Ventes d'œuvres le 1791.11.15

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  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Gladiateur victorieux, tenant de la main droite une boule, avec draperie sur l'épaule et le bras gauche, et ayant, dans l'autre main, la palme de la victoire. -- Hauteur, 5 pouces. Il est placé sur un fut de colonne, avec base et socle de jaune antique, de 4 pouces de hauteur, 2 C*. (artiste anonyme)|Un Gladiateur victorieux, tenant de la main droite une boule, avec draperie sur l'épaule et le bras gauche, et ayant, dans l'autre main, la palme de la victoire. -- Hauteur, 5 pouces. Il est placé sur un fut de colonne, avec base et socle de jaune antique, de 4 pouces de hauteur, 2 C*.]] réalisée par un.e artiste anonyme au prix de 38 frs. [61]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux dessins coloriés, sur papier blanc, à la plume ; l'un représente nombre de débris d'architecture, où l'on voit un serpent sortir de derrière une frise antique : deux jeunes femmes et un enfant en paroissent effrayés ; le fond, à droite, est terminé par un obélisque égyptien. L'autre dessin représente une fontaine publique, où l'on voit, sur le devant, une grande cuve ébréchée, et quatre figures placées sur différens plans avec des animaux et des accessoires d'un style piquant. -- Hauteur, 24 pouces ; largeur, 30 pouces. Ces deux dessins capitaux sont des plus beaux connus de cet Artiste. (M. Robert)|Deux dessins coloriés, sur papier blanc, à la plume ; l'un représente nombre de débris d'architecture, où l'on voit un serpent sortir de derrière une frise antique : deux jeunes femmes et un enfant en paroissent effrayés ; le fond, à droite, est terminé par un obélisque égyptien. L'autre dessin représente une fontaine publique, où l'on voit, sur le devant, une grande cuve ébréchée, et quatre figures placées sur différens plans avec des animaux et des accessoires d'un style piquant. -- Hauteur, 24 pouces ; largeur, 30 pouces. Ces deux dessins capitaux sont des plus beaux connus de cet Artiste.]] réalisée par M. Robert au prix de 300 frs. [74]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mars et Vénus ; on voit Mars assis, tenant de la main droite une épée, près de lui est Vénus : six Amours et une Nayade enrichissent cette composition montée, dont le fond est terminé par un paysage. Dessin à la plume, lavé de bistre, sur papier blanc. (N. Poussin)|Mars et Vénus ; on voit Mars assis, tenant de la main droite une épée, près de lui est Vénus : six Amours et une Nayade enrichissent cette composition montée, dont le fond est terminé par un paysage. Dessin à la plume, lavé de bistre, sur papier blanc.]] réalisée par N. Poussin au prix de 190 frs. [78]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une prairie où l'on voit sur le devant deux vaches accroupies : sur un terrain plus élevé et à droite l'on en voit une autre debout bêlant ; à ses pieds une quatrième est accroupie, et se détache sur le toit d'une chaumière ; à gauche, ou dans le lointain, l'on voit une étendue de pays avec rivière, figures et animaux : dessin capital, lavé à l'encre de la Chine, sur papier blanc. (Ommeganck)|Une prairie où l'on voit sur le devant deux vaches accroupies : sur un terrain plus élevé et à droite l'on en voit une autre debout bêlant ; à ses pieds une quatrième est accroupie, et se détache sur le toit d'une chaumière ; à gauche, ou dans le lointain, l'on voit une étendue de pays avec rivière, figures et animaux : dessin capital, lavé à l'encre de la Chine, sur papier blanc.]] réalisée par Ommeganck au prix de 30 frs. [79]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le crucifiement de Jesus entre les deux larrons : on voit au pied de la croix les saintes femmes ; dessin à la plume, mêlé d'encre de la Chine, sur papier blanc. Hauteur, 17 pouces, largeur 13. Il vient de la vente de M.***, le 26 novembre 1787, no.137, vendu 100 liv. (Antoine Vandick)|Le crucifiement de Jesus entre les deux larrons : on voit au pied de la croix les saintes femmes ; dessin à la plume, mêlé d'encre de la Chine, sur papier blanc. Hauteur, 17 pouces, largeur 13. Il vient de la vente de M.***, le 26 novembre 1787, no.137, vendu 100 liv.]] réalisée par Antoine Vandick au prix de 75 frs. [81]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Femme de bout, relevant un voile qui lui couvre la tête ; elle est appuyée contre un tertre oval, duquel on voit sortir deux masques : ce dessin agréable, précieux et très-terminé, est aux trois crayons, sur papier blanc. -- Hauteur, 20 pouces ; largeur, 15. Il vient de la vente de M***, lundi, 26 novembre 1787, no.132, vendu 75 liv. (J.F. Romanelli)|Une Femme de bout, relevant un voile qui lui couvre la tête ; elle est appuyée contre un tertre oval, duquel on voit sortir deux masques : ce dessin agréable, précieux et très-terminé, est aux trois crayons, sur papier blanc. -- Hauteur, 20 pouces ; largeur, 15. Il vient de la vente de M***, lundi, 26 novembre 1787, no.132, vendu 75 liv.]] réalisée par J.F. Romanelli au prix de 50 frs. [82]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux ; l'un représente l'intérieur d'une étable, où l'on voit deux jeunes filles, dont une trait une chèvre ; l'autre, représente un vieillard conversant avec une femme montée sur un âne. Le fond de ce tableau est terminé par des mâsures et autres accessoires. Ces deux jolies compositions sont d'une couleur et d'un effet très-piquans. (Le Gillion)|Deux tableaux ; l'un représente l'intérieur d'une étable, où l'on voit deux jeunes filles, dont une trait une chèvre ; l'autre, représente un vieillard conversant avec une femme montée sur un âne. Le fond de ce tableau est terminé par des mâsures et autres accessoires. Ces deux jolies compositions sont d'une couleur et d'un effet très-piquans.]] réalisée par Le Gillion au prix de 135 frs. [88]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Chymiste, vu à mi-corps, tenant un grand livre ouvert sur ses genoux, assis près d'une table couverte d'un tapis de Turquie, sur laquelle on voit des phioles et des bocaux de liqueurs. Ce tableau, d'un dessin correct et d'un bel effet, est d'une touche facile. Il vient de la vente du 26 novembre 1787, no.112 du catalogue, vendu 181 liv. (M. Bilcoq)|Un Chymiste, vu à mi-corps, tenant un grand livre ouvert sur ses genoux, assis près d'une table couverte d'un tapis de Turquie, sur laquelle on voit des phioles et des bocaux de liqueurs. Ce tableau, d'un dessin correct et d'un bel effet, est d'une touche facile. Il vient de la vente du 26 novembre 1787, no.112 du catalogue, vendu 181 liv.]] réalisée par M. Bilcoq, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 241 frs. [91]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jolie femme vue de face, la gorge découverte et la tête renversée sur un coussin cramoisi ; elle a le bras gauche appuyé sur un autre coussin, et de la main droite tient un livre intitulé ULHéloiseUL. Devant elle est une table sur laquelle se voient un autre livre, une lettre et un collier de perles. Ce tableau vient de la vente de M. Véri, no.74, vendu 371 liv. (M. Bernard)|Une jolie femme vue de face, la gorge découverte et la tête renversée sur un coussin cramoisi ; elle a le bras gauche appuyé sur un autre coussin, et de la main droite tient un livre intitulé ULHéloiseUL. Devant elle est une table sur laquelle se voient un autre livre, une lettre et un collier de perles. Ce tableau vient de la vente de M. Véri, no.74, vendu 371 liv.]] réalisée par M. Bernard au prix de 201 frs. [93]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'une campagne ; le devant est ocucpé sic par un homme conduisant des animaux à la sortie d'un étang, près d'un chemin qui conduit à une ferme ; un groupe d'arbres et des lointains terminent le fond de ce tableau. La composition offre un site simple et vrai. (M. Hue)|La vue d'une campagne ; le devant est ocucpé sic par un homme conduisant des animaux à la sortie d'un étang, près d'un chemin qui conduit à une ferme ; un groupe d'arbres et des lointains terminent le fond de ce tableau. La composition offre un site simple et vrai.]] réalisée par M. Hue au prix de 70 frs. [94]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Rendez-vous de chasse sur le devant d'une forêt, indiqué par de belles masses d'arbres sur la droite ; la gauche offre une rivière qui serpente et se perd dans les lointains. On remarque au milieu du tableau un groupe de quatre figures, une femme en Amazone à cheval, suivie de deux cavaliers, dont l'un en costume espagnol sur un cheval blanc, parle à un valet gardant une meute. Ce tableau réunit tout ce que l'on peut desirer du talent de cet Artiste, tant par la composition, que par le coloris frais et argentin. (M. Demarne)|Un Rendez-vous de chasse sur le devant d'une forêt, indiqué par de belles masses d'arbres sur la droite ; la gauche offre une rivière qui serpente et se perd dans les lointains. On remarque au milieu du tableau un groupe de quatre figures, une femme en Amazone à cheval, suivie de deux cavaliers, dont l'un en costume espagnol sur un cheval blanc, parle à un valet gardant une meute. Ce tableau réunit tout ce que l'on peut desirer du talent de cet Artiste, tant par la composition, que par le coloris frais et argentin.]] réalisée par M. Demarne au prix de 411 frs. [97]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage orné de ruines qui s'élèvent près d'une rivière où passe une voiture attelée de deux chevaux, et d'un pâtre portant une brebis, suivi de plusieurs bestiaux ; de l'autre côté, l'on voit des masses d'arbres et des montagnes : ce joli tableau est d'une touche spirituelle et très-harmonieuse. -- Hauteur, 12 pouces 6 lignes ; largeur, 18 pouces 6 lignes. Bois. Il vient de la vente de M.