befestigt. Die auf die Schilder aufgemalten Wappen sind fast bis zur Unkenntlichkeit verwischt. Freiplastische Schnitzereien. Alte Fassung: Haare der Engel gelbbraun; runde Deckplatte rot; Kapital blau auf Silbergrund; Akanthusblätter grün; Schaft der Stangen rot. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 215 und 216 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 46, Tafel 24. TAFEL 27 (Bayerisch, um 1500)|ZWEI VORTRAGESTANGEN MIT WAPPENHALTENDEN ENGELN. Auf unten glattem, von der Mitte an gewundenem Schaft sitzt ein mit Akanthusblättern geschmücktes Kapital mit runder Deckplatte. Darauf steht je ein nackter Engel, der ein Wappenschild mit beiden Händen vor Beine und Leib hält. Die Engel haben Schneckenlocken und Flügel. Auf der Deckplatte des Kapitäls ist je ein schmiedeeiserner Kerzenhalter mit Dorn befestigt. Die auf die Schilder aufgemalten Wappen sind fast bis zur Unkenntlichkeit verwischt. Freiplastische Schnitzereien. Alte Fassung: Haare der Engel gelbbraun; runde Deckplatte rot; Kapital blau auf Silbergrund; Akanthusblätter grün; Schaft der Stangen rot. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 215 und 216 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 46, Tafel 24. TAFEL 27]] réalisée par Bayerisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2000 sch. [176]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER, NACKTER CHRISTUSKNABE, in der Linken die Traube, in der Rechten eine Beere haltend (wohl Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Es fehlen: alle Zehen am linken, drei Zehen am rechten Fuß. Die Haare später roh weggeschnitten. Freiplastisch. Alte Fassung: helle Fleischfarbe, rosafarbene Backen; Traube blau. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 41 cm. (Bayerisch, um 1500)|SITZENDER, NACKTER CHRISTUSKNABE, in der Linken die Traube, in der Rechten eine Beere haltend (wohl Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Es fehlen: alle Zehen am linken, drei Zehen am rechten Fuß. Die Haare später roh weggeschnitten. Freiplastisch. Alte Fassung: helle Fleischfarbe, rosafarbene Backen; Traube blau. BAYERISCH, UM 1500. Lindenholz. Höhe 41 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 50 sch. [177]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[GOTTVATER MIT DER WELTKUGEL in Halbfigur. Die Gestalt wendet sich mit dem Körper und dem Kopf nach links. Das in der Mitte gescheitelte Haupts haar ist in breite, stark stilisierte Wellen gelegt und fällt in Ringellocken auf die Schultern. Der breite Backenbart reicht bis auf die Brust herab. Der rechte Arm, der den unteren Abschluß der Halbfigur bildet, ist nach links ausgestreckt; die rechte Hand trägt die (beschädigte) Weltkugel mit dem Kreuz. Über dem Ärmel auf der Brust ein altes Bohrloch. Zwei Finger der rechten Hand sind beschädigt. Das Bildwerk, das derben, dekorativen Charakter zeigt, war wohl ehemals Teil einer Bauplastik. Hochreliefartige Wandfigur mit flacher Rückseite. Reste späterer blauer Farbe auf dem Ärmel. BAYERISCH, UM 1510. Grauer Sandstein. Höhe 28 cm. (Bayerisch, um 1510)|GOTTVATER MIT DER WELTKUGEL in Halbfigur. Die Gestalt wendet sich mit dem Körper und dem Kopf nach links. Das in der Mitte gescheitelte Haupts haar ist in breite, stark stilisierte Wellen gelegt und fällt in Ringellocken auf die Schultern. Der breite Backenbart reicht bis auf die Brust herab. Der rechte Arm, der den unteren Abschluß der Halbfigur bildet, ist nach links ausgestreckt; die rechte Hand trägt die (beschädigte) Weltkugel mit dem Kreuz. Über dem Ärmel auf der Brust ein altes Bohrloch. Zwei Finger der rechten Hand sind beschädigt. Das Bildwerk, das derben, dekorativen Charakter zeigt, war wohl ehemals Teil einer Bauplastik. Hochreliefartige Wandfigur mit flacher Rückseite. Reste späterer blauer Farbe auf dem Ärmel. BAYERISCH, UM 1510. Grauer Sandstein. Höhe 28 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [178]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem Holzkreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone, ist leicht geneigt und nach der linken Seite gedreht. Das Haar fällt in Ringellocken zu beiden Seiten des Kopfes auf Schultern und Brust herab. Das in straffe Knorpelfalten gelegte Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet. Am oberen Ende des Kreuz-Längsbalkens Namenschild mit der aufgemalten Inschrift: INRI. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Reste alter Fassung: Fleischfarbe gelblich-grau; Haare dunkelbraun; Dornenkrone dunkelbraun; Schamtuch Gold. Kreuz schwarz. BAYERISCH-SCHWÄBISCH, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 75 cm, des Kreuzes 165 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 71, Tafel 40. (Bayerisch-Schwäbisch, um 1510-20)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem Holzkreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone, ist leicht geneigt und nach der linken Seite gedreht. Das Haar fällt in Ringellocken zu beiden Seiten des Kopfes auf Schultern und Brust herab. Das in straffe Knorpelfalten gelegte Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet. Am oberen Ende des Kreuz-Längsbalkens Namenschild mit der aufgemalten Inschrift: INRI. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Reste alter Fassung: Fleischfarbe gelblich-grau; Haare dunkelbraun; Dornenkrone dunkelbraun; Schamtuch Gold. Kreuz schwarz. BAYERISCH-SCHWÄBISCH, UM 1510-20. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 75 cm, des Kreuzes 165 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 71, Tafel 40.]] réalisée par Bayerisch-Schwäbisch, um 1510-20, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 600 sch. [179]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen und leicht durchgebogenen Armen. Der Kopf ist zur rechten Schulter herabgeneigt, über die das Haar in welligen Locken herabfällt. Das bärtige Haupt tragt die Dornenkrone. Schmales Schamtuch, dessen Ende über die rechte Hüfte herabhängt. Es fehlen: die Finger der rechten und linken Hand, die Zehen beider Füße. Freiplastisch. Reste alter Bemalung: Fleischfarbe grau; Haare dunkelbraun; Schamtuch Silber. BAYERISCH, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 40,5 cm. (Bayerisch-Schwäbisch, um 1510-20)|KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen und leicht durchgebogenen Armen. Der Kopf ist zur rechten Schulter herabgeneigt, über die das Haar in welligen Locken herabfällt. Das bärtige Haupt tragt die Dornenkrone. Schmales Schamtuch, dessen Ende über die rechte Hüfte herabhängt. Es fehlen: die Finger der rechten und linken Hand, die Zehen beider Füße. Freiplastisch. Reste alter Bemalung: Fleischfarbe grau; Haare dunkelbraun; Schamtuch Silber. BAYERISCH, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 40,5 cm.]] réalisée par Bayerisch-Schwäbisch, um 1510-20, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [180]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER CHRISTUSKNABE mit Apfel (wohl Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: Fleischfarbe gelblich; Haare braun; Apfel Gold. SÜDDEUTSCH, WOHL BAYERN, UM 1510. Lindenholz. Höhe 34 cm. (Süddeutsch, wohl Bayern, um 1510)|SITZENDER CHRISTUSKNABE mit Apfel (wohl Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: Fleischfarbe gelblich; Haare braun; Apfel Gold. SÜDDEUTSCH, WOHL BAYERN, UM 1510. Lindenholz. Höhe 34 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl Bayern, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 60 sch. [181]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt in den Händen ein Kreuz, der andere das Schweißtuch. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter rot. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 114 und 115 gehörig. (Bayerisch, um 1530-40)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt in den Händen ein Kreuz, der andere das Schweißtuch. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter rot. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 114 und 115 gehörig.]] réalisée par Bayerisch, um 1530-40, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 280 sch. [182]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt in den Händen ein Kreuz, der andere das Schweißtuch. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter rot. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 114 und 115 gehörig. (Bayerisch, um 1530-40)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt in den Händen ein Kreuz, der andere das Schweißtuch. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter rot. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 114 und 115 gehörig.]] réalisée par Bayerisch, um 1530-40, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 280 sch. [183]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt eine Säule und die Geißel, der andere eine Kanne. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter blau. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 112 und 113 gehörig. (Bayerisch, um 1530-40)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt eine Säule und die Geißel, der andere eine Kanne. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter blau. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 112 und 113 gehörig.]] réalisée par Bayerisch, um 1530-40, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 280 sch. [184]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt eine Säule und die Geißel, der andere eine Kanne. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter blau. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 112 und 113 gehörig. (Bayerisch, um 1530-40)|ZWEI SCHWEBENDE ENGEL mit Leidenswerkzeugen. Wohl von einer Darstellung der Kreuzigung stammend. Der eine Engel trägt eine Säule und die Geißel, der andere eine Kanne. Freiplastisch. Rückseiten vernachlässigt. Alte Bemalung: Gewand Gold, Futter blau. BAYERISCH, UM 1530-40. Lindenholz. Höhe je 6 cm. Zu Nr. 112 und 113 gehörig.]] réalisée par Bayerisch, um 1530-40, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 280 sch. [185]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÜSTE EINES APOSTELS. Die in Brusthöhe abgeschnittene, ehemals wohl ganze Figur eines stehenden Apostels ist auf eine neue, oben mit einer Plinthe versehene Sockelplatte gesetzt. Die Gestalt ist bekleidet mit einem am Hals rund aus* geschnittenen Gewand und darübergezogenem Mantel, der am Halsausschnitt mit einer Spange zusammengehalten wird. Auf dem nach links abwärts geneigten Haupte sitzt eine halbhohe, aufgeschlagene Mütze. Strähniges Haupthaar, kurzer Backen-, Kinn- und Schnurrbart. Hochrelief. Rückseite abgespalten. BAYERISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe mit dem neuen Sockel 12,5 cm. Zu der männlichen Büste Nr. 117 gehörig. (Bayerisch, um 1510)|BÜSTE EINES APOSTELS. Die in Brusthöhe abgeschnittene, ehemals wohl ganze Figur eines stehenden Apostels ist auf eine neue, oben mit einer Plinthe versehene Sockelplatte gesetzt. Die Gestalt ist bekleidet mit einem am Hals rund aus* geschnittenen Gewand und darübergezogenem Mantel, der am Halsausschnitt mit einer Spange zusammengehalten wird. Auf dem nach links abwärts geneigten Haupte sitzt eine halbhohe, aufgeschlagene Mütze. Strähniges Haupthaar, kurzer Backen-, Kinn- und Schnurrbart. Hochrelief. Rückseite abgespalten. BAYERISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe mit dem neuen Sockel 12,5 cm. Zu der männlichen Büste Nr. 117 gehörig.]] réalisée par Bayerisch, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 110 sch. [186]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHE BÜSTE (Apostel oder Christus-Darstellung?). Die in Brusthöhe abgeschnittene, ehemals wohl ganze Figur eines männlichen Heiligen (Apostel oder Christus?) ist auf eine neue, oben mit einer Plinthe versehene Sockelplatte gesetzt. Die Gestalt trägt glattes Untergewand mit rundem Halsausschnitt, darüber offenen Mantel. Zu beiden Seiten des Kopfes fällt in strähnigen Wellen das Haar bis auf die Schultern herab. Kurzer Kinnbart. Hochrelief. Rückseite abgespalten. BAYERISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe mit dem neuen Sockel 12,5 cm. Zu der männlichen Büste Nr. 116 gehörig. (Bayerisch, um 1510)|MÄNNLICHE BÜSTE (Apostel oder Christus-Darstellung?). Die in Brusthöhe abgeschnittene, ehemals wohl ganze Figur eines männlichen Heiligen (Apostel oder Christus?) ist auf eine neue, oben mit einer Plinthe versehene Sockelplatte gesetzt. Die Gestalt trägt glattes Untergewand mit rundem Halsausschnitt, darüber offenen Mantel. Zu beiden Seiten des Kopfes fällt in strähnigen Wellen das Haar bis auf die Schultern herab. Kurzer Kinnbart. Hochrelief. Rückseite abgespalten. BAYERISCH, UM 1510. Lindenholz. Höhe mit dem neuen Sockel 12,5 cm. Zu der männlichen Büste Nr. 116 gehörig.]] réalisée par Bayerisch, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 110 sch. [187]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER, NACKTER CHRISTUSKNABE (wohl Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Der Knabe sitzt frontal mit übereinandergeschlagenen Beinen. Es fehlen beide Arme und die Füße. Die Haare roh weggeschnitten. Freiplastisch. Reste alter Bemalung. BAYERISCH, UM 1540, Lindenholz. Höhe 13,5 cm. (Bayerisch, um 1540)|SITZENDER, NACKTER CHRISTUSKNABE (wohl Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Der Knabe sitzt frontal mit übereinandergeschlagenen Beinen. Es fehlen beide Arme und die Füße. Die Haare roh weggeschnitten. Freiplastisch. Reste alter Bemalung. BAYERISCH, UM 1540, Lindenholz. Höhe 13,5 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1540, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 20 sch. [188]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist leicht nach links abwärts geneigt und trägt die Dornenkrone, unter der das reiche Haar in breiten Ringellocken hervorkommt. Das eine Ende des um die Körpermitte geschlungenen Lendentuchs hängt senkrecht an der linken Körperseite herab, das andere Ende flattert in kurzem Halbbogen nach auswärts. Am oberen Ende des Kreuz-Längsbalkens breite Schrifttafel mit der aufgemalten Inschrift "I. N. R. I." Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Schön erhaltene alte Fassung: Fleischfarbe gelblich-grau; Haare dunkelbraun; Dornenkrone schwarz; Lendentuch Gold, Futtter blau; Kreuz schwarz; Schrifttafel weiß. TIROL, UM 1480. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 140 cm, des Kreuzes 213 cm. (Tirol, um 1480)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist leicht nach links abwärts geneigt und trägt die Dornenkrone, unter der das reiche Haar in breiten Ringellocken hervorkommt. Das eine Ende des um die Körpermitte geschlungenen Lendentuchs hängt senkrecht an der linken Körperseite herab, das andere Ende flattert in kurzem Halbbogen nach auswärts. Am oberen Ende des Kreuz-Längsbalkens breite Schrifttafel mit der aufgemalten Inschrift "I. N. R. I." Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Schön erhaltene alte Fassung: Fleischfarbe gelblich-grau; Haare dunkelbraun; Dornenkrone schwarz; Lendentuch Gold, Futtter blau; Kreuz schwarz; Schrifttafel weiß. TIROL, UM 1480. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 140 cm, des Kreuzes 213 cm.]] réalisée par Tirol, um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [189]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[LIEGENDES CHRISTKIND von einer Geburt Christi. Das nackte Kind, das wohl ehemals auf dem am Boden ausgebreiteten Mantel der Maria lag, ruht mit ausgestreckten Beinen. Es fehlen die Zehen beider Füße. Die Haare sind in Reliefschnitt ausgeführt. Freiplastisch. Gut erhaltene alte Bemalung: Fleisch dunkelrosa; Augen braun; Haare blond. TIROLISCH, UM 1510. Lindenholz. Länge 63,5 cm. (Tirolisch, um 1510)|LIEGENDES CHRISTKIND von einer Geburt Christi. Das nackte Kind, das wohl ehemals auf dem am Boden ausgebreiteten Mantel der Maria lag, ruht mit ausgestreckten Beinen. Es fehlen die Zehen beider Füße. Die Haare sind in Reliefschnitt ausgeführt. Freiplastisch. Gut erhaltene alte Bemalung: Fleisch dunkelrosa; Augen braun; Haare blond. TIROLISCH, UM 1510. Lindenholz. Länge 63,5 cm.]] réalisée par Tirolisch, um 1510, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [190]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER MIT BUCH, aus Landshut. Stehend, in langem Gewand, weitem Mantel und Skapulier. Das bärtige Haupt ist von Locken umrahmt und mit einem Barett bedeckt. Die Rechte hält das aufgeschlagene Buch in Brusthöhe, die Linke ist in sprechender Gebärde leicht erhoben. (Heiliger Antonius?) Schreinfigur. Reste alter Bemalung: Mantel ehemals vergoldet, Futter hellrot, jetzt weiß; Mütze vergoldet; Kleid blau, Futter rot; Haare dunkelbraun. OBERÖSTERREICHISCH, UM 1525. Lindenholz. Höhe 95 cm. Aus Landshut stammend. Das Bildwerk hat in der Formung des Kopfes und des Bartes große Ähnlichkeit mit der Sitzfigur des hl. Antonius Eremita aus Reischach im Bayerischen Nationalmuseum zu München, die Halm dem Meister der Altöttinger Türen zugewiesen hat. Der Faltenwurf unserer Schreinfigur ist jedoch freier, die Hände sind feingliedriger. Vielleicht stammt das Bildwerk (wie Hans Buchheit vorgeschlagen hat), von einem Meister des oberösterreichischen Grenzgebietes, aus dem Umkreis des Schnitzers der "Maria mit den Fingerringen" im Bayerischen Nationalmuseum, die angeblich einst in Linz a. d. Donau erworben worden ist. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, Band II (1927), Abb. 24. Vgl. Wilm, Die gotische Holzfigur (1923), Tafel 181. Vgl. Buchheit und Lill, Katalog der Leinberger-Ausstellung 1932, Nr. 117. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 72, Tafel 40. TAFEL 38 (Oberösterreichisich, um 1525)|HEILIGER MIT BUCH, aus Landshut. Stehend, in langem Gewand, weitem Mantel und Skapulier. Das bärtige Haupt ist von Locken umrahmt und mit einem Barett bedeckt. Die Rechte hält das aufgeschlagene Buch in Brusthöhe, die Linke ist in sprechender Gebärde leicht erhoben. (Heiliger Antonius?) Schreinfigur. Reste alter Bemalung: Mantel ehemals vergoldet, Futter hellrot, jetzt weiß; Mütze vergoldet; Kleid blau, Futter rot; Haare dunkelbraun. OBERÖSTERREICHISCH, UM 1525. Lindenholz. Höhe 95 cm. Aus Landshut stammend. Das Bildwerk hat in der Formung des Kopfes und des Bartes große Ähnlichkeit mit der Sitzfigur des hl. Antonius Eremita aus Reischach im Bayerischen Nationalmuseum zu München, die Halm dem Meister der Altöttinger Türen zugewiesen hat. Der Faltenwurf unserer Schreinfigur ist jedoch freier, die Hände sind feingliedriger. Vielleicht stammt das Bildwerk (wie Hans Buchheit vorgeschlagen hat), von einem Meister des oberösterreichischen Grenzgebietes, aus dem Umkreis des Schnitzers der "Maria mit den Fingerringen" im Bayerischen Nationalmuseum, die angeblich einst in Linz a. d. Donau erworben worden ist. Vgl. Halm, Studien zur süddeutschen Plastik, Band II (1927), Abb. 24. Vgl. Wilm, Die gotische Holzfigur (1923), Tafel 181. Vgl. Buchheit und Lill, Katalog der Leinberger-Ausstellung 1932, Nr. 117. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937) Nr. 72, Tafel 40. TAFEL 38]] réalisée par Oberösterreichisich, um 1525, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1700 sch. [191]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA VON EINEM VESPERBILD. Maria sitzt frontal auf einer profilierten Bank und neigt das Haupt in trauernder Gebärde nach links. Kleidung: enganschließendes langes Gewand und weiter Mantel, der die Brust und den Unterkörper bis zu den Knien freiläßt und von dort aus in reicher Bewegung bis zu dem gewölbten Sockel herabfließt. Unter dem über die Stirn herabhängenden Kopftuch kommt ein Stück des Schleiers zum Vorschein, das in weitem Bogen über den rechten Arm fällt. Die beiden Arme Marias sind bis zur Brusthöhe erhoben. Mit der Rechten stützte sie vermutlich das Haupt des auf ihren Knien ruhenden Leichnams, während die erhobene Linke vermutlich die linke Hand Christi umfaßt hielt. Es fehlen beide Hände und die Figur des toten Christus. Wandgruppe mit ausgehöhlter Rückseite. Spuren alter Fassung: Gold am Mantel, Grün am Sockel, gelblichsweißer Kreidegrund im Gesicht. NIEDERBAYERISCH, WOHL PASSAU, UM 1540-50. Lindenholz. Höhe 49 cm. Das Bildwerk stellt eine Weiterentwicklung des bewegten Faltenstils dar, der in der sitzenden Maria mit Kind eines Passauer Meisters (ehemals Sammlung Oertel, jetzt Bayerisches Nationalmuseum) zum Ausdruck kam. Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Oertel-München, R. Lepke, Berlin (1913), Nr. 135, Tafel 110. (Niederbayerisch, wohl Passau, um 1540-50)|MARIA VON EINEM VESPERBILD. Maria sitzt frontal auf einer profilierten Bank und neigt das Haupt in trauernder Gebärde nach links. Kleidung: enganschließendes langes Gewand und weiter Mantel, der die Brust und den Unterkörper bis zu den Knien freiläßt und von dort aus in reicher Bewegung bis zu dem gewölbten Sockel herabfließt. Unter dem über die Stirn herabhängenden Kopftuch kommt ein Stück des Schleiers zum Vorschein, das in weitem Bogen über den rechten Arm fällt. Die beiden Arme Marias sind bis zur Brusthöhe erhoben. Mit der Rechten stützte sie vermutlich das Haupt des auf ihren Knien ruhenden Leichnams, während die erhobene Linke vermutlich die linke Hand Christi umfaßt hielt. Es fehlen beide Hände und die Figur des toten Christus. Wandgruppe mit ausgehöhlter Rückseite. Spuren alter Fassung: Gold am Mantel, Grün am Sockel, gelblichsweißer Kreidegrund im Gesicht. NIEDERBAYERISCH, WOHL PASSAU, UM 1540-50. Lindenholz. Höhe 49 cm. Das Bildwerk stellt eine Weiterentwicklung des bewegten Faltenstils dar, der in der sitzenden Maria mit Kind eines Passauer Meisters (ehemals Sammlung Oertel, jetzt Bayerisches Nationalmuseum) zum Ausdruck kam. Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Oertel-München, R. Lepke, Berlin (1913), Nr. 135, Tafel 110.]] réalisée par Niederbayerisch, wohl Passau, um 1540-50, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 600 sch. [192]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. In Profilstellung von links sitzend, ist Maria in ein weites Gewand und in einen am Halse ausgeschnittenen, über der Brust zusammenhängenden Mantel gekleidet. Auf ihrem Haupt trägt sie einen Kronreif mit großen Blattzacken. Das lockige Haar wallt über den Rücken herab. Sie hält mit beiden Händen das auf ihrem Schoß sitzende nackte Kind. Ergänzt sind die Nase der Maria und Teilstücke ihrer rechten Hand, kleine Stücke der Gewandung, die Nase und die Geschlechtsteile des Kindes. Wandgruppe mit ausgehöhlter Rückseite. NÜRNBERG, 2. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 115 cm. Die Gruppe war wohl ehemals ein Teilstück einer Anbetung der Hl. Drei Könige oder einer Darstellung der hl. Sippe. Sie stammt aus den Beständen des Germanischen Nationalmuseums in Nürnberg. Vgl. Josephi, Die Werke plastischer Kunst 1910 (Kataloge des Germanischen Nationalmuseums zu Nürnberg), Seite 137 und 138, Nr. 263. Abbildung auf Seite 138. Dort wird die Gruppe der gleichen Werkstätte zugeschrieben, aus der auch die beiden Nürnberger Reliefs der hl. Katharina und Margaretha aus der Filialkirche Gebersdorf bei Thalmässing in Mittelfranken stammen, die im Germanischen Museum verwahrt werden. Vgl. Josephi, Katalog Nr. 261 und 262. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 35, Tafel 17. (Nürnberg, 2. Hälfte des 15. Jahrhunderts)|MARIA MIT DEM KINDE. In Profilstellung von links sitzend, ist Maria in ein weites Gewand und in einen am Halse ausgeschnittenen, über der Brust zusammenhängenden Mantel gekleidet. Auf ihrem Haupt trägt sie einen Kronreif mit großen Blattzacken. Das lockige Haar wallt über den Rücken herab. Sie hält mit beiden Händen das auf ihrem Schoß sitzende nackte Kind. Ergänzt sind die Nase der Maria und Teilstücke ihrer rechten Hand, kleine Stücke der Gewandung, die Nase und die Geschlechtsteile des Kindes. Wandgruppe mit ausgehöhlter Rückseite. NÜRNBERG, 2. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 115 cm. Die Gruppe war wohl ehemals ein Teilstück einer Anbetung der Hl. Drei Könige oder einer Darstellung der hl. Sippe. Sie stammt aus den Beständen des Germanischen Nationalmuseums in Nürnberg. Vgl. Josephi, Die Werke plastischer Kunst 1910 (Kataloge des Germanischen Nationalmuseums zu Nürnberg), Seite 137 und 138, Nr. 263. Abbildung auf Seite 138. Dort wird die Gruppe der gleichen Werkstätte zugeschrieben, aus der auch die beiden Nürnberger Reliefs der hl. Katharina und Margaretha aus der Filialkirche Gebersdorf bei Thalmässing in Mittelfranken stammen, die im Germanischen Museum verwahrt werden. Vgl. Josephi, Katalog Nr. 261 und 262. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 35, Tafel 17.]] réalisée par Nürnberg, 2. Hälfte des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1500 sch. [193]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDER ENGEL (?), vermutlich von einer Grablegung Christi. Der Engel steht, bekleidet mit Gewand und Mantel, auf halbrundem Rasensockel. Mit der Rechten umfaßt er den unteren Teil einer (abgebrochenen) Kerze, mit der Linken hält er das Mantelende. Das nach rechts abwärts gewandte, von Locken umrahmte Gesicht zeigt schmerzhaften Ausdruck. Kleinere Ergänzungen und Ausstückungen. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Spuren alter Bemalung: Mantel grün, ehemals Gold; Futter rot; Sockel grün. MITTELFRÄNKISCH, WOHL NÜRNBERG, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 81 cm. TAFEL 38 (Mittelfränkisch, wohl Nürnberg, gegen 1500)|TRAUERNDER ENGEL (?), vermutlich von einer Grablegung Christi. Der Engel steht, bekleidet mit Gewand und Mantel, auf halbrundem Rasensockel. Mit der Rechten umfaßt er den unteren Teil einer (abgebrochenen) Kerze, mit der Linken hält er das Mantelende. Das nach rechts abwärts gewandte, von Locken umrahmte Gesicht zeigt schmerzhaften Ausdruck. Kleinere Ergänzungen und Ausstückungen. Schreinfigur. Rückseite ausgehöhlt. Spuren alter Bemalung: Mantel grün, ehemals Gold; Futter rot; Sockel grün. MITTELFRÄNKISCH, WOHL NÜRNBERG, GEGEN 1500. Lindenholz. Höhe 81 cm. TAFEL 38]] réalisée par Mittelfränkisch, wohl Nürnberg, gegen 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [194]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. MAGDALENA, stehend, mit enganliegendem Gewand und langem, halbgeöffnetem, bis zum Boden in reichen Falten herabfallendem Mantel. Aus der Haube fällt in großem Bogen der Schleier über die Brust herab. Die Linke der Heiligen rafft das Mantelende bis zur Brusthöhe empor, die Rechte trägt ein großes, zylindrisches Salbengefäß mit spitzem Deckel. Es fehlen Teile der unteren Gewandfalten und des Standsockels. Hochrelief, Rückseite flach. FRÄNKISCH, WOHL NÜRNBERG, ENDE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 84 cm. (Fränkisch, wohl Nürnberg, Ende des 15. Jahrhunderts)|HL. MAGDALENA, stehend, mit enganliegendem Gewand und langem, halbgeöffnetem, bis zum Boden in reichen Falten herabfallendem Mantel. Aus der Haube fällt in großem Bogen der Schleier über die Brust herab. Die Linke der Heiligen rafft das Mantelende bis zur Brusthöhe empor, die Rechte trägt ein großes, zylindrisches Salbengefäß mit spitzem Deckel. Es fehlen Teile der unteren Gewandfalten und des Standsockels. Hochrelief, Rückseite flach. FRÄNKISCH, WOHL NÜRNBERG, ENDE DES 15. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 84 cm.]] réalisée par Fränkisch, wohl Nürnberg, Ende des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 260 sch. [195]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[JOHANNES DER EVANGELIST, mit gegürtetem, auf der Brust zugeknöpftem Kleid und langem Mantel, barfuß auf halbrundem Sockel stehend. Die Rechte ruht auf der Brust, die Linke, über der sich das Mantelende bauscht, hält auf halber Oberschenkelhöhe das Buch. Das Bildwerk, das am Gesicht, an den Haaren und an den Händen außerordentlich sorgfältige Durchbildung zeigt, ist an diesen Teilen durch Abstoßungen etwas beschädigt. Es ist allem Anschein nach die Arbeit eines Steinbildhauers. Kleine Ergänzung am überfallenden Mantelende. Wandstatuette. Rückseite bearbeitet. NÜRNBERGISCH, UM 1500-1505. Vermutlich von einem Meister aus dem Umkreis des Adam Kraft. Lindenholz. Höhe 57 cm. (Adam Kraft)|JOHANNES DER EVANGELIST, mit gegürtetem, auf der Brust zugeknöpftem Kleid und langem Mantel, barfuß auf halbrundem Sockel stehend. Die Rechte ruht auf der Brust, die Linke, über der sich das Mantelende bauscht, hält auf halber Oberschenkelhöhe das Buch. Das Bildwerk, das am Gesicht, an den Haaren und an den Händen außerordentlich sorgfältige Durchbildung zeigt, ist an diesen Teilen durch Abstoßungen etwas beschädigt. Es ist allem Anschein nach die Arbeit eines Steinbildhauers. Kleine Ergänzung am überfallenden Mantelende. Wandstatuette. Rückseite bearbeitet. NÜRNBERGISCH, UM 1500-1505. Vermutlich von einem Meister aus dem Umkreis des Adam Kraft. Lindenholz. Höhe 57 cm.]] réalisée par Adam Kraft, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [196]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen und leicht nach links abwärts geneigtem bärtigem, mit der Dornenkrone umwundenem Haupt. Zwei lange Ringellocken des Haares fallen zu beiden Seiten des Kopfes auf die Brust herab. Das in straffe Falten mit schmalen Stegen gelegte Schamtuch war ursprünglich an der rechten Hüfte geknotet. Dieser Knoten und die beiden, vermutlich bogenförmig bewegten Enden des Tuches, für die an der rechten Hüfte und an der Rückseite des linken Oberschenkels alte Diebel vorhanden sind, gingen verloren. Es fehlen außerdem die beiden, ursprünglich am Schulteransatz angediebelten Arme. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet, abgeflacht. Schön erhaltene alte Fassung: Fleischfarbe gelblich=weiß; Haare dunkelbraun; Dornenkrone schwarz; Schamtuch Gold. NÜRNBERGISCH, UM 1510. Aus dem Umkreis des Veit Stoß. Lindenholz. Höhe 185 cm. Das Bildwerk reicht in seiner monumentalen Auffassung, in der vollendeten Durchbildung des Körpers und in der ausdrucksvollen Gesichtsbildung sehr nahe an ähnliche lebensgroße Kruzifixe des Nürnberger Meisters Veit Stoß heran. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 36a, Tafel 18. (Dort als "schwäbisch-fränkisch" angesprochen.) TAFEL 42 (Veit Stoß)|KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen und leicht nach links abwärts geneigtem bärtigem, mit der Dornenkrone umwundenem Haupt. Zwei lange Ringellocken des Haares fallen zu beiden Seiten des Kopfes auf die Brust herab. Das in straffe Falten mit schmalen Stegen gelegte Schamtuch war ursprünglich an der rechten Hüfte geknotet. Dieser Knoten und die beiden, vermutlich bogenförmig bewegten Enden des Tuches, für die an der rechten Hüfte und an der Rückseite des linken Oberschenkels alte Diebel vorhanden sind, gingen verloren. Es fehlen außerdem die beiden, ursprünglich am Schulteransatz angediebelten Arme. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet, abgeflacht. Schön erhaltene alte Fassung: Fleischfarbe gelblich=weiß; Haare dunkelbraun; Dornenkrone schwarz; Schamtuch Gold. NÜRNBERGISCH, UM 1510. Aus dem Umkreis des Veit Stoß. Lindenholz. Höhe 185 cm. Das Bildwerk reicht in seiner monumentalen Auffassung, in der vollendeten Durchbildung des Körpers und in der ausdrucksvollen Gesichtsbildung sehr nahe an ähnliche lebensgroße Kruzifixe des Nürnberger Meisters Veit Stoß heran. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 36a, Tafel 18. (Dort als "schwäbisch-fränkisch" angesprochen.) TAFEL 42]] réalisée par Veit Stoß, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1000 sch. [197]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÜSTE EINES BISCHOFS. Auf abgeschrägter, eckiger Standplatte erhebt sich die bis zur Brustmitte sichtbare Gestalt eines Bischofs, der Alba, Dalmatika und Mitra trägt. Die beiden Bänder der Mitra kommen von der Rückseite des Kopfes auf beiden Seiten des Körpers bis zur Brust vor. Das Haupt des Bischofs ist leicht nach links geneigt, der Blick nach rechts abwärts gerichtet. Die Mitra ist am oberen Ende abgestoßen. Statuette. Rückseite bearbeitet. UNTERFRANKEN, UM 1500. Lindenholz. Höhe 24,5 cm. (Unterfranken, um 1500)|BÜSTE EINES BISCHOFS. Auf abgeschrägter, eckiger Standplatte erhebt sich die bis zur Brustmitte sichtbare Gestalt eines Bischofs, der Alba, Dalmatika und Mitra trägt. Die beiden Bänder der Mitra kommen von der Rückseite des Kopfes auf beiden Seiten des Körpers bis zur Brust vor. Das Haupt des Bischofs ist leicht nach links geneigt, der Blick nach rechts abwärts gerichtet. Die Mitra ist am oberen Ende abgestoßen. Statuette. Rückseite bearbeitet. UNTERFRANKEN, UM 1500. Lindenholz. Höhe 24,5 cm.]] réalisée par Unterfranken, um 1500, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 360 sch. [198]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen und nach links geneigtem bärtigem Kopf, der die Dornenkrone trägt. Zwei lange Locken des Haupthaares fallen auf beide Schultern herab. Das schmale Schamtuch ist an der linken Hüfte geknotet; das Ende fällt, in reiche Knorpelfalten gelegt, senkrecht herab. Der ganze Körper ist auf der Vorder- und Rückseite mit größter Sorgfalt bearbeitet, ebenso das Schamtuch, das die Körperformen durchscheinen läßt. Es fehlen die beiden ursprünglich angediebelten Arme. Freiplastisches Bildwerk mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. TILMAN RIEMENSCHNEIDER (1468-1531), Würzburg, Nußbaumholz. Höhe 27,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 73, Tafel 41. TAFEL 41 (Tilman Riemenschneider)|KRUZIFIXUS, mit übereinandergenagelten Füßen und nach links geneigtem bärtigem Kopf, der die Dornenkrone trägt. Zwei lange Locken des Haupthaares fallen auf beide Schultern herab. Das schmale Schamtuch ist an der linken Hüfte geknotet; das Ende fällt, in reiche Knorpelfalten gelegt, senkrecht herab. Der ganze Körper ist auf der Vorder- und Rückseite mit größter Sorgfalt bearbeitet, ebenso das Schamtuch, das die Körperformen durchscheinen läßt. Es fehlen die beiden ursprünglich angediebelten Arme. Freiplastisches Bildwerk mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. TILMAN RIEMENSCHNEIDER (1468-1531), Würzburg, Nußbaumholz. Höhe 27,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 73, Tafel 41. TAFEL 41]] réalisée par Tilman Riemenschneider, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2500 sch. [199]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit waagrecht ausgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen, auf einem schmalen, reich mit Flachschnitzerei verzierten (neuen) Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist nach der linken Seite gedreht und leicht geneigt. Unter der Dornenkrone kommen zwei lange Locken hervor, die auf die rechte Schulter und auf die linke Brust herabhängen. Das Schamtuch ist in der Körpermitte übereinandergefaltet, die beiden in Halbbogen flatternden Enden kommen zwischen den Beinen hervor. Das Kreuz, beide Arme des Kruzifixus und der linke Ausschwung des Schamtuches sind spätere Ergänzung. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung unter einer späteren Bemalung. TILMAN RIEMENSCHNEIDER, WERKSTATT, UM 1520. Lindenholz. Höhe des Kreuzes 129 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 36b, Tafel 18. TAFEL 42 (Tilman Riemenschneider)|KRUZIFIXUS, mit waagrecht ausgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen, auf einem schmalen, reich mit Flachschnitzerei verzierten (neuen) Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist nach der linken Seite gedreht und leicht geneigt. Unter der Dornenkrone kommen zwei lange Locken hervor, die auf die rechte Schulter und auf die linke Brust herabhängen. Das Schamtuch ist in der Körpermitte übereinandergefaltet, die beiden in Halbbogen flatternden Enden kommen zwischen den Beinen hervor. Das Kreuz, beide Arme des Kruzifixus und der linke Ausschwung des Schamtuches sind spätere Ergänzung. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung unter einer späteren Bemalung. TILMAN RIEMENSCHNEIDER, WERKSTATT, UM 1520. Lindenholz. Höhe des Kreuzes 129 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 36b, Tafel 18. TAFEL 42]] réalisée par Tilman Riemenschneider, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 800 sch. [200]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit waagrecht ausgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen, an einem T-förmigen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist in Profilansieht nach links gedreht und trägt die Dornenkrone. Zu beiden Seiten des Kopfes fallen zwei lange Haarlocken auf die Brust herab. Das Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet, sein Ende flattert vom Knoten aus in großem Bogen, zum Teil vom Körper verdeckt, bis zur Höhe des linken Knies herab. Es fehlen: drei Finger der rechten, zwei Finger der linken Hand. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spuren von Bemalung. TILMAN RIEMENSCHNEIDER, SCHULE, UM 1520-25. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 78 cm, des Kreuzes 109 cm. (Tilman Riemenschneider)|KRUZIFIXUS, mit waagrecht ausgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen, an einem T-förmigen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist in Profilansieht nach links gedreht und trägt die Dornenkrone. Zu beiden Seiten des Kopfes fallen zwei lange Haarlocken auf die Brust herab. Das Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet, sein Ende flattert vom Knoten aus in großem Bogen, zum Teil vom Körper verdeckt, bis zur Höhe des linken Knies herab. Es fehlen: drei Finger der rechten, zwei Finger der linken Hand. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spuren von Bemalung. TILMAN RIEMENSCHNEIDER, SCHULE, UM 1520-25. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 78 cm, des Kreuzes 109 cm.]] réalisée par Tilman Riemenschneider, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 350 sch. [201]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. JAKOBUS DER ÄLTERE, stehend, auf einem Rasensockel, der auf einen achteckigen profilierten Standsockel aufgesetzt ist. Der Heilige ist bekleidet mit einem bis über das Knie reichenden gegürteten Gewand und langem, um die Schultern gelegten Mantel. An dem Gürtel hängt über seine rechte Hüfte die Pilgertasche herab. Die linke Hand umfaßt den Pilgerstab, die Rechte hält in Brusthöhe ein Buch. Das nach links unten geneigte bärtige Haupt ist mit einem großen Hut mit aufgeschlagener Krempe bedeckt. Es fehlen der untere Teil des Pilgerstabes und einzelne Teile des Mantels. Freiplastisch. Reste alter Fassung: Mantel Silber, Futter rot; Gewand rot mit grüner Borte; Tasche und Haare Gold; Hut Silber; Sockel grau. NIEDERBAYERISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe mit dem Sockel 58 cm. (Niederbayerisch, 2. Hälfte des 16. Jahrhunderts)|HL. JAKOBUS DER ÄLTERE, stehend, auf einem Rasensockel, der auf einen achteckigen profilierten Standsockel aufgesetzt ist. Der Heilige ist bekleidet mit einem bis über das Knie reichenden gegürteten Gewand und langem, um die Schultern gelegten Mantel. An dem Gürtel hängt über seine rechte Hüfte die Pilgertasche herab. Die linke Hand umfaßt den Pilgerstab, die Rechte hält in Brusthöhe ein Buch. Das nach links unten geneigte bärtige Haupt ist mit einem großen Hut mit aufgeschlagener Krempe bedeckt. Es fehlen der untere Teil des Pilgerstabes und einzelne Teile des Mantels. Freiplastisch. Reste alter Fassung: Mantel Silber, Futter rot; Gewand rot mit grüner Borte; Tasche und Haare Gold; Hut Silber; Sockel grau. NIEDERBAYERISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe mit dem Sockel 58 cm.]] réalisée par Niederbayerisch, 2. Hälfte des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [202]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, Fragment. Die Beine sind übereinandergenagelt; die ehemals angediebelten Arme fehlen. Das Haupt ist bärtig, trägt die Dornenkrone und ist tief nach links geneigt. Das bauschige Lendentuch wird von zwei Schnüren gehalten; es ist in Knorpelfalten gelegt. Es fehlt die Hälfte des rechten Fußes. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Buchsbaumholz. Höhe 12 cm. (Oberrheinisch, 2. Hälfte des 16. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, Fragment. Die Beine sind übereinandergenagelt; die ehemals angediebelten Arme fehlen. Das Haupt ist bärtig, trägt die Dornenkrone und ist tief nach links geneigt. Das bauschige Lendentuch wird von zwei Schnüren gehalten; es ist in Knorpelfalten gelegt. Es fehlt die Hälfte des rechten Fußes. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Buchsbaumholz. Höhe 12 cm.]] réalisée par Oberrheinisch, 2. Hälfte des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [203]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Der Körper ist merklich nach rechts gewendet; das mit der Dornenkrone bedeckte Haupt stark nach links abwärts geneigt. Das Ende des in straffe Falten gelegten Schamtuches hängt über die rechte Hüfte herab. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SCHWÄBISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 43 cm, Spannweite der Arme 27 cm. (Schwäbisch, 2. Hälfte des 16. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Der Körper ist merklich nach rechts gewendet; das mit der Dornenkrone bedeckte Haupt stark nach links abwärts geneigt. Das Ende des in straffe Falten gelegten Schamtuches hängt über die rechte Hüfte herab. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SCHWÄBISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 43 cm, Spannweite der Arme 27 cm.]] réalisée par Schwäbisch, 2. Hälfte des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 230 sch. [204]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI ENGEL MIT DEM HAUPTE CHRISTI. Zwei stehende Engel mit lockigem Haar und langen Gewändern halten mit ihren Händen die zwischen ihnen aufgerichtete wappenartige Kartusche, auf der das Haupt Christi in hochreliefartiger Ausführung erscheint. Christus trägt die Dornenkrone, unter der zu beiden Seiten des bärtigen Gesichtes in lockigen Wellen das Haupthaar herabhängt. Die Flügel der beiden Engel sind ausgebreitet. Über ihnen, in den oberen Ecken des Reliefs, werden Blumen sichtbar. Hochrelief mit vertieftem Grund. Reste alter Bemalung: Gewand der Engel rot; Haare der Engel und des Christus schwarz; Wappen grün und rot; Rahmen grün. BAYERISCH, ENDE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 19 cm, Breite 33 cm. (Bayerisch, Ende des 16. Jahrhunderts)|ZWEI ENGEL MIT DEM HAUPTE CHRISTI. Zwei stehende Engel mit lockigem Haar und langen Gewändern halten mit ihren Händen die zwischen ihnen aufgerichtete wappenartige Kartusche, auf der das Haupt Christi in hochreliefartiger Ausführung erscheint. Christus trägt die Dornenkrone, unter der zu beiden Seiten des bärtigen Gesichtes in lockigen Wellen das Haupthaar herabhängt. Die Flügel der beiden Engel sind ausgebreitet. Über ihnen, in den oberen Ecken des Reliefs, werden Blumen sichtbar. Hochrelief mit vertieftem Grund. Reste alter Bemalung: Gewand der Engel rot; Haare der Engel und des Christus schwarz; Wappen grün und rot; Rahmen grün. BAYERISCH, ENDE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 19 cm, Breite 33 cm.]] réalisée par Bayerisch, Ende des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 50 sch. [205]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA VERKÜNDIGUNG. Maria kniet links vor einem mit einem Baldachin überdachten Betstuhl; sie hat ihre Hände über der Brust gefaltet und wendet den Kopf nach rechts, dem Engel zu. Dieser schwebt mit eingezogenen Flügeln auf einer Wolke kniend herbei. Am oberen Rande der Darstellung, über der Maria und dem Engel, ein halbrunder Kreis von Wolken. Der Rand ringsum vertieft geschnitten zur Aufnahme in den Falz eines Rähmchens. Hochrelief. Es fehlen die beiden Hände des Engels. Am oberen Rand kleinere Beschädigungen. BAYERISCH, UM 1580. Lindenholz. Höhe 16 cm, Breite 14,5 cm. Das Relief war wohl ehemals als Füllung in den Rahmen eines Hausaltärchens oder eines Möbelstückes eingepaßt. Gegenstück zu Nr. 136. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 76, Tafel 42. (Bayerisch, um 1580)|MARIA VERKÜNDIGUNG. Maria kniet links vor einem mit einem Baldachin überdachten Betstuhl; sie hat ihre Hände über der Brust gefaltet und wendet den Kopf nach rechts, dem Engel zu. Dieser schwebt mit eingezogenen Flügeln auf einer Wolke kniend herbei. Am oberen Rande der Darstellung, über der Maria und dem Engel, ein halbrunder Kreis von Wolken. Der Rand ringsum vertieft geschnitten zur Aufnahme in den Falz eines Rähmchens. Hochrelief. Es fehlen die beiden Hände des Engels. Am oberen Rand kleinere Beschädigungen. BAYERISCH, UM 1580. Lindenholz. Höhe 16 cm, Breite 14,5 cm. Das Relief war wohl ehemals als Füllung in den Rahmen eines Hausaltärchens oder eines Möbelstückes eingepaßt. Gegenstück zu Nr. 136. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 76, Tafel 42.]] réalisée par Bayerisch, um 1580, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 310 sch. [206]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TOBIAS MIT DEM ENGEL. Auf felsigem Gelände steht zur Linken mit ausgebreiteten Flügeln der Engel, der sich dem zur Rechten stehenden Tobias zuwendet. Zwischen den beiden Gestalten, auf einer erhöhten Felsplatte, der Hund. Im Hintergrund wird in Flachreliefschnitzerei eine Felsenlandschaft mit Häusern und einer Burg als Bekrönung sichtbar. Der Rand ringsum abgeflacht und zur Aufnahme in den Falz eines Rähmchens hergerichtet. Hochrelief. Es fehlen beide Hände des Engels und des Tobias. Am oberen Rand kleine Splitter ausgebrochen. BAYERISCH, UM 1580. Lindenholz, braun getönt. Höhe 15,5 cm, Breite 14,5 cm. Das Relief war wohl ehemals als Füllung in den Rahmen eines Hausaltärchens oder eines Möbelstückes eingepaßt. Gegenstück zu Nr. 135. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 77, Tafel 42. (Bayerisch, um 1580)|TOBIAS MIT DEM ENGEL. Auf felsigem Gelände steht zur Linken mit ausgebreiteten Flügeln der Engel, der sich dem zur Rechten stehenden Tobias zuwendet. Zwischen den beiden Gestalten, auf einer erhöhten Felsplatte, der Hund. Im Hintergrund wird in Flachreliefschnitzerei eine Felsenlandschaft mit Häusern und einer Burg als Bekrönung sichtbar. Der Rand ringsum abgeflacht und zur Aufnahme in den Falz eines Rähmchens hergerichtet. Hochrelief. Es fehlen beide Hände des Engels und des Tobias. Am oberen Rand kleine Splitter ausgebrochen. BAYERISCH, UM 1580. Lindenholz, braun getönt. Höhe 15,5 cm, Breite 14,5 cm. Das Relief war wohl ehemals als Füllung in den Rahmen eines Hausaltärchens oder eines Möbelstückes eingepaßt. Gegenstück zu Nr. 135. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 77, Tafel 42.]] réalisée par Bayerisch, um 1580, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 310 sch. [207]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und straff ausgestreckten, übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt; es trägt die Dornenkrone. Das in lange, zügige Falten gelegte Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet. Das Tuchende hängt vom Knoten aus bis zum Knie herab. Aufs sorgfältigste durchgeführte Arbeit. Die Brustwarzen plastisch eingesetzt. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. SÜDDEUTSCH, WOHL SCHWÄBISCH, 1, HÄLFTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Höhe 31 cm, Im Typus verwandt zu einem Kruzifixus von Georg Petel im Bayerischen Nationalmuseum zu München. Vgl. Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 863, Tafel 312. TAFEL 42 (Süddeutsch, wohl Schwäbisch, 1. Hälfte des 17. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und straff ausgestreckten, übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt; es trägt die Dornenkrone. Das in lange, zügige Falten gelegte Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet. Das Tuchende hängt vom Knoten aus bis zum Knie herab. Aufs sorgfältigste durchgeführte Arbeit. Die Brustwarzen plastisch eingesetzt. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. SÜDDEUTSCH, WOHL SCHWÄBISCH, 1, HÄLFTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Höhe 31 cm, Im Typus verwandt zu einem Kruzifixus von Georg Petel im Bayerischen Nationalmuseum zu München. Vgl. Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 863, Tafel 312. TAFEL 42]] réalisée par Süddeutsch, wohl Schwäbisch, 1. Hälfte des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 330 sch. [208]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHLAFENDER JÜNGER, wohl von einer Darstellung des Ölberges. Die Gestalt sitzt, die beiden Beine auf einen Rasensockel gestellt, in frontaler Stellung. Die linke Hand liegt auf dem linken Knie, der rechte Ellenbogen stützt sich auf das rechte Knie auf. Die rechte Hand hält den nach links abwärts geneigten Kopf. Kleidung: langes, bis zum Boden herabreichendes Untergewand mit langen Ärmeln, darüber weiter Mantel, der über der Brust durch eine Agraffe zusammen- gehalten wird. Das bärtige Haupt ist von langem welligem Haar umrahmt. Schreinfigur, Rückseite abgeflacht. Alte Bemalung: Mantel rot, Futter gelb; Kleid blaugrau; Haare braun. BAYERISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 61 cm. (Bayerisch, 1. Hälfte des 16. Jahrhunderts)|SCHLAFENDER JÜNGER, wohl von einer Darstellung des Ölberges. Die Gestalt sitzt, die beiden Beine auf einen Rasensockel gestellt, in frontaler Stellung. Die linke Hand liegt auf dem linken Knie, der rechte Ellenbogen stützt sich auf das rechte Knie auf. Die rechte Hand hält den nach links abwärts geneigten Kopf. Kleidung: langes, bis zum Boden herabreichendes Untergewand mit langen Ärmeln, darüber weiter Mantel, der über der Brust durch eine Agraffe zusammen- gehalten wird. Das bärtige Haupt ist von langem welligem Haar umrahmt. Schreinfigur, Rückseite abgeflacht. Alte Bemalung: Mantel rot, Futter gelb; Kleid blaugrau; Haare braun. BAYERISCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 61 cm.]] réalisée par Bayerisch, 1. Hälfte des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [209]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt und trägt die Dornenkrone. Schmales Lendentuch, das an der rechten Hüfte geknotet ist und dessen Enden vom Knoten senkrecht nach abwärts hängen. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 34 cm, Spannweite der Arme 24 cm. (Süddeutsch, 1. Hälfte des 16. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt und trägt die Dornenkrone. Schmales Lendentuch, das an der rechten Hüfte geknotet ist und dessen Enden vom Knoten senkrecht nach abwärts hängen. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 16. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 34 cm, Spannweite der Arme 24 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 80 sch. [210]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA. Maria steht frontal, bekleidet mit gegürtetem, langem Gewand und langem Mantel, den sie mit beiden Händen vor der Mitte des Leibes emporrafft. Das nach abwärts geneigte Haupt ist von einem Kopftuch umhüllt, das auch die Schultern bedeckt und dessen Enden von einem nicht sichtbaren Knoten am Halse über die Mitte der Brust herabhängen. Es fehlen die beiden einst in Hüfthöhe gefalteten Hände. Statuette. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung: Kopftuch weiß mit Goldrand; Kleid weinrot; Mantel blau mit Goldrand. BAYERISCH, GEGEN 1600. Lindenholz. Höhe 31 cm. Spätere, selbständig gestaltete Wiederholung einer "Trauernden Maria" vom Anfang des 15. Jahrhunderts. (Bayerisch, gegen 1600)|TRAUERNDE MARIA. Maria steht frontal, bekleidet mit gegürtetem, langem Gewand und langem Mantel, den sie mit beiden Händen vor der Mitte des Leibes emporrafft. Das nach abwärts geneigte Haupt ist von einem Kopftuch umhüllt, das auch die Schultern bedeckt und dessen Enden von einem nicht sichtbaren Knoten am Halse über die Mitte der Brust herabhängen. Es fehlen die beiden einst in Hüfthöhe gefalteten Hände. Statuette. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung: Kopftuch weiß mit Goldrand; Kleid weinrot; Mantel blau mit Goldrand. BAYERISCH, GEGEN 1600. Lindenholz. Höhe 31 cm. Spätere, selbständig gestaltete Wiederholung einer "Trauernden Maria" vom Anfang des 15. Jahrhunderts.]] réalisée par Bayerisch, gegen 1600, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 90 sch. [211]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE, nackt, auf einem profilierten Sockel stehend. Das mit einer Perücke aus Menschenhaaren und von einem metallenen Strahlenkranz umrahmte Haupt ist nach links gewendet. Die Rechte ist segnend erhoben, die Linke hielt einst die (jetzt verlorengegangene) Weltkugel. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung. Der Reliquiensockel Hartholz und schwarz gebeizt. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe (mit dem Sockel) 60 cm. (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|CHRISTUSKNABE, nackt, auf einem profilierten Sockel stehend. Das mit einer Perücke aus Menschenhaaren und von einem metallenen Strahlenkranz umrahmte Haupt ist nach links gewendet. Die Rechte ist segnend erhoben, die Linke hielt einst die (jetzt verlorengegangene) Weltkugel. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung. Der Reliquiensockel Hartholz und schwarz gebeizt. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe (mit dem Sockel) 60 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 60 sch. [212]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. GEORG ALS DRACHENTÖTER. Die kraftvolle Gestalt steht, in antikisierender Kriegertracht, auf einem halbrunden Sockel, auf dem der getötete Drache liegt. Die linke Hand Georgs umfaßt das Schwert, der erhobene rechte Arm, der ursprünglich wohl die Lanze festgehalten hatte, ist verlorengegangen. Vom Drachen fehlen der Kopf und das Schwanzende. Das unbedeckte bärtige, von Lockenhaar umgebene Haupt ist nach links gerichtet. Statue. Rückseite abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Silber am Mantelfutter. MÜNCHEN, UM 1600. Von einem Meister aus dem Kreise um Hubert Gerhard. Lindenholz. Höhe 100 cm. Vgl. Die Figur des Kaisers Augustus vom Augustusbrunnen des Hubert Gerhard, der in den Jahren 1589-1594 entstanden ist. Abgebildet bei: Brinckmann, Süddeutsche Bronzebildhauer des Frühbarocks (1923), S. 24 und Abb. 16. (München, um 1600)|HL. GEORG ALS DRACHENTÖTER. Die kraftvolle Gestalt steht, in antikisierender Kriegertracht, auf einem halbrunden Sockel, auf dem der getötete Drache liegt. Die linke Hand Georgs umfaßt das Schwert, der erhobene rechte Arm, der ursprünglich wohl die Lanze festgehalten hatte, ist verlorengegangen. Vom Drachen fehlen der Kopf und das Schwanzende. Das unbedeckte bärtige, von Lockenhaar umgebene Haupt ist nach links gerichtet. Statue. Rückseite abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Silber am Mantelfutter. MÜNCHEN, UM 1600. Von einem Meister aus dem Kreise um Hubert Gerhard. Lindenholz. Höhe 100 cm. Vgl. Die Figur des Kaisers Augustus vom Augustusbrunnen des Hubert Gerhard, der in den Jahren 1589-1594 entstanden ist. Abgebildet bei: Brinckmann, Süddeutsche Bronzebildhauer des Frühbarocks (1923), S. 24 und Abb. 16.]] réalisée par München, um 1600, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [213]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA UNTERM KREUZ. Maria steht frontal auf einem halbrunden Rasensockel. Sie ist bekleidet mit langem, unter der Brust gegürtetem Gewand, Kopftuch und weitem Mantel. Das Haupt ist nach rechts abwärts geneigt, die beiden (jetzt fehlenden) Hände waren vor der Brust zum Gebet gefaltet. Statue. Rückseite vernachlässigt. Reste eines älteren weißen Anstrichs. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 113 cm. (Süddeutsch, Anfang des 17. Jahrhunderts)|TRAUERNDE MARIA UNTERM KREUZ. Maria steht frontal auf einem halbrunden Rasensockel. Sie ist bekleidet mit langem, unter der Brust gegürtetem Gewand, Kopftuch und weitem Mantel. Das Haupt ist nach rechts abwärts geneigt, die beiden (jetzt fehlenden) Hände waren vor der Brust zum Gebet gefaltet. Statue. Rückseite vernachlässigt. Reste eines älteren weißen Anstrichs. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 113 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Anfang des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [214]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria sitzt auf einer profilierten Bank und hält mit der linken Hand das auf einem Kissen auf ihrem linken Oberschenkel sitzende Kind fest. Sie ist bekleidet mit langem, unter der Brust gegürtetem Gewand und weitem, langem Mantel. Ihr gescheiteltes Haar fällt in lockigen Wellen zu beiden Seiten des Hauptes über die Schultern herab. Die ausgestreckte rechte Hand, die wohl ursprünglich ein Szepter hielt, ist abgebrochen, ebenso der rechte Arm und der linke Unterarm des Kindes, Freiplastische Gruppe. Innen hohl. Spuren alter Bemalung. SÜDDEUTSCH, WOHL MÜNCHEN. 1. DRITTEL DES 17. JAHRHUNDERTS. Gebrannter, gelblich-roter Ton. Höhe 56 cm. Aus Eichstätt stammend. Das Christkind zeigt nahe Verwandtschaft mit den Schöpfungen des Münchener Meisters Hans Krumper, so daß man die aus Eichstätt stammende Gruppe wohl dem Münchener Kunstkreis zuweisen darf. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 78, Tafel 42. TAFEL 44 (Süddeutsch, wohl München. 1. Drittel des 17. Jahrhunderts)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria sitzt auf einer profilierten Bank und hält mit der linken Hand das auf einem Kissen auf ihrem linken Oberschenkel sitzende Kind fest. Sie ist bekleidet mit langem, unter der Brust gegürtetem Gewand und weitem, langem Mantel. Ihr gescheiteltes Haar fällt in lockigen Wellen zu beiden Seiten des Hauptes über die Schultern herab. Die ausgestreckte rechte Hand, die wohl ursprünglich ein Szepter hielt, ist abgebrochen, ebenso der rechte Arm und der linke Unterarm des Kindes, Freiplastische Gruppe. Innen hohl. Spuren alter Bemalung. SÜDDEUTSCH, WOHL MÜNCHEN. 1. DRITTEL DES 17. JAHRHUNDERTS. Gebrannter, gelblich-roter Ton. Höhe 56 cm. Aus Eichstätt stammend. Das Christkind zeigt nahe Verwandtschaft mit den Schöpfungen des Münchener Meisters Hans Krumper, so daß man die aus Eichstätt stammende Gruppe wohl dem Münchener Kunstkreis zuweisen darf. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 78, Tafel 42. TAFEL 44]] réalisée par Süddeutsch, wohl München. 1. Drittel des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 350 sch. [215]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und in den Knien leicht abgebogenen Beinen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist auf die Brust gesunken. Das schmale Lendentuch wird durch zwei Schnüre zusammengehalten, sein Ende fällt von der rechten Hüfte nach abwärts. Auf dem Längsbalken des Kreuzes, über dem Haupte Christi, die Schrifttafel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SÜDDEUTSCH, WOHL MÜNCHEN, 1. DRITTEL DES 17. Jahrhunderts. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 96 cm. Höhe des Kreuzes 134 cm, Breite des Kreuzes 86 cm. (Süddeutsch, wohl München. 1. Drittel des 17. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und in den Knien leicht abgebogenen Beinen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist auf die Brust gesunken. Das schmale Lendentuch wird durch zwei Schnüre zusammengehalten, sein Ende fällt von der rechten Hüfte nach abwärts. Auf dem Längsbalken des Kreuzes, über dem Haupte Christi, die Schrifttafel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SÜDDEUTSCH, WOHL MÜNCHEN, 1. DRITTEL DES 17. Jahrhunderts. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 96 cm. Höhe des Kreuzes 134 cm, Breite des Kreuzes 86 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl München. 1. Drittel des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1050 sch. [216]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STEHENDER HEILIGER (Michael?) in Renaissancegewand. Das nach rechts abwärts geneigte Haupt ist von Schneckenlocken umrahmt und trägt eine Krone. Die Rechte ist hoch erhoben, die Linke in Ellenbogenhöhe nach rechts ausgestreckt. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Schöne Reste alter Fassung: Gewand Gold und Silber, z. T. noch übermalt. Krone Gold. Standplatte gelb. SUDDEUTSCH, UM 1630. Lindenholz. Höhe 79 cm. (Süddeutsch, um 1630)|STEHENDER HEILIGER (Michael?) in Renaissancegewand. Das nach rechts abwärts geneigte Haupt ist von Schneckenlocken umrahmt und trägt eine Krone. Die Rechte ist hoch erhoben, die Linke in Ellenbogenhöhe nach rechts ausgestreckt. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Schöne Reste alter Fassung: Gewand Gold und Silber, z. T. noch übermalt. Krone Gold. Standplatte gelb. SUDDEUTSCH, UM 1630. Lindenholz. Höhe 79 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1630, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [217]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE MIT PALME, stehend, in langem Untergewand, gegürteter Schoßweste und langem, in großen Faltenzügen weit ausholendem Mantel. Die rechte Hand hält einen Palmenzweig, die Linke ist zur Brusthöhe erhoben. Das Haupt ist nach rechts gewendet und trägt kurzgeschnittenes, lockiges Haar. Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, GEGEN 1650. Lindenholz. Höhe 25 cm. (Bayerisch, wohl München, gegen 1650)|WEIBLICHE HEILIGE MIT PALME, stehend, in langem Untergewand, gegürteter Schoßweste und langem, in großen Faltenzügen weit ausholendem Mantel. Die rechte Hand hält einen Palmenzweig, die Linke ist zur Brusthöhe erhoben. Das Haupt ist nach rechts gewendet und trägt kurzgeschnittenes, lockiges Haar. Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, GEGEN 1650. Lindenholz. Höhe 25 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, gegen 1650, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 240 sch. [218]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BETENDER ENGEL. Der als Kniestück dargestellte Engel schwebt mit ausgebreiteten Flügeln auf einem Fruchtkranz, in dessen Mitte ein geöffneter Granatapfel sichtbar wird. Er ist bekleidet mit langem gegürtetem Gewand mit kurzen Ärmeln und hat die beiden Hände in Brusthöhe zum Gebet gefaltet. Das Haupt ist von welligen Locken, die bis zu den Schultern herabreichen, umrahmt. Hochrelief mit flacher Rückseite. Alte Bemalung und Vergoldung: Gewand Gold, Futter Silber; Flügel Silber und Gold; Fruchtkranz Silber, Gold, grün. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 44 cm. (Bayerisch, wohl München, gegen 1630)|BETENDER ENGEL. Der als Kniestück dargestellte Engel schwebt mit ausgebreiteten Flügeln auf einem Fruchtkranz, in dessen Mitte ein geöffneter Granatapfel sichtbar wird. Er ist bekleidet mit langem gegürtetem Gewand mit kurzen Ärmeln und hat die beiden Hände in Brusthöhe zum Gebet gefaltet. Das Haupt ist von welligen Locken, die bis zu den Schultern herabreichen, umrahmt. Hochrelief mit flacher Rückseite. Alte Bemalung und Vergoldung: Gewand Gold, Futter Silber; Flügel Silber und Gold; Fruchtkranz Silber, Gold, grün. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 44 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, gegen 1630, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 85 sch. [219]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STEHENDER CHRISTUSKNABE, der seine Rechte segnend erhoben hat und mit der Linken einen Apfel umfaßt hält. Achteckiger, gewölbter Sockel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: helle Fleischfarbe; Haare und Apfel Gold; Sockel grün. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 15 cm. (Bayerisch, wohl München, gegen 1630)|STEHENDER CHRISTUSKNABE, der seine Rechte segnend erhoben hat und mit der Linken einen Apfel umfaßt hält. Achteckiger, gewölbter Sockel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: helle Fleischfarbe; Haare und Apfel Gold; Sockel grün. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 15 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, gegen 1630, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 150 sch. [220]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE MIT EINEM APFEL (Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Das Kind in sitzender Stellung, mit der Hand der Maria unter dem linken Oberschenkel. Der Kopf ist nach links geneigt, die Beine sind übereinandergeschlagen. Nackter, nur mit einem Lendentuch bekleideter Körper. Es fehlt der rechte Unterarm. Statuette. Rückseite bearbeitet. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 7,5 cm. (Bayerisch, wohl München, gegen 1630)|CHRISTUSKNABE MIT EINEM APFEL (Bruchstück einer Maria mit dem Kinde). Das Kind in sitzender Stellung, mit der Hand der Maria unter dem linken Oberschenkel. Der Kopf ist nach links geneigt, die Beine sind übereinandergeschlagen. Nackter, nur mit einem Lendentuch bekleideter Körper. Es fehlt der rechte Unterarm. Statuette. Rückseite bearbeitet. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 7,5 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, gegen 1630, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [221]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE, auf hohem (erneuertem) sechseckigem Sockel stehend. Das nach rechts gewendete Haupt ist von welligem Haar umrahmt; über die obere Kopfhälfte und den Hinterkopf ist ein Schleier gelegt. Kleidung: langes, hochgegürtetes Gewand und weiter, bis zum Boden fallender Mantel, den in Leibhöhe die rechte Hand festhält. Die Linke ist ausgestreckt und hielt wohl ursprünglich ein Attribut. Schreinfigur. Rückseite abgeflacht. Sehr gut erhaltene alte Fassung: Mantel Gold, Futter Silber mit Spuren von roter Lüsterfarbe; Gewand Silber; Haare ockergelb. Der erneuerte Sockel versilbert und vergoldet. SCHWÄBISCH, UM 1630-1640. Lindenholz. Höhe (mit Sockel) 57 cm. (Schwäbisch, um 1630-1640)|WEIBLICHE HEILIGE, auf hohem (erneuertem) sechseckigem Sockel stehend. Das nach rechts gewendete Haupt ist von welligem Haar umrahmt; über die obere Kopfhälfte und den Hinterkopf ist ein Schleier gelegt. Kleidung: langes, hochgegürtetes Gewand und weiter, bis zum Boden fallender Mantel, den in Leibhöhe die rechte Hand festhält. Die Linke ist ausgestreckt und hielt wohl ursprünglich ein Attribut. Schreinfigur. Rückseite abgeflacht. Sehr gut erhaltene alte Fassung: Mantel Gold, Futter Silber mit Spuren von roter Lüsterfarbe; Gewand Silber; Haare ockergelb. Der erneuerte Sockel versilbert und vergoldet. SCHWÄBISCH, UM 1630-1640. Lindenholz. Höhe (mit Sockel) 57 cm.]] réalisée par Schwäbisch, um 1630-1640, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [222]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI ENGELSKÖPFE. Die Engelsköpfe mit den vollen, lachenden Gesichtern sind von breiten Ringellocken umrahmt; eine dieser Locken fällt jeweils bis zur Mitte der Stirn herab. Über den Köpfen erhebt sich eine palmettenartige Bekrönung. Das reich in Blattfalten gelegte Brusttuch endigt bei beiden Engeln in einer Quaste. Die Flügel sind hochgestellt und umgeben beide Köpfe in Form eines Hochovals. Wandfiguren mit ausgehöhlter Rückseite. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 59 und 58 cm. (Bayerisch, wohl München, um 1630)|ZWEI ENGELSKÖPFE. Die Engelsköpfe mit den vollen, lachenden Gesichtern sind von breiten Ringellocken umrahmt; eine dieser Locken fällt jeweils bis zur Mitte der Stirn herab. Über den Köpfen erhebt sich eine palmettenartige Bekrönung. Das reich in Blattfalten gelegte Brusttuch endigt bei beiden Engeln in einer Quaste. Die Flügel sind hochgestellt und umgeben beide Köpfe in Form eines Hochovals. Wandfiguren mit ausgehöhlter Rückseite. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 59 und 58 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, um 1630, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 130 sch. [223]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI ENGELSKÖPFE. Die Engelsköpfe mit den vollen, lachenden Gesichtern sind von breiten Ringellocken umrahmt; eine dieser Locken fällt jeweils bis zur Mitte der Stirn herab. Über den Köpfen erhebt sich eine palmettenartige Bekrönung. Das reich in Blattfalten gelegte Brusttuch endigt bei beiden Engeln in einer Quaste. Die Flügel sind hochgestellt und umgeben beide Köpfe in Form eines Hochovals. Wandfiguren mit ausgehöhlter Rückseite. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 59 und 58 cm. (Bayerisch, wohl München, um 1630)|ZWEI ENGELSKÖPFE. Die Engelsköpfe mit den vollen, lachenden Gesichtern sind von breiten Ringellocken umrahmt; eine dieser Locken fällt jeweils bis zur Mitte der Stirn herab. Über den Köpfen erhebt sich eine palmettenartige Bekrönung. Das reich in Blattfalten gelegte Brusttuch endigt bei beiden Engeln in einer Quaste. Die Flügel sind hochgestellt und umgeben beide Köpfe in Form eines Hochovals. Wandfiguren mit ausgehöhlter Rückseite. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1630. Lindenholz. Höhe 59 und 58 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, um 1630, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 130 sch. [224]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STEHENDER ENGEL (?). Die Gestalt steht frontal mit leicht nach links geneigtem, von Schneckenlocken umrahmtem Haupt. Sie ist bekleidet mit langem Untergewand und gegürteter Tunika. Es fehlen beide Unterarme, beide Füße und kleine Teile der auf dem erneuerten Rasensockel aufstehenden Falten des Kleides. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Reste eines weißen Anstrichs am Gewand; Haare braun. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1650. Lindenholz. Höhe 85 cm. (Bayerisch, wohl München, um 1650)|STEHENDER ENGEL (?). Die Gestalt steht frontal mit leicht nach links geneigtem, von Schneckenlocken umrahmtem Haupt. Sie ist bekleidet mit langem Untergewand und gegürteter Tunika. Es fehlen beide Unterarme, beide Füße und kleine Teile der auf dem erneuerten Rasensockel aufstehenden Falten des Kleides. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Reste eines weißen Anstrichs am Gewand; Haare braun. BAYERISCH, WOHL MÜNCHEN, UM 1650. Lindenholz. Höhe 85 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl München, um 1650, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 240 sch. [225]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGEL, in Linkswendung auf einem Geländestück und auf rechteckiger Standplatte stehend. Das von Schneckenlocken umrahmte Haupt ist nach links abwärts gewendet. Kleidung: kurzes Untergewand, darüber halblange Tunika mit kurzen Ärmeln und dreieckigem Halsausschnitt. Die Standplatte, einige Finger und Teile der Füße spätere Zutat. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Schöne Reste alter Fassung: Gewand Silber und Gold; Fleischfarbe kräftig rosa. BAYERISCH, MITTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 92 cm. (Bayerisch, Mitte des 17. Jahrhunderts)|ENGEL, in Linkswendung auf einem Geländestück und auf rechteckiger Standplatte stehend. Das von Schneckenlocken umrahmte Haupt ist nach links abwärts gewendet. Kleidung: kurzes Untergewand, darüber halblange Tunika mit kurzen Ärmeln und dreieckigem Halsausschnitt. Die Standplatte, einige Finger und Teile der Füße spätere Zutat. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Schöne Reste alter Fassung: Gewand Silber und Gold; Fleischfarbe kräftig rosa. BAYERISCH, MITTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 92 cm.]] réalisée par Bayerisch, Mitte des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 500 sch. [226]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE, nackt, mit segnend erhobener rechter Hand und erhobener Linken auf einem flachen Rasensockel stehend. Das von Locken umrahmte Haupt ist nach links gewendet. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischfarbe gelblich-rosa; Haare ockergelb; Sockel grün. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 39 cm. Tafel 70 (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|CHRISTUSKNABE, nackt, mit segnend erhobener rechter Hand und erhobener Linken auf einem flachen Rasensockel stehend. Das von Locken umrahmte Haupt ist nach links gewendet. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischfarbe gelblich-rosa; Haare ockergelb; Sockel grün. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 39 cm. Tafel 70]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 240 sch. [227]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das mit der Dornenkrone bedeckte bärtige Haupt ist nach links geneigt. Schmales, an der linken Hüfte geknotetes Lendentuch. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 24 cm. Spannweite der Arme 19 cm. (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das mit der Dornenkrone bedeckte bärtige Haupt ist nach links geneigt. Schmales, an der linken Hüfte geknotetes Lendentuch. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 24 cm. Spannweite der Arme 19 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [228]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER (CHRISTUS-?)KNABE, mit einem langen, halsfreien, kurzärmeligen Mantel bekleidet. Das nach links gewendete Haupt ist mit Schneckenlocken bedeckt. Die rechte Hand greift in Brusthöhe an den Mantelausschnitt. Es fehlen: der linke Unterarm, der rechte Unterschenkel, die Zehen des linken Fußes. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. SÜDDEUTSCH, WOHL BAYERISCH, UM 1650. Lindenholz. Höhe 16,5 cm. (Süddeutsch, wohl Bayerisch, um 1650)|SITZENDER (CHRISTUS-?)KNABE, mit einem langen, halsfreien, kurzärmeligen Mantel bekleidet. Das nach links gewendete Haupt ist mit Schneckenlocken bedeckt. Die rechte Hand greift in Brusthöhe an den Mantelausschnitt. Es fehlen: der linke Unterarm, der rechte Unterschenkel, die Zehen des linken Fußes. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. SÜDDEUTSCH, WOHL BAYERISCH, UM 1650. Lindenholz. Höhe 16,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl Bayerisch, um 1650, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 85 sch. [229]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MUTTER ANNA SELBDRITT, stehend auf z. T. abgestoßener Standplatte. Mutter Anna, bekleidet mit gegürtetem Gewand, langem Mantel und Schleier, trägt auf dem rechten Arm das bekleidete Christuskind; die Linke legt sie der vor ihr stehenden, in einem Buch lesenden Maria auf die linke Schulter. Es fehlen Teile des rechten Fußes der hl. Anna, die Füße der Maria und Teile der Standplatte. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste älterer Bemalung unter neuerem farbigem Anstrich. Mutter Anna: Schleier Gold; Kleid braun; Mantel blau. Maria: Kleid grün. Kind: Kleid grau, Haare schwarz. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 167 cm. (Süddeutsch, 1. Hälfte des 17. Jahrhunderts)|MUTTER ANNA SELBDRITT, stehend auf z. T. abgestoßener Standplatte. Mutter Anna, bekleidet mit gegürtetem Gewand, langem Mantel und Schleier, trägt auf dem rechten Arm das bekleidete Christuskind; die Linke legt sie der vor ihr stehenden, in einem Buch lesenden Maria auf die linke Schulter. Es fehlen Teile des rechten Fußes der hl. Anna, die Füße der Maria und Teile der Standplatte. Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste älterer Bemalung unter neuerem farbigem Anstrich. Mutter Anna: Schleier Gold; Kleid braun; Mantel blau. Maria: Kleid grün. Kind: Kleid grau, Haare schwarz. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 167 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [230]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÖNCH MIT BUCH UND LILIE, stehend, auf einem schreinartigen, profilierten Sockel. Die Gestalt trägt die Ordenstracht der Franziskaner mit Gürtel, Kapuze und Sandalen. Das bartlose Haupt zeigt kreisrund ausrasiertes Haupthaar. Die Rechte hält einen Zweig mit Lilien, die Linke trägt ein geschlossenes Buch. Statuette. Rückseite bearbeitet. Die Figur Naturholz, der Sockel schwarz gebeizt. SUDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, UM 1650. Nußbaumholz. Höhe mit dem alten Sockel 42,5 cm. (Süddeutsch, wohl Augsburg, um 1650)|MÖNCH MIT BUCH UND LILIE, stehend, auf einem schreinartigen, profilierten Sockel. Die Gestalt trägt die Ordenstracht der Franziskaner mit Gürtel, Kapuze und Sandalen. Das bartlose Haupt zeigt kreisrund ausrasiertes Haupthaar. Die Rechte hält einen Zweig mit Lilien, die Linke trägt ein geschlossenes Buch. Statuette. Rückseite bearbeitet. Die Figur Naturholz, der Sockel schwarz gebeizt. SUDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, UM 1650. Nußbaumholz. Höhe mit dem alten Sockel 42,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl Augsburg, um 1650, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 260 sch. [231]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. JOHANNES EV., auf gewölbtem Rasensockel stehend. Der Heilige, der wohl ehemals Assistenzfigur einer Kreuzigungsgruppe war, ist bekleidet mit langem, bis zum Boden herabfallendem gegürtetem Gewand und weitem, langem Mantel. Er trägt in der linken Hand ein großes Buch; der rechte Arm, der einst wohl mit deutender Gebärde zum Kreuz emporgehoben war, ist am Ellenbogen abgebrochen. Das von lockigem Haar umrahmte Haupt ist nach links geneigt. Einige Locken an der linken Kopfseite sind ausgebrochen. Statuette. Rückseite bearbeitet. SCHWABISCH, WOHL AUGSBURG, GEGEN 1650. Buchsbaumholz. Höhe 17 cm. (Schwäbisch, wohl Augsburg gegen 1650)|HL. JOHANNES EV., auf gewölbtem Rasensockel stehend. Der Heilige, der wohl ehemals Assistenzfigur einer Kreuzigungsgruppe war, ist bekleidet mit langem, bis zum Boden herabfallendem gegürtetem Gewand und weitem, langem Mantel. Er trägt in der linken Hand ein großes Buch; der rechte Arm, der einst wohl mit deutender Gebärde zum Kreuz emporgehoben war, ist am Ellenbogen abgebrochen. Das von lockigem Haar umrahmte Haupt ist nach links geneigt. Einige Locken an der linken Kopfseite sind ausgebrochen. Statuette. Rückseite bearbeitet. SCHWABISCH, WOHL AUGSBURG, GEGEN 1650. Buchsbaumholz. Höhe 17 cm.]] réalisée par Schwäbisch, wohl Augsburg gegen 1650, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [232]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[IMMAKULATA, auf einer halben Weltkugel stehend, um die sich ein Drache windet, der in dem geöffneten Rachen einen Apfel trägt. Maria hat die rechte Hand in sprechender Gebärde zur Brusthöhe erhoben; die nach abwärts ausgestreckte Linke umfaßt eine Lilie. Kleidung: enganliegendes, langes Gewand und langer Mantel, dessen Enden mit einem über den Körper herabfallenden Band zusammengehalten werden. Das Haupt ist nach links abwärts geneigt; es trägt einen Kronreif, unter dem die in der Mitte gescheitelten Haare hervorquellen. Statuette. Rückseite abgeflacht. MATTHIAS LOTH, WEILHEIM (1675-1738). Obstbaumholz. Höhe 31 cm. Vgl. Die beiden Hochreliefs des hl. Josef und des Apostels Petrus vom gleichen Meister, im Bayerischen Nationalmuseum zu München: Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 501, 502, Tafel 260. Tafel 45 (Matthias Loth)|IMMAKULATA, auf einer halben Weltkugel stehend, um die sich ein Drache windet, der in dem geöffneten Rachen einen Apfel trägt. Maria hat die rechte Hand in sprechender Gebärde zur Brusthöhe erhoben; die nach abwärts ausgestreckte Linke umfaßt eine Lilie. Kleidung: enganliegendes, langes Gewand und langer Mantel, dessen Enden mit einem über den Körper herabfallenden Band zusammengehalten werden. Das Haupt ist nach links abwärts geneigt; es trägt einen Kronreif, unter dem die in der Mitte gescheitelten Haare hervorquellen. Statuette. Rückseite abgeflacht. MATTHIAS LOTH, WEILHEIM (1675-1738). Obstbaumholz. Höhe 31 cm. Vgl. Die beiden Hochreliefs des hl. Josef und des Apostels Petrus vom gleichen Meister, im Bayerischen Nationalmuseum zu München: Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 501, 502, Tafel 260. Tafel 45]] réalisée par Matthias Loth, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1400 sch. [233]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. ROCHUS MIT DEM ENGEL. Der Heilige steht frontal auf einem leicht ge- wölbten Rasensockel. An seiner rechten Seite steht ein bekleideter Engel. Der Heilige trägt langes, gegürtetes Untergewand, das er mit der rechten Hand emporrafft, um die über dem rechten Knie sichtbare Pestbeule zu zeigen. Über dem Untergewand trägt er langen Mantel mit breitem, vorne zugeknöpftem Kragen, an dem zwei Muscheln befestigt sind. Die Füße stecken in Stulpstiefeln. Das bärtige, von lockigem Haar umrahmte Haupt ist nach links abwärts geneigt. Es fehlen der linke Unterarm des Heiligen, die rechte Hand, ein Flügel des Engels und Teile der Standplatte. Statuette. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: Mantel Silber, Futter rote Lüsterfarbe; Mantelkragen schwarz; Unterkleid blau; Stiefel braun; Haare dunkel- braun; Engel rosa und Silber; Sockel grün. BAYERISCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 25 cm. (Bayerisch, 17. Jahrhundert)|HL. ROCHUS MIT DEM ENGEL. Der Heilige steht frontal auf einem leicht ge- wölbten Rasensockel. An seiner rechten Seite steht ein bekleideter Engel. Der Heilige trägt langes, gegürtetes Untergewand, das er mit der rechten Hand emporrafft, um die über dem rechten Knie sichtbare Pestbeule zu zeigen. Über dem Untergewand trägt er langen Mantel mit breitem, vorne zugeknöpftem Kragen, an dem zwei Muscheln befestigt sind. Die Füße stecken in Stulpstiefeln. Das bärtige, von lockigem Haar umrahmte Haupt ist nach links abwärts geneigt. Es fehlen der linke Unterarm des Heiligen, die rechte Hand, ein Flügel des Engels und Teile der Standplatte. Statuette. Rückseite bearbeitet. Reste alter Fassung: Mantel Silber, Futter rote Lüsterfarbe; Mantelkragen schwarz; Unterkleid blau; Stiefel braun; Haare dunkel- braun; Engel rosa und Silber; Sockel grün. BAYERISCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 25 cm.]] réalisée par Bayerisch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 40 sch. [234]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE, stehend, mit enganliegendem, modischem Gewand und halblangem Mantel, der die untere Körperhälfte umschließt. Das von Locken umrahmte Haupt ist nach rechts geneigt. Die rechte Hand hält den Mantel, die (jetzt abgebrochene) Linke war nach vorwärts ausgestreckt und umfaßte wohl ursprünglich ein Attribut. Es fehlen Teile des rechten Fußes und die Standplatte. Statue mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Reste einer älteren Bemalung: Gewand rot; Mantel blau; Halstuch gelb; Haare braun. SÜDDEUTSCH, UM 1670. Lindenholz. Höhe 81 cm. (Süddeutsch, um 1670)|WEIBLICHE HEILIGE, stehend, mit enganliegendem, modischem Gewand und halblangem Mantel, der die untere Körperhälfte umschließt. Das von Locken umrahmte Haupt ist nach rechts geneigt. Die rechte Hand hält den Mantel, die (jetzt abgebrochene) Linke war nach vorwärts ausgestreckt und umfaßte wohl ursprünglich ein Attribut. Es fehlen Teile des rechten Fußes und die Standplatte. Statue mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Reste einer älteren Bemalung: Gewand rot; Mantel blau; Halstuch gelb; Haare braun. SÜDDEUTSCH, UM 1670. Lindenholz. Höhe 81 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1670, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [235]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS AN DER SÄULE, frontal auf rechteckiger Standplatte vor einer profilierten Säule stehend. Das von Locken umrahmte bärtige Haupt ist nach rechts gewendet. Die beiden Hände sind auf dem Rücken mit einer eisernen Kette gefesselt und an die Säule festgebunden. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Fleischfarbe rosa; Haare dunkel- braun; Lendentuch Gold; Säule und Sockel grüne Lüsterfarbe auf Silbergrund. SUDDEUTSCH, UM 1680. Unter italienischem Einfluß entstanden. Lindenholz. Höhe 43 cm. (Süddeutsch, um 1680)|CHRISTUS AN DER SÄULE, frontal auf rechteckiger Standplatte vor einer profilierten Säule stehend. Das von Locken umrahmte bärtige Haupt ist nach rechts gewendet. Die beiden Hände sind auf dem Rücken mit einer eisernen Kette gefesselt und an die Säule festgebunden. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Fleischfarbe rosa; Haare dunkel- braun; Lendentuch Gold; Säule und Sockel grüne Lüsterfarbe auf Silbergrund. SUDDEUTSCH, UM 1680. Unter italienischem Einfluß entstanden. Lindenholz. Höhe 43 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1680, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 60 sch. [236]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGELSKOPF, mit waagrecht ausgebreiteten Flügeln und lockigem Haar, der Blick ist nach rechts aufwärts gerichtet. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Spuren erneuerter Bemalung über einer älteren Fassung: Gesicht gelblich-weißer Grund mit Spuren von rosa Farbe; Flügel blau; Haare schwarz. BAYERISCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 14 cm, Spannweite der Flügel 20 cm. (Bayerisch, 17. Jahrhundert)|ENGELSKOPF, mit waagrecht ausgebreiteten Flügeln und lockigem Haar, der Blick ist nach rechts aufwärts gerichtet. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Spuren erneuerter Bemalung über einer älteren Fassung: Gesicht gelblich-weißer Grund mit Spuren von rosa Farbe; Flügel blau; Haare schwarz. BAYERISCH, 17. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 14 cm, Spannweite der Flügel 20 cm.]] réalisée par Bayerisch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 25 sch. [237]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geschlossen. Das Lendentuch ist an der rechten Hüfte geknotet. Das Kreuz erneuert. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spätere Bemalung: Fleischfarbe grau; Haare und Lendentuch ockergelb. SÜDDEUTSCH, UM 1700. Lindenholz. Das Kreuz Eichenholz. Höhe des Kruzifixus 114 cm, Spann- weite der Arme 89 cm. Höhe des Kreuzes 223 cm. (Süddeutsch, um 1700)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geschlossen. Das Lendentuch ist an der rechten Hüfte geknotet. Das Kreuz erneuert. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spätere Bemalung: Fleischfarbe grau; Haare und Lendentuch ockergelb. SÜDDEUTSCH, UM 1700. Lindenholz. Das Kreuz Eichenholz. Höhe des Kruzifixus 114 cm, Spann- weite der Arme 89 cm. Höhe des Kreuzes 223 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [238]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. SEBASTIAN. Die nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt des Heiligen steht auf einem felsigen Rasensockel vor einem Baumstamm, an dessen Äste die Handgelenke des Heiligen festgebunden sind. Der Oberkörper ist nach rückwärts gebogen, das Haupt in schmerzlicher Gebärde zurückgesunken. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Am Baum stamm Reste alter Vergoldung. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Bleiguß. Höhe 37 cm. (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|HL. SEBASTIAN. Die nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt des Heiligen steht auf einem felsigen Rasensockel vor einem Baumstamm, an dessen Äste die Handgelenke des Heiligen festgebunden sind. Der Oberkörper ist nach rückwärts gebogen, das Haupt in schmerzlicher Gebärde zurückgesunken. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Am Baum stamm Reste alter Vergoldung. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Bleiguß. Höhe 37 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 110 sch. [239]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS, DAS KREUZ SCHLEPPEND. Auf einem reich mit durchbrochenem Rankenwerk und einer Wappenkartusche verzierten Sockel, der oben und unten je eine profilierte flache Standplatte hat, kniet in Profilansicht die Figur Christi, die das (z.T. abgebrochene) Kreuz schleppt. Das bärtige, von lockigem Haar umrahmte Haupt ist frontal nach vorwärts gedreht, die rechte Hand stützt sich auf einen Baumstumpf, die abgebrochene Linke hielt einst den Querbalken des Kreuzes um- faßt. Kleidung: langes Gewand mit umschnürter Taille. Es fehlen: der linke Unterarm und die beiden Querbalken des Kreuzes. Statuette. Rückseite vernachlässigt. Der Sockel rückwärts abgeflacht, Spuren alter Fassung: Gold am Gürtel. SUDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Alabaster. Höhe 21 cm, Breite 24 cm. (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|CHRISTUS, DAS KREUZ SCHLEPPEND. Auf einem reich mit durchbrochenem Rankenwerk und einer Wappenkartusche verzierten Sockel, der oben und unten je eine profilierte flache Standplatte hat, kniet in Profilansicht die Figur Christi, die das (z.T. abgebrochene) Kreuz schleppt. Das bärtige, von lockigem Haar umrahmte Haupt ist frontal nach vorwärts gedreht, die rechte Hand stützt sich auf einen Baumstumpf, die abgebrochene Linke hielt einst den Querbalken des Kreuzes um- faßt. Kleidung: langes Gewand mit umschnürter Taille. Es fehlen: der linke Unterarm und die beiden Querbalken des Kreuzes. Statuette. Rückseite vernachlässigt. Der Sockel rückwärts abgeflacht, Spuren alter Fassung: Gold am Gürtel. SUDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Alabaster. Höhe 21 cm, Breite 24 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [240]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA, DAS KIND SÄUGEND. Maria sitzt frontal auf einer Bank und hält mit der linken Hand das nackte, auf ihrem linken Oberschenkel sitzende Kind, dem sie die linke Brust zum Trinken reicht. Sie ist bekleidet mit langem, an der linken Brustseite geöffnetem Kleide, mit Mantel und Kopftuch. Ihre Füße stecken in Sandalen. Kleine Ausstückungen am Sockel und Kopftuch. Wandgruppe mit abgeflachter Rückseite. SÜDDEUTSCH, GEGEN 1700. Unter italienischem Einfluß entstanden. Lindenholz. Höhe 56,5 cm. Aus Augsburg stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 79, Tafel 42. TAFEL 44 (Süddeutsch, gegen 1700)|MARIA, DAS KIND SÄUGEND. Maria sitzt frontal auf einer Bank und hält mit der linken Hand das nackte, auf ihrem linken Oberschenkel sitzende Kind, dem sie die linke Brust zum Trinken reicht. Sie ist bekleidet mit langem, an der linken Brustseite geöffnetem Kleide, mit Mantel und Kopftuch. Ihre Füße stecken in Sandalen. Kleine Ausstückungen am Sockel und Kopftuch. Wandgruppe mit abgeflachter Rückseite. SÜDDEUTSCH, GEGEN 1700. Unter italienischem Einfluß entstanden. Lindenholz. Höhe 56,5 cm. Aus Augsburg stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 79, Tafel 42. TAFEL 44]] réalisée par Süddeutsch, gegen 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 780 sch. [241]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HALBFIGUR EINES BETENDEN MANNES. Die Gestalt trägt ein Gewand mit langen Ärmeln, darüber enganliegenden Mantel mit Kapuze; über den Rücken hängt ein großer Hut herab. Das bärtige Haupt ist nach links aufwärts gerichtet, die beiden Hände sind vor der Brust zum Gebet gefaltet. Ehemals ganze Figur, die in Hüfthöhe abgeschnitten wurde. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Fassung: Untergewand Silber mit grüner Lüsterfarbe; Hut schwarz. SÜDDEUTSCH, UM 1700. Lindenholz. Höhe 32 cm. (Süddeutsch, um 1700)|HALBFIGUR EINES BETENDEN MANNES. Die Gestalt trägt ein Gewand mit langen Ärmeln, darüber enganliegenden Mantel mit Kapuze; über den Rücken hängt ein großer Hut herab. Das bärtige Haupt ist nach links aufwärts gerichtet, die beiden Hände sind vor der Brust zum Gebet gefaltet. Ehemals ganze Figur, die in Hüfthöhe abgeschnitten wurde. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Fassung: Untergewand Silber mit grüner Lüsterfarbe; Hut schwarz. SÜDDEUTSCH, UM 1700. Lindenholz. Höhe 32 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 90 sch. [242]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR APOSTELBUSTEN auf Standsockeln mit Muschel-Kartuschen. Rückwänden. Die eine den hl. Petrus, die andere den hl. Paulus in Halbfiguren darstellend. Petrus mit bärtigem, nach rechts gewendetem Kopf, den rechten Arm nach vorne ausstreckend, den linken nach abwärts haltend. Kleidung: gegürtetes Gewand mit langen Ärmeln und Mantel, der auf der linken Schulter geknotet ist. Paulus, das bärtige Haupt nach links abwärts wendend, mit erhobenen, nach vorwärts gestreckten Unterarmen. Kleidung: Gewand mit langen Ärmeln, darüber Mantel. Wandfiguren. Rückseiten ausgehöhlt. Reste alter Fassung an den Büsten: graue Fleischfarbe; Gewänder und Haare versilbert. Die Sockel und Kartuschen in Silber, Gold, Polierweiß und Blau. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, UM 1700. Lindenholz. Höhe je 98 cm. (Schwäbisch, wohl Augsburg, um 1700)|EIN PAAR APOSTELBUSTEN auf Standsockeln mit Muschel-Kartuschen. Rückwänden. Die eine den hl. Petrus, die andere den hl. Paulus in Halbfiguren darstellend. Petrus mit bärtigem, nach rechts gewendetem Kopf, den rechten Arm nach vorne ausstreckend, den linken nach abwärts haltend. Kleidung: gegürtetes Gewand mit langen Ärmeln und Mantel, der auf der linken Schulter geknotet ist. Paulus, das bärtige Haupt nach links abwärts wendend, mit erhobenen, nach vorwärts gestreckten Unterarmen. Kleidung: Gewand mit langen Ärmeln, darüber Mantel. Wandfiguren. Rückseiten ausgehöhlt. Reste alter Fassung an den Büsten: graue Fleischfarbe; Gewänder und Haare versilbert. Die Sockel und Kartuschen in Silber, Gold, Polierweiß und Blau. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, UM 1700. Lindenholz. Höhe je 98 cm.]] réalisée par Schwäbisch, wohl Augsburg, um 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [243]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR APOSTELBUSTEN auf Standsockeln mit Muschel-Kartuschen. Rückwänden. Die eine den hl. Petrus, die andere den hl. Paulus in Halbfiguren darstellend. Petrus mit bärtigem, nach rechts gewendetem Kopf, den rechten Arm nach vorne ausstreckend, den linken nach abwärts haltend. Kleidung: gegürtetes Gewand mit langen Ärmeln und Mantel, der auf der linken Schulter geknotet ist. Paulus, das bärtige Haupt nach links abwärts wendend, mit erhobenen, nach vorwärts gestreckten Unterarmen. Kleidung: Gewand mit langen Ärmeln, darüber Mantel. Wandfiguren. Rückseiten ausgehöhlt. Reste alter Fassung an den Büsten: graue Fleischfarbe; Gewänder und Haare versilbert. Die Sockel und Kartuschen in Silber, Gold, Polierweiß und Blau. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, UM 1700. Lindenholz. Höhe je 98 cm. (Schwäbisch, wohl Augsburg, um 1701)|EIN PAAR APOSTELBUSTEN auf Standsockeln mit Muschel-Kartuschen. Rückwänden. Die eine den hl. Petrus, die andere den hl. Paulus in Halbfiguren darstellend. Petrus mit bärtigem, nach rechts gewendetem Kopf, den rechten Arm nach vorne ausstreckend, den linken nach abwärts haltend. Kleidung: gegürtetes Gewand mit langen Ärmeln und Mantel, der auf der linken Schulter geknotet ist. Paulus, das bärtige Haupt nach links abwärts wendend, mit erhobenen, nach vorwärts gestreckten Unterarmen. Kleidung: Gewand mit langen Ärmeln, darüber Mantel. Wandfiguren. Rückseiten ausgehöhlt. Reste alter Fassung an den Büsten: graue Fleischfarbe; Gewänder und Haare versilbert. Die Sockel und Kartuschen in Silber, Gold, Polierweiß und Blau. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, UM 1700. Lindenholz. Höhe je 98 cm.]] réalisée par Schwäbisch, wohl Augsburg, um 1701, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [244]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BETENDE MARIA IN HALBFIGUR. Maria, in frontaler Darstellung, hat die zum Gebet gefalteten Hände auf einen Betstuhl gelegt. Ihr Haupt ist nach links geneigt. Kleidung: reich in Falten gelegtes Gewand und Mantel; Schleier, dessen Enden am Brustausschnitt geknotet sind. Hochrelief. Rückseite flach. Die beiden oberen Ecken schräg abgeschnitten. FRÄNKISCH, ENDE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 24 cm. Breite 19,5 cm. (Fränkisch, Ende des 17. Jahrhunderts)|BETENDE MARIA IN HALBFIGUR. Maria, in frontaler Darstellung, hat die zum Gebet gefalteten Hände auf einen Betstuhl gelegt. Ihr Haupt ist nach links geneigt. Kleidung: reich in Falten gelegtes Gewand und Mantel; Schleier, dessen Enden am Brustausschnitt geknotet sind. Hochrelief. Rückseite flach. Die beiden oberen Ecken schräg abgeschnitten. FRÄNKISCH, ENDE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 24 cm. Breite 19,5 cm.]] réalisée par Fränkisch, Ende des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [245]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VESPERBILD. Maria sitzt auf einem felsenartigen Geländestück und hält mit beiden Händen den Leichnam Christi fest, der, halb aufgerichtet, auf ihrem Schoß ruht. Die rechte Hand der Maria hält den herabsinkenden Kopf des Sohnes, die linke Hand umklammert das linke Handgelenk Christi. Das Haupt der Maria beugt sich in schmerzlicher Gebärde nach abwärts über den Leichnam. Maria trägt langes Gewand und faltenreichen Mantel, der über den Kopf gezogen ist. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. Alte Bemalung: Mantel der Maria blau; Futter rot; Kleid rot; Haare des Christus dunkelbraun; Lendentuch weiß; Fleischfarbe dunkelrosa; Sockel grün. ÖSTERREICHISCH, ENDE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 40,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 80, Tafel 43. (Österreichisch, Ende des 17. Jahrhunderts)|VESPERBILD. Maria sitzt auf einem felsenartigen Geländestück und hält mit beiden Händen den Leichnam Christi fest, der, halb aufgerichtet, auf ihrem Schoß ruht. Die rechte Hand der Maria hält den herabsinkenden Kopf des Sohnes, die linke Hand umklammert das linke Handgelenk Christi. Das Haupt der Maria beugt sich in schmerzlicher Gebärde nach abwärts über den Leichnam. Maria trägt langes Gewand und faltenreichen Mantel, der über den Kopf gezogen ist. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. Alte Bemalung: Mantel der Maria blau; Futter rot; Kleid rot; Haare des Christus dunkelbraun; Lendentuch weiß; Fleischfarbe dunkelrosa; Sockel grün. ÖSTERREICHISCH, ENDE DES 17. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 40,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 80, Tafel 43.]] réalisée par Österreichisch, Ende des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 550 sch. [246]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER MIT BUCH, frontal, in ausgebogener Haltung, auf eckiger Standplatte stehend. Der Kopf ist nach links gedreht. Die rechte Hand hält in Hüfthöhe ein Buch, das am Körper anliegt. Der Heilige ist bekleidet mit fußfreiem Gewand und halblangem Mantel. Das bartlose Haupt ist mit kräftig geformten Locken bedeckt. Die linke Hand, der rechte Unterarm, Teile des Buches, des Mantels, der Standplatte sind spätere Ergänzung. Die Figur war ursprünglich wohl als hl. Johannes Ev. Assistenzfigur einer Kreuzigungsgruppe. Wandstatue. Rückseite z. T. gehöhlt. Spuren alter Bemalung: Kleid Silber; Haare braun; kräftiges Rot im Gesicht. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, NACH 1650. Lindenholz. Höhe 134 cm. Das Bildwerk steht zeitlich und stilistisch zwischen den Schöpfungen des Justus Glesker (geboren zwischen 1607 und 1620 in Hameln, gestorben 1678 in Frankfurt a. M.) und des Ehrgott Bernhard Bendel (geboren um 1660 in Osterhofen, gestorben zwischen 1735 und 1738). Von Glesker hat es den plastischen Aufbau und den Faltenstil, von Bendel die eigenartige Formung der weichen Haarlocken, die in einer Schneckenspirale endigen. Vgl. Dehio, Geschichte der deutschen Kunst (1931), 3. Abbildungsband, Abb. 655 und 671. TAFEL 49 (Schwäbisch, wohl Augsburg, nach 1650)|HEILIGER MIT BUCH, frontal, in ausgebogener Haltung, auf eckiger Standplatte stehend. Der Kopf ist nach links gedreht. Die rechte Hand hält in Hüfthöhe ein Buch, das am Körper anliegt. Der Heilige ist bekleidet mit fußfreiem Gewand und halblangem Mantel. Das bartlose Haupt ist mit kräftig geformten Locken bedeckt. Die linke Hand, der rechte Unterarm, Teile des Buches, des Mantels, der Standplatte sind spätere Ergänzung. Die Figur war ursprünglich wohl als hl. Johannes Ev. Assistenzfigur einer Kreuzigungsgruppe. Wandstatue. Rückseite z. T. gehöhlt. Spuren alter Bemalung: Kleid Silber; Haare braun; kräftiges Rot im Gesicht. SCHWÄBISCH, WOHL AUGSBURG, NACH 1650. Lindenholz. Höhe 134 cm. Das Bildwerk steht zeitlich und stilistisch zwischen den Schöpfungen des Justus Glesker (geboren zwischen 1607 und 1620 in Hameln, gestorben 1678 in Frankfurt a. M.) und des Ehrgott Bernhard Bendel (geboren um 1660 in Osterhofen, gestorben zwischen 1735 und 1738). Von Glesker hat es den plastischen Aufbau und den Faltenstil, von Bendel die eigenartige Formung der weichen Haarlocken, die in einer Schneckenspirale endigen. Vgl. Dehio, Geschichte der deutschen Kunst (1931), 3. Abbildungsband, Abb. 655 und 671. TAFEL 49]] réalisée par Schwäbisch, wohl Augsburg, nach 1650, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 400 sch. [247]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. SEBASTIAN, frontal auf hoher Standplatte vor einem Baumstamm stehend. Die rechte Hand ist hoch erhoben und war ehemals an einen (jetzt abgebrochenen Ast) festgebunden. Der rechte Arm hängt nach abwärts und ist in Ellenbogenhöhe an einen Ast gebunden. Das von Locken umrahmte bartlose Haupt ist nach links aufwärts gerichtet. Oberkörper und Beine sind unbekleidet. Um die Hüften ist schurzartig ein von Schnüren gehaltener Mantel geschlungen, dessen Ende am rechten Fuß herab bis zum Boden fällt. Statue. Rückseite vernachlässigt. Ältere Fassung: Polierweiß und Gold. Es fehlen Teile des Baumstammes und ein Ast. SÜDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, UM 1700. Lindenholz. Höhe 182 cm. (Süddeutsch, wohl Augsburg, um 1700)|HL. SEBASTIAN, frontal auf hoher Standplatte vor einem Baumstamm stehend. Die rechte Hand ist hoch erhoben und war ehemals an einen (jetzt abgebrochenen Ast) festgebunden. Der rechte Arm hängt nach abwärts und ist in Ellenbogenhöhe an einen Ast gebunden. Das von Locken umrahmte bartlose Haupt ist nach links aufwärts gerichtet. Oberkörper und Beine sind unbekleidet. Um die Hüften ist schurzartig ein von Schnüren gehaltener Mantel geschlungen, dessen Ende am rechten Fuß herab bis zum Boden fällt. Statue. Rückseite vernachlässigt. Ältere Fassung: Polierweiß und Gold. Es fehlen Teile des Baumstammes und ein Ast. SÜDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, UM 1700. Lindenholz. Höhe 182 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl Augsburg, um 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [248]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. ROCHUS, frontal in gedrehter Körperhaltung auf einer rechteckigen Standplatte stehend. Das Haupt ist nach rückwärts geneigt, der Blick nach aufwärts gerichtet. Die rechte Hand ist zur Brusthöhe erhoben, die Linke rafft Kleid und Mantel hoch und weist auf die Pestbeule über dem linken Knie. Kleidung: langes Pilgergewand mit Mantel und breitem Kragenüberwurf. Der Hut hängt über den Rücken herab. Zu Füßen des Heiligen kauert rechts auf der Standplatte ein Hund. Es fehlen: vier Finger der rechten Hand und der Pilgerstab, den diese Hand umfaßt hielt, und die Vorderfüße des Hundes. Schreinfigur. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Fassung: Mantel Silber, mit gravierter Borte, Futter gelb; Gewand Gold; Schuhe schwarz; Sockel grün; Fleischfarbe hell; Haare braun. NIEDERBAYERISCH, UM 1700. Lindenholz. Höhe 95 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 81, Tafel 43. (Niederbayerisch, um 1700)|HL. ROCHUS, frontal in gedrehter Körperhaltung auf einer rechteckigen Standplatte stehend. Das Haupt ist nach rückwärts geneigt, der Blick nach aufwärts gerichtet. Die rechte Hand ist zur Brusthöhe erhoben, die Linke rafft Kleid und Mantel hoch und weist auf die Pestbeule über dem linken Knie. Kleidung: langes Pilgergewand mit Mantel und breitem Kragenüberwurf. Der Hut hängt über den Rücken herab. Zu Füßen des Heiligen kauert rechts auf der Standplatte ein Hund. Es fehlen: vier Finger der rechten Hand und der Pilgerstab, den diese Hand umfaßt hielt, und die Vorderfüße des Hundes. Schreinfigur. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Fassung: Mantel Silber, mit gravierter Borte, Futter gelb; Gewand Gold; Schuhe schwarz; Sockel grün; Fleischfarbe hell; Haare braun. NIEDERBAYERISCH, UM 1700. Lindenholz. Höhe 95 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 81, Tafel 43.]] réalisée par Niederbayerisch, um 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 750 sch. [249]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. JOHANNES DER TÄUFER, frontal auf einem runden Rasensockel stehend, auf dem rechten Arm das Lamm tragend, mit der linken Hand den Kreuzesstab umfassend. Das bärtige, mit stark bewegten Locken bedeckte Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Kleidung: halblanges Gewand mit aufgekrempelten Ärmeln, darüber weiter, fußfreier Mantel, hohe Stiefel. Statue. Rückseite etwas abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Mantel Gold; Gewand und Schuhe Silber; Sockel grün. JOSEPH ANTON FEUCHTMAYER (1696-1770). Lindenholz. Höhe 154 cm. Vgl. Die eng verwandte "Maria von einer Verkündigung" im Deutschen Museum zu Berlin, abgebildet bei: Feulner, Skulptur und Malerei des 18. Jahrhunderts in Deutschland (Handbuch der Kunstgeschichte) 1929, Tafel VI. TAFEL 49 (Joseph Anton Feuchtmayer)|HL. JOHANNES DER TÄUFER, frontal auf einem runden Rasensockel stehend, auf dem rechten Arm das Lamm tragend, mit der linken Hand den Kreuzesstab umfassend. Das bärtige, mit stark bewegten Locken bedeckte Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Kleidung: halblanges Gewand mit aufgekrempelten Ärmeln, darüber weiter, fußfreier Mantel, hohe Stiefel. Statue. Rückseite etwas abgeflacht. Spuren alter Bemalung: Mantel Gold; Gewand und Schuhe Silber; Sockel grün. JOSEPH ANTON FEUCHTMAYER (1696-1770). Lindenholz. Höhe 154 cm. Vgl. Die eng verwandte "Maria von einer Verkündigung" im Deutschen Museum zu Berlin, abgebildet bei: Feulner, Skulptur und Malerei des 18. Jahrhunderts in Deutschland (Handbuch der Kunstgeschichte) 1929, Tafel VI. TAFEL 49]] réalisée par Joseph Anton Feuchtmayer, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1100 sch. [250]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Der Körper in der S-Linie gebogen. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt. Das Lendentuch wird von einer Schnur gehalten; sein Ende fällt in mächtigem Überschlag von der linken Hüfte bis über Kniehöhe herab. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung: graue Fleischfarbe; Lendentuch vergoldet. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 31 cm. Spannweite der Arme 23 cm. (Süddeutsch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Der Körper in der S-Linie gebogen. Das bärtige Haupt ist nach links geneigt. Das Lendentuch wird von einer Schnur gehalten; sein Ende fällt in mächtigem Überschlag von der linken Hüfte bis über Kniehöhe herab. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Fassung: graue Fleischfarbe; Lendentuch vergoldet. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 31 cm. Spannweite der Arme 23 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 220 sch. [251]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS-BÜSTE. Die nach unten in Ovalform abgerundete Büste zeigt Christus mit bärtigem, von langen, bis auf die Schultern herabwallenden Locken um- rahmten Gesicht, das nach rechts gewendet ist. Über dem Kleid wird der Überschlag des über die Schultern gelegten Mantels sichtbar. Die Büste sitzt auf dem alten, profilierten, im Mittelteil zur Aufnahme von Reliquien oval ausgeschnittenen Sockel. Wandfigur. Die Büste rückwärts ausgehöhlt, der Sockel hinten flach. Gut erhaltene alte Fassung: Haare dunkelbraun; Gewand rot; Mantel Gold und Silber; der Sockel z. T. vergoldet. SÜDDEUTSCH, UM 1720. Lindenholz. Höhe mit dem Sockel 55 cm. (Süddeutsch, um 1720)|CHRISTUS-BÜSTE. Die nach unten in Ovalform abgerundete Büste zeigt Christus mit bärtigem, von langen, bis auf die Schultern herabwallenden Locken um- rahmten Gesicht, das nach rechts gewendet ist. Über dem Kleid wird der Überschlag des über die Schultern gelegten Mantels sichtbar. Die Büste sitzt auf dem alten, profilierten, im Mittelteil zur Aufnahme von Reliquien oval ausgeschnittenen Sockel. Wandfigur. Die Büste rückwärts ausgehöhlt, der Sockel hinten flach. Gut erhaltene alte Fassung: Haare dunkelbraun; Gewand rot; Mantel Gold und Silber; der Sockel z. T. vergoldet. SÜDDEUTSCH, UM 1720. Lindenholz. Höhe mit dem Sockel 55 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1720, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 65 sch. [252]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige, mit der Dornenkrone bedeckte Haupt ist nach links aufwärts gedreht. Das bandartige, schmale Lendentuch wird von zwei Schnüren festgehalten und ist an der rechten Hüfte geknotet. Das Ende des Tuches hängt vom Knoten abwärts in der Form eines auf der Spitze stehenden Rechteckes frei neben dem rechten Oberschenkel. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. FRÄNKISCH, WOHL BAMBERG, UM 1750. Lindenholz. Höhe 38 cm. Spannweite der Arme 21 cm. (Fränkisch, wohl Bamberg, um 1750)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige, mit der Dornenkrone bedeckte Haupt ist nach links aufwärts gedreht. Das bandartige, schmale Lendentuch wird von zwei Schnüren festgehalten und ist an der rechten Hüfte geknotet. Das Ende des Tuches hängt vom Knoten abwärts in der Form eines auf der Spitze stehenden Rechteckes frei neben dem rechten Oberschenkel. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. FRÄNKISCH, WOHL BAMBERG, UM 1750. Lindenholz. Höhe 38 cm. Spannweite der Arme 21 cm.]] réalisée par Fränkisch, wohl Bamberg, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [253]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen, frontal hängend. Das bärtige, mit einer schmalen Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links abwärts geneigt. Das Schamtuch wird von zwei Schnüren gehalten. Von der rechten Hüfte fällt das Ende des Tuches bis etwa zur Kniehöhe herab. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Obstholz. Höhe 31 cm. Spannweite der Arme 16 cm. (Süddeutsch, Anfang des 17. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen, frontal hängend. Das bärtige, mit einer schmalen Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links abwärts geneigt. Das Schamtuch wird von zwei Schnüren gehalten. Von der rechten Hüfte fällt das Ende des Tuches bis etwa zur Kniehöhe herab. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Obstholz. Höhe 31 cm. Spannweite der Arme 16 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Anfang des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 220 sch. [254]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA unterm Kreuz, in pathetischer Bewegung frontal auf einer rechteckigen Standplatte stehend. Der Kopf ist nach links abwärts geneigt, die rechte Hand ist auf die Brust gelegt, der linke Arm nach rechts ausgestreckt. Kleidung: langes, gegürtetes Gewand und langer, weiter, auch den oberen Teil des Kopfes einhüllender Mantel. Arme 16 cm. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Fassung: Fleischfarbe grau- weiß; Mantel schwarz mit gravierter Goldborte; Gewand Silber mit gravierter Goldborte; Schuhe Gold, Sockelplatte grün. NIEDERBAYERISCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 83 cm. Aus Landshut stammend. Vermutlich Arbeit des Johann Wenzeslaus Jorhan (1695-1752). (Niederbayerisch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|TRAUERNDE MARIA unterm Kreuz, in pathetischer Bewegung frontal auf einer rechteckigen Standplatte stehend. Der Kopf ist nach links abwärts geneigt, die rechte Hand ist auf die Brust gelegt, der linke Arm nach rechts ausgestreckt. Kleidung: langes, gegürtetes Gewand und langer, weiter, auch den oberen Teil des Kopfes einhüllender Mantel. Arme 16 cm. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Gut erhaltene alte Fassung: Fleischfarbe grau- weiß; Mantel schwarz mit gravierter Goldborte; Gewand Silber mit gravierter Goldborte; Schuhe Gold, Sockelplatte grün. NIEDERBAYERISCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 83 cm. Aus Landshut stammend. Vermutlich Arbeit des Johann Wenzeslaus Jorhan (1695-1752).]] réalisée par Niederbayerisch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 800 sch. [255]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. NEPOMUK, frontal, auf rechteckiger Standplatte stehend. Das bärtige Haupt ist nach links abwärts geneigt, die rechte Hand zur Brusthöhe erhoben; sie hält das Kreuz. Der linke Arm folgt dem Umriß der linken Körperhälfte; die linke Hand ist abgebrochen. Kleidung: Priestergewand mit Alba, Chorhemd und Fellmantel. Es fehlen: der kleine Finger der rechten Hand und die Spitze des rechten Fußes. Statue. Rückseite abgeflacht. Schöne Reste alter Fassung: Fleischfarbe grau; Haare dunkelbraun; Kreuz Silber; Mantel und Chorrock Gold; Futter Silber; Alba Gold. BAYERISCH, GEGEN 1700. Lindenholz. Höhe 150 cm. (Bayerisch, gegen 1700)|HL. NEPOMUK, frontal, auf rechteckiger Standplatte stehend. Das bärtige Haupt ist nach links abwärts geneigt, die rechte Hand zur Brusthöhe erhoben; sie hält das Kreuz. Der linke Arm folgt dem Umriß der linken Körperhälfte; die linke Hand ist abgebrochen. Kleidung: Priestergewand mit Alba, Chorhemd und Fellmantel. Es fehlen: der kleine Finger der rechten Hand und die Spitze des rechten Fußes. Statue. Rückseite abgeflacht. Schöne Reste alter Fassung: Fleischfarbe grau; Haare dunkelbraun; Kreuz Silber; Mantel und Chorrock Gold; Futter Silber; Alba Gold. BAYERISCH, GEGEN 1700. Lindenholz. Höhe 150 cm.]] réalisée par Bayerisch, gegen 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [256]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA UND TRAUERNDER JOHANNES unterm Kreuz. Die beiden Assistenzfiguren einer Kreuzigungsgruppe stehen in lebhafter Bewegung auf halbrunden Rasensockeln. Maria, in langem Kleid und weitem Mantel, hat den Blick nach aufwärts gerichtet und die Hände vor dem Leib gefaltet. Johannes Ev., gleichfalls in langem Kleid und weitem Mantel, hat das erhobene Haupt nach links geneigt und die rechte Hand auf die Brust gelegt. Sein linker Arm ist nach rechts ausgestreckt. Es fehlt die ursprünglich eingediebelte linke Hand. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. FRÄNKISCH, WOHL BAMBERG, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe je 30 cm. (Fränkisch, wohl Bamberg, Mitte des 18. Jahrhunderts)|TRAUERNDE MARIA UND TRAUERNDER JOHANNES unterm Kreuz. Die beiden Assistenzfiguren einer Kreuzigungsgruppe stehen in lebhafter Bewegung auf halbrunden Rasensockeln. Maria, in langem Kleid und weitem Mantel, hat den Blick nach aufwärts gerichtet und die Hände vor dem Leib gefaltet. Johannes Ev., gleichfalls in langem Kleid und weitem Mantel, hat das erhobene Haupt nach links geneigt und die rechte Hand auf die Brust gelegt. Sein linker Arm ist nach rechts ausgestreckt. Es fehlt die ursprünglich eingediebelte linke Hand. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. FRÄNKISCH, WOHL BAMBERG, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe je 30 cm.]] réalisée par Fränkisch, wohl Bamberg, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 420 sch. [257]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA UND TRAUERNDER JOHANNES unterm Kreuz. Die beiden Assistenzfiguren einer Kreuzigungsgruppe stehen in lebhafter Bewegung auf halbrunden Rasensockeln. Maria, in langem Kleid und weitem Mantel, hat den Blick nach aufwärts gerichtet und die Hände vor dem Leib gefaltet. Johannes Ev., gleichfalls in langem Kleid und weitem Mantel, hat das erhobene Haupt nach links geneigt und die rechte Hand auf die Brust gelegt. Sein linker Arm ist nach rechts ausgestreckt. Es fehlt die ursprünglich eingediebelte linke Hand. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. FRÄNKISCH, WOHL BAMBERG, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe je 30 cm. (Fränkisch, wohl Bamberg, Mitte des 18. Jahrhunderts)|TRAUERNDE MARIA UND TRAUERNDER JOHANNES unterm Kreuz. Die beiden Assistenzfiguren einer Kreuzigungsgruppe stehen in lebhafter Bewegung auf halbrunden Rasensockeln. Maria, in langem Kleid und weitem Mantel, hat den Blick nach aufwärts gerichtet und die Hände vor dem Leib gefaltet. Johannes Ev., gleichfalls in langem Kleid und weitem Mantel, hat das erhobene Haupt nach links geneigt und die rechte Hand auf die Brust gelegt. Sein linker Arm ist nach rechts ausgestreckt. Es fehlt die ursprünglich eingediebelte linke Hand. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. FRÄNKISCH, WOHL BAMBERG, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe je 30 cm.]] réalisée par Fränkisch, wohl Bamberg, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 420 sch. [258]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Der Körper ist in S-förmiger Linie durchgebogen, das bärtige Haupt ist nach links gewendet, der Blick nach oben gerichtet. Die Enden des breiten Lendentuches fallen zu beiden Seiten der Hüften herab. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischfarbe grau-rosa; Haare braun; Lendentuch versilbert auf gelbem Bolus. BAYERISCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 74 cm. Spannweite der Arme 53 cm. (Bayerisch, Anfang des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Der Körper ist in S-förmiger Linie durchgebogen, das bärtige Haupt ist nach links gewendet, der Blick nach oben gerichtet. Die Enden des breiten Lendentuches fallen zu beiden Seiten der Hüften herab. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischfarbe grau-rosa; Haare braun; Lendentuch versilbert auf gelbem Bolus. BAYERISCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 74 cm. Spannweite der Arme 53 cm.]] réalisée par Bayerisch, Anfang des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [259]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HALBFIGUR DES HL. PETRUS auf Rokaillensockel. Die Gestalt wächst in Hüfthöhe aus einem gewölbten Rokaillensockel heraus. Das bärtige Haupt blickt nach rechts, die beiden Hände sind in Brusthöhe erhoben und tragen ein Buch und einen Schlüssel. Über das gegürtete Gewand ist ein weiter Mantel geworfen. Halbfigur freiplastisch, Sockel rückwärts abgeflacht. Schöne Reste alter Fassung: Fleisch rosa; Haare braun; Gewand und Sockel vergoldet. SÜDDEUTSCH, UM 1750. Apfelbaumholz. Höhe (mit Sockel) 12,5 cm. (Süddeutsch, um 1750)|HALBFIGUR DES HL. PETRUS auf Rokaillensockel. Die Gestalt wächst in Hüfthöhe aus einem gewölbten Rokaillensockel heraus. Das bärtige Haupt blickt nach rechts, die beiden Hände sind in Brusthöhe erhoben und tragen ein Buch und einen Schlüssel. Über das gegürtete Gewand ist ein weiter Mantel geworfen. Halbfigur freiplastisch, Sockel rückwärts abgeflacht. Schöne Reste alter Fassung: Fleisch rosa; Haare braun; Gewand und Sockel vergoldet. SÜDDEUTSCH, UM 1750. Apfelbaumholz. Höhe (mit Sockel) 12,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [260]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. FRANZISKUS XAV. auf Rokaillensockel. Der Heilige ist in Ordenstracht frontal dargestellt. Sein bartloses Haupt ist nach rechts abwärts gewendet. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung: Fleischfarbe rosa; Haare grau= braun; Gewand Silber; Stola Gold; Sockel Gold. SÜDDEUTSCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 45 cm. Breite des Sockels 36 cm. (Süddeutsch, Mitte des 18. Jahrhunderts)|HL. FRANZISKUS XAV. auf Rokaillensockel. Der Heilige ist in Ordenstracht frontal dargestellt. Sein bartloses Haupt ist nach rechts abwärts gewendet. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung: Fleischfarbe rosa; Haare grau= braun; Gewand Silber; Stola Gold; Sockel Gold. SÜDDEUTSCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 45 cm. Breite des Sockels 36 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 90 sch. [261]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE FIGUR (Heilige?), auf einem volutenartigen Ansatz und profilierten Sockel sitzend. Die Gestalt trägt modische Schoßbluse mit halblangen Ärmeln, langes Untergewand und langen Mantel. Das rechte Bein ist nach rechts abwärts ausgestreckt, das linke aufgestellt. Der rechte Arm ist nach links, der linke in Brusthöhe nach vorwärts ausgestreckt. Um den Hals trägt die Gestalt eine Kette mit angehängtem Medaillon. Der Kopf ist von kurzem, welligem Haar umrahmt und nach links abwärts geneigt. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Reste alter Fassung: Gewand vergoldet, Haare braun. SÜDDEUTSCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 35 cm, Breite des Sockels 22 cm. (Süddeutsch, Mitte des 18. Jahrhunderts)|WEIBLICHE FIGUR (Heilige?), auf einem volutenartigen Ansatz und profilierten Sockel sitzend. Die Gestalt trägt modische Schoßbluse mit halblangen Ärmeln, langes Untergewand und langen Mantel. Das rechte Bein ist nach rechts abwärts ausgestreckt, das linke aufgestellt. Der rechte Arm ist nach links, der linke in Brusthöhe nach vorwärts ausgestreckt. Um den Hals trägt die Gestalt eine Kette mit angehängtem Medaillon. Der Kopf ist von kurzem, welligem Haar umrahmt und nach links abwärts geneigt. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Reste alter Fassung: Gewand vergoldet, Haare braun. SÜDDEUTSCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 35 cm, Breite des Sockels 22 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 260 sch. [262]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[PUTTO. Die nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt steht, mit nach rechts gewendetem Kopf, frontal auf einem halbrunden, felsigen Rasensockel. Der Kopf ist mit reichem, an der rechten Seite gescheiteltem Lockenhaar bedeckt. Der rechte Arm ist nach links abwärts ausgestreckt, die rechte Hand hielt wohl ursprünglich ein Attribut umfaßt; die linke Hand ist auf die Brust gelegt. Statuette. Rückseite bearbeitet. Abgelaugt und rotbraun gebeizt. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 64 cm. (Süddeutsch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|PUTTO. Die nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt steht, mit nach rechts gewendetem Kopf, frontal auf einem halbrunden, felsigen Rasensockel. Der Kopf ist mit reichem, an der rechten Seite gescheiteltem Lockenhaar bedeckt. Der rechte Arm ist nach links abwärts ausgestreckt, die rechte Hand hielt wohl ursprünglich ein Attribut umfaßt; die linke Hand ist auf die Brust gelegt. Statuette. Rückseite bearbeitet. Abgelaugt und rotbraun gebeizt. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 64 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 170 sch. [263]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen, straff ausgestreckten Beinen und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige, mit einer Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links geneigt, der Blick nach aufwärts gerichtet. Das Lendentuch wird von zwei Schnüren festgehalten. Es ist an der rechten Hüfte geknotet und fällt zu beiden Seiten des Körpers in starken Knitterfalten bis zur Kniehöhe herab. Sorgfältig durchgebildeter Körper von starker Ausdruckskraft. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet und abgeflacht. FRÄNKISCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Hartholz. Höhe 40 cm, Spannweite der Arme 28 cm. Vgl. den verwandten Kruzifixus der Sammlung Röhrer (Augsburg), abgebildet bei Feulner, Die Sammlung Röhrer (1926) II, 125, und Abb. 65, der Auwera zugeschrieben wird. (Fränkisch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen, straff ausgestreckten Beinen und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige, mit einer Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links geneigt, der Blick nach aufwärts gerichtet. Das Lendentuch wird von zwei Schnüren festgehalten. Es ist an der rechten Hüfte geknotet und fällt zu beiden Seiten des Körpers in starken Knitterfalten bis zur Kniehöhe herab. Sorgfältig durchgebildeter Körper von starker Ausdruckskraft. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet und abgeflacht. FRÄNKISCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Hartholz. Höhe 40 cm, Spannweite der Arme 28 cm. Vgl. den verwandten Kruzifixus der Sammlung Röhrer (Augsburg), abgebildet bei Feulner, Die Sammlung Röhrer (1926) II, 125, und Abb. 65, der Auwera zugeschrieben wird.]] réalisée par Fränkisch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 320 sch. [264]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA unterm Kreuz, frontal auf einem (nicht zugehörigen, alten) profilierten Standsockel stehend. Das Haupt ist nach links aufwärts gerichtet. Die beiden Hände sind vor der Brust gefaltet. Kleidung: langes Gewand, weiter, über den Kopf gezogener Mantel. Statuette. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung: Fleischfarbe hell; Mantel Silber mit Goldsaum; Kleid Silber mit Spuren roter Lüsterfarbe; Schuhe schwarz; Sockel Gold, rot und grün. BAYERISCH, UM 1740. Lindenholz. Höhe 37 cm. (Bayerisch, um 1740)|TRAUERNDE MARIA unterm Kreuz, frontal auf einem (nicht zugehörigen, alten) profilierten Standsockel stehend. Das Haupt ist nach links aufwärts gerichtet. Die beiden Hände sind vor der Brust gefaltet. Kleidung: langes Gewand, weiter, über den Kopf gezogener Mantel. Statuette. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung: Fleischfarbe hell; Mantel Silber mit Goldsaum; Kleid Silber mit Spuren roter Lüsterfarbe; Schuhe schwarz; Sockel Gold, rot und grün. BAYERISCH, UM 1740. Lindenholz. Höhe 37 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1740, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 75 sch. [265]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Der Oberkörper ist in leichter Rechtswendung, der Unterkörper in frontaler Ansicht dargestellt. Das bärtige Haupt, das die Dornenkrone trägt, ruht auf der rechten Schulter. Der Blick ist nach aufwärts gerichtet. Das Lendentuch wird von zwei Schnüren festgehalten; es bauscht sich über der rechten Hüfte und fällt von da aus bis zur Kniehöhe herab. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet und abgeflacht. SUDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 22 cm, Spannweite der Arme 12,5 cm. (Süddeutsch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Der Oberkörper ist in leichter Rechtswendung, der Unterkörper in frontaler Ansicht dargestellt. Das bärtige Haupt, das die Dornenkrone trägt, ruht auf der rechten Schulter. Der Blick ist nach aufwärts gerichtet. Das Lendentuch wird von zwei Schnüren festgehalten; es bauscht sich über der rechten Hüfte und fällt von da aus bis zur Kniehöhe herab. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet und abgeflacht. SUDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 22 cm, Spannweite der Arme 12,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [266]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER (JESUS?), auf einem Wolkensockel schwebend. (Herz-Jesu-Darstellung?) Über einer Wolke schwebt die mit langem, gegürtetem Gewand und langem Mantel bekleidete männliche Gestalt, die beide Arme nach abwärts aus- streckt. Auf der Brust befindet sich ein altes Diebelloch, das einst wohl zur Aufnahme eines in Relief aufgesetzten Herzens bestimmt war. Es fehlt eine Fingerspitze der linken Hand. Der alte, profilierte Standsockel ursprünglich nicht zu- gehörig. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. BAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe 24 cm. Höhe mit dem Standsockel 30 cm. (Bayerisch, um 1750)|HEILIGER (JESUS?), auf einem Wolkensockel schwebend. (Herz-Jesu-Darstellung?) Über einer Wolke schwebt die mit langem, gegürtetem Gewand und langem Mantel bekleidete männliche Gestalt, die beide Arme nach abwärts aus- streckt. Auf der Brust befindet sich ein altes Diebelloch, das einst wohl zur Aufnahme eines in Relief aufgesetzten Herzens bestimmt war. Es fehlt eine Fingerspitze der linken Hand. Der alte, profilierte Standsockel ursprünglich nicht zu- gehörig. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. BAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe 24 cm. Höhe mit dem Standsockel 30 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [267]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, auf Wolkensockel. Maria steht frontal auf einem breiten Wolkensockel, aus dem 3 Engelsköpfe hervorschauen. Maria trägt mit beiden Händen in Brusthöhe das nackte Kind, dessen Blöße mit einem Lendentuch bedeckt ist. Maria ist bekleidet mit langem Gewand, Mantel und Schleier. Ihr Haupt ist nach links gewendet. Der Kopf des Kindes ist beschädigt. Freiplastische Gruppe. Reste alter Bemalung: Kleid der Maria rot; Mantel blau. ÖSTERREICHISCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Unter italienischem Einfluß, vielleicht in Italien selbst entstanden. Gebrannter rotbrauner Ton. Höhe 37 cm. Breite des Wolkensockels 19 cm. (Österreichisch, Mitte des 18. Jahrhunderts)|MARIA MIT DEM KINDE, auf Wolkensockel. Maria steht frontal auf einem breiten Wolkensockel, aus dem 3 Engelsköpfe hervorschauen. Maria trägt mit beiden Händen in Brusthöhe das nackte Kind, dessen Blöße mit einem Lendentuch bedeckt ist. Maria ist bekleidet mit langem Gewand, Mantel und Schleier. Ihr Haupt ist nach links gewendet. Der Kopf des Kindes ist beschädigt. Freiplastische Gruppe. Reste alter Bemalung: Kleid der Maria rot; Mantel blau. ÖSTERREICHISCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Unter italienischem Einfluß, vielleicht in Italien selbst entstanden. Gebrannter rotbrauner Ton. Höhe 37 cm. Breite des Wolkensockels 19 cm.]] réalisée par Österreichisch, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 280 sch. [268]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI BETENDE, SCHWEBENDE ENGEL-PUTTEN. Die beiden Gestalten knien mit zum Gebet gefalteten Händen auf Wolken. Die beiden Flügelpaare sind verlorengegangen. Wandgruppen mit flacher Rückseite. Alte Silberfassung; die Engel auf hellem, die Wolken auf goldgelbem Bolus versilbert. NIEDERBAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 17 cm. Aus Straubing in Niederbayern stammend. (Niederbayerisch, um 1750)|ZWEI BETENDE, SCHWEBENDE ENGEL-PUTTEN. Die beiden Gestalten knien mit zum Gebet gefalteten Händen auf Wolken. Die beiden Flügelpaare sind verlorengegangen. Wandgruppen mit flacher Rückseite. Alte Silberfassung; die Engel auf hellem, die Wolken auf goldgelbem Bolus versilbert. NIEDERBAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 17 cm. Aus Straubing in Niederbayern stammend.]] réalisée par Niederbayerisch, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [269]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI BETENDE, SCHWEBENDE ENGEL-PUTTEN. Die beiden Gestalten knien mit zum Gebet gefalteten Händen auf Wolken. Die beiden Flügelpaare sind verlorengegangen. Wandgruppen mit flacher Rückseite. Alte Silberfassung; die Engel auf hellem, die Wolken auf goldgelbem Bolus versilbert. NIEDERBAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 17 cm. Aus Straubing in Niederbayern stammend. (Niederbayerisch, um 1750)|ZWEI BETENDE, SCHWEBENDE ENGEL-PUTTEN. Die beiden Gestalten knien mit zum Gebet gefalteten Händen auf Wolken. Die beiden Flügelpaare sind verlorengegangen. Wandgruppen mit flacher Rückseite. Alte Silberfassung; die Engel auf hellem, die Wolken auf goldgelbem Bolus versilbert. NIEDERBAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 17 cm. Aus Straubing in Niederbayern stammend.]] réalisée par Niederbayerisch, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [270]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[IMMAKULATA, auf zugehörigem Volutensockel. Maria steht frontal auf der Weltkugel, um die sich eine Schlange windet. Die rechte Hand ist auf die Brust gelegt; der linke Arm nach rechts abwärts ausgestreckt (die linke Hand ist verlorengegangen). Das nach links gewandte Haupt ist von welligem Haar umrahmt. Kleidung: langes Gewand mit halblangen Ärmeln, darüber in flatternde Falten gelegter Mantel, Schleier. Es fehlt ein Stück des Schleiers. Der holzgeschnitzte Sockel aus drei Voluten gebildet. Statuette mit abgeflachter Rückseite. Der Sockel vergoldet. BAYERISCH, UM 1750. Die Statuette Alabaster, der Sockel Holz. Höhe 25 cm. (Bayerisch, um 1750)|IMMAKULATA, auf zugehörigem Volutensockel. Maria steht frontal auf der Weltkugel, um die sich eine Schlange windet. Die rechte Hand ist auf die Brust gelegt; der linke Arm nach rechts abwärts ausgestreckt (die linke Hand ist verlorengegangen). Das nach links gewandte Haupt ist von welligem Haar umrahmt. Kleidung: langes Gewand mit halblangen Ärmeln, darüber in flatternde Falten gelegter Mantel, Schleier. Es fehlt ein Stück des Schleiers. Der holzgeschnitzte Sockel aus drei Voluten gebildet. Statuette mit abgeflachter Rückseite. Der Sockel vergoldet. BAYERISCH, UM 1750. Die Statuette Alabaster, der Sockel Holz. Höhe 25 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 480 sch. [271]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SITZENDER PUTTO. Der nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Knabe sitzt, nach rechts gewendet, auf einem säulenartigen, profilierten Rundsockel mit quadratischer Standplatte. Der mit Lockenhaar bedeckte Kopf ist nach rechts gedreht, die rechte Hand ist in Kopf-, die linke in Schulterhöhe erhoben, die Beine sind nach rechts abwärts ausgestreckt. Es fehlen die beiden Flügel, einige Finger und Zehen. Der (alte) Sockel ist wohl spätere Zutat. Statuette. Schöne Reste der alten Fassung: Fleischfarbe rosa; Haare hellbraun; Spuren von Gold am Lendentuch; der Sockel marmoriert. SÜDDEUTSCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe (mit Sockel) 66 cm. (Süddeutsch, um 1750)|SITZENDER PUTTO. Der nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Knabe sitzt, nach rechts gewendet, auf einem säulenartigen, profilierten Rundsockel mit quadratischer Standplatte. Der mit Lockenhaar bedeckte Kopf ist nach rechts gedreht, die rechte Hand ist in Kopf-, die linke in Schulterhöhe erhoben, die Beine sind nach rechts abwärts ausgestreckt. Es fehlen die beiden Flügel, einige Finger und Zehen. Der (alte) Sockel ist wohl spätere Zutat. Statuette. Schöne Reste der alten Fassung: Fleischfarbe rosa; Haare hellbraun; Spuren von Gold am Lendentuch; der Sockel marmoriert. SÜDDEUTSCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe (mit Sockel) 66 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 450 sch. [272]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist auf die rechte Schulter gesunken. Die Augen sind geschlossen. Das von zwei Schnüren gehaltene Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet; das Ende hängt vom Knoten aus bis über Kniehöhe herab. Es fehlen einige Fingerspitzen. Freiplastisch. Rückseite flüchtig bearbeitet. SCHWÄBISCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 74 cm. Spannweite der Arme 57 cm. (Schwäbisch, Mitte des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist auf die rechte Schulter gesunken. Die Augen sind geschlossen. Das von zwei Schnüren gehaltene Schamtuch ist an der rechten Hüfte geknotet; das Ende hängt vom Knoten aus bis über Kniehöhe herab. Es fehlen einige Fingerspitzen. Freiplastisch. Rückseite flüchtig bearbeitet. SCHWÄBISCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 74 cm. Spannweite der Arme 57 cm.]] réalisée par Schwäbisch, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [273]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Maria hat das Haupt hoch erhoben, der Blick ist nach links aufwärts gerichtet. Die Hände sind vor der Brust gefaltet. Kleidung: langes, weites Gewand, darüber langer Mantel, der über den Kopf gezogen ist. Hochrelief artige Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung: Mantel blau, Futter blau; Gewand rot; Schuhe schwarz; Sockel grün. SCHWÄBISCH, VOR 1700. Gebrannter roter Ton. Höhe 29 cm. (Schwäbisch, vor 1700)|TRAUERNDE MARIA, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Maria hat das Haupt hoch erhoben, der Blick ist nach links aufwärts gerichtet. Die Hände sind vor der Brust gefaltet. Kleidung: langes, weites Gewand, darüber langer Mantel, der über den Kopf gezogen ist. Hochrelief artige Wandfigur. Rückseite ausgehöhlt. Reste der alten Fassung: Mantel blau, Futter blau; Gewand rot; Schuhe schwarz; Sockel grün. SCHWÄBISCH, VOR 1700. Gebrannter roter Ton. Höhe 29 cm.]] réalisée par Schwäbisch, vor 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 190 sch. [274]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS AM KREUZ MIT DER TRAUERNDEN MARIA. Christus hängt mit hochgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz, dessen drei oberen Balkenenden in Dreipaßform mit Rokaillen verziert sind. Das Haupt des Christus ist auf die rechte Schulter herabgesunken; es trägt die Dornenkrone. Maria, zu Füßen des Kreuzes auf einem gewölbten Rasensockel frontal stehend, hat die beiden Hände in schmerzhafter Gebärde ineinandergefaltet. Ihr Haupt ist nach rechts geneigt. Kleidung: Langes Gewand. Weiter, reich bewegter Mantel und Schleier. Als Unterbau der Gruppe ist ein felsiges Geländestück verwendet; links Totenkopf. Freiplastische Gruppe. Spuren alter Bemalung. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe 150 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 83, Tafel 44. TAFEL 47 (München, um 1750)|CHRISTUS AM KREUZ MIT DER TRAUERNDEN MARIA. Christus hängt mit hochgestreckten Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem hohen Kreuz, dessen drei oberen Balkenenden in Dreipaßform mit Rokaillen verziert sind. Das Haupt des Christus ist auf die rechte Schulter herabgesunken; es trägt die Dornenkrone. Maria, zu Füßen des Kreuzes auf einem gewölbten Rasensockel frontal stehend, hat die beiden Hände in schmerzhafter Gebärde ineinandergefaltet. Ihr Haupt ist nach rechts geneigt. Kleidung: Langes Gewand. Weiter, reich bewegter Mantel und Schleier. Als Unterbau der Gruppe ist ein felsiges Geländestück verwendet; links Totenkopf. Freiplastische Gruppe. Spuren alter Bemalung. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe 150 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 83, Tafel 44. TAFEL 47]] réalisée par München, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 900 sch. [275]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA (Immakulata), frontal auf rechteckiger Standplatte stehend. Der rechte Fuß tritt die am Boden sich krümmende Schlange, der linke steht auf einer Mondsichel. Das Haupt ist hoch erhoben, der Blick nach aufwärts gerichtet. Die Hände sind in Brusthöhe erhoben. Kleidung: Gegürtetes, langes Gewand, langer, weiter Mantel, Schleier. Es fehlen die Finger beider Hände. Statuette. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Bemalung auf der Rückseite. SCHWÄBISCH, UM 1750. Gebrannter roter Ton. Höhe 40 cm. (Schwäbisch, um 1750)|MARIA (Immakulata), frontal auf rechteckiger Standplatte stehend. Der rechte Fuß tritt die am Boden sich krümmende Schlange, der linke steht auf einer Mondsichel. Das Haupt ist hoch erhoben, der Blick nach aufwärts gerichtet. Die Hände sind in Brusthöhe erhoben. Kleidung: Gegürtetes, langes Gewand, langer, weiter Mantel, Schleier. Es fehlen die Finger beider Hände. Statuette. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Bemalung auf der Rückseite. SCHWÄBISCH, UM 1750. Gebrannter roter Ton. Höhe 40 cm.]] réalisée par Schwäbisch, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [276]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen an einem hohen, schwarzen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist zur rechten Schulter herabgesunken. Das stark bewegte Lendentuch umschließt in Hüfthöhe in weitem Bogen den Körper. Sein Ende flattert, unter dem rechten Oberschenkel hervorkommend, in Kniehöhe nach links auswärts. Das obere Ende des Kreuzes und die beiden Querbalken enden in Kleeblattrosetten. Am Fußende des Kreuzes flache Kartusche mit Kranz. Es fehlt der Zeigefinger der rechten Hand. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung. Das Kreuz schwarz; die kleeblattförmigen Kreuzenden und die Kartusche am Fußende des Kreuzes vergoldet. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 56 cm, Spannweite der Arme 37 cm. Höhe des Kreuzes 132 cm. (Süddeutsch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen an einem hohen, schwarzen Kreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist zur rechten Schulter herabgesunken. Das stark bewegte Lendentuch umschließt in Hüfthöhe in weitem Bogen den Körper. Sein Ende flattert, unter dem rechten Oberschenkel hervorkommend, in Kniehöhe nach links auswärts. Das obere Ende des Kreuzes und die beiden Querbalken enden in Kleeblattrosetten. Am Fußende des Kreuzes flache Kartusche mit Kranz. Es fehlt der Zeigefinger der rechten Hand. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Reste alter Bemalung. Das Kreuz schwarz; die kleeblattförmigen Kreuzenden und die Kartusche am Fußende des Kreuzes vergoldet. