Ventes d'œuvres le 1799.02.21

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  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit modèle du Portail de la nouvelle Eglise Sainte-Geneviève (actuellement le Panthéon Français), exécuté en talc, sous la direction de Soufflot, auteur de ce Monument. Ce morceau, d'une grande exactitude pour les proportions, est posé sur socle en bois doré & sous cage de verre. Hauteur, 2 déc. 3 cent. Il provient de la Vente Soufflot, sous le numéro 57 du Catalogue. (Lombard)|Un petit modèle du Portail de la nouvelle Eglise Sainte-Geneviève (actuellement le Panthéon Français), exécuté en talc, sous la direction de Soufflot, auteur de ce Monument. Ce morceau, d'une grande exactitude pour les proportions, est posé sur socle en bois doré & sous cage de verre. Hauteur, 2 déc. 3 cent. Il provient de la Vente Soufflot, sous le numéro 57 du Catalogue.]] réalisée par Lombard, vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Dehaveré au prix de 42.1 fl. [57]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Enlèvement de Proserpine, par Pluton, la Nymphe Cyane se voit à leurs pieds. Ce grouppe, d'après le modèle exécuté en marbre blanc & placé dans le Parc de Versailles, est posé sur un pied à rinceaux d'ornemens, en bronze doré. (François Girardon)|L'Enlèvement de Proserpine, par Pluton, la Nymphe Cyane se voit à leurs pieds. Ce grouppe, d'après le modèle exécuté en marbre blanc & placé dans le Parc de Versailles, est posé sur un pied à rinceaux d'ornemens, en bronze doré.]] réalisée par François Girardon, vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Rolland au prix de 340 fl. [66]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Arrie & Pætus. Arrie voyant que Pætus n'avoit pas le courage de se tuer, prit un poignard, se l'enfonça dans le sein, & le présenta à son mari, en lui disant : tient Pætus, il ne m'a point fait du mal. Cette action détermina Pætus à se donner la mort. Ce Sujet, sévère de composition, d'un bel effet & d'une touche savante, a été exposé au Sallon du Louvre, en 1785. (Vincent (François-André))|Arrie & Pætus. Arrie voyant que Pætus n'avoit pas le courage de se tuer, prit un poignard, se l'enfonça dans le sein, & le présenta à son mari, en lui disant : tient Pætus, il ne m'a point fait du mal. Cette action détermina Pætus à se donner la mort. Ce Sujet, sévère de composition, d'un bel effet & d'une touche savante, a été exposé au Sallon du Louvre, en 1785.]] réalisée par Vincent (François-André), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Vincent frère de l'auteur au prix de 372 fl. [76]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Femme grecque ornant d'une couronne de fleurs la tête de sa fille, avant de l'envoyer au Temple faire des libations. Composition gracieuse & d'une brillante couleur. Ce Tableau, exposé au Sallon du Louvre, en 1787, a reçu du Public l'accueil distingué dont il a souvent honoré les Ouvrages de cet Artiste. (Vien (Joseph-Marie))|Femme grecque ornant d'une couronne de fleurs la tête de sa fille, avant de l'envoyer au Temple faire des libations. Composition gracieuse & d'une brillante couleur. Ce Tableau, exposé au Sallon du Louvre, en 1787, a reçu du Public l'accueil distingué dont il a souvent honoré les Ouvrages de cet Artiste.]] réalisée par Vien (Joseph-Marie), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Ennecard au prix de 860 fl. [77]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un gros Temps sur Mer ; la droite de la composition est occupée par un Fort placé sur une roche, près de-là des gens effrayés sont dans une barque tourmentée par les flots, & attendent leur salut d'hommes échappés à la tempête, dont un essaye à leur jetter une corde pour les faire aborder, tandis que d'autres, sortis de la Forteresse, accourent pour les secourir ; un Vaisseau battu par l'orage, se voit dans l'éloignement. Ce tableau, peint en 1763, offre la vérité d'exécution qui distingue les Ouvrages de ce Maître célèbre. (Vernet (Claude-Joseph))|Un gros Temps sur Mer ; la droite de la composition est occupée par un Fort placé sur une roche, près de-là des gens effrayés sont dans