Ventes d'œuvres le 1797.09.07

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  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Baigneuse accompagnée de sa Suivante. La figure principale est vue debout & nue, le bras droit appuyé sur le tronc d'un arbre tortueux ; elle entre du pied droit dans l'eau, ayant les yeux baissés & la pudeur peinte sur le front ; son corps qui offre les plus belles formes, est un peu caché par une draperie blanche qu'elle tient de la main gauche, tandis que cette même draperie est soutenue par sa suivante, qui est agenouillée & vêtue d'un juste au corps bleu avec draperie jaune. Ce morceau des plus agréable, est peint sur une grosse toile d'Italie. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer. (François Le Moyne)|Une Baigneuse accompagnée de sa Suivante. La figure principale est vue debout & nue, le bras droit appuyé sur le tronc d'un arbre tortueux ; elle entre du pied droit dans l'eau, ayant les yeux baissés & la pudeur peinte sur le front ; son corps qui offre les plus belles formes, est un peu caché par une draperie blanche qu'elle tient de la main gauche, tandis que cette même draperie est soutenue par sa suivante, qui est agenouillée & vêtue d'un juste au corps bleu avec draperie jaune. Ce morceau des plus agréable, est peint sur une grosse toile d'Italie. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer.]] réalisée par François Le Moyne, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par LeBrun au prix de 1000 fl. [1]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Temps qui s'empare de la Vérité & qui terrasse la Calomnie. Ce tableau, d'une allégorie ingénieuse, présente un grouppe intéressant de trois superbes figures toutes caractérisées par leurs différens attributs : dans le fond & en demi-teinte, on apperçoit, sur un plan coupé, la figure de l'Envie qui est réduite à se cacher & à fuir. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer. (François Le Moyne)|Le Temps qui s'empare de la Vérité & qui terrasse la Calomnie. Ce tableau, d'une allégorie ingénieuse, présente un grouppe intéressant de trois superbes figures toutes caractérisées par leurs différens attributs : dans le fond & en demi-teinte, on apperçoit, sur un plan coupé, la figure de l'Envie qui est réduite à se cacher & à fuir. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer.]] réalisée par François Le Moyne, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par St Foy au prix de 1600 fl. [2]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Hercule filant auprès d'Omphale. Ces deux figures sont de grandeur naturelle & accompagnées d'un Amour. Hercule assis tient le fuseau & la quenouille d'Omphale, qu'il regarde la tête tournée vers son épaule droite ; Omphale debout, ayant son bras par-dessus l'épaule gauche d'Hercule, tient la massue de héros, dont un bout pose à terre ; on voit encore un petit Amour qui présente une éponge dans une coupe d'or ; un beau fond de paysage & quelques accessoires de draperies, contribuent à l'ensemble magnifique de ce tableau digne d'un sujet aussi gracieux. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer. (François Le Moyne)|Hercule filant auprès d'Omphale. Ces deux figures sont de grandeur naturelle & accompagnées d'un Amour. Hercule assis tient le fuseau & la quenouille d'Omphale, qu'il regarde la tête tournée vers son épaule droite ; Omphale debout, ayant son bras par-dessus l'épaule gauche d'Hercule, tient la massue de héros, dont un bout pose à terre ; on voit encore un petit Amour qui présente une éponge dans une coupe d'or ; un beau fond de paysage & quelques accessoires de draperies, contribuent à l'ensemble magnifique de ce tableau digne d'un sujet aussi gracieux. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer.]] réalisée par François Le Moyne, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par St Foy au prix de 1350 fl. [3]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Persée venant délivrer Andromède. La figure de femme est representée nue, attachée sur le rocher, environnée d'une draperie rouge & d'une gaze légère ; paroissant espérer sa délivrance & craindre encore le monstre qui est à ses pieds. Persée fendant les airs, présente du bras gauche le bouclier sur lequel est la tête de Méduse, tandis que de l'autre il tient son sabre pour en frapper le monstre ; à gauche, dans le lointain & sur le rivage, on voit la famille d'Andromède en pleurs. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer. (François Le Moyne)|Persée venant délivrer Andromède. La figure de femme est representée nue, attachée sur le rocher, environnée d'une draperie rouge & d'une gaze légère ; paroissant espérer sa délivrance & craindre encore le monstre qui est à ses pieds. Persée fendant les airs, présente du bras gauche le bouclier sur lequel est la tête de Méduse, tandis que de l'autre il tient son sabre pour en frapper le monstre ; à gauche, dans le lointain & sur le rivage, on voit la famille d'Andromède en pleurs. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer.]] réalisée par François Le Moyne, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par St Foy. [4]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Chevaliers Danois venant tirer Renaud du Palais d'Armide : ils paroissent frappés de la beauté de plusieurs Nymphes qui se baignent dans les eaux claires d'une fontaine ; sur une table de marbre blanc sont divers fruits & une éguierre ; la partie gauche de ce tableau admirable, est encore enrichie d'un lion & un dragon vomissant des flammes : divers plans de montagnes, des vallons & des masses d'arbres, offrent des oppositions de lumieres & d'ombres, qui produisent l'effet le plus agréable. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer. (François Le Moyne)|Les Chevaliers Danois venant tirer Renaud du Palais d'Armide : ils paroissent frappés de la beauté de plusieurs Nymphes qui se baignent dans les eaux claires d'une fontaine ; sur une table de marbre blanc sont divers fruits & une éguierre ; la partie gauche de ce tableau admirable, est encore enrichie d'un lion & un dragon vomissant des flammes : divers plans de montagnes, des vallons & des masses d'arbres, offrent des oppositions de lumieres & d'ombres, qui produisent l'effet le plus agréable. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer.]] réalisée par François Le Moyne, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par Le Brun au prix de 1603 fl. [5]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Pigmalion voyant sa statue animée. On le voit sur la droite du tableau, s'elançant de son siége pour aller au-devant de cette figure qui est debout, les bras ouverts, le regard élevé vers le ciel ; elle est coloriée, ainsi que ses vêtemens, jusqu'au dessous des genoux. Sur le devant, dans la partie gauche du sujet, est un petit enfant qui étoit occupé à dessiner. Différens attributs de sculpture artistement distribués, ornent les premiers plans de ce magnifique tableau, dont le fond est encore enrichi d'une draperie rougeâtre, & d'un portique d'architecture. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer. (François Le Moyne)|Pigmalion voyant sa statue animée. On le voit sur la droite du tableau, s'elançant de son siége pour aller au-devant de cette figure qui est debout, les bras ouverts, le regard élevé vers le ciel ; elle est coloriée, ainsi que ses vêtemens, jusqu'au dessous des genoux. Sur le devant, dans la partie gauche du sujet, est un petit enfant qui étoit occupé à dessiner. Différens attributs de sculpture artistement distribués, ornent les premiers plans de ce magnifique tableau, dont le fond est encore enrichi d'une draperie rougeâtre, & d'un portique d'architecture. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer.]] réalisée par François Le Moyne, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par St Foy au prix de 550 fl. [6]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Adam & Eve dans le paradis terrestre ; Adam est assis sur la droite, & reçoit la pomme qui lui est presentée par sa compagne ; elle est de-bout près de l'arbre autour duquel est le serpent, & porte sa main gauche sur d'autres fruits du même arbre ; sur le devant & près de la jambe d'Adam, est un lion couche, & de l'autre côté sont différens autres animaux. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer. (François Le Moyne)|Adam & Eve dans le paradis terrestre ; Adam est assis sur la droite, & reçoit la pomme qui lui est presentée par sa compagne ; elle est de-bout près de l'arbre autour duquel est le serpent, & porte sa main gauche sur d'autres fruits du même arbre ; sur le devant & près de la jambe d'Adam, est un lion couche, & de l'autre côté sont différens autres animaux. Nota. La suite précieuse des sept grands Tableaux de François Le Moyne, qui sont ci-après décrits, est reconnue dans la haute curiosité, pour avoir mérité à ce célèbre artiste le titre de premier Peintre de son siècle. Ils furent mis en vente & exposés publiquement dans la grand salle de la rue de Cléry, il y a environ quatre ans, mais dans un temps où irrésolution des affaires ne permit pas d'en tirer le parti avantageux que méritoient de tels chefs -d'oeuvre. Les amateurs qui ont conservé le catalogue de cette vente, peuvent en ce moment le consulter ; ils y retrouvent l'historique intéressent qui en a été placé dans un abrégé de la vie de cet artiste dont le genre & la facilité d'exécution ne laissent rien à desirer.]] réalisée par François Le Moyne, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par St Foy au prix de 1020 fl. [7]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux autres Figures couchées, d'un peu plus forte proportion que les précédentes. L'une représente un jeune Fleuve étendu, & tenant son urne renversé au-dessus de sa tête ; l'autre une Nimphe aussi couchée, tenant entre ses mains une urne de feu, & un lézard. Haut. 18 pouc. long. 24 avec pareils socles de cuivre doré à moulures unies. (artiste anonyme)|Deux autres Figures couchées, d'un peu plus forte proportion que les précédentes. L'une représente un jeune Fleuve étendu, & tenant son urne renversé au-dessus de sa tête ; l'autre une Nimphe aussi couchée, tenant entre ses mains une urne de feu, & un lézard. Haut. 18 pouc. long. 24 avec pareils socles de cuivre doré à moulures unies.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Grimod de la Reynière. [24]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux belles Figures en marbre blanc, proportion de 30 pouc. L'une représente l'Amitié caractérisee par un coeur qu'elle tient dans ses mains ; l'autre une Vestale artistement drappée & debout près d'un autel offrant un sacrifice. Ces morceaux, d'un beau travail, sont garnis de pieds à moulures unies en cuivre doré. (artiste anonyme)|Deux belles Figures en marbre blanc, proportion de 30 pouc. L'une représente l'Amitié caractérisee par un coeur qu'elle tient dans ses mains ; l'autre une Vestale artistement drappée & debout près d'un autel offrant un sacrifice. Ces morceaux, d'un beau travail, sont garnis de pieds à moulures unies en cuivre doré.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Grimod de la Reynière au prix de 381 fl. [27]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une première composition, & terminée avec esprit, du sujet bien connu de l'Accordée de village. Tous les ouvrages de cet habile Artiste dans les scènes familières qu'il a traitées avec tant de succés, sont recherchés des amateurs ; mais celui-ci a l'avantage de plus, d'être colorié à l'aquarelle, & dessiné avec cette énergie simple & naturelle qui convient au sujet. (J.B. Greuze)|Une première composition, & terminée avec esprit, du sujet bien connu de l'Accordée de village. Tous les ouvrages de cet habile Artiste dans les scènes familières qu'il a traitées avec tant de succés, sont recherchés des amateurs ; mais celui-ci a l'avantage de plus, d'être colorié à l'aquarelle, & dessiné avec cette énergie simple & naturelle qui convient au sujet.]] réalisée par J.B. Greuze, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par Nyon au prix de 300 fl. [30]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux belles Figures en marbre blanc, proportion de 30 pouc. L'une représente l'Amitié caractérisee par un coeur qu'elle tient dans ses mains ; l'autre une Vestale artistement drappée & debout près d'un autel offrant un sacrifice. Ces morceaux, d'un beau travail, sont garnis de pieds à moulures unies en cuivre