*** du 26 novembre 1787, no.3 du catalogue, vendu 400 liv. (M. Demarne)|Un Paysage orné de ruines qui s'élèvent près d'une rivière où passe une voiture attelée de deux chevaux, et d'un pâtre portant une brebis, suivi de plusieurs bestiaux ; de l'autre côté, l'on voit des masses d'arbres et des montagnes : ce joli tableau est d'une touche spirituelle et très-harmonieuse. -- Hauteur, 12 pouces 6 lignes ; largeur, 18 pouces 6 lignes. Bois. Il vient de la vente de M.*** du 26 novembre 1787, no.3 du catalogue, vendu 400 liv.]] réalisée par M. Demarne, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 380 frs. [98]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau d'un ton chaud et harmonieux ; il représente un paysage et vue de de sic rivière. La droite est occupée par les ruines d'une église, ornée de figures et animaux par M. Taunay : cette composition vaste et intéressante, est une des meilleures productions de cet Artiste. (Lantarra)|Un tableau d'un ton chaud et harmonieux ; il représente un paysage et vue de de sic rivière. La droite est occupée par les ruines d'une église, ornée de figures et animaux par M. Taunay : cette composition vaste et intéressante, est une des meilleures productions de cet Artiste.]] réalisée par Lantarra au prix de 230 1 frs. [99]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux ; l'un représente un sacrifice de Vestales, l'autre un sacrifice au Dieu des Jardins : ces deux compositions sont de quatre figures chacune : l'on peut voir par l'époque où ces productions ont été faites, qu'elles tendoient à nous amener à l'excellence, du style où nous sommes, et aux progrès que la peinture a faits. -- Hauteur, 36 pouces ; largeur, 26 pouces. Toile. Ils viennent de la vente de M. Boyer de Fons-Colombe, no.104. (M. de Lavallée Poussin)|Deux tableaux ; l'un représente un sacrifice de Vestales, l'autre un sacrifice au Dieu des Jardins : ces deux compositions sont de quatre figures chacune : l'on peut voir par l'époque où ces productions ont été faites, qu'elles tendoient à nous amener à l'excellence, du style où nous sommes, et aux progrès que la peinture a faits. -- Hauteur, 36 pouces ; largeur, 26 pouces. Toile. Ils viennent de la vente de M. Boyer de Fons-Colombe, no.104.]] réalisée par M. de Lavallée Poussin au prix de 72 frs. [100]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendans ; l'un représente Saint-Jean l'Evangéliste méditant ses évangiles, et l'apparition de l'Ange sur un nuage, montrant le ciel ; l'autre Saint-Antoine, tourmenté par le démon sous la figure d'une jeune femme : on le voit à genoux tenant un livre. Ces deux tableaux joignent à une composition noble et savante, une très-belle exécution. (M. Lagrenée le jeune)|Deux tableaux faisant pendans ; l'un représente Saint-Jean l'Evangéliste méditant ses évangiles, et l'apparition de l'Ange sur un nuage, montrant le ciel ; l'autre Saint-Antoine, tourmenté par le démon sous la figure d'une jeune femme : on le voit à genoux tenant un livre. Ces deux tableaux joignent à une composition noble et savante, une très-belle exécution.]] réalisée par M. Lagrenée le jeune, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 440 1 frs. [102]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendans ; l'un offre dans l'intérieur d'un parc, une grande cascade, au pied de laquelle des groupes de jeunes filles et d'enfans sont occupés à laver : ce tableau, éclairé par un jour du matin, est d'un ton frais et argentin ; l'autre offre la vue du colisée, du panthéon, et d'autres monumens dont le point de vue est pris sous un arc de triomphe qui se détache en vigueur : des bas-reliefs, des groupes, des figures et des débris d'architecture sont répandus avec goût sur les devans de ce tableau, qui est éclairé au soleil couchant. -- Hauteur, 26 pouces 6 lignes ; largeur, 22 pouces. Ils viennent de la vente du 26 mars 1787, vendus 610 liv. (M. Robert)|Deux tableaux faisant pendans ; l'un offre dans l'intérieur d'un parc, une grande cascade, au pied de laquelle des groupes de jeunes filles et d'enfans sont occupés à laver : ce tableau, éclairé par un jour du matin, est d'un ton frais et argentin ; l'autre offre la vue du colisée, du panthéon, et d'autres monumens dont le point de vue est pris sous un arc de triomphe qui se détache en vigueur : des bas-reliefs, des groupes, des figures et des débris d'architecture sont répandus avec goût sur les devans de ce tableau, qui est éclairé au soleil couchant. -- Hauteur, 26 pouces 6 lignes ; largeur, 22 pouces. Ils viennent de la vente du 26 mars 1787, vendus 610 liv.]] réalisée par M. Robert, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 361 frs. [106]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un très-beau tableau de cet artiste, représentant une bataille ; cette riche composition est d'une couleur vigoureuse, et présente le plus capital tableau connu de ce maître. Il vient de la vente de feu M. le prince de Conti, no.521 du catalogue, vendu 1700 liv. (Cazanova)|Un très-beau tableau de cet artiste, représentant une bataille ; cette riche composition est d'une couleur vigoureuse, et présente le plus capital tableau connu de ce maître. Il vient de la vente de feu M. le prince de Conti, no.521 du catalogue, vendu 1700 liv.]] réalisée par Cazanova au prix de 500 frs. [107]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une marine, dont la gauche offre sur le second plan des rochers sur lesquels se voit une tour quarrée, éclairée par un soleil couchant ; un vaisseau garni de ses mâts se détache en demi-teinte sur un ciel clair et chaud ; le devant est enrichi de cinq figures de pêcheurs, d'hommes et de femmes : ce tableau, fait en 1751, est d'une couleur dorée, d'une finesse de touche admirable. -- Hauteur, 11 pouces ; largeur, 15 pouces 6 lignes. Il vient de la vente de M. le chevalier Lambert, no.213, vendu 1200 liv. (Joseph Vernet)|Une marine, dont la gauche offre sur le second plan des rochers sur lesquels se voit une tour quarrée, éclairée par un soleil couchant ; un vaisseau garni de ses mâts se détache en demi-teinte sur un ciel clair et chaud ; le devant est enrichi de cinq figures de pêcheurs, d'hommes et de femmes : ce tableau, fait en 1751, est d'une couleur dorée, d'une finesse de touche admirable. -- Hauteur, 11 pouces ; largeur, 15 pouces 6 lignes. Il vient de la vente de M. le chevalier Lambert, no.213, vendu 1200 liv.]] réalisée par Joseph Vernet, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 1410 frs. [109]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vue de mer et terrasse sur le devant, ornée de trois figures : une femme et deux hommes occupés à tirer un filet que deux hommes dans un bateau, tirent de l'eau ; plus loin, sur la droite, est un pêcheur à la ligne : le fond est orné d'autres figures au bas d'une belle masse de roches, avec fabriques et masse d'arbres : sur un plan plus éloigné se voit une chaîne de montagnes qui borde la mer ; la droite offre une grande étendue où l'on voit deux vaisseaux à la voile et autres petites chaloupes. Ce tableau, dont l'horison présente un soleil couchant, offre une des belles compositions de ce maître. (Joseph Vernet)|Une vue de mer et terrasse sur le devant, ornée de trois figures : une femme et deux hommes occupés à tirer un filet que deux hommes dans un bateau, tirent de l'eau ; plus loin, sur la droite, est un pêcheur à la ligne : le fond est orné d'autres figures au bas d'une belle masse de roches, avec fabriques et masse d'arbres : sur un plan plus éloigné se voit une chaîne de montagnes qui borde la mer ; la droite offre une grande étendue où l'on voit deux vaisseaux à la voile et autres petites chaloupes. Ce tableau, dont l'horison présente un soleil couchant, offre une des belles compositions de ce maître.]] réalisée par Joseph Vernet, vendue par [[Ar[taud]]]. [110]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un torrent qui coule à travers des roches élevées, et forme sur les devans de grandes nappes d'eau : auprès sont sept figures dont trois hommes occupés à retirer des filets ; près d'eux est une femme qui pêche ; à côté est un homme appuyé sur un bâton, conversant avec une autre femme. Le site de ce tableau est des plus pittoresques ; il offre d'un côté une chaîne de roches au sommet desquelles on aperçoit de belles fabriques et les ruines d'un temple ; dans l'éloignement un aqueduc à deux rangs d'arches, de belles masses d'arbres, et quelques figures artistement placées, terminent ce tableau, qui a été fait en Italie : c'est une des plus belles productions de cet habile artiste. -- Hauteur, 2 pieds 2 pouces 6 lignes ; largeur, 3 pieds. Toile. Il vient du cabinet de M. le comte de Vaudreuil, no.89 du catalogue, vendu 3001 liv. (Joseph Vernet)|La vue d'un torrent qui coule à travers des roches élevées, et forme sur les devans de grandes nappes d'eau : auprès sont sept figures dont trois hommes occupés à retirer des filets ; près d'eux est une femme qui pêche ; à côté est un homme appuyé sur un bâton, conversant avec une autre femme. Le site de ce tableau est des plus pittoresques ; il offre d'un côté une chaîne de roches au sommet desquelles on aperçoit de belles fabriques