une barque tourmentée par les flots, & attendent leur salut d'hommes échappés à la tempête, dont un essaye à leur jetter une corde pour les faire aborder, tandis que d'autres, sortis de la Forteresse, accourent pour les secourir ; un Vaisseau battu par l'orage, se voit dans l'éloignement. Ce tableau, peint en 1763, offre la vérité d'exécution qui distingue les Ouvrages de ce Maître célèbre.]] réalisée par Vernet (Claude-Joseph), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Lafontaine au prix de 1255 fl. [78]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue extérieure d'un Cabaret de village, à la porte des Buveurs sont à table, l'un d'eux présente à la Cabaretière, un broc vide, tandis qu'une jeune Fille se defend des carresses d'un autre qui veut l'embrasser ; du côté opposé, un Bateleur fait danser des chiens au son du violon, & attire les regards des spectateurs. Des poules & des instrumens arratoires ornent les devans de cette composition, dont le fond est terminé par une plaine & des montagnes. On trouve dans ce Tableau, la composition pittoresque & la touche fine & spirituelle qui distinguent les Ouvrages de Le Prince. (Le Prince (Jean-Baptiste))|Vue extérieure d'un Cabaret de village, à la porte des Buveurs sont à table, l'un d'eux présente à la Cabaretière, un broc vide, tandis qu'une jeune Fille se defend des carresses d'un autre qui veut l'embrasser ; du côté opposé, un Bateleur fait danser des chiens au son du violon, & attire les regards des spectateurs. Des poules & des instrumens arratoires ornent les devans de cette composition, dont le fond est terminé par une plaine & des montagnes. On trouve dans ce Tableau, la composition pittoresque & la touche fine & spirituelle qui distinguent les Ouvrages de Le Prince.]] réalisée par Le Prince (Jean-Baptiste), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Renard au prix de 585 fl. [85]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune Homme demande la main d'une jeune Fille, assis près de la Mère de sa prétendue, il reçoit son consentement ; le Père à table, entouré de ses antres sic enfans, partage les voeux de son Epouse pour l'heureuse union de leur Fille. Ce Tableau, connu par l'Estampe de Ch.-Clém. Bervic, sous le titre de la Demande acceptée, provient de la Vente faite après le décès de François Basan. (Lépicié (Nicolas-Bernard))|Un jeune Homme demande la main d'une jeune Fille, assis près de la Mère de sa prétendue, il reçoit son consentement ; le Père à table, entouré de ses antres sic enfans, partage les voeux de son Epouse pour l'heureuse union de leur Fille. Ce Tableau, connu par l'Estampe de Ch.-Clém. Bervic, sous le titre de la Demande acceptée, provient de la Vente faite après le décès de François Basan.]] réalisée par Lépicié (Nicolas-Bernard), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Lafontaine au prix de 366 fl. [86]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des Enfans jouant avec la peau de Lion & la massue d'Hercule. Ce tableau d'une composition ingénieuse, d'une touche extrêmement facile & d'un bel empâtement de couleur, provient du Cabinet Aubert, sous le numéro 45 du Catalogue de cette Vente. (Le Moine (François))|Des Enfans jouant avec la peau de Lion & la massue d'Hercule. Ce tableau d'une composition ingénieuse, d'une touche extrêmement facile & d'un bel empâtement de couleur, provient du Cabinet Aubert, sous le numéro 45 du Catalogue de cette Vente.]] réalisée par Le Moine (François), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Langlier au prix de 56 fl. [87]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Polyxene, fille de Priam & d'Hécube, immolée par ordre de Pyrrhus, sur le tombeau d'Achille, pour appaiser les mânes de ce Héros. Ce Tableau d'une couleur harmonieuse & d'une touche franche & libre, peut être regardé comme un des meilleurs Ouvrages de ce Maître. Il provient de la Collection de Merle, sous le numéro 28 du Catalogue de cette Vente. (Lagrenée l'aîne (Louis-Jean-Franç. de))|Polyxene, fille de Priam & d'Hécube, immolée par ordre de Pyrrhus, sur le tombeau d'Achille, pour appaiser les mânes de ce Héros. Ce Tableau d'une couleur