Ventes d'œuvres le 1802.01.25
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- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages en hauteur, ornés des cascades réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Mlle Colete Moeraert. [1]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une bataille, très-largement peinte réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Mlle Colete Moeraert. [2]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un petit portrait, sur cuivre réalisée par P.D., vendue par Mlle Colete Moeraert. [3]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme L'assomption de la Vierge réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Mlle Colete Moeraert. [4]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une mer très-agitée réalisée par B. Peeters, vendue par Mlle Colete Moeraert. [5]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage réalisée par De Hont, vendue par Mlle Colete Moeraert. [6]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Le jugement de Salomon, esquisse réalisée par Bourdon, vendue par Mlle Colete Moeraert. [7]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une paysanne dansant réalisée par V. De Venne, vendue par Mlle Colete Moeraert. [8]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Deux niches, dans le goût de van Tol réalisée par A. Verburg, vendue par Mlle Colete Moeraert. [9]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage dans le stile de Poussin réalisée par Glauber, vendue par Mlle Colete Moeraert. [10]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un homme tenant d'une main une verre et de l'autre une bouteille, superieurement peinte réalisée par A. Boonen, vendue par Mlle Colete Moeraert. [11]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un très-beau paysage réalisée par J. De Conink, vendue par Mlle Colete Moeraert. [12]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un camp avec quelques cavalliers et autres figures réalisée par P. Van Blommen, vendue par Mlle Colete Moeraert. [13]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Deux pendants ; l'un représentant la levée et l'autre, le coucher du soleil ; très-bien rendu réalisée par L. De Vadder, vendue par Mlle Colete Moeraert. [14]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un très-joli paysage, ornée d'une danse de bergers, et de quelques animaux réalisée par J. Bailliu, vendue par Mlle Colete Moeraert. [15]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un Ange adorant la Ste Vierge et son divin Enfant réalisée par Rottenhamer, vendue par Mlle Colete Moeraert. [16]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un petit très-joli paysage réalisée par D. Teniers, vendue par Mlle Colete Moeraert. [17]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un intérieur, un paysan embrasse sa maitresse, et plusieurs autres figures réalisée par J. M. Molenaer, vendue par Mlle Colete Moeraert. [18]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Le vieux avare, visité par la mort ; peint d'une touche légère et facile réalisée par F. Franck, vendue par Mlle Colete Moeraert. [19]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une conversation de quelques figures à mi-corps ; très-agréablement peinte réalisée par J. M. Molenaer, vendue par Mlle Colete Moeraert. [20]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un temple richement ordonné, représentant de plus la fuite du Seigneur réalisée par H. Steenwyk, vendue par Mlle Colete Moeraert. [21]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une très-belle marine réalisée par J. Percelles, vendue par Mlle Colete Moeraert. [22]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Trois ivrognes s'amusants à boire et à chanter ; très-jolie pièce réalisée par Le meilleur Heemskerk, vendue par Mlle Colete Moeraert. [23]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un intérieur, où une fille paroit en conversation avec un chasseur, et plusieurs autres figures, animaux, et des ustenciles de menage ; le tout très-naturellement peinte réalisée par G. Lundens, vendue par Mlle Colete Moeraert. [24]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Deux marines réalisée par Stork, vendue par Mlle Colete Moeraert. [25]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme La St. face, par un ancien maître réalisée par Un ancien maître, vendue par Mlle Colete Moeraert. [26]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un cocq mort, des légumes, et un chien dans un paysage ; du meilleur faire de ce maître réalisée par Gryf, vendue par Mlle Colete Moeraert. [27]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un très-beau portrait d'homme réalisée par Duchatel, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par [[Baur [?]]]