et les ruines d'un temple ; dans l'éloignement un aqueduc à deux rangs d'arches, de belles masses d'arbres, et quelques figures artistement placées, terminent ce tableau, qui a été fait en Italie : c'est une des plus belles productions de cet habile artiste. -- Hauteur, 2 pieds 2 pouces 6 lignes ; largeur, 3 pieds. Toile. Il vient du cabinet de M. le comte de Vaudreuil, no.89 du catalogue, vendu 3001 liv.]] réalisée par Joseph Vernet, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 2800 frs. [111]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis petits tableaux : dans l'un on voit une femme qui danse au son d'une musette, deux femmes et un homme assis la regardant, près d'eux sont d'autres personnages vus en plan coupé ; l'autre représente un repas champêtre, composé de cinq figures : ces deux morceaux sont d'une touche finie et légère. Ils viennent de la vente de M. Legros, no.44 du catalogue. (De Bars)|Deux jolis petits tableaux : dans l'un on voit une femme qui danse au son d'une musette, deux femmes et un homme assis la regardant, près d'eux sont d'autres personnages vus en plan coupé ; l'autre représente un repas champêtre, composé de cinq figures : ces deux morceaux sont d'une touche finie et légère. Ils viennent de la vente de M. Legros, no.44 du catalogue.]] réalisée par De Bars, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 240 frs. [119]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux touchés avec facilité : ils représentent un Repas de Matelots et une marchande de poissons. Ces deux jolies compositions sont connues par les estampes. -- Hauteur, 6 pouces 3 lignes ; largeur, 7 pouces 6 lignes. Bois. Ils viennent de la vente de M. Chariau, no.52 de son catalogue. (Besnard)|Deux tableaux touchés avec facilité : ils représentent un Repas de Matelots et une marchande de poissons. Ces deux jolies compositions sont connues par les estampes. -- Hauteur, 6 pouces 3 lignes ; largeur, 7 pouces 6 lignes. Bois. Ils viennent de la vente de M. Chariau, no.52 de son catalogue.]] réalisée par Besnard, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 120 frs. [120]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Sainte-Famille, l'Enfant-Jésus endormi couché sur les genoux de la Vierge qui est assise vue de côté, Saint-Joseph derrière, tenant la main de l'Enfant-Jésus qu'il regarde. Ce tableau, fait en Italie, est connu pour une des bonnes productions de cet artiste. Il vient des ventes de M. de Boisset, no.174, vendu 501 liv. ; de celle de M. le chevalier Lambert, no.203, vendu 555 liv. (Claude Hallé)|Une Sainte-Famille, l'Enfant-Jésus endormi couché sur les genoux de la Vierge qui est assise vue de côté, Saint-Joseph derrière, tenant la main de l'Enfant-Jésus qu'il regarde. Ce tableau, fait en Italie, est connu pour une des bonnes productions de cet artiste. Il vient des ventes de M. de Boisset, no.174, vendu 501 liv. ; de celle de M. le chevalier Lambert, no.203, vendu 555 liv.]] réalisée par Claude Hallé, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 200 frs. [122]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Diane se reposant au retour de la chasse, accompagnée des Nymphes de sa suite, au nombre de douze : plusieurs se baignent et d'autres sont occupées à lui présenter une corbeille remplie de fruits ; elle est assise au pied d'un rocher, l'on voit auprès des chiens et du gibier ; toutes les figures sont de 12 pouces de proportion : cette composition est soutenue d'un dessin correct, la couleur en est brillante et la touche facile : c'est un des plus beaux tableaux de ce maître. Il vient de la vente de Louis-Michel Vanloo, no.54 du catalogue, où il a été vendu 1650 liv., et de la vente de M. de Vaudreuil. (J.B. Vanloo)|Diane se reposant au retour de la chasse, accompagnée des Nymphes de sa suite, au nombre de douze : plusieurs se baignent et d'autres sont occupées à lui présenter une corbeille remplie de fruits ; elle est assise au pied d'un rocher, l'on voit auprès des chiens et du gibier ; toutes les figures sont de 12 pouces de proportion : cette composition est soutenue d'un dessin correct, la couleur en est brillante et la touche facile : c'est un des plus beaux tableaux de ce maître. Il vient de la vente de Louis-Michel Vanloo, no.54 du catalogue, où il a été vendu 1650 liv., et de la vente de M. de Vaudreuil.]] réalisée par J.B. Vanloo au prix de 300 frs. [123]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage et vue d'un Pont rustique, au bas duquel se voit un groupe de plusieurs figures qui s'amusent à la pêche : ce tableau agréable de composition, est d'un ton chaud et d'une couleur transparente. Il vient de la vente de M. de Billy, no.45 du catalogue, vendu 600 liv. (François le Moine)|Un Paysage et vue d'un Pont rustique, au bas duquel se voit un groupe de plusieurs figures qui s'amusent à la pêche : ce tableau agréable de composition, est d'un ton chaud et d'une couleur transparente. Il vient de la vente de M. de Billy, no.45 du catalogue, vendu 600 liv.]] réalisée par François le Moine, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 201 frs. [126]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux de forme ovale en hauteur ; l'un représente Cerès environnée des attributs de la moisson ; et l'autre, l'hiver représenté par un vieillard assis près d'un feu, ayant autour de lui les vents et les frimats qui caractérisent ce sujet. Ces deux Tableaux sont de la touche franche et spirituelle, connue dans les productions de ce maître ; ils viennent aussi de la vente de M. le Brun. (Antoine Watteau)|Deux Tableaux de forme ovale en hauteur ; l'un représente Cerès environnée des attributs de la moisson ; et l'autre, l'hiver représenté par un vieillard assis près d'un feu, ayant autour de lui les vents et les frimats qui caractérisent ce sujet. Ces deux Tableaux sont de la touche franche et spirituelle, connue dans les productions de ce maître ; ils viennent aussi de la vente de M. le Brun.]] réalisée par Antoine Watteau, vendue par [[[Rebes]]] au prix de 129 19 frs. [130]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Bal, composition de 71 figures : ce Tableau est très-connu par deux ou trois imitations faites par Pater ; on y remarque une couleur fraîche et brillante, un dessin élégant et spirituel ; les figures y sont pleines d'expression et de vérité ; ce morceau peut être regardé comme le chef-d'oeuvre de ce maître : il vient de la vente de M. Montulé, où il fut vendu 5000 liv. et de celle du 26 novembre 1787, vendu 4000 liv. (Antoine Watteau)|Un Bal, composition de 71 figures : ce Tableau est très-connu par deux ou trois imitations faites par Pater ; on y remarque une couleur fraîche et brillante, un dessin élégant et spirituel ; les figures y sont pleines d'expression et de vérité ; ce morceau peut être regardé comme le chef-d'oeuvre de ce maître : il vient de la vente de M. Montulé, où il fut vendu 5000 liv. et de celle du 26 novembre 1787, vendu 4000 liv.]] réalisée par Antoine Watteau, achetée par LeBrun au prix de 2221 frs. [131]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une Chambre à coucher, où l'on voit une jeune femme négligemment ajustée dans son lit, regardant deux enfans jouant avec un oiseau ; plus loin une femme de chambre qui relève les rideaux du lit : ce tableau agréable est d'une touche spirituelle. (Biscaye)|L'intérieur d'une Chambre à coucher, où l'on voit une jeune femme négligemment ajustée dans son lit, regardant deux enfans jouant avec un oiseau ; plus loin une femme de chambre qui relève les rideaux du lit : ce tableau agréable est d'une touche spirituelle.]] réalisée par Biscaye au prix de 79 19 frs. [143]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une composition de sept figures, dans un jardin : on voit sur le devant un homme et une femme éclairés par le flambeau de l'amour, qui paroît indiquer à d'autres personnages que l'on aperçoit sur la droite, près d'un buisson, qui fait le fond de ce tableau agréable, et d'un effet harmonieux. (E. Dietrici)|Une composition de sept figures, dans un jardin : on voit sur le devant un homme et une femme éclairés par le flambeau de l'amour, qui paroît indiquer à d'autres personnages que l'on aperçoit sur la droite, près d'un buisson, qui fait le fond de ce tableau agréable, et d'un effet harmonieux.]] réalisée par E. Dietrici, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 321 frs. [145]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet de deux figures, dont une femme tenant un verre d'une main ; tandis que, de l'autre, elle repousse les caresses d'un air riant ; elle est assise près d'une table sur laquelle sont des gauffres. Ce tableau dont les caractères sont remplis de gaieté, est d'une belle couleur. Il vient de la collection du ch. Lambert, no.125 de son catalogue, vendu 371 liv. (Corneille Dusart)|Un sujet de deux figures, dont une femme tenant un verre d'une main ; tandis que, de l'autre, elle repousse les caresses d'un air riant ; elle est assise près d'une table sur laquelle sont des gauffres. Ce tableau dont les caractères sont remplis de gaieté, est d'une belle couleur. Il vient de la collection du ch. Lambert, no.125 de son catalogue, vendu 371 liv.]] réalisée par Corneille Dusart, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 252 frs. [151]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'un homme, vu de trois quarts jusqu'à mi-corps, vêtu de satin blanc, portant un manteau rouge sur le bras gauche ; à côté