Ventes d'œuvres le 1801.07.25

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  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet en petit d'un tableau qui est à la salle des brasseurs ; c'est un St.Evêque qu'on porte au tombeau et qui fait changer l'eau en bierre. L'exécution de ce tableau est entierement dans le goût des grands maîtres d'Italie (L. Primo, dit le Gentil)|Le sujet en petit d'un tableau qui est à la salle des brasseurs ; c'est un St.Evêque qu'on porte au tombeau et qui fait changer l'eau en bierre. L'exécution de ce tableau est entierement dans le goût des grands maîtres d'Italie]] réalisée par L. Primo, dit le Gentil, vendue par Philippe Spruyt, achetée par van Born Veld Straete. [108]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux bustes, l'un d'un vieillard à barbe grise, et envelopé d'un manteau verd: l'autre est une vieille femme coiffée d'un voile d'un verd foncée mélée d'or ; elle porte un mantelet de velours pourpré, foncée et doublée de fourrures (G. Vanden Eekhout)|Deux bustes, l'un d'un vieillard à barbe grise, et envelopé d'un manteau verd: l'autre est une vieille femme coiffée d'un voile d'un verd foncée mélée d'or ; elle porte un mantelet de velours pourpré, foncée et doublée de fourrures]] réalisée par G. Vanden Eekhout, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Stevens. [117]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Magdeleine dans le desert, elle est assise et penche un peu en avant, elle tient de sa main droite une discipline, et de la gauche elle montre un crucifix. Les accessoires, savoir, une tête de mort, un livre ouvert une phiole et le paysage sont de la main de David Teniers (Ant. Van Dyck)|La Magdeleine dans le desert, elle est assise et penche un peu en avant, elle tient de sa main droite une discipline, et de la gauche elle montre un crucifix. Les accessoires, savoir, une tête de mort, un livre ouvert une phiole et le paysage sont de la main de David Teniers]] réalisée par Ant. Van Dyck, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Spruijt. [126]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux pièces; l'une réprésente l'attelier d'un peintre, et l'autre celui-ci d'un sculpteur, toutes deux richement meublées de toutes les accessoires convenables. Ces deux tableaux sont connus pour les plus beau et les plus finis de ce maître: voyez DESCAMPS, tom. IV., pag. 180 (B. Vanden Bosch)|Deux pièces; l'une réprésente l'attelier d'un peintre, et l'autre celui-ci d'un sculpteur, toutes deux richement meublées de toutes les accessoires convenables. Ces deux tableaux sont connus pour les plus beau et les plus finis de ce maître: voyez DESCAMPS, tom. IV., pag. 180]] réalisée par B. Vanden Bosch, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [139]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce beau tableau représente le même sujet que le précédent, excepté que dans celui-ci les paysans ont l'air d'avoir le dessus. Ces deux pendants si égaux en mérite, passent à juste titre pour les plus beaux de ces deux maîtres, aussi dit-on qu'ils les ont faits en concurrence (J. Van Breda)|Ce beau tableau représente le même sujet que le précédent, excepté que dans celui-ci les paysans ont l'air d'avoir le dessus. Ces deux pendants si égaux en mérite, passent à juste titre pour les plus beaux de ces deux maîtres, aussi dit-on qu'ils les ont faits en concurrence]] réalisée par J. Van Breda, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [143]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un combat très-vif entre des militaires et des paysans: le grand détail, la sage distribution des groupes et la légéreté de la touche, font ce tableau un chef-d'oeuvre de ce maître. Ce deux pendants si égaux en mérite, passent à juste titre pour les plus beaux de ces deux maîtres, aussi dit-on qu'ils les ont faits en concurrence (Ch. Breydel)|Un combat très-vif entre des militaires et des paysans: le grand détail, la sage distribution des groupes et la légéreté de la touche, font ce tableau un chef-d'oeuvre de ce maître. Ce deux pendants si égaux en mérite, passent à juste titre pour les plus beaux de ces deux maîtres, aussi dit-on qu'ils les ont faits en concurrence]] réalisée par Ch. Breydel, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [144]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce pendant qui contraste parfaitement avec le précédent, présente la retraite d'une armée ; on y distingue un cheval blanc entouré de plusieurs autres chevaux et de tout sorte de betail: on y voit aussi des chariots chargées, des hommes, femmes et enfants passant à travers d'un chemin inondé ; plus avant un militaire conduits sic deux prisonniers, et une groupe des cavalliers font l'arriere garde: tout concoure ici à inspirer l'effroy, le desordre pittoresque de l'ordonnance, la fumée des habitations devorée par les flammes et le declin du jour. Ce deux pièces sont regardés des connoisseurs comme les chef-d'oeuvres de ce maître (P. Van Blommen)|Ce pendant qui contraste parfaitement avec le précédent, présente la retraite d'une armée ; on y distingue un cheval blanc entouré de plusieurs autres chevaux et de tout sorte de betail: on y voit aussi des chariots chargées, des hommes, femmes et enfants passant à travers d'un chemin