. [28]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un très-joli paysage réalisée par Henri De Meyer, vendue par Mlle Colete Moeraert. [29]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un beau paysage, orné des figures et animaux réalisée par Van Uden, vendue par Mlle Colete Moeraert. [30]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Deux ordonnances capitales, faisants pendants ; l'un le sujet d'un bal masqué, et l'autre le fête des Rois réalisée par Ch. Em. Bizet, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par [[Vervier [?]]]. [31]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une bataille navalle sic, très-bien peinte réalisée par Segaerts, vendue par Mlle Colete Moeraert. [32]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur de l'attellier sic d'un marechal ferrant, enrichie d'une multitude des figures ; d'un très-bel effet réalisée par G. Lundens, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par [[Passem[iers]]]. [33]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Dans une chaumiere, des paysans écoutent, un autre jouant de violon. Tableau excellent réalisée par R. Beelt, 1655, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par [[Lerber [?]]]. [34]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un très-beau tableau de fleurs réalisée par D. De Bray, vendue par Mlle Colete Moeraert. [35]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une mer agitée, d'une grande veritée réalisée par A. Van Everdingen, vendue par Mlle Colete Moeraert. [36]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une très-belle bataille réalisée par Palamedes, vendue par Mlle Colete Moeraert. [37]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un homme coiffé d'un bonnet de poil et occupé à compter de l'or. Sur toile. Le fini étonnant et l'ancieneté de ce tableau le rend encore très-intéressant par rapport à l'histoire de l'art réalisée par Nicolas La Fabrique, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par [[Mahys [?]]]. [38]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un Paysage, orné d'une fontaine, et de très-belles figures ; supérieurement peinte réalisée par Van Huysum, vendue par Mlle Colete Moeraert. [39]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une vue de terre et d'eau réalisée par Croos, vendue par Mlle Colete Moeraert. [40]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un garçon qui cherche les puces à son chien. Joli tableau de forme octogone réalisée par Brekelenkamp, vendue par Mlle Colete Moeraert. [41]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme L'intérieur d'un souterain, représentant la délivrance de St. Pierre ; d'une grande vérité réalisée par P. Neefs, vendue par Mlle Colete Moeraert. [42]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Cupido caressant sa mère ; d'un coloris suave, et d'une touche précieuse réalisée par Cornille d'Harlem, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par [[Baur [?]]]. [43]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un joli petit paysage, où un homme est occupé à dégager une voiture embourbée réalisée par Stalbemt, vendue par Mlle Colete Moeraert. [44]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Dans un paysage, on voit quelques paysans devant un cabaret, occupés à boire et fumer réalisée par F. Carré, vendue par Mlle Colete Moeraert. [45]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un intérieur de chaumiere, où une femme est occupée à préparer la reste d'un cochon, deux garçons, des légumes, etc. ; le tout d'un excellent effet réalisée par Benjamin Cuyp, vendue par Mlle Colete Moeraert. [46]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un très-beau paysage, orné d'une troupe de baigneurs et autres figures réalisée par P. Van As, vendue par Mlle Colete Moeraert. [47]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un intérieur avec quatre figures, dont une dame habillée de satin blanc, dans la maniere de Terburg réalisée par Henri Carré, vendue par Mlle Colete Moeraert. [48]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une bataille de cavallerie, très-supérieurement peinte réalisée par Verschuering, vendue par Mlle Colete Moeraert. [49]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un beau paysage réalisée par A. Verboom, vendue par Mlle Colete Moeraert. [50]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une fête de village, dans le goût de J. Steen. Tableau très-intéressant réalisée par F. Carré, vendue par Mlle Colete Moeraert. [51]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Le sujet d'une comédie hollandoise, intitulé: HET VERLIEFDE BRECHJE. Cette piece d'une composition aussi riche qu'originale, est connue pour une des meilleures de ce maître: voyez van Gool, tome second, pag. 248 réalisée par C. Troost, vendue par Mlle Colete