doré. (artiste anonyme)|Deux belles Figures en marbre blanc, proportion de 30 pouc. L'une représente l'Amitié caractérisee par un coeur qu'elle tient dans ses mains ; l'autre une Vestale artistement drappée & debout près d'un autel offrant un sacrifice. Ces morceaux, d'un beau travail, sont garnis de pieds à moulures unies en cuivre doré.]] réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par Boileau au prix de 421 fl. [43]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quatre grands tableaux de place, du meilleur temps & de la plus belle couleur de ce Maître : ils représentent différens sujets d'animaux, attaques & surprises de cerfs par des chiens. Ils sont peints sur toile & encadrés de larges baguettés de bois doré, qui seront partie de cet article de vente. (François Desportes)|Quatre grands tableaux de place, du meilleur temps & de la plus belle couleur de ce Maître : ils représentent différens sujets d'animaux, attaques & surprises de cerfs par des chiens. Ils sont peints sur toile & encadrés de larges baguettés de bois doré, qui seront partie de cet article de vente.]] réalisée par François Desportes, vendue par Grimod de la Reynière. [65]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Vue pittoresque d'Italie, représentant de hautes montagnes coupées de vallons, fabriques, monumens & rivières ; le premier plan est enrichi de figures, dont trois femmes qui s'amusent danser. Ce morceau, d'un ton argentin, offre le charme & la finesse des productions hollandaises. (J.B. Taunay)|Une Vue pittoresque d'Italie, représentant de hautes montagnes coupées de vallons, fabriques, monumens & rivières ; le premier plan est enrichi de figures, dont trois femmes qui s'amusent danser. Ce morceau, d'un ton argentin, offre le charme & la finesse des productions hollandaises.]] réalisée par J.B. Taunay, vendue par Grimod de la Reynière au prix de 152 fl. [66]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Buste d'homme vu presque de face, portant moustache & petite barbe : il est coëffé d'un chapeau & ajusté d'une fraise qui se détache sur un habillement noir. Ce tableau, de la plus grande vérité, est digne des précieux ouvrages de Rembrandt, dont il a le piquant & la vie. (Albert Cuyp)|Un Buste d'homme vu presque de face, portant moustache & petite barbe : il est coëffé d'un chapeau & ajusté d'une fraise qui se détache sur un habillement noir. Ce tableau, de la plus grande vérité, est digne des précieux ouvrages de Rembrandt, dont il a le piquant & la vie.]] réalisée par Albert Cuyp, vendue par Grimod de la Reynière au prix de 63 fl. [67]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux. L'un représente l'intérieur d'une Chambre, où l'on voit une danse grotesque de plusieurs singes dans des habillemens de femmes. L'autre offre une composition du même genre, où l'on compte huit singes travestis sous les costumes de Cassandre, Pierrot, &c. Parade du Mari jaloux. (David Teniers)|Deux tableaux. L'un représente l'intérieur d'une Chambre, où l'on voit une danse grotesque de plusieurs singes dans des habillemens de femmes. L'autre offre une composition du même genre, où l'on compte huit singes travestis sous les costumes de Cassandre, Pierrot, &c. Parade du Mari jaloux.]] réalisée par David Teniers, vendue par Grimod de la Reynière au prix de 150 fl. [69]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux, pendans. Ils représentent, l'un Moyse tiré des eaux par la fille de Pharaon. L'autre la princesse Nausicaa rencontrant, sur le bord de la mer, Ulysse après son naufrage. Ces charmantes compositions sont des plus heureuses & des mieux exécutées. Ils viennent de la vente de M. de Vaudreuil. (Lagrenée jeune)|Deux tableaux, pendans. Ils représentent, l'un Moyse tiré des eaux par la fille de Pharaon. L'autre la princesse Nausicaa rencontrant, sur le bord de la mer, Ulysse après son naufrage. Ces charmantes compositions sont des plus heureuses & des mieux exécutées. Ils viennent de la vente de M. de Vaudreuil.]] réalisée par Lagrenée jeune, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par Cailar au prix de 213 fl. [71]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Temps qui