inondé ; plus avant un militaire conduits sic deux prisonniers, et une groupe des cavalliers font l'arriere garde: tout concoure ici à inspirer l'effroy, le desordre pittoresque de l'ordonnance, la fumée des habitations devorée par les flammes et le declin du jour. Ce deux pièces sont regardés des connoisseurs comme les chef-d'oeuvres de ce maître]] réalisée par P. Van Blommen, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [147]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un camp dans lequel on voit deux hommes occupés à ferrer un cheval blanc, et une multitude d'autres chevaux, figures et bestiaux, distribués sur différens plans avec autant d'art que de variété ; le tout d'un ton vray et agreable. Ce deux pièces sont regardés des connoisseurs comme les chef-d'oeuvres de ce maître (P. Van Blommen)|Un camp dans lequel on voit deux hommes occupés à ferrer un cheval blanc, et une multitude d'autres chevaux, figures et bestiaux, distribués sur différens plans avec autant d'art que de variété ; le tout d'un ton vray et agreable. Ce deux pièces sont regardés des connoisseurs comme les chef-d'oeuvres de ce maître]] réalisée par P. Van Blommen, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [148]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une chaumiere, meublée de différents groupes d'ustensiles de ménage, et d'une fille occupée à traire une vâche ; sur le devant on voit le vieux Tobie couché au-dessous d'un nid d'hirondelles. Ce beau tableau d'un pinceau gras et ferme, est d'un effet très-naturel (P. Potter, anno 1631)|L'intérieur d'une chaumiere, meublée de différents groupes d'ustensiles de ménage, et d'une fille occupée à traire une vâche ; sur le devant on voit le vieux Tobie couché au-dessous d'un nid d'hirondelles. Ce beau tableau d'un pinceau gras et ferme, est d'un effet très-naturel]] réalisée par P. Potter, anno 1631, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [150]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une nôce de village: une grande multitude de paysans et paysannes de tout âge sont occupées à danser, boire et manger. Tableau très-amusant ; les figures surtout sont peint avec ce ton argentin, et cette touche legére digne de David Teniers (Stalbemt)|Une nôce de village: une grande multitude de paysans et paysannes de tout âge sont occupées à danser, boire et manger. Tableau très-amusant ; les figures surtout sont peint avec ce ton argentin, et cette touche legére digne de David Teniers]] réalisée par Stalbemt, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Bauwens. [151]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[On voit au milieu de ce pendant, une fontaine decorée des armes de la maison de Medicis et surmontée d'une statue de l'abondance ; plus avant à gauche, la façade d'un grand bâtiment, beaucoup de navires et un grand concours des négociants de toutes sortes des nations annoncent le port d'une ville très-florissante. Ce deux tableaux sont des chef-d'oeuvres de ce maître (A. Storck)|On voit au milieu de ce pendant, une fontaine decorée des armes de la maison de Medicis et surmontée d'une statue de l'abondance ; plus avant à gauche, la façade d'un grand bâtiment, beaucoup de navires et un grand concours des négociants de toutes sortes des nations annoncent le port d'une ville très-florissante. Ce deux tableaux sont des chef-d'oeuvres de ce maître]] réalisée par A. Storck, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Waeffelaere. [161]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme assise et richement costumée à la manière de Rembrant: elle est vue jusqu'aux genoux, et tient de la main gauche une pique, surmonté d'un chapeau simbole de la liberté ; l'effet harmonieux et vrai de cette pièce, se rend digne de l'attention des curieux (A. De Gelder)|Une femme assise et richement costumée à la manière de Rembrant: elle est vue jusqu'aux genoux, et tient de la main gauche une pique, surmonté d'un chapeau simbole de la liberté ; l'effet harmonieux et vrai de cette pièce, se rend digne de l'attention des curieux]] réalisée par A. De Gelder, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Spruijt. [163]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage dans lequel on voit une colline, remplie de tout sortes de betail, une femme occupée à traire une chèvre, plus loin des femmes montées sur des ànes traversent sic l'eau. L'exécution de cette riche ordonnance est aussi belle que du tableau précédent, auquel, celui-ci fait pendant (Mommers)|Un paysage dans lequel on voit une colline, remplie de tout sortes de betail, une femme occupée à traire une chèvre, plus loin des femmes montées sur des ànes traversent sic l'eau. L'exécution de cette riche ordonnance est aussi belle que du tableau précédent, auquel, celui-ci fait pendant]] réalisée par Mommers, vendue par Philippe Spruyt, achetée par [[Vander Beeken Sel[?]]]. [168]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un marché au légumes ornés de sept figures, deux ânes, deux oyes, un cocq, un lièvre mort, etc. Le site de ce beau tableau est un paysage aux environs de Rome. L'exécution de cette riche ordonnance est aussi belle que du tableau précédent, auquel, celui-ci fait pendant (Mommers)|Un marché au légumes ornés de sept figures, deux ânes, deux oyes, un cocq, un lièvre mort, etc. Le site de ce beau tableau est un paysage aux environs de Rome. L'exécution de cette riche ordonnance est aussi belle que du tableau précédent, auquel, celui-ci fait pendant]] réalisée par Mommers, vendue par Philippe Spruyt, achetée par [[Vander Beeken Sel[?]]]