harmonieuse & d'une touche franche & libre, peut être regardé comme un des meilleurs Ouvrages de ce Maître. Il provient de la Collection de Merle, sous le numéro 28 du Catalogue de cette Vente.]] réalisée par Lagrenée l'aîne (Louis-Jean-Franç. de), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Cochu Je au prix de 120 fl. [90]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux ; le premier offre l'Intérieur d'un Cellier rempli de légumes : on y voit une jeune Fille qui en pose à terre, & tourne la tête vers un jeune Homme qui lui offre un bouquet ; le Pendant présente une jeune Fille assise sur son lit, dans l'attitude de la douleur, le bras posé sur une cage entr'ouverte, qui paroît avoir servi de demeure à un oiseau envolé. Hauteur, 2 déc. 3 cent. ; largeur, 2 déc. 8 cent. B. Ces Tableaux proviennent du Cabinet Vaudreuil. Voyez le numéro 113 du Catalogue de cette Vente. François Imbert, mort en Novembre 1787, annonçoit d'heureuses dispositions, beaucoup de grace & une touche spirituelle distinguent ces Ouvrages. (Imbert (François))|Deux Tableaux ; le premier offre l'Intérieur d'un Cellier rempli de légumes : on y voit une jeune Fille qui en pose à terre, & tourne la tête vers un jeune Homme qui lui offre un bouquet ; le Pendant présente une jeune Fille assise sur son lit, dans l'attitude de la douleur, le bras posé sur une cage entr'ouverte, qui paroît avoir servi de demeure à un oiseau envolé. Hauteur, 2 déc. 3 cent. ; largeur, 2 déc. 8 cent. B. Ces Tableaux proviennent du Cabinet Vaudreuil. Voyez le numéro 113 du Catalogue de cette Vente. François Imbert, mort en Novembre 1787, annonçoit d'heureuses dispositions, beaucoup de grace & une touche spirituelle distinguent ces Ouvrages.]] réalisée par Imbert (François), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Dehaveré au prix de 432 fl. [91]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Fille, l'air confus de reproches que lui fait une Vieille, qui s'avance à travers une croisée ; une table chargée de légumes & d'ustensiles est placée entr'elles. Ce Sujet de demi-figure, joint à un bel effet une couleur brillante, & la touche fine & spirituelle des meilleurs Ouvrages de ce Maître. Hauteur, 4 déc. ; largeur, 4 déc. 8 cent. Ce Tableau, connu par l'Estampe gravée par les Frères Ingouf, sous le titre de la Fille confuse, provient da Cabinet Thomas de Pange ; voyez le numéro 45 du Catalogue de cette Vente. (Greuze (Jean-Baptiste))|Une jeune Fille, l'air confus de reproches que lui fait une Vieille, qui s'avance à travers une croisée ; une table chargée de légumes & d'ustensiles est placée entr'elles. Ce Sujet de demi-figure, joint à un bel effet une couleur brillante, & la touche fine & spirituelle des meilleurs Ouvrages de ce Maître. Hauteur, 4 déc. ; largeur, 4 déc. 8 cent. Ce Tableau, connu par l'Estampe gravée par les Frères Ingouf, sous le titre de la Fille confuse, provient da Cabinet Thomas de Pange ; voyez le numéro 45 du Catalogue de cette Vente.]] réalisée par Greuze (Jean-Baptiste), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Lafontaine au prix de 681 fl. [92]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Personne vêtue en satin blanc, prenant une leçon de danse, le Maître assis est appuyé sur une table couverte d'un tapis de velours vert ; derrière lui, une Duegne fait observer le silence à des enfans qui troublent la leçon ; divers accessoires & un tableau dans le goût de Ruysdal, ornent le fond de l'appartement ; la porte entr'ouverte laisse voir un Vieillard charmé des graces de l'Écolière. Ce Tableau est d'une exécution précieuse, il joint à une couleur brillante une touche spirituelle. (Gerard (Marguerite))|Une jeune Personne vêtue en satin blanc, prenant une leçon de danse, le Maître assis est appuyé sur une table couverte d'un tapis de velours vert ; derrière lui, une Duegne fait observer le silence à des enfans qui troublent la leçon ; divers accessoires & un tableau dans le goût de Ruysdal, ornent le fond de l'appartement ; la porte entr'ouverte laisse voir un Vieillard charmé des graces de l'Écolière. Ce Tableau est d'une exécution précieuse, il joint à une couleur brillante une touche spirituelle.]] réalisée par Gerard (Marguerite), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Lafontaine au prix de 415 fl. [93]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une Chambre de Paysan, où des enfans jouent avec un gros chien blanc ; l'un d'eux lui présente un fruit, un dogue, dont on n'apperçoit que le mussle, se voit plus loin ; sur le devant, un enfant assis par terre tient un poélon, & dans le fond une jeune fille se défend des carresses d'un jeune homme qui veut l'embrasser. Ce Tableau, connu par l'Estampe de J.