Ventes d'œuvres le 1753.04.-

De Wikipast
Aller à la navigation Aller à la recherche
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Folie caractérisée par sa Marotte, & dans un abandon de sa personne, qui désigne assez la bisarrerie de ses caprices. Ce Tableau qui est de la main d'Antoine Correge, & l'un des plus parfaits ouvrages de cet homme incomparable, représentoit si-devant Io recevant les embrassemens de Jupiter transformé en nuùe. Ceux qui l'ont vû dans son premier état, conviendront que le sujet trop lascif, pouvoit être dangeureux, & que Mgr le Duc d'Orléans, Prince d'une piété exemplaire, agissoit avec sagesse lorqu'il prit la résolution de le détruire. D'un autre côté la peinture sembloit réclamer un ouvrage dont la perte lui devoit être infiniment préjudiciable, & le Prince qui cultivoit & qui aimoit les Arts ne fut point insensible à ses cris. Dans un premier mouvement il avoit supprimé la tête d'Io. Il en demeura là, & fit présent du Tableau, ainsi dégradé, à feu M. Coypel son premier Peintre, dont la pureté des moeurs lui étoit connue & lui répondoit qu'il n'abuseroit point de son dépôt. Devennu possesseur d'un morceau si rare, M.Coypel obtint de Mgr le Duc d'Orléans la permission de le réparer. Son premier soin fut de rétablir la tête qui n'étoit plus, & de lui chercher une autre tournure & un autre caractere. Il a achevé de faire disparoître cette tête & cette main du Dieu qui, quoiqu'enveloppées dans la nuë, ne se faisoient que trop distinguer, il a fait tenir à la figure une marotte pour masquer d'avantage le sujet, & laissant subsister toutes les autres parties duTableau qui sont demeurées pures, il a trouvé le secret d'en faire un morceau intéressant & agréable, qui, malgré les changemens qu'il a éprouvés, peut être encore reçu dans les meilleurs Cabinets & y occuper une place auprès de ce qu'il y a de plus rare & de plus exquis. Il reste à faire remarquer que cet admirable Tableau faisoit partie de ceux que S. A. R. Mgr le Duc d'Orléans Régent fit acheter à Rome des héritiers de Dom Livio Odescalschi, & qu'auparavant il avoit appartenu à Christine Reine de Suede. (Antoine Correge)|La Folie caractérisée par sa Marotte, & dans un abandon de sa personne, qui désigne assez la bisarrerie de ses caprices. Ce Tableau qui est de la main d'Antoine Correge, & l'un des plus parfaits ouvrages de cet homme incomparable, représentoit si-devant Io recevant les embrassemens de Jupiter transformé en nuùe. Ceux qui l'ont vû dans son premier état, conviendront que le sujet trop lascif, pouvoit être dangeureux, & que Mgr le Duc d'Orléans, Prince d'une piété exemplaire, agissoit avec sagesse lorqu'il prit la résolution de le détruire. D'un autre côté la peinture sembloit réclamer un ouvrage dont la perte lui devoit être infiniment préjudiciable, & le Prince qui cultivoit & qui aimoit les Arts ne fut point insensible à ses cris. Dans un premier mouvement il avoit supprimé la tête d'Io. Il en demeura là, & fit présent du Tableau, ainsi dégradé, à feu M. Coypel son premier Peintre, dont la pureté des moeurs lui étoit connue & lui répondoit qu'il n'abuseroit point de son dépôt. Devennu possesseur d'un morceau si rare, M.Coypel obtint de Mgr le Duc d'Orléans la permission de le réparer. Son premier soin fut de rétablir la tête qui n'étoit plus, & de lui chercher une autre tournure & un autre caractere. Il a achevé de faire disparoître cette tête & cette main du Dieu qui, quoiqu'enveloppées dans la nuë, ne se faisoient que trop distinguer, il a fait tenir à la figure une marotte pour masquer d'avantage le sujet, & laissant subsister toutes les autres parties duTableau qui sont demeurées pures, il a trouvé le secret d'en faire un morceau intéressant & agréable, qui, malgré les changemens qu'il a éprouvés, peut être encore reçu dans les meilleurs Cabinets & y occuper une place auprès de ce qu'il y a de plus rare & de plus exquis. Il reste à faire remarquer que cet admirable Tableau faisoit partie de ceux que S. A. R. Mgr le Duc d'Orléans Régent fit acheter à Rome des héritiers de Dom Livio Odescalschi, & qu'auparavant il avoit appartenu à Christine Reine de Suede.]] réalisée par Antoine Correge, vendue par Coypel, achetée par Bouret Fermier gnl au prix de 5602 frs. [13]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Tableau des Amours de Léda & de Jupiter métamorphosé en Cigne, autre ouvrage inimitable du divin Correge, & qui étoit encore un des Tableaux du Palais Royal, il a eu le même fort que l'Io. Feu M. Coypel l'a reçû des mains de Monseigneur le Duc d'Orleans, divisé en trois morceaux ; mais cependant assez entier, pour en pouvoir former trois Tableaux, qui, pris séparément, donnent chacun un sujet complet & des plus gracieux. Le premier, de 3 pieds en quarré, renferme la Léda, & si l'on en excepte la tête de femme que M. Coypel a rétablie, & le Cigne, dont l'attitude réformée en partie, ne présente plus rien que de fort innocent, le Tableau concerve tout ce que le Correge y a mis : ces graces touchantes & fines, cette pureté de contour, & cette fraicheur de carnation, qu'on ne voit en un si éminent dégré de perfection dans aucune des productions des autres Peintres. Les deux autres Tableaux de 4 pieds 10 pouces de haut, sur 2 pieds de large, sont faits pour aller ensemble, & sont tels qu'ils sont sortis des mains du Correge. Dans le premier, l'Amour assis dans un agéable bocage, fait rendre à sa lyre des sons mélodieux, tandis que deux Enfans à ses pieds, sonnent chacun de la conque. Le second Tableau représente deux Compagnes de Léda, ou Léda elle-même dans deux situations différentes. On la voit se défendant contre un Cigne qui veut l'approcher, & dans un autre endroit reprenant ses vêtemens au sortir de la fontaine où elle s'est baignée. Il restoit une petite tête de femme, qui, lorsque le Tableau subsistoit en entier, étoit voisine de la principale figure, & pour ne rien perdre d'un si rare morceau, M. Coypel l'a encore recueillie, & en a fait un petit Tableau séparé de 8 pouces de haut sur 6 de large. Tels sont les respectables & précieux vestiges de deux des plus fameux Tableaux qui soient au monde, & l'on peut être assuré que de long-tems l'on ne verra exposé dans une vente publique, rien d'aussi rare ni d'aussi exquis. A mesure que les tableaux du Correge & de ses semblables approchent de leur fin, ils se refugient, comme autrefois ceux d'Apelles, dans les Palais des Princes, pour n'en plus sortir ; & bientôt il ne sera plus permis aux simples particuliers d'en posseder. (Correge)|Le Tableau des Amours de Léda & de Jupiter métamorphosé en Cigne, autre ouvrage inimitable du divin Correge, & qui étoit encore un des Tableaux du Palais Royal, il a eu le même fort que l'Io. Feu M. Coypel l'a reçû des mains de Monseigneur le Duc d'Orleans, divisé en trois morceaux ; mais cependant assez entier, pour en pouvoir former trois Tableaux, qui, pris séparément, donnent chacun un sujet complet & des plus gracieux. Le premier, de 3 pieds en quarré, renferme la Léda, & si l'on en excepte la tête de femme que M. Coypel a rétablie, & le Cigne, dont l'attitude réformée en partie, ne présente plus rien que de fort innocent, le Tableau concerve tout ce que le Correge y a mis : ces graces touchantes & fines, cette pureté de contour, & cette fraicheur de carnation, qu'on ne voit en un si éminent dégré de perfection dans aucune des productions des autres Peintres. Les deux autres Tableaux de 4 pieds 10 pouces de haut, sur 2 pieds de large, sont faits pour aller ensemble, & sont tels qu'ils sont sortis des mains du Correge. Dans le premier, l'Amour assis dans un agéable bocage, fait rendre à sa lyre des sons mélodieux, tandis que deux Enfans à ses pieds, sonnent chacun de la conque. Le second Tableau représente deux Compagnes de Léda, ou Léda elle-même dans deux situations différentes. On la voit se défendant contre un Cigne qui veut l'approcher, & dans un autre endroit reprenant ses vêtemens au sortir de la fontaine où elle s'est baignée. Il restoit une petite tête de femme, qui, lorsque le Tableau subsistoit en entier, étoit voisine de la principale figure, & pour ne rien perdre d'un si rare morceau, M. Coypel l'a encore recueillie, & en a fait un petit Tableau