Ventes d'œuvres le 1744.03.02

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  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Dessein original de la tentation de S. Antoine, fait au Bistre, par Callot, où il se trouve quelques petites différences qui ne sont point dans l'Estampe. Ce Desseins est un des plus capitaux que l'on connoisse de ce Maître, aussi bien que celui que possède M. de Julienne, qui est l'original de l'autre grande tentation qui est gravée, & dont nous parlerons ci-après, dans le Catalogue de l'Oeuvre de Callot. (Callot)|Le Dessein original de la tentation de S. Antoine, fait au Bistre, par Callot, où il se trouve quelques petites différences qui ne sont point dans l'Estampe. Ce Desseins est un des plus capitaux que l'on connoisse de ce Maître, aussi bien que celui que possède M. de Julienne, qui est l'original de l'autre grande tentation qui est gravée, & dont nous parlerons ci-après, dans le Catalogue de l'Oeuvre de Callot.]] réalisée par Callot, vendue par Quentin de Lorangere au prix de 110.1 frs. [200]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vingt-un Desseins de Sébastien le Clerc, tant Sujets que Medailles, Cartouches, &c. avec trois copies très-proprement dessinées, & lavées à l'encre de la Chine d'après l'original du grand morceau allégorique que ce Maître a fait au sujet du mariage de Monseigneur le Duc, & de Madame la Duchesse de Bourgogne : il n'y a point de Cabinet où il se trouve une si grande quantité de Desseins de ce Maître, la plûpart sont les originaux des plus beaux morceaux qu'il a gravés : ils sont presque tous très-arrêteés & très-finis ; & comme les ouvrages en gravure de ce Maître sont très recherchés des curieux, ses Desseins par conséquent, qui renferment encore plus d'esprit & de feu que la gravure, méritent aussi plus d'attention, ce qui les a rendu très-rares. (Sebastien le Clerc)|Vingt-un Desseins de Sébastien le Clerc, tant Sujets que Medailles, Cartouches, &c. avec trois copies très-proprement dessinées, & lavées à l'encre de la Chine d'après l'original du grand morceau allégorique que ce Maître a fait au sujet du mariage de Monseigneur le Duc, & de Madame la Duchesse de Bourgogne : il n'y a point de Cabinet où il se trouve une si grande quantité de Desseins de ce Maître, la plûpart sont les originaux des plus beaux morceaux qu'il a gravés : ils sont presque tous très-arrêteés & très-finis ; & comme les ouvrages en gravure de ce Maître sont très recherchés des curieux, ses Desseins par conséquent, qui renferment encore plus d'esprit & de feu que la gravure, méritent aussi plus d'attention, ce qui les a rendu très-rares.]] réalisée par Sebastien le Clerc, vendue par Quentin de Lorangere au prix de 18.1 frs. [201]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Dessein original du grand morceau allégorique, que Sébastien le Clerc a inventé au sujet du mariage de Monseigneur le Duc, & de Madame la Duchesse de Bourgogne, & qui est gravé par Simmoneau. Cette Piéce est une des plus intéressantes, & des plus arrêtées que cet Auteur ait faites ; ce Dessein est fini avec un soin extrême, & l'on peut dire avec vérité, que c'est le plus capital morceau que l'on connoisse de ce Maître. (Sébastien le Clerc)|Le Dessein original du grand morceau allégorique, que Sébastien le Clerc a inventé au sujet du mariage de Monseigneur le Duc, & de Madame la Duchesse de Bourgogne, & qui est gravé par Simmoneau. Cette Piéce est une des plus intéressantes, & des plus arrêtées que cet Auteur ait faites ; ce Dessein est fini avec un soin extrême, & l'on peut dire avec vérité, que c'est le plus capital morceau que l'on connoisse de ce Maître.]] réalisée par Sébastien le Clerc, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Henry au prix de 154.1 frs. [205]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Passion de J. C. dessinée à la plume, en 140 morceaux. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas. (Gillot)|La Passion de J. C. dessinée à la plume, en 140 morceaux. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas.]] réalisée par Gillot, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par L'abbé de Monti au prix de 65 frs. [256]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vingt Desseins aussi à la plume, la plûpart de diverses Pastorales. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas. (Gillot)|Vingt Desseins aussi à la plume, la plûpart de diverses Pastorales. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas.]] réalisée par Gillot, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Huquier au prix de 19.19 frs. [257]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vingt-deux autres sujets aussi dessinés à la plume. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas. (Gillot)|Vingt-deux autres sujets aussi dessinés à la plume. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas.]] réalisée par Gillot, vendue par Quentin de Lorangere au prix de 19.19 frs. [258]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trente-sept Desseins d'Ornemens, d'Armes, &c. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas. (Gillot)|Trente-sept Desseins d'Ornemens, d'Armes, &c. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas.]] réalisée par Gillot, vendue par Quentin de Lorangere au prix de 43 frs. [259]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trente Desseins, dont quatorze petits sujets Comiques, & plusieurs ornemens. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas. (Gillot)|Trente Desseins, dont quatorze petits sujets Comiques, & plusieurs ornemens. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas.]] réalisée par Gillot, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Huquier au prix de 17.18 frs. [260]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vingt-tois Desseins,la plûpart de sujets comiques & réjouissans. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas. (Gillot)|Vingt-tois Desseins,la plûpart de sujets comiques & réjouissans. note en introduction : Gillot a excellé par l'abondance de génie qui regne dans ses Compositions : il a presque toujours donné dans la partie Comique & Théâtrale ; ce qui rend sa Collection intéressante & amusante : sa plume est fine, spirituelle, mais il est trop maniéré dans les extrémités de ses figures ; il a gravé à l'eau forte, avec assez de liberté, & nous avons de lui plusieurs Fables de M. de la Motte, qu'il a exécuté d'après ses propres Desseins, & dont les connoisseurs font cas.]] réalisée par Gillot, vendue par Quentin de Lorangere au prix de 30 frs. [261]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Huit jolis Desseins de forme différentes, peints à Gouassesic, & extraordinairement finis : cette suite, qui ne doit être composée que de six morceaux, les deux autres n'étant que des répétitions, avec changemens ; cette suite, dis-je, avoit été finie à dessein de faire d'après une tenture de tapisserie en six morceaux : quatre de ces sujets représentent les quatre Saisons, & quatre des principales nations de l'Europe ; chacune de ces nations est placée dans la saison qui lui est propre. L'Italie, représente le Printemps, à cause de la verdure continuelle qui y regne ; l'Espagne, représente l'Eté, par rapport à la chaleur qui s'y fait ressentir, plus vivement que dans d'autres Pays ; l'Automne est représentée par la nation Françoise, à cause de l'abondance que l'on y trouve dans cette saison ; & enfin la nation du Nord, représente l'Hyver & ses fimats : un autre de ces morceaux d'une forme plus quarrée, réunit à un Buffet ces quatre nations ; ce dernier est répété avec différence, aussi-bien qu'un autre plus petit, qui devoit faire la piéce du trumeau : il y a autour de chaque morceaux, des ornemens & une Divinité au milieu, convenable à chaque saison : cette suite est certainement ce que Gillot a jamais fait de plus agréable, & de plus arrêté. (Gillot)|Huit jolis Desseins de forme différentes, peints à Gouassesic, & extraordinairement finis : cette suite, qui ne doit être composée que de six morceaux, les deux autres n'étant que des répétitions, avec changemens ; cette suite, dis-je, avoit été finie à dessein de faire d'après une tenture de tapisserie en six morceaux : quatre de ces sujets représentent les quatre Saisons, & quatre des principales nations de l'Europe ; chacune de ces nations est placée dans la saison qui lui est propre. L'Italie, représente le Printemps, à cause de la verdure continuelle qui y regne ; l'Espagne, représente l'Eté, par rapport à la chaleur qui s'y fait ressentir, plus vivement que dans d'autres Pays ; l'Automne est représentée par la nation Françoise, à cause de l'abondance que l'on y trouve dans cette saison ; & enfin la nation du Nord, représente l'Hyver & ses fimats : un autre de ces morceaux d'une forme plus quarrée, réunit à un Buffet ces quatre nations ; ce dernier est répété avec différence, aussi-bien qu'un autre plus petit, qui devoit faire la piéce du trumeau : il y a autour de chaque morceaux, des ornemens & une Divinité au milieu, convenable à chaque saison : cette suite est certainement ce que Gillot a jamais fait de plus agréable, & de plus arrêté.]] réalisée par Gillot, vendue par Quentin de Lorangere au prix de 190 frs. [278]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cinquante-quatre morceaux, tant vignettes, culs-de-lampe, lettres, que titres historiés ; le tout dessiné avec une grande propreté : il y a plusieurs sujets de Fables renfermés dans les ornemens des Vignettes, & il paroît que c'est un ouvrage qui a été commencé pour le Roi Louis XIV. sur l'Histoire des Dieux, & qui n'a point eu de suite : on a joint à la fin plusieurs Sonnets, & autres morceaux écrits au mieux sur du velin. (artiste anonyme)|Cinquante-quatre morceaux, tant vignettes, culs-de-lampe, lettres, que titres historiés ; le tout dessiné avec une grande propreté : il y a plusieurs sujets de Fables renfermés dans les ornemens des Vignettes, & il paroît que c'est un ouvrage qui a été commencé pour le Roi Louis XIV. sur l'Histoire des Dieux, & qui n'a point eu de suite : on a joint à la fin plusieurs Sonnets, & autres morceaux écrits au mieux sur du velin.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par [[[illisible]]] au prix de 176 frs. [292]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux autres morceaux peints à Gouassesic, par feu M. de la Hire le Médecin, fils de l'Astronome, & petit-fils du peintre du même nom. L'un de ces morceaux représente un Paysage, & l'autre un sujet galand.