-Fir. Beauvarlet, sous le titre des Enfans du Fermier, a concouru, à l'agrément de ce Maître, à l'Académie. (Fragonard (Jean-Honoré))|L'Intérieur d'une Chambre de Paysan, où des enfans jouent avec un gros chien blanc ; l'un d'eux lui présente un fruit, un dogue, dont on n'apperçoit que le mussle, se voit plus loin ; sur le devant, un enfant assis par terre tient un poélon, & dans le fond une jeune fille se défend des carresses d'un jeune homme qui veut l'embrasser. Ce Tableau, connu par l'Estampe de J.-Fir. Beauvarlet, sous le titre des Enfans du Fermier, a concouru, à l'agrément de ce Maître, à l'Académie.]] réalisée par Fragonard (Jean-Honoré), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Lafontaine au prix de 381.5 fl. [94]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Prairie, sur le devant un Pâtre assis au pied d'un arbre garde une vache & des moutons, en jouant du flageolet, tandis que d'autres animaux paissent dans la plaine, dont l'horizon est terminé par un taillis & la vue du hameau. (De Marne (Jean-Louis))|Une Prairie, sur le devant un Pâtre assis au pied d'un arbre garde une vache & des moutons, en jouant du flageolet, tandis que d'autres animaux paissent dans la plaine, dont l'horizon est terminé par un taillis & la vue du hameau.]] réalisée par De Marne (Jean-Louis), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Lafontaine au prix de 83 fl. [95]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de la nouvelle Église de Sainte-Geneviève (actuellement le Panthéon-Français) ; le moment est celui où Louis XV, en 1765, vient poser la première pierre de ce Monument. Ce Tableau, l'un des bons Ouvrages de ce Maître, est enrichi d'une quantité innombrable de Figures. (De Machy (Pierre-Antoine))|Vue de la nouvelle Église de Sainte-Geneviève (actuellement le Panthéon-Français) ; le moment est celui où Louis XV, en 1765, vient poser la première pierre de ce Monument. Ce Tableau, l'un des bons Ouvrages de ce Maître, est enrichi d'une quantité innombrable de Figures.]] réalisée par De Machy (Pierre-Antoine), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Glot au prix de 221 fl. [96]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Soleil couchant ; cette composition présente la Vue d'un Port, la gauche est ornée de monumens d'architecture, près de-là une homme fait abreuver son cheval dans une cuve où une jeune fille lessive du linge, vers le côté opposé, un Pâtre conduit des animaux pour être embarqués, la mer & des bâtimens occupent les plans suivants, un Fort s'apperçoit à l'horizon. Ce Tableau, d'un touche ferme, & dont l'architecture est peint par De Machy, a été exposé au Sallon du Louvre, en 1771. On en connoît l'Estampe, par P. Laurent, sous le titre de Port de Mer enrichi d'architecture. (Deloutherbourg (Jacques-Philippe))|Un Soleil couchant ; cette composition présente la Vue d'un Port, la gauche est ornée de monumens d'architecture, près de-là une homme fait abreuver son cheval dans une cuve où une jeune fille lessive du linge, vers le côté opposé, un Pâtre conduit des animaux pour être embarqués, la mer & des bâtimens occupent les plans suivants, un Fort s'apperçoit à l'horizon. Ce Tableau, d'un touche ferme, & dont l'architecture est peint par De Machy, a été exposé au Sallon du Louvre, en 1771. On en connoît l'Estampe, par P. Laurent, sous le titre de Port de Mer enrichi d'architecture.]] réalisée par Deloutherbourg (Jacques-Philippe), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Elie au prix de 611 fl. [97]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Agriculteur romain. Caïus-Furius-Cressinus