Ombrosa
Aller à la navigation
Aller à la recherche
- 1875 / Caluire-et-Cuire. Construction de la Villa Ombrosa par l'architecte Casimir Echernier pour son ami Paul Grand , soyeux lyonnais [1] propriétaire du domaine. Sur le bord du bâtiment, on peut lire une sur une plaque mémorielle l'inscription "A Casimir Echernier, son architecte et son ami; Paul Grand a consacré ce souvenir MDCCCLXXV". [2][3][4]
- 1919 / Caluire-et-Cuire. Reconversion du Vernay comme internat municipal pour jeunes filles. La Villa Ombrosa et le Vernay fusionneront pour devenir l'internat pour jeunes filles du Vernay-Ombrosa. [5][6]
- 1924.08 / Lyon. Participation de directrice de l'internat du Vernay-Ombrosa, Mme. Josserand, au 6ème Congrès de la Fédération Nationale des Anciennes et Anciens élèves des écoles primaires de France et des colonies en tant que membre du commité d'honneur. [7] [8] [9]
- 1925 / Caluire-et-Cuire. Offre d'embauche de jardinier à l'internat pour jeunes filles du Vernay-Ombrosa dans le journal Lyon horticole. La demande est gérée par la directrice de l'établissement Mme. Josserand. [10]
- 1929.10 / Caluire-et-Cuire. Publication de la revue L'éducation physique dans laquelle le pensionnat municipal de la ville de Lyon du Vernay-Ombrosa est présenté comme exemple en termes d'éducation sportive dans la revue . [11] Mlle. Brunet enseigne alors la méthode Herbert aux enfants.[12]
- 1930.01.01 / Caluire-et-Cuire. Offre d'embauche de jardinier à l'internat pour jeunes filles du Vernay-Ombrosa dans le journal Lyon horticole. [13]
- 1944 / Caluire-et-Cuire. Dissimulation d'enfants juifs pendant l'Occupation à l'internat du Vernay-Ombrosa sous la direction d'Antoinette Richon. Parmi eux, Hélène Akierman (née Lewkovicz), alors âgée de 10 ans, a témoigné auprès du Musée de la Résistance et de la Déportation de Lyon à partir de 2002, et a entamé des démarches pour qu'Antoinette Richon reçoive la médaille des Justes. [14]
- 1944 / Caluire-et-Cuire. Installation des Allemands pendant l'Occupation à l'internat du Vernay-Ombrosa pendant l'été. Les enfants juifs qui y étaient cachés, dont Hélène Akierman sont envoyés se cacher par Antoinette Richon chez un médecin de Caluire-et-Cuire, puis dans un monastère. [15]
- 1971 / Caluire-et-Cuire. Création de l'école privée plurilingue laïque Ombrosa gérée par une association à but non lucratif (loi 1901). [16][17]
- 1994 / Caluire-et-Cuire. Publication du chronique Ombrosa n°10 sous la direction de Luc Vezin.[18]