Moeraert. [52]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une chasse aux cerfs, très-belle ordonnance, et d'une exécution digne de la célèbre école de Rubens réalisée par J. Jacobs, vendue par Mlle Colete Moeraert. [53]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une belle marine, dans la manière de vande Velde réalisée par Vitringa, vendue par Mlle Colete Moeraert. [54]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un très-beaux tableau historique, où plusieurs bergeres font boire leurs brebis. Sujet de l'ancien Testament réalisée par P. De Grebber, vendue par Mlle Colete Moeraert. [55]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage d'un site pittoresque, et du plus bel effet réalisée par S. Ruysdael, vendue par Mlle Colete Moeraert. [56]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Au devant d'un paysage montagneux, un cavalier abreuvant son cheval ; plus loin un autre cavalier et un garçon, étant un tableau de grand mérite réalisée par J. Wouvermans, vendue par Mlle Colete Moeraert. [57]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Des péches, des raisins, etc. posés sur une terrasse ; d'une vérité étonnante réalisée par A. Cuyp, vendue par Mlle Colete Moeraert. [58]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un charmant tableau de fleurs réalisée par Marie Van Oosterwyk, vendue par Mlle Colete Moeraert. [59]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme La derniere goûte, sujet de deux figures comiques, d'un précieux étonnant réalisée par J. Van Loo, vendue par Mlle Colete Moeraert. [60]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Deux charmants petits intérieurs, où des paysans sont occupés à se divertir réalisée par C. Molenaer, vendue par Mlle Colete Moeraert. [61]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un homme, vue à mi-corps, fumant sa pipe ; d'un beau fini réalisée par J. Mieris, vendue par Mlle Colete Moeraert. [62]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Les proverbes flamandes. Chef d'oeuvre de ce maître réalisée par C. Sagtleven, vendue par Mlle Colete Moeraert. [63]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme La beauté du coloris de ce petit paysage le rend digne d'Hobema réalisée par C. Molenaer, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par Penneman. [64]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une vue de Campo Vacino à Rome, enrichie de figures et animaux ; le tout de la meilleure exécution réalisée par Mommers, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par Lerberghe. [65]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une petite marine, d'un ton harmonieux et vrai réalisée par A. Cuyp, vendue par Mlle Colete Moeraert. [66]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un port de mer d'Italie, embelie sic d'une quantité des figures, du beau faire de ce célbre Artiste réalisée par J. Lingelbach, vendue par Mlle Colete Moeraert, achetée par [[Wever [?]]]. [67]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une copie d'après Teniers réalisée par Teniers, vendue par Mlle Colete Moeraert. [68]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme La chasse de Maleagre et d'Attalante; grande et belle composition. Ce beaux tableau est attribué à P. P. Rubens réalisée par P.P. Rubens, vendue par Mlle Colete Moeraert. [69]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Une pièce de fleurs, par Zegers et Schut réalisée par Zegers, vendue par Mlle Colete Moeraert. [70]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un satire tenant un panier des fruits, et accompagné d'une bachante. Très-beau tableau réalisée par J. Jordaens, vendue par Mlle Colete Moeraert. [71]
- 1802.01.25/ maison de ventes : Fernand. Vente de l'œuvre décrite comme Un charmant paysage, ornés des jolies figures et animaux réalisée par Baut, vendue par Mlle Colete Moeraert. [72]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit Tableau de la première finesse, du meilleur goût de touche, et de cet admirable transparent de couleur qui distingue son auteur ; il représente une monticule sablonneuse, mêlée de mousse, avec quelques arbres dépouillés de leurs feuilles ; à la droite un chemin où passe un paysan, et, du côté opposé, une barrière, et diverses chaumières dans le lointain. Ce précieux échantillon peut être cité au nombre des meilleures productions de ce peintre, et peut satisfaire un bon amateur, qui ne voudrait pas atteindre à ses productions capitales. (Wouvermans (Philippe))|Un petit Tableau de la première finesse, du meilleur goût de touche, et de cet admirable transparent de couleur qui distingue son auteur ; il représente une monticule sablonneuse, mêlée de mousse, avec quelques arbres dépouillés de leurs feuilles ; à la droite un chemin où passe un paysan, et, du côté