découvre la Vérité. La figure de femme est assise, tenant des deux mains un miroir soutenu par un petit Amour. Le Temps, placé derrière elle, lève la draperie qui la couvre, & tient sa saulx de la main gauche. Dans le fond, à Droite, on voit la calomnie en demi-teinte. Ce tableau de forme ovale sur le travers, est du plus beau de Natoire. (Charles Natoire)|Le Temps qui découvre la Vérité. La figure de femme est assise, tenant des deux mains un miroir soutenu par un petit Amour. Le Temps, placé derrière elle, lève la draperie qui la couvre, & tient sa saulx de la main gauche. Dans le fond, à Droite, on voit la calomnie en demi-teinte. Ce tableau de forme ovale sur le travers, est du plus beau de Natoire.]] réalisée par Charles Natoire, vendue par Grimod de la Reynière au prix de 150 fl. [75]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Armide abandonnée par Renaud. Armide évanouie & appuyée sur une butte, ayant à ses côtés deux Amours, l'un dans l'expression de pleurer & assis tenant son flambeau renversé, l'autre implorant Renaud qui de dispose à entrer, avec les Chevaliers qui l'accompagnent, dans une barque conduite par une femme, & destinée à le tirer de cette isle enchantée. (Alphonse Dufrenoy)|Armide abandonnée par Renaud. Armide évanouie & appuyée sur une butte, ayant à ses côtés deux Amours, l'un dans l'expression de pleurer & assis tenant son flambeau renversé, l'autre implorant Renaud qui de dispose à entrer, avec les Chevaliers qui l'accompagnent, dans une barque conduite par une femme, & destinée à le tirer de cette isle enchantée.]] réalisée par Alphonse Dufrenoy, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par St Foy au prix de 620 fl. [76]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre sujet du Sacrifice d'Abraham. On voit, sur la gauche, Isaac couché sur une pierre & près d'être immolé par Abrahamm qu'un Ange retient par le bras ; un bélier se présente pour servir de victime. Le fond de ce tableau, d'une couleur harmonieuse, est terminé par un paysage aussi varié que pittoresque. (Laurent De La Hire)|Un autre sujet du Sacrifice d'Abraham. On voit, sur la gauche, Isaac couché sur une pierre & près d'être immolé par Abrahamm qu'un Ange retient par le bras ; un bélier se présente pour servir de victime. Le fond de ce tableau, d'une couleur harmonieuse, est terminé par un paysage aussi varié que pittoresque.]] réalisée par Laurent De La Hire, vendue par Grimod de la Reynière, achetée par Lengac au prix de 451 fl. [78]
  • 1797.09.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Sacrifice d'Abraham. On voit le jeune Isaac agenouillé sur le bucher, les bras croisés & la tête baissée ; il a le corps découvert & environné d'une draperie blanche ; Abraham est vu debout, le regard tourne vers un Ange vêtu d'une tunique gris de lin, qui vient apporter les ordres de Dieu. Trois différens arbres se détachent sur un fond de ciel, & sur le devant sont placés, en accessoires, deux vases & une draperie rouge. On distingue en demi-teinte la tête du bélier. Haut. 46 pouc. larg. 36. T. Ce tableau ne présente pas d'abord la manière la plus familière de Le Sueur ; mais nous invitons les acheteurs à consulter le catalogue de la vente où il a passé sous le No. 5. avec les tableaux de Le Moyne, ci-devant décrits. (Le Sueur)|Le Sacrifice d'Abraham. On voit le jeune Isaac agenouillé sur le bucher, les bras croisés & la tête baissée ; il a le corps découvert & environné d'une draperie blanche ; Abraham est vu debout, le regard tourne vers un Ange vêtu d'une tunique gris de lin, qui vient apporter les ordres de Dieu. Trois différens arbres se détachent sur un fond de ciel, & sur le devant sont placés, en accessoires, deux vases & une draperie rouge. On distingue en demi-teinte la tête du bélier. Haut. 46 pouc. larg. 36. T. Ce tableau ne présente pas d'abord la manière la plus familière de Le Sueur ; mais nous invitons les acheteurs à consulter le catalogue de la vente où il a passé sous le No. 5. avec les tableaux de Le Moyne, ci-devant décrits.]] réalisée par Le Sueur, vendue par Grimod de la Reynière au prix de 161 fl. [79]
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