séparé de 8 pouces de haut sur 6 de large. Tels sont les respectables & précieux vestiges de deux des plus fameux Tableaux qui soient au monde, & l'on peut être assuré que de long-tems l'on ne verra exposé dans une vente publique, rien d'aussi rare ni d'aussi exquis. A mesure que les tableaux du Correge & de ses semblables approchent de leur fin, ils se refugient, comme autrefois ceux d'Apelles, dans les Palais des Princes, pour n'en plus sortir ; & bientôt il ne sera plus permis aux simples particuliers d'en posseder.]] réalisée par Correge, vendue par Coypel, achetée par Pasquier au prix de 16050 frs. [14]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Tableau des Amours de Léda & de Jupiter métamorphosé en Cigne, autre ouvrage inimitable du divin Correge, & qui étoit encore un des Tableaux du Palais Royal, il a eu le même fort que l'Io. Feu M. Coypel l'a reçû des mains de Monseigneur le Duc d'Orleans, divisé en trois morceaux ; mais cependant assez entier, pour en pouvoir former trois Tableaux, qui, pris séparément, donnent chacun un sujet complet & des plus gracieux. Le premier, de 3 pieds en quarré, renferme la Léda, & si l'on en excepte la tête de femme que M. Coypel a rétablie, & le Cigne, dont l'attitude réformée en partie, ne présente plus rien que de fort innocent, le Tableau concerve tout ce que le Correge y a mis : ces graces touchantes & fines, cette pureté de contour, & cette fraicheur de carnation, qu'on ne voit en un si éminent dégré de perfection dans aucune des productions des autres Peintres. Les deux autres Tableaux de 4 pieds 10 pouces de haut, sur 2 pieds de large, sont faits pour aller ensemble, & sont tels qu'ils sont sortis des mains du Correge. Dans le premier, l'Amour assis dans un agéable bocage, fait rendre à sa lyre des sons mélodieux, tandis que deux Enfans à ses pieds, sonnent chacun de la conque. Le second Tableau représente deux Compagnes de Léda, ou Léda elle-même dans deux situations différentes. On la voit se défendant contre un Cigne qui veut l'approcher, & dans un autre endroit reprenant ses vêtemens au sortir de la fontaine où elle s'est baignée. Il restoit une petite tête de femme, qui, lorsque le Tableau subsistoit en entier, étoit voisine de la principale figure, & pour ne rien perdre d'un si rare morceau, M. Coypel l'a encore recueillie, & en a fait un petit Tableau séparé de 8 pouces de haut sur 6 de large. Tels sont les respectables & précieux vestiges de deux des plus fameux Tableaux qui soient au monde, & l'on peut être assuré que de long-tems l'on ne verra exposé dans une vente publique, rien d'aussi rare ni d'aussi exquis. A mesure que les tableaux du Correge & de ses semblables approchent de leur fin, ils se refugient, comme autrefois ceux d'Apelles, dans les Palais des Princes, pour n'en plus sortir ; & bientôt il ne sera plus permis aux simples particuliers d'en posseder. (Correge)|Le Tableau des Amours de Léda & de Jupiter métamorphosé en Cigne, autre ouvrage inimitable du divin Correge, & qui étoit encore un des Tableaux du Palais Royal, il a eu le même fort que l'Io. Feu M. Coypel l'a reçû des mains de Monseigneur le Duc d'Orleans, divisé en trois morceaux ; mais cependant assez entier, pour en pouvoir former trois Tableaux, qui, pris séparément, donnent chacun un sujet complet & des plus gracieux. Le premier, de 3 pieds en quarré, renferme la Léda, & si l'on en excepte la tête de femme que M. Coypel a rétablie, & le Cigne, dont l'attitude réformée en partie, ne présente plus rien que de fort innocent, le Tableau concerve tout ce que le Correge y a mis : ces graces touchantes & fines, cette pureté de contour, & cette fraicheur de carnation, qu'on ne voit en un si éminent dégré de perfection dans aucune des productions des autres Peintres. Les deux autres Tableaux de 4 pieds 10 pouces de haut, sur 2 pieds de large, sont faits pour aller ensemble, & sont tels qu'ils sont sortis des mains du Correge. Dans le premier, l'Amour assis dans un agéable bocage, fait rendre à sa lyre des sons mélodieux, tandis que deux Enfans à ses pieds, sonnent chacun de la conque. Le second Tableau représente deux Compagnes de Léda, ou Léda elle-même dans deux situations différentes. On la voit se défendant contre un Cigne qui veut l'approcher, & dans un autre endroit reprenant ses vêtemens au sortir de la fontaine où elle s'est baignée. Il restoit une petite tête de femme, qui, lorsque le Tableau subsistoit en entier, étoit voisine de la principale figure, & pour ne rien perdre d'un si rare morceau, M. Coypel l'a encore recueillie, & en a fait un petit Tableau séparé de 8 pouces de haut sur 6 de large. Tels sont les respectables & précieux vestiges de deux des plus fameux Tableaux qui soient au monde, & l'on peut être assuré que de long-tems l'on ne verra exposé dans une vente publique, rien d'aussi rare ni d'aussi exquis. A mesure que les tableaux du Correge & de ses semblables approchent de leur fin, ils se refugient, comme autrefois ceux d'Apelles, dans les Palais des Princes, pour n'en plus sortir ; & bientôt il ne sera plus permis aux simples particuliers d'en posseder.]] réalisée par Correge, vendue par Coypel, achetée par Pasquier au prix de 16050 frs. [15]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Tableau des Amours de Léda & de Jupiter métamorphosé en Cigne, autre ouvrage inimitable du divin Correge, & qui étoit encore un des Tableaux du Palais Royal, il a eu le même fort que l'Io. Feu M. Coypel l'a reçû des mains de Monseigneur le Duc d'Orleans, divisé en trois morceaux ; mais cependant assez entier, pour en pouvoir former trois Tableaux, qui, pris séparément, donnent chacun un sujet complet & des plus gracieux. Le premier, de 3 pieds en quarré, renferme la Léda, & si l'on en excepte la tête de femme que M. Coypel a rétablie, & le Cigne, dont l'attitude réformée en partie, ne présente plus rien que de fort innocent, le Tableau concerve tout ce que le Correge y a mis : ces graces touchantes & fines, cette pureté de contour, & cette fraicheur de carnation, qu'on ne voit en un si éminent dégré de perfection dans aucune des productions des autres Peintres. Les deux autres Tableaux de 4 pieds 10 pouces de haut, sur 2 pieds de large, sont faits pour aller ensemble, & sont tels qu'ils sont sortis des mains du Correge. Dans le premier, l'Amour assis dans un agéable bocage, fait rendre à sa lyre des sons mélodieux, tandis que deux Enfans à ses pieds, sonnent chacun de la conque. Le second Tableau représente deux Compagnes de Léda, ou Léda elle-même dans deux situations différentes. On la voit se défendant contre un Cigne qui veut l'approcher, & dans un autre endroit reprenant ses vêtemens au sortir de la fontaine où elle s'est baignée. Il restoit une petite tête de femme, qui, lorsque le Tableau subsistoit en entier, étoit voisine de la principale figure, & pour ne rien perdre d'un si rare morceau, M. Coypel l'a encore recueillie, & en a fait un petit Tableau séparé de 8 pouces de haut sur 6 de large. Tels sont les respectables & précieux vestiges de deux des plus fameux Tableaux qui soient au monde, & l'on peut être assuré que de long-tems l'on ne verra exposé dans une vente publique, rien d'aussi rare ni d'aussi exquis. A mesure que les tableaux du Correge & de ses semblables approchent de leur fin, ils se refugient, comme autrefois ceux d'Apelles, dans les Palais des Princes, pour n'en plus sortir ; & bientôt il ne sera plus permis aux simples particuliers d'en posseder. (Correge)|Le Tableau des Amours de Léda & de Jupiter métamorphosé en Cigne, autre ouvrage inimitable du divin Correge, & qui étoit encore un des Tableaux du Palais Royal, il a eu le même fort que l'Io. Feu M. Coypel l'a reçû des mains de Monseigneur le Duc d'Orleans, divisé en trois morceaux ; mais cependant assez entier, pour en pouvoir former trois Tableaux, qui, pris séparément, donnent chacun un sujet complet & des plus gracieux. Le premier, de 3 pieds en quarré, renferme la Léda, & si l'on en excepte la tête de femme que M. Coypel a rétablie, & le Cigne, dont l'attitude réformée en partie, ne présente plus rien que de fort innocent, le Tableau concerve tout ce que le Correge y a mis : ces graces touchantes & fines, cette pureté de contour, & cette