de lui se voit un chien à qui il semble parler ; le fond est orné d'un rideau retroussé, qui laisse voir une perspective de jardin. Ce tableau est du meilleur faire de ce maître. -- Hauteur, 33 pouces ; largeur, 27 pouces. Toile. Il vient d'une vente du 11 mai 1789, no.20 du catalogue, vendu 248 liv. (J. Van Loo)|Le portrait d'un homme, vu de trois quarts jusqu'à mi-corps, vêtu de satin blanc, portant un manteau rouge sur le bras gauche ; à côté de lui se voit un chien à qui il semble parler ; le fond est orné d'un rideau retroussé, qui laisse voir une perspective de jardin. Ce tableau est du meilleur faire de ce maître. -- Hauteur, 33 pouces ; largeur, 27 pouces. Toile. Il vient d'une vente du 11 mai 1789, no.20 du catalogue, vendu 248 liv.]] réalisée par J. Van Loo, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 160 frs. [152]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un intérieur de Chambre hollandoise, orné de sept figures ; le principal sujet représente deux femmes faisant un accompagnement de guitarre ; l'une d'elle est debout, vêtue en robe de satin blanc, et l'autre assise devant une table, sur laquelle est un tapis de Turquie ; auprès sont trois autres personnages qui les écoutent : plus loin sont deux hommes à la porte de l'appartement, d'où l'on voit un percé de lumière et de perspective. Ce tableau harmonieux et savamment peint, tient à la belle manière de G. Terburg. (P. de Hoog)|Un intérieur de Chambre hollandoise, orné de sept figures ; le principal sujet représente deux femmes faisant un accompagnement de guitarre ; l'une d'elle est debout, vêtue en robe de satin blanc, et l'autre assise devant une table, sur laquelle est un tapis de Turquie ; auprès sont trois autres personnages qui les écoutent : plus loin sont deux hommes à la porte de l'appartement, d'où l'on voit un percé de lumière et de perspective. Ce tableau harmonieux et savamment peint, tient à la belle manière de G. Terburg.]] réalisée par P. de Hoog au prix de 372 frs. [153]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage agréable et d'un site pittoresque ; il est traversé, sur le devant, par une mare d'eau, étendue sur un chemin frayé, dans laquelle passent un homme à cheval, et une jeune paysane hollandoise ajustée en laitière ; sur le plan avancé est un jeune garçon tirant à lui un veau à l'aide d'une corde ; le fond, à gauche, indique un hameau, d'où l'on voit sortir un chariot que conduit un homme. -- Hauteur, 14 pouces ; largeur, 18 pouces. No.71, de la vente du 20 mars 1787, vendu 700 liv. (Isaac Ostade)|Un paysage agréable et d'un site pittoresque ; il est traversé, sur le devant, par une mare d'eau, étendue sur un chemin frayé, dans laquelle passent un homme à cheval, et une jeune paysane hollandoise ajustée en laitière ; sur le plan avancé est un jeune garçon tirant à lui un veau à l'aide d'une corde ; le fond, à gauche, indique un hameau, d'où l'on voit sortir un chariot que conduit un homme. -- Hauteur, 14 pouces ; largeur, 18 pouces. No.71, de la vente du 20 mars 1787, vendu 700 liv.]] réalisée par Isaac Ostade, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 500 frs. [154]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux petits tableaux faisant pendans ; l'un, représentant un buveur tenant une pipe, et regardant dans une canette ; l'autre, représente un homme vêtu d'un manteau, précédé d'un chien : les fonds sont ornés de chaumières et de paysages. (A. Ostade)|Deux petits tableaux faisant pendans ; l'un, représentant un buveur tenant une pipe, et regardant dans une canette ; l'autre, représente un homme vêtu d'un manteau, précédé d'un chien : les fonds sont ornés de chaumières et de paysages.]] réalisée par A. Ostade, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 500 frs. [157]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un des plus fins tableaux de ce Maître ; il représente l'intérieur d'une chambre de paysan, ornée de neuf figures, trois hommes et une femme sont à table ; l'un d'eux découpe un jambon en riant ; près de lui est un homme debout devant la table, tenant son chapeau bas, et buvant un coup ; sur le devant, on voit deux petits enfans ; l'un boit à même dans un pot, et l'autre donne à manger à un petit chien ; dans le fond est une cuisinière, à côté d'un chaudron qui est sur le feu. Ce tableau capital est de la plus grande vérité, tant pour l'expression que pour le ton fin et vrai que l'on y remarque ; il vient de la vente du ch. Lambert, no.96 du catalogue, vendu 1200 liv. (Jean Steen)|Un des plus fins tableaux de ce Maître ; il représente l'intérieur d'une chambre de paysan, ornée de neuf figures, trois hommes et une femme sont à table ; l'un d'eux découpe un jambon en riant ; près de lui est un homme debout devant la table, tenant son chapeau bas, et buvant un coup ; sur le devant, on voit deux petits enfans ; l'un boit à même dans un pot, et l'autre donne à manger à un petit chien ; dans le fond est une cuisinière, à côté d'un chaudron qui est sur le feu. Ce tableau capital est de la plus grande vérité, tant pour l'expression que pour le ton fin et vrai que l'on y remarque ; il vient de la vente du ch. Lambert, no.96 du catalogue, vendu 1200 liv.]] réalisée par Jean Steen, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 600 frs. [160]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue du port Schewling, richement orné de figures : on remarque, à droite, un bourguemestre parlant à une marchande de poisson ; près d'eux sont trois autres figures ; plus loin sont distribués quantité de personnages et marchandes de marée, près de deux barques de pêcheurs : une grande étendue de mer termine le fond de ce tableau, qui est rendu avec toute la légèreté et l'esprit possible, comme dans tous les ouvrages de ce Maître. (Therburg)|La vue du port Schewling, richement orné de figures : on remarque, à droite, un bourguemestre parlant à une marchande de poisson ; près d'eux sont trois autres figures ; plus loin sont distribués quantité de personnages et marchandes de marée, près de deux barques de pêcheurs : une grande étendue de mer termine le fond de ce tableau, qui est rendu avec toute la légèreté et l'esprit possible, comme dans tous les ouvrages de ce Maître.]] réalisée par Therburg au prix de 301 frs. [161]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Mer calme, richement ornée de diverses chaloupes et barques de pêcheurs, enrichie de figures ; le devant est occupé par trois hommes dans un bateau, et deux autres à terre, retirant leurs filets. Ce tableau est rendu avec beaucoup de vérité. (S. Ruysdaal)|Une Mer calme, richement ornée de diverses chaloupes et barques de pêcheurs, enrichie de figures ; le devant est occupé par trois hommes dans un bateau, et deux autres à terre, retirant leurs filets. Ce tableau est rendu avec beaucoup de vérité.]] réalisée par S. Ruysdaal, achetée par LeBrun au prix de 199 19 frs. [163]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage et vue de rivière ; la gauche est occupée par un terrein, où s'élève une masse d'arbres, au bas desquels sont plusieurs animaux ; plus loin, et sur la droite, sont diverses barques remplies de figures, et de pêcheurs occupés à tirer leurs filets. -- Ce tableau, clair et argentin, offre une composition qui fait illusion. (S. Ruysdaal)|Un paysage et vue de rivière ; la gauche est occupée par un terrein, où s'élève une masse d'arbres, au bas desquels sont plusieurs animaux ; plus loin, et sur la droite, sont diverses barques remplies de figures, et de pêcheurs occupés à tirer leurs filets. -- Ce tableau, clair et argentin, offre une composition qui fait illusion.]] réalisée par S. Ruysdaal au prix de 176 frs. [164]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage orné de figures et animaux : on y remarque, près d'un chemin, un homme conversant avec une femme qui tient un enfant ; des chaumières, et de belles masses d'arbres, enrichissent cette composition, qui offre un style simple et naturel. Ce tableau est du meilleur faire de ce Maître. (Jacques Ruysdaal)|Un paysage orné de figures et animaux : on y remarque, près d'un chemin, un homme conversant avec une femme qui tient un enfant ; des chaumières, et de belles masses d'arbres, enrichissent cette composition, qui offre un style simple et naturel. Ce tableau est du meilleur faire de ce Maître.]] réalisée par Jacques Ruysdaal au prix de 450 frs. [166]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'une pleine campagne et champ de bled sur le devant ; à droite s'élève un groupes sic d'arbres ; sur la gauche, une vue de rivière qui termine le fonds ; un groupe de trois figures enrichi cette composition qui offre un ciel bien nuagé. Ce tableau distingué, est d'un ton clair et argentin. (Jacques Ruysdaal)|La vue d'une pleine campagne et champ de bled sur le devant ; à droite s'élève un groupes sic d'arbres ; sur la gauche, une vue de rivière qui termine le fonds ; un groupe de trois figures enrichi cette composition qui offre un ciel bien nuagé. Ce tableau distingué, est d'un ton clair et argentin.]] réalisée par Jacques Ruysdaal, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 1035 frs. [167]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage, d'un site pittoresque et montagneux : la gauche laisse voir une grande étendue de rivière bordée d'une chaîne de montagnes qui se perd dans l'horison ; la droite présente une belle masse de paysages, enrichis de cinq figures, et animaux dispersès sur différens