opposé, une barrière, et diverses chaumières dans le lointain. Ce précieux échantillon peut être cité au nombre des meilleures productions de ce peintre, et peut satisfaire un bon amateur, qui ne voudrait pas atteindre à ses productions capitales.]] réalisée par Wouvermans (Philippe), achetée par Paillet au prix de 660 fl. [73]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce Tableau est connu par l'estampe de Jean Bouillard, portant le titre de Poliphile présenté à Leuthérilide, ainsi que par l'exposition qui en a été faite lors de la vente du Cabinet du cit. Robit. Nous n'entrerons donc ici dans aucun détail sur les beautés qu'il renferme, en nous contentant de renvoyer au Catalogue de cette célèbre collection, N.o 126. (Sueur (Eustache le))|Ce Tableau est connu par l'estampe de Jean Bouillard, portant le titre de Poliphile présenté à Leuthérilide, ainsi que par l'exposition qui en a été faite lors de la vente du Cabinet du cit. Robit. Nous n'entrerons donc ici dans aucun détail sur les beautés qu'il renferme, en nous contentant de renvoyer au Catalogue de cette célèbre collection, N.o 126.]] réalisée par Sueur (Eustache le), vendue par [[[Lanjeac]]], achetée par Vauthier au prix de 5999 fl. [74]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre beau Tableau de ce Peintre, et de cette belle qualité qui le distingue encore. Il représente le point de vue en perspective d'un grand canal couvert de barques marchandes, et dans l'éloignement une échappée du port. Les premiers plans sont enrichis d'un grand nombre de figures de la même main du précédent (Ruisdael (Jacques))|Un autre beau Tableau de ce Peintre, et de cette belle qualité qui le distingue encore. Il représente le point de vue en perspective d'un grand canal couvert de barques marchandes, et dans l'éloignement une échappée du port. Les premiers plans sont enrichis d'un grand nombre de figures de la même main du précédent]] réalisée par Ruisdael (Jacques), vendue par Van Helsleuter, achetée par Paillet au prix de 751 fl. [75]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vue exacte de la place du Dam et du Poids de la ville d'Amsterdam, avec la perspective des maisons ainsi que du canal, couvert de barques, faisant la gauche du sujet. Ce morceau fidelle et traité avec le plus grand art, est orné de plus de cinquante figures, que l'on nous assure être de la main de G. Terburg. Cette richesse le rend d'autant plus recommandable. (Ruisdael (Jacques))|Une vue exacte de la place du Dam et du Poids de la ville d'Amsterdam, avec la perspective des maisons ainsi que du canal, couvert de barques, faisant la gauche du sujet. Ce morceau fidelle et traité avec le plus grand art, est orné de plus de cinquante figures, que l'on nous assure être de la main de G. Terburg. Cette richesse le rend d'autant plus recommandable.]] réalisée par Ruisdael (Jacques), vendue par Van Helsleuter, achetée par Paillet au prix de 500 fl. [76]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La pendant. Une paysanne également vue à mi-corps, tenant un pot d'étain de la main droite, et faisant regard avec le précédent. Ces deux échantillons d'Ostade, paraissent être des portraits fidelles qu'il se plaisait à faire pour ses amis. (Ostade (Adrien Van))|La pendant. Une paysanne également vue à mi-corps, tenant un pot d'étain de la main droite, et faisant regard avec le précédent. Ces deux échantillons d'Ostade, paraissent être des portraits fidelles qu'il se plaisait à faire pour ses amis.]] réalisée par Ostade (Adrien Van), achetée par Paillet au prix de 300 fl. [77]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le pendant. Un autre point de vue de paysage, indiquant sur la droite, par une masse d'arbres, l'entrée d'un bois avec lointains de prairies, moulins, et une église sur la gauche. Ce peintre, grand coloriste, a fait briller dans ses ouvrages une touche facile et du meilleur goût. (Meer (Van der), surnommé le Vieux)|Le pendant. Un autre point de vue de paysage, indiquant sur la droite, par une masse d'arbres, l'entrée d'un bois avec lointains de prairies, moulins, et une église sur la gauche. Ce peintre, grand coloriste, a fait briller dans ses ouvrages une touche facile et du meilleur goût.]] réalisée par Meer (Van der), surnommé le Vieux, achetée par Renoud pour Pallit au prix de 46 fl. [78]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un marchand de volaille, vu à mi-corps, à une grande croisée cintrée, décorée, sous l'appui, d'un précieux bas-relief, sujet de jeux d'enfans, dans le style du Quesnoy. Le milieu de cette composition naturelle offre un homme montrant un beau coq à une femme qui est à sa droite, dans un agréable ton de demi-teinte, et que l'on voit offrant de l'argent : un lièvre et des canards forment accessoires sur l'appui de la croisée, qui est encore