. [169]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Pierre, vue presqu'à mi-corps et avec deux mains, d'une desquelles il tient ses clefs: son habillement est une tunique grise, laquelle contraste avec son manteau rouge, et le ton vigoureux de la tête et des mains, sans rien ôter à l'effet harmonieux de l'ensemble. Ce deux figures sont d'une proportion plusque de grandeur naturel, et peintes dans la maniere vigoureuse du Caravage (P. P. Rubens)|St. Pierre, vue presqu'à mi-corps et avec deux mains, d'une desquelles il tient ses clefs: son habillement est une tunique grise, laquelle contraste avec son manteau rouge, et le ton vigoureux de la tête et des mains, sans rien ôter à l'effet harmonieux de l'ensemble. Ce deux figures sont d'une proportion plusque de grandeur naturel, et peintes dans la maniere vigoureuse du Caravage]] réalisée par P. P. Rubens, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [171]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'une jeune dame, vue jusqu'aux genoux, de grandeur naturelle, sa main gauche est posé sur une table couverte d'une étoffe de couleur d'olive brodée en or, et de la main droite elle tient une montre d'or ; son habillement est une robe de satin noir: elle porte une fraise au col et une ceinture brodée en couleurs autour de reins; ainsi qu'un collier et des brasselets de perles. L'effet de ce tableau imposant est inconcevable (Rembrant)|Le portrait d'une jeune dame, vue jusqu'aux genoux, de grandeur naturelle, sa main gauche est posé sur une table couverte d'une étoffe de couleur d'olive brodée en or, et de la main droite elle tient une montre d'or ; son habillement est une robe de satin noir: elle porte une fraise au col et une ceinture brodée en couleurs autour de reins; ainsi qu'un collier et des brasselets de perles. L'effet de ce tableau imposant est inconcevable]] réalisée par Rembrant, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Albrechts advt. [172]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Pierre à genoux dans la prison, le regard élevé, la bouche entr'ouverte et les mains jointe sic semblent indiquer une profonde méditation ; la tête si pleine d'expression et de sentiment aproche tellement des ouvrages de son inimitable maître, qu'il n'est pas étonnant que les tableaux de cet artiste passent sauvent sic pour être de la main de G. Douw (E. Van Staveren)|St. Pierre à genoux dans la prison, le regard élevé, la bouche entr'ouverte et les mains jointe sic semblent indiquer une profonde méditation ; la tête si pleine d'expression et de sentiment aproche tellement des ouvrages de son inimitable maître, qu'il n'est pas étonnant que les tableaux de cet artiste passent sauvent sic pour être de la main de G. Douw]] réalisée par E. Van Staveren, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Vervier. [173]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un intérieur, dans lequel une femme d'une figure intéressante, donne à manger à son enfant ; deux garçons et un homme assis dans son fauteuil contemplent avec satisfaction le petit garçon. Scene naive et simple rendu avec cette touche caracteristique et facile qu'on estime tant dans les belles productions de cet artiste (Jean Steen)|Un intérieur, dans lequel une femme d'une figure intéressante, donne à manger à son enfant ; deux garçons et un homme assis dans son fauteuil contemplent avec satisfaction le petit garçon. Scene naive et simple rendu avec cette touche caracteristique et facile qu'on estime tant dans les belles productions de cet artiste]] réalisée par Jean Steen, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Wever. [174]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une mer calme; sur la droite on voit un vaisseau à trois mats, dont aproche une chaloupe remplie des rameurs, conduisants deux hommes de considération ; plus loin d'autres navires qui les saluent. Ce deux pièces sont du bon tems de ce fameux artiste (Guill. Vanden Velde, le jeune)|Une mer calme; sur la droite on voit un vaisseau à trois mats, dont aproche une chaloupe remplie des rameurs, conduisants deux hommes de considération ; plus loin d'autres navires qui les saluent. Ce deux pièces sont du bon tems de ce fameux artiste]] réalisée par Guill. Vanden Velde, le jeune, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Spruijt. [176]
  • 1801.07.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les animaux, qui vont pour entrer dans l'arche, et un domestique ; dans le lointain Noë et sa famille. Ce beau tableau dont les figures sont de grandeur naturelle, reunit à la touche large et savante des italiens, la verité de l'école hollandaise (Benoit Castiglione)|Les animaux, qui vont pour entrer dans l'arche, et un domestique ; dans le lointain Noë et sa famille. Ce beau tableau dont les figures sont de grandeur naturelle, reunit à la touche large et savante des italiens, la verité de l'école hollandaise]] réalisée par Benoit Castiglione, vendue par Philippe Spruyt, achetée par Spruijt. [186]