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 56 cm, Spannweite der Arme 37 cm. Höhe des Kreuzes 132 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [277]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGELSKOPF, mit waagrecht ausgebreiteten Flügeln. Der Kopf ist nach links gewendet. Das in der Mitte gescheitelte Haar ist rückwärts zu einem Knoten gebunden. Eine Ringellocke fällt an der linken Halsseite über den Flügel herab. Wandfigur. Rückseite flüchtig bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischfarbe rosa; Augen schwarz; Haare braun; Flügel rosa und hellblau. ÖSTERREICHISCH, UM 1770. Lindenholz. Höhe 16 cm, Spannweite der Flügel 19 cm. (Österreichisch, um 1770)|ENGELSKOPF, mit waagrecht ausgebreiteten Flügeln. Der Kopf ist nach links gewendet. Das in der Mitte gescheitelte Haar ist rückwärts zu einem Knoten gebunden. Eine Ringellocke fällt an der linken Halsseite über den Flügel herab. Wandfigur. Rückseite flüchtig bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischfarbe rosa; Augen schwarz; Haare braun; Flügel rosa und hellblau. ÖSTERREICHISCH, UM 1770. Lindenholz. Höhe 16 cm, Spannweite der Flügel 19 cm.]] réalisée par Österreichisch, um 1770, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [278]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[IMMAKULATA, auf Wolkensockel. Maria steht, in starker Linksdrehung, auf einem mit Engelsköpfen verzierten Wolkensockel. Sie hat das Haupt nach rückwärts geneigt und blickt in verzückter Gebärde nach oben. Die Hände sind auf die Brust gelegt. Kleidung: langes, enganliegendes, hochgegürtetes Gewand, darüber in kühnem Schwung ausladender, faltenreicher Mantel, der über den Kopf gezogen ist und dessen Ende von der rechten Hüfte her quer über die Mitte des Körpers weht. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Weißer Marmor. Höhe 28,5 cm. TAFEL 51 (Oberrheinisch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|IMMAKULATA, auf Wolkensockel. Maria steht, in starker Linksdrehung, auf einem mit Engelsköpfen verzierten Wolkensockel. Sie hat das Haupt nach rückwärts geneigt und blickt in verzückter Gebärde nach oben. Die Hände sind auf die Brust gelegt. Kleidung: langes, enganliegendes, hochgegürtetes Gewand, darüber in kühnem Schwung ausladender, faltenreicher Mantel, der über den Kopf gezogen ist und dessen Ende von der rechten Hüfte her quer über die Mitte des Körpers weht. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Weißer Marmor. Höhe 28,5 cm. TAFEL 51]] réalisée par Oberrheinisch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2800 sch. [279]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE auf der Weltkugel. Maria, in enganliegendem, modischem Gewand und weitem, flatternden Mantel, steht, das Kind mit beiden Händen haltend, auf der um eine Weltkugel sich ringelnden Schlange. Statuette. Rückseite vernachlässigt. NIEDERRHEINISCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Hartholz. Höhe (mit dem alten, aber nicht zugehörigen Sockel) 33,5 cm. (Niederrheinisch, Mitte des 18. Jahrhunderts)|MARIA MIT DEM KINDE auf der Weltkugel. Maria, in enganliegendem, modischem Gewand und weitem, flatternden Mantel, steht, das Kind mit beiden Händen haltend, auf der um eine Weltkugel sich ringelnden Schlange. Statuette. Rückseite vernachlässigt. NIEDERRHEINISCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Hartholz. Höhe (mit dem alten, aber nicht zugehörigen Sockel) 33,5 cm.]] réalisée par Niederrheinisch, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 600 sch. [280]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. AFRA, frontal auf gewölbtem, quadratischem Sockel stehend. Mit beiden Armen umschließt die Gestalt einen rechts stehenden Baumstumpf, an den ihre Hände festgebunden sind. Der linke Fuß steht auf Holzscheitern. Kleidung: enganliegendes Gewand mit modisch geschnittener Schoßbluse, darüber weiter, langer Mantel. Das Haupt ist nach links geneigt; der Blick nach aufwärts gerichtet. Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Spuren alten Kreidegrundes, ÖSTERREICHISCHER BILDHAUER IN DER ART DES JOHANN HAGENAUER (1732-1807). Gebrannter rötlicher Ton. Höhe 29 cm. Vgl. das verwandte Modell der "Einigkeit" im Germanischen Museum zu Nürnberg, abgebildet in: Neuerwerbungen des Germanischen Museums 1925-1929 (1930), Tafel 109. TAFEL 51 (Johannes Hagenauer)|HL. AFRA, frontal auf gewölbtem, quadratischem Sockel stehend. Mit beiden Armen umschließt die Gestalt einen rechts stehenden Baumstumpf, an den ihre Hände festgebunden sind. Der linke Fuß steht auf Holzscheitern. Kleidung: enganliegendes Gewand mit modisch geschnittener Schoßbluse, darüber weiter, langer Mantel. Das Haupt ist nach links geneigt; der Blick nach aufwärts gerichtet. Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Spuren alten Kreidegrundes, ÖSTERREICHISCHER BILDHAUER IN DER ART DES JOHANN HAGENAUER (1732-1807). Gebrannter rötlicher Ton. Höhe 29 cm. Vgl. das verwandte Modell der "Einigkeit" im Germanischen Museum zu Nürnberg, abgebildet in: Neuerwerbungen des Germanischen Museums 1925-1929 (1930), Tafel 109. TAFEL 51]] réalisée par Johannes Hagenauer, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 270 sch. [281]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen an einem schwarzen Holzkreuz hängend. Das rechte Bein, dessen Knie stark heraustritt, ist leicht abgebogen, das linke Bein in schöner Schwingung ausgestreckt. Der linke Fuß ist über den rechten genagelt. Das Haupt ist bärtig, das Haar fällt in weichen, malerisch zusammengefaßten Wellen herab. Die Augen sind geschlossen. Um das Haupt ist in Stirnhöhe eine aus Zweigen geflochtene Dornenkrone gewunden. Das Schamtuch wird in Hüfthöhe von Schnüren festgehalten; sein Ende fällt von der rechten Hüfte aus in breiter Ausladung bis zur Kniehöhe herab. In seiner sorgfältigen, weichen Modellierung zeigt das Bildwerk die Hand eines Meisters von besonderer Eigenart. Es fehlen zwei Fingerspitzen der rechten Hand. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Sorgfältige alte Bemalung: Fleischfarbe gelblich-grau; Haare braun; Lendentuch Spuren von Vergoldung. SÜDDEUTSCH, WOHL BAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 153 cm. Spannweite der Arme 130 cm. Höhe des Kreuzes 264 cm. (Süddeutsch, wohl Bayerisch, um 1700)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen an einem schwarzen Holzkreuz hängend. Das rechte Bein, dessen Knie stark heraustritt, ist leicht abgebogen, das linke Bein in schöner Schwingung ausgestreckt. Der linke Fuß ist über den rechten genagelt. Das Haupt ist bärtig, das Haar fällt in weichen, malerisch zusammengefaßten Wellen herab. Die Augen sind geschlossen. Um das Haupt ist in Stirnhöhe eine aus Zweigen geflochtene Dornenkrone gewunden. Das Schamtuch wird in Hüfthöhe von Schnüren festgehalten; sein Ende fällt von der rechten Hüfte aus in breiter Ausladung bis zur Kniehöhe herab. In seiner sorgfältigen, weichen Modellierung zeigt das Bildwerk die Hand eines Meisters von besonderer Eigenart. Es fehlen zwei Fingerspitzen der rechten Hand. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Sorgfältige alte Bemalung: Fleischfarbe gelblich-grau; Haare braun; Lendentuch Spuren von Vergoldung. SÜDDEUTSCH, WOHL BAYERISCH, UM 1750. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 153 cm. Spannweite der Arme 130 cm. Höhe des Kreuzes 264 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl Bayerisch, um 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 150 sch. [282]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[IMMAKULATA. Maria steht, bekleidet mit langem Gewand, Schleier und weitem, über dem Leib sich bauschenden Mantel, auf der Schlange, die sich um die Weltkugel windet. Zu Füßen der Maria, an der Weltkugel, Wolken und Engelsköpfchen. Die beiden Hände der Maria sind auf die Brust gelegt, das Haupt ist nach links abwärts geneigt. Wand gruppe. Rückseite ausgehöhlt. Weiße Glasur, z. T. vergoldet. Der zugehörige y alte Holzsockel ist auf kupferrotem Bolus vergoldet. CHRISTIAN WENZINGER, FREIBURG i. Br. (1710-1797). Gebrannter rötlicher Ton. Höhe mit Sockel 48 cm. Zwei gleich große, fast wörtlich übereinstimmende Wiederholungen des Bildwerkes befinden sich in der Sammlung Hofrat Röhrer, jetzt im Besitz der Stadt Augsburg. Vgl. Feulner, Die Sammlung Hofrat Sigmund Röhrer (1926), II. Nr. 58, 59, Abb. 70. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 92, Tafel 49. TAFEL 50 (Christian Wenzinger)|IMMAKULATA. Maria steht, bekleidet mit langem Gewand, Schleier und weitem, über dem Leib sich bauschenden Mantel, auf der Schlange, die sich um die Weltkugel windet. Zu Füßen der Maria, an der Weltkugel, Wolken und Engelsköpfchen. Die beiden Hände der Maria sind auf die Brust gelegt, das Haupt ist nach links abwärts geneigt. Wand gruppe. Rückseite ausgehöhlt. Weiße Glasur, z. T. vergoldet. Der zugehörige y alte Holzsockel ist auf kupferrotem Bolus vergoldet. CHRISTIAN WENZINGER, FREIBURG i. Br. (1710-1797). Gebrannter rötlicher Ton. Höhe mit Sockel 48 cm. Zwei gleich große, fast wörtlich übereinstimmende Wiederholungen des Bildwerkes befinden sich in der Sammlung Hofrat Röhrer, jetzt im Besitz der Stadt Augsburg. Vgl. Feulner, Die Sammlung Hofrat Sigmund Röhrer (1926), II. Nr. 58, 59, Abb. 70. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 92, Tafel 49. TAFEL 50]] réalisée par Christian Wenzinger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 7800 sch. [283]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGELSKÖPFCHEN, mit abwärts gestellten Flügeln. Das Haupt ist in Profilansicht nach rechts gedreht. Das gelockte Haar ist an der rechten Kopfseite gescheitelt. Zwei Flügelspitzen sind spätere Ergänzung. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Reste alter Bemalung unter Firnisüberzug. CHRISTIAN WENZINGER, FREIBURG i. Br. (1710-1797), WERKSTATT. Obstbaumholz. Höhe 23 cm. (Christian Wenzinger)|ENGELSKÖPFCHEN, mit abwärts gestellten Flügeln. Das Haupt ist in Profilansicht nach rechts gedreht. Das gelockte Haar ist an der rechten Kopfseite gescheitelt. Zwei Flügelspitzen sind spätere Ergänzung. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. Reste alter Bemalung unter Firnisüberzug. CHRISTIAN WENZINGER, FREIBURG i. Br. (1710-1797), WERKSTATT. Obstbaumholz. Höhe 23 cm.]] réalisée par Christian Wenzinger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 280 sch. [284]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. SEBASTIAN. Die nackte Gestalt des Heiligen, dessen Blöße von einem um den Körper geschlungenen Tuch verhüllt wird, steht vor einem mächtigen Baumstamm auf welligem Rasensockel. Der rechte Arm ist hoch oben an einem Ast festgebunden, der linke Arm umschließt einen zweiten Ast, an den er mit einem Strick angebunden ist. Links, an den Baumstamm gelehnt, Schild und Helm. Das bartlose Haupt des Heiligen ist von lockigem Haar umrahmt, der schmerzerfüllte Blick nach oben gerichtet. Es fehlen zwei Finger der linken und drei Finger der rechten Hand. Freiplastische Standgruppe. Alte Steingrundierung mit Spuren alter Bemalung: Baumstamm braun-grün; Rasensockel grün. MÜNCHEN, UM 1750, vermutlich Arbeit des Johann Baptist Straub (1704-1784) oder seines Schülers Christian Jorhan d. Ä. (1727-1804). Lindenholz. Höhe 56,5 cm. Nach Mitteilung des Vorbesitzers aus Obertraubling bei Regensburg stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 86, Tafel 46. (Johann Baptist Straub)|HL. SEBASTIAN. Die nackte Gestalt des Heiligen, dessen Blöße von einem um den Körper geschlungenen Tuch verhüllt wird, steht vor einem mächtigen Baumstamm auf welligem Rasensockel. Der rechte Arm ist hoch oben an einem Ast festgebunden, der linke Arm umschließt einen zweiten Ast, an den er mit einem Strick angebunden ist. Links, an den Baumstamm gelehnt, Schild und Helm. Das bartlose Haupt des Heiligen ist von lockigem Haar umrahmt, der schmerzerfüllte Blick nach oben gerichtet. Es fehlen zwei Finger der linken und drei Finger der rechten Hand. Freiplastische Standgruppe. Alte Steingrundierung mit Spuren alter Bemalung: Baumstamm braun-grün; Rasensockel grün. MÜNCHEN, UM 1750, vermutlich Arbeit des Johann Baptist Straub (1704-1784) oder seines Schülers Christian Jorhan d. Ä. (1727-1804). Lindenholz. Höhe 56,5 cm. Nach Mitteilung des Vorbesitzers aus Obertraubling bei Regensburg stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 86, Tafel 46.]] réalisée par Johann Baptist Straub, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1000 sch. [285]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÖNCH MIT BUCH UND SCHWAMM. Die Gestalt, in der Ordenstracht der Dominikaner bekleidet, steht hochaufgerichtet, mit nach aufwärts blickendem Gesicht auf einem profilierten Sockel. Die rechte Hand hält einen Stab, an dessen oberem Ende ein Schwamm befestigt ist, die Linke umfaßt ein aufgeschlagenes Buch. Bartloses Haupt, Strahlenkranz. (Wohl Darstellung des hl. Bernhard.) Statuette, wohl Modell zu einer großen Skulptur. Alte Fassung: das Gewand Polierweiß und schwarz; Gesicht und Hände fleischfarben; Strahlenkranz und Sockel vergoldet. EGID QUIRIN ASAM (1692-1750), MÜNCHEN. Lindenholz. Höhe mit dem alten Sockel 41 cm Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 88, Tafel 46. TAFEL 45 (Egid Quirin Asam)|MÖNCH MIT BUCH UND SCHWAMM. Die Gestalt, in der Ordenstracht der Dominikaner bekleidet, steht hochaufgerichtet, mit nach aufwärts blickendem Gesicht auf einem profilierten Sockel. Die rechte Hand hält einen Stab, an dessen oberem Ende ein Schwamm befestigt ist, die Linke umfaßt ein aufgeschlagenes Buch. Bartloses Haupt, Strahlenkranz. (Wohl Darstellung des hl. Bernhard.) Statuette, wohl Modell zu einer großen Skulptur. Alte Fassung: das Gewand Polierweiß und schwarz; Gesicht und Hände fleischfarben; Strahlenkranz und Sockel vergoldet. EGID QUIRIN ASAM (1692-1750), MÜNCHEN. Lindenholz. Höhe mit dem alten Sockel 41 cm Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 88, Tafel 46. TAFEL 45]] réalisée par Egid Quirin Asam, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1600 sch. [286]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHWEBENDER ENGEL. Die Gestalt schwebt frontal mit ausgebreiteten, kurzen Flügeln. Der Kopf ist nach links gedreht, der Blick nach abwärts gerichtet. Um lockiges Haar ist ein Band geschlungen, an dem Rosen befestigt sind. Der rechte Arm ist in Brusthöhe erhoben, der linke Arm nach rechts ausgestreckt und bis zur Höhe des Kopfes emporgehoben. Um die Blöße des nackten Engels legt sich ein Tuch, das von einem über die rechte Schulter geschlungenen Band gehalten wird. Es fehlt der Zeigefinger der rechten Hand. Das Holz zeigt in der Mitte des rechten Beines einen Sprung. Wandfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund (Gold am Tragband). IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN (1725-1775). Lindenholz. Höhe 88 cm. Aus München stammend. Wilm. Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 90, Tafel 48. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 301. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstdenkmäler" und darf deshalb ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 46 (Ignaz Günther)|SCHWEBENDER ENGEL. Die Gestalt schwebt frontal mit ausgebreiteten, kurzen Flügeln. Der Kopf ist nach links gedreht, der Blick nach abwärts gerichtet. Um lockiges Haar ist ein Band geschlungen, an dem Rosen befestigt sind. Der rechte Arm ist in Brusthöhe erhoben, der linke Arm nach rechts ausgestreckt und bis zur Höhe des Kopfes emporgehoben. Um die Blöße des nackten Engels legt sich ein Tuch, das von einem über die rechte Schulter geschlungenen Band gehalten wird. Es fehlt der Zeigefinger der rechten Hand. Das Holz zeigt in der Mitte des rechten Beines einen Sprung. Wandfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund (Gold am Tragband). IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN (1725-1775). Lindenholz. Höhe 88 cm. Aus München stammend. Wilm. Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 90, Tafel 48. Vgl. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster in München, in: Pantheon, Oktoberheft 1937, S. 293 ff. und Abbildung auf S. 301. Dieses Bildwerk steht auf der "Liste der national wertvollen Kunstdenkmäler" und darf deshalb ohne Genehmigung des Reichsinnenministers nicht in das Ausland verbracht werden. TAFEL 46]] réalisée par Ignaz Günther, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3200 sch. [287]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[BÜSTE EINES HEILIGEN in Halbfigur auf volutenartigem Sockel. Das mit lockigem Haar bedeckte, mit langem, bis auf die Brust herabwallendem Bart bewachsene Haupt ist nach rechts aufwärts gerichtet. Augen und Mund sind weit geöffnet. Der linke Arm ist zur Brusthöhe erhoben, der rechte nach abwärts gestreckt. Kleidung: Untergewand, darüber weiter Mantel mit Pelzkragen. Es fehlen die beiden ehemals eingediebelten Hände. Freiplastische Büste mit abgeflachter Rückseite. Schöne Reste alter Silberfassung auf Kreidegrund. IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN (1725-1775). Lindenholz. Höhe 85 cm. Die Büste stammt nach neueren Mitteilungen aus Landshut. Sie ist eng verwandt mit einer gleichartigen Büste eines bärtigen Heiligen in Frankfurter Privatbesitz. Vgl. Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz, Band II (1924), Nr. 68 mit drei Abbildungen. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 89, Tafel 47. TAFEL 46 (Ignaz Günther)|BÜSTE EINES HEILIGEN in Halbfigur auf volutenartigem Sockel. Das mit lockigem Haar bedeckte, mit langem, bis auf die Brust herabwallendem Bart bewachsene Haupt ist nach rechts aufwärts gerichtet. Augen und Mund sind weit geöffnet. Der linke Arm ist zur Brusthöhe erhoben, der rechte nach abwärts gestreckt. Kleidung: Untergewand, darüber weiter Mantel mit Pelzkragen. Es fehlen die beiden ehemals eingediebelten Hände. Freiplastische Büste mit abgeflachter Rückseite. Schöne Reste alter Silberfassung auf Kreidegrund. IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN (1725-1775). Lindenholz. Höhe 85 cm. Die Büste stammt nach neueren Mitteilungen aus Landshut. Sie ist eng verwandt mit einer gleichartigen Büste eines bärtigen Heiligen in Frankfurter Privatbesitz. Vgl. Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz, Band II (1924), Nr. 68 mit drei Abbildungen. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 89, Tafel 47. TAFEL 46]] réalisée par Ignaz Günther, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 7200 sch. [288]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÖNCH. Die Gestalt steht, mit der Ordenstracht bekleidet, in ruckartiger Bewegung mit erhobenen Armen, mit dem geneigten Kopf wie beschwörend nach abwärts blickend, auf einem halbkugelförmigen Sockel. Die rechte Hand umfaßt ein Kreuz, an dem die untere Hälfte des Längsbalkens abgebrochen ist. Es fehlen drei Finger der linken Hand. Vermutlich Modellskizze zu einem größeren Bildwerk. Statuette. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Bemalung: Gesicht und Hände fleischfarben; Gewand und Kopfbedeckung schwarz; Sockel grün; Kreuz vergoldet. IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN (1725-1775). Lindenholz. Höhe 29 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 87, Tafel 46. (Ignaz Günther)|MÖNCH. Die Gestalt steht, mit der Ordenstracht bekleidet, in ruckartiger Bewegung mit erhobenen Armen, mit dem geneigten Kopf wie beschwörend nach abwärts blickend, auf einem halbkugelförmigen Sockel. Die rechte Hand umfaßt ein Kreuz, an dem die untere Hälfte des Längsbalkens abgebrochen ist. Es fehlen drei Finger der linken Hand. Vermutlich Modellskizze zu einem größeren Bildwerk. Statuette. Rückseite vernachlässigt. Reste alter Bemalung: Gesicht und Hände fleischfarben; Gewand und Kopfbedeckung schwarz; Sockel grün; Kreuz vergoldet. IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN (1725-1775). Lindenholz. Höhe 29 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 87, Tafel 46.]] réalisée par Ignaz Günther, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1500 sch. [289]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA UNTERM KREUZ. Die Gestalt steht mit nach links abwärts geneigtem Kopf und vor der Brust gefalteten Händen auf einem halbrunden Rasensockel. Sie ist bekleidet mit langem Gewand, Halstuch und weitem, auch die obere Hälfte des Hauptes verhüllenden Mantel, der die Brust und einen Teil des Unterkörpers frei läßt. Wandfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Alte Fassung: Mantel blau mit Goldsaum; Gewand rot mit Goldsaum; Halstuch graublau; Schuhe Gold; Rasensockel grün. IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN, WERKSTATTARBEIT UM 1770. Lindenholz. Höhe 72 cm. Aus Geisenhausen bei Landshut in Niederbayern stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 84, Tafel 44. TAFEL 47 (Ignaz Günther)|TRAUERNDE MARIA UNTERM KREUZ. Die Gestalt steht mit nach links abwärts geneigtem Kopf und vor der Brust gefalteten Händen auf einem halbrunden Rasensockel. Sie ist bekleidet mit langem Gewand, Halstuch und weitem, auch die obere Hälfte des Hauptes verhüllenden Mantel, der die Brust und einen Teil des Unterkörpers frei läßt. Wandfigur mit ausgehöhlter Rückseite. Alte Fassung: Mantel blau mit Goldsaum; Gewand rot mit Goldsaum; Halstuch graublau; Schuhe Gold; Rasensockel grün. IGNAZ GÜNTHER, MÜNCHEN, WERKSTATTARBEIT UM 1770. Lindenholz. Höhe 72 cm. Aus Geisenhausen bei Landshut in Niederbayern stammend. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 84, Tafel 44. TAFEL 47]] réalisée par Ignaz Günther, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2100 sch. [290]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KÖNIG DAVID (?). Die Gestalt steht, mit modischer Panzertaille, kurzem Rock und langem, weitem Mantel bekleidet, in der S-Linie bewegt, auf einem flachen Rasensockel. Das hocherhobene, bärtige Haupt ist nach links geneigt und mit einem Lorbeerkranz geschmückt. Die beiden Arme sind etwa in Hüfthöhe nach vorwärts ausgestreckt. Es fehlen fünf Fingerglieder der rechten und die Finger der linken Hand. Statue. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Bemalung. CHRISTIAN JORHAN D. Ä. (1727-1804). Lindenholz. Höhe 164 cm. Die Figur, die zweifellos der Schule J. B. Straubs entstammt, reicht in vielen Einzelheiten ihrer Formengebung nahe an Günther, den Mitschüler Jorhans bei Straub, heran. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 85, Tafel 45. TAFEL 47 (Christian Jorhan d. Ä.)|KÖNIG DAVID (?). Die Gestalt steht, mit modischer Panzertaille, kurzem Rock und langem, weitem Mantel bekleidet, in der S-Linie bewegt, auf einem flachen Rasensockel. Das hocherhobene, bärtige Haupt ist nach links geneigt und mit einem Lorbeerkranz geschmückt. Die beiden Arme sind etwa in Hüfthöhe nach vorwärts ausgestreckt. Es fehlen fünf Fingerglieder der rechten und die Finger der linken Hand. Statue. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Bemalung. CHRISTIAN JORHAN D. Ä. (1727-1804). Lindenholz. Höhe 164 cm. Die Figur, die zweifellos der Schule J. B. Straubs entstammt, reicht in vielen Einzelheiten ihrer Formengebung nahe an Günther, den Mitschüler Jorhans bei Straub, heran. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 85, Tafel 45. TAFEL 47]] réalisée par Christian Jorhan d. Ä., vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [291]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS IN DER RAST. Die Gestalt sitzt frontal mit auseinandergestellten Beinen auf einem Baumstumpf, dem ein hoher Rasensockel vorgebaut ist. Der Kopf ist nach links geneigt und stützt sich auf die rechte Hand. Die linke Hand hängt über den linken Oberschenkel in den Schoß herab. Das bärtige, von Locken umrahmte Haupt trägt die Dornenkrone. Der Oberkörper und die Beine sind un- bekleidet. Um die Hüften schlingt sich ein Lendentuch, dessen Enden zu beiden Seiten der Beine bis auf den Rasensockel herabfallen. Der Sockel ist stark verwittert. Wandfigur. Rückseite hohl. Reste einer älteren Bemalung auf Kreidegrund: Fleischfarbe gelbrosa; Haare hellbraun; Lendentuch weiß; Baumstamm grün; Dornenkrone braun. CHRISTIAN JORHAN D. Ä., LANDSHUT (1727-1804). Lindenholz. Höhe 94 cm. Das Bildwerk ist eine fast wörtliche, aber in die Formensprache des Rokokos übersetzte Wiederholung von Hans Leinbergers "Christus in der Rast" im Deutschen Museum zu Berlin. Vgl. Feulner, Skulptur und Malerei des 18. Jahrhunderts in Deutschland (1929), S. 15, Abb. 7. Vgl. Feulner, Die deutsche Plastik des 16. Jahrhunderts (1926), Tafel 66. (Christian Jorhan d. Ä.)|CHRISTUS IN DER RAST. Die Gestalt sitzt frontal mit auseinandergestellten Beinen auf einem Baumstumpf, dem ein hoher Rasensockel vorgebaut ist. Der Kopf ist nach links geneigt und stützt sich auf die rechte Hand. Die linke Hand hängt über den linken Oberschenkel in den Schoß herab. Das bärtige, von Locken umrahmte Haupt trägt die Dornenkrone. Der Oberkörper und die Beine sind un- bekleidet. Um die Hüften schlingt sich ein Lendentuch, dessen Enden zu beiden Seiten der Beine bis auf den Rasensockel herabfallen. Der Sockel ist stark verwittert. Wandfigur. Rückseite hohl. Reste einer älteren Bemalung auf Kreidegrund: Fleischfarbe gelbrosa; Haare hellbraun; Lendentuch weiß; Baumstamm grün; Dornenkrone braun. CHRISTIAN JORHAN D. Ä., LANDSHUT (1727-1804). Lindenholz. Höhe 94 cm. Das Bildwerk ist eine fast wörtliche, aber in die Formensprache des Rokokos übersetzte Wiederholung von Hans Leinbergers "Christus in der Rast" im Deutschen Museum zu Berlin. Vgl. Feulner, Skulptur und Malerei des 18. Jahrhunderts in Deutschland (1929), S. 15, Abb. 7. Vgl. Feulner, Die deutsche Plastik des 16. Jahrhunderts (1926), Tafel 66.]] réalisée par Christian Jorhan d. Ä., vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [292]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS, AUFERSTEHEND. Die nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt Christi steht frontal auf einem niedrigen, gewölbten Rasensockel. Die Rechte ist segnend bis zur Schulterhöhe erhoben, die linke Hand (die einst wohl eine jetzt verlorengegangene Fahne hielt) ist in Hüfthöhe nach rechts ausgestreckt. Der Kopf ist nach links gedreht. Es fehlen: vier Finger der rechten, ein Finger und drei Fingerspitzen der linken Hand und die Fahne. Statuette. Alte Fassung: Fleisch hellrosa; Haare hellbraun; Lendentuch Silber; Sockel grün. MÜNCHEN, SCHULE DES IGNAZ GÜNTHER, UM 1770. Lindenholz. Höhe 62 cm. (Ignaz Günther)|CHRISTUS, AUFERSTEHEND. Die nur mit einem Lendentuch bekleidete Gestalt Christi steht frontal auf einem niedrigen, gewölbten Rasensockel. Die Rechte ist segnend bis zur Schulterhöhe erhoben, die linke Hand (die einst wohl eine jetzt verlorengegangene Fahne hielt) ist in Hüfthöhe nach rechts ausgestreckt. Der Kopf ist nach links gedreht. Es fehlen: vier Finger der rechten, ein Finger und drei Fingerspitzen der linken Hand und die Fahne. Statuette. Alte Fassung: Fleisch hellrosa; Haare hellbraun; Lendentuch Silber; Sockel grün. MÜNCHEN, SCHULE DES IGNAZ GÜNTHER, UM 1770. Lindenholz. Höhe 62 cm.]] réalisée par Ignaz Günther, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 55 sch. [293]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHWEBENDER ENGEL AUF WOLKEN. Die Gestalt kniet frontal auf einem Wolkengebilde. Die rechte Hand ist mit deutender Gebärde nach oben gerichtet, die linke in Hüfthöhe nach vorwärts gestreckt. Die großen Flügel sind ausgebreitet. Kleidung: weites, gegürtetes Gewand mit halblangen Ärmeln und Mantel, der sich über dem linken Oberschenkel überschlägt und bis über die Wolken herabfällt. Wandfigur. Rückseite hohl. Schöne Reste alter Fassung: Gewand Silber; Mantel Gold, Futter Silber (ehemals blaue Lüsterfarbe?); Haare braun; Flügel Gold. KREIS DES EGID QUIRIN ASAM, MÜNCHEN, UM 1760. Lindenholz. Höhe 134,5 cm. TAFEL 44 (Egid Quirin Asam)|SCHWEBENDER ENGEL AUF WOLKEN. Die Gestalt kniet frontal auf einem Wolkengebilde. Die rechte Hand ist mit deutender Gebärde nach oben gerichtet, die linke in Hüfthöhe nach vorwärts gestreckt. Die großen Flügel sind ausgebreitet. Kleidung: weites, gegürtetes Gewand mit halblangen Ärmeln und Mantel, der sich über dem linken Oberschenkel überschlägt und bis über die Wolken herabfällt. Wandfigur. Rückseite hohl. Schöne Reste alter Fassung: Gewand Silber; Mantel Gold, Futter Silber (ehemals blaue Lüsterfarbe?); Haare braun; Flügel Gold. KREIS DES EGID QUIRIN ASAM, MÜNCHEN, UM 1760. Lindenholz. Höhe 134,5 cm. TAFEL 44]] réalisée par Egid Quirin Asam, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2100 sch. [294]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHWEBENDER ENGEL, mit weit ausgebreitetem rechten Flügel, hocherhobenem linken und waagrecht ausgestrecktem rechten Arm. Das linke Bein ist straff nach unten gestreckt, das rechte Bein im Knie abgebogen, der Unterschenkel emporgehoben. Oberkörper und Kopf des Engels sind nach links zurückgebeugt. Der Oberkörper ist nackt, der Unterkörper mit einem kniefreien Rock bekleidet, der an einem von der linken Schulter zur rechten Hüfte reichenden Band befestigt ist. Der linke Flügel verlorengegangen. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Aus dem Umkreis des Christian Wenzinger, Freiburg i. Br. (1710-1797). Lindenholz. Höhe 115 cm. (Oberrheinisch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|SCHWEBENDER ENGEL, mit weit ausgebreitetem rechten Flügel, hocherhobenem linken und waagrecht ausgestrecktem rechten Arm. Das linke Bein ist straff nach unten gestreckt, das rechte Bein im Knie abgebogen, der Unterschenkel emporgehoben. Oberkörper und Kopf des Engels sind nach links zurückgebeugt. Der Oberkörper ist nackt, der Unterkörper mit einem kniefreien Rock bekleidet, der an einem von der linken Schulter zur rechten Hüfte reichenden Band befestigt ist. Der linke Flügel verlorengegangen. Wandfigur. Rückseite abgeflacht. OBERRHEINISCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Aus dem Umkreis des Christian Wenzinger, Freiburg i. Br. (1710-1797). Lindenholz. Höhe 115 cm.]] réalisée par Oberrheinisch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [295]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HEILIGER MIT BUCH. Die Gestalt steht, in starker Betonung von Stand- und Spielbein, mit dem rechten Fuß auf einer Stufe. Der Unterkörper ist merklich nach vorwärts, der Oberkörper und der Kopf stark nach rückwärts gedreht. Die Rechte hält in Hüfthöhe ein Buch. Das unter der Brust gegürtete Gewand läßt die rechte Brust und den rechten Oberarm frei. Es fehlt das ursprünglich angestückte, rechtsseitige Drittel der Figur mit dem linken Arm. Der linke Fuß ist abgestoßen. Statuette mit abgeflachter Rückseite. Modellskizze zu einer größeren Skulptur. JOHANN BAPTIST STRAUB (1704-1784), MÜNCHEN, SCHULE. Vielleicht Arbeit des Ignaz Günther, mit dessen Tonmodell eines Hl. Petrus (um 1765) unsere Skizze große Ähnlichkeit aufweist. Lindenholz. Höhe 22 cm. Vgl. Feulner, Münchner Barockskulptur (1922), Nr. 51, Tafel 45. (Johann Baptist Straub)|HEILIGER MIT BUCH. Die Gestalt steht, in starker Betonung von Stand- und Spielbein, mit dem rechten Fuß auf einer Stufe. Der Unterkörper ist merklich nach vorwärts, der Oberkörper und der Kopf stark nach rückwärts gedreht. Die Rechte hält in Hüfthöhe ein Buch. Das unter der Brust gegürtete Gewand läßt die rechte Brust und den rechten Oberarm frei. Es fehlt das ursprünglich angestückte, rechtsseitige Drittel der Figur mit dem linken Arm. Der linke Fuß ist abgestoßen. Statuette mit abgeflachter Rückseite. Modellskizze zu einer größeren Skulptur. JOHANN BAPTIST STRAUB (1704-1784), MÜNCHEN, SCHULE. Vielleicht Arbeit des Ignaz Günther, mit dessen Tonmodell eines Hl. Petrus (um 1765) unsere Skizze große Ähnlichkeit aufweist. Lindenholz. Höhe 22 cm. Vgl. Feulner, Münchner Barockskulptur (1922), Nr. 51, Tafel 45.]] réalisée par Johann Baptist Straub, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 80 sch. [296]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem Astkreuz hängend. Das von einer Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links gewendet, unter dem Kruzifixus, am Kreuz befestigt, ein vergoldeter Strahlenkranz. Am oberen Ende des Kreuzstammes die Schrifttafel. Es fehlen: die Schleife des das Schamtuch haltenden Bandes und ein Strahlenbündel des Strahlenkranzes. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. FRANZ ANTON BUSTELLI (1723-1763). Der Kruzifixus und die Schrifttafel weißes Nymphenburger Porzellan (Rautenmarke am Lendentuch rückwärts und am rückwärtigen unteren Ende der Schrifttafel). Das Kreuz und der Strahlenkranz Holz. Höhe des Kruzifixus 30 cm. Höhe des Kreuzes 55 cm. Vgl. Hofmann, Geschichte der Porzellanmanufaktur Nymphenburg (1922), Band II, Tafel 12. TAFEL 49 (Franz Anton Bustelli)|KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem Astkreuz hängend. Das von einer Dornenkrone umwundene Haupt ist nach links gewendet, unter dem Kruzifixus, am Kreuz befestigt, ein vergoldeter Strahlenkranz. Am oberen Ende des Kreuzstammes die Schrifttafel. Es fehlen: die Schleife des das Schamtuch haltenden Bandes und ein Strahlenbündel des Strahlenkranzes. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. FRANZ ANTON BUSTELLI (1723-1763). Der Kruzifixus und die Schrifttafel weißes Nymphenburger Porzellan (Rautenmarke am Lendentuch rückwärts und am rückwärtigen unteren Ende der Schrifttafel). Das Kreuz und der Strahlenkranz Holz. Höhe des Kruzifixus 30 cm. Höhe des Kreuzes 55 cm. Vgl. Hofmann, Geschichte der Porzellanmanufaktur Nymphenburg (1922), Band II, Tafel 12. TAFEL 49]] réalisée par Franz Anton Bustelli, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [297]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHWEBENDER ENGEL. Die Gestalt schwebt mit ausgebreitetem linken Flügel in nach links gedrehter Stellung. Der Oberkörper ist mit dem Kopf nach rückwärts gebogen, der linke Fuß ist nach abwärts durchgedrückt, der rechte leicht erhoben. Die rechte Hand ist in Kopfhöhe, die linke in Brusthöhe emporgehoben. In dem lockigen Haar ist eine Blume befestigt. Um die Blöße schmiegt sich ein Lendentuch, das von einem um den Leib geschlungenen Band gehalten wird. Es fehlen: der rechte Flügel und vier Finger der rechten Hand. Kleinere Stücke des linken Flügels und einige Finger der linken Hand sind spätere Ergänzung. Statuette. Rückseite bearbeitet. Erneuerte Bemalung über der alten Fassung. Dunkle Fleischfarbe; Flügel und Lendentuch vergoldet. JOSEPH DEUTSCHMANN (1717-1787). Lindenholz. Höhe 80 cm. Der Engel ist nahe verwandt einer gleichartigen Darstellung in der Sammlung Hofrat Röhrer, jetzt im Besitz der Stadt Augsburg. Vgl. Feulner, Die Sammlung Hofrat Sigmund Röhrer (1926), II, 12, Tafel 34. TAFEL 48 (Joseph Deutschmann)|SCHWEBENDER ENGEL. Die Gestalt schwebt mit ausgebreitetem linken Flügel in nach links gedrehter Stellung. Der Oberkörper ist mit dem Kopf nach rückwärts gebogen, der linke Fuß ist nach abwärts durchgedrückt, der rechte leicht erhoben. Die rechte Hand ist in Kopfhöhe, die linke in Brusthöhe emporgehoben. In dem lockigen Haar ist eine Blume befestigt. Um die Blöße schmiegt sich ein Lendentuch, das von einem um den Leib geschlungenen Band gehalten wird. Es fehlen: der rechte Flügel und vier Finger der rechten Hand. Kleinere Stücke des linken Flügels und einige Finger der linken Hand sind spätere Ergänzung. Statuette. Rückseite bearbeitet. Erneuerte Bemalung über der alten Fassung. Dunkle Fleischfarbe; Flügel und Lendentuch vergoldet. JOSEPH DEUTSCHMANN (1717-1787). Lindenholz. Höhe 80 cm. Der Engel ist nahe verwandt einer gleichartigen Darstellung in der Sammlung Hofrat Röhrer, jetzt im Besitz der Stadt Augsburg. Vgl. Feulner, Die Sammlung Hofrat Sigmund Röhrer (1926), II, 12, Tafel 34. TAFEL 48]] réalisée par Joseph Deutschmann, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 700 sch. [298]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STANDKREUZ auf Rokaillensockel. Auf sechseckiger Standplatte erhebt sich der mit Voluten und Rokaillen verzierte Standsockel, dessen Oberseite mit einem felsigen Geländestück bedeckt ist. Aus diesem erhebt sich ein breites, hohes Kreuz. Um den unteren Teil des Kreuzstammes windet sich die Schlange; vor dem Kreuzfuß liegt ein Totenkopf auf gekreuzten Knochen. Der Kruzifixus hängt mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Am oberen Ende des Kreuzstammes die Schrifttafel. Wandgruppe. Der Sockel rückwärts ausgehöhlt; der Kruzifixus freiplastisch. Alte Fassung. Kruzifixus: Fleischfarbe; Lendentuch und Dornenkrone vergoldet. Sockel: Voluten und Rokaillen vergoldet; das flache Feld an der Vorderseite des Sockels in grüner Lüsterfarbe auf Silber. SÜDDEUTSCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Das Kreuz Föhrenholz. Höhe des Kruzifixus 35 cm. Höhe des Kreuzes mit Sockel 96 cm. TAFEL 43 (Süddeutsch, Mitte des 18. Jahrhunderts)|STANDKREUZ auf Rokaillensockel. Auf sechseckiger Standplatte erhebt sich der mit Voluten und Rokaillen verzierte Standsockel, dessen Oberseite mit einem felsigen Geländestück bedeckt ist. Aus diesem erhebt sich ein breites, hohes Kreuz. Um den unteren Teil des Kreuzstammes windet sich die Schlange; vor dem Kreuzfuß liegt ein Totenkopf auf gekreuzten Knochen. Der Kruzifixus hängt mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Am oberen Ende des Kreuzstammes die Schrifttafel. Wandgruppe. Der Sockel rückwärts ausgehöhlt; der Kruzifixus freiplastisch. Alte Fassung. Kruzifixus: Fleischfarbe; Lendentuch und Dornenkrone vergoldet. Sockel: Voluten und Rokaillen vergoldet; das flache Feld an der Vorderseite des Sockels in grüner Lüsterfarbe auf Silber. SÜDDEUTSCH, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Das Kreuz Föhrenholz. Höhe des Kruzifixus 35 cm. Höhe des Kreuzes mit Sockel 96 cm. TAFEL 43]] réalisée par Süddeutsch, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 150 sch. [299]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGELSKÖPFCHEN. Das Gesicht nach rechts geneigt, die Flügel nach abwärts gerichtet. Es fehlt das Ende des rechten Flügels. Wandfigur. Alte Fassung: Fleischteile Polierweiß; Haare blond; Flügel Gold. BAYERISCH, UM 1760. Lindenholz. Höhe 9 cm, Breite 7 cm. (Bayerisch, um 1760)|ENGELSKÖPFCHEN. Das Gesicht nach rechts geneigt, die Flügel nach abwärts gerichtet. Es fehlt das Ende des rechten Flügels. Wandfigur. Alte Fassung: Fleischteile Polierweiß; Haare blond; Flügel Gold. BAYERISCH, UM 1760. Lindenholz. Höhe 9 cm, Breite 7 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1760, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 60 sch. [300]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HALBFIGUR EINER WEIBLICHEN HEILIGEN, in modischem Gewand, mit enger Schnürtaille. Das Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Um den Leib der Heiligen bauscht sich ein Mantel, aus dem in der Mitte vorne ein Engelskopf hervorschaut. Es fehlen der rechte Arm und die linke Hand. Der profilierte Holzsockel alt, aber nicht zugehörig. Schreinfigur. Rückseite abgeflacht. SÜDDEUTSCH, UM 1720-30. Alabaster. Höhe 8 cm. (Süddeutsch, um 1720-30)|HALBFIGUR EINER WEIBLICHEN HEILIGEN, in modischem Gewand, mit enger Schnürtaille. Das Haupt ist nach rechts abwärts geneigt. Um den Leib der Heiligen bauscht sich ein Mantel, aus dem in der Mitte vorne ein Engelskopf hervorschaut. Es fehlen der rechte Arm und die linke Hand. Der profilierte Holzsockel alt, aber nicht zugehörig. Schreinfigur. Rückseite abgeflacht. SÜDDEUTSCH, UM 1720-30. Alabaster. Höhe 8 cm.]] réalisée par Süddeutsch, um 1720-30, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [301]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[IMMAKULATA, mit schwebenden, wappenhaltenden Engeln auf Rokaillensockel. Maria steht mit ausgebreiteten Armen auf der Weltkugel, um die sich die Schlange windet. Der mit Voluten und Rokaillen verzierte Sockel trägt auf der Mitte der Vorderseite eine Wappenkartusche. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. BAYERISCH, UM 1720-30. Lindenholz, Höhe 13 cm. Breite des Standsockels 11 cm. (Bayerisch, um 1720-30)|IMMAKULATA, mit schwebenden, wappenhaltenden Engeln auf Rokaillensockel. Maria steht mit ausgebreiteten Armen auf der Weltkugel, um die sich die Schlange windet. Der mit Voluten und Rokaillen verzierte Sockel trägt auf der Mitte der Vorderseite eine Wappenkartusche. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. BAYERISCH, UM 1720-30. Lindenholz, Höhe 13 cm. Breite des Standsockels 11 cm.]] réalisée par Bayerisch, um 1720-30, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 380 sch. [302]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KREUZIGUNGSGRUPPE, auf volutenartigem Sockel. Aus der Mitte des Sockels erhebt sich der hohe Kreuzesstamm, an dem der Kruzifixus mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen hängt. Sein bärtiges Haupt ist nach links, zur rechten Schulter hin, geneigt. Das Lendentuch wird von zwei Schnüren gehalten und ist an der rechten Hüfte geknotet. Am unteren Ende des Kreuzstammes, als Übergang zu dem mit Voluten verzierten Sockel, ein felsiges Geländestück mit Totenkopf. Links vom Kreuz steht auf quadratischer Standplatte die trauernde Maria in langem Gewand und langem, über den Kopf gezogenem Mantel. Sie hat die Hände in klagender Gebärde gefaltet. Rechts vom Kreuz steht Johannes Ev. mit gefalteten Händen und zum Kruzifixus erhobenem Haupt. Kleidung: langes, gegürtetes Gewand und weiter, faltenreicher Mantel. Wandgruppe. Rückseiten abgeflacht. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe bis zum oberen Ende des Kreuzes 34 cm, Breite des Sockels 20 cm. (Süddeutsch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|KREUZIGUNGSGRUPPE, auf volutenartigem Sockel. Aus der Mitte des Sockels erhebt sich der hohe Kreuzesstamm, an dem der Kruzifixus mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen hängt. Sein bärtiges Haupt ist nach links, zur rechten Schulter hin, geneigt. Das Lendentuch wird von zwei Schnüren gehalten und ist an der rechten Hüfte geknotet. Am unteren Ende des Kreuzstammes, als Übergang zu dem mit Voluten verzierten Sockel, ein felsiges Geländestück mit Totenkopf. Links vom Kreuz steht auf quadratischer Standplatte die trauernde Maria in langem Gewand und langem, über den Kopf gezogenem Mantel. Sie hat die Hände in klagender Gebärde gefaltet. Rechts vom Kreuz steht Johannes Ev. mit gefalteten Händen und zum Kruzifixus erhobenem Haupt. Kleidung: langes, gegürtetes Gewand und weiter, faltenreicher Mantel. Wandgruppe. Rückseiten abgeflacht. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe bis zum oberen Ende des Kreuzes 34 cm, Breite des Sockels 20 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 220 sch. [303]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links gewendet. Beide mit kurzen, nach abwärts gestellten Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe 18 und 19 cm. Spannweite der Flügel je 14 cm. (München, um 1750)|EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links gewendet. Beide mit kurzen, nach abwärts gestellten Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe 18 und 19 cm. Spannweite der Flügel je 14 cm.]] réalisée par München, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [304]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links gewendet. Beide mit kurzen, nach abwärts gestellten Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe 18 und 19 cm. Spannweite der Flügel je 14 cm. (München, um 1750)|EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links gewendet. Beide mit kurzen, nach abwärts gestellten Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe 18 und 19 cm. Spannweite der Flügel je 14 cm.]] réalisée par München, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [305]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links blickend. Beide mit kurzen Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 18 cm. Spannweite der FlügeL18 und 13 cm. (München, um 1750)|EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links blickend. Beide mit kurzen Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 18 cm. Spannweite der FlügeL18 und 13 cm.]] réalisée par München, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [306]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links blickend. Beide mit kurzen Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 18 cm. Spannweite der FlügeL18 und 13 cm. (München, um 1750)|EIN PAAR ENGELSKÖPFCHEN, das eine nach rechts, das andere nach links blickend. Beide mit kurzen Flügeln. Wandfiguren. Rückseiten flüchtig bearbeitet. Schöne Reste alter Vergoldung auf gelbem Bolus. MÜNCHEN, UM 1750. Lindenholz. Höhe je 18 cm. Spannweite der FlügeL18 und 13 cm.]] réalisée par München, um 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [307]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STANDKREUZ. Auf gewölbtem, felsigem Rasensockel, um den sich die Schlange windet, erhebt sich ein hohes Kreuz, vor dessen Fußende die trauernde Maria in langem Gewand und Mantel, mit gefalteten Händen steht. Hoch über dem Haupt der Maria hängt der Kruzifixus mit halbkreisförmig erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Sein Haupt ist auf die linke Brustseite herabgesunken. Zu beiden Seiten des Kruzifixus schweben, durch eine Querleiste mit dem Kreuz verbunden, Wolken. Zu Häupten des Kruzifixus schwebt, aus einer Wolke herausragend, Gottvater in Halbfigur mit gegürtetem Gewand und flatterndem Mantel. Seine Rechte ist segnend erhoben., die nach rechts ausgestreckte Linke umfaßt die Weltkugel mit dem Kreuz. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. BAYERISCH, WOHL OBERAMMERGAU, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Die Figuren Lindenholz. Das Kreuz Eichenholz. Höhe des Kreuzes mit dem Sockel 69,5 cm. (Bayerisch, wohl Oberammergau, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|STANDKREUZ. Auf gewölbtem, felsigem Rasensockel, um den sich die Schlange windet, erhebt sich ein hohes Kreuz, vor dessen Fußende die trauernde Maria in langem Gewand und Mantel, mit gefalteten Händen steht. Hoch über dem Haupt der Maria hängt der Kruzifixus mit halbkreisförmig erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Sein Haupt ist auf die linke Brustseite herabgesunken. Zu beiden Seiten des Kruzifixus schweben, durch eine Querleiste mit dem Kreuz verbunden, Wolken. Zu Häupten des Kruzifixus schwebt, aus einer Wolke herausragend, Gottvater in Halbfigur mit gegürtetem Gewand und flatterndem Mantel. Seine Rechte ist segnend erhoben., die nach rechts ausgestreckte Linke umfaßt die Weltkugel mit dem Kreuz. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. BAYERISCH, WOHL OBERAMMERGAU, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Die Figuren Lindenholz. Das Kreuz Eichenholz. Höhe des Kreuzes mit dem Sockel 69,5 cm.]] réalisée par Bayerisch, wohl Oberammergau, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 170 sch. [308]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme ENGELSKOPF, auf volutenartigem Ansatz. Der Kopf nach rechts blickend. Kopf freiplastisch. Volutenansatz gehöhlt. BAYERISCH, 18. JAHRHUNDERT. Lindenholz. Höhe 37 cm, Breite 20 cm. réalisée par Bayerisch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 70 sch. [309]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[EIBLICHE FIGUR, Darstellung der Demut. Die Gestalt steht frontal in langem Kleid und weitem Mantel, der über die obere Kopfhälfte gezogen ist, auf einer rechteckigen Standplatte. Sie hat die Arme über der Brust gekreuzt, die rechte Hand umfaßt einen Apfel. Der linke Fuß tritt auf eine auf der Standplatte liegende Krone. Der zugehörige, profilierte Sockel Ansbacher Fayence (weiß/blau marmoriert). Auf der Vorderseite der Standplatte die Inschrift "Demuth". Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Innen hohl. WÜRZBURGER SCHULE, UM 1770. Gebrannter rötlicher Ton. Höhe mit Sockel 40,5 cm. Aus Ansbach stammend. Zugehörig zu der gleichartigen Figur der "Mildtätigkeit" Nr. 240. (Würzburger Schule, um 1770)|EIBLICHE FIGUR, Darstellung der Demut. Die Gestalt steht frontal in langem Kleid und weitem Mantel, der über die obere Kopfhälfte gezogen ist, auf einer rechteckigen Standplatte. Sie hat die Arme über der Brust gekreuzt, die rechte Hand umfaßt einen Apfel. Der linke Fuß tritt auf eine auf der Standplatte liegende Krone. Der zugehörige, profilierte Sockel Ansbacher Fayence (weiß/blau marmoriert). Auf der Vorderseite der Standplatte die Inschrift "Demuth". Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Innen hohl. WÜRZBURGER SCHULE, UM 1770. Gebrannter rötlicher Ton. Höhe mit Sockel 40,5 cm. Aus Ansbach stammend. Zugehörig zu der gleichartigen Figur der "Mildtätigkeit" Nr. 240.]] réalisée par Würzburger Schule, um 1770, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 400 sch. [310]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE GESTALT MIT KIND. Darstellung der Mildtätigkeit. Die symbolische Gestalt steht in langem, gegürtetem Gewand auf einer rechteckigen Standplatte, auf deren Vorderseite die Inschrift "Müdigkeit" zu lesen ist. Das modisch frisierte Haupthaar ist zu einem großen Knoten geschlungen; eine einzelne Haarwelle legt sich um den Hals und reicht bis zur rechten Brust herab. Mit dem linken Arm umfaßt die Figur ein Füllhorn, aus dem sie dem zu ihrer Rechten stehenden, nur mit einem Tuch bekleideten Kind eine Gabe reicht. Der zugehörige, profilierte Sockel Ansbacher Fayence (weiß/blau marmoriert). Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Innen hohl. WÜRZBURGER SCHULE, UM 1770. Gebrannter rötlicher Ton. Höhe mit Sockel 40,5 cm. Aus Ansbach stammend. Zugehörig zu der gleichartigen Figur der "Demuth" Nr. 239. (Würzburger Schule, um 1770)|WEIBLICHE GESTALT MIT KIND. Darstellung der Mildtätigkeit. Die symbolische Gestalt steht in langem, gegürtetem Gewand auf einer rechteckigen Standplatte, auf deren Vorderseite die Inschrift "Müdigkeit" zu lesen ist. Das modisch frisierte Haupthaar ist zu einem großen Knoten geschlungen; eine einzelne Haarwelle legt sich um den Hals und reicht bis zur rechten Brust herab. Mit dem linken Arm umfaßt die Figur ein Füllhorn, aus dem sie dem zu ihrer Rechten stehenden, nur mit einem Tuch bekleideten Kind eine Gabe reicht. Der zugehörige, profilierte Sockel Ansbacher Fayence (weiß/blau marmoriert). Statuette mit sorgfältig bearbeiteter Rückseite. Innen hohl. WÜRZBURGER SCHULE, UM 1770. Gebrannter rötlicher Ton. Höhe mit Sockel 40,5 cm. Aus Ansbach stammend. Zugehörig zu der gleichartigen Figur der "Demuth" Nr. 239.]] réalisée par Würzburger Schule, um 1770, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 400 sch. [311]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE ZIERBÜSTE, auf einem vasenartigen Standsockel. (Holzmodell für einen Kaminbock aus Bronze?) Auf der Spitze eines in Form einer Vase geschnitzten, durchbrochenen Sockels, der aus Voluten, Rokaillen und Kartuschen gebildet ist, sitzt die mit zurückgelegtem Kopf nach rechts oben blickende weibliche Büste. Über dem Haupt trägt sie einen Schleier, das Gewand geht an der Brust unmittelbar in das ornamentale Gefüge des Sockels über. Wandgruppe mit flacher Rückseite. UNTERFRÄNKISCH, WOHL WÜRZBURG, UM 1770. Lindenholz. Höhe 51 cm. Gegenstück zu Nr. 243. TAFEL 48 (Unterfränkisch, wohl Würzburg, um 1770)|WEIBLICHE ZIERBÜSTE, auf einem vasenartigen Standsockel. (Holzmodell für einen Kaminbock aus Bronze?) Auf der Spitze eines in Form einer Vase geschnitzten, durchbrochenen Sockels, der aus Voluten, Rokaillen und Kartuschen gebildet ist, sitzt die mit zurückgelegtem Kopf nach rechts oben blickende weibliche Büste. Über dem Haupt trägt sie einen Schleier, das Gewand geht an der Brust unmittelbar in das ornamentale Gefüge des Sockels über. Wandgruppe mit flacher Rückseite. UNTERFRÄNKISCH, WOHL WÜRZBURG, UM 1770. Lindenholz. Höhe 51 cm. Gegenstück zu Nr. 243. TAFEL 48]] réalisée par Unterfränkisch, wohl Würzburg, um 1770, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1200 sch. [312]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[GEFLÜGELTER PUTTO MIT HUT, auf einem vasenartigen Standsockel. (Holzmodell für einen Kaminbock aus Bronze?) Auf der Spitze eines in Form einer Vase geschnitzten, durchbrochenen Sockels, der aus Voluten, Rokaillen und Kartuschen gebildet ist, sitzt das Brustbild eines geflügelten Puttos. Das mit einem großen Jagdhut bedeckte Haupt ist nach links gewendet, der Blick nach aufwärts gerichtet. Um den Hals hängen die Riemen einer auf dem Sockel aufliegenden Jagdtasche. Wandgruppe mit flacher Rückseite. UNTERFRÄNKISCH, WOHL WÜRZBURG, UM 1770. Lindenholz. Höhe 51 cm. Gegenstück zu Nr. 242. TAFEL 48 (Unterfränkisch, wohl Würzburg, um 1770)|GEFLÜGELTER PUTTO MIT HUT, auf einem vasenartigen Standsockel. (Holzmodell für einen Kaminbock aus Bronze?) Auf der Spitze eines in Form einer Vase geschnitzten, durchbrochenen Sockels, der aus Voluten, Rokaillen und Kartuschen gebildet ist, sitzt das Brustbild eines geflügelten Puttos. Das mit einem großen Jagdhut bedeckte Haupt ist nach links gewendet, der Blick nach aufwärts gerichtet. Um den Hals hängen die Riemen einer auf dem Sockel aufliegenden Jagdtasche. Wandgruppe mit flacher Rückseite. UNTERFRÄNKISCH, WOHL WÜRZBURG, UM 1770. Lindenholz. Höhe 51 cm. Gegenstück zu Nr. 242. TAFEL 48]] réalisée par Unterfränkisch, wohl Würzburg, um 1770, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1200 sch. [313]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. KÜMMERNIS, auf Rokaillensockel. Der Kruzifixus hängt, mit erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen am Kreuz. Das nach links gewendete bärtige Haupt trägt eine Krone. Kleidung: langes, halsfreies Gewand mit langen Ärmeln. Der Sockel zeigt die Form eines hochgestellten Dreiecks mit abgeflachter Spitze; er ist mit rokaillenartigem Rankenwerk und Bändern verziert. In der Mitte seiner Vorderseite das Monogramm IH S, von einem runden Blattkranz umrahmt. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung: Gewand des Kruzifixus blaue Lüsterfarbe auf Silber; Krone, Kreuz und Sockel vergoldet. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 44 cm. (Süddeutsch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|HL. KÜMMERNIS, auf Rokaillensockel. Der Kruzifixus hängt, mit erhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen am Kreuz. Das nach links gewendete bärtige Haupt trägt eine Krone. Kleidung: langes, halsfreies Gewand mit langen Ärmeln. Der Sockel zeigt die Form eines hochgestellten Dreiecks mit abgeflachter Spitze; er ist mit rokaillenartigem Rankenwerk und Bändern verziert. In der Mitte seiner Vorderseite das Monogramm IH S, von einem runden Blattkranz umrahmt. Wandgruppe. Rückseite abgeflacht. Alte Fassung: Gewand des Kruzifixus blaue Lüsterfarbe auf Silber; Krone, Kreuz und Sockel vergoldet. SÜDDEUTSCH, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 44 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 50 sch. [314]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach aufwärts erhoben. Schmales Lendentuch, das nur die Blöße und die linke Hüfte bedeckt. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. FRÄNKISCH, 18. JAHRHUNDERT. Der Kruzifixus Buchsbaumholz, das Kreuz Eichenholz. Höhe des Kreuzes 58 cm, des Kruzifixus 29. cm. (Fränkisch, 18. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach aufwärts erhoben. Schmales Lendentuch, das nur die Blöße und die linke Hüfte bedeckt. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. FRÄNKISCH, 18. JAHRHUNDERT. Der Kruzifixus Buchsbaumholz, das Kreuz Eichenholz. Höhe des Kreuzes 58 cm, des Kruzifixus 29. cm.]] réalisée par Fränkisch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 90 sch. [315]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHWEBENDER ENGEL, nach rechts blickend. Das linke Bein ist nach abwärts ausgestreckt, das rechte Bein vom Knie abwärts nach rückwärts gebogen. Die rechte Hand ist zur Schulterhöhe erhoben; der linke Unterarm ist abgebrochen. Ein schmales Tuch schlingt sich zwischen den Beinen hindurch; sein Ende hängt über die linke Schulter bis zum Leib herab. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. Alte Fassung: Polierweiß und Gold. OBERRHEINISCH, UM 1760. Lindenholz. Höhe 21 cm. (Oberrheinisch, um 1760)|SCHWEBENDER ENGEL, nach rechts blickend. Das linke Bein ist nach abwärts ausgestreckt, das rechte Bein vom Knie abwärts nach rückwärts gebogen. Die rechte Hand ist zur Schulterhöhe erhoben; der linke Unterarm ist abgebrochen. Ein schmales Tuch schlingt sich zwischen den Beinen hindurch; sein Ende hängt über die linke Schulter bis zum Leib herab. Freiplastisch. Rückseite vernachlässigt. Alte Fassung: Polierweiß und Gold. OBERRHEINISCH, UM 1760. Lindenholz. Höhe 21 cm.]] réalisée par Oberrheinisch, um 1760, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 150 sch. [316]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und straff ausgestreckten Beinen an einem naturalistisch behandelten Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist hocherhoben; der Blick nach aufwärts gerichtet. Das an der linken Hüfte geknotete Schamtuch wird von zwei Schnüren gehalten. Am oberen Ende des Kreuzesstammes die Schrifttafel. Es fehlen mehrere Fingerspitzen. Freiplastisch. Rückseite des Kruzifixus bearbeitet. FRÄNKISCH, WOHL WÜRZBURG, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 72 cm, Spannweite der Arme 50 cm. Höhe des Kreuzes 116 cm. (Fränkisch, wohl Würzburg, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und straff ausgestreckten Beinen an einem naturalistisch behandelten Kreuz hängend. Das bärtige Haupt ist hocherhoben; der Blick nach aufwärts gerichtet. Das an der linken Hüfte geknotete Schamtuch wird von zwei Schnüren gehalten. Am oberen Ende des Kreuzesstammes die Schrifttafel. Es fehlen mehrere Fingerspitzen. Freiplastisch. Rückseite des Kruzifixus bearbeitet. FRÄNKISCH, WOHL WÜRZBURG, 2. HÄLFTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe des Kruzifixus 72 cm, Spannweite der Arme 50 cm. Höhe des Kreuzes 116 cm.]] réalisée par Fränkisch, wohl Würzburg, 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 130 sch. [317]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RÄUBERFIGUR, frontal, mit nach rechts gedrehtem Kopf auf flachem Rasensockel stehend. Der linke Arm ist in Brusthöhe nach der linken Seite hin ausgestreckt, der rechte Arm ist samt der Hand, die einen Degen hält, unter dem Umhang verborgen. Es fehlen zwei Finger der linken Hand. Statuette mit Bemalung: mit grauem Pelz besetzte gelbe Mütze; grüner Umhang mit rosafarbenem Futter; blaue Bluse mit rosa-grünen Bandenden; gelbe Hose; braune Schuhe mit grauem Aufschlag; Sockel grün. TIROL, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Zirbelholz. Höhe 33 cm. Zu Nr. 249 gehörig. (Tirol, Ende des 18. Jahrhunderts)|RÄUBERFIGUR, frontal, mit nach rechts gedrehtem Kopf auf flachem Rasensockel stehend. Der linke Arm ist in Brusthöhe nach der linken Seite hin ausgestreckt, der rechte Arm ist samt der Hand, die einen Degen hält, unter dem Umhang verborgen. Es fehlen zwei Finger der linken Hand. Statuette mit Bemalung: mit grauem Pelz besetzte gelbe Mütze; grüner Umhang mit rosafarbenem Futter; blaue Bluse mit rosa-grünen Bandenden; gelbe Hose; braune Schuhe mit grauem Aufschlag; Sockel grün. TIROL, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Zirbelholz. Höhe 33 cm. Zu Nr. 249 gehörig.]] réalisée par Tirol, Ende des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 110 sch. [318]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RÄUBERFIGUR, frontal, mit nach links gedrehtem Kopf auf flachem Rasensockel stehend. Die linke Hand ist unter dem Umhang versteckt und umfaßt vermutlich eine Waffe; die rechte Hand, die einst vor der Brust sich zeigte, ist abgebrochen. Es fehlt der vordere Teil des Rasensockels. Statuette mit Bemalung: Hut braun; gelber Umhang mit rosafarbenem Futter; Rock blau; Hose lila und grün; Strümpfe gelb; Schuhe schwarz; Sockel grün. TIROL, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Zirbelholz. Höhe 33 cm. Zu Nr. 248 gehörig. (Tirol, Ende des 18. Jahrhunderts)|RÄUBERFIGUR, frontal, mit nach links gedrehtem Kopf auf flachem Rasensockel stehend. Die linke Hand ist unter dem Umhang versteckt und umfaßt vermutlich eine Waffe; die rechte Hand, die einst vor der Brust sich zeigte, ist abgebrochen. Es fehlt der vordere Teil des Rasensockels. Statuette mit Bemalung: Hut braun; gelber Umhang mit rosafarbenem Futter; Rock blau; Hose lila und grün; Strümpfe gelb; Schuhe schwarz; Sockel grün. TIROL, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Zirbelholz. Höhe 33 cm. Zu Nr. 248 gehörig.]] réalisée par Tirol, Ende des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 110 sch. [319]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KREUZIGUNGSGRUPPE. In der Mitte eines breitrechteckigen profilierten Sockels steht auf flacher, rund begrenzter Standplatte die trauernde Maria mit über der Brust gekreuzten Armen. Maria ist gekleidet in langes Gewand, langen, über den Kopf gezogenen Mantel und Brusttuch. Sie neigt das Haupt nach links abwärts. Über ihr hängt, an einem hohen Kreuz, der Kruzifixus mit hocherhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige, mit der Dornenkrone bedeckte Haupt des Kruzifixus ist zurückgebogen, der Blick nach aufwärts gerichtet. Schmales Lendentuch, das von Schnüren gehalten wird und dessen Ende von der rechten Hüfte herabfällt. Am oberen Ende des Kreuzesstammes die Schrifttafel. Wandgruppe. Rückseite des Kruzifixus bearbeitet, der Maria abgeflacht. Alte, z. T. übergangene Bemalung. BAYERISCH, NACH 1750. Lindenholz. Höhe des Kreuzes (mit dem Standsockel) 97 cm. (Bayerisch, nach 1750)|KREUZIGUNGSGRUPPE. In der Mitte eines breitrechteckigen profilierten Sockels steht auf flacher, rund begrenzter Standplatte die trauernde Maria mit über der Brust gekreuzten Armen. Maria ist gekleidet in langes Gewand, langen, über den Kopf gezogenen Mantel und Brusttuch. Sie neigt das Haupt nach links abwärts. Über ihr hängt, an einem hohen Kreuz, der Kruzifixus mit hocherhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige, mit der Dornenkrone bedeckte Haupt des Kruzifixus ist zurückgebogen, der Blick nach aufwärts gerichtet. Schmales Lendentuch, das von Schnüren gehalten wird und dessen Ende von der rechten Hüfte herabfällt. Am oberen Ende des Kreuzesstammes die Schrifttafel. Wandgruppe. Rückseite des Kruzifixus bearbeitet, der Maria abgeflacht. Alte, z. T. übergangene Bemalung. BAYERISCH, NACH 1750. Lindenholz. Höhe des Kreuzes (mit dem Standsockel) 97 cm.]] réalisée par Bayerisch, nach 1750, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 130 sch. [320]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KREUZIGUNGSGRUPPE auf dreiteiligem, mit Blattornamenten verziertem Standsockel. Aus dem Mittelteil des Sockels erhebt sich das schmale, hohe Kreuz, an dem der Kruzifixus mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen hängt. Sein bärtiges, mit der Dornenkrone bedecktes Haupt ruht auf der rechten Schulter, der Blick ist nach aufwärts gerichtet. Am oberen Kreuzende die Schrifttafel. Die beiden Assistenzfiguren stehen auf dem linken und rechten Teil des Sockels auf profilierten, mit dem Eierstab geschmückten Standplatten. Links Maria, mit gefalteten Händen und erhobenem Kopf, zum Kreuz emporblickend. Rechts Johannes Ev., die Rechte mit sprechender Gebärde ausgestreckt, in der Linken ein Buch in Brusthöhe haltend. Er blickt gleichfalls zum Kreuz empor. Wandgruppe. Rückseite der drei Figuren bearbeitet. SÜDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Christus, Maria und Johannes Buchsbaumholz; der Sockel Lindenholz. Höhe der ganzen Gruppe bis zum oberen Kreuzende 42,5 cm. Breite des Sockels 21 cm. (Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts)|KREUZIGUNGSGRUPPE auf dreiteiligem, mit Blattornamenten verziertem Standsockel. Aus dem Mittelteil des Sockels erhebt sich das schmale, hohe Kreuz, an dem der Kruzifixus mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen hängt. Sein bärtiges, mit der Dornenkrone bedecktes Haupt ruht auf der rechten Schulter, der Blick ist nach aufwärts gerichtet. Am oberen Kreuzende die Schrifttafel. Die beiden Assistenzfiguren stehen auf dem linken und rechten Teil des Sockels auf profilierten, mit dem Eierstab geschmückten Standplatten. Links Maria, mit gefalteten Händen und erhobenem Kopf, zum Kreuz emporblickend. Rechts Johannes Ev., die Rechte mit sprechender Gebärde ausgestreckt, in der Linken ein Buch in Brusthöhe haltend. Er blickt gleichfalls zum Kreuz empor. Wandgruppe. Rückseite der drei Figuren bearbeitet. SÜDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Christus, Maria und Johannes Buchsbaumholz; der Sockel Lindenholz. Höhe der ganzen Gruppe bis zum oberen Kreuzende 42,5 cm. Breite des Sockels 21 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 230 sch. [321]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE WEIBLICHE FIGUR an einer Urne (Entwurf für ein Grabdenkmal?). Auf einem Mauerstück, an dessen Vorderseite eine rechteckige Sockelplatte vorspringt, sitzt die nackte weibliche Gestalt. Sie beugt sich weit nach links hinüber und neigt sich über eine am linken Ende der Sockelplatte stehende Amphora. In der rechten Hand hält sie einen Schmetterling, in der linken eine geöffnete Blüte. Am Boden, zwischen der Urne und dem linken Fuß der Gestalt, liegt eine Fackel. Vom Haupt wallt ein Schleier herab, der am Mauerwerk entlang in Falten herniederfällt und dessen Ende die Blöße der Frau bedeckt. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Auf der rechten Außenseite der Sockelplatte die eingravierte Inschrift: "Anton Frölich inv. et fecit." ANTON FRÖHLICH, TÖLZ (1776-1841). Gelber Marmor. Höhe 43 cm, Breite 31 cm, Tiefe 21 cm. (Anton Frölich)|TRAUERNDE WEIBLICHE FIGUR an einer Urne (Entwurf für ein Grabdenkmal?). Auf einem Mauerstück, an dessen Vorderseite eine rechteckige Sockelplatte vorspringt, sitzt die nackte weibliche Gestalt. Sie beugt sich weit nach links hinüber und neigt sich über eine am linken Ende der Sockelplatte stehende Amphora. In der rechten Hand hält sie einen Schmetterling, in der linken eine geöffnete Blüte. Am Boden, zwischen der Urne und dem linken Fuß der Gestalt, liegt eine Fackel. Vom Haupt wallt ein Schleier herab, der am Mauerwerk entlang in Falten herniederfällt und dessen Ende die Blöße der Frau bedeckt. Freiplastische Gruppe. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Auf der rechten Außenseite der Sockelplatte die eingravierte Inschrift: "Anton Frölich inv. et fecit." ANTON FRÖHLICH, TÖLZ (1776-1841). Gelber Marmor. Höhe 43 cm, Breite 31 cm, Tiefe 21 cm.]] réalisée par Anton Frölich, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [322]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE FIGUR MIT LEIER. Die in der Art einer griechischen Tänzerin mit einem leichten, ärmellosen Gewand bekleidete Gestalt steht frontal auf einem rechteckigen Standsockel. Das Haupt ist nach links gewendet, das gescheitelte Haar durch eine Stirnbinde zusammengehalten. Mit beiden Händen hält die Frauengestalt in der Höhe der linken Brust eine (jetzt beschädigte) Leier. Nach Aufschreibungen von Georg Schuster ist das Bildwerk eine Arbeit des Tölzer Bildhauers Anton Fröhlich. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. ANTON FRÖHLICH, TÖLZ (1776-1841). Lindenholz. Höhe 23 cm. (Anton Frölich)|WEIBLICHE FIGUR MIT LEIER. Die in der Art einer griechischen Tänzerin mit einem leichten, ärmellosen Gewand bekleidete Gestalt steht frontal auf einem rechteckigen Standsockel. Das Haupt ist nach links gewendet, das gescheitelte Haar durch eine Stirnbinde zusammengehalten. Mit beiden Händen hält die Frauengestalt in der Höhe der linken Brust eine (jetzt beschädigte) Leier. Nach Aufschreibungen von Georg Schuster ist das Bildwerk eine Arbeit des Tölzer Bildhauers Anton Fröhlich. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. ANTON FRÖHLICH, TÖLZ (1776-1841). Lindenholz. Höhe 23 cm.]] réalisée par Anton Frölich, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 120 sch. [323]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MÄNNLICHE FIGUR MIT LEIER (Apoll?). Auf einer rechteckigen Standplatte, gelehnt an einen halbhohen profilierten, dreieckig begrenzten Sockel, der der Leier als Standfläche dient, steht die hohe männliche Gestalt, bekleidet mit einem togaartigen Überwurf, der den Oberkörper bis zum Leib freiläßt. Das Haupthaar ist nach griechischer Mode frisiert. Der rechte Arm hängt lässig am Körper herab, der linke stützt sich auf die Leier. Nach Aufschreibungen Georg Schusters ist das Bildwerk eine Arbeit des Tölzer Bildhauers Anton Fröhlich. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Reste alter Bemalung: Polierweiß und Fleischfarbe. ANTON FRÖHLICH, TÖLZ (1776-1841). Lindenholz. Höhe 46 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 91, Tafel 49. TAFEL 51 (Anton Frölich)|MÄNNLICHE FIGUR MIT LEIER (Apoll?). Auf einer rechteckigen Standplatte, gelehnt an einen halbhohen profilierten, dreieckig begrenzten Sockel, der der Leier als Standfläche dient, steht die hohe männliche Gestalt, bekleidet mit einem togaartigen Überwurf, der den Oberkörper bis zum Leib freiläßt. Das Haupthaar ist nach griechischer Mode frisiert. Der rechte Arm hängt lässig am Körper herab, der linke stützt sich auf die Leier. Nach Aufschreibungen Georg Schusters ist das Bildwerk eine Arbeit des Tölzer Bildhauers Anton Fröhlich. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Reste alter Bemalung: Polierweiß und Fleischfarbe. ANTON FRÖHLICH, TÖLZ (1776-1841). Lindenholz. Höhe 46 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 91, Tafel 49. TAFEL 51]] réalisée par Anton Frölich, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 120 sch. [324]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ALLEGORISCHE GRUPPE. Auf einem Felsensockel, der sich auf einem gewölbten Rasensockel erhebt, sitzt eine unbekleidete männliche Gestalt (Merkur?). Zu seiner Linken sitzt eine mit griechischem Gewand und darüber herabfallendem Mantel bekleidete weibliche Gestalt (Aglauros?), die ihre rechte Hand auf die Schulter des Mannes gelegt hat. Ihre Linke hält der Mann mit seiner Linken umschlossen. Der Mann hält mit seiner Rechten das Ende des Manteltuches hoch über seinem Haupt. Er trägt Sandalen; seine Blöße ist mit einem bis zum Boden herabfallenden Tuch bedeckt. Sein Kopf ist mit zwei (Merkur-)Flügeln geschmückt. Freiplastische Gruppe. Rückseite bearbeitet. Innen hohl. IGNAZ ALEXANDER BREITENAUER (1757-1838). Gebrannter weißer Ton. Höhe 50 cm. (Ignaz Alexander Breitenauer)|ALLEGORISCHE GRUPPE. Auf einem Felsensockel, der sich auf einem gewölbten Rasensockel erhebt, sitzt eine unbekleidete männliche Gestalt (Merkur?). Zu seiner Linken sitzt eine mit griechischem Gewand und darüber herabfallendem Mantel bekleidete weibliche Gestalt (Aglauros?), die ihre rechte Hand auf die Schulter des Mannes gelegt hat. Ihre Linke hält der Mann mit seiner Linken umschlossen. Der Mann hält mit seiner Rechten das Ende des Manteltuches hoch über seinem Haupt. Er trägt Sandalen; seine Blöße ist mit einem bis zum Boden herabfallenden Tuch bedeckt. Sein Kopf ist mit zwei (Merkur-)Flügeln geschmückt. Freiplastische Gruppe. Rückseite bearbeitet. Innen hohl. IGNAZ ALEXANDER BREITENAUER (1757-1838). Gebrannter weißer Ton. Höhe 50 cm.]] réalisée par Ignaz Alexander Breitenauer, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [325]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[JUSTITIA, in langem Gewand, mit Mieder und Mantel, frontal auf einer rechteckigen Standplatte stehend. Ihre beiden Augen sind mit einem Tuch verbunden. Das Haupt ist nach rechts gewendet und von einem Kronreif mit Blattmotiv bekrönt. Der linke Arm liegt am Körper an, der rechte ist in Brusthöhe erhoben. Es fehlen: die beiden Unterarme, die ehemals eingediebelt waren, der linke Fuß und Stücke der Standplatte. Statue mit ausgehöhltem Inneren. Über Hohlkern modelliert und aus zwei Teilen zusammengesetzt. SÜDDEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Gebrannter roter Ton. Höhe 180 cm. (Süddeutsch, 18. Jahrhundert)|JUSTITIA, in langem Gewand, mit Mieder und Mantel, frontal auf einer rechteckigen Standplatte stehend. Ihre beiden Augen sind mit einem Tuch verbunden. Das Haupt ist nach rechts gewendet und von einem Kronreif mit Blattmotiv bekrönt. Der linke Arm liegt am Körper an, der rechte ist in Brusthöhe erhoben. Es fehlen: die beiden Unterarme, die ehemals eingediebelt waren, der linke Fuß und Stücke der Standplatte. Statue mit ausgehöhltem Inneren. Über Hohlkern modelliert und aus zwei Teilen zusammengesetzt. SÜDDEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Gebrannter roter Ton. Höhe 180 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [326]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE FIGUR MIT KRANZ, frontal auf einer runden Standplatte stehend. Die hochaufgerichtete Gestalt, mit langem griechischem Gewand und Mantel bekleidet, hält in Brusthöhe mit der linken Hand einen Kranz. Die rechte Hand umfaßt ein Ende des schleppenden Gewandes und hebt es bis zur Höhe der rechten Hüfte empor. Die Unterarme, der obere Teil der Brust, die rechte Schulter und der Hals sind unbekleidet. Statue. Rückseite bearbeitet. Reste von Fassung (Polierweiß, das durch Firnisüberzug stark bräunlich gefärbt ist). MÜNCHEN, 1. HÄLFTE DES 19. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 117 cm. Wohl Arbeit des Josef Knabl (1819-1881). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 93, Tafel 49. (München, 1. Hälfte des 19. Jahrhunderts)|WEIBLICHE FIGUR MIT KRANZ, frontal auf einer runden Standplatte stehend. Die hochaufgerichtete Gestalt, mit langem griechischem Gewand und Mantel bekleidet, hält in Brusthöhe mit der linken Hand einen Kranz. Die rechte Hand umfaßt ein Ende des schleppenden Gewandes und hebt es bis zur Höhe der rechten Hüfte empor. Die Unterarme, der obere Teil der Brust, die rechte Schulter und der Hals sind unbekleidet. Statue. Rückseite bearbeitet. Reste von Fassung (Polierweiß, das durch Firnisüberzug stark bräunlich gefärbt ist). MÜNCHEN, 1. HÄLFTE DES 19. JAHRHUNDERTS. Lindenholz. Höhe 117 cm. Wohl Arbeit des Josef Knabl (1819-1881). Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 93, Tafel 49.]] réalisée par München, 1. Hälfte des 19. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [327]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHWEBENDER ENGEL, mit ausgebreiteten Armen und abwärtsgestellten Flügeln, der Kopf ist nach links gedreht; der Blick nach oben gerichtet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Polierweiß und Gold. OBERRHEINISCH, UM 1770. Lindenholz. Höhe 64 cm. Zu Nr. 259 gehörig. (Oberrheinisch, um 1770)|SCHWEBENDER ENGEL, mit ausgebreiteten Armen und abwärtsgestellten Flügeln, der Kopf ist nach links gedreht; der Blick nach oben gerichtet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Polierweiß und Gold. OBERRHEINISCH, UM 1770. Lindenholz. Höhe 64 cm. Zu Nr. 259 gehörig.]] réalisée par Oberrheinisch, um 1770, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 520 sch. [328]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[SCHWEBENDER ENGEL, mit ausgebreiteten Armen und abwärtsgestellten Flügeln, der Kopf ist nach links gedreht; der Blick nach aufwärts gerichtet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Polierweiß und Gold. OBERRHEINISCH, UM 1770. Lindenholz. Höhe 67 cm. Zu Nr. 258 gehörig. (Oberrheinisch, um 1770)|SCHWEBENDER ENGEL, mit ausgebreiteten Armen und abwärtsgestellten Flügeln, der Kopf ist nach links gedreht; der Blick nach aufwärts gerichtet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Polierweiß und Gold. OBERRHEINISCH, UM 1770. Lindenholz. Höhe 67 cm. Zu Nr. 258 gehörig.]] réalisée par Oberrheinisch, um 1770, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 520 sch. [329]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[WEIBLICHE HEILIGE (Maria?) mit Buch, frontal auf einer z. T. abgebrochenen Standplatte stehend. Die Heilige hält mit beiden Händen ein aufgeschlagenes Buch vor die Mitte des Leibes. Das Haupt ist nach der rechten Seite geneigt; der Blick gesenkt. Das in der Mitte gescheitelte Haar fließt in offenen Wellen zu beiden Seiten des Hauptes herab. Im Haar, an der rechten Kopfseite, stecken Blumen. Die Heilige trägt langes Gewand und langen, reich in Knorpelfalten herabfallenden Mantel. - Wandsockel alt, aber nicht zugehörig. Wandstatue. Rückseite ausgehöhlt. Spuren älterer Bemalung. FRÄNKISCH, 17. JAHRHUNDERT. Grauer Kalkstein. Höhe 175 cm. (Fränkisch, 17. Jahrhundert)|WEIBLICHE HEILIGE (Maria?) mit Buch, frontal auf einer z. T. abgebrochenen Standplatte stehend. Die Heilige hält mit beiden Händen ein aufgeschlagenes Buch vor die Mitte des Leibes. Das Haupt ist nach der rechten Seite geneigt; der Blick gesenkt. Das in der Mitte gescheitelte Haar fließt in offenen Wellen zu beiden Seiten des Hauptes herab. Im Haar, an der rechten Kopfseite, stecken Blumen. Die Heilige trägt langes Gewand und langen, reich in Knorpelfalten herabfallenden Mantel. - Wandsockel alt, aber nicht zugehörig. Wandstatue. Rückseite ausgehöhlt. Spuren älterer Bemalung. FRÄNKISCH, 17. JAHRHUNDERT. Grauer Kalkstein. Höhe 175 cm.]] réalisée par Fränkisch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [330]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RITTER ALS SCHILDHALTER, frontal, auf quadratischer Standplatte stehend. Das bärtige Haupt blickt nach rechts; die linke Hand hält den auf dem Boden aufstehenden Schild, der rechte Unterarm ist erhoben und umfaßte ursprünglich wohl eine (jetzt fehlende) Lanze. Teilweise verwittert und beschädigt. Wandstatue. Rückseite abgeflacht. Spuren älterer Bemalung. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Grauer Kalkstein. Höhe 139 cm. (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|RITTER ALS SCHILDHALTER, frontal, auf quadratischer Standplatte stehend. Das bärtige Haupt blickt nach rechts; die linke Hand hält den auf dem Boden aufstehenden Schild, der rechte Unterarm ist erhoben und umfaßte ursprünglich wohl eine (jetzt fehlende) Lanze. Teilweise verwittert und beschädigt. Wandstatue. Rückseite abgeflacht. Spuren älterer Bemalung. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Grauer Kalkstein. Höhe 139 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 130 sch. [331]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Maria blickt nach rechts, zu dem Kinde hin, das sie in Brusthöhe auf dem linken Arm trägt Sie ist bekleidet mit langem Gewand, Mantel und Schleier. Das Haupt ist mit einem Kronreif geschmückt. Das Kind trägt langes Gewand. Es fehlen: der rechte Unterarm der Maria, beide Unterarme und der Kopf des Kindes, dann die Kronzacken. Einzelne Teile stark verwurmt. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. FRANKREICH (PARIS?), UM 1320. Nußbaumholz. Höhe 48 cm. TAFEL 8 (Frankreich (Paris?), um 1320)|MARIA MIT DEM KINDE, frontal auf einem gewölbten Rasensockel stehend. Maria blickt nach rechts, zu dem Kinde hin, das sie in Brusthöhe auf dem linken Arm trägt Sie ist bekleidet mit langem Gewand, Mantel und Schleier. Das Haupt ist mit einem Kronreif geschmückt. Das Kind trägt langes Gewand. Es fehlen: der rechte Unterarm der Maria, beide Unterarme und der Kopf des Kindes, dann die Kronzacken. Einzelne Teile stark verwurmt. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Spuren alter Bemalung auf Kreidegrund. FRANKREICH (PARIS?), UM 1320. Nußbaumholz. Höhe 48 cm. TAFEL 8]] réalisée par Frankreich (Paris?), um 1320, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 2100 sch. [332]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht auf niedriger, etwas gewölbter Standplatte. Ihre Gestalt ist in der gotischen S-Linie bewegt. Sie hält das Kind, dessen Unterkörper in ein Tuch eingehüllt ist, auf ihrem linken Arm. Maria trägt langes, in senkrechten Falten herabwallendes Gewand und weiten, über der Brust umgeschlagenen, halblangen Mantel. Unter dem Schleier kommt zu beiden Seiten des Gesichtes das in stark stilisierte Wellen gelegte Haar hervor. Die Rechte der Mutter hielt einst den jetzt verlorengegangenen oberen Teil eines Blütenzweiges. Es fehlt: der linke Unterarm des Kindes. Der Kopf des Kindes spätere Zutat. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. NORDOSTFRANKREICH, UM 1330-1350. Buchsbaumholz. Höhe 19,5 cm. Das Bildwerk stammt aus der Sammlung Klein in Kolmar. Es zeigt verwandte Züge mit einer Gruppe von kölnischen Marienstatuetten der zweiten Hälfte des 14. Jahrhunderts und dürfte wohl die französische Vorstufe dieser am Rhein entstandenen deutschen Schnitzwerke sein. Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Dr. Leopold Seligmann, Köln, Paul Graupe, Berlin (1930) Nr. 151. Vgl. Baum, Die Sammlung Hubert Wilm in München (1929), Nr. 12. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 14, Tafel 6. TAFEL 8 (Nordostfrankreich, um 1330-1350)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht auf niedriger, etwas gewölbter Standplatte. Ihre Gestalt ist in der gotischen S-Linie bewegt. Sie hält das Kind, dessen Unterkörper in ein Tuch eingehüllt ist, auf ihrem linken Arm. Maria trägt langes, in senkrechten Falten herabwallendes Gewand und weiten, über der Brust umgeschlagenen, halblangen Mantel. Unter dem Schleier kommt zu beiden Seiten des Gesichtes das in stark stilisierte Wellen gelegte Haar hervor. Die Rechte der Mutter hielt einst den jetzt verlorengegangenen oberen Teil eines Blütenzweiges. Es fehlt: der linke Unterarm des Kindes. Der Kopf des Kindes spätere Zutat. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. NORDOSTFRANKREICH, UM 1330-1350. Buchsbaumholz. Höhe 19,5 cm. Das Bildwerk stammt aus der Sammlung Klein in Kolmar. Es zeigt verwandte Züge mit einer Gruppe von kölnischen Marienstatuetten der zweiten Hälfte des 14. Jahrhunderts und dürfte wohl die französische Vorstufe dieser am Rhein entstandenen deutschen Schnitzwerke sein. Vgl. Versteigerungskatalog der Sammlung Dr. Leopold Seligmann, Köln, Paul Graupe, Berlin (1930) Nr. 151. Vgl. Baum, Die Sammlung Hubert Wilm in München (1929), Nr. 12. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 14, Tafel 6. TAFEL 8]] réalisée par Nordostfrankreich, um 1330-1350, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 5600 sch. [333]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ENGEL, frontal auf hoher, zum Teil abgestoßener, ursprünglich wohl achteckiger Standplatte stehend. Das von lockigem Haar umrahmte Haupt ist gerade- aus gerichtet. Kleidung: langes Untergewand mit schleifenden Säumen, darüber Mantel mit Kapuze und Quaste auf dem Rücken. Der Mantel wird auf der Brust von einer Agraffe zusammengehalten. Es fehlen: beide Hände und das Attribut, das die Gestalt ursprünglich mit der rechten Hand vor der rechten Brust gehalten hat, und die Nase. Kittstelle am Halse. Statue. Auf der bearbeiteten Rückseite ein Spalt ausgekittet. FRANKREICH, 1. Hälfte des 14. Jahrhunderts. Grauer Sandstein. Höhe 154 cm. (Frankreich, 1. Hälfte des 14. Jahrhunderts)|ENGEL, frontal auf hoher, zum Teil abgestoßener, ursprünglich wohl achteckiger Standplatte stehend. Das von lockigem Haar umrahmte Haupt ist gerade- aus gerichtet. Kleidung: langes Untergewand mit schleifenden Säumen, darüber Mantel mit Kapuze und Quaste auf dem Rücken. Der Mantel wird auf der Brust von einer Agraffe zusammengehalten. Es fehlen: beide Hände und das Attribut, das die Gestalt ursprünglich mit der rechten Hand vor der rechten Brust gehalten hat, und die Nase. Kittstelle am Halse. Statue. Auf der bearbeiteten Rückseite ein Spalt ausgekittet. FRANKREICH, 1. Hälfte des 14. Jahrhunderts. Grauer Sandstein. Höhe 154 cm.]] réalisée par Frankreich, 1. Hälfte des 14. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 4000 sch. [334]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE (Fragment). Die gedrungene Gestalt der Maria steht frontal, mit vorgesetztem linken Fuß auf einer flachen Standplatte. Sie ist bekleidet mit langem, bis zum Boden herabfallendem Gewand und einem Mantel, der über Kniehöhe herabreicht. Auf dem rechten Arm trägt Maria das nackte Kind, dessen Unterkörper in den Mantel eingehüllt ist. Das Kind hält mit beiden Händen einen Vogel. Die Köpfe der Maria und des Kindes mit den Hälsen sind in Schulterhöhe abgebrochen und verlorengegangen. Es fehlen weiter die ursprünglich eingediebelte linke Hand der Maria, Teile der Gewandfalten und der Standplatte. Statue. Rückseite vernachlässigt. Spuren alter Fassung: Mantel Gold, Futter blau; Sockel grün. FRANKREICH (PARIS), 2. HÄLFTE DES 14. JAHRHUNDERTS. Kalkstein. Höhe 56 cm. (Frankreich (Paris), 2. Hälfte des 14. Jahrhunderts)|MARIA MIT DEM KINDE (Fragment). Die gedrungene Gestalt der Maria steht frontal, mit vorgesetztem linken Fuß auf einer flachen Standplatte. Sie ist bekleidet mit langem, bis zum Boden herabfallendem Gewand und einem Mantel, der über Kniehöhe herabreicht. Auf dem rechten Arm trägt Maria das nackte Kind, dessen Unterkörper in den Mantel eingehüllt ist. Das Kind hält mit beiden Händen einen Vogel. Die Köpfe der Maria und des Kindes mit den Hälsen sind in Schulterhöhe abgebrochen und verlorengegangen. Es fehlen weiter die ursprünglich eingediebelte linke Hand der Maria, Teile der Gewandfalten und der Standplatte. Statue. Rückseite vernachlässigt. Spuren alter Fassung: Mantel Gold, Futter blau; Sockel grün. FRANKREICH (PARIS), 2. HÄLFTE DES 14. JAHRHUNDERTS. Kalkstein. Höhe 56 cm.]] réalisée par Frankreich (Paris), 2. Hälfte des 14. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 420 sch. [335]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VORTRAGEKREUZ. Alle vier Balkenenden sind mit einem Vierpaß verziert, aus dem eine bourbonische Lilie herauswächst. Am Schnittpunkt der beiden Kreuzbalken quadratisches Zierfeld, aus dessen Ecken Kreuzblumen hervorwachsen. Der Kruzifixus hängt mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Sein Kopf ist nach links geneigt. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Das Kreuz als Hochrelief; der Kruzifixus als Statuette bearbeitet. Ältere, nicht ursprüngliche Vergoldung und Bemalung. SÜDFRANKREICH ODER SPANIEN, 15. JAHRHUNDERT. Nußbaumholz. Höhe des Kreuzes 72 cm, Breite 52 cm, Höhe des Kruzifixus 18 cm. (Südfrankreich, 15. Jahrhundert)|VORTRAGEKREUZ. Alle vier Balkenenden sind mit einem Vierpaß verziert, aus dem eine bourbonische Lilie herauswächst. Am Schnittpunkt der beiden Kreuzbalken quadratisches Zierfeld, aus dessen Ecken Kreuzblumen hervorwachsen. Der Kruzifixus hängt mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Sein Kopf ist nach links geneigt. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Das Kreuz als Hochrelief; der Kruzifixus als Statuette bearbeitet. Ältere, nicht ursprüngliche Vergoldung und Bemalung. SÜDFRANKREICH ODER SPANIEN, 15. JAHRHUNDERT. Nußbaumholz. Höhe des Kreuzes 72 cm, Breite 52 cm, Höhe des Kruzifixus 18 cm.]] réalisée par Südfrankreich, 15. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [336]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht auf einer achteckigen, an der oberen Kante abgeschrägten Sockelplatte. Sie ist leicht in der gotischen S-Linie bewegt und wendet ihr Haupt nach links dem Kinde zu, das sie mit der Rechten in Brusthöhe festhält. Maria ist bekleidet mit enganliegendem langem Gewand und weitem, in schweren Falten auf den Sockel herabfallendem Mantel. Das Kind trägt langes Gewand und hält in der Linken einen Apfel. Das in der Mitte gescheitelte Haar der Maria fällt zu beiden Seiten des Hauptes in weichem Flusse herab und wird von einem Schleier umrahmt. Es fehlen: der rechte Unterarm des Kindes und die linke Hand der Maria. Kleine Abstoßungen an den Mantelfalten. Statuette. Rückseite abgeflacht. FRANKREICH (BURGUND), UM 1460-1470. Grauer Kalkstein. Höhe 33 cm. Das aus Augsburg stammende Bildwerk trägt im Faltenwurf des Mantels der Maria, im Gesichtsausdruck des Kindes und in dem der Maria so viele mit der französischen Plastik verwandte Züge, daß man sich zu seiner Lokalisierung in den schwäbischen Kunstkreis nicht entschließen kann. Es wird sich wohl - was bei dem kleinen Format ohne weiteres glaubhaft ist - um ein aus Frankreich eingeführtes Kunstwerk handeln. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 28, Tafel 13. TAFEL 21 (Frankreich (Burgund), um 1460-1470)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht auf einer achteckigen, an der oberen Kante abgeschrägten Sockelplatte. Sie ist leicht in der gotischen S-Linie bewegt und wendet ihr Haupt nach links dem Kinde zu, das sie mit der Rechten in Brusthöhe festhält. Maria ist bekleidet mit enganliegendem langem Gewand und weitem, in schweren Falten auf den Sockel herabfallendem Mantel. Das Kind trägt langes Gewand und hält in der Linken einen Apfel. Das in der Mitte gescheitelte Haar der Maria fällt zu beiden Seiten des Hauptes in weichem Flusse herab und wird von einem Schleier umrahmt. Es fehlen: der rechte Unterarm des Kindes und die linke Hand der Maria. Kleine Abstoßungen an den Mantelfalten. Statuette. Rückseite abgeflacht. FRANKREICH (BURGUND), UM 1460-1470. Grauer Kalkstein. Höhe 33 cm. Das aus Augsburg stammende Bildwerk trägt im Faltenwurf des Mantels der Maria, im Gesichtsausdruck des Kindes und in dem der Maria so viele mit der französischen Plastik verwandte Züge, daß man sich zu seiner Lokalisierung in den schwäbischen Kunstkreis nicht entschließen kann. Es wird sich wohl - was bei dem kleinen Format ohne weiteres glaubhaft ist - um ein aus Frankreich eingeführtes Kunstwerk handeln. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 28, Tafel 13. TAFEL 21]] réalisée par Frankreich (Burgund), um 1460-1470, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 3000 sch. [337]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE, nackt, auf sechseckigem profiliertem Sockel stehend. Das von Locken umrahmte Haupt ist etwas nach abwärts geneigt, die rechte Hand segnend erhoben, die Linke hält einen geöffneten Granatapfel. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Guterhaltene alte Fassung: helle Fleischfarbe, Haare Gold, Augen braun, Granatapfel Gold und rot auf Silbergrund, Sockel rot. BRÜSSEL, UM 1480. Nußbaumholz. Höhe 40,5 cm. Ein fast gleichartiges Stück, bei dem auf der Vorderseite des Sockels die Bezeichnung BRUESEL in den Kreidegrund eingedrückt war, befand sich in der ehemaligen Sammlung Figdor, Wien. Vgl. Versteigerungskatalog (1930), IV. Band, Nr. 186. Vgl. den gleichartigen Christusknaben in Frankfurter Privatbesitz, der ebenfalls am Sockel die Inschrift BRUESEL trägt, abgebildet bei Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz (1921), Nr. 62. TAFEL 39 (Brüssel, um 1480)|CHRISTUSKNABE, nackt, auf sechseckigem profiliertem Sockel stehend. Das von Locken umrahmte Haupt ist etwas nach abwärts geneigt, die rechte Hand segnend erhoben, die Linke hält einen geöffneten Granatapfel. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. Guterhaltene alte Fassung: helle Fleischfarbe, Haare Gold, Augen braun, Granatapfel Gold und rot auf Silbergrund, Sockel rot. BRÜSSEL, UM 1480. Nußbaumholz. Höhe 40,5 cm. Ein fast gleichartiges Stück, bei dem auf der Vorderseite des Sockels die Bezeichnung BRUESEL in den Kreidegrund eingedrückt war, befand sich in der ehemaligen Sammlung Figdor, Wien. Vgl. Versteigerungskatalog (1930), IV. Band, Nr. 186. Vgl. den gleichartigen Christusknaben in Frankfurter Privatbesitz, der ebenfalls am Sockel die Inschrift BRUESEL trägt, abgebildet bei Schmitt und Swarzenski, Meisterwerke der Bildhauerkunst in Frankfurter Privatbesitz (1921), Nr. 62. TAFEL 39]] réalisée par Brüssel, um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 550 sch. [338]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KNIENDER ENGEL. Der Engel kniet nach rechts gewendet und hat die linke Hand zur Brust erhoben. Er trägt gegürtetes Obergewand und langes Untergewand. Das Haupt ist von lockigem Haar umgeben und mit einem Kronreif geschmückt. Wohl aus einer Darstellung der Verkündigung stammend. Es fehlen: die Füße, der rechte Unterarm, die Flügel und die Standplatte. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Fleischfarbe, Gewand vergoldet. OBERITALIEN, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Pappelholz. Höhe 28 cm. (Oberitalien, Anfang des 16. Jahrhunderts)|KNIENDER ENGEL. Der Engel kniet nach rechts gewendet und hat die linke Hand zur Brust erhoben. Er trägt gegürtetes Obergewand und langes Untergewand. Das Haupt ist von lockigem Haar umgeben und mit einem Kronreif geschmückt. Wohl aus einer Darstellung der Verkündigung stammend. Es fehlen: die Füße, der rechte Unterarm, die Flügel und die Standplatte. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Fassung: Fleischfarbe, Gewand vergoldet. OBERITALIEN, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Pappelholz. Höhe 28 cm.]] réalisée par Oberitalien, Anfang des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [339]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[TRAUERNDE MARIA, frontal auf einer (jetzt abgebrochenen) Sockelplatte stehend. Das Haupt ist nach links abwärts geneigt; die (abgebrochenen) Hände waren einst vor der Brust gefaltet. Kleidung: enganliegendes Gewand, langer Mantel, Schleier und Halstuch. Wandstatuette. Rückseite z. T. gehöhlt. NIEDERLÄNDISCH, UM 1530 (Jakob Bink?) Nußbaumholz. Höhe (mit dem neuen Sockel) 35 cm. Vgl. Bange, die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin (1930), Band IV, Nr. 819. TAFEL 21 (Niederländisch, um 1530)|TRAUERNDE MARIA, frontal auf einer (jetzt abgebrochenen) Sockelplatte stehend. Das Haupt ist nach links abwärts geneigt; die (abgebrochenen) Hände waren einst vor der Brust gefaltet. Kleidung: enganliegendes Gewand, langer Mantel, Schleier und Halstuch. Wandstatuette. Rückseite z. T. gehöhlt. NIEDERLÄNDISCH, UM 1530 (Jakob Bink?) Nußbaumholz. Höhe (mit dem neuen Sockel) 35 cm. Vgl. Bange, die Bildwerke des Deutschen Museums zu Berlin (1930), Band IV, Nr. 819. TAFEL 21]] réalisée par Niederländisch, um 1530, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1700 sch. [340]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. JOSEPH MIT DEM KINDE. Die Gestalt steht mit vorgesetztem linkem Bein auf einer quadratischen Standplatte. Über dem Gewand trägt der Heilige einen Mantel, dessen Enden über der rechten Schulter verknüpft sind. Die Beine stecken in Stulpstiefeln. Das nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Kind hält der Heilige mit beiden Händen in Leibhöhe. Das bärtige Haupt Josephs ist von Locken umrahmt. Es fehlen die beiden Füße des Kindes. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischteile braunrot; Mantel gelb; Gewand blau; Schuhe braun; Lendentuch des Kindes weiß; Sockel grün. ITALIEN, 18. JAHRHUNDERT. Gebrannter grauer Ton. Höhe 37 cm. (Italien, 18. Jahrhundert)|HL. JOSEPH MIT DEM KINDE. Die Gestalt steht mit vorgesetztem linkem Bein auf einer quadratischen Standplatte. Über dem Gewand trägt der Heilige einen Mantel, dessen Enden über der rechten Schulter verknüpft sind. Die Beine stecken in Stulpstiefeln. Das nackte, nur mit einem Lendentuch bekleidete Kind hält der Heilige mit beiden Händen in Leibhöhe. Das bärtige Haupt Josephs ist von Locken umrahmt. Es fehlen die beiden Füße des Kindes. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Bemalung: Fleischteile braunrot; Mantel gelb; Gewand blau; Schuhe braun; Lendentuch des Kindes weiß; Sockel grün. ITALIEN, 18. JAHRHUNDERT. Gebrannter grauer Ton. Höhe 37 cm.]] réalisée par Italien, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [341]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht, in nach links gerichteter Bewegung, auf einer quadratischen Standplatte. Sie ist bekleidet mit langem Gewand, langem Mantel, Kopf- und Brusttuch. Das in ein Tuch gehüllte Kind trägt sie auf dem rechten Arm. Es fehlen der linke Arm der Maria, der rechte Unterarm und der linke Fuß des Kindes. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Bemalung: Mantel der Maria blau, Futter blau; Gewand rot; Haare blond; Fleischfarbe gelblich; Kopftuch der Maria und Schamtuch des Kindes weiß; Sockel grün. ITALIEN, 18. JAHRHUNDERT. Gebrannter grauer Ton. Höhe 38 cm. (Italien, 18. Jahrhundert)|MARIA MIT DEM KINDE. Maria steht, in nach links gerichteter Bewegung, auf einer quadratischen Standplatte. Sie ist bekleidet mit langem Gewand, langem Mantel, Kopf- und Brusttuch. Das in ein Tuch gehüllte Kind trägt sie auf dem rechten Arm. Es fehlen der linke Arm der Maria, der rechte Unterarm und der linke Fuß des Kindes. Statuette. Rückseite bearbeitet. Alte Bemalung: Mantel der Maria blau, Futter blau; Gewand rot; Haare blond; Fleischfarbe gelblich; Kopftuch der Maria und Schamtuch des Kindes weiß; Sockel grün. ITALIEN, 18. JAHRHUNDERT. Gebrannter grauer Ton. Höhe 38 cm.]] réalisée par Italien, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [342]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[MARIA MIT DEM KINDE, in Halbfigur. Auf halbrunder Sockelplatte erhebt sich die Halbfigur der Maria, vor der in Querstellung das nackte Kind liegt. Maria blickt nach rechts; sie hält mit der rechten Hand vor der Brust das Mantelende fest; ihr linker Arm umschließt das Kind. Maria trägt enganliegendes Gewand, Mantel und Schleier. Freiplastische Gruppe mit alter, z. T. übergangener Bemalung. ITALIEN, GEGEN 1800. Die Gruppe Stuck, das Sockelbrett Holz. Höhe 25,5 cm. (Italien, gegen 1800)|MARIA MIT DEM KINDE, in Halbfigur. Auf halbrunder Sockelplatte erhebt sich die Halbfigur der Maria, vor der in Querstellung das nackte Kind liegt. Maria blickt nach rechts; sie hält mit der rechten Hand vor der Brust das Mantelende fest; ihr linker Arm umschließt das Kind. Maria trägt enganliegendes Gewand, Mantel und Schleier. Freiplastische Gruppe mit alter, z. T. übergangener Bemalung. ITALIEN, GEGEN 1800. Die Gruppe Stuck, das Sockelbrett Holz. Höhe 25,5 cm.]] réalisée par Italien, gegen 1800, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [343]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[GEBURT CHRISTI. Auf einem breitovalen gewölbten Felsensockel steht die mit Heu gefüllte Futterkrippe, in der auf einem Tuch das nackte Christkind liegt. Links kniet Maria, die beide Hände nach dem Kind ausstreckt; rechts kniet, über das Kind gebeugt, mit gefalteten Händen, Joseph. Wandgruppe. Rückseite ausgehöhlt. Alte Bemalung: Mantel der Maria blau; Kleid rosa; Schleier weiß. Mantel des Joseph gelb, Kleid grau; Felsensockel braun-grün. NORDITALIEN, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Gebrannter roter Ton. Höhe 40 cm, Breite 58 cm. (Norditalien, Mitte des 18. Jahrhunderts)|GEBURT CHRISTI. Auf einem breitovalen gewölbten Felsensockel steht die mit Heu gefüllte Futterkrippe, in der auf einem Tuch das nackte Christkind liegt. Links kniet Maria, die beide Hände nach dem Kind ausstreckt; rechts kniet, über das Kind gebeugt, mit gefalteten Händen, Joseph. Wandgruppe. Rückseite ausgehöhlt. Alte Bemalung: Mantel der Maria blau; Kleid rosa; Schleier weiß. Mantel des Joseph gelb, Kleid grau; Felsensockel braun-grün. NORDITALIEN, MITTE DES 18. JAHRHUNDERTS. Gebrannter roter Ton. Höhe 40 cm, Breite 58 cm.]] réalisée par Norditalien, Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 700 sch. [344]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS (Fragment), frontal, mit waagrecht ausgestreckten Armen am Kreuz hängend. Das bärtige, mit einem Kronreif gezierte Haupt ist geradeaus gerichtet, die Augen sind geöffnet. Streng stilisiertes, schurzartiges Lendentuch, das bis zu den Knien herabfällt und von Schnüren gehalten wird, die vor der Mitte des Leibes geknotet sind. Es fehlen: die beiden ehemals an den Schultern angediebelten Arme, die später durch zwei schmiedeeiserne, über dem Leib gekreuzte derbe Arme ersetzt wurden. Es fehlt auch das rechte Bein vom Knie abwärts und ein Teil des linken Fußes. Hochrelief artige Arbeit; der Kopf freiplastisch, Rückseite des Körpers ausgehöhlt. FRANKREICH, ANFANG DES 12. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 21 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 2, Tafel 1. TAFEL 2 (Frankreich, Anfang des 12. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS (Fragment), frontal, mit waagrecht ausgestreckten Armen am Kreuz hängend. Das bärtige, mit einem Kronreif gezierte Haupt ist geradeaus gerichtet, die Augen sind geöffnet. Streng stilisiertes, schurzartiges Lendentuch, das bis zu den Knien herabfällt und von Schnüren gehalten wird, die vor der Mitte des Leibes geknotet sind. Es fehlen: die beiden ehemals an den Schultern angediebelten Arme, die später durch zwei schmiedeeiserne, über dem Leib gekreuzte derbe Arme ersetzt wurden. Es fehlt auch das rechte Bein vom Knie abwärts und ein Teil des linken Fußes. Hochrelief artige Arbeit; der Kopf freiplastisch, Rückseite des Körpers ausgehöhlt. FRANKREICH, ANFANG DES 12. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 21 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 2, Tafel 1. TAFEL 2]] réalisée par Frankreich, Anfang des 12. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 8200 sch. [345]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[THRONENDE MARIA MIT DEM KINDE, das auf ihrem rechten Knie steht und sich mit der linken Hand an der Mantelschlinge festhält. Maria sitzt nach links gewendet in drei Viertel Profilansicht; sie ist bekleidet mit langem Unterkleid und weitem, auf dem Boden aufstehendem Mantel; sie trägt Kronreif und Schleier. Das Szepter, das sie mit der linken Hand hält, ist abgebrochen. Auf der Rückseite wird der Thron sichtbar. Auf der Rückseite unten sind kleinere Teile ausgebrochen. Statuette. Rückseite bearbeitet, aber abgeflacht. FRANKREICH, 2. HÄLFTE DES 14. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 17 cm. Vgl. die verwandten Darstellungen im Bayerischen Nationalmuseum: Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 34, 35. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 10, Tafel 3. TAFEL 5 (Frankreich, 2. Hälfte des 14. Jahrhunderts)|THRONENDE MARIA MIT DEM KINDE, das auf ihrem rechten Knie steht und sich mit der linken Hand an der Mantelschlinge festhält. Maria sitzt nach links gewendet in drei Viertel Profilansicht; sie ist bekleidet mit langem Unterkleid und weitem, auf dem Boden aufstehendem Mantel; sie trägt Kronreif und Schleier. Das Szepter, das sie mit der linken Hand hält, ist abgebrochen. Auf der Rückseite wird der Thron sichtbar. Auf der Rückseite unten sind kleinere Teile ausgebrochen. Statuette. Rückseite bearbeitet, aber abgeflacht. FRANKREICH, 2. HÄLFTE DES 14. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 17 cm. Vgl. die verwandten Darstellungen im Bayerischen Nationalmuseum: Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 34, 35. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 10, Tafel 3. TAFEL 5]] réalisée par Frankreich, 2. Hälfte des 14. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 5600 sch. [346]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS (Fragment). Die Beine sind übereinandergenagelt, die (jetzt fehlenden) Arme waren einst wohl leicht erhoben. Das bärtige Haupt ist zur rechten Schulter herabgesunken; die Augen sind geschlossen. Das Lendentuch ist an der rechten Hüfte geknotet, sein Ende hängt von da aus bis zur Mitte des Oberschenkels herab. Es fehlen: beide Arme (die ehemals angediebelt waren), die Zehen des rechten und Teile des linken Fußes. Freiplastische Arbeit. Rückseite vernachlässigt. SÜDDEUTSCH, ENDE DES 17. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 15,5 cm. TAFEL 50 (Süddeutsch, Ende des 17. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS (Fragment). Die Beine sind übereinandergenagelt, die (jetzt fehlenden) Arme waren einst wohl leicht erhoben. Das bärtige Haupt ist zur rechten Schulter herabgesunken; die Augen sind geschlossen. Das Lendentuch ist an der rechten Hüfte geknotet, sein Ende hängt von da aus bis zur Mitte des Oberschenkels herab. Es fehlen: beide Arme (die ehemals angediebelt waren), die Zehen des rechten und Teile des linken Fußes. Freiplastische Arbeit. Rückseite vernachlässigt. SÜDDEUTSCH, ENDE DES 17. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 15,5 cm. TAFEL 50]] réalisée par Süddeutsch, Ende des 17. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 90 sch. [347]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STANDKREUZ. Auf einem kuppelförmig überwölbten, apsisartigen Sockelunterbau, der mit gewundenen Säulen, Voluten und aufgesetzten Kugeln verziert ist, erhebt sich das hohe Kreuz. An seinem Fußende ein Totenkopf. Auf der Vorderseite des Sockels steht in einer halbbogenförmigen Muschelkartusche das Brustbild der trauernden Maria in Hochrelief. Der Kruzifixus hängt mit hocherhobenen Armen und straff ausgestreckten, übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Sein mit der Dornenkrone bedecktes, bärtiges Haupt ist nach links geneigt; die Augen sind geschlossen. Am oberen Ende des Kreuzstammes die Schrifttafel. Wandgruppe. Rückseite des Sockels flach. Der Kruzifixus freiplastisch. MONOGRAMMIST F. H., MITTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 48 cm. Die Signatur F. H. befindet sich auf der Rückseite des Sockels, auf einer hochrechteckigen Platte, die den zur Aufnahme von Reliquien bestimmten Sockel nach rückwärts verschließt. (Monogrammist F. H.)|STANDKREUZ. Auf einem kuppelförmig überwölbten, apsisartigen Sockelunterbau, der mit gewundenen Säulen, Voluten und aufgesetzten Kugeln verziert ist, erhebt sich das hohe Kreuz. An seinem Fußende ein Totenkopf. Auf der Vorderseite des Sockels steht in einer halbbogenförmigen Muschelkartusche das Brustbild der trauernden Maria in Hochrelief. Der Kruzifixus hängt mit hocherhobenen Armen und straff ausgestreckten, übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Sein mit der Dornenkrone bedecktes, bärtiges Haupt ist nach links geneigt; die Augen sind geschlossen. Am oberen Ende des Kreuzstammes die Schrifttafel. Wandgruppe. Rückseite des Sockels flach. Der Kruzifixus freiplastisch. MONOGRAMMIST F. H., MITTE DES 17. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 48 cm. Die Signatur F. H. befindet sich auf der Rückseite des Sockels, auf einer hochrechteckigen Platte, die den zur Aufnahme von Reliquien bestimmten Sockel nach rückwärts verschließt.]] réalisée par Monogrammist F. H., vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [348]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUSKNABE, mit dem rechten Fuß auf einem Totenkopf, mit dem linken auf einem leicht gewölbten Rasensockel stehend. Die Gestalt ist frontal dargestellt; der Oberkörper und der Kopf sind nach links geneigt. In der erhobenen rechten Hand hielt der Knabe ein (jetzt verlorenes) Attribut; der linke Arm ist nach abwärts ausgestreckt. Ein Tuch schlingt sich um den linken Arm, bedeckt die Blöße und fällt hinter dem Totenkopf zu Boden. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. ITALIEN (?), 17. JAHRHUNDERT. Elfenbein. Höhe 14 cm. (Italien (?), 17. Jahrhundert)|CHRISTUSKNABE, mit dem rechten Fuß auf einem Totenkopf, mit dem linken auf einem leicht gewölbten Rasensockel stehend. Die Gestalt ist frontal dargestellt; der Oberkörper und der Kopf sind nach links geneigt. In der erhobenen rechten Hand hielt der Knabe ein (jetzt verlorenes) Attribut; der linke Arm ist nach abwärts ausgestreckt. Ein Tuch schlingt sich um den linken Arm, bedeckt die Blöße und fällt hinter dem Totenkopf zu Boden. Statuette. Rückseite sorgfältig bearbeitet. ITALIEN (?), 17. JAHRHUNDERT. Elfenbein. Höhe 14 cm.]] réalisée par Italien (?), 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [349]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STANDKREUZ. Auf einem profilierten, zu beiden Seiten mit Voluten geschmückten Holzsockel erhebt sich das hölzerne Kreuz, an dem der Elfenbein- Kruzifixus hängt. Seine Arme sind waagrecht ausgestreckt, die Beine übereinandergenagelt. Das bärtige, mit der Dornenkrone bedeckte Haupt ist nach links gewendet. Es fehlen einige Zehen des rechten Fußes. Freiplastische Arbeit. SÜDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, 17. JAHRHUNDERT. Höhe des Kreuzes 36 cm, des Kruzifixus 11 cm. (Süddeutsch, wohl Augsburg, 17. Jahrhundert)|STANDKREUZ. Auf einem profilierten, zu beiden Seiten mit Voluten geschmückten Holzsockel erhebt sich das hölzerne Kreuz, an dem der Elfenbein- Kruzifixus hängt. Seine Arme sind waagrecht ausgestreckt, die Beine übereinandergenagelt. Das bärtige, mit der Dornenkrone bedeckte Haupt ist nach links gewendet. Es fehlen einige Zehen des rechten Fußes. Freiplastische Arbeit. SÜDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, 17. JAHRHUNDERT. Höhe des Kreuzes 36 cm, des Kruzifixus 11 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl Augsburg, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [350]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS mit leicht erhobenem linken (und fehlendem rechten) Arm und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach links geneigt; die Augen sind geschlossen. Es fehlen der rechte Arm und drei Zehen des rechten Fußes. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. MATTHIAS RAUCHMILLER (?), (1645-1686). Elfenbein. Höhe 20 cm. Vgl. Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 209. TAFEL 50 (Matthias Rauchmiller (?))|KRUZIFIXUS mit leicht erhobenem linken (und fehlendem rechten) Arm und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach links geneigt; die Augen sind geschlossen. Es fehlen der rechte Arm und drei Zehen des rechten Fußes. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. MATTHIAS RAUCHMILLER (?), (1645-1686). Elfenbein. Höhe 20 cm. Vgl. Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 209. TAFEL 50]] réalisée par Matthias Rauchmiller (?), vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [351]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist mit der Dornenkrone umwunden, der Blick nach aufwärts gerichtet. Das Lendentuch wird von einer Schnur gehalten; es ist an der rechten Hüfte geknotet. Es fehlen zwei Fingerspitzen der linken Hand. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. SÜDDEUTSCH, WOHL MÜNCHEN, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 26 cm, Spannweite der Arme 17,5 cm. Von einem Meister, der im Bayerischen Nationalmuseum mit vier verwandten Arbeiten vertreten ist. Vgl. Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 446, Tafel 200. (Süddeutsch, wohl München, Anfang des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das bärtige Haupt ist mit der Dornenkrone umwunden, der Blick nach aufwärts gerichtet. Das Lendentuch wird von einer Schnur gehalten; es ist an der rechten Hüfte geknotet. Es fehlen zwei Fingerspitzen der linken Hand. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. SÜDDEUTSCH, WOHL MÜNCHEN, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 26 cm, Spannweite der Arme 17,5 cm. Von einem Meister, der im Bayerischen Nationalmuseum mit vier verwandten Arbeiten vertreten ist. Vgl. Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, IV. Abteilung (1926), Nr. 446, Tafel 200.]] réalisée par Süddeutsch, wohl München, Anfang des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 180 sch. [352]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI MÄNNER in Offizierstracht mit Schlapphut und Degen. Der eine, nach rechts gewendet, legt den Daumen an den offenen Mund; der andere, in Linkswendung, hält in Brusthöhe eine Pistole. Silhouettierte Hochreliefs. Rückseiten flach. SÜDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe je 14 cm. (Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts)|ZWEI MÄNNER in Offizierstracht mit Schlapphut und Degen. Der eine, nach rechts gewendet, legt den Daumen an den offenen Mund; der andere, in Linkswendung, hält in Brusthöhe eine Pistole. Silhouettierte Hochreliefs. Rückseiten flach. SÜDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe je 14 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [353]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI MÄNNER in Offizierstracht mit Schlapphut und Degen. Der eine, nach rechts gewendet, legt den Daumen an den offenen Mund; der andere, in Linkswendung, hält in Brusthöhe eine Pistole. Silhouettierte Hochreliefs. Rückseiten flach. SUDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe je 14 cm. (Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts)|ZWEI MÄNNER in Offizierstracht mit Schlapphut und Degen. Der eine, nach rechts gewendet, legt den Daumen an den offenen Mund; der andere, in Linkswendung, hält in Brusthöhe eine Pistole. Silhouettierte Hochreliefs. Rückseiten flach. SUDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe je 14 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [354]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen, in stark nach links ausgebogener Haltung am Kreuz hängend. Das bärtige, mit der Dornenkrone umwundene Haupt ist nach rechts geneigt, der Blick ist nach aufwärts gerichtet. Die Enden des breiten, in reiche Knitterfalten gelegten Lendentuches fallen zu beiden Seiten des Körpers bis zur Kniehöhe herab. Schrifttafel später, am unteren Kreuzende ein Totenkopf. Es fehlen: vier Fingerspitzen der linken und eine der rechten Hand. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. IGNAZ ELHAFEN (GEST. VOR 1725). Elfenbein. Höhe des Kruzifixus 32 cm, des Kreuzes 65 cm. Vgl. die Arbeiten Elhafens im Bayerischen Nationalmuseum zu München: Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, Abteilung IV (1926), Nr. 414-437, vor allem den Kruzifixus Nr. 435, Tafel 198. TAFEL 45 (Ignaz Elfhafen)|KRUZIFIXUS, mit hocherhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen, in stark nach links ausgebogener Haltung am Kreuz hängend. Das bärtige, mit der Dornenkrone umwundene Haupt ist nach rechts geneigt, der Blick ist nach aufwärts gerichtet. Die Enden des breiten, in reiche Knitterfalten gelegten Lendentuches fallen zu beiden Seiten des Körpers bis zur Kniehöhe herab. Schrifttafel später, am unteren Kreuzende ein Totenkopf. Es fehlen: vier Fingerspitzen der linken und eine der rechten Hand. Freiplastisch. Rückseite sorgfältig bearbeitet. IGNAZ ELHAFEN (GEST. VOR 1725). Elfenbein. Höhe des Kruzifixus 32 cm, des Kreuzes 65 cm. Vgl. die Arbeiten Elhafens im Bayerischen Nationalmuseum zu München: Berliner, Die Bildwerke des Bayerischen Nationalmuseums, Abteilung IV (1926), Nr. 414-437, vor allem den Kruzifixus Nr. 435, Tafel 198. TAFEL 45]] réalisée par Ignaz Elfhafen, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [355]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach links gewendet, der Blick nach aufwärts gerichtet. Das von zwei Schnüren festgehaltene Lendentuch ist an der linken Hüfte geknotet. Am oberen Ende des Kreuzstammes Schrifttafel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. DEUTSCH, 19. JAHRHUNDERT. Elfenbein. Höhe des Kruzifixus 55 cm, des Kreuzes 79 cm. (Deutsch, 19. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz hängend. Das bärtige Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach links gewendet, der Blick nach aufwärts gerichtet. Das von zwei Schnüren festgehaltene Lendentuch ist an der linken Hüfte geknotet. Am oberen Ende des Kreuzstammes Schrifttafel. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. DEUTSCH, 19. JAHRHUNDERT. Elfenbein. Höhe des Kruzifixus 55 cm, des Kreuzes 79 cm.]] réalisée par Deutsch, 19. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [356]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. CHRISTOPHORUS, frontal mit durchgedrücktem rechten und aufgestelltem linken Bein auf einem vom Wasser umspülten Felsen stehend. Der rechte Arm ist in die Hüfte gestützt, die linke Hand umfaßt einen Baumstamm. Das Kind sitzt auf der rechten Schulter. Es fehlen: der Kopf, die Brust, der rechte Arm des Kindes und der obere Teil des Baumstammes, der dem Heiligen als Stock dient. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Der vergoldete Holzsockel aus dem 18. Jahrhundert spätere Zutat. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 10,5 cm, Höhe mit dem Holzsockel 16,5 cm. (Süddeutsch, Anfang des 18. Jahrhunderts)|HL. CHRISTOPHORUS, frontal mit durchgedrücktem rechten und aufgestelltem linken Bein auf einem vom Wasser umspülten Felsen stehend. Der rechte Arm ist in die Hüfte gestützt, die linke Hand umfaßt einen Baumstamm. Das Kind sitzt auf der rechten Schulter. Es fehlen: der Kopf, die Brust, der rechte Arm des Kindes und der obere Teil des Baumstammes, der dem Heiligen als Stock dient. Freiplastisch. Rückseite abgeflacht. Der vergoldete Holzsockel aus dem 18. Jahrhundert spätere Zutat. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Elfenbein. Höhe 10,5 cm, Höhe mit dem Holzsockel 16,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Anfang des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 130 sch. [357]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STANDKREUZ auf tiefem, hölzernen Sockel in Form eines hochgestellten, oben abgeflachten Dreiecks, Sockel und Kreuz sind aus Holz gefertigt und reich mit Einlegearbeit (Perlmuttblättchen) verziert. Der Kruzifixus hängt mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Sein bärtiges Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach rechts geneigt. Auf der Rückseite des Sockels eingeschnittene, undeutliche Signatur: R und ein aufgeklebter, vergilbter Zettel mit der alten Inschrift: "Dieser Christus entstammt aus dem Kloster Niederalteich". SÜDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Der Kruzifixus Elfenbein, Höhe 13,5 cm. Höhe des ganzen Standkreuzes 49,5 cm. (Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts)|STANDKREUZ auf tiefem, hölzernen Sockel in Form eines hochgestellten, oben abgeflachten Dreiecks, Sockel und Kreuz sind aus Holz gefertigt und reich mit Einlegearbeit (Perlmuttblättchen) verziert. Der Kruzifixus hängt mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Sein bärtiges Haupt trägt die Dornenkrone und ist nach rechts geneigt. Auf der Rückseite des Sockels eingeschnittene, undeutliche Signatur: R und ein aufgeklebter, vergilbter Zettel mit der alten Inschrift: "Dieser Christus entstammt aus dem Kloster Niederalteich". SÜDDEUTSCH, ENDE DES 18. JAHRHUNDERTS. Der Kruzifixus Elfenbein, Höhe 13,5 cm. Höhe des ganzen Standkreuzes 49,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Ende des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [358]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS von einem Vesperbild (Fragment). Christus liegt mit nach links gebogenem Körper und zurückgesunkenem Haupt auf dem Schoß der Maria, von der nur die rechte Hand zwischen Arm und Brust Christi erhalten ist. Es fehlen: der Unterkörper Christi, seine beiden Arme und die Figur der Maria. Hochrelief, innen hohl. Reste alter Bemalung. SUDDEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Wachs. Höhe 11 cm. (Süddeutsch, 18. Jahrhundert)|CHRISTUS von einem Vesperbild (Fragment). Christus liegt mit nach links gebogenem Körper und zurückgesunkenem Haupt auf dem Schoß der Maria, von der nur die rechte Hand zwischen Arm und Brust Christi erhalten ist. Es fehlen: der Unterkörper Christi, seine beiden Arme und die Figur der Maria. Hochrelief, innen hohl. Reste alter Bemalung. SUDDEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Wachs. Höhe 11 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 70 sch. [359]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS. Christus, bärtig, mit dem Lendenschurz bekleidet, steht mit unbefestigten, nebeneinandergestellten Beinen auf dem (jetzt verlorenen) Scabellum. Die Augen sind geöffnet, das Haupt leicht nach links geneigt. Statuette. Rückseite teilweise ausgehöhlt. Gelbguß mit grünlicher Patina. SÄCHSISCH, 12. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 14,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 4, Tafel 2. TAFEL 4 (Sächsisch, 12. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS. Christus, bärtig, mit dem Lendenschurz bekleidet, steht mit unbefestigten, nebeneinandergestellten Beinen auf dem (jetzt verlorenen) Scabellum. Die Augen sind geöffnet, das Haupt leicht nach links geneigt. Statuette. Rückseite teilweise ausgehöhlt. Gelbguß mit grünlicher Patina. SÄCHSISCH, 12. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 14,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 4, Tafel 2. TAFEL 4]] réalisée par Sächsisch, 12. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 370 sch. [360]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VORTRAGEKREUZ. Christus, bärtig, mit Krone und Lendenschurz, hängt, die Füße nebeneinandergestellt, mit geschlossenen Augen am Kreuz. Die Enden des Kreuzlängsbalkens zeigen rechteckige Ausladungen mit ovalen Ausschnitten, in die wohl ursprünglich Linsen aus geschliffenem Bergkristall eingesetzt waren. Am Querbalken fehlen diese Ausladungen, sie sind hier vermutlich später abgeschnitten worden. Auf der Rückseite des Kreuzes flüchtige Gravierung: in der Mitte das Opferlamm in einem Kreis, dann Akanthusranken. Der Kruzifixus silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Gelbguß mit bräunlich-grünlicher Patina. SÜDDEUTSCH, WOHL SCHWÄBISCH, 12. JAHRHUNDERT. Höhe des Kreuzes 33,5 cm, des Kruzifixus 17 cm. Im Typus verwandt mit einem gleichartigen Vortragekreuz im Deutschen Museum zu Berlin, das seinerseits wieder verwandt ist mit einem in Maulbronn gefundenen Kruzifixus in der Sammlung vaterländischer Altertümer in Stuttgart. Vgl. Vöge, Die deutschen Bildwerke (1910), Nr. 460, Tafel III. Dortselbst weitere Literaturangaben. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 1, Tafel 1. TAFEL 3 (Süddeutsch, wohl Schwäbisch, 12. Jahrhundert)|VORTRAGEKREUZ. Christus, bärtig, mit Krone und Lendenschurz, hängt, die Füße nebeneinandergestellt, mit geschlossenen Augen am Kreuz. Die Enden des Kreuzlängsbalkens zeigen rechteckige Ausladungen mit ovalen Ausschnitten, in die wohl ursprünglich Linsen aus geschliffenem Bergkristall eingesetzt waren. Am Querbalken fehlen diese Ausladungen, sie sind hier vermutlich später abgeschnitten worden. Auf der Rückseite des Kreuzes flüchtige Gravierung: in der Mitte das Opferlamm in einem Kreis, dann Akanthusranken. Der Kruzifixus silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Gelbguß mit bräunlich-grünlicher Patina. SÜDDEUTSCH, WOHL SCHWÄBISCH, 12. JAHRHUNDERT. Höhe des Kreuzes 33,5 cm, des Kruzifixus 17 cm. Im Typus verwandt mit einem gleichartigen Vortragekreuz im Deutschen Museum zu Berlin, das seinerseits wieder verwandt ist mit einem in Maulbronn gefundenen Kruzifixus in der Sammlung vaterländischer Altertümer in Stuttgart. Vgl. Vöge, Die deutschen Bildwerke (1910), Nr. 460, Tafel III. Dortselbst weitere Literaturangaben. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 1, Tafel 1. TAFEL 3]] réalisée par Süddeutsch, wohl Schwäbisch, 12. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 850 sch. [361]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinander auf dem Scabellum stehenden Füßen. Das Scabellum ist in Form eines Schlangenhauptes (Teufelsfratze) mit offenem Maul gestaltet. Der bärtige, mit einer Zackenkrone bedeckte Kopf Christi ist stark nach links geneigt und bis auf die Schulter herabgesunken. Das Haar fällt in einzelnen Strähnen auf Brust und Schultern herab. Statuette. Rückseite abgeflacht und teilweise ausgehöhlt. Gelbguß mit einzelnen Spuren von Feuervergoldung. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 13. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 13,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 5, Tafel 2. TAFEL 4 (Süddeutsch, Anfang des 13. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und nebeneinander auf dem Scabellum stehenden Füßen. Das Scabellum ist in Form eines Schlangenhauptes (Teufelsfratze) mit offenem Maul gestaltet. Der bärtige, mit einer Zackenkrone bedeckte Kopf Christi ist stark nach links geneigt und bis auf die Schulter herabgesunken. Das Haar fällt in einzelnen Strähnen auf Brust und Schultern herab. Statuette. Rückseite abgeflacht und teilweise ausgehöhlt. Gelbguß mit einzelnen Spuren von Feuervergoldung. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 13. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 13,5 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 5, Tafel 2. TAFEL 4]] réalisée par Süddeutsch, Anfang des 13. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1300 sch. [362]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS (Buchbeschlagstück). Auf einem breiten, am Schnittpunkt der Kreuzbalken kreisartig erweiterten Kreuz hängt Christus mit waagrecht ausgebreiteten Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige, gekrönte Haupt ist nach links geneigt. Die Kreuzbalken sind reich ornamentiert und mit farbigen Zellenschmelzeinlagen geschmückt. Der Kruzifixus silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Das Kreuz rückwärts flach. Schöne Reste alter Feuervergoldung und farbiger Zellenschmelzeinlagen. FRANKREICH, LIMOGES, 13. JAHRHUNDERT. Kupfer. Höhe des Kreuzes 21,5 cm, des Kruzifixus 14 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 3, Tafel 1. TAFEL 3 (Frankreich, Limoges, 13. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS (Buchbeschlagstück). Auf einem breiten, am Schnittpunkt der Kreuzbalken kreisartig erweiterten Kreuz hängt Christus mit waagrecht ausgebreiteten Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Das bärtige, gekrönte Haupt ist nach links geneigt. Die Kreuzbalken sind reich ornamentiert und mit farbigen Zellenschmelzeinlagen geschmückt. Der Kruzifixus silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Das Kreuz rückwärts flach. Schöne Reste alter Feuervergoldung und farbiger Zellenschmelzeinlagen. FRANKREICH, LIMOGES, 13. JAHRHUNDERT. Kupfer. Höhe des Kreuzes 21,5 cm, des Kruzifixus 14 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 3, Tafel 1. TAFEL 3]] réalisée par Frankreich, Limoges, 13. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 900 sch. [363]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Krone und Lendenschurz, die Arme waagrecht ausgebreitet, die Füße nebeneinandergenagelt. Das Haupt ist nach links geneigt; die Augen sind weit geöffnet und durch eingesetzte blaue Steine betont. Am Lendenschurz schöne Reste weißblauer Zellenschmelzeinlagen. Der rechte Arm spätere Ergänzung. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite hohl. Reste alter Feuervergoldung. FRANKREICH, LIMOGES, 13. JAHRHUNDERT. Kupfer. Höhe 17,5 cm. (Frankreich, Limoges, 13. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Krone und Lendenschurz, die Arme waagrecht ausgebreitet, die Füße nebeneinandergenagelt. Das Haupt ist nach links geneigt; die Augen sind weit geöffnet und durch eingesetzte blaue Steine betont. Am Lendenschurz schöne Reste weißblauer Zellenschmelzeinlagen. Der rechte Arm spätere Ergänzung. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite hohl. Reste alter Feuervergoldung. FRANKREICH, LIMOGES, 13. JAHRHUNDERT. Kupfer. Höhe 17,5 cm.]] réalisée par Frankreich, Limoges, 13. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [364]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und straff ausgestreckten, nebeneinanderstehenden Beinen, Lendenschurz, Bart und Kronreif. Silhouettiertes Hochrelief, Rückseite flach. Rotguß mit Spuren alter Feuervergoldung. DEUTSCH, ANFANG DES 13. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 8,5 cm. (Deutsch, Anfang des 13. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, mit leicht erhobenen Armen und straff ausgestreckten, nebeneinanderstehenden Beinen, Lendenschurz, Bart und Kronreif. Silhouettiertes Hochrelief, Rückseite flach. Rotguß mit Spuren alter Feuervergoldung. DEUTSCH, ANFANG DES 13. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 8,5 cm.]] réalisée par Deutsch, Anfang des 13. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 140 sch. [365]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VORTRAGEKREUZ. Christus, bärtig, mit Krone und Lendenschurz, die Arme waagrecht ausgebreitet, die Füße übereinandergenagelt, hängt an einem hohen Kreuz, dessen drei oberen Enden in Kleeblattform endigen. Über dem Haupte Christi die Schrifttafel, darüber flache Platte in Vierpaßform mit (z. T. verlorenen) eingesetzten Bergkristallinsen. Zu Füßen Christi und neben seinen beiden Händen am Querbalken des Kreuzes gleichartige Vierpaßscheiben. Die Rückseite des Kreuzes verziert mit gravierten Blattranken; am Schnittpunkt der Kreuzbalken, in quadratischem Feld, Halbfigur eines Heiligen. Der Kruzifixus getrieben. Reste alter Feuervergoldung. Das Kreuz gegossen, graviert und gepunzt. Reste alter Feuervergoldung. SÜDFRANKREICH ODER SPANIEN, 13. JAHRHUNDERT. Kupfer. Höhe des Kreuzes 62 cm, des Kruzifixus 23 cm. TAFEL 7 (Südfrankreich, 13. Jahrhundert)|VORTRAGEKREUZ. Christus, bärtig, mit Krone und Lendenschurz, die Arme waagrecht ausgebreitet, die Füße übereinandergenagelt, hängt an einem hohen Kreuz, dessen drei oberen Enden in Kleeblattform endigen. Über dem Haupte Christi die Schrifttafel, darüber flache Platte in Vierpaßform mit (z. T. verlorenen) eingesetzten Bergkristallinsen. Zu Füßen Christi und neben seinen beiden Händen am Querbalken des Kreuzes gleichartige Vierpaßscheiben. Die Rückseite des Kreuzes verziert mit gravierten Blattranken; am Schnittpunkt der Kreuzbalken, in quadratischem Feld, Halbfigur eines Heiligen. Der Kruzifixus getrieben. Reste alter Feuervergoldung. Das Kreuz gegossen, graviert und gepunzt. Reste alter Feuervergoldung. SÜDFRANKREICH ODER SPANIEN, 13. JAHRHUNDERT. Kupfer. Höhe des Kreuzes 62 cm, des Kruzifixus 23 cm. TAFEL 7]] réalisée par Südfrankreich, 13. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 900 sch. [366]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geöffnet. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Rotguß mit schönen Resten alter Vergoldung. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 14,5 cm. (Süddeutsch, 1. Hälfte des 15. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geöffnet. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Rotguß mit schönen Resten alter Vergoldung. SÜDDEUTSCH, 1. HÄLFTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 14,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 1. Hälfte des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 70 sch. [367]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS (Buchbeschlagstück). Auf einem schmalen Kreuz hängt Christus, bärtig, mit Lendenschurz und Dornenkrone, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das schmale Kreuz ist eingerahmt von gravierten Flächen (Hochoval hinter dem Schnittpunkt der Kreuzbalken, Zackenlinie an den Balken). Die vier Enden der Kreuzbalken fehlen. Hochreliefartige Treibarbeit. Reste alter Vergoldung. FRANKREICH, UM 1450. Kupferblech. Höhe des Kruzifixus 12 cm, des ganzen Beschlagstückes 18,5 cm. (Frankreich, um 1450)|KRUZIFIXUS (Buchbeschlagstück). Auf einem schmalen Kreuz hängt Christus, bärtig, mit Lendenschurz und Dornenkrone, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das schmale Kreuz ist eingerahmt von gravierten Flächen (Hochoval hinter dem Schnittpunkt der Kreuzbalken, Zackenlinie an den Balken). Die vier Enden der Kreuzbalken fehlen. Hochreliefartige Treibarbeit. Reste alter Vergoldung. FRANKREICH, UM 1450. Kupferblech. Höhe des Kruzifixus 12 cm, des ganzen Beschlagstückes 18,5 cm.]] réalisée par Frankreich, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 50 sch. [368]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS AUF EINEM ASTKREUZ. Christus, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz, hängt mit halbkreisförmig ausgebogenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Es fehlen die vier Nägel, mit denen der Kruzifixus am Kreuz befestigt war. Der Kruzifixus roter Bronzevollguß mit flacher Rückseite; das Kreuz Treibarbeit. Guterhaltene alte Feuervergoldung. DEUTSCH-BÖHMISCH, UM 1400. Bronze und Kupferblech. Höhe des Kreuzes 26 cm, des Kruzifixus 16 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 8, Tafel 2. (Deutsch-Böhmisch, um 1400)|KRUZIFIXUS AUF EINEM ASTKREUZ. Christus, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz, hängt mit halbkreisförmig ausgebogenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Es fehlen die vier Nägel, mit denen der Kruzifixus am Kreuz befestigt war. Der Kruzifixus roter Bronzevollguß mit flacher Rückseite; das Kreuz Treibarbeit. Guterhaltene alte Feuervergoldung. DEUTSCH-BÖHMISCH, UM 1400. Bronze und Kupferblech. Höhe des Kreuzes 26 cm, des Kruzifixus 16 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 8, Tafel 2.]] réalisée par Deutsch-Böhmisch, um 1400, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 550 sch. [369]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit schmaler Dornenkrone und langem Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist leicht nach abwärts geneigt, die Augen sind geschlossen. Fast vollrund. Rückseite ausgehöhlt. Rotguß mit schön erhaltener alter Feuervergoldung. SUDDEUTSCH, WOHL BODENSEEGEGEND, NACH 1350. Bronze. Höhe 17 cm. Vgl. den verwandten Kruzifixus, ehemals Sammlung Benario, der aus Langenargen a. Bodensee stammen soll, abgebildet in: Katalog Sammlung Wilm, Ausstellung im Kunstverein München (1931), Nr. 235. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 6, Tafel 2. TAFEL 3 (Süddeutsch, wohl Bodenseegegend, nach 1350)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit schmaler Dornenkrone und langem Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist leicht nach abwärts geneigt, die Augen sind geschlossen. Fast vollrund. Rückseite ausgehöhlt. Rotguß mit schön erhaltener alter Feuervergoldung. SUDDEUTSCH, WOHL BODENSEEGEGEND, NACH 1350. Bronze. Höhe 17 cm. Vgl. den verwandten Kruzifixus, ehemals Sammlung Benario, der aus Langenargen a. Bodensee stammen soll, abgebildet in: Katalog Sammlung Wilm, Ausstellung im Kunstverein München (1931), Nr. 235. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 6, Tafel 2. TAFEL 3]] réalisée par Süddeutsch, wohl Bodenseegegend, nach 1350, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1300 sch. [370]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit schmaler Dornenkrone und langem Lendenschurz, halbkreisförmig erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geschlossen. Fast vollrund. Rückseite ausgehöhlt. Rotguß mit brauner Patina und Spuren alter Feuervergoldung. SÜDDEUTSCH, GEGEN 1400. Bronze. Höhe 22 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 7, Tafel 2. TAFEL 4 (Süddeutsch, gegen 1400)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit schmaler Dornenkrone und langem Lendenschurz, halbkreisförmig erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geschlossen. Fast vollrund. Rückseite ausgehöhlt. Rotguß mit brauner Patina und Spuren alter Feuervergoldung. SÜDDEUTSCH, GEGEN 1400. Bronze. Höhe 22 cm. Wilm, Die Sammlung Georg Schuster (1937), Nr. 7, Tafel 2. TAFEL 4]] réalisée par Süddeutsch, gegen 1400, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 400 sch. [371]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit langem Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geschlossen. Statuette. Rückseite abgeflacht. Gelbguß mit bräunlicher Patina. DEUTSCH, UM 1400. Bronze. Höhe 13 cm. (Deutsch, um 1400)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit langem Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Das Haupt ist nach links geneigt, die Augen sind geschlossen. Statuette. Rückseite abgeflacht. Gelbguß mit bräunlicher Patina. DEUTSCH, UM 1400. Bronze. Höhe 13 cm.]] réalisée par Deutsch, um 1400, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 150 sch. [372]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KREUZIGUNGSGRUPPE. Christus am Kreuz zwischen der trauernden Maria und Johannes Ev. Auf einem felsigen Geländestück erhebt sich das hohe Kreuz mit dem plastisch aufgesetzten Kruzifixus. Links vom Kreuz Maria, rechts Johannes Ev.; in einer Felsenhöhle unter dem Kreuz ein Totenkopf. Der flache Hintergrund ausgefüllt mit Kriegsknechten und anderen Gestalten, die in Punktiermanier eingepunzt waren und jetzt zum größten Teil verwischt sind. Hochrelief in Form eines hochgestellten Rechtecks mit flachem Grund. Die Assistenzfiguren in Treibarbeit, der Kruzifixus in Bronze gegossen und mit drei Nägeln auf dem getriebenen Kreuz befestigt. Spuren von alter Feuervergoldung. SÜDFRANKREICH, 15. JAHRHUNDERT. Die getriebene Tafel Kupferblech, der Kruzifixus Bronze. Höhe der ganzen Tafel 27 cm, Breite 19,5 cm. (Südfrankreich, 15. Jahrhundert)|KREUZIGUNGSGRUPPE. Christus am Kreuz zwischen der trauernden Maria und Johannes Ev. Auf einem felsigen Geländestück erhebt sich das hohe Kreuz mit dem plastisch aufgesetzten Kruzifixus. Links vom Kreuz Maria, rechts Johannes Ev.; in einer Felsenhöhle unter dem Kreuz ein Totenkopf. Der flache Hintergrund ausgefüllt mit Kriegsknechten und anderen Gestalten, die in Punktiermanier eingepunzt waren und jetzt zum größten Teil verwischt sind. Hochrelief in Form eines hochgestellten Rechtecks mit flachem Grund. Die Assistenzfiguren in Treibarbeit, der Kruzifixus in Bronze gegossen und mit drei Nägeln auf dem getriebenen Kreuz befestigt. Spuren von alter Feuervergoldung. SÜDFRANKREICH, 15. JAHRHUNDERT. Die getriebene Tafel Kupferblech, der Kruzifixus Bronze. Höhe der ganzen Tafel 27 cm, Breite 19,5 cm.]] réalisée par Südfrankreich, 15. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [373]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Um das nach abwärts geneigte Haupt ist eine abnehmbare Dornenkrone gelegt. Statuette. Rückseite bearbeitet. Gelbguß mit dunkler Patina. DEUTSCH, UM 1420. Bronze. Höhe 14 cm. (Deutsch, um 1420)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz, leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Um das nach abwärts geneigte Haupt ist eine abnehmbare Dornenkrone gelegt. Statuette. Rückseite bearbeitet. Gelbguß mit dunkler Patina. DEUTSCH, UM 1420. Bronze. Höhe 14 cm.]] réalisée par Deutsch, um 1420, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 40 sch. [374]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Die Arme sind leicht erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Statuette. Rückseite z. T. gehöhlt. Gelbguß mit bräunlicher Patina. Auf der Rückseite der Knie Lötstelle mit Blei. SÜDDEUTSCH, GEGEN 1450. Bronze. Höhe 11,5 cm. (Süddeutsch, gegen 1450)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Die Arme sind leicht erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Statuette. Rückseite z. T. gehöhlt. Gelbguß mit bräunlicher Patina. Auf der Rückseite der Knie Lötstelle mit Blei. SÜDDEUTSCH, GEGEN 1450. Bronze. Höhe 11,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, gegen 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 40 sch. [375]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[VORTRAGEKREUZ. Der Kruzifixus, mit bärtigem Haupt und Lendenschurz, hängt mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen auf einem Kreuz, dessen vier Enden in Dreipaßform erweitert sind. Das Kreuz ist aus vier Teilen zusammengefügt, die durch eine rückwärts aufgelegte, dreipaßförmige Platte zusammengehalten werden. Längs- und Querbalken des Kreuzes sind mit reichem, eingraviertem Akanthusrankenwerk verziert. Leichte Beschädigung am unteren Kreuzende. Der Kruzifixus freiplastisch mit teilweise ausgehöhlter Rückseite, das Kreuz graviertes Flachrelief. Gut erhaltene Feuervergoldung. SÜDOSTDEUTSCH, UM 1450. Kruzifixus Bronze, Kreuz Kupferblech. Höhe des Kruzifixus 13 cm, des Kreuzes 29 cm. (Südostdeutsch, um 1450)|VORTRAGEKREUZ. Der Kruzifixus, mit bärtigem Haupt und Lendenschurz, hängt mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen auf einem Kreuz, dessen vier Enden in Dreipaßform erweitert sind. Das Kreuz ist aus vier Teilen zusammengefügt, die durch eine rückwärts aufgelegte, dreipaßförmige Platte zusammengehalten werden. Längs- und Querbalken des Kreuzes sind mit reichem, eingraviertem Akanthusrankenwerk verziert. Leichte Beschädigung am unteren Kreuzende. Der Kruzifixus freiplastisch mit teilweise ausgehöhlter Rückseite, das Kreuz graviertes Flachrelief. Gut erhaltene Feuervergoldung. SÜDOSTDEUTSCH, UM 1450. Kruzifixus Bronze, Kreuz Kupferblech. Höhe des Kruzifixus 13 cm, des Kreuzes 29 cm.]] réalisée par Südostdeutsch, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 190 sch. [376]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Die Arme sind leicht erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Das Haupt ist auf die rechte Schulter gesunken, die Augen sind geschlossen. Es fehlt ein Teil der linken Hand. Statuette. Rückseite abgeflacht und z. T. gehöhlt. Rotguß mit brauner Patina. DEUTSCH, WOHL SCHWÄBISCH, UM 1450. Bronze. Höhe 13,5 cm. (Deutsch, wohl Schwäbisch, um 1450)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Die Arme sind leicht erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Das Haupt ist auf die rechte Schulter gesunken, die Augen sind geschlossen. Es fehlt ein Teil der linken Hand. Statuette. Rückseite abgeflacht und z. T. gehöhlt. Rotguß mit brauner Patina. DEUTSCH, WOHL SCHWÄBISCH, UM 1450. Bronze. Höhe 13,5 cm.]] réalisée par Deutsch, wohl Schwäbisch, um 1450, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [377]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RELIQUIENKREUZ. Die Balkenenden laufen in drei gleichmäßige, spitzbogenförmige Blattzacken aus; im Schnittpunkt der Kreuzbalken überstehendes, quadratisches Feld. Zu beiden Seiten flacher Rand, die Mittelstreifen mit laufendem Rankenwerk und herzförmigen Blättern verziert, gleichartig auf der Vorder- und Rückseite des Kreuzes. Auf die Rück(Unter-)seite des Kreuzes ist ein 1,5 cm hohes Messinggehäuse aufgelötet, das als Reliquienbehälter dient. Die Vorderseite des Kreuzes liegt gleichsam als Deckel darüber; sie kann mit vier Schrauben an den Balkenenden mit dem Unterteil des Kreuzes fest verbunden werden. Im Innern auf rotem Samt, der mit Golddraht eingefaßt ist, Kreuzpartikel und Reliquien mit beschrifteten Pergamentstreifen. In der Mitte ovales Brustbild Christi, hochreliefartiges Medaillon aus weißem Wachs. Vorder- und Rückseite des Kreuzes graviertes Kupferblech mit alter Feuervergoldung. Flachrelief. DEUTSCH, 16. UND 19. JAHRHUNDERT. Vorder- und Rückseite des Kreuzes um 1550; Reliquienbehälter mit Inhalt 19. Jahrhundert. Kupfer und Messing. Höhe 31 cm, Breite 21,5 cm. (Deutsch, 16. Jahrhundert)|RELIQUIENKREUZ. Die Balkenenden laufen in drei gleichmäßige, spitzbogenförmige Blattzacken aus; im Schnittpunkt der Kreuzbalken überstehendes, quadratisches Feld. Zu beiden Seiten flacher Rand, die Mittelstreifen mit laufendem Rankenwerk und herzförmigen Blättern verziert, gleichartig auf der Vorder- und Rückseite des Kreuzes. Auf die Rück(Unter-)seite des Kreuzes ist ein 1,5 cm hohes Messinggehäuse aufgelötet, das als Reliquienbehälter dient. Die Vorderseite des Kreuzes liegt gleichsam als Deckel darüber; sie kann mit vier Schrauben an den Balkenenden mit dem Unterteil des Kreuzes fest verbunden werden. Im Innern auf rotem Samt, der mit Golddraht eingefaßt ist, Kreuzpartikel und Reliquien mit beschrifteten Pergamentstreifen. In der Mitte ovales Brustbild Christi, hochreliefartiges Medaillon aus weißem Wachs. Vorder- und Rückseite des Kreuzes graviertes Kupferblech mit alter Feuervergoldung. Flachrelief. DEUTSCH, 16. UND 19. JAHRHUNDERT. Vorder- und Rückseite des Kreuzes um 1550; Reliquienbehälter mit Inhalt 19. Jahrhundert. Kupfer und Messing. Höhe 31 cm, Breite 21,5 cm.]] réalisée par Deutsch, 16. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 20 sch. [378]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RELIQUIENKREUZ, die Rückseite mit Scharnieren befestigt und aufklappbar. Die Vorderseite in flacher Kastenform mit aufgenageltem Kruzifixus. Dieser bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Eingraviertes Spruchband. Im Innern des Reliquienbehälters: Überreste eines Kruzifixus aus Bein (Kopf und linke Hand), diese 17.-18. Jahrhundert. Auf der Rückseite ist ein Stück des Kreuzquerbalkens abgebrochen. Das Kreuz hohler Bronzeguß mit bräunlicher, die Rückseite mit grüner und blauer Patina; der Kruzifixus silhouettiertes Hochrelief mit dunkler Patina. DEUTSCH, MITTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 14,5 cm. (Deutsch, Mitte des 15. Jahrhunderts)|RELIQUIENKREUZ, die Rückseite mit Scharnieren befestigt und aufklappbar. Die Vorderseite in flacher Kastenform mit aufgenageltem Kruzifixus. Dieser bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Eingraviertes Spruchband. Im Innern des Reliquienbehälters: Überreste eines Kruzifixus aus Bein (Kopf und linke Hand), diese 17.-18. Jahrhundert. Auf der Rückseite ist ein Stück des Kreuzquerbalkens abgebrochen. Das Kreuz hohler Bronzeguß mit bräunlicher, die Rückseite mit grüner und blauer Patina; der Kruzifixus silhouettiertes Hochrelief mit dunkler Patina. DEUTSCH, MITTE DES 15. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 14,5 cm.]] réalisée par Deutsch, Mitte des 15. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 20 sch. [379]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS. Christus, bärtig, mit Lendenschurz, hängt mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem schmalen Kreuz, dessen drei obere Balken in bourbonischen Lilien endigen. Unter den Füßen Christi, als Scabellum dienend, ein Kopf (Teufelsfratze?). Der Kruzifixus in roher, unbeholfener Ausführung. Das untere Ende des Kreuzlängsbalkens ist abgebrochen. Der Kruzifixus freiplastisch mit abgeflachter Rückseite. Gelbguß mit brauner, z. T. grünlicher Patina. FRANKREICH (?), 15.-16. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 11,5 cm. (Frankreich (?), 15.-16. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS. Christus, bärtig, mit Lendenschurz, hängt mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen an einem schmalen Kreuz, dessen drei obere Balken in bourbonischen Lilien endigen. Unter den Füßen Christi, als Scabellum dienend, ein Kopf (Teufelsfratze?). Der Kruzifixus in roher, unbeholfener Ausführung. Das untere Ende des Kreuzlängsbalkens ist abgebrochen. Der Kruzifixus freiplastisch mit abgeflachter Rückseite. Gelbguß mit brauner, z. T. grünlicher Patina. FRANKREICH (?), 15.-16. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 11,5 cm.]] réalisée par Frankreich (?), 15.-16. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 40 sch. [380]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[HL. PETRUS, frontal in langem Gewand und langem Mantel auf profilierter Standplatte stehend. Das bärtige Haupt blickt geradeaus, die rechte Hand hält in Brusthöhe den Schlüssel, die linke in Hüfthöhe ein Buch. Silhouettiertes Hochrelief. Gelbguß mit bräunlich-grünlicher Patina. DEUTSCH (VIELLEICHT NÜRNBERG), 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 8 cm. (Deutsch (vielleicht Nürnberg), 17. Jahrhundert)|HL. PETRUS, frontal in langem Gewand und langem Mantel auf profilierter Standplatte stehend. Das bärtige Haupt blickt geradeaus, die rechte Hand hält in Brusthöhe den Schlüssel, die linke in Hüfthöhe ein Buch. Silhouettiertes Hochrelief. Gelbguß mit bräunlich-grünlicher Patina. DEUTSCH (VIELLEICHT NÜRNBERG), 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 8 cm.]] réalisée par Deutsch (vielleicht Nürnberg), 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [381]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ANHÄNGEKREUZ, in Form eines in die Länge gezogenen Tatzenkreuzes mit Schneckenspiralen an den acht Balkenecken. Auf der Vorderseite rohe Gravierung (stehende Maria und Schriftzeichen, Schneckenspiralen). Rückseite flach. Die Aufhängeöse abgebrochen. Flachrelief. Gelbguß mit grünlicher Patina. OSTISCH, WOHL 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 10 cm, Breite 8 cm. (Ostisch, wohl 17. Jahrhundert)|ANHÄNGEKREUZ, in Form eines in die Länge gezogenen Tatzenkreuzes mit Schneckenspiralen an den acht Balkenecken. Auf der Vorderseite rohe Gravierung (stehende Maria und Schriftzeichen, Schneckenspiralen). Rückseite flach. Die Aufhängeöse abgebrochen. Flachrelief. Gelbguß mit grünlicher Patina. OSTISCH, WOHL 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 10 cm, Breite 8 cm.]] réalisée par Ostisch, wohl 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 70 sch. [382]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme PATRIARCHENKREUZ. Über dem Kruzifixus zwei schwebende Engel und das Brustbild Gottvaters. Silhouettiertes Hochrelief. Gelbguß mit bräunlicher Patina. OSTISCH, 17.-18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 8,5 cm, Breite 5,5 cm. réalisée par Ostisch, 17. - 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 20 sch. [383]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[RELIQUIENKREUZ, durch Scharnier aufklappbar, unten zwei Ösen zum Ver- schließen. Die Kreuzbalken werden ihren Enden zu breiter. Auf der Vorderseite rohe Gravierung (Maria mit dem Kinde), auf der Rückseite ornamentale Gravierung, in der Mitte kleiner, runder Ausschnitt. Der jetzt leere Innenraum wohl ehemals zur Aufnahme von Reliquien oder Kreuzpartikeln bestimmt. Gelbguß mit bräunlicher Patina. OSTISCH, 17.-18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 11 cm. (Ostisch, 17. - 18. Jahrhundert)|RELIQUIENKREUZ, durch Scharnier aufklappbar, unten zwei Ösen zum Ver- schließen. Die Kreuzbalken werden ihren Enden zu breiter. Auf der Vorderseite rohe Gravierung (Maria mit dem Kinde), auf der Rückseite ornamentale Gravierung, in der Mitte kleiner, runder Ausschnitt. Der jetzt leere Innenraum wohl ehemals zur Aufnahme von Reliquien oder Kreuzpartikeln bestimmt. Gelbguß mit bräunlicher Patina. OSTISCH, 17.-18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 11 cm.]] réalisée par Ostisch, 17. - 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 12 sch. [384]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz. Von dem in der Mitte gescheitelten Haupthaar fallen zwei lange Locken links und rechts am Kopf entlang frei auf die Brust herab. Zwei flatternde Enden des Lendenschurzes in Kupferblech alt angelötet. Der linke Arm und die rechte Hand (mit einem Stück des Unterarms) sind spätere Ergänzung. Statuette. Rückseite bearbeitet. Rotguß, feuervergoldet. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 15,5 cm. (Süddeutsch, Anfang des 16. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz. Von dem in der Mitte gescheitelten Haupthaar fallen zwei lange Locken links und rechts am Kopf entlang frei auf die Brust herab. Zwei flatternde Enden des Lendenschurzes in Kupferblech alt angelötet. Der linke Arm und die rechte Hand (mit einem Stück des Unterarms) sind spätere Ergänzung. Statuette. Rückseite bearbeitet. Rotguß, feuervergoldet. SÜDDEUTSCH, ANFANG DES 16. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe 15,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, Anfang des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 90 sch. [385]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Das Haupt ist nach links gewendet, die Augen sind geschlossen. Die Arme sind fast waagrecht ausgestreckt, die Füße übereinandergenagelt. Statuette. Rückseite bearbeitet. Gelbguß mit bräunlicher Patina. SÜDDEUTSCH, UM 1530-1540. Bronze. Höhe 15,5 cm. Im Typus den Kruzifixen des Loy Hering verwandt. Ein ähnliches Stück von annähernd gleicher Größe in der Sammlung Wilm. Vgl. Katalog der Ausstellung im Kunstverein München (1931) Nr. 270. (Süddeutsch, um 1530-1540)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone und Lendenschurz. Das Haupt ist nach links gewendet, die Augen sind geschlossen. Die Arme sind fast waagrecht ausgestreckt, die Füße übereinandergenagelt. Statuette. Rückseite bearbeitet. Gelbguß mit bräunlicher Patina. SÜDDEUTSCH, UM 1530-1540. Bronze. Höhe 15,5 cm. Im Typus den Kruzifixen des Loy Hering verwandt. Ein ähnliches Stück von annähernd gleicher Größe in der Sammlung Wilm. Vgl. Katalog der Ausstellung im Kunstverein München (1931) Nr. 270.]] réalisée par Süddeutsch, um 1530-1540, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 100 sch. [386]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz, mit hocherhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Statuette. Rückseite sorgfältig ausgeführt. Gelbguß. Auf der Vorderseite erneuerte Feuervergoldung. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 15,5 cm. (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz, mit hocherhobenen Armen und nebeneinandergenagelten Füßen. Statuette. Rückseite sorgfältig ausgeführt. Gelbguß. Auf der Vorderseite erneuerte Feuervergoldung. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 15,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [387]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Die drei Kreuznägel mit dem Kruzifixus aus einem Stück gegossen. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Gelbguß. SÜDDEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 15 cm. (Süddeutsch, 18. Jahrhundert)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Dornenkrone, mit erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Die drei Kreuznägel mit dem Kruzifixus aus einem Stück gegossen. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Gelbguß. SÜDDEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 15 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [388]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit schmalem, an der rechten Hüfte geknotetem Lendenschurz. Die Arme sind erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Die Dornenkrone ist für sich gearbeitet und über das Haupt gelegt. Sie war ursprünglich durch einen Diebel am Kopf befestigt. Das auf die rechte Schulter geneigte Haupt Christi ist, wie der ganze Körper, mit größter Sorgfalt durchgebildet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Rotguß mit schönen Resten alter Feuervergoldung. Innen hohl. SÜDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, NACH 1600. Bronze. Höhe 34 cm, Spannweite der Arme 23,5 cm. (Süddeutsch, wohl Augsburg, nach 1600)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit schmalem, an der rechten Hüfte geknotetem Lendenschurz. Die Arme sind erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Die Dornenkrone ist für sich gearbeitet und über das Haupt gelegt. Sie war ursprünglich durch einen Diebel am Kopf befestigt. Das auf die rechte Schulter geneigte Haupt Christi ist, wie der ganze Körper, mit größter Sorgfalt durchgebildet. Freiplastisch. Rückseite bearbeitet. Rotguß mit schönen Resten alter Feuervergoldung. Innen hohl. SÜDDEUTSCH, WOHL AUGSBURG, NACH 1600. Bronze. Höhe 34 cm, Spannweite der Arme 23,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, wohl Augsburg, nach 1600, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 750 sch. [389]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[CHRISTUS AN DER SÄULE. Christus steht in nach links ausgebogener Stellung auf der Basis einer Säule, an die sein erhobener linker und sein nach rückwärts gestreckter rechter Arm mit Stricken festgebunden sind. Um die Hüften Christi ist ein Mantel gebunden, dessen Ende die Blöße bedeckt und dessen Hauptteil an der Säule entlang bis zum Boden herabfällt. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite gehöhlt. Gelbguß, vergoldet. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 20,5 cm. (Süddeutsch, 17. Jahrhundert)|CHRISTUS AN DER SÄULE. Christus steht in nach links ausgebogener Stellung auf der Basis einer Säule, an die sein erhobener linker und sein nach rückwärts gestreckter rechter Arm mit Stricken festgebunden sind. Um die Hüften Christi ist ein Mantel gebunden, dessen Ende die Blöße bedeckt und dessen Hauptteil an der Säule entlang bis zum Boden herabfällt. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite gehöhlt. Gelbguß, vergoldet. SÜDDEUTSCH, 17. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 20,5 cm.]] réalisée par Süddeutsch, 17. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [390]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz. Das Haupt ist von üppigem Lockenhaar umrahmt. Durch einen Gußfehler ist ein Stück des Bartes ausgeblieben. Das Haupt ist tief nach links geneigt, die Arme sind leicht erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Freiplastisch. Rückseite z. T. abgeflacht. Innen hohl. Gelbguß mit bräunlicher Patina. DEUTSCH, UM 1700. Bronze. Höhe 29 cm. (Deutsch, um 1700)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz. Das Haupt ist von üppigem Lockenhaar umrahmt. Durch einen Gußfehler ist ein Stück des Bartes ausgeblieben. Das Haupt ist tief nach links geneigt, die Arme sind leicht erhoben, die Füße übereinandergenagelt. Freiplastisch. Rückseite z. T. abgeflacht. Innen hohl. Gelbguß mit bräunlicher Patina. DEUTSCH, UM 1700. Bronze. Höhe 29 cm.]] réalisée par Deutsch, um 1700, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 30 sch. [391]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[STANDKREUZ. Kastenartiger, quadratischer Sockel mit profiliertem Fuß und treppenförmig profiliertem Aufsatz, auf dem ein Kissen mit Totenkopf und gekreuztem Gebein liegt. Auf der Vorderseite des Sockels aufgediebelt: plastisch geschnitzte, ovale Wappenkartusche in reicher Akanthusblattwerk-Umrahmung. Wappen der Herren von Ulm (oberes Feld blau, unteres Feld rot, dazwischen weißer Zickzack-Balken). An den Seitenwänden des Sockels geschnitzte Akanthusranken. Die beiden Enden des Kreuzquerbalkens sind mit gravierten Verzierungen aus Messing überfangen. Die gleichartige Verzierung des Längsbalkens ist verlorengegangen. Der Kruzifixus, bärtig, mit Lendenschurz, hängt mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Die Akanthusranken sind beschädigt, die Malerei des Wappens z. T. abgeblättert. Der Kruzifixus freiplastisch. Gelbguß, feuervergoldet. Innen hohl. SCHWÄBISCH, WOHL ULM, UM 1630. Höhe des ganzen Standkreuzes 83 cm, des Kruzifixus 24,5 cm. (Schwäbisch, wohl Ulm, um 1630)|STANDKREUZ. Kastenartiger, quadratischer Sockel mit profiliertem Fuß und treppenförmig profiliertem Aufsatz, auf dem ein Kissen mit Totenkopf und gekreuztem Gebein liegt. Auf der Vorderseite des Sockels aufgediebelt: plastisch geschnitzte, ovale Wappenkartusche in reicher Akanthusblattwerk-Umrahmung. Wappen der Herren von Ulm (oberes Feld blau, unteres Feld rot, dazwischen weißer Zickzack-Balken). An den Seitenwänden des Sockels geschnitzte Akanthusranken. Die beiden Enden des Kreuzquerbalkens sind mit gravierten Verzierungen aus Messing überfangen. Die gleichartige Verzierung des Längsbalkens ist verlorengegangen. Der Kruzifixus, bärtig, mit Lendenschurz, hängt mit leicht erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen am Kreuz. Die Akanthusranken sind beschädigt, die Malerei des Wappens z. T. abgeblättert. Der Kruzifixus freiplastisch. Gelbguß, feuervergoldet. Innen hohl. SCHWÄBISCH, WOHL ULM, UM 1630. Höhe des ganzen Standkreuzes 83 cm, des Kruzifixus 24,5 cm.]] réalisée par Schwäbisch, wohl Ulm, um 1630, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 260 sch. [392]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendenschurz, erhobenen Armen und übereinandergenagelten Füßen. Silhouettiertes Hochrelief. Rückseite ausgehöhlt. Gelbguß mit grünlicher Patina. DEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe 13 cm. réalisée par Deutsch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [393]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FIGÜRLICHE BRONZEN auf volutenartigen Holzsockeln. Die eine stellt einen ruhenden Chinesen dar, der mit der rechten Hand einen auf seinem Schoß sitzenden Fasan festhält. Die andre stellt eine ruhende Frau dar, die sich auf ihren rechten Arm aufstützt und mit der linken Hand einen an ihr hochspringenden Hund (oder Dachs?) streichelt. Kleidung: langes Gewand mit Mieder und tiefem Halsausschnitt, darüber halblange Jacke mit aufgekrempelten Ärmeln, hoch aufgeputzter Phantasiehut mit Spitze und zwei gedrehten Hörnern. Die Holzsockel sind neu. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Innen ausgehöhlt. Gelbguß mit dunkler Patina und Resten alter Feuervergoldung. DEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe mit den Sockeln 29,5 cm und 30,5 cm. TAFEL 73 (Deutsch, 18. Jahrhundert)|ZWEI FIGÜRLICHE BRONZEN auf volutenartigen Holzsockeln. Die eine stellt einen ruhenden Chinesen dar, der mit der rechten Hand einen auf seinem Schoß sitzenden Fasan festhält. Die andre stellt eine ruhende Frau dar, die sich auf ihren rechten Arm aufstützt und mit der linken Hand einen an ihr hochspringenden Hund (oder Dachs?) streichelt. Kleidung: langes Gewand mit Mieder und tiefem Halsausschnitt, darüber halblange Jacke mit aufgekrempelten Ärmeln, hoch aufgeputzter Phantasiehut mit Spitze und zwei gedrehten Hörnern. Die Holzsockel sind neu. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Innen ausgehöhlt. Gelbguß mit dunkler Patina und Resten alter Feuervergoldung. DEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe mit den Sockeln 29,5 cm und 30,5 cm. TAFEL 73]] réalisée par Deutsch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 190 sch. [394]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[ZWEI FIGÜRLICHE BRONZEN auf volutenartigen Holzsockeln. Die eine stellt einen ruhenden Chinesen dar, der mit der rechten Hand einen auf seinem Schoß sitzenden Fasan festhält. Die andre stellt eine ruhende Frau dar, die sich auf ihren rechten Arm aufstützt und mit der linken Hand einen an ihr hochspringenden Hund (oder Dachs?) streichelt. Kleidung: langes Gewand mit Mieder und tiefem Halsausschnitt, darüber halblange Jacke mit aufgekrempelten Ärmeln, hoch aufgeputzter Phantasiehut mit Spitze und zwei gedrehten Hörnern. Die Holzsockel sind neu. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Innen ausgehöhlt. Gelbguß mit dunkler Patina und Resten alter Feuervergoldung. DEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe mit den Sockeln 29,5 cm und 30,5 cm. TAFEL 73 (Deutsch, 18. Jahrhundert)|ZWEI FIGÜRLICHE BRONZEN auf volutenartigen Holzsockeln. Die eine stellt einen ruhenden Chinesen dar, der mit der rechten Hand einen auf seinem Schoß sitzenden Fasan festhält. Die andre stellt eine ruhende Frau dar, die sich auf ihren rechten Arm aufstützt und mit der linken Hand einen an ihr hochspringenden Hund (oder Dachs?) streichelt. Kleidung: langes Gewand mit Mieder und tiefem Halsausschnitt, darüber halblange Jacke mit aufgekrempelten Ärmeln, hoch aufgeputzter Phantasiehut mit Spitze und zwei gedrehten Hörnern. Die Holzsockel sind neu. Statuetten. Rückseiten bearbeitet. Innen ausgehöhlt. Gelbguß mit dunkler Patina und Resten alter Feuervergoldung. DEUTSCH, 18. JAHRHUNDERT. Bronze. Höhe mit den Sockeln 29,5 cm und 30,5 cm. TAFEL 73]] réalisée par Deutsch, 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 190 sch. [395]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendentuch. Die Arme sind senkrecht erhoben, die Füße nebeneinandergenagelt. Das von Locken umrahmte Haupt ist erhoben, der Blick nach aufwärts gerichtet. Am Scheitel und an der rechten Kopfseite hervorstehende Metallstifte, die einst wohl zur Befestigung der Dornenkrone gedient haben. Das schwarze Holzkreuz neu. Statuette. Rückseite bearbeitet. Gelbguß. DEUTSCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe des Kruzifixus 29 cm, des Kreuzes 49 cm. (Deutsch, Anfang des 18. Jahrhunderts)|KRUZIFIXUS, bärtig, mit Lendentuch. Die Arme sind senkrecht erhoben, die Füße nebeneinandergenagelt. Das von Locken umrahmte Haupt ist erhoben, der Blick nach aufwärts gerichtet. Am Scheitel und an der rechten Kopfseite hervorstehende Metallstifte, die einst wohl zur Befestigung der Dornenkrone gedient haben. Das schwarze Holzkreuz neu. Statuette. Rückseite bearbeitet. Gelbguß. DEUTSCH, ANFANG DES 18. JAHRHUNDERTS. Bronze. Höhe des Kruzifixus 29 cm, des Kreuzes 49 cm.]] réalisée par Deutsch, Anfang des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 60 sch. [396]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Christus vor Kaiphas. Christus, in leuchtendrotem Gewand und dunkelblauem Mantel, die Hände auf dem Rücken gebunden, wird durch einen Schergen von rechts ins Bild geführt. Links thront Kaiphas in grauem Kleid und mattbraunem Mantel auf hohem Podium. Im Hintergrund zwei Krieger, vorn ein Hund. Öl auf Leinwand. Oval. Höhe 104 cm, Breite 80 cm. Rahmen der Zeit, weiß lackiert mit Goldrändern. Gegenstück zum Folgenden. Offenbar zur selben Folge mit Darstellungen aus dem Leben Christi gehörig wie die "Anbetung der Könige" und die "Flucht nach Ägypten" in Venedig, R R Gallerie dell'Accademia, Cat. 1933 Nr. 747 und 748. Abbildungen der Bilder in Venedig s. Dedalo III, 1922/23, S. 167 u. 169. Zur gleichen Folge gehört die "Grablegung Christi" in Leipzig, Museum der bildenden Künste, Kat. 1924, S. 56, Nr. 958. TAFEL 57 (Giuseppe Bazzani)|Christus vor Kaiphas. Christus, in leuchtendrotem Gewand und dunkelblauem Mantel, die Hände auf dem Rücken gebunden, wird durch einen Schergen von rechts ins Bild geführt. Links thront Kaiphas in grauem Kleid und mattbraunem Mantel auf hohem Podium. Im Hintergrund zwei Krieger, vorn ein Hund. Öl auf Leinwand. Oval. Höhe 104 cm, Breite 80 cm. Rahmen der Zeit, weiß lackiert mit Goldrändern. Gegenstück zum Folgenden. Offenbar zur selben Folge mit Darstellungen aus dem Leben Christi gehörig wie die "Anbetung der Könige" und die "Flucht nach Ägypten" in Venedig, R R Gallerie dell'Accademia, Cat. 1933 Nr. 747 und 748. Abbildungen der Bilder in Venedig s. Dedalo III, 1922/23, S. 167 u. 169. Zur gleichen Folge gehört die "Grablegung Christi" in Leipzig, Museum der bildenden Künste, Kat. 1924, S. 56, Nr. 958. TAFEL 57]] réalisée par Giuseppe Bazzani, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1100 sch. [397]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Kreuztragung Christi. Christus, mit dem Kreuz beladen, steigt in der Bildmitte aus dem Grund empor. Er trägt ein feuerrotes Kleid. Rechts vorn beugt sich Maria mit klagendem Antlitz zu dem Heiland vor. Sie ist mit hellbraunem Gewand, weißem Kopftuch und dunkelblauem Mantel bekleidet. Links schreitet die Rückenfigur eines Kriegers in angespannter Bewegung vor Christus her. Rechts aus dem Hintergrund tauchen vier weitere Schergen auf. Öl auf Leinwand. Oval. Höhe 105 cm, Breite 79 cm. Rahmen wie beim vorhergehenden Bild. Gegenstück zum Vorgenannten. Weitere Angaben siehe dort. TAFEL 57 (Giuseppe Bazzani)|Kreuztragung Christi. Christus, mit dem Kreuz beladen, steigt in der Bildmitte aus dem Grund empor. Er trägt ein feuerrotes Kleid. Rechts vorn beugt sich Maria mit klagendem Antlitz zu dem Heiland vor. Sie ist mit hellbraunem Gewand, weißem Kopftuch und dunkelblauem Mantel bekleidet. Links schreitet die Rückenfigur eines Kriegers in angespannter Bewegung vor Christus her. Rechts aus dem Hintergrund tauchen vier weitere Schergen auf. Öl auf Leinwand. Oval. Höhe 105 cm, Breite 79 cm. Rahmen wie beim vorhergehenden Bild. Gegenstück zum Vorgenannten. Weitere Angaben siehe dort. TAFEL 57]] réalisée par Giuseppe Bazzani, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1100 sch. [398]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Büßende Magdalena. Brustbild im Profil nach links, in ihrer rechten Hand ein Kreuz haltend. Helle Hautfarbe mit rötlicher Wange. Flachsblondes Haar fließt über die Schultern und auf die Hand herab. Hintergrund bräunlich. Öl auf Leinwand. Höhe 37,5 cm, Breite 26 cm. Klassizistischer Holzrahmen, vergoldet, mit Stuckpalmetten. Das Gemälde steht der Kunst der Angelika Kauffmann nahe. Vielleicht von einem englischen Nachfolger der Malerin. (Englischer Maler (?) um 1800)|Büßende Magdalena. Brustbild im Profil nach links, in ihrer rechten Hand ein Kreuz haltend. Helle Hautfarbe mit rötlicher Wange. Flachsblondes Haar fließt über die Schultern und auf die Hand herab. Hintergrund bräunlich. Öl auf Leinwand. Höhe 37,5 cm, Breite 26 cm. Klassizistischer Holzrahmen, vergoldet, mit Stuckpalmetten. Das Gemälde steht der Kunst der Angelika Kauffmann nahe. Vielleicht von einem englischen Nachfolger der Malerin.]] réalisée par Englischer Maler (?) um 1800, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 45 sch. [399]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Stilleben. Auf einem Tisch mit grauer Decke steht ein halb mit Wein gefüllter Glaspokal, in dem sich ein sitzender Mann und ein Fenster spiegeln, von Rebenzweigen umrahmt. Auf Zinnteller zwei angeschnittene Pfirsiche, dahinter weitere Pfirsiche und Weintraube. Rechts Kastanien und dunkle Traube. Links geraffter Vorhang. Öl auf Eichenholz. Höhe 49 cm, Breite 40 cm. Rechts verkürzt. Neuer Holzrahmen. Vgl. z. B. J. D. de Heems Stilleben ehem. in der Slg. Murray, Florenz, Auktionskatalog Cassirer- Helbing, Berlin 6./7. Nov. 1929, Nr. 333, Abb. Taf. LIV. (Jan Davidz de Heem)|Stilleben. Auf einem Tisch mit grauer Decke steht ein halb mit Wein gefüllter Glaspokal, in dem sich ein sitzender Mann und ein Fenster spiegeln, von Rebenzweigen umrahmt. Auf Zinnteller zwei angeschnittene Pfirsiche, dahinter weitere Pfirsiche und Weintraube. Rechts Kastanien und dunkle Traube. Links geraffter Vorhang. Öl auf Eichenholz. Höhe 49 cm, Breite 40 cm. Rechts verkürzt. Neuer Holzrahmen. Vgl. z. B. J. D. de Heems Stilleben ehem. in der Slg. Murray, Florenz, Auktionskatalog Cassirer- Helbing, Berlin 6./7. Nov. 1929, Nr. 333, Abb. Taf. LIV.]] réalisée par Jan Davidz de Heem, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [400]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Mater Dolorosa. Maria in Halbfigur, etwas gegen links gewendet, mit zartem, hellrosa getöntem Inkarnat, die Hände betend erhoben. Sie trägt ein grauweißes Kopftuch in faltenreicher Drapierung und blauen Mantel, darunter dunkelgraues Gewand, die Armel mit braunem Pelz besetzt, aus denen die hellweinroten Armel des Untergewandes hervorsehen. Dunkler Hintergrund. Öl auf Eichenholz. Höhe 30,2 cm, Breite 25 cm. Weitgehend übereinstimmende Replik eines Gemäldes des Joos van Cleve D. A., ehem. in der Sammlung Han Coray, Erlenbach am Zürcher See, vgl. Versteigerungskatalog der Slg. Coray, Berlin, Antiquitätenhaus Wertheim, 1. Okt. 1930, Nr. 53 mit Abb. Das vorliegende Exemplar zeigt etwas schlankere Kopfform und weniger weiche Züge, wozu das zu beiden Seiten des Antlitzes unter dem Kopftuch hervortretende blonde Haar beiträgt, das auf der anderen Fassung fehlt. Das Gewand reicht an den Seiten und unten etwas weiter. TAFEL 53 (Joos van Cleve d.Ä.)|Mater Dolorosa. Maria in Halbfigur, etwas gegen links gewendet, mit zartem, hellrosa getöntem Inkarnat, die Hände betend erhoben. Sie trägt ein grauweißes Kopftuch in faltenreicher Drapierung und blauen Mantel, darunter dunkelgraues Gewand, die Armel mit braunem Pelz besetzt, aus denen die hellweinroten Armel des Untergewandes hervorsehen. Dunkler Hintergrund. Öl auf Eichenholz. Höhe 30,2 cm, Breite 25 cm. Weitgehend übereinstimmende Replik eines Gemäldes des Joos van Cleve D. A., ehem. in der Sammlung Han Coray, Erlenbach am Zürcher See, vgl. Versteigerungskatalog der Slg. Coray, Berlin, Antiquitätenhaus Wertheim, 1. Okt. 1930, Nr. 53 mit Abb. Das vorliegende Exemplar zeigt etwas schlankere Kopfform und weniger weiche Züge, wozu das zu beiden Seiten des Antlitzes unter dem Kopftuch hervortretende blonde Haar beiträgt, das auf der anderen Fassung fehlt. Das Gewand reicht an den Seiten und unten etwas weiter. TAFEL 53]] réalisée par Joos van Cleve d.Ä., vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1500 sch. [401]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis einer alten Frau. Halbfigur einer Dreiundneunzigjährigen mit faltenreichem Gesicht. Weißes Kopftuch, bräunlich-graues Kleid, schwarzes Mieder. Sie hält in den Händen einen Stock. Links oben die Inschrift: LE AYGE DE XCIII ANS, rechts oben 1552. Öl auf Eichenholz. Höhe 35,1 cm, Breite 26,3 cm. Vielleicht nordfranzösisch, jedenfalls unter belgischem Einfluß. TAFEL 54 (Nordfranzösischer Maler (?) von 1552)|Bildnis einer alten Frau. Halbfigur einer Dreiundneunzigjährigen mit faltenreichem Gesicht. Weißes Kopftuch, bräunlich-graues Kleid, schwarzes Mieder. Sie hält in den Händen einen Stock. Links oben die Inschrift: LE AYGE DE XCIII ANS, rechts oben 1552. Öl auf Eichenholz. Höhe 35,1 cm, Breite 26,3 cm. Vielleicht nordfranzösisch, jedenfalls unter belgischem Einfluß. TAFEL 54]] réalisée par Nordfranzösischer Maler (?) von 1552, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 6400 sch. [402]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Weiblicher Kopf. Herabblickendes Mädchen mit Kopfschmuck, Perlenkette und Schulteragraffe. Ein breiter Schleier fällt vom Kopf auf die Schultern herab. Rechts unten Rest einer Inschrift, vielleicht ein "B" oder die Zahl "3". Öl auf Eichenholz. Höhe 36,5 cm, Breite 28,3 cm. Geschnitzter alter Holzrahmen, vergoldet. Auf der Rückseite der Bildtafel zwei alte Sammlersiegel mit Wappen. (Bartholomaus Spranger)|Weiblicher Kopf. Herabblickendes Mädchen mit Kopfschmuck, Perlenkette und Schulteragraffe. Ein breiter Schleier fällt vom Kopf auf die Schultern herab. Rechts unten Rest einer Inschrift, vielleicht ein "B" oder die Zahl "3". Öl auf Eichenholz. Höhe 36,5 cm, Breite 28,3 cm. Geschnitzter alter Holzrahmen, vergoldet. Auf der Rückseite der Bildtafel zwei alte Sammlersiegel mit Wappen.]] réalisée par Bartholomaus Spranger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 250 sch. [403]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Himmelfahrt Mariä. Maria, die über hellrosa Kleid einen blauen Mantel trägt, schwebt auf Wolken empor, von Engeln in matthellgrünem und hellbraunem Gewand begleitet. Über ihr ein hellila getönter Wolkenkranz, in dem einige Cherubköpfchen auftauchen. Unten umgeben die Apostel den Sarkophag. Die beiden vorderen jederseits sind stark farbig gehalten. Öl auf Leinwand. Höhe 44,3 cm, Breite 28 cm. Entwurf für ein Deckengemälde. Vgl. besonders die typischen Engel auf Altomontes St. Ägidius, Entwurf v. 1748 des Altarblattes für die Pfarrkirche in Grein, Abb. bei Garzarolli-Thurnlack, Barocke Handzeichn. in Osterreich, Wien (1928), Abb. 39. Ferner ebenda Abb. 33-36. TAFEL 58 (Bartholomaus Altomonte)|Himmelfahrt Mariä. Maria, die über hellrosa Kleid einen blauen Mantel trägt, schwebt auf Wolken empor, von Engeln in matthellgrünem und hellbraunem Gewand begleitet. Über ihr ein hellila getönter Wolkenkranz, in dem einige Cherubköpfchen auftauchen. Unten umgeben die Apostel den Sarkophag. Die beiden vorderen jederseits sind stark farbig gehalten. Öl auf Leinwand. Höhe 44,3 cm, Breite 28 cm. Entwurf für ein Deckengemälde. Vgl. besonders die typischen Engel auf Altomontes St. Ägidius, Entwurf v. 1748 des Altarblattes für die Pfarrkirche in Grein, Abb. bei Garzarolli-Thurnlack, Barocke Handzeichn. in Osterreich, Wien (1928), Abb. 39. Ferner ebenda Abb. 33-36. TAFEL 58]] réalisée par Bartholomaus Altomonte, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 350 sch. [404]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Epitaph. Vor einem Kruzifix kniet links ein Edelmann in Rüstung; vor ihm steht sein Helm. Landschaft mit Bäumen, im Hintergrund Fluß, Stadt und Felsen. Unten, links vom Kreuz, Wappen, wohl der Reek v. Reekenhof. Öl auf Fichtenholz. Höhe 76 cm, Breite 52,7 cm. Alter Holzrahmen. Im Christus wie in der Landschaft ist der Stil der späten Donauschule zu erkennen. (Bayerisch (um 1570))|Epitaph. Vor einem Kruzifix kniet links ein Edelmann in Rüstung; vor ihm steht sein Helm. Landschaft mit Bäumen, im Hintergrund Fluß, Stadt und Felsen. Unten, links vom Kreuz, Wappen, wohl der Reek v. Reekenhof. Öl auf Fichtenholz. Höhe 76 cm, Breite 52,7 cm. Alter Holzrahmen. Im Christus wie in der Landschaft ist der Stil der späten Donauschule zu erkennen.]] réalisée par Bayerisch (um 1570), vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [405]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis eines Edelmannes. Halbfigur mit grauer Perücke, ornamentiertem Brustharnisch, hellgrauem Armel mit Goldverzierung. Unter seinem linken Arm blauer Hut mit breiter Krempe. Öl auf Leinwand. Höhe 81,3 cm, Breite 65 cm. (Deutsch (Anfang des 18. Jahrhunderts))|Bildnis eines Edelmannes. Halbfigur mit grauer Perücke, ornamentiertem Brustharnisch, hellgrauem Armel mit Goldverzierung. Unter seinem linken Arm blauer Hut mit breiter Krempe. Öl auf Leinwand. Höhe 81,3 cm, Breite 65 cm.]] réalisée par Deutsch (Anfang des 18. Jahrhunderts), vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [406]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis eines jungen Herrn. Brustbild, geradeaus blickend. Empirefrisur mit Stirnlöckchen; schmale Ohrringe. Dunkler Rock, weiße Weste, hoher Kragen und plissierter Einsatz. Öl auf Leinwand. Höhe 44,7 cm, Breite 36 cm. Holzrahmen der Zeit, vergoldet, mit Stuckornamenten. (Deutscher Maler (um 1810))|Bildnis eines jungen Herrn. Brustbild, geradeaus blickend. Empirefrisur mit Stirnlöckchen; schmale Ohrringe. Dunkler Rock, weiße Weste, hoher Kragen und plissierter Einsatz. Öl auf Leinwand. Höhe 44,7 cm, Breite 36 cm. Holzrahmen der Zeit, vergoldet, mit Stuckornamenten.]] réalisée par Deutscher Maler (um 1810), vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 60 sch. [407]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Gnadenstuhl, von Heiligen verehrt. In der Mitte Christus am Kreuz, darüber Gottvater mit gelbem Mantel. Auf Wolken knien rechts drei, links zwei Heilige. Unten zwei Engel. Rund um die Hauptszene sind die Lüfte von Cherubim erfüllt. Helle Farben. Öl auf Leinwand. Höhe 66,4 cm, Breite 77 cm. Bildmäßig ausgeführter Entwurf für ein Deckengemälde. TAFEL 59 (Deutscher Maler (vom ersten Drittel des 19. Jahrhunderts))|Gnadenstuhl, von Heiligen verehrt. In der Mitte Christus am Kreuz, darüber Gottvater mit gelbem Mantel. Auf Wolken knien rechts drei, links zwei Heilige. Unten zwei Engel. Rund um die Hauptszene sind die Lüfte von Cherubim erfüllt. Helle Farben. Öl auf Leinwand. Höhe 66,4 cm, Breite 77 cm. Bildmäßig ausgeführter Entwurf für ein Deckengemälde. TAFEL 59]] réalisée par Deutscher Maler (vom ersten Drittel des 19. Jahrhunderts), vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [408]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Madonna mit Kind und Johannesknäblein. Maria mit langem, blondem Haar in schlichtem, bläulich grauem Gewand, die Füße unbekleidet, sitzt auf einem bewachsenen Stein. Das Christuskind sitzt schlafend auf ihrem Schoß, mit weißem Tuch bekleidet, in der Hand eine rote Blume. Rechts neben Maria kauert der Johannesknabe in grauem Gewand. Hügelige Wiesenlandschaft mit weitem Fernblick, Öl auf Fichtenholz. Höhe 61,5 cm, Breite 45 cm. (Deutscher Maler der Romantik)|Madonna mit Kind und Johannesknäblein. Maria mit langem, blondem Haar in schlichtem, bläulich grauem Gewand, die Füße unbekleidet, sitzt auf einem bewachsenen Stein. Das Christuskind sitzt schlafend auf ihrem Schoß, mit weißem Tuch bekleidet, in der Hand eine rote Blume. Rechts neben Maria kauert der Johannesknabe in grauem Gewand. Hügelige Wiesenlandschaft mit weitem Fernblick, Öl auf Fichtenholz. Höhe 61,5 cm, Breite 45 cm.]] réalisée par Deutscher Maler der Romantik, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 380 sch. [409]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis des Frate Remigius Odermatt. Brustbild vor hellem, bräunlichem Grund. Der Kopf ist etwas gegen links gewendet. Dunkelbrauner Rock mit breitem Revers und großen Knöpfen. Weißes Halstuch. Öl auf Leinwand. Höhe 53,5 cm, Breite 43 cm. Rentoilliert. Auf die neue Leinwand rückseits übertragen die Inschrift: Fr. Rem. Odermatt. Etatishie 68 E. Pinx. Klassizistischer Rahmen, vergoldet. Gegenstück zum Folgenden. Ausgestellt auf der Münchner Edlinger-Ausstellung, s. Katalog Ausstellung J. G. Edlinger, Galerie Paulus, München (um 1928) Nr. 64. TAFEL 55 (Johann Georg Edlinger)|Bildnis des Frate Remigius Odermatt. Brustbild vor hellem, bräunlichem Grund. Der Kopf ist etwas gegen links gewendet. Dunkelbrauner Rock mit breitem Revers und großen Knöpfen. Weißes Halstuch. Öl auf Leinwand. Höhe 53,5 cm, Breite 43 cm. Rentoilliert. Auf die neue Leinwand rückseits übertragen die Inschrift: Fr. Rem. Odermatt. Etatishie 68 E. Pinx. Klassizistischer Rahmen, vergoldet. Gegenstück zum Folgenden. Ausgestellt auf der Münchner Edlinger-Ausstellung, s. Katalog Ausstellung J. G. Edlinger, Galerie Paulus, München (um 1928) Nr. 64. TAFEL 55]] réalisée par Johann Georg Edlinger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [410]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis eines älteren Herren. Brustbild vor hellem, bräunlichem Grund; etwas nach links gewendet. Dunkler Rock mit hochgeschlagenem Kragen. Öl auf Leinwand. Höhe 54 cm, Breite 42,5 cm. Klassizistischer Rahmen, vergoldet. Gegenstück zum vorgenannten Gemälde. TAFEL 55 (Johann Georg Edlinger)|Bildnis eines älteren Herren. Brustbild vor hellem, bräunlichem Grund; etwas nach links gewendet. Dunkler Rock mit hochgeschlagenem Kragen. Öl auf Leinwand. Höhe 54 cm, Breite 42,5 cm. Klassizistischer Rahmen, vergoldet. Gegenstück zum vorgenannten Gemälde. TAFEL 55]] réalisée par Johann Georg Edlinger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [411]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Georg, den Glauben verehrend. Der Heilige in Ritterrüstung mit mattrosa Mantel kniet links vor dem erlegten Drachen. Hinter ihm Engelchen mit der Lanze. Rechts auf Wolken thront der Glaube, eine Mädchengestalt in graugrünem Mantel. Auf dem Haupt die Tiara, in den Händen Palmzweig, Buch und Kreuz. Unter ihr eine Zentralkirche. Oben schweben Cherubim. Öl auf Leinwand. Höhe 88,5 cm, Breite 59,2 cm. Alter Holzrahmen, vergoldet. Gegenstück zum folgenden Bild. Vor allem die charakteristischen Typen der Engel gleichen denen auf Franz' Deckengemälden von 1768 im Spiegelsaal der ehem. fürstbischöflichen Residenz in Eichstätt, Kunstdenkmale von Bayern V, Bd. 1, Tafel LH und Ad. Feulner, Bayr. Rokoko, München (1923) Tafel bei S. 120. TAFEL 57 (Johann Michael Franz)|St. Georg, den Glauben verehrend. Der Heilige in Ritterrüstung mit mattrosa Mantel kniet links vor dem erlegten Drachen. Hinter ihm Engelchen mit der Lanze. Rechts auf Wolken thront der Glaube, eine Mädchengestalt in graugrünem Mantel. Auf dem Haupt die Tiara, in den Händen Palmzweig, Buch und Kreuz. Unter ihr eine Zentralkirche. Oben schweben Cherubim. Öl auf Leinwand. Höhe 88,5 cm, Breite 59,2 cm. Alter Holzrahmen, vergoldet. Gegenstück zum folgenden Bild. Vor allem die charakteristischen Typen der Engel gleichen denen auf Franz' Deckengemälden von 1768 im Spiegelsaal der ehem. fürstbischöflichen Residenz in Eichstätt, Kunstdenkmale von Bayern V, Bd. 1, Tafel LH und Ad. Feulner, Bayr. Rokoko, München (1923) Tafel bei S. 120. TAFEL 57]] réalisée par Johann Michael Franz, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [412]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Florian, die himmlische Liebe verehrend. Florian in Ritterrüstung mit hellblauem Mantel kniet rechts vor Feuer. Ein Engelchen hinter ihm hält seine Fahne. Links schwebt die Allegorie der himmlischen Liebe auf Wolken herab, eine Mädchengestalt mit graugrünem Kopftuch und Rock und graulila Mantel, auf der Brust das Flammenherz. Oben ein Reigen von Engeln. Öl auf Leinwand. Höhe 88,5 cm, Breite 59,2 cm. Alter Holzrahmen, vergoldet. Gegenstück zum vorigen Bild. Weitere Angaben siehe dort. TAFEL 57 (Johann Michael Franz)|St. Florian, die himmlische Liebe verehrend. Florian in Ritterrüstung mit hellblauem Mantel kniet rechts vor Feuer. Ein Engelchen hinter ihm hält seine Fahne. Links schwebt die Allegorie der himmlischen Liebe auf Wolken herab, eine Mädchengestalt mit graugrünem Kopftuch und Rock und graulila Mantel, auf der Brust das Flammenherz. Oben ein Reigen von Engeln. Öl auf Leinwand. Höhe 88,5 cm, Breite 59,2 cm. Alter Holzrahmen, vergoldet. Gegenstück zum vorigen Bild. Weitere Angaben siehe dort. TAFEL 57]] réalisée par Johann Michael Franz, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [413]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis des Ferdinand Reitter. Der Dargestellte ist in Halbfigur gegeben, seinen rechten Arm aufgestützt. Er trägt einen dunkelblauen Mantel, reich mit grauem Pelz besetzt. Hintergrund hellgrau. Rentoilliert, auf die neue Leinwand rückwärts übertragen die Inschrift: Ferdinand Reitter Pachter des Königl. Weißen-bräuhaus in München - gebohren am 1. März 1755 - pinxit März 1815. Öl auf Leinwand. Höhe 79,5 cm, Breite 61,2 cm. Holzrahmen, vergoldet. Gegenstück zum folgenden Bildnis der Gattin des Dargestellten. TAFEL 55 (Joseph Hauber)|Bildnis des Ferdinand Reitter. Der Dargestellte ist in Halbfigur gegeben, seinen rechten Arm aufgestützt. Er trägt einen dunkelblauen Mantel, reich mit grauem Pelz besetzt. Hintergrund hellgrau. Rentoilliert, auf die neue Leinwand rückwärts übertragen die Inschrift: Ferdinand Reitter Pachter des Königl. Weißen-bräuhaus in München - gebohren am 1. März 1755 - pinxit März 1815. Öl auf Leinwand. Höhe 79,5 cm, Breite 61,2 cm. Holzrahmen, vergoldet. Gegenstück zum folgenden Bildnis der Gattin des Dargestellten. TAFEL 55]] réalisée par Joseph Hauber, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 500 sch. [414]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis der Josepha Reitter, geb. Vogt, Gattin Ferdinand Reitters. Die Dargestellte in Halbfigur, auf einem Stuhl sitzend, leicht nach links gewendet. Sie trägt ein blaues Kleid mit weißem Spitzeneinsatz und grauen Schal. Auf dem Kopf reich verzierte Haube. Hintergrund hellgrau. Rentoilliert, rückwärts die übertragene Inschrift: Josepha Reitter, gebohrene Vogt - pinxit März 1815. Öl auf Leinwand, Höhe 79,5 cm, Breite 61,2 cm. Holzrahmen vergoldet. Gegenstück zum vorhergehenden Bildnis des Ehegatten. TAFEL 55 (Joseph Hauber)|Bildnis der Josepha Reitter, geb. Vogt, Gattin Ferdinand Reitters. Die Dargestellte in Halbfigur, auf einem Stuhl sitzend, leicht nach links gewendet. Sie trägt ein blaues Kleid mit weißem Spitzeneinsatz und grauen Schal. Auf dem Kopf reich verzierte Haube. Hintergrund hellgrau. Rentoilliert, rückwärts die übertragene Inschrift: Josepha Reitter, gebohrene Vogt - pinxit März 1815. Öl auf Leinwand, Höhe 79,5 cm, Breite 61,2 cm. Holzrahmen vergoldet. Gegenstück zum vorhergehenden Bildnis des Ehegatten. TAFEL 55]] réalisée par Joseph Hauber, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 500 sch. [415]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Sophonisbe. Brustbild im Profil nach rechts, in der linken Hand den reich ornamentierten Giftbecher haltend, die rechte auf die Brust gelegt. Weißliches Inkarnat mit leichter Rosatönung auf dem Antlitz. Blondes Haar, mit Perlen geschmückt, darauf pelzverbrämte Mütze mit Perlen und Edelsteinen besetzt. Weißes Kleid. Rechts oben in goldenen Lettern: Sophonisba. Dunkler Hintergrund. Öl auf Eichenholz. Höhe 48,9 cm, Breite 40 cm. Alter Rahmen. In der weichen Malweise und den Farben charakteristisch für den Künstler. (Joseph Heinz)|Sophonisbe. Brustbild im Profil nach rechts, in der linken Hand den reich ornamentierten Giftbecher haltend, die rechte auf die Brust gelegt. Weißliches Inkarnat mit leichter Rosatönung auf dem Antlitz. Blondes Haar, mit Perlen geschmückt, darauf pelzverbrämte Mütze mit Perlen und Edelsteinen besetzt. Weißes Kleid. Rechts oben in goldenen Lettern: Sophonisba. Dunkler Hintergrund. Öl auf Eichenholz. Höhe 48,9 cm, Breite 40 cm. Alter Rahmen. In der weichen Malweise und den Farben charakteristisch für den Künstler.]] réalisée par Joseph Heinz, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [416]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Grablegung Christi. Im Vordergrund Maria, von einer Frau unterstützt. Im Mittelgrund tragen mehrere Männer den Leichnam Christi, zwei halten Fackeln. Dahinter grüner Palmbäum. Oben vor orangefarbenem Licht trauernde Engel. Öl auf Leinwand. Höhe 35,5 cm, Breite 19,8 cm. Der untere Teil durch Restaurierung übergangen. Skizze für ein Altarblatt, dessen Umrahmung in brauner Farbe angedeutet ist. Gegenstück zum folgenden Bild. Vgl. Gemälde Knollers wie die "Hl. Familie mit Anverwandten" in Innsbruck, Museum Ferdinandeum, Abbildung im Katalog des Museums von 1928. (Martin Knoller)|Grablegung Christi. Im Vordergrund Maria, von einer Frau unterstützt. Im Mittelgrund tragen mehrere Männer den Leichnam Christi, zwei