enrichie d'une jolie cage d'osier où sont des poulets. Ce Tableau, précieux d'exécution et piquant dans ses détails, est d'un bon choix parmi les nombreux ouvrages de W. Miéris le fils. (Miéris (Guillaume))|Un marchand de volaille, vu à mi-corps, à une grande croisée cintrée, décorée, sous l'appui, d'un précieux bas-relief, sujet de jeux d'enfans, dans le style du Quesnoy. Le milieu de cette composition naturelle offre un homme montrant un beau coq à une femme qui est à sa droite, dans un agréable ton de demi-teinte, et que l'on voit offrant de l'argent : un lièvre et des canards forment accessoires sur l'appui de la croisée, qui est encore enrichie d'une jolie cage d'osier où sont des poulets. Ce Tableau, précieux d'exécution et piquant dans ses détails, est d'un bon choix parmi les nombreux ouvrages de W. Miéris le fils.]] réalisée par Miéris (Guillaume), vendue par Van Helsleuter, achetée par Lafontaine au prix de 501 fl. [79]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un point de vue fidelle du canal nommé le Westerkerk, à Amsterdam, et de tous les bâtimens qui le bordent. Dans le milieu du sujet l'on remarque une église d'agréable architecture, dont tous les détails sont rendus avec une finesse de touche aussi étonnante que le ton de la couleur en est juste et vrai. Une rangée d'arbres, interrompant avec art l'uniformité des bâtimens, contribue à faire valoir les effets piquans du soleil et des ombres, avec une intelligence parfaite d'optique et de perspective. Adrien Van den Velde s'est plu à y distribuer diverses figures, qui ajoutent autant à son intérêt qu'à son prix. Ce morceau, de belle proportion et riche par ses nombreux détails, offre une des production distinguées et marquantes de ces deux maîtres, qui ont fait briller, chacun dans leur partie, une touche aussi habile que délicate. (Heyden (Jean Van der))|Un point de vue fidelle du canal nommé le Westerkerk, à Amsterdam, et de tous les bâtimens qui le bordent. Dans le milieu du sujet l'on remarque une église d'agréable architecture, dont tous les détails sont rendus avec une finesse de touche aussi étonnante que le ton de la couleur en est juste et vrai. Une rangée d'arbres, interrompant avec art l'uniformité des bâtimens, contribue à faire valoir les effets piquans du soleil et des ombres, avec une intelligence parfaite d'optique et de perspective. Adrien Van den Velde s'est plu à y distribuer diverses figures, qui ajoutent autant à son intérêt qu'à son prix. Ce morceau, de belle proportion et riche par ses nombreux détails, offre une des production distinguées et marquantes de ces deux maîtres, qui ont fait briller, chacun dans leur partie, une touche aussi habile que délicate.]] réalisée par Heyden (Jean Van der), vendue par Van Helsleuter, achetée par François Regneault au prix de 4000 fl. [80]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un précieux Tableau de paysage, pris dans l'intérieur d'une forêt que traverse un grand chemin. Dans le milieu du point de vue et dans une place où frappe le soleil, Adrien Van den Velde a fait passer un retour de chasse du prince d'Orange. Ce sujet est indiqué par un carosse attelé de six chevaux blancs, et tout le monde de sa suite. Sur un plan en avant, on voit encore un cavalier tenant son cheval par la bride, nombre de figures de piqueurs, valets et chiens, et autres détails aussi agréables que piquans. Les ouvrages de cet habile paysagiste sont estimés particulièrement pour ses effets brillans du soleil, qu'il a traités au plus haut degré de l'art. Il a joint à cet avantage une touche facile et cette belle harmonie qui donne l'illusion de l'optique. Il est impossible d'offrir une plus heureuse production de ces deux maîtres. (Hakkert (Jean))|Un précieux Tableau de paysage, pris dans l'intérieur d'une forêt que traverse un grand chemin. Dans le milieu du point de vue et dans une place où frappe le soleil, Adrien Van den Velde a fait passer un retour de chasse du prince d'Orange. Ce sujet est indiqué par un carosse attelé de six chevaux blancs, et tout le monde de sa suite. Sur un plan en avant, on voit encore un cavalier tenant son cheval par la bride, nombre de figures de piqueurs, valets et chiens, et autres détails aussi agréables que piquans. Les ouvrages de cet habile paysagiste sont estimés particulièrement pour ses effets brillans du soleil, qu'il a traités au plus haut degré de l'art. Il a joint à cet avantage une touche facile et cette belle harmonie qui donne l'illusion de l'optique. Il est impossible d'offrir une plus heureuse production de ces deux maîtres.]] réalisée par Hakkert (Jean), vendue par Van Helsleuter, achetée par Paillet au prix de 2375 fl. [81]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'on voit assise sur l'appui d'une croisée décorée d'un bas-relief, une jeune et charmante