plans ; ce tableau piquant et harmonieux, offre un site varié et intéressant. (A. Pinacker)|Un paysage, d'un site pittoresque et montagneux : la gauche laisse voir une grande étendue de rivière bordée d'une chaîne de montagnes qui se perd dans l'horison ; la droite présente une belle masse de paysages, enrichis de cinq figures, et animaux dispersès sur différens plans ; ce tableau piquant et harmonieux, offre un site varié et intéressant.]] réalisée par A. Pinacker, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 700 1 frs. [169]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau, de deux figures, dans une chambre hollandoise : au milieu, une femme assise près d'une table, donnant de l'argent à une suivante ; près d'elle un chien épagneul ; à gauche est un tapis de Turquie, un bouquet de fleurs, un violon et d'autres accessoires. (Slingelant)|Un tableau, de deux figures, dans une chambre hollandoise : au milieu, une femme assise près d'une table, donnant de l'argent à une suivante ; près d'elle un chien épagneul ; à gauche est un tapis de Turquie, un bouquet de fleurs, un violon et d'autres accessoires.]] réalisée par Slingelant, vendue par [[[Rebes]]] au prix de 201 frs. [170]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un Parc, enrichi de statues et de monumens sur la gauche, où sont placées deux figures près de l'appui d'un grand escalier, dont une femme appelant un chien, et un homme donnant des ordres à un domestique qui conduit une meute ; divers accessoires, et quelques autres figures distribuées dans l'éloignement, enrichissent ce tableau, qui offre une grande composition. Ce tableau, du beau faire de ce Maître, n'a jamais été en vente publique, et mérite l'attention des amateurs. (J.B. Wenix)|La vue d'un Parc, enrichi de statues et de monumens sur la gauche, où sont placées deux figures près de l'appui d'un grand escalier, dont une femme appelant un chien, et un homme donnant des ordres à un domestique qui conduit une meute ; divers accessoires, et quelques autres figures distribuées dans l'éloignement, enrichissent ce tableau, qui offre une grande composition. Ce tableau, du beau faire de ce Maître, n'a jamais été en vente publique, et mérite l'attention des amateurs.]] réalisée par J.B. Wenix au prix de 803 frs. [171]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage d'un ton frais, et d'une composition agréable ; la droite est occupée par un chemin commandé par une hauteur, le devant est enrichi de belles plantes, et d'un gros arbre qui s'élève sur la gauche : on remarque, sur le chemin, trois figures, par Lingelback ; une femme accompagnée d'un enfant qui joue avec un chien ; et, plus loin, un homme précédé d'un chien ; le fond se termine par de riches lointains. Ce tableau, piquant d'effet, est d'un ton clair et argentin. (J. Winants)|Un paysage d'un ton frais, et d'une composition agréable ; la droite est occupée par un chemin commandé par une hauteur, le devant est enrichi de belles plantes, et d'un gros arbre qui s'élève sur la gauche : on remarque, sur le chemin, trois figures, par Lingelback ; une femme accompagnée d'un enfant qui joue avec un chien ; et, plus loin, un homme précédé d'un chien ; le fond se termine par de riches lointains. Ce tableau, piquant d'effet, est d'un ton clair et argentin.]] réalisée par J. Winants, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 915 frs. [174]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux petits tableaux-paysages en hauteur ; l'un offre un chemin sur la droite, orné de figures, et d'un terrein élevé sur la gauche, bordé d'une mare d'eau ; des masses d'arbres légèrement groupés, ornent cette composition ; l'autre, présente la vue d'une riche campagne, dont la gauche est occupée par un groupe d'arbres sur un monticule de terrein sablonneux, près d'un chemin qui serpente ; à droite, on remarque un homme précédé d'un chien. Ces deux jolis tableaux sont des plus fins de ce Maître. Ils viennent de la vente du prince de Conti, no.499 du catalogue, vendus 940 liv. (J. Winants)|Deux petits tableaux-paysages en hauteur ; l'un offre un chemin sur la droite, orné de figures, et d'un terrein élevé sur la gauche, bordé d'une mare d'eau ; des masses d'arbres légèrement groupés, ornent cette composition ; l'autre, présente la vue d'une riche campagne, dont la gauche est occupée par un groupe d'arbres sur un monticule de terrein sablonneux, près d'un chemin qui serpente ; à droite, on remarque un homme précédé d'un chien. Ces deux jolis tableaux sont des plus fins de ce Maître. Ils viennent de la vente du prince de Conti, no.499 du catalogue, vendus 940 liv.]] réalisée par J. Winants, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 720 frs. [175]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage d'un site montagneux, orné de huit figures capitales, de quatre chevaux et d'une meute de chiens ; le sujet présente un rendez-vous de chasse ; sur la droite s'élève une belle masse d'arbres, près de laquelle est un chasseur auquel on tire les bottes ; il semble occupé à parler à une dame montée sur un cheval brun. Ce tableau capital est d'un ton chaud et harmonieux : on y remarque une exécution facile et savante ; ce morceau n'a jamais paru dans aucune vente. (A. Cuyp)|Un paysage d'un site montagneux, orné de huit figures capitales, de quatre chevaux et d'une meute de chiens ; le sujet présente un rendez-vous de chasse ; sur la droite s'élève une belle masse d'arbres, près de laquelle est un chasseur auquel on tire les bottes ; il semble occupé à parler à une dame montée sur un cheval brun. Ce tableau capital est d'un ton chaud et harmonieux : on y remarque une exécution facile et savante ; ce morceau n'a jamais paru dans aucune vente.]] réalisée par A. Cuyp au prix de 1450 frs. [176]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit tableau du plus fin de ce Maître ; il représente une prairie entrecoupée d'une rivière, dont la gauche est ornée d'une belle masse d'arbres ; le devant est occupé par un repos d'animaux, dont quatre vaches, deux chèvres et un pâtre. (Adrien van den Welde)|Un petit tableau du plus fin de ce Maître ; il représente une prairie entrecoupée d'une rivière, dont la gauche est ornée d'une belle masse d'arbres ; le devant est occupé par un repos d'animaux, dont quatre vaches, deux chèvres et un pâtre.]] réalisée par Adrien van den Welde au prix de 120 frs. [177]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'une prairie ; les devans sont occupés par un repos d'animaux, dont une vache rousse couchée sur la pelouse, et deux autres blanches mêlées de gris, lesquelles se détachent d'un ciel nuageux ; la gauche présente un arbre entouré de diverses plantes ; le fond de ce tableau se termine par des lointains. (Adrien van den Welde)|La vue d'une prairie ; les devans sont occupés par un repos d'animaux, dont une vache rousse couchée sur la pelouse, et deux autres blanches mêlées de gris, lesquelles se détachent d'un ciel nuageux ; la gauche présente un arbre entouré de diverses plantes ; le fond de ce tableau se termine par des lointains.]] réalisée par Adrien van den Welde, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 579 19 frs. [178]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau, dont la partie droite offre un Paysage au bord de la Meuse : on y voit, sur un terrein du premier plan, un boeuf blanc tache de gris, qui se détache sur un fond d'arbres ; et plus loin une vache rousse qui se désaltère au bord du rivage ; ce morceau est une des bonnes productions de ce Maître. -- Hauteur, 17 pouces ; largeur, 23 pouces. Vente du 20 mars 1787, no.132 du catalogue, vendu 2000 liv. (Paul Potter)|Un tableau, dont la partie droite offre un Paysage au bord de la Meuse : on y voit, sur un terrein du premier plan, un boeuf blanc tache de gris, qui se détache sur un fond d'arbres ; et plus loin une vache rousse qui se désaltère au bord du rivage ; ce morceau est une des bonnes productions de ce Maître. -- Hauteur, 17 pouces ; largeur, 23 pouces. Vente du 20 mars 1787, no.132 du catalogue, vendu 2000 liv.]] réalisée par Paul Potter, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 1600 frs. [179]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une composition de sept figures : on remarque à droite un cavalier en manteau rouge, regardant ferrer son cheval, qui est tenu par un jeune garçon ; plus loin est un autre cavalier sur un terrein élevé ; d'autres figures et un chien ornent les devans de ce tableau, qui est d'un ton chaud : il est connu par l'estampe. (Philippe Vouwermans)|Une composition de sept figures : on remarque à droite un cavalier en manteau rouge, regardant ferrer son cheval, qui est tenu par un jeune garçon ; plus loin est un autre cavalier sur un terrein élevé ; d'autres figures et un chien ornent les devans de ce tableau, qui est d'un ton chaud : il est connu par l'estampe.]] réalisée par Philippe Vouwermans, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 980 frs. [181]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau dont la droite représente une Hôtellerie, et une fontaine sur le devant, où l'on voit un homme monté sur un cheval blanc qu'il fait abreuver ; près de lui est un autre cheval qu'il tient par la bride : auprès est un homme qui semble caresser une femme ; on remarque, sur un plan plus éloigné, un cavalier qui salue une dame qui descend de l'hôtellerie, donnant la main à un homme. Ce tableau, piquant d'effet, offre une une composition