fraicheur de carnation, qu'on ne voit en un si éminent dégré de perfection dans aucune des productions des autres Peintres. Les deux autres Tableaux de 4 pieds 10 pouces de haut, sur 2 pieds de large, sont faits pour aller ensemble, & sont tels qu'ils sont sortis des mains du Correge. Dans le premier, l'Amour assis dans un agéable bocage, fait rendre à sa lyre des sons mélodieux, tandis que deux Enfans à ses pieds, sonnent chacun de la conque. Le second Tableau représente deux Compagnes de Léda, ou Léda elle-même dans deux situations différentes. On la voit se défendant contre un Cigne qui veut l'approcher, & dans un autre endroit reprenant ses vêtemens au sortir de la fontaine où elle s'est baignée. Il restoit une petite tête de femme, qui, lorsque le Tableau subsistoit en entier, étoit voisine de la principale figure, & pour ne rien perdre d'un si rare morceau, M. Coypel l'a encore recueillie, & en a fait un petit Tableau séparé de 8 pouces de haut sur 6 de large. Tels sont les respectables & précieux vestiges de deux des plus fameux Tableaux qui soient au monde, & l'on peut être assuré que de long-tems l'on ne verra exposé dans une vente publique, rien d'aussi rare ni d'aussi exquis. A mesure que les tableaux du Correge & de ses semblables approchent de leur fin, ils se refugient, comme autrefois ceux d'Apelles, dans les Palais des Princes, pour n'en plus sortir ; & bientôt il ne sera plus permis aux simples particuliers d'en posseder.]] réalisée par Correge, vendue par Coypel, achetée par Pasquier au prix de 16050 frs. [16]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus-Christ l'Homme de douleurs, la tête couronnée d'épines, & un roseau à la main ; demie figure. Le Guide, fameux Peintre de l'Ecole de Boulogne, étoit dans toute sa force, lorsqu'il peignit cet excellent Tableau. Tout y est admirable, élégant de contours, justesse d'expresssion, fermeté de touche, fraicheur de teintes ; c'est un morceau accompli ; c'est la chair même. Il est sur toile, aussi frais que s'il venoit d'être peint. (Le Guide)|Jésus-Christ l'Homme de douleurs, la tête couronnée d'épines, & un roseau à la main ; demie figure. Le Guide, fameux Peintre de l'Ecole de Boulogne, étoit dans toute sa force, lorsqu'il peignit cet excellent Tableau. Tout y est admirable, élégant de contours, justesse d'expresssion, fermeté de touche, fraicheur de teintes ; c'est un morceau accompli ; c'est la chair même. Il est sur toile, aussi frais que s'il venoit d'être peint.]] réalisée par Le Guide, vendue par Coypel, achetée par Me la Dauphine pour le Roi de Pologne au prix de 1800 frs. [25]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte Vierge conduite au Ciel par les Anges : ce Tableau qui est d'un grand fini, a toujours passé pour être du Guide, & feu M. Coypel n'en doutoit point. On estime cependant qu'il est plutôt du Pesarese, le principal éleve du Guide, & il n'en est pas moins précieux : il est peint sur bois. (Pesarese)|La Sainte Vierge conduite au Ciel par les Anges : ce Tableau qui est d'un grand fini, a toujours passé pour être du Guide, & feu M. Coypel n'en doutoit point. On estime cependant qu'il est plutôt du Pesarese, le principal éleve du Guide, & il n'en est pas moins précieux : il est peint sur bois.]] réalisée par Pesarese, vendue par Coypel au prix de 123 frs. [26]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Rencontre de Jacob & d'Essaü, belle esquisse de Pierre Paul Rubens, pleine d'esprit, & qui par ce seul endroit plait peut-être encore davantage qu'un Tableau qui seroit terminé. Aussi fait-on un cas particulier de tout ce qu'un premier feu a fait produire à ce grand homme. Cette composition est suffisamment connue par l'estampe qu'en a gravé Pierre de Bailliu : le Tableau est sur toile. (Pierre Paul Rubens)|Rencontre de Jacob & d'Essaü, belle esquisse de Pierre Paul Rubens, pleine d'esprit, & qui par ce seul endroit plait peut-être encore davantage qu'un Tableau qui seroit terminé. Aussi fait-on un cas particulier de tout ce qu'un premier feu a fait produire à ce grand homme. Cette composition est suffisamment connue par l'estampe qu'en a gravé Pierre de Bailliu : le Tableau est sur toile.]] réalisée par Pierre Paul Rubens, vendue par Coypel, achetée par Hecquet pour Lempereur au prix de 431.1 frs. [38]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Triomphe de Henry IV. belle esquisse de Rubens, pour un des Tableaux qu'il devoit peindre dans une seconde Galerie du Palais de Luxembourg, & qui auroient représenté les événements les plus mémorables de la Vie de Henry IV. Cette esquisse peinte sur bois. (Rubens)|Triomphe de Henry IV. belle esquisse de Rubens, pour un des Tableaux qu'il devoit peindre dans une seconde Galerie du Palais de Luxembourg, & qui auroient représenté les événements les plus mémorables de la Vie de Henry IV. Cette esquisse peinte sur bois.]] réalisée par Rubens, vendue par Coypel, achetée par Me la Dauphine pour le Roi de Pologne au prix de 1800 frs. [42]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Diane & Endymion. Ce Berger à genoux & en habit de chasseur, attend un couronne de fleurs que lui prépare la Déesse, & celle-ci a un croissant dans sa coëffure. Voilà ce qui a fait penser que le sujet de ce Tableau pouvoit être celui que nous indiquons, & qui sans cela seroit méconnoissable, tant les regles du Costume y sont horriblement violées. Il ne faut y chercher que de la couleur, & une grande intelligence de clairobscur ; mais si l'on se renferme dans ces seules parties, on trouvera que Rembrandt, auteur de ce Tableau, n'a rien fait de mieux. Le fond qui est un Paysage, est admirable. (Rembrandt)|Diane & Endymion. Ce Berger à genoux & en habit de chasseur, attend un couronne de fleurs que lui prépare la Déesse, & celle-ci a un croissant dans sa coëffure. Voilà ce qui a fait penser que le sujet de ce Tableau pouvoit être celui que nous indiquons, & qui sans cela seroit méconnoissable, tant les regles du Costume y sont horriblement violées. Il ne faut y chercher que de la couleur, & une grande intelligence de clairobscur ; mais si l'on se renferme dans ces seules parties, on trouvera que Rembrandt, auteur de ce Tableau, n'a rien fait de mieux. Le fond qui est un Paysage, est admirable.]] réalisée par Rembrandt, vendue par Coypel, achetée par Joullain au prix de 140 frs. [51]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une demi Figure représentant une Vieille Femme ayant la main droite en écharpe & sur la tête une espece de capote de couleur brune, au moyen de quoi les chairs paroissent plus brillantes, & le Tableau acquiert une intelligence de clairobscur, telle que l'a sçû pratiquer le fameux Rembrandt, auteur de ce bel ouvrage. (Rembrandt)|Une demi Figure représentant une Vieille Femme ayant la main droite en écharpe & sur la tête une espece de capote de couleur brune, au moyen de quoi les chairs paroissent plus brillantes, & le Tableau acquiert une intelligence de clairobscur, telle que l'a sçû pratiquer le fameux Rembrandt, auteur de ce bel ouvrage.]] réalisée par Rembrandt, vendue par Coypel au prix de 82.1 frs. [55]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Tête de Viellard, & une de Femme ayant un bonnet garni de plumes ; toutes deux copiées d'après Rembrandt, la premiere ayant 2 pieds 2 pouces de haut & 21 pouces de large sur 21 pouces de large, & la seconde 20 pouces de haut sur 18 de large. (Rembrandt)|Une Tête de Viellard, & une de Femme ayant un bonnet garni de plumes ; toutes deux copiées d'après Rembrandt, la premiere ayant 2 pieds 2 pouces de haut & 21 pouces de large sur 21 pouces de large, & la seconde 20 pouces de haut sur 18 de large.]] réalisée par Rembrandt, vendue par Coypel au prix de 10 4 frs. [59]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Tête de Viellard, & une de Femme ayant un bonnet garni de plumes ; toutes deux copiées d'après Rembrandt, la premiere ayant 2 pieds 2 pouces de haut & 21 pouces de large sur 21 pouces de large, & la seconde 20 pouces de haut sur 18 de large. (Rembrandt)|Une Tête de Viellard, & une de Femme ayant un bonnet garni de plumes ; toutes deux copiées d'après Rembrandt, la premiere ayant 2 pieds 2 pouces de haut & 21 pouces de large sur 