affranchi, cité devant un Édile pour se disculper d'une accusation de magie, fondée sur les récoltes abondantes qu'il faisoit dans un champ de petite étendue, montre des Instrumens d'agriculture en bon état, sa Femme, sa Fille & des Boeufs gras & vigoureux. Alors s'adressant au Peuple assemblé, ô Romains, s'écria-t-il, voilà mes sortiléges ; mais je ne puis apporter avec moi, dans la Place publique, mes soins, mes fatigues & mes veilles. Cincinnatus crée Dictateur : Quintius-Cincinnatus occupé à labourer son champ, & appuyé sur ses boeufs qu'il semble arrêter, reçoit les Députés du Sénat, qui se prosternent devant lui, le supplient de se revêtir de la Robe de Dictateur, & de prendre les rênes du Gouvernement, pour remédier aux maux qui affligent la République romaine. Ces Tableaux ont été exposés au Sallon du Louvre, en 1775 & 1779 ; le premier vient du Cabinet Terray, sous le numéro 7 du Catalogue de sa Vente. (Brenet (Nicolas-Guy))|L'Agriculteur romain. Caïus-Furius-Cressinus affranchi, cité devant un Édile pour se disculper d'une accusation de magie, fondée sur les récoltes abondantes qu'il faisoit dans un champ de petite étendue, montre des Instrumens d'agriculture en bon état, sa Femme, sa Fille & des Boeufs gras & vigoureux. Alors s'adressant au Peuple assemblé, ô Romains, s'écria-t-il, voilà mes sortiléges ; mais je ne puis apporter avec moi, dans la Place publique, mes soins, mes fatigues & mes veilles. Cincinnatus crée Dictateur : Quintius-Cincinnatus occupé à labourer son champ, & appuyé sur ses boeufs qu'il semble arrêter, reçoit les Députés du Sénat, qui se prosternent devant lui, le supplient de se revêtir de la Robe de Dictateur, & de prendre les rênes du Gouvernement, pour remédier aux maux qui affligent la République romaine. Ces Tableaux ont été exposés au Sallon du Louvre, en 1775 & 1779 ; le premier vient du Cabinet Terray, sous le numéro 7 du Catalogue de sa Vente.]] réalisée par Brenet (Nicolas-Guy), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Guyot au prix de 521 fl. [104]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Jeune Dame de bout, devant une Vieille qui semble lui prédire l'avenir ; un livre ouvert, des cartes & d'autres accessoires se voyent aux pieds du fauteuil de l'Oracle ; plus loin & derrière eux, un Enfant joue sur une table couverte d'un tapis de turquie, une Fille occupée de soins domestiques s'apperçoit dans le fond de la chambre. Ce Tableau exposé au Sallon du Louvre, en 1785, a fait partie de ceux présentés par cet Artiste, par son agrément, à l'Académie. (Bilcoq (Louis))|Une Jeune Dame de bout, devant une Vieille qui semble lui prédire l'avenir ; un livre ouvert, des cartes & d'autres accessoires se voyent aux pieds du fauteuil de l'Oracle ; plus loin & derrière eux, un Enfant joue sur une table couverte d'un tapis de turquie, une Fille occupée de soins domestiques s'apperçoit dans le fond de la chambre. Ce Tableau exposé au Sallon du Louvre, en 1785, a fait partie de ceux présentés par cet Artiste, par son agrément, à l'Académie.]] réalisée par Bilcoq (Louis), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Enecard au prix de 296 fl. [108]
  • 1799.02.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Adieux d'un Villageois & de sa femme au Nourisson que le père & la mère leur retirent ; la scène se passe près d'une masure & d'une porte ruinée, qui indique la sortie du village. Ce Tableau, connu par l'Estampe de Rob. Delaunay, sous le titre des Adieux de la Nourrice, a été exposé au Sallon du Louvre, en 1777. Il provient du Cabinet de Verry, sous le numéro 56 du Catalogue de cette vente. (Aubry (Étienne))|Les Adieux d'un Villageois & de sa femme au Nourisson que le père & la mère leur retirent ; la scène se passe près d'une masure & d'une porte ruinée, qui indique la sortie du village. Ce Tableau, connu par l'Estampe de Rob. Delaunay, sous le titre des Adieux de la Nourrice, a été exposé au Sallon du Louvre, en 1777. Il provient du Cabinet de Verry, sous le numéro 56 du Catalogue de cette vente.]] réalisée par Aubry (Étienne), vendue par François-Félicité Cochu, achetée par Dennier au prix de 205 fl. [110]