intéressante. (Philippe Vouwermans)|Un tableau dont la droite représente une Hôtellerie, et une fontaine sur le devant, où l'on voit un homme monté sur un cheval blanc qu'il fait abreuver ; près de lui est un autre cheval qu'il tient par la bride : auprès est un homme qui semble caresser une femme ; on remarque, sur un plan plus éloigné, un cavalier qui salue une dame qui descend de l'hôtellerie, donnant la main à un homme. Ce tableau, piquant d'effet, offre une une composition intéressante.]] réalisée par Philippe Vouwermans, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 400 frs. [182]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une Cour d'Hôtellerie, où se voit un ratelier pratiqué contre une vieille muraille, et sous un toît : on y remarque, pour principale figure, un cavalier sur un cheval blanc, donnant une pièce de monnoie à un palefrenier qui lui tend une main, et de l'autre tenant la bride de son cheval : on remarque encore sur le devant, un autre cavalier assis, occupé à mettre sa botte, tandis qu'un valet lui arrange son cheval, qui est vu par derrière, et se détache sur un fond de lointain que l'on aperçoit par la porte. Ce tableau, orné de neuf figures et de onze animaux, est d'un bel effet et d'un beau ton de couleur. -- Hauteur, 21 pouces 6 lignes ; largeur, 18 pouces 6 lignes. Il vient de la vente de M. de C. du 21 avril 1788, no.98 du catalogue, vendu 2501 liv. (Philippe Vouwermans)|L'intérieur d'une Cour d'Hôtellerie, où se voit un ratelier pratiqué contre une vieille muraille, et sous un toît : on y remarque, pour principale figure, un cavalier sur un cheval blanc, donnant une pièce de monnoie à un palefrenier qui lui tend une main, et de l'autre tenant la bride de son cheval : on remarque encore sur le devant, un autre cavalier assis, occupé à mettre sa botte, tandis qu'un valet lui arrange son cheval, qui est vu par derrière, et se détache sur un fond de lointain que l'on aperçoit par la porte. Ce tableau, orné de neuf figures et de onze animaux, est d'un bel effet et d'un beau ton de couleur. -- Hauteur, 21 pouces 6 lignes ; largeur, 18 pouces 6 lignes. Il vient de la vente de M. de C. du 21 avril 1788, no.98 du catalogue, vendu 2501 liv.]] réalisée par Philippe Vouwermans, vendue par [[Ar[taud]]], achetée par LeBrun au prix de 1800 frs. [183]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une composition capitale, représentant un Marché aux chevaux : on remarque sur le devant un homme et une femme d'un costume distingué, devant lesquels un palefrenier essaye un cheval. Ce tableau, qui offre une infinité de détailes, par la variété des groupes, peut être mis au rang des meilleurs ouvrages de ce Maître. (Philippe Vouwermans)|Une composition capitale, représentant un Marché aux chevaux : on remarque sur le devant un homme et une femme d'un costume distingué, devant lesquels un palefrenier essaye un cheval. Ce tableau, qui offre une infinité de détailes, par la variété des groupes, peut être mis au rang des meilleurs ouvrages de ce Maître.]] réalisée par Philippe Vouwermans au prix de 1200 [?] frs. [184]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un intérieur de Chambre, orné de cinq figures, dont un groupe de trois hommes, deux assis et un debout, occupés à fumer et à boire ; plus loin se voit une femme à la porte de la chambre : on remarque, dans le fond, un autre personnage vu par le dos ; ce tableau capital est du plus fin de ce Maître. (D. Teniers)|Un intérieur de Chambre, orné de cinq figures, dont un groupe de trois hommes, deux assis et un debout, occupés à fumer et à boire ; plus loin se voit une femme à la porte de la chambre : on remarque, dans le fond, un autre personnage vu par le dos ; ce tableau capital est du plus fin de ce Maître.]] réalisée par D. Teniers, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 1801 frs. [191]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau d'une grande composition : le sujet représente l'intérieur d'une Tabagie hollandoise : on y voit au premier plan, sur la gauche, trois buveurs autour d'une table, deux sont occupés à jouer aux cartes ; l'un d'eux a la tête presque de face ; il tient, d'une main, un pot de bière, et, de l'autre, ses cartes ; l'autre est un vieillard de profil, tenant son jeu à deux mains, et le montrant à un de ses camarades : derrière eux sont deux autres fumeurs debout, considérant aussi le jeu ; le fond du tableau est occupé par plusieurs figures rassemblées devant une cheminée, une parlant à une servante qui tient une porte entr'ouverte : entre ces deux groupes, on remarque un homme sur un banc, la tête appuyée sur ses bras, et endormi, à droite, sur le devant, sont un tonneau, quelques bûches, un chien levrier, et divers autres accessoires ingénieusement groupés et rendus. Ce tableau, savamment peint, offre des caractères remplis d'expression et de vérité. -- Hauteur, 17 pouces 6 lignes ; largeur, 24 pouces 6 lignes, sur bois. Il a été vendu 2100 liv. à la vente du 20 mars 1787, no.52 du catalogue. (D. Teniers)|Un tableau d'une grande composition : le sujet représente l'intérieur d'une Tabagie hollandoise : on y voit au premier plan, sur la gauche, trois buveurs autour d'une table, deux sont occupés à jouer aux cartes ; l'un d'eux a la tête presque de face ; il tient, d'une main, un pot de bière, et, de l'autre, ses cartes ; l'autre est un vieillard de profil, tenant son jeu à deux mains, et le montrant à un de ses camarades : derrière eux sont deux autres fumeurs debout, considérant aussi le jeu ; le fond du tableau est occupé par plusieurs figures rassemblées devant une cheminée, une parlant à une servante qui tient une porte entr'ouverte : entre ces deux groupes, on remarque un homme sur un banc, la tête appuyée sur ses bras, et endormi, à droite, sur le devant, sont un tonneau, quelques bûches, un chien levrier, et divers autres accessoires ingénieusement groupés et rendus. Ce tableau, savamment peint, offre des caractères remplis d'expression et de vérité. -- Hauteur, 17 pouces 6 lignes ; largeur, 24 pouces 6 lignes, sur bois. Il a été vendu 2100 liv. à la vente du 20 mars 1787, no.52 du catalogue.]] réalisée par D. Teniers, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 1500 frs. [192]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un intérieur de chambre, dans le milieu de laquelle se voit un homme assis devant une table, tenant un pot de bière d'une main, et sa pipe de l'autre ; cette figure nous paroît être le portrait de D. Teniers lui-même. Derrière et sur un banc, est placé un manteau noir et un chapeau, accroché au dos de son siége ; sur la droite, et dans l'embrâsure d'une porte, est une servante apportant un plat dans lequel sont des oeufs. Ce tableau est de la touche la plus vigoureuse de ce Peintre : on y remarque surtout, parmi les beautés qui le rendent recommandable, l'air distingué et refléchi de la principale figure. -- Hauteur, 12 pouces ; largeur, 16 pouces. Bois. du cabinet de MM.***, no.56 du catalogue, vendu 2340, le 20 mars 1787. (D. Teniers)|Un intérieur de chambre, dans le milieu de laquelle se voit un homme assis devant une table, tenant un pot de bière d'une main, et sa pipe de l'autre ; cette figure nous paroît être le portrait de D. Teniers lui-même. Derrière et sur un banc, est placé un manteau noir et un chapeau, accroché au dos de son siége ; sur la droite, et dans l'embrâsure d'une porte, est une servante apportant un plat dans lequel sont des oeufs. Ce tableau est de la touche la plus vigoureuse de ce Peintre : on y remarque surtout, parmi les beautés qui le rendent recommandable, l'air distingué et refléchi de la principale figure. -- Hauteur, 12 pouces ; largeur, 16 pouces. Bois. du cabinet de MM.***, no.56 du catalogue, vendu 2340, le 20 mars 1787.]] réalisée par D. Teniers, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 1500 frs. [193]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une maison de paysans ; sur le devant, à gauche, un groupe de six figures ; deux hommes jouant aux cartes ; l'un d'eux met le jeu sur la table, tandis que l'autre fait un mouvement de surprise ; les quatre autres, derrière, sont à rire ; l'un, tourné contre la cheminée, fume une pipe ; un autre assis, appuyé sur la table de jeu ; les devans sont ornés de divers ustensiles de cuisine, et de pièces de viande accrochées au plancher ; d'une retraite sur la droite où sont placés plusieurs gens à table devant une cheminée, occupés à boire. Ce tableau capital est d'une touche large et savante, et il vient de la collection de M. le ch. Lambert, no.54 du catalogue, vendu 3000 liv. (David Téniers)|L'intérieur d'une maison de paysans ; sur le devant, à gauche, un groupe de six figures ; deux hommes jouant aux cartes ; l'un d'eux met le jeu sur la table, tandis que l'autre fait un mouvement de surprise ; les quatre autres, derrière, sont à rire ; l'un, tourné contre la cheminée, fume une pipe ; un autre assis, appuyé sur la table de jeu ; les devans sont ornés de divers ustensiles de cuisine, et de pièces de viande accrochées au plancher ; d'une retraite sur la droite où sont placés plusieurs gens à table devant une cheminée, occupés à boire. Ce tableau capital est d'une touche large et savante, et il vient de la collection de M. le ch. Lambert, no.54 du catalogue, vendu 3000 liv.]] réalisée par David Téniers, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 2400 frs. [194]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau de neuf