21 pouces de large, & la seconde 20 pouces de haut sur 18 de large.]] réalisée par Rembrandt, vendue par Coypel au prix de 13 5 frs. [60]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Cuisine remplie de tous les meubles & de tout l'attirail qui lui est nécessaire, & dans laquelle représentée une Servante qui écure un pot de terre, & un Paysan qui lui fait des caresses : on ne peut trop faire valoir l'intelligence qui régne dans ce Tableau de David Teniers. (David Teniers)|Une Cuisine remplie de tous les meubles & de tout l'attirail qui lui est nécessaire, & dans laquelle représentée une Servante qui écure un pot de terre, & un Paysan qui lui fait des caresses : on ne peut trop faire valoir l'intelligence qui régne dans ce Tableau de David Teniers.]] réalisée par David Teniers, vendue par Coypel au prix de 450 frs. [63]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Tabagie, par David Teniers ; c'est un des plus beauxTableaux de ce Maître, la touche en est précieuse, & il est d'autant plus agréable, qu'il est clair dans toutes ses parties : il vient du Cabinet de M. de la Faye ; il est de la plus parfaite conservation. (David Teniers)|Une Tabagie, par David Teniers ; c'est un des plus beauxTableaux de ce Maître, la touche en est précieuse, & il est d'autant plus agréable, qu'il est clair dans toutes ses parties : il vient du Cabinet de M. de la Faye ; il est de la plus parfaite conservation.]] réalisée par David Teniers, vendue par Coypel, achetée par Leleu pour le Roi de Pologne au prix de 370 frs. [64]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Payasage représentant un Hyver : Tableau peint sur bois par Jacques Foucquier. On n'en connoit point de ce Maître qui soit touché avec plus de fermeté, ni qui imite mieux les effets de la nature : c'est un morceau singulier dans son genre, & qui a beaucoup de la maniere du Breughel. (Jacques Foucquier)|Un Payasage représentant un Hyver : Tableau peint sur bois par Jacques Foucquier. On n'en connoit point de ce Maître qui soit touché avec plus de fermeté, ni qui imite mieux les effets de la nature : c'est un morceau singulier dans son genre, & qui a beaucoup de la maniere du Breughel.]] réalisée par Jacques Foucquier, vendue par Coypel au prix de 119.19 frs. [69]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saturne dans l'Olympe au milieu de génies & de diverses figures allégoriques, & Jupiter avec un pareil accompagnement de figures. Ces deux sujets faits pour être exécutés en plafond sont peints par Noel Coypel le pere, & sont richement composés. (Noel Coypel le pere)|Saturne dans l'Olympe au milieu de génies & de diverses figures allégoriques, & Jupiter avec un pareil accompagnement de figures. Ces deux sujets faits pour être exécutés en plafond sont peints par Noel Coypel le pere, & sont richement composés.]] réalisée par Noel Coypel le pere, vendue par Coypel, achetée par Silvestre au prix de 252 frs. [76]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Paysages de même grandeur & pendants, peints sur toile par Antoine Wateau, qui paroit y avoir voulu imiter la maniere de Forest ; l'un représente une Chasse aux oiseaux, & dans l'autre est Acis & Galathée : ils ont été gravés par le Sieur Joullain, & sont d'un grand effet. (Antoine Wateau)|Deux Paysages de même grandeur & pendants, peints sur toile par Antoine Wateau, qui paroit y avoir voulu imiter la maniere de Forest ; l'un représente une Chasse aux oiseaux, & dans l'autre est Acis & Galathée : ils ont été gravés par le Sieur Joullain, & sont d'un grand effet.]] réalisée par Antoine Wateau, vendue par Coypel au prix de 50 10 frs. [109]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Peinture & la Sculpture, représentées avec des Enfans qui exercent ces deux Arts, en deux Tableaux de forme ovale, de deux pieds de haut sur deux pieds quatre pouces de large ; le premier peint par François le Moyne, premier Peintre du Roi, & l'un de ses plus beaux ouvrages ; le second par Jean François de Troy, mort Directeur de l'Académie de France à Rome : ils seront vendus conjointement. (François le Moyne)|La Peinture & la Sculpture, représentées avec des Enfans qui exercent ces deux Arts, en deux Tableaux de forme ovale, de deux pieds de haut sur deux pieds quatre pouces de large ; le premier peint par François le Moyne, premier Peintre du Roi, & l'un de ses plus beaux ouvrages ; le second par Jean François de Troy, mort Directeur de l'Académie de France à Rome : ils seront vendus conjointement.]] réalisée par François le Moyne, vendue par Coypel, achetée par lLe Baron de Thiers au prix de 620 frs. [113]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Peinture & la Sculpture, représentées avec des Enfans qui exercent ces deux Arts, en deux Tableaux de forme ovale, de deux pieds de haut sur deux pieds quatre pouces de large ; le premier peint par François le Moyne, premier Peintre du Roi, & l'un de ses plus beaux ouvrages ; le second par Jean François de Troy, mort Directeur de l'Académie de France à Rome : ils seront vendus conjointement. (Jean François de Troy)|La Peinture & la Sculpture, représentées avec des Enfans qui exercent ces deux Arts, en deux Tableaux de forme ovale, de deux pieds de haut sur deux pieds quatre pouces de large ; le premier peint par François le Moyne, premier Peintre du Roi, & l'un de ses plus beaux ouvrages ; le second par Jean François de Troy, mort Directeur de l'Académie de France à Rome : ils seront vendus conjointement.]] réalisée par Jean François de Troy, vendue par Coypel, achetée par Baron de Thiers au prix de 620 frs. [114]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Minerve prenant soin de l'Education de Louis XV. & le conduisant dans le chemin qui mene au Temple de Mémoire : Tableau qui est en petit, le même qu'on voit en grand dans la Salle de l'Académie des Belles Lettres : il a 2 pieds de haut sur 1 pied 6 pouces de large, & a été gravé par Pierre Drevet le fils. (Antoine Coypel)|Minerve prenant soin de l'Education de Louis XV. & le conduisant dans le chemin qui mene au Temple de Mémoire : Tableau qui est en petit, le même qu'on voit en grand dans la Salle de l'Académie des Belles Lettres : il a 2 pieds de haut sur 1 pied 6 pouces de large, & a été gravé par Pierre Drevet le fils.]] réalisée par Antoine Coypel, vendue par Coypel au prix de 48 frs. [120]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux pendans peints sur cuivre, l'un représentant Zéphire & Flore, & l'autre Vertune & Pomone, en demie figure : ils ont été gravés, le premier par M. Gaspard Duchanvre, & le second par Corn. Vermeulen, & sont aussi terminés qu'ils sont d'une agréable composition. (Antoine Coypel)|Deux Tableaux pendans peints sur cuivre, l'un représentant Zéphire & Flore, & l'autre Vertune & Pomone, en demie figure : ils ont été gravés, le premier par M. Gaspard Duchanvre, & le second par Corn. Vermeulen, & sont aussi terminés qu'ils sont d'une agréable composition.]] réalisée par Antoine Coypel, vendue par Coypel, achetée par Porcien au prix de 252 frs. [124]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Assemblée des Dieux dans l'Olympe ; Tableau du milieu du Plafond de la Galerie du Palais Royale, réduit en petit par Ant. Coypel lui-même, sur une toile de 3 pieds 6 pouces de haut & 4 pieds de large. Ce Morceau, connu par l'Estampe qu'a gravé le sieur Tardieu, est très-agréable, & peut servir à plafonner un Cabinet. (Antoine Coypel)|L'Assemblée des Dieux dans l'Olympe ; Tableau du milieu du Plafond de la Galerie du Palais Royale, réduit en petit par Ant. Coypel lui-même, sur une toile de 3 pieds 6 pouces de haut & 4 pieds de large. Ce Morceau, connu par l'Estampe qu'a gravé le sieur Tardieu, est très-agréable, & peut servir à plafonner un Cabinet.]] réalisée par Antoine Coypel, vendue par Coypel. [125]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysan Hollandois se montrant à la fenêtre avec un Enfant ; copie en grand d'un Tableau d'Ostade, faite par M. Ch. Coypel, & qui a tout le mérite d'un original ; car ce ne sont point les mêmes caracteres de têtes ; ils ont dans la copie une noblesse que n'a point connu le Peintre Hollandois. (Charles Coypel)|Un Paysan Hollandois se montrant à la fenêtre