*note en bas de page : J'ai connu très-particuliérement M. de la Hire. Auteur de ces deux morceaux : c'étoit un homme de moeurs, & d'une société douce & agréable : il avoit beaucoup de goût, & d'amour pour le Dessein, & pour la Peinture ; mais l'art de la Médecine qu'il proffessoit & l'étude particuliére qu'il faisoit des Plantes, lui donnoient trop d'occupation, pour lui laisser la Liberté pour suivre l'inclination qu'il avoit pour cet Art, & lui ôtoit le loisir de s'amuser aussi agréablement ; ce qui fait que nous avons très-peu de choses de lui en ce genre ; ces Ouvrages sont fort estimés. (M. de la Hire, le Médecin)|Deux autres morceaux peints à Gouassesic, par feu M. de la Hire le Médecin, fils de l'Astronome, & petit-fils du peintre du même nom. L'un de ces morceaux représente un Paysage, & l'autre un sujet galand.*note en bas de page : J'ai connu très-particuliérement M. de la Hire. Auteur de ces deux morceaux : c'étoit un homme de moeurs, & d'une société douce & agréable : il avoit beaucoup de goût, & d'amour pour le Dessein, & pour la Peinture ; mais l'art de la Médecine qu'il proffessoit & l'étude particuliére qu'il faisoit des Plantes, lui donnoient trop d'occupation, pour lui laisser la Liberté pour suivre l'inclination qu'il avoit pour cet Art, & lui ôtoit le loisir de s'amuser aussi agréablement ; ce qui fait que nous avons très-peu de choses de lui en ce genre ; ces Ouvrages sont fort estimés.]] réalisée par M. de la Hire, le Médecin, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Le Marquis de Bacville au prix de 33.1 frs. [297]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Carousel de Monseigneur le Dauphin, fils de Louis XIV. sous le titre du Carousel des Dames, fait à Versailles, en 1686. en cinquante-un morceaux, y compris deux cartouches, & l'explication proprement décrite sur velin ; le tout dessiné & colorié avec grand soin. (artiste anonyme)|Le Carousel de Monseigneur le Dauphin, fils de Louis XIV. sous le titre du Carousel des Dames, fait à Versailles, en 1686. en cinquante-un morceaux, y compris deux cartouches, & l'explication proprement décrite sur velin ; le tout dessiné & colorié avec grand soin.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quentin de Lorangere au prix de 30.19 frs. [326]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro. (Cotelle)|Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro.]] réalisée par Cotelle, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Joullain au prix de 790 frs. [341]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro. (Bernin)|Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro.]] réalisée par Bernin, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Joullain au prix de 790 frs. [342]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro. (Italien)|Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro.]] réalisée par Italien, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Joullain au prix de 790 frs. [343]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro. (François)|Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro.]] réalisée par François, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Joullain au prix de 790 frs. [344]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro. (artiste anonyme)|Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Joullain au prix de 790 frs. [345]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro. (artiste anonyme)|Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Joullain au prix de 790 frs. [346]
  • 1744.03.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro. (artiste anonyme)|Une suite considérable de divers desseins, de décorations & habillemens de Théâtre, en près de dix-huit cens cinquante morceaux, dont la plûpart sont faits par Cortelle, Bernin, & autres bons Maîtres en ce genre, tant Italiens que François. Deux cent douze de ces Desseins sont au traits, & le reste est déssind'e, & lavé à l'encre de la Chine ou coloriés ; cette suite est unique, & n'a jamis été poussée à une si grande quantité : ce qui en forme le fond, est le choix que feu M. de Lorengere a fait sur tous les Desseins de ce genre, que possédoit feu M. du Ronderet, qui avoit passé toute sa vie, non-seulement à ramasser tout ce qu'il pouvoit trouver qui eût rapport aux habillemens, & aux décorations de Théatre, mais qui faisoit même travailler tous les bons Dessinateurs qui vouloient bien se prêter à ses idées sur cette collection. Outre ce choix nombreux, fait après le décès de M. du Ronderet, feu M. de Lorangere y a joint ce qu'il avoit recueilli sur cette matière, & il a toujours été occupé depuis à l'augmenter de ce qu'il pouvoit trouver de nouveau & de curieux ; ainsi il est facile de sentir le mérite d'une pareille collection, dont l'étendue n'a pû parvenir à un si haut point, sans une grande dépense & une grande recherche. Cette suite est en quinze Volumes in-folio, d'une condition parfaite, dont six contiennent les habillemens, & les neuf autres renferment les décorations : cet article ne pouvant être démembré sans en diminuer le mérite, il sera vendu en entier sous le même numéro.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Quentin de Lorangere, achetée par Joullain au prix de 790 frs. [347]