figures, sur le devant d'un paysage ; on voit à gauche une masse de rocher où est pratiquée une forge, près de laquelle un cavalier, dans le costume espagnol, fait ferrer son cheval ; sur la droite sont deux autres figures de femmes occupées à filer. Ce tableau, piquant d'effet, est d'une touche large et facile. (Nicolas Berghem)|Un tableau de neuf figures, sur le devant d'un paysage ; on voit à gauche une masse de rocher où est pratiquée une forge, près de laquelle un cavalier, dans le costume espagnol, fait ferrer son cheval ; sur la droite sont deux autres figures de femmes occupées à filer. Ce tableau, piquant d'effet, est d'une touche large et facile.]] réalisée par Nicolas Berghem au prix de 300 1 frs. [195]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Pâtre, conversant avec une femme qui est montée sur un mulet : un chien, des vaches, des moutons et une chèvre blanche, occupent le premier plan ; derrière eux passe une rivière, bordée de masses de rochers ; d'un faire léger et transparent. (Nicolas Berghem)|Un Pâtre, conversant avec une femme qui est montée sur un mulet : un chien, des vaches, des moutons et une chèvre blanche, occupent le premier plan ; derrière eux passe une rivière, bordée de masses de rochers ; d'un faire léger et transparent.]] réalisée par Nicolas Berghem, vendue par [[Ar[taud]]], achetée par Brun jeune au prix de 1501 frs. [198]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendant ; l'un, représentant Sara rendue à Abraham par Abimelech, riche composition de quatorze figures avec beaucoup d'animaux ; l'autre, représente l'Enfant Prodigue avec ses maîtresses ; il est vu au milieu du tableau avec une de ses femmes, vêtue de satin blanc : on y compte plus de trente autres figures sur différens plans, au milieu d'une architecutre. Ces deux rares tableaux sont grandement composés, et d'un clair obscur étonnant, et de la touche la plus hardie de ce Maître ; ils viennent de la collection de M. de Sainte-Foi et de celle de MM. no.90 du catalogue, vendu 5000 liv. en mars 1787. (Nicolas Berghem)|Deux tableaux faisant pendant ; l'un, représentant Sara rendue à Abraham par Abimelech, riche composition de quatorze figures avec beaucoup d'animaux ; l'autre, représente l'Enfant Prodigue avec ses maîtresses ; il est vu au milieu du tableau avec une de ses femmes, vêtue de satin blanc : on y compte plus de trente autres figures sur différens plans, au milieu d'une architecutre. Ces deux rares tableaux sont grandement composés, et d'un clair obscur étonnant, et de la touche la plus hardie de ce Maître ; ils viennent de la collection de M. de Sainte-Foi et de celle de MM. no.90 du catalogue, vendu 5000 liv. en mars 1787.]] réalisée par Nicolas Berghem, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 3000 frs. [199]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Plusieurs Nymphes sur le devant d'un paysage, formant un groupe intéressant ; à la gauche du sujet, on remarque dans le milieu une jeune femme agréablement ajustée, portant sur ses cheveux une couronne de fleurs, et dansant devant un faune qui tient une flûte ; la droite offre un groupe d'arbres et de côteaux, ornés de quelques fabriques ; les devans sont ornés de diverses plantes précieusement terminées : ce tableau gracieux est d'une touche finie et agréable de composition. -- Hauteur, 14 pouces ; largeur, 267 pouces. Bois. De la vente du 20 mars 1787, no.137 du catalogue, vendu 1100 liv. (C. Poelemburg)|Plusieurs Nymphes sur le devant d'un paysage, formant un groupe intéressant ; à la gauche du sujet, on remarque dans le milieu une jeune femme agréablement ajustée, portant sur ses cheveux une couronne de fleurs, et dansant devant un faune qui tient une flûte ; la droite offre un groupe d'arbres et de côteaux, ornés de quelques fabriques ; les devans sont ornés de diverses plantes précieusement terminées : ce tableau gracieux est d'une touche finie et agréable de composition. -- Hauteur, 14 pouces ; largeur, 267 pouces. Bois. De la vente du 20 mars 1787, no.137 du catalogue, vendu 1100 liv.]] réalisée par C. Poelemburg, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 735 frs. [201]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Rachat de l'Esclave, composition de sept figures placées sur un terrain élevé ; la droite est terminée par des lointains : ce tableau d'une couleur agréable et d'une parfaite conservation, est très-connu par l'estampe. Il vient de la vente du 22 mars 1790, no.22, vendu 490. (C. Poelemburg)|Le Rachat de l'Esclave, composition de sept figures placées sur un terrain élevé ; la droite est terminée par des lointains : ce tableau d'une couleur agréable et d'une parfaite conservation, est très-connu par l'estampe. Il vient de la vente du 22 mars 1790, no.22, vendu 490.]] réalisée par C. Poelemburg, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 600 frs. [202]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux capitaux : l'un représente un groupe de fleurs placées dans un vase orné de bas reliefs d'enfans ; l'effet principal est porté sur des roses de différentes couleurs, au dessus desquelles s'élèvent de belles tulipes : des pavots et autres fleurs variées contribuent à la richesse de cette composition. Le pendant, d'un effet clair et brillant, offre un amas des plus beaux fruits de toute espèce, comme raisins, pêches, prunes, melons, etc. artistement groupés, avec quelques fleurs placées sur une table de marbre, et terminé par un fond d'architecutre mêle de paysage. Ces deux sujets de genre sont étudiés et rendus avec toute la perfection ; on y trouve dans les détails, une vérité qui fait illusion, jointe à une couleur transparente et harmonieuse qui ne se rencontre que dans les productions de ce grand maître, dont la touche juste et spirituelle semble des animer. -- Hauteur, 29 pouces ; largeur, 23 pouces 6 lignes. Bois. Ils viennent de la vente du 30 mars 1787, no.50 du catalogue, où ils furent vendus 17000 liv. (Jean Vanhuysum)|Deux tableaux capitaux : l'un représente un groupe de fleurs placées dans un vase orné de bas reliefs d'enfans ; l'effet principal est porté sur des roses de différentes couleurs, au dessus desquelles s'élèvent de belles tulipes : des pavots et autres fleurs variées contribuent à la richesse de cette composition. Le pendant, d'un effet clair et brillant, offre un amas des plus beaux fruits de toute espèce, comme raisins, pêches, prunes, melons, etc. artistement groupés, avec quelques fleurs placées sur une table de marbre, et terminé par un fond d'architecutre mêle de paysage. Ces deux sujets de genre sont étudiés et rendus avec toute la perfection ; on y trouve dans les détails, une vérité qui fait illusion, jointe à une couleur transparente et harmonieuse qui ne se rencontre que dans les productions de ce grand maître, dont la touche juste et spirituelle semble des animer. -- Hauteur, 29 pouces ; largeur, 23 pouces 6 lignes. Bois. Ils viennent de la vente du 30 mars 1787, no.50 du catalogue, où ils furent vendus 17000 liv.]] réalisée par Jean Vanhuysum, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 9000 frs. [203]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une des Campagnes de Louis XIV : on le voit à cheval accompagné des personnes de sa suite, recevant la nouvelle d'une ville prise d'assaut, que l'on voit dans l'éloignement du tableau. Il est fait avec tout l'esprit, connu dans les ouvrages de ce maître. (A.F. Vander Meulen)|Une des Campagnes de Louis XIV : on le voit à cheval accompagné des personnes de sa suite, recevant la nouvelle d'une ville prise d'assaut, que l'on voit dans l'éloignement du tableau. Il est fait avec tout l'esprit, connu dans les ouvrages de ce maître.]] réalisée par A.F. Vander Meulen, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 125 frs. [205]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet allégorique, composé de quatre figures : les deux principales, sont un guerrier et une femme qui forment une alliance ; entre ces deux personnages, est placé un amour qui les unit : au dessus se voit un génie qui tient de la main droite un cercle d'or, qu'il soutient sur la tête de la femme, et de l'autre le flambeau de l'hymen : le fond d'une architecture avec figures en cariatide, contribue à cette riche composition. Il vient du cabinet de M. M..., vendu le 20 mars 1787, 3850 liv. (Gerard Lairesse)|Un sujet allégorique, composé de quatre figures : les deux principales, sont un guerrier et une femme qui forment une alliance ; entre ces deux personnages, est placé un amour qui les unit : au dessus se voit un génie qui tient de la main droite un cercle d'or, qu'il soutient sur la tête de la femme, et de l'autre le flambeau de l'hymen : le fond d'une architecture avec figures en cariatide, contribue à cette riche composition. Il vient du cabinet de M. M..., vendu le 20 mars 1787, 3850 liv.]] réalisée par Gerard Lairesse, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 990 frs. [206]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Portrait d'un Artiste, représenté à mi-corps, vêtu selon l'ancien costume hollandois, la tête tournée de trois quarts, tenant un chapeau rabattu dans ses mains ; on ne peut rien voir de plus frappant et de plus caractérisé que ce tableau, dont l'harmonie est du plus beau. Il vient de la vente de M. Watelet, no.44 du catalogue, et de celle de M. M...., le 20 mars 1787, no.24 du catalogue, vendu 3000 liv. (Rembrant van Rin)|Le Portrait d'un Artiste, représenté à