avec un Enfant ; copie en grand d'un Tableau d'Ostade, faite par M. Ch. Coypel, & qui a tout le mérite d'un original ; car ce ne sont point les mêmes caracteres de têtes ; ils ont dans la copie une noblesse que n'a point connu le Peintre Hollandois.]] réalisée par Charles Coypel, vendue par Coypel, achetée par L'abbé Jolly au prix de 121 frs. [146]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune & aimable Fille portant une Colombe dans son sein ; copie très-exacte, faite par M. Charles Coypel pour son étude particuliere, d'un Pastel de l'illustre Mlle Rosalba, qui avoit été fait pour le Comte de Morville, & qui appartient à M. de Boullogne intendant des Finances. Elle est sous glace. (Charles Coypel)|Une jeune & aimable Fille portant une Colombe dans son sein ; copie très-exacte, faite par M. Charles Coypel pour son étude particuliere, d'un Pastel de l'illustre Mlle Rosalba, qui avoit été fait pour le Comte de Morville, & qui appartient à M. de Boullogne intendant des Finances. Elle est sous glace.]] réalisée par Charles Coypel, vendue par Coypel au prix de 151 frs. [154]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dix-neuf Têtes de différens caracteres, peintes sur carton, & qui sont les études faites d'après nature par M. Ch. Coypel, pour le Tableau de Jesus-Christ montré au peuple, qui étoit dans l'Eglise des Peres de l'Oratoire rue Saint Honoré, & qui a été transféré à Lyon, depuis la construction du nouveau Portail. Elles seront réparties en cinq lots, lors de la vente. (Charles Coypel)|Dix-neuf Têtes de différens caracteres, peintes sur carton, & qui sont les études faites d'après nature par M. Ch. Coypel, pour le Tableau de Jesus-Christ montré au peuple, qui étoit dans l'Eglise des Peres de l'Oratoire rue Saint Honoré, & qui a été transféré à Lyon, depuis la construction du nouveau Portail. Elles seront réparties en cinq lots, lors de la vente.]] réalisée par Charles Coypel, vendue par Coypel au prix de 106.6 frs. [155]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Atelier d'un Peintre, & Diane & Endymion ; deux copies de Tableaux de Rembrandt ; Et les copies en petit du Tableau appellé la Nuit du Correge, de la Vierge au lapin du Titien, & de celui de Rubens représentant la tête de Saint Jean apportée sur la table d'Hérode. (Charles Coypel)|L'Atelier d'un Peintre, & Diane & Endymion ; deux copies de Tableaux de Rembrandt ; Et les copies en petit du Tableau appellé la Nuit du Correge, de la Vierge au lapin du Titien, & de celui de Rubens représentant la tête de Saint Jean apportée sur la table d'Hérode.]] réalisée par Charles Coypel, vendue par Coypel au prix de 43.18 frs. [165]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Martyre de Saint Pierre Dominiquain ; Tableau du Titien ; à Saint Jean & Paul à Venise. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs. (Titien)|Le Martyre de Saint Pierre Dominiquain ; Tableau du Titien ; à Saint Jean & Paul à Venise. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs.]] réalisée par Titien, vendue par Coypel au prix de 36 [ou] 142 frs. [174]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte Vierge accompagnée de saint François, de Saint Nicolas, de Saint Sébastien & de Sainte Catherine ; Tableau du même Titien, à Saint Nicoletto à Venise. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs. (Titien)|La Sainte Vierge accompagnée de saint François, de Saint Nicolas, de Saint Sébastien & de Sainte Catherine ; Tableau du même Titien, à Saint Nicoletto à Venise. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs.]] réalisée par Titien, vendue par Coypel au prix de 36 [ou] 142 frs. [175]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre Tableau de la Sainte Vierge accompagnée de saint Pierre, & de plusieurs nobles Vénitiens de la famille Pesaro ; peint par le Titien, dans l'Eglise des Frari, aussi à Venise. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs. (Titien)|Autre Tableau de la Sainte Vierge accompagnée de saint Pierre, & de plusieurs nobles Vénitiens de la famille Pesaro ; peint par le Titien, dans l'Eglise des Frari, aussi à Venise. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs.]] réalisée par Titien, vendue par Coypel au prix de 36 [ou] 142 frs. [176]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Communion de Saint Jerôme ; Tableau du Dominiquain, dans l'Eglise de Saint Jerôme de la Charité à Rome. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs. (Dominiquain)|La Communion de Saint Jerôme ; Tableau du Dominiquain, dans l'Eglise de Saint Jerôme de la Charité à Rome. Toutes ces Copies réduites en petit, & dans une même proportion de figures, ont été faites en Italie avec beaucoup de soin sur les originaux même ; on les vendra séparément suivant la volonté des acheteurs ; elles portent toutes trois pieds de haut sur différentes largeurs.]] réalisée par Dominiquain, vendue par Coypel au prix de 36 [ou] 142 frs. [177]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madelaine pénitente, méditant sur les saintes Ecritures, & couchée dans l'intérieur d'une grotte : copie du Tableau du Correge, qui est de la Galerie de Modene vient de passer dans celle de Dresde ; elle est de même grandeur que l'original. (Correge)|La Madelaine pénitente, méditant sur les saintes Ecritures, & couchée dans l'intérieur d'une grotte : copie du Tableau du Correge, qui est de la Galerie de Modene vient de passer dans celle de Dresde ; elle est de même grandeur que l'original.]] réalisée par Correge, vendue par Coypel au prix de 20 frs. [179]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Crucifiement de N. S. Tableau du Tintoret dans l'Ecole S. Marc à Venise, dont on a une belle Estampe gravée par Augustin Carrache : cette copie en petit, qui a 2 pieds de haut sur 4 de large, est fort belle & a été faite anciennement en Italie. (Tintoret)|Le Crucifiement de N. S. Tableau du Tintoret dans l'Ecole S. Marc à Venise, dont on a une belle Estampe gravée par Augustin Carrache : cette copie en petit, qui a 2 pieds de haut sur 4 de large, est fort belle & a été faite anciennement en Italie.]] réalisée par Tintoret, vendue par Coypel, achetée par des Bernard au prix de 63 frs. [182]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le repas donné à Jesus-Christ par Simon le Pharisien : copie en petit, exacte, & faite en Italie du fameux Tableau de Paul Veronese qui est dans le réfectoire du Monastere de SS. Jean & Paul à Venise, & dont il y a une Estampe gravée par Saenredam. (Paul Veronese)|Le repas donné à Jesus-Christ par Simon le Pharisien : copie en petit, exacte, & faite en Italie du fameux Tableau de Paul Veronese qui est dans le réfectoire du Monastere de SS. Jean & Paul à Venise, & dont il y a une Estampe gravée par Saenredam.]] réalisée par Paul Veronese, vendue par Coypel, achetée par Le Duc de Nivernois au prix de 100 19 frs. [183]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Plafond de la grande Salle du Palais Barberini à Rome, peint par Pierre de Cortone, réduit en petit, & copié par un habile homme sur une toile, de 6 pieds de long sur 3 de large. La Peinture n'a guere produit de plus grande Machine, & il est statisfaisant d'en pouvoir embrasser d'un seul coup d'oeil tout l'ensemble. (Pierre de Cortone)|Le Plafond de la grande Salle du Palais Barberini à Rome, peint par Pierre de Cortone, réduit en petit, & copié par un habile homme sur une toile, de 6 pieds de long sur 3 de large. La Peinture n'a guere produit de plus grande Machine, & il est statisfaisant d'en pouvoir embrasser d'un seul coup d'oeil tout l'ensemble.]] réalisée par Pierre de Cortone, vendue par Coypel au prix de 60 5 frs. [186]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux beaux Vases de bronze d'environ 2 pieds de haut chacun, modelés d'après l'antique par le Sieur Girardon, & jettés en bronze sous sa conduite ; le premier sur le corps duquel est représenté en bas relief le Sacrifice d'Iphigénie, est connu sous le nom de Vase de Médicis, & le second, qui a pour sujet de son bas relief, une Bachanale, est dans la vigne Borghese à Rome. (Girardon)|Deux beaux Vases de bronze d'environ 2 pieds de haut chacun, modelés d'après l'antique par le Sieur Girardon, & jettés en