halten Fackeln. Dahinter grüner Palmbäum. Oben vor orangefarbenem Licht trauernde Engel. Öl auf Leinwand. Höhe 35,5 cm, Breite 19,8 cm. Der untere Teil durch Restaurierung übergangen. Skizze für ein Altarblatt, dessen Umrahmung in brauner Farbe angedeutet ist. Gegenstück zum folgenden Bild. Vgl. Gemälde Knollers wie die "Hl. Familie mit Anverwandten" in Innsbruck, Museum Ferdinandeum, Abbildung im Katalog des Museums von 1928.]] réalisée par Martin Knoller, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [417]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Auferstehung Christi. Der Heiland schwebt mit rosa Auferstehungsfahne über dem Sarkophag, dessen Deckelplatte ein Engel aufhält. Oben vor orangefarbenem Licht zwei weitere Engel. Unten zwei Wächter in erregten Gesten, Öl auf Leinwand. Höhe 35,5 cm, Breite 19,8 cm.. Skizze für ein Altarblatt. Gegenstück zur Vorhergehenden, mit gemalter Rahmung in derselben Form. Vgl. Gemälde Knollers wie die Altarbildskizze im Benediktinerstift Gries b. Bozen und ehem. Dortmund, Slg. Cremer, Abbn. bei Biermann, Deutsches Barock und Rokoko, Leipzig 1914, I. S. 181, Abb. 283 f. Auf dem zweiten ein Krieger rechts unten in ganz ähnlicher Stellung. (Martin Knoller)|Auferstehung Christi. Der Heiland schwebt mit rosa Auferstehungsfahne über dem Sarkophag, dessen Deckelplatte ein Engel aufhält. Oben vor orangefarbenem Licht zwei weitere Engel. Unten zwei Wächter in erregten Gesten, Öl auf Leinwand. Höhe 35,5 cm, Breite 19,8 cm.. Skizze für ein Altarblatt. Gegenstück zur Vorhergehenden, mit gemalter Rahmung in derselben Form. Vgl. Gemälde Knollers wie die Altarbildskizze im Benediktinerstift Gries b. Bozen und ehem. Dortmund, Slg. Cremer, Abbn. bei Biermann, Deutsches Barock und Rokoko, Leipzig 1914, I. S. 181, Abb. 283 f. Auf dem zweiten ein Krieger rechts unten in ganz ähnlicher Stellung.]] réalisée par Martin Knoller, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [418]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme Hirsche in Waldlichtung. Im Hintergrund Mittelgebirgslandschaft. Helle Farben. Signiert und datiert in der Ecke rechts unten: C K 1822. Öl auf Fichtenholz. Höhe 32,7 cm, Breite 43,5 cm. Holzrahmen, vergoldet. réalisée par Carl Kuntz, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 120 sch. [419]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Johann Nepomuk verteilt Almosen. Rechts vorn der Heilige im Priestergewand mit hellgrauem Überwurf. Er reicht einem Kind Almosen hin, hinter dem eine Frau in gelbem Kleid kniet. Dahinter alter Mann in blauem Mantel, und zwei Frauen, von denen die eine, mit rot-braunem Mantel, ein Kind hält. Vorn rechts kniende junge Frau in rotem Mantel mit hellblauem Aufschlag, auf den Armen ein Kind haltend. Links alter Bettler. Im Hintergrund Beichtstuhl, in dem der Heilige die Beichte der Königin von Böhmen hört. Oben sehr farbige Engel. Öl auf Leinwand. Höhe 64,5 cm, Breite 48,5 cm. Holzrahmen, vergoldet. Komposition und Farbgebung entsprechen der Frühzeit des Meisters. Von der Gruppe im Mittelgrund links neben dem Heiligen kehren die Typen der beiden Mädchen ganz ähnlich auf der "Beschneidung Christi" im Wiener Barockmuseum (Abbildung bei O. Benesch, Maulbertsch, Städel- Jahrbuch 3/4, 1924, Tafel XXXIV), der des alten Mannes auf der "HL Sippe" (Abbildung in Haberditzl, Das Wiener Barockmuseum, 2. Aufl. Wien 1934, S. 154 und Benesch Tafel XXXIII) wieder. Mit dem letztgenannten Bild sowie mit dem musizierenden Engel auf der "Vermählung Mariä" im Wiener Barockmuseum (Abbildung bei Benesch Abb. 93) sind auch die Engel zu vergleichen. Der Typ des alten Mannes im Vordergrund erinnert an einen ähnlichen auf "Mariä Himmelfahrt" (Abbildung bei Haberditzl, S. 163, und Benesch Abb. 102). (Anton Franz Maulbertsch)|St. Johann Nepomuk verteilt Almosen. Rechts vorn der Heilige im Priestergewand mit hellgrauem Überwurf. Er reicht einem Kind Almosen hin, hinter dem eine Frau in gelbem Kleid kniet. Dahinter alter Mann in blauem Mantel, und zwei Frauen, von denen die eine, mit rot-braunem Mantel, ein Kind hält. Vorn rechts kniende junge Frau in rotem Mantel mit hellblauem Aufschlag, auf den Armen ein Kind haltend. Links alter Bettler. Im Hintergrund Beichtstuhl, in dem der Heilige die Beichte der Königin von Böhmen hört. Oben sehr farbige Engel. Öl auf Leinwand. Höhe 64,5 cm, Breite 48,5 cm. Holzrahmen, vergoldet. Komposition und Farbgebung entsprechen der Frühzeit des Meisters. Von der Gruppe im Mittelgrund links neben dem Heiligen kehren die Typen der beiden Mädchen ganz ähnlich auf der "Beschneidung Christi" im Wiener Barockmuseum (Abbildung bei O. Benesch, Maulbertsch, Städel- Jahrbuch 3/4, 1924, Tafel XXXIV), der des alten Mannes auf der "HL Sippe" (Abbildung in Haberditzl, Das Wiener Barockmuseum, 2. Aufl. Wien 1934, S. 154 und Benesch Tafel XXXIII) wieder. Mit dem letztgenannten Bild sowie mit dem musizierenden Engel auf der "Vermählung Mariä" im Wiener Barockmuseum (Abbildung bei Benesch Abb. 93) sind auch die Engel zu vergleichen. Der Typ des alten Mannes im Vordergrund erinnert an einen ähnlichen auf "Mariä Himmelfahrt" (Abbildung bei Haberditzl, S. 163, und Benesch Abb. 102).]] réalisée par Anton Franz Maulbertsch, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [420]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Christus und die Jünger in Emmaus. Rechts sitzt Christus, das Antlitz gen Himmel gerichtet, in den Händen ein Brot haltend. Er trägt über hellgraugrünem Gewand einen blauen Mantel. Links am Tisch die Jünger, der eine vorn sitzend in braunem Gewand und ziegelrotem Überkleid, der andere ist erregt aufgesprungen; er trägt einen grauen Mantel. Bezeichnet an der Tischkante JW (ligiert) 1798. Öl auf Leinwand. Höhe 81 cm, Breite 93,5 cm. (Monogrammist JW)|Christus und die Jünger in Emmaus. Rechts sitzt Christus, das Antlitz gen Himmel gerichtet, in den Händen ein Brot haltend. Er trägt über hellgraugrünem Gewand einen blauen Mantel. Links am Tisch die Jünger, der eine vorn sitzend in braunem Gewand und ziegelrotem Überkleid, der andere ist erregt aufgesprungen; er trägt einen grauen Mantel. Bezeichnet an der Tischkante JW (ligiert) 1798. Öl auf Leinwand. Höhe 81 cm, Breite 93,5 cm.]] réalisée par Monogrammist JW, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [421]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Maria der Verkündigung. Die Jungfrau Maria steht auf Postament und hält in ihrer Linken ein aufgeschlagenes Buch, während sie die Rechte vor die Brust gelegt hat. Ihr Haupt, von langem, blondem Haar umrahmt, ist leicht nach links geneigt, wo eine Taube auf ihrer Schulter sitzt. Hintergrund helles Zinnoberrot. Grisailmalerei auf Holz. Höhe 79,3 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altares wie Nr. 349, 350 und 351. Gegenstück zu Nr. 349 als Teil der Verkündigung Mariä. TAFEL 52 (Niederrheinischer Meister um 1480)|Maria der Verkündigung. Die Jungfrau Maria steht auf Postament und hält in ihrer Linken ein aufgeschlagenes Buch, während sie die Rechte vor die Brust gelegt hat. Ihr Haupt, von langem, blondem Haar umrahmt, ist leicht nach links geneigt, wo eine Taube auf ihrer Schulter sitzt. Hintergrund helles Zinnoberrot. Grisailmalerei auf Holz. Höhe 79,3 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altares wie Nr. 349, 350 und 351. Gegenstück zu Nr. 349 als Teil der Verkündigung Mariä. TAFEL 52]] réalisée par Niederrheinischer Meister um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [422]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Engel der Verkündigung. Der Engel, nach rechts gewendet, steht auf Postament. Er hat blondes Lockenhaar und ist mit faltenreichem Gewand bekleidet. Die rechte Hand hat er leicht erhoben, in der linken hält er die Lilie. Hintergrund helles Zinnoberrot. Grisailmalerei auf Holz. Höhe 79,3 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altars wie Nr. 348, 350 und 351. Gegenstück zu Nr. 348 als Teil der Verkündigung Mariä. TAFEL 52 (Niederrheinischer Meister um 1480)|Engel der Verkündigung. Der Engel, nach rechts gewendet, steht auf Postament. Er hat blondes Lockenhaar und ist mit faltenreichem Gewand bekleidet. Die rechte Hand hat er leicht erhoben, in der linken hält er die Lilie. Hintergrund helles Zinnoberrot. Grisailmalerei auf Holz. Höhe 79,3 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altars wie Nr. 348, 350 und 351. Gegenstück zu Nr. 348 als Teil der Verkündigung Mariä. TAFEL 52]] réalisée par Niederrheinischer Meister um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [423]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Christopherus. Der bärtige Heilige in hellrotem Gewand und grauweißem Mantel, mit weißem Stirnband, schreitet, auf einen Baumstamm gestützt, durch hellblaues Wasser. Auf seiner Schulter kniet das Jesuskind in hellila Gewand, mit goldenem Nimbus. Vor und hinter dem Wasser grüner und hellbrauner Uferstreifen. Matt dunkelblauer Hintergrund. Auf Holz. Höhe 79,4 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altares wie Nr. 348, 349 und 351. TAFEL 52 (Niederrheinischer Meister um 1480)|St. Christopherus. Der bärtige Heilige in hellrotem Gewand und grauweißem Mantel, mit weißem Stirnband, schreitet, auf einen Baumstamm gestützt, durch hellblaues Wasser. Auf seiner Schulter kniet das Jesuskind in hellila Gewand, mit goldenem Nimbus. Vor und hinter dem Wasser grüner und hellbrauner Uferstreifen. Matt dunkelblauer Hintergrund. Auf Holz. Höhe 79,4 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altares wie Nr. 348, 349 und 351. TAFEL 52]] réalisée par Niederrheinischer Meister um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [424]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Antonius. Der Heilige steht auf einer grünen Wiese, in seiner rechten Hand hält er einen Stock, in seiner linken ein Glöckchen. Er trägt einen hellrosa Mantel über rosa Gewand. Goldener Nimbus. Rechts unten neben dem Heiligen kleines Schwein. Matter, dunkelblauer Hintergrund. Auf Holz. Höhe 79,5 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altares wie Nr. 348, 349 und 350. TAFEL 52 (Niederrheinischer Meister um 1480)|St. Antonius. Der Heilige steht auf einer grünen Wiese, in seiner rechten Hand hält er einen Stock, in seiner linken ein Glöckchen. Er trägt einen hellrosa Mantel über rosa Gewand. Goldener Nimbus. Rechts unten neben dem Heiligen kleines Schwein. Matter, dunkelblauer Hintergrund. Auf Holz. Höhe 79,5 cm, Breite 26,6 cm. Flügelbild desselben Altares wie Nr. 348, 349 und 350. TAFEL 52]] réalisée par Niederrheinischer Meister um 1480, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [425]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Christus und Maria. Halbfiguren. Rechts Christus in faltenreichem, dunkellila Gewand. Er hält Marias rechte Hand in seiner linken und hat die rechte segnend darüber erhoben. Links Maria in blauem Kleid und weißem Kopftuch. Vergoldete Nimben. Dunkelgrauer Grund. Öl auf Lindenholz. Höhe 37,2 cm, Breite 28,2 cm. TAFEL 53 (Oberdeutscher Maler um 1490)|Christus und Maria. Halbfiguren. Rechts Christus in faltenreichem, dunkellila Gewand. Er hält Marias rechte Hand in seiner linken und hat die rechte segnend darüber erhoben. Links Maria in blauem Kleid und weißem Kopftuch. Vergoldete Nimben. Dunkelgrauer Grund. Öl auf Lindenholz. Höhe 37,2 cm, Breite 28,2 cm. TAFEL 53]] réalisée par Oberdeutscher Maler um 1490, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 1700 sch. [426]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Apostel Petrus. Der Apostel, stehend in ganzer Figur, hat die rechte Hand auf das Schwert gestützt, in der linken hält er das Buch. Er trägt ein rotes Gewand und grünen Mantel. Hintergrund bis zur Schulterhöhe hellila Vorhang mit Ornamenten, oben gepunzter Goldgrund. Öltempera auf Fichtenholz. Höhe 70,5 cm, Breite 37,2 cm. Rechter Flügel eines Altars. (Oberrheinischer Meister um 1460)|Apostel Petrus. Der Apostel, stehend in ganzer Figur, hat die rechte Hand auf das Schwert gestützt, in der linken hält er das Buch. Er trägt ein rotes Gewand und grünen Mantel. Hintergrund bis zur Schulterhöhe hellila Vorhang mit Ornamenten, oben gepunzter Goldgrund. Öltempera auf Fichtenholz. Höhe 70,5 cm, Breite 37,2 cm. Rechter Flügel eines Altars.]] réalisée par Oberrheinischer Meister um 1460, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [427]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Apotheose eines Heiligen. Der Heilige in grauer Kutte kniet auf Wolken vor der Madonna, die einen hell-blauen Mantel trägt. Sie weist den Heiligen auf Christus hin, der oben links auf Wolken erscheint. Ein unten auf Wolken kniender Engel in dunklem, mattroten Mantel deutet auf die Hauptszene. Öl auf Leinwand. Höhe 28 cm, Breite 32,5 cm. Skizze für ein Deckenbild. Vgl. Sambachs Skizze für ein Kuppelfresko, Abbildung bei Haberditzl, Das Wiener Barockmuseum, 2. Aufl., Wien 1934, S. 219, die Zeichnung mit der Himmelfahrt eines Heiligen, Abbildung ebendort, sowie für die Komposition besonders den Entwurf für das Fresko der Pfarrkirche Sloup, Wien, Albertina, Abb. 67 bei Garzarolli-Thurnlackh, Die barocke Handzeichnung in Osterreich, Zürich und Wien 1928 und Tafel VII im Jahrbuch der Kunstslgn. des Allerhöchsten Kaiserhauses XXX, 1911. TAFEL 59 (Caspar Franz Sambach)|Apotheose eines Heiligen. Der Heilige in grauer Kutte kniet auf Wolken vor der Madonna, die einen hell-blauen Mantel trägt. Sie weist den Heiligen auf Christus hin, der oben links auf Wolken erscheint. Ein unten auf Wolken kniender Engel in dunklem, mattroten Mantel deutet auf die Hauptszene. Öl auf Leinwand. Höhe 28 cm, Breite 32,5 cm. Skizze für ein Deckenbild. Vgl. Sambachs Skizze für ein Kuppelfresko, Abbildung bei Haberditzl, Das Wiener Barockmuseum, 2. Aufl., Wien 1934, S. 219, die Zeichnung mit der Himmelfahrt eines Heiligen, Abbildung ebendort, sowie für die Komposition besonders den Entwurf für das Fresko der Pfarrkirche Sloup, Wien, Albertina, Abb. 67 bei Garzarolli-Thurnlackh, Die barocke Handzeichnung in Osterreich, Zürich und Wien 1928 und Tafel VII im Jahrbuch der Kunstslgn. des Allerhöchsten Kaiserhauses XXX, 1911. TAFEL 59]] réalisée par Caspar Franz Sambach, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 700 sch. [428]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Jüngstes Gericht. Oben wird Christus von Engeln getragen, links davon Engel mit dem Kreuz, etwas tiefer Maria auf einer Wolke, rechts Petrus und Johannes der Täufer. Unten die Auferstehenden, teils von Engeln geführt. Links schweben Selige empor. Das ganze Bild ist von Engeln erfüllt. Lebhaft bewegte Skizze für Altar- oder Deckenbild. Helle Farben, von warmem Goldton beherrscht, Öl auf Leinwand. Höhe 63,3 cm, Breite 50,5 cm. Eine kleinere, breitformatige Replik von anderer Hand, im oberen Teil verändert, aus dem Besitz des Herzogs von Sachsen-Altenburg, war auf der Jahrhundert-Ausstellung deutscher Kunst in Darmstadt 1914. Abb. 128, S. 79 bei Biermann, Deutsches Barock und Rokoko, Leipzig 1914, Bd. I, dort als "Unbekannter Meister" irrtümlich dem "Norddeutschen Kunstkreis" zugeteilt. Verwandte Fassungen des Themas: Epitaph des Marschalls Christ. Ulrich v. Pappenheim, dat. 1601, in Pappenheim, Klosterkirche, Abbildung in Kunstdenkmäler von Bayern V, Heft V, Stadt und Bez.-Amt Weißenburg i. B., S. 353 Abb. 258. Ehem. Altarbild in der Pfarrkirche zu Bertoldsheim, Bez.-Amt Neuburg a. d. Donau. Einzelne Figuren und Gruppen des Bildes sind, offenbar nach einem Stich im Gegensinne, benützt auf einer Kuppelmalerei von Joh. Georg Unruh, 1780 in Untergriesbach, siehe Kunstdenkmäler von Bayern IV, Heft XI, Bez.-Amt Wegscheid. (Schwäbischer Maler der ersten Hälfte des 18. Jahrhunderts)|Jüngstes Gericht. Oben wird Christus von Engeln getragen, links davon Engel mit dem Kreuz, etwas tiefer Maria auf einer Wolke, rechts Petrus und Johannes der Täufer. Unten die Auferstehenden, teils von Engeln geführt. Links schweben Selige empor. Das ganze Bild ist von Engeln erfüllt. Lebhaft bewegte Skizze für Altar- oder Deckenbild. Helle Farben, von warmem Goldton beherrscht, Öl auf Leinwand. Höhe 63,3 cm, Breite 50,5 cm. Eine kleinere, breitformatige Replik von anderer Hand, im oberen Teil verändert, aus dem Besitz des Herzogs von Sachsen-Altenburg, war auf der Jahrhundert-Ausstellung deutscher Kunst in Darmstadt 1914. Abb. 128, S. 79 bei Biermann, Deutsches Barock und Rokoko, Leipzig 1914, Bd. I, dort als "Unbekannter Meister" irrtümlich dem "Norddeutschen Kunstkreis" zugeteilt. Verwandte Fassungen des Themas: Epitaph des Marschalls Christ. Ulrich v. Pappenheim, dat. 1601, in Pappenheim, Klosterkirche, Abbildung in Kunstdenkmäler von Bayern V, Heft V, Stadt und Bez.-Amt Weißenburg i. B., S. 353 Abb. 258. Ehem. Altarbild in der Pfarrkirche zu Bertoldsheim, Bez.-Amt Neuburg a. d. Donau. Einzelne Figuren und Gruppen des Bildes sind, offenbar nach einem Stich im Gegensinne, benützt auf einer Kuppelmalerei von Joh. Georg Unruh, 1780 in Untergriesbach, siehe Kunstdenkmäler von Bayern IV, Heft XI, Bez.-Amt Wegscheid.]] réalisée par Schwäbischer Maler der ersten Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 80 sch. [429]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Epitaph. Christus am Kreuz. Im Vordergrund kniendes Stifterpaar, links der Mann in reicher Rüstung, rechts die Frau in schwarzem Kleid, vor ihr ein rotes Buch. Im Hintergrund über grünem Gelände eine süddeutsche Stadt, Öl auf Fichtenholz. Höhe 61,4 cm, Breite 46,7 cm. (Süddeutsch um 1570-80)|Epitaph. Christus am Kreuz. Im Vordergrund kniendes Stifterpaar, links der Mann in reicher Rüstung, rechts die Frau in schwarzem Kleid, vor ihr ein rotes Buch. Im Hintergrund über grünem Gelände eine süddeutsche Stadt, Öl auf Fichtenholz. Höhe 61,4 cm, Breite 46,7 cm.]] réalisée par Süddeutsch um 1570-80, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [430]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Hl. Cäcilie. Sie hat den Kopf etwas nach links gesenkt und die Augen niedergeschlagen. Lebhafte Hautfarbe, dunkelblondes Haar. Unten ist ein Stück ihrer rechten Schulter mit rosa Kleid sichtbar. In den oberen Ecken Streifen des Heiligenscheins. Öl auf Buchenholz. Höhe 27,6 cm. Breite 20,6 cm. Holzrahmen. Das Gemälde weist auf einen in Italien (Florenz) geschulten Maler, vielleicht des Augsburger Kunstkreises. (Wohl Süddeutscher Maler der Spätzeit des 16. Jahrhunderts)|Hl. Cäcilie. Sie hat den Kopf etwas nach links gesenkt und die Augen niedergeschlagen. Lebhafte Hautfarbe, dunkelblondes Haar. Unten ist ein Stück ihrer rechten Schulter mit rosa Kleid sichtbar. In den oberen Ecken Streifen des Heiligenscheins. Öl auf Buchenholz. Höhe 27,6 cm. Breite 20,6 cm. Holzrahmen. Das Gemälde weist auf einen in Italien (Florenz) geschulten Maler, vielleicht des Augsburger Kunstkreises.]] réalisée par Wohl Süddeutscher Maler der Spätzeit des 16. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [431]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Zwei Männerköpfe. Vielleicht zwei Apostel. Brustbilder mit ausdrucksvollen Gesichtern. Der linke mit lang herabwallendem, grauem Bart, der rechte mit kürzerem, weißem Vollbart. Er blickt empor und hat den Mund geöffnet. Helle Farben vor grauem Grund. Öl auf grobkörniger Leinwand. Höhe 43,5 cm, Breite 60 cm. An Augsburgisches erinnernd. (Süddeutscher Maler des früheren 18. Jahrhunderts)|Zwei Männerköpfe. Vielleicht zwei Apostel. Brustbilder mit ausdrucksvollen Gesichtern. Der linke mit lang herabwallendem, grauem Bart, der rechte mit kürzerem, weißem Vollbart. Er blickt empor und hat den Mund geöffnet. Helle Farben vor grauem Grund. Öl auf grobkörniger Leinwand. Höhe 43,5 cm, Breite 60 cm. An Augsburgisches erinnernd.]] réalisée par Süddeutscher Maler des früheren 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 50 sch. [432]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme St. Katharina. Die Heilige in Halbfigur, mit Krone, Rüstung und rotem Mantel, im Arm ein Schwert. Rechts vor ihr das Rad. Öl auf Ton. Hochoval. Höhe 34 cm, Breite 28,2 cm. réalisée par Süddeutsch 1. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [433]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[a-f Sechs Reiterschlachten. Zumeist zwischen Bayern und Osterreichern, auch gegen Panduren u. a. Lebhaft bewegte Darstellungen in dunkleren Farben, aus denen vor allem Rot und Blau hervorleuchten. Öl auf Leinwand. Höhe 45,2 cm, Breite 56,2 cm. Alte Holzrahmen, vergoldet, mit Ornamenten. (Süddeutscher Maler des 2. Viertels des 18. Jahrhunderts)|a-f Sechs Reiterschlachten. Zumeist zwischen Bayern und Osterreichern, auch gegen Panduren u. a. Lebhaft bewegte Darstellungen in dunkleren Farben, aus denen vor allem Rot und Blau hervorleuchten. Öl auf Leinwand. Höhe 45,2 cm, Breite 56,2 cm. Alte Holzrahmen, vergoldet, mit Ornamenten.]] réalisée par Süddeutscher Maler des 2. Viertels des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [434]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Die Heilung des Tobias. In der Mitte auf einer Bühne, zu der mehrere Stufen führen, sitzt der alte Tobias in grünem Kleid und hellila Mantel. Dahinter steht der junge Tobias, dem Vater die Augen salbend. Rechts neben ihm die Mutter. Vorn links im roten Gewand der Engel. Rechts vorn zwei Männer und Frau mit Kind, in Blau, Rot, Gelb und Rotbraun. Im Hintergrund perspektivisch verkürzte Architektur, Öl auf Leinwand. Höhe 34,6 cm, Breite 41,2 cm. Skizze für ein Deckenbild, dessen Rahmen an den Ecken einfarbig angedeutet ist. Gegenstück zu der folgenden Skizze, die von der gleichen Hand für dieselbe Decke geschaffen ist. Die beiden Skizzen stehen der Kunst des Franz Zoller (Gufidaun bei Brixen, Wien, DR 1778) nahe. (Süddeutscher Meister um Mitte des 18. Jahrhundert)|Die Heilung des Tobias. In der Mitte auf einer Bühne, zu der mehrere Stufen führen, sitzt der alte Tobias in grünem Kleid und hellila Mantel. Dahinter steht der junge Tobias, dem Vater die Augen salbend. Rechts neben ihm die Mutter. Vorn links im roten Gewand der Engel. Rechts vorn zwei Männer und Frau mit Kind, in Blau, Rot, Gelb und Rotbraun. Im Hintergrund perspektivisch verkürzte Architektur, Öl auf Leinwand. Höhe 34,6 cm, Breite 41,2 cm. Skizze für ein Deckenbild, dessen Rahmen an den Ecken einfarbig angedeutet ist. Gegenstück zu der folgenden Skizze, die von der gleichen Hand für dieselbe Decke geschaffen ist. Die beiden Skizzen stehen der Kunst des Franz Zoller (Gufidaun bei Brixen, Wien, DR 1778) nahe.]] réalisée par Süddeutscher Meister um Mitte des 18. Jahrhundert, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [435]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Engelskonzert. Mehrere große und kleine Engel sitzen singend und verschiedene Instrumente spielend auf Wolken. Der rechte trägt einen hellblauen, der linke und der kleine unten vor der Gruppe hellroten Mantel. Blauer Himmel mit hellen Wolken belebt. Öl auf Leinwand. Höhe 34,6 cm, Breite 41,1 cm. Skizze für ein Deckenbild. Gegenstück zum Vorigen. Wie der gemalte Rahmen erkennen läßt, ist es der Entwurf für die Bemalung eines anderen Feldes derselben Decke. Weitere Angaben siehe bei dem vorigen Gemälde. TAFEL 61 (Süddeutscher Meister um Mitte des 18. Jahrhunderts)|Engelskonzert. Mehrere große und kleine Engel sitzen singend und verschiedene Instrumente spielend auf Wolken. Der rechte trägt einen hellblauen, der linke und der kleine unten vor der Gruppe hellroten Mantel. Blauer Himmel mit hellen Wolken belebt. Öl auf Leinwand. Höhe 34,6 cm, Breite 41,1 cm. Skizze für ein Deckenbild. Gegenstück zum Vorigen. Wie der gemalte Rahmen erkennen läßt, ist es der Entwurf für die Bemalung eines anderen Feldes derselben Decke. Weitere Angaben siehe bei dem vorigen Gemälde. TAFEL 61]] réalisée par Süddeutscher Meister um Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 300 sch. [436]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Leonhard und ein hl. Bischof in der Glorie. Die beiden Heiligen schweben auf Wolken kniend empor, den Blick andächtig nach oben gerichtet, wo Engel mit Märtyrerzweig ihnen in hellem Licht entgegenschweben. Unten vor den Heiligen sitzen zwei Engelputten, der eine mit dem Bischofsstab, der andere mit einem roten Buch, über dem eine Kette hängt. Öl auf Leinwand. Höhe 48,2 cm, Breite 31,8 cm. Skizze für ein Altarbild. (Süddeutscher Maler um Mitte des 18. Jahrhunderts)|St. Leonhard und ein hl. Bischof in der Glorie. Die beiden Heiligen schweben auf Wolken kniend empor, den Blick andächtig nach oben gerichtet, wo Engel mit Märtyrerzweig ihnen in hellem Licht entgegenschweben. Unten vor den Heiligen sitzen zwei Engelputten, der eine mit dem Bischofsstab, der andere mit einem roten Buch, über dem eine Kette hängt. Öl auf Leinwand. Höhe 48,2 cm, Breite 31,8 cm. Skizze für ein Altarbild.]] réalisée par Süddeutscher Maler um Mitte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 70 sch. [437]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Die Ausgießung des Hl. Geistes. Maria thront auf einem Podium, die Apostel sind teils sitzend, teils stehend, teils schreitend in erregten Gesten um sie herumgruppiert. Auf beiden Seiten hohe Säulenarchitektur. Dazwischen, vor einer Hintergrundmauer, erfolgt die Ausgießung des Hl. Geistes in Form einer hellgrauen Wolke mit Flämmchenregen, die sich herabsenkt. Helle Farben, Gewänder in Blau, Braun, Rosa, Hellila, Grau usw. Öl auf Leinwand. Höhe 57,8 cm, Breite 41,3 cm. Skizze für ein größeres Gemälde. Etwas größere Replik, jedoch kaum das ausgeführte Bild, in München, National-Museum, Inv. Nr. 14/42. Vergleiche ferner die Hochzeit zu Cana von "Südd. Meister um 1750", Augsburg, Slg. Röhrer, Kat. Feulner (1926) Abb. 22. (Süddeutscher Maler 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|Die Ausgießung des Hl. Geistes. Maria thront auf einem Podium, die Apostel sind teils sitzend, teils stehend, teils schreitend in erregten Gesten um sie herumgruppiert. Auf beiden Seiten hohe Säulenarchitektur. Dazwischen, vor einer Hintergrundmauer, erfolgt die Ausgießung des Hl. Geistes in Form einer hellgrauen Wolke mit Flämmchenregen, die sich herabsenkt. Helle Farben, Gewänder in Blau, Braun, Rosa, Hellila, Grau usw. Öl auf Leinwand. Höhe 57,8 cm, Breite 41,3 cm. Skizze für ein größeres Gemälde. Etwas größere Replik, jedoch kaum das ausgeführte Bild, in München, National-Museum, Inv. Nr. 14/42. Vergleiche ferner die Hochzeit zu Cana von "Südd. Meister um 1750", Augsburg, Slg. Röhrer, Kat. Feulner (1926) Abb. 22.]] réalisée par Süddeutscher Maler 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [438]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Folge von zehn Aposteln. Sämtlich Brustbilder. Alte Holzrahmen, vergoldet. a) St. Petrus. Faltenreicher Kopf mit stark ergrautem Haar und Bart. Er blickt andächtig empor und hat die linke Hand auf die Brust gelegt. Blaues Gewand, rötlichbrauner Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32 cm, Breite 22 cm. b) St. Paulus. Er blickt etwas nach rechts. Haar und Vollbart braun. Seine linke Hand ist auf das Schwert gestützt. Gewand grün und rotbraun. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,4 cm, Breite 22,3 cm. c) St. Andreas. Vor umgekehrtem Kreuz, dem Beschauer den Rücken zukehrend. Er hat den Kopf zurückgeworfen und blickt empor. Haare und Bart ergraut. Helles, rötlichbraunes Gewand mit weißem Kragen. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22,2 cm. d) St. Johannes. Jugendlicher Kopf mit blondem Haar. In den Händen hält er einen vergoldeten Kelch, aus dem eine Schlange emporsteigt. Olivgrünes Gewand und rosa Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,2 cm, Breite 22,2 cm. e) St. Jakobus Major. In Pilgertracht, in seiner Linken den Pilgerstab haltend. Am dunkelgrauen Hut zwei Muscheln. Haare und Bart rötlich. Dunkelgrauer Pilgerrock, Öl auf Lindenholz. Höhe 32,4 cm, Breite 22,2 cm. f) St. Philippus. Älterer Mann, Haare und Bart stark ergraut. Er hält in seiner Linken einen Stab, der in Kreuzform endet. Dunkelgraubrauner Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22,2 cm. g) St. Judas Thaddäus. Kopf nach rechts ins Profil gewandt. Bartlos. Über der rechten Schulter die Hellebarde. Gewand kastanienbraun, Mantel grau. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22,2 cm. TAFEL 56 h) St. Thomas. Im Profil nach links. Lockiges Haar und Bart dunkelbraun. Über der linken Schulter die Lanze tragend. Brauner Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,4 cm, Breite 21,9 cm. TAFEL 56 i) St. Matthäus. Kopf, mit dunkelblondem Haar und Bart, nach links blickend. Lilagraues Gewand, gelblichgrauer Mantel. In seiner rechten Hand hält er ein Beil. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,2 cm, Breite 22,1 cm. k) St. Jakobus Minor. Jugendlicher Kopf mit rötlichblondem Haar. Am Kinn Anflug von Bart. Er hält in seiner Rechten einen Pilgerstab. Hellgraues Gewand, leuchtend roter Mantel, Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22 cm. (Süddeutscher Maler der 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts)|Folge von zehn Aposteln. Sämtlich Brustbilder. Alte Holzrahmen, vergoldet. a) St. Petrus. Faltenreicher Kopf mit stark ergrautem Haar und Bart. Er blickt andächtig empor und hat die linke Hand auf die Brust gelegt. Blaues Gewand, rötlichbrauner Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32 cm, Breite 22 cm. b) St. Paulus. Er blickt etwas nach rechts. Haar und Vollbart braun. Seine linke Hand ist auf das Schwert gestützt. Gewand grün und rotbraun. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,4 cm, Breite 22,3 cm. c) St. Andreas. Vor umgekehrtem Kreuz, dem Beschauer den Rücken zukehrend. Er hat den Kopf zurückgeworfen und blickt empor. Haare und Bart ergraut. Helles, rötlichbraunes Gewand mit weißem Kragen. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22,2 cm. d) St. Johannes. Jugendlicher Kopf mit blondem Haar. In den Händen hält er einen vergoldeten Kelch, aus dem eine Schlange emporsteigt. Olivgrünes Gewand und rosa Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,2 cm, Breite 22,2 cm. e) St. Jakobus Major. In Pilgertracht, in seiner Linken den Pilgerstab haltend. Am dunkelgrauen Hut zwei Muscheln. Haare und Bart rötlich. Dunkelgrauer Pilgerrock, Öl auf Lindenholz. Höhe 32,4 cm, Breite 22,2 cm. f) St. Philippus. Älterer Mann, Haare und Bart stark ergraut. Er hält in seiner Linken einen Stab, der in Kreuzform endet. Dunkelgraubrauner Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22,2 cm. g) St. Judas Thaddäus. Kopf nach rechts ins Profil gewandt. Bartlos. Über der rechten Schulter die Hellebarde. Gewand kastanienbraun, Mantel grau. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22,2 cm. TAFEL 56 h) St. Thomas. Im Profil nach links. Lockiges Haar und Bart dunkelbraun. Über der linken Schulter die Lanze tragend. Brauner Mantel. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,4 cm, Breite 21,9 cm. TAFEL 56 i) St. Matthäus. Kopf, mit dunkelblondem Haar und Bart, nach links blickend. Lilagraues Gewand, gelblichgrauer Mantel. In seiner rechten Hand hält er ein Beil. Öl auf Lindenholz. Höhe 32,2 cm, Breite 22,1 cm. k) St. Jakobus Minor. Jugendlicher Kopf mit rötlichblondem Haar. Am Kinn Anflug von Bart. Er hält in seiner Rechten einen Pilgerstab. Hellgraues Gewand, leuchtend roter Mantel, Öl auf Lindenholz. Höhe 32,3 cm, Breite 22 cm.]] réalisée par Süddeutscher Maler der 2. Hälfte des 18. Jahrhunderts, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [439]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Christus vor den Hohenpriestern und Schriftgelehrten. In der Bildmitte Christus, gefesselt, zwischen zwei Kriegern. Rechts hinter ihm unter Baldachin Kaiphas, sich das Kleid zerreißend. Rechts davon Altar vor rosa Vorhang. Im Vordergrund erregte Gruppe von Priestern und Schriftgelehrten. Links Schriftgelehrter in blauem Mantel. Dahinter Arkaden mit Menschen und Ausblick auf Landschaft. Öl auf Fichtenholz. Höhe 57 cm, Breite 115,5 cm. Wohl ehem. Antipendium. (Joh. Sebastian Troger)|Christus vor den Hohenpriestern und Schriftgelehrten. In der Bildmitte Christus, gefesselt, zwischen zwei Kriegern. Rechts hinter ihm unter Baldachin Kaiphas, sich das Kleid zerreißend. Rechts davon Altar vor rosa Vorhang. Im Vordergrund erregte Gruppe von Priestern und Schriftgelehrten. Links Schriftgelehrter in blauem Mantel. Dahinter Arkaden mit Menschen und Ausblick auf Landschaft. Öl auf Fichtenholz. Höhe 57 cm, Breite 115,5 cm. Wohl ehem. Antipendium.]] réalisée par Joh. Sebastian Troger, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 60 sch. [440]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Himmelfahrt Maria. Maria in hellblauem Mantel, die Hände andächtig gefaltet, wird von Engeln in hellroten und dunkelgrünen Gewändern emporgetragen. Christus, mit Kreuz, empfängt sie. Rechts Gottvater, in der Mitte Taube des Heiligen Geistes. Unten umgeben die Apostel in erregten Gesten den Sarkophag. Öl auf Leinwand. Höhe 40,3 cm, Breite 26,1 cm. Skizze für ein Deckengemälde. Die Skizze zeigt so hohe Qualität, daß ihr Meister nur unter den besten seiner Zeit gesucht werden kann. Der Stil weist durchaus auf die österreichische Kunst des früheren 18. Jahrhunderts. Am ehesten möchte man an Paul Troger, den führenden Meister der Zeit, denken. Die flotte Handschrift und die hellen Farben entsprechen auch durchaus seinem früheren Stil. Vergleichen lassen sich besonders Gemälde der Art der "Himmelfahrt St. Johannes Nepomuks" (Abb. bei Haberditzl, das Wiener Barockmuseum, 2. Aufl. Wien 1934, S. 241). Aber in manchem erinnert die Skizze auch an Werke des Johann Evangelist Holzer (Südtirol, Augsburg, 1709-1740), in erster Linie an dessen Skizze "Christus mit dem Kreuz und Engeln" im Meraner Museum (Abb. bei Biermann, Deutsches Barock und Rokoko, Leipzig 1914, Bd. I, S. 174 und Feulner, Bayerisches Rokoko, München 1923, S. 94). Der heutige Stand der kunstgeschichtlichen Forschung über dieses Gebiet läßt eine endgültige Entscheidung nicht zu. TAFEL 58 (Paul Troger ?)|Himmelfahrt Maria. Maria in hellblauem Mantel, die Hände andächtig gefaltet, wird von Engeln in hellroten und dunkelgrünen Gewändern emporgetragen. Christus, mit Kreuz, empfängt sie. Rechts Gottvater, in der Mitte Taube des Heiligen Geistes. Unten umgeben die Apostel in erregten Gesten den Sarkophag. Öl auf Leinwand. Höhe 40,3 cm, Breite 26,1 cm. Skizze für ein Deckengemälde. Die Skizze zeigt so hohe Qualität, daß ihr Meister nur unter den besten seiner Zeit gesucht werden kann. Der Stil weist durchaus auf die österreichische Kunst des früheren 18. Jahrhunderts. Am ehesten möchte man an Paul Troger, den führenden Meister der Zeit, denken. Die flotte Handschrift und die hellen Farben entsprechen auch durchaus seinem früheren Stil. Vergleichen lassen sich besonders Gemälde der Art der "Himmelfahrt St. Johannes Nepomuks" (Abb. bei Haberditzl, das Wiener Barockmuseum, 2. Aufl. Wien 1934, S. 241). Aber in manchem erinnert die Skizze auch an Werke des Johann Evangelist Holzer (Südtirol, Augsburg, 1709-1740), in erster Linie an dessen Skizze "Christus mit dem Kreuz und Engeln" im Meraner Museum (Abb. bei Biermann, Deutsches Barock und Rokoko, Leipzig 1914, Bd. I, S. 174 und Feulner, Bayerisches Rokoko, München 1923, S. 94). Der heutige Stand der kunstgeschichtlichen Forschung über dieses Gebiet läßt eine endgültige Entscheidung nicht zu. TAFEL 58]] réalisée par Paul Troger ?, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 320 sch. [441]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Bildnis eines Herren. Halbfigur. Der Dargestellte in Biedermeiertracht mit dunkelgrünem Rock sitzt neben einem Tisch mit hellblauer Decke. Hintergrund rötlichbraun. Auf der linken Seite bezeichnet: G W Wanderer (G W W ligiert) a. v. pinx: 1841. Öl auf Leinwand. Höhe 72,5 cm, Breite 59 cm. Holzrahmen, vergoldet. (Georg Wilhelm Wanderer)|Bildnis eines Herren. Halbfigur. Der Dargestellte in Biedermeiertracht mit dunkelgrünem Rock sitzt neben einem Tisch mit hellblauer Decke. Hintergrund rötlichbraun. Auf der linken Seite bezeichnet: G W Wanderer (G W W ligiert) a. v. pinx: 1841. Öl auf Leinwand. Höhe 72,5 cm, Breite 59 cm. Holzrahmen, vergoldet.]] réalisée par Georg Wilhelm Wanderer, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [442]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Sebastian und die fromme Frau. Der sterbende Sebastian ist an einen Baum gefesselt. Links vor ihm kniet Irene, ihn von den Pfeilen befreiend. Sie trägt ein rotes Kleid, braunen Schal und blauen Mantel in hellen, lebhaften Tönen. Oben schwebt ein Engel mit Märtyrerzweig und -kränz. Im Hintergrund zu beiden Seiten Landschaft, darin rechts zwei Krieger. Signiert und datiert rechts unten auf einem Köcher: Christ. Wink pinxit 1794. Öl auf Leinwand. Höhe 68 cm, Breite 51,6 cm. TAFEL 61 (Christian Wink)|St. Sebastian und die fromme Frau. Der sterbende Sebastian ist an einen Baum gefesselt. Links vor ihm kniet Irene, ihn von den Pfeilen befreiend. Sie trägt ein rotes Kleid, braunen Schal und blauen Mantel in hellen, lebhaften Tönen. Oben schwebt ein Engel mit Märtyrerzweig und -kränz. Im Hintergrund zu beiden Seiten Landschaft, darin rechts zwei Krieger. Signiert und datiert rechts unten auf einem Köcher: Christ. Wink pinxit 1794. Öl auf Leinwand. Höhe 68 cm, Breite 51,6 cm. TAFEL 61]] réalisée par Christian Wink, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 200 sch. [443]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Vermählung Mariä mit Joseph. In der Mitte über zwei Stufen kniend das Brautpaar in farbenreichen Gewändern mit Rosa, Blau, Braun, Graublau, Gelb und Weiß. Hinter ihnen steht der Hohepriester, im Begriff, sie einzusegnen. Hinter und neben diesem mehrere Assistenzfiguren, meist in Braun und Grau gehalten. Links steht Joachim in grünem Gewand. Oben Engelchen, unten sitzend Frau mit Kind. Öl auf Leinwand. Höhe 41,6 cm, Breite 26,8 cm. Skizze zu dem folgenden Gemälde. (Christian Wink)|Vermählung Mariä mit Joseph. In der Mitte über zwei Stufen kniend das Brautpaar in farbenreichen Gewändern mit Rosa, Blau, Braun, Graublau, Gelb und Weiß. Hinter ihnen steht der Hohepriester, im Begriff, sie einzusegnen. Hinter und neben diesem mehrere Assistenzfiguren, meist in Braun und Grau gehalten. Links steht Joachim in grünem Gewand. Oben Engelchen, unten sitzend Frau mit Kind. Öl auf Leinwand. Höhe 41,6 cm, Breite 26,8 cm. Skizze zu dem folgenden Gemälde.]] réalisée par Christian Wink, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [444]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Vermählung Mariä mit Joseph. Maria in rosa Gewand, weißem Überwurf und blauem Mantel kniet links; rechts vor ihr Joseph in blauem Kleid und braunem Mantel, in der Linken den Blütenstab, in der Rechten den Ring, den er Maria an den Finger stecken will. Hinter ihnen steht einsegnend der Hohepriester. Hinter ihm weitere Priester. Oben schweben zwei Engelchen. Öl auf Leinwand. Höhe 83 cm, Breite 62,5 cm. Geschnitzter Rahmen der Zeit, mit Muschelwerk, vergoldet. Nach der vorangehenden Skizze, vielleicht von Gehilfen, ausgeführt. Die linke Gruppe der Skizze ist nun weggelassen. Gegenstück zu dem folgenden Gemälde. (Christian Wink)|Vermählung Mariä mit Joseph. Maria in rosa Gewand, weißem Überwurf und blauem Mantel kniet links; rechts vor ihr Joseph in blauem Kleid und braunem Mantel, in der Linken den Blütenstab, in der Rechten den Ring, den er Maria an den Finger stecken will. Hinter ihnen steht einsegnend der Hohepriester. Hinter ihm weitere Priester. Oben schweben zwei Engelchen. Öl auf Leinwand. Höhe 83 cm, Breite 62,5 cm. Geschnitzter Rahmen der Zeit, mit Muschelwerk, vergoldet. Nach der vorangehenden Skizze, vielleicht von Gehilfen, ausgeführt. Die linke Gruppe der Skizze ist nun weggelassen. Gegenstück zu dem folgenden Gemälde.]] réalisée par Christian Wink, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 250 sch. [445]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Vermählung der hl. Katharina. Die Madonna in hellila Kleid und blauem Mantel lagert auf Wolken. Neben ihr sitzt das Jesuskind. Links kniet Katharina, auf dem Haupt Krone mit Perlschnüren, angetan mit reichem, goldbesetztem Überwurf und lila Mantel mit Hermelin. Das Jesuskind hält ihre Hand, um den Ring daranzustecken. Unten rechts Putten, einer mit Schwert. Öl auf Leinwand. Höhe 83 cm, Breite 62,5 cm. Geschnitzter Rahmen der Zeit, mit Muschelwerk, vergoldet. Gegenstück zu dem vorerwähnten Bild. Für die Beziehungen zu Christian Wink vgl. man besonders dessen Hochaltarblatt von 1782 in der Pfarrkirche zu Stopfenheim. Abb. in: Die Kunstdenkmäler von Bayern V, Heft V Stadt u. Bez.- Amt Weißenburg i. B., Tafel XLVI. (Christian Wink)|Vermählung der hl. Katharina. Die Madonna in hellila Kleid und blauem Mantel lagert auf Wolken. Neben ihr sitzt das Jesuskind. Links kniet Katharina, auf dem Haupt Krone mit Perlschnüren, angetan mit reichem, goldbesetztem Überwurf und lila Mantel mit Hermelin. Das Jesuskind hält ihre Hand, um den Ring daranzustecken. Unten rechts Putten, einer mit Schwert. Öl auf Leinwand. Höhe 83 cm, Breite 62,5 cm. Geschnitzter Rahmen der Zeit, mit Muschelwerk, vergoldet. Gegenstück zu dem vorerwähnten Bild. Für die Beziehungen zu Christian Wink vgl. man besonders dessen Hochaltarblatt von 1782 in der Pfarrkirche zu Stopfenheim. Abb. in: Die Kunstdenkmäler von Bayern V, Heft V Stadt u. Bez.- Amt Weißenburg i. B., Tafel XLVI.]] réalisée par Christian Wink, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 250 sch. [446]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Die Einsetzung des hl. Abendmahls. Christus in rosa und hellrotem Kleid und hellblauem Mantel, Kelch und Hostie haltend, beugt sich zu Petrus herab, der rechts vor ihm kniet, die gefalteten Hände auf ein Kissen gelegt. Links vom Heiland Johannes in mattgrünem Kleid und hellrotem Mantel. Hinter der Gruppe ein breiter Tisch mit bläulichweißer Decke, um den die übrigen Apostel in andächtigen Gesten versammelt sind. Rechts ein Knabe mit Schüssel. Im Hintergrund perspektivische Architektur. Alle Gestalten in lebhaften Bewegungen und mit ausdrucksvollen Gesichtern. Helle Farben. Rahmung durch gemalte Muschelwerkkartusche. Signiert und datiert links auf der untersten Treppenstufe:"Jo. Chrysostomus Winck pinxit anno 1774. Öl auf Leinwand. Höhe 101,5 cm, Breite 184,5 cm. TAFEL 60 (Johannes Chrysostomus Winck)|Die Einsetzung des hl. Abendmahls. Christus in rosa und hellrotem Kleid und hellblauem Mantel, Kelch und Hostie haltend, beugt sich zu Petrus herab, der rechts vor ihm kniet, die gefalteten Hände auf ein Kissen gelegt. Links vom Heiland Johannes in mattgrünem Kleid und hellrotem Mantel. Hinter der Gruppe ein breiter Tisch mit bläulichweißer Decke, um den die übrigen Apostel in andächtigen Gesten versammelt sind. Rechts ein Knabe mit Schüssel. Im Hintergrund perspektivische Architektur. Alle Gestalten in lebhaften Bewegungen und mit ausdrucksvollen Gesichtern. Helle Farben. Rahmung durch gemalte Muschelwerkkartusche. Signiert und datiert links auf der untersten Treppenstufe:"Jo. Chrysostomus Winck pinxit anno 1774. Öl auf Leinwand. Höhe 101,5 cm, Breite 184,5 cm. TAFEL 60]] réalisée par Johannes Chrysostomus Winck, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 500 sch. [447]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Christus unter dem Kreuz. Christus, in hellblauem Mantel über hellgrauem Gewand, liegt unter dem Kreuz am Boden. Vordergrund Wiese. Links im Hintergrund eine Stadt. Öl auf Leinwand, Höhe 34,8 cm, Breite 50,3 cm. Profilierter Rahmen, vergoldet. Aus der späteren Zeit des Malers. TAFEL 56 (Januarius Zick)|Christus unter dem Kreuz. Christus, in hellblauem Mantel über hellgrauem Gewand, liegt unter dem Kreuz am Boden. Vordergrund Wiese. Links im Hintergrund eine Stadt. Öl auf Leinwand, Höhe 34,8 cm, Breite 50,3 cm. Profilierter Rahmen, vergoldet. Aus der späteren Zeit des Malers. TAFEL 56]] réalisée par Januarius Zick, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [448]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Klagende Maria. Brustbild. Sie hält mit ihrer rechten Hand ein Tuch ans Auge. Blauer Mantel vom Kopf über die Schulter herabfallend, Armel braun, an der Brust rosa Kleid. In der linken unteren Ecke bezeichnet: J. Zick f. Öl auf Fichtenholz. Höhe 21,8 cm, Breite 14,8 cm. Holzrahmen vergoldet. Gegenstück zu dem folgenden Bild. TAFEL 60 (Johann Zick)|Klagende Maria. Brustbild. Sie hält mit ihrer rechten Hand ein Tuch ans Auge. Blauer Mantel vom Kopf über die Schulter herabfallend, Armel braun, an der Brust rosa Kleid. In der linken unteren Ecke bezeichnet: J. Zick f. Öl auf Fichtenholz. Höhe 21,8 cm, Breite 14,8 cm. Holzrahmen vergoldet. Gegenstück zu dem folgenden Bild. TAFEL 60]] réalisée par Johann Zick, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [449]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme Ecce Homo. Brustbild Christi mit der Dornenkrone und einem Strick um den Hals. Linke Schulter und Brust sind entblößt. Öl auf Fichtenholz. Höhe 21,6 cm, Breite 14,8 cm. Holzrahmen vergoldet. Gegenstück zum vorhergehenden. TAFEL 60 réalisée par Johann Zick, vendue par Sammlung Georg Schuster, München. [450]
- 1938.03.17/ maison de ventes : Böhler (Julius). Vente de l'œuvre décrite comme [[Himmelfahrt Mariä. Maria in weißem Kleid und blauem Mantel, die Arme gen Himmel ausgebreitet, auf einer Wolke stehend, wird von Engeln emporgetragen. Die Gruppe schwebt vor lichtem Hintergrund, der von rotbraunem, dunklerem Himmel gerahmt wird. Rechts begleitet sie ein Chor kleiner Engel, links ein Tuba blasender. Unten sind die Apostel in erregten Gesten in weitem Umkreis um den Sarkophag gruppiert, aus dem Johannes in hellgrüner Jacke und rosa Rock ein weißes Tuch hebt. Im Vordergrund sitzt Petrus in gelber Jacke und blauem Rock auf Stufen. Ein Apostel rechts hat über grünem Gewand lichten, roten Mantel. Öl auf Leinwand. Höhe 70,2 cm, Breite 48,6 cm. Hübsch gezierter Holzrahmen der Zeit, vergoldet. Vermutlich Skizze zu einem Deckenbild. Stilistisch den Deckenbildern von Johann Zick in der kath. Pfarrkirche in Amorbach nahestehend. (Johann Zick)|Himmelfahrt Mariä. Maria in weißem Kleid und blauem Mantel, die Arme gen Himmel ausgebreitet, auf einer Wolke stehend, wird von Engeln emporgetragen. Die Gruppe schwebt vor lichtem Hintergrund, der von rotbraunem, dunklerem Himmel gerahmt wird. Rechts begleitet sie ein Chor kleiner Engel, links ein Tuba blasender. Unten sind die Apostel in erregten Gesten in weitem Umkreis um den Sarkophag gruppiert, aus dem Johannes in hellgrüner Jacke und rosa Rock ein weißes Tuch hebt. Im Vordergrund sitzt Petrus in gelber Jacke und blauem Rock auf Stufen. Ein Apostel rechts hat über grünem Gewand lichten, roten Mantel. Öl auf Leinwand. Höhe 70,2 cm, Breite 48,6 cm. Hübsch gezierter Holzrahmen der Zeit, vergoldet. Vermutlich Skizze zu einem Deckenbild. Stilistisch den Deckenbildern von Johann Zick in der kath. Pfarrkirche in Amorbach nahestehend.]] réalisée par Johann Zick, vendue par Sammlung Georg Schuster, München au prix de 160 sch. [451]