mi-corps, vêtu selon l'ancien costume hollandois, la tête tournée de trois quarts, tenant un chapeau rabattu dans ses mains ; on ne peut rien voir de plus frappant et de plus caractérisé que ce tableau, dont l'harmonie est du plus beau. Il vient de la vente de M. Watelet, no.44 du catalogue, et de celle de M. M...., le 20 mars 1787, no.24 du catalogue, vendu 3000 liv.]] réalisée par Rembrant van Rin, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 2130 frs. [210]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Portrait de ce peintre, par lui-même, jouant du violon près d'une croisée enrichie de bas-reliefs ; on remarque sur l'appui un livre de musique, un sabre et un ceinturon ; on voit dans le haut un tapis retroussé en forme de rideau, qui laisse apercevoir dans le fond l'atelier de cet artiste ; on distingue un chevalet, un tableau, une mappemode et autres accessoires qui ornent ce tableau, qui est de la belle manière de ce maître. (Gerard Dow)|Le Portrait de ce peintre, par lui-même, jouant du violon près d'une croisée enrichie de bas-reliefs ; on remarque sur l'appui un livre de musique, un sabre et un ceinturon ; on voit dans le haut un tapis retroussé en forme de rideau, qui laisse apercevoir dans le fond l'atelier de cet artiste ; on distingue un chevalet, un tableau, une mappemode et autres accessoires qui ornent ce tableau, qui est de la belle manière de ce maître.]] réalisée par Gerard Dow au prix de 2501 frs. [211]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau, sujet d'une jeune femme vue à mi-corps de grandeur naturelle, près de l'appui d'une fenêtre ; elle a la tête tournée sur la droite, comme pour regrder quelqu'un ; elle étend et alonge la main gauche pour fermer le volet de la fenêtre ; cette figure gracieuse est coîffée d'un toque en or mêlée de perles, porte un riche corset de velours vert brode : on ne peut rien offrir de plus frappant, ni de plus vrai que ce tableau. -- Hauteur, 37 pouces, largeur, 29 pouces. Toile. Il vient de la vente du 20 mars 1787, no.41 du catalogue, vendu 1200 liv. (Gerard Dow)|Un tableau, sujet d'une jeune femme vue à mi-corps de grandeur naturelle, près de l'appui d'une fenêtre ; elle a la tête tournée sur la droite, comme pour regrder quelqu'un ; elle étend et alonge la main gauche pour fermer le volet de la fenêtre ; cette figure gracieuse est coîffée d'un toque en or mêlée de perles, porte un riche corset de velours vert brode : on ne peut rien offrir de plus frappant, ni de plus vrai que ce tableau. -- Hauteur, 37 pouces, largeur, 29 pouces. Toile. Il vient de la vente du 20 mars 1787, no.41 du catalogue, vendu 1200 liv.]] réalisée par Gerard Dow, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 700 frs. [212]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint-Jérome, de grandeur naturelle, vu de profil jusqu'aux genoux ; il tient un livre de la main gauche, tandis qu'il écrit de la main droite ; il a les cuisses couvertes d'une draperie rouge : une partie de roches sur la droite, et un fond de ciel terminent ce tableau, qui tient des ouvrages du Titien et de Rubens, dont il cherchoit la maniére : il est de forme ronde. (Vandick)|Saint-Jérome, de grandeur naturelle, vu de profil jusqu'aux genoux ; il tient un livre de la main gauche, tandis qu'il écrit de la main droite ; il a les cuisses couvertes d'une draperie rouge : une partie de roches sur la droite, et un fond de ciel terminent ce tableau, qui tient des ouvrages du Titien et de Rubens, dont il cherchoit la maniére : il est de forme ronde.]] réalisée par Vandick, achetée par Langrav au prix de 100 frs. [213]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un des plus capitaux et des plus rares tableaux de ce maître ; il représente Abraham rendant action de graces devant Melchisedech, d'avoir vaincu cinq rois : cette riche composition est terminée par un fond de paysage, d'un site pittoresque et montagneux, enrichi de fabriques et chûtes d'eau sur la droite ; le fond se termine par des lointains. (Bartholomé Breemberg)|Un des plus capitaux et des plus rares tableaux de ce maître ; il représente Abraham rendant action de graces devant Melchisedech, d'avoir vaincu cinq rois : cette riche composition est terminée par un fond de paysage, d'un site pittoresque et montagneux, enrichi de fabriques et chûtes d'eau sur la droite ; le fond se termine par des lointains.]] réalisée par Bartholomé Breemberg, achetée par Brun jeune au prix de 1161 frs. [214]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis paysages ornés de ruines, de fabriques et de divers monumens des environs de Rome ; ils sont enrichis de petites figures et animaux, touchés avec tout l'esprit et la finesse possible : ces tableaux viennent de la vente de M. Blondel de Gagny, no.123, vendus 2976 liv., et de celle de M. Dazincourt, no.26, vendu 3001 liv., et en dernier, de celle de M. le duc de Chabot. (Bartholomé Breemberg)|Deux jolis paysages ornés de ruines, de fabriques et de divers monumens des environs de Rome ; ils sont enrichis de petites figures et animaux, touchés avec tout l'esprit et la finesse possible : ces tableaux viennent de la vente de M. Blondel de Gagny, no.123, vendus 2976 liv., et de celle de M. Dazincourt, no.26, vendu 3001 liv., et en dernier, de celle de M. le duc de Chabot.]] réalisée par Bartholomé Breemberg, vendue par [[Ar[taud]]], achetée par Brun jeune au prix de 1500 frs. [215]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau capital de ces deux maîtres ; il représente la rencontre de Jacob et de Laban ; ce dernier est vu debout, suivi d'un nombreux cortège de troupes armées, relevant Jacob qui est prosterné à genoux devant lui ; sur le côté gauche, on aperçoit au premier plan la famille de Jacob et ses troupeaux : ce morceau offre une composition des plus riches et les groupes les plus variés. -- Hauteur, 16 pouces ; largeur, 24 pouces 6 lignes. Il vient de la vente de M.M***, le 20 mars 1787, vendu 1800 liv. (Rothenamer)|Un tableau capital de ces deux maîtres ; il représente la rencontre de Jacob et de Laban ; ce dernier est vu debout, suivi d'un nombreux cortège de troupes armées, relevant Jacob qui est prosterné à genoux devant lui ; sur le côté gauche, on aperçoit au premier plan la famille de Jacob et ses troupeaux : ce morceau offre une composition des plus riches et les groupes les plus variés. -- Hauteur, 16 pouces ; largeur, 24 pouces 6 lignes. Il vient de la vente de M.M***, le 20 mars 1787, vendu 1800 liv.]] réalisée par Rothenamer, vendue par [[Ar[taud]]], achetée par Brun jeune au prix de 850 frs. [216]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau de vingt figures, représentant le Triomphe de Bacchus : cette composition capitale offre une des plus belles productions de ce maître, tant par le charme de la composition, que par le coloris brillant : les groupes sont des plus variés, et l'exécution parfaite. On rencontre rarement des tableaux de cette Ecole, aussi intéressant. (P. Matté)|Un tableau de vingt figures, représentant le Triomphe de Bacchus : cette composition capitale offre une des plus belles productions de ce maître, tant par le charme de la composition, que par le coloris brillant : les groupes sont des plus variés, et l'exécution parfaite. On rencontre rarement des tableaux de cette Ecole, aussi intéressant.]] réalisée par P. Matté au prix de 800 frs. [220]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le mystère de la Sainte-Trinité : aux deux côtés sont assis la Vierge et Saint-Joseph. Ce tableau ne laisse rien à desirer ; les têtes sont remplies d'expression, les draperies d'un beau choix, la couleur brillante et vigoureuse, le pinceau délicat et d'un précieux fini. -- Hauteur, 11 pouces ; largeur, 13 pouces. Cuivre. Il vient du cabinet de M. le duc de Chabot, no.8 du catalogue, vendu 2020 liv. (Carlo Dolci)|Le mystère de la Sainte-Trinité : aux deux côtés sont assis la Vierge et Saint-Joseph. Ce tableau ne laisse rien à desirer ; les têtes sont remplies d'expression, les draperies d'un beau choix, la couleur brillante et vigoureuse, le pinceau délicat et d'un précieux fini. -- Hauteur, 11 pouces ; largeur, 13 pouces. Cuivre. Il vient du cabinet de M. le duc de Chabot, no.8 du catalogue, vendu 2020 liv.]] réalisée par Carlo Dolci, vendue par [[Ar[taud]]] au prix de 1601 frs. [226]
  • 1791.11.15/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'une belle campagne ; la gauche presente un chemin sablonneux, et differentes plantes sur un terrein élevé : on y voit plusieurs figures par Van den Welde ; des fabriques construites en briques, près d'un chemin de traverse, qui conduit à une plaine qui domine sur la droite, borde de haies et d'une rivière sur le devant ; des masses d'arbres et des lointains terminent le fond de ce tableau, qui est du beau faire de ce Maître. Il vient de la vente de M.C. du 11 mai 1789, no. 31 du catalogue, vendu 1500 liv. (J. Winants)|La vue d'une belle campagne ; la gauche presente un chemin sablonneux, et differentes plantes sur un terrein élevé : on y voit plusieurs figures par Van den Welde ; des fabriques construites en briques, près d'un chemin de traverse, qui conduit à une plaine qui domine sur la droite, borde de haies et d'une rivière sur le devant ; des masses d'arbres et des lointains terminent le fond de ce tableau, qui est du beau faire de ce Maître. Il vient de la vente de M.C. du 11 mai 1789, no. 31 du catalogue, vendu 1500 liv.]] réalisée par J. Winants au prix de 1000 frs. [228]