bronze sous sa conduite ; le premier sur le corps duquel est représenté en bas relief le Sacrifice d'Iphigénie, est connu sous le nom de Vase de Médicis, & le second, qui a pour sujet de son bas relief, une Bachanale, est dans la vigne Borghese à Rome.]] réalisée par Girardon, vendue par Coypel, achetée par M Le Controleur General au prix de 900 frs. [210]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux autres Vases de bronze de même proportions que les précédens, & pareillement exécutés sur les modéles & sous la conduite du Sieur Girardon, qui en est l'Inventeur, & qui les a répétés en grand et en marbre dans les Jardins de Versailles : ils sont enrichis de bas reliefs, représentant le Triomphe de Thétis, & celui de Vénus sortant de la mer. Ces quatre Vases viennent originairement du Cabinet du Sr Girardon. (Girardon)|Deux autres Vases de bronze de même proportions que les précédens, & pareillement exécutés sur les modéles & sous la conduite du Sieur Girardon, qui en est l'Inventeur, & qui les a répétés en grand et en marbre dans les Jardins de Versailles : ils sont enrichis de bas reliefs, représentant le Triomphe de Thétis, & celui de Vénus sortant de la mer. Ces quatre Vases viennent originairement du Cabinet du Sr Girardon.]] réalisée par Girardon, vendue par Coypel, achetée par M Le Controleur General au prix de 851 frs. [211]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Prêtresse ayant à la main une Paterre, la figure est drappée ; & sous le même numero, une figure d'homme auquel les deux bras manquent, & qui paroît avoir été faite dans l'intention de représenter Atlas portant le Ciel : ces deux figures de bronze ont 6 pouces de haut chacune. (artiste anonyme)|Une Prêtresse ayant à la main une Paterre, la figure est drappée ; & sous le même numero, une figure d'homme auquel les deux bras manquent, & qui paroît avoir été faite dans l'intention de représenter Atlas portant le Ciel : ces deux figures de bronze ont 6 pouces de haut chacune.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Coypel, achetée par Sorbet au prix de 48 frs. [213]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Géométrie représentée par une femme assise, qui tient une équerre ; le modéle de cette figure est de Jean de Bologne, fameux Sculpteur de l'Ecole Florentine, & le bronze a été réparé avec un soin extrême par le Susini. Il est posé sur un pied de marbre noir, & porte seul environ 1 pied de haut. (Jean de Bologne)|La Géométrie représentée par une femme assise, qui tient une équerre ; le modéle de cette figure est de Jean de Bologne, fameux Sculpteur de l'Ecole Florentine, & le bronze a été réparé avec un soin extrême par le Susini. Il est posé sur un pied de marbre noir, & porte seul environ 1 pied de haut.]] réalisée par Jean de Bologne, vendue par Coypel, achetée par Mariette au prix de 200 frs. [215]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Femme couchée & endormie, d'environ 13 pouces de proportion ; ce bronze jetté & réparé par le Susini, sur le modle de Jean de Bologne, est un morceau de toute perfection ; il est posé sur un riche pied de bois de palissante, orné de bronzes dorés d'or moulu. (Jean de Bologne)|Une Femme couchée & endormie, d'environ 13 pouces de proportion ; ce bronze jetté & réparé par le Susini, sur le modle de Jean de Bologne, est un morceau de toute perfection ; il est posé sur un riche pied de bois de palissante, orné de bronzes dorés d'or moulu.]] réalisée par Jean de Bologne, vendue par Coypel, achetée par Dalincourt au prix de 221 frs. [216]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Tête de jeune Faune en bronze, très-belle, de grandeur naturelle & antique, ce qui ne contribue pas peu à en faire un morceaux précieux ; car l'avarice a détruit presque tout ce que les Anciens avoient fait en bronze. Cette tête est montée sur un piédouche de marbre noir veiné de blanc. (Antique)|Une Tête de jeune Faune en bronze, très-belle, de grandeur naturelle & antique, ce qui ne contribue pas peu à en faire un morceaux précieux ; car l'avarice a détruit presque tout ce que les Anciens avoient fait en bronze. Cette tête est montée sur un piédouche de marbre noir veiné de blanc.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel, achetée par Picart au prix de 90 frs. [224]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une tête d'Enfant qui pleure, presque de grandeur naturelle : elle est de bronze,réputée antique, & d'une expression merveilleuse. Le pied sur lequel elle est montée, est de marqueterie, & enrichi de beaux ornemens de bronze dorés d'or moulu. (Antique)|Une tête d'Enfant qui pleure, presque de grandeur naturelle : elle est de bronze,réputée antique, & d'une expression merveilleuse. Le pied sur lequel elle est montée, est de marqueterie, & enrichi de beaux ornemens de bronze dorés d'or moulu.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel au prix de 100.1 frs. [225]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Bas-relief en bronze parfaitement bien réparé, & exécuté d'après le modéle en terre-cuite de François Flamand, qui est dans le Cabinet de M. le Baron de Thiers, & qui représente des Enfans jouant avec une Chévre, l'un desquels se couvre le visage avec un masque, dans le dessein d'épouvanter ses camarades. (François Flamand)|Un Bas-relief en bronze parfaitement bien réparé, & exécuté d'après le modéle en terre-cuite de François Flamand, qui est dans le Cabinet de M. le Baron de Thiers, & qui représente des Enfans jouant avec une Chévre, l'un desquels se couvre le visage avec un masque, dans le dessein d'épouvanter ses camarades.]] réalisée par François Flamand, vendue par Coypel, achetée par Sorbet au prix de 88 frs. [227]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Tête de Femme, le front ceint d'un Diadême. On prétend que c'est le Buste de Julie, fille d'Auguste ; & c'est sous cette dénomination, que M. le Comte de Caylus qui en avoit fait présent à M. Coypel, l'a rapporté dans son curieux Recueil d'Antiquités qui vient de paroître. Nous souscrivons volontiers à l'éloge qu'il fait de ce bel ouvrage de marbre ; & peut-on en effet le voir avec des yeux plus éclairés ? Ce Buste de 14 pouces de haut, est d'une grande conservation : & posé sur un pied de marbre de couleur. (Antique)|Une Tête de Femme, le front ceint d'un Diadême. On prétend que c'est le Buste de Julie, fille d'Auguste ; & c'est sous cette dénomination, que M. le Comte de Caylus qui en avoit fait présent à M. Coypel, l'a rapporté dans son curieux Recueil d'Antiquités qui vient de paroître. Nous souscrivons volontiers à l'éloge qu'il fait de ce bel ouvrage de marbre ; & peut-on en effet le voir avec des yeux plus éclairés ? Ce Buste de 14 pouces de haut, est d'une grande conservation : & posé sur un pied de marbre de couleur.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel, achetée par De Caylus au prix de 201.2 frs. [229]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Buste d'un jeune Romain, peut-être le jeune Marcellus : il est de marbre blanc, & passe pour être antique : sa hauteur est de 15 pouces de haut, non compris le piédouche sur lequel il est monté. On vendra en même tems son pied de Menuiserie fait en forme de gaine. (Antique)|Buste d'un jeune Romain, peut-être le jeune Marcellus : il est de marbre blanc, & passe pour être antique : sa hauteur est de 15 pouces de haut, non compris le piédouche sur lequel il est monté. On vendra en même tems son pied de Menuiserie fait en forme de gaine.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel, achetée par Lempereur au prix de 100 frs. [230]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Enfans de la suite de Bacchus, groupés ensemble, & dont un tient une corne de Chévre : ils sont travaillés en yvoire ; & François Flamand n'a certainement rien fait de mieux. Ce petit morceau n'a guéres que 3 pouces de haut, & est conservé sous un verre. (François Flamand)|Deux Enfans de la suite de Bacchus, groupés ensemble, & dont un tient une corne de Chévre : ils sont travaillés en yvoire ; & François Flamand n'a certainement rien fait de mieux. Ce petit morceau n'a guéres que 3 pouces de haut, & est conservé sous un verre.]] réalisée par François Flamand, vendue par Coypel, achetée par Glomy au prix de 120 frs. [238]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Statue du Moyse par Michel-Ange, réduite en petit, & dans la proportion de 13 pouces de haut par un très-habille Artiste. Il n'est pas douteux que c'est sur ce modéle en terre-cuite, qu'ont été fondus les plus beaux bronzes qu'on connoît de cette admirable Statue. (Michel-Ange)|La Statue du Moyse par Michel-Ange, réduite en petit, & dans la proportion de 13 pouces de haut par un très-habille Artiste. Il n'est pas douteux que c'est sur ce modéle en terre-cuite, qu'ont été fondus les plus beaux bronzes qu'on connoît de cette admirable Statue.]] réalisée par Michel-Ange, vendue par Coypel, achetée par Boucher au prix de 24.1 frs. [241]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Enfans jouant avec une Chévre, & lui donnant à manger des raisins ; terre-cuite touchée avec tout l'esprit possible, & qui a servi de premiere pensée à M. Sarrasin, pour le grouppe de marbre d'un pareil Sujet qu'il a exécuté, & qui est dans les Jardins de Marly. Ce modéle de huit pouces de haut, est sur un pied de Marqueterie, enrichi d'ornemens de bronze dorés d'or moulu par Boule. (Sarrasin)|Deux Enfans jouant avec une Chévre, & lui donnant à manger des raisins ; terre-cuite touchée avec tout l'esprit possible, & qui a servi de premiere pensée à M. Sarrasin, pour le grouppe de marbre d'un pareil Sujet qu'il a exécuté, & qui est dans les Jardins de Marly. Ce modéle de huit pouces de haut, est sur un pied de Marqueterie, enrichi d'ornemens de bronze dorés d'or moulu par Boule.]] réalisée par Sarrasin, vendue par Coypel, achetée par Helle pour Mr de La Live au prix de 330 frs. [242]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Antique)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel. [258]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Michel Ange)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Michel Ange, vendue par Coypel. [259]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Le Bernin)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Le Bernin, vendue par Coypel. [260]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Anguier)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Anguier, vendue par Coypel. [261]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Antique)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel. [262]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Michel-Ange)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Michel-Ange, vendue par Coypel. [263]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Bouchardon le jeune)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Bouchardon le jeune, vendue par Coypel. [264]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Antique)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel. [265]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (François Flamand)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par François Flamand, vendue par Coypel. [266]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Antique)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Antique, vendue par Coypel. [267]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente. (Moderne)|L'Apollon de Belvedere ; la Vénus de Médicis ; l'Hercule de Farnese ; deux fois l'Antinous ; trois fois le Gladiateur : toutes figures en petit d'après l'antique. Le Christ tenant sa Croix de Michel-Ange, & un Christ mort, étendu sur un linceul, moulé sur le modéle en terre-cuite du même Michel-Ange, du Cabinet de M. Crozat. Le David & la sainte Bibienne du Bernin. Le Milon de Puget. L'Amphitrite d'Anguier, & pour pendant un Bacchus antique. L'Ecorché de Michel-Ange ; & les trois Figures d'études d'Anatomie de M. Bouchardon, le jeune. Le Cheval antique écorchd'e. Quarante-quatre Figures d'Enfans, moulés sur les Originaux en terre-cuite de François Flamand, du Cabinet de M. le Baron de Thiers. Un très-grand nombre de Têtes, Mains, Pieds, & autres Parties moulées sur le Naturel, ou sur les plus belles Statues, tant antiques que modernes. Tous lesquels Plâtres seront divisés en plusieurs lots, lors de la Vente.]] réalisée par Moderne, vendue par Coypel. [268]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jesus-Christ donnant les Clés à saint Pierre, & l'instituant le Chef de son Eglise. Dessein original de Raphaël d'Urbin, lavé d'aquarelle & rehaussé de blanc, très-fin & très-arrêté. Il a appartenu autrefois à J. Stella, & Mgr le Duc d'Orléans l'ayant acquis dans la suite, en a fait présent à feu M. Coypel. C'est le même qui se trouve gravé dans le recueil de M. Crozat, & l'une des Tapisseries dont on conserve les cartons en Angleterre. Il est sous une glace. (Raphaël)|Jesus-Christ donnant les Clés à saint Pierre, & l'instituant le Chef de son Eglise. Dessein original de Raphaël d'Urbin, lavé d'aquarelle & rehaussé de blanc, très-fin & très-arrêté. Il a appartenu autrefois à J. Stella, & Mgr le Duc d'Orléans l'ayant acquis dans la suite, en a fait présent à feu M. Coypel. C'est le même qui se trouve gravé dans le recueil de M. Crozat, & l'une des Tapisseries dont on conserve les cartons en Angleterre. Il est sous une glace.]] réalisée par Raphaël, vendue par Coypel, achetée par Le Roi au prix de 3000 frs. [269]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Paul prêchant à Athènes. Ce beau Dessein aussi terminé que le précédent, & du même faire, est encore de Raphaël d'Urbin, & un première pensée pour une des Tapisseries des Actes des Apotres. On y trouve au verso un étude à la plume, pour le composition du Tableau de la Dispute du Saint Sacrement : & c'est ce qui fait que pour ne rien perdre d'un Dessein aussi précieux, il a été mis entre deux glaces, de façon qu'on peut voir aisément ce qui est dessiné sur les deux côté du Dessein. C'est encore un présent de Monseigneur le Duc d'Orléans. (Raphaël d'Urbin)|Saint Paul prêchant à Athènes. Ce beau Dessein aussi terminé que le précédent, & du même faire, est encore de Raphaël d'Urbin, & un première pensée pour une des Tapisseries des Actes des Apotres. On y trouve au verso un étude à la plume, pour le composition du Tableau de la Dispute du Saint Sacrement : & c'est ce qui fait que pour ne rien perdre d'un Dessein aussi précieux, il a été mis entre deux glaces, de façon qu'on peut voir aisément ce qui est dessiné sur les deux côté du Dessein. C'est encore un présent de Monseigneur le Duc d'Orléans.]] réalisée par Raphaël d'Urbin, vendue par Coypel, achetée par Le Roi au prix de 3000 frs. [270]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dessein de Raphël, qui est une premiere pensée pour le Tableau de la Messe ou Miracle de Bolsene, peint dans les Salles du Vatican. Il est fort terminé ; le trait arrêté à la plume, & les ombres données à l'encre de la Chine. Il a été dans le Cabinet de J. Stella ; & c'est encore une libéralité de Monseigneur le Duc d'Orléans. Il est sous glace. (Raphaël)|Dessein de Raphël, qui est une premiere pensée pour le Tableau de la Messe ou Miracle de Bolsene, peint dans les Salles du Vatican. Il est fort terminé ; le trait arrêté à la plume, & les ombres données à l'encre de la Chine. Il a été dans le Cabinet de J. Stella ; & c'est encore une libéralité de Monseigneur le Duc d'Orléans. Il est sous glace.]] réalisée par Raphaël, vendue par Coypel, achetée par de Tallard au prix de 300.2 frs. [271]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autres Desseins de Raphaël à la plume, & lavé d'aquarelle, pour un des principaux grouppes du Tableau de la Donation de Constantin, dans les Salles du Vatican. Il vient encore du Cabinet de J. Stella, & c'est Monseigneur le Duc d'Orléans qui l'a mis dans celui de feu M. Coypel. (Raphaël)|Autres Desseins de Raphaël à la plume, & lavé d'aquarelle, pour un des principaux grouppes du Tableau de la Donation de Constantin, dans les Salles du Vatican. Il vient encore du Cabinet de J. Stella, & c'est Monseigneur le Duc d'Orléans qui l'a mis dans celui de feu M. Coypel.]] réalisée par Raphaël, vendue par Coypel, achetée par De Tallard au prix de 200 frs. [272]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les deux Grouppes de Sybilles que Raphaël a peint à Rome dans l'Eglise de la Paix, dessinés avec un grand soin par Raphaël lui-même : c'est ainsi qu'en jugeoit J. Stella à qui ce dessein a appartenu. Il est passé dans la suite entre les mains de Mgr le Duc d'Orléans qui en a fait don à M. Coypel. Il est sous glace. (Raphaël)|Les deux Grouppes de Sybilles que Raphaël a peint à Rome dans l'Eglise de la Paix, dessinés avec un grand soin par Raphaël lui-même : c'est ainsi qu'en jugeoit J. Stella à qui ce dessein a appartenu. Il est passé dans la suite entre les mains de Mgr le Duc d'Orléans qui en a fait don à M. Coypel. Il est sous glace.]] réalisée par Raphaël, vendue par Coypel, achetée par Joullain au prix de 121.1 frs. [273]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Tête d'Homme vûe de profil, de grandeur naturelle, dessinée au crayon noir & rehaussée de blanc, par Raphaël. Il y a toute apparence que c'est le fragment d'un des Cartons que ce grand Peintre avoit coutume de faire pour faciliter à ses éleves & à lui-même l'exécution de ses Tableaux. (Raphaël)|Une Tête d'Homme vûe de profil, de grandeur naturelle, dessinée au crayon noir & rehaussée de blanc, par Raphaël. Il y a toute apparence que c'est le fragment d'un des Cartons que ce grand Peintre avoit coutume de faire pour faciliter à ses éleves & à lui-même l'exécution de ses Tableaux.]] réalisée par Raphaël, vendue par Coypel, achetée par de Tallard au prix de 251 frs. [274]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge au Lapin, autrement appellée la Bohemienne ; dessein colorié à gouasse par le Correge, & legs fait par M. de Piles à M. Ant. Coypel son ami : si le morceau est original, comme on n'en peut pas douter, il n'est point de dessein plus précieux que celui-ci. Il est sous glace. (Correge)|La Vierge au Lapin, autrement appellée la Bohemienne ; dessein colorié à gouasse par le Correge, & legs fait par M. de Piles à M. Ant. Coypel son ami : si le morceau est original, comme on n'en peut pas douter, il n'est point de dessein plus précieux que celui-ci. Il est sous glace.]] réalisée par Correge, vendue par Coypel, achetée par de Tallard au prix de 240 frs. [275]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un très-beau Paysage, dans lequel on voit un Coche, & divers bestiaux ; il est a la plume, & lavé avec grand soin, partie au bistre & partie d'indigo, ainsi que l'a presque toujours pratiqué le Breughel de velours, de qui est le dessein. C'est un présent fait par Monseigneur le Duc d'Orléans, à feu M. Coypel. (Breughel de velours)|Un très-beau Paysage, dans lequel on voit un Coche, & divers bestiaux ; il est a la plume, & lavé avec grand soin, partie au bistre & partie d'indigo, ainsi que l'a presque toujours pratiqué le Breughel de velours, de qui est le dessein. C'est un présent fait par Monseigneur le Duc d'Orléans, à feu M. Coypel.]] réalisée par Breughel de velours, vendue par Coypel, achetée par Joullain au prix de 57.1 frs. [300]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Bataille & le Triomphe de Constantin. Ces deux grands Desseins de Charles le Brun, ne laissent rien à désirer, tant pour la partie de l'invention, que pour ce qui concerne la pureté du trait. C'est sur eux qu'ont été gravées les belles Estampes de Gérard Audran. M. Girardon les conservoit dans son riche Cabinet ; & c'est de là qu'ils sont passés dans celui de M. Coypel. Il sont dans de magnifiques bordures dorées, sous de grandes glaces, & d'une conservation parfaite. (Charles le Brun)|La Bataille & le Triomphe de Constantin. Ces deux grands Desseins de Charles le Brun, ne laissent rien à désirer, tant pour la partie de l'invention, que pour ce qui concerne la pureté du trait. C'est sur eux qu'ont été gravées les belles Estampes de Gérard Audran. M. Girardon les conservoit dans son riche Cabinet ; & c'est de là qu'ils sont passés dans celui de M. Coypel. Il sont dans de magnifiques bordures dorées, sous de grandes glaces, & d'une conservation parfaite.]] réalisée par Charles le Brun, vendue par Coypel, achetée par de Tallard au prix de 601 frs. [304]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Triomphe de Neptune & d'Amphitrite ; Dessein original & excellent du Tableau que Charles le Brun a peint dans le Plafond de la Galerie d'Apollon au Louvre. Il est à la plume, & lavé à l'encre de la Chine dans les ombres ; & il est sous une grande glace. (Charles le Brun)|Le Triomphe de Neptune & d'Amphitrite ; Dessein original & excellent du Tableau que Charles le Brun a peint dans le Plafond de la Galerie d'Apollon au Louvre. Il est à la plume, & lavé à l'encre de la Chine dans les ombres ; & il est sous une grande glace.]] réalisée par Charles le Brun, vendue par Coypel, achetée par Helle pour laLive au prix de 50.11 frs. [305]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge accompagnée de plusieurs Saints, dont le Tableau est connu sous le nom de S. Georges du Correge : copie peinte à gouasse, par Noël Coypel, sur l'original même qui étoit à Modène, d'où il est passé à Dresde. Cette gouasse est sous une glace. (Correge)|La Vierge accompagnée de plusieurs Saints, dont le Tableau est connu sous le nom de S. Georges du Correge : copie peinte à gouasse, par Noël Coypel, sur l'original même qui étoit à Modène, d'où il est passé à Dresde. Cette gouasse est sous une glace.]] réalisée par Correge, vendue par Coypel, achetée par de Tallard au prix de 215 frs. [306]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[S. Charles administrant le Viatique aux Pestiférés : Dessein aussi terminé qu'il soit possible d'en voir, & d'une composition magnifique, par M. Charles Valo. C'est un bouquet donné par lui à feu M. Coypel le jour de sa Fête. Il est sous glace. (Charles Vanlo)|S. Charles administrant le Viatique aux Pestiférés : Dessein aussi terminé qu'il soit possible d'en voir, & d'une composition magnifique, par M. Charles Valo. C'est un bouquet donné par lui à feu M. Coypel le jour de sa Fête. Il est sous glace.]] réalisée par Charles Vanlo, vendue par Coypel, achetée par Helle pr M de la Live au prix de 83.19 frs. [310]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une suite de Desseins de Léonard Bramer, Peintre Hollandois, Contemporain de Rembrandt : ils sont au nombre de quarante-sept, & les Sujets paroissent avoir été pris dans quelques Romans Hollandois ; il font beaucoup d'effet, & montrent une grande intelligence de clair-obscur, dans celui qui les a fait. (Léonard Bramer)|Une suite de Desseins de Léonard Bramer, Peintre Hollandois, Contemporain de Rembrandt : ils sont au nombre de quarante-sept, & les Sujets paroissent avoir été pris dans quelques Romans Hollandois ; il font beaucoup d'effet, & montrent une grande intelligence de clair-obscur, dans celui qui les a fait.]] réalisée par Léonard Bramer, vendue par Coypel, achetée par Baillie au prix de 48.1 frs. [376]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un grand nombre de Desseins à la plume, faits par Monseigneur le Duc de Bourgogne, depuis Dauphinc & Pere de Sa Majesté, presque tous de son invention : ils sont ordinairement pour Sujet des Actions Militaires ou des Chasses.On en fera plusieurs lots. (le Duc de Bourgogne)|Un grand nombre de Desseins à la plume, faits par Monseigneur le Duc de Bourgogne, depuis Dauphinc & Pere de Sa Majesté, presque tous de son invention : ils sont ordinairement pour Sujet des Actions Militaires ou des Chasses.On en fera plusieurs lots.]] réalisée par le Duc de Bourgogne, vendue par Coypel. [437]
  • 1753.04.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une longue bande en rouleau de papier de soye, bordé de satin blanc, & doublé, sur laquelle sont peints, avec un soin digne du Pays où cet ouvrage a été fait, les Habits des diverses consitions de la Chine, Hommes & Femmes. Cet bande a 10 pieds de long, & est d'une conservation parfaite. (artiste anonyme)|Une longue bande en rouleau de papier de soye, bordé de satin blanc, & doublé, sur laquelle sont peints, avec un soin digne du Pays où cet ouvrage a été fait, les Habits des diverses consitions de la Chine, Hommes & Femmes. Cet bande a 10 pieds de long, & est d'une conservation parfaite.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Coypel au prix de 36.1 frs. [438]