fille, de carnation blonde ; elle tient de la main droite une lorgnette, et de la gauche un schall. Son vêtement, aussi simple qu'élégant, est de satin blanc ; elle est vue de trois-quarts, et coiffée d'un chapeau de même étoffe, garni de velours rose. Dans l'intérieur, au-dessous d'elle, et dans une teinte heureuse et bien ménagée, est un jeune garçon qui regarde dans un télescope. Différens accessoires, tels qu'un beau rideau cramoisi, une grande lunette, un bocal oú sont des poissons, et une cage, contribuent á enrichir cette composition agréable. Tous les ouvrages de cet artiste sont marqués au coin du bon goût, et celui que nous décrivons mérite de fixer les amateurs par l'excellence de sa touche et le charme de son coloris. (Boilly (Louis))|L'on voit assise sur l'appui d'une croisée décorée d'un bas-relief, une jeune et charmante fille, de carnation blonde ; elle tient de la main droite une lorgnette, et de la gauche un schall. Son vêtement, aussi simple qu'élégant, est de satin blanc ; elle est vue de trois-quarts, et coiffée d'un chapeau de même étoffe, garni de velours rose. Dans l'intérieur, au-dessous d'elle, et dans une teinte heureuse et bien ménagée, est un jeune garçon qui regarde dans un télescope. Différens accessoires, tels qu'un beau rideau cramoisi, une grande lunette, un bocal oú sont des poissons, et une cage, contribuent á enrichir cette composition agréable. Tous les ouvrages de cet artiste sont marqués au coin du bon goût, et celui que nous décrivons mérite de fixer les amateurs par l'excellence de sa touche et le charme de son coloris.]] réalisée par Boilly (Louis), achetée par Lebrun au prix de 750 fl. [82]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue exact de l'Hôtel de ville, des maisons et du Poids qui entourent et garnissent la grande place du Dum, à Amsterdam. Nombre de figures y sont répandues avec cette admirable intelligence et cette vérité qui contribue à l'effet de l'optique. Ce Tableau, curieux par la justesse de ses détails, et dans une parfaite harmonie de clair obscur, offre un des ouvrages de choix de cet habile peintre. (Berkeyden (Job))|Le point de vue exact de l'Hôtel de ville, des maisons et du Poids qui entourent et garnissent la grande place du Dum, à Amsterdam. Nombre de figures y sont répandues avec cette admirable intelligence et cette vérité qui contribue à l'effet de l'optique. Ce Tableau, curieux par la justesse de ses détails, et dans une parfaite harmonie de clair obscur, offre un des ouvrages de choix de cet habile peintre.]] réalisée par Berkeyden (Job), vendue par Van Helsleuter, achetée par Simon au prix de 371 fl. [83]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un précieux Tableau de paysage, dont le premier plan, dans le milieu du sujet, est enrichi d'un groupe de figures, avec animaux. L'on y remarque une villageoise assise, ayant son enfant endormi sur ses genoux ; elle parle à une femme qui est debout et chargée d'un pot au lait ; entre ces personnages se voit encore un pâtre appuyé sur un boeuf, tandis qu'une belle vache est couchée contre deux arbres ; des lointains agréables et d'un riche détail, indiquent, sur la droite, une vaste campagne. Un ciel, sacrifié dans l'effet d'une soirée, contribue à un ensemble aussi harmonieux que savant. Ce Tableau, d'une forte couleur et de la touche brillante et facile de ce célèbre artiste, a fait partie du magnifique Cabinet de feu M. H. Audry, à Orléans. Cet ouvrage est recommandable par sa qualité, comme par la rareté d'en rencontrer dans les proportions de chevalet. (Berghem (Nicolas))|Un précieux Tableau de paysage, dont le premier plan, dans le milieu du sujet, est enrichi d'un groupe de figures, avec animaux. L'on y remarque une villageoise assise, ayant son enfant endormi sur ses genoux ; elle parle à une femme qui est debout et chargée d'un pot au lait ; entre ces personnages se voit encore un pâtre appuyé sur un boeuf, tandis qu'une belle vache est couchée contre deux arbres ; des lointains agréables et d'un riche détail, indiquent, sur la droite, une vaste campagne. Un ciel, sacrifié dans l'effet d'une soirée, contribue à un ensemble aussi harmonieux que savant. Ce Tableau, d'une forte couleur et de la touche brillante et facile de ce célèbre artiste, a fait partie du magnifique Cabinet de feu M. H. Audry, à Orléans. Cet ouvrage est recommandable par sa qualité, comme par la rareté d'en rencontrer dans les proportions de chevalet.]] réalisée par Berghem (Nicolas), achetée par Chaudeseigne pour Lafontaine au prix de 2500 fl. [84]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le pendant. Le point de vue d'un paysage montagneux, coupé par divers chemins enrichis de plantes et de broussailles, et terminé à gauche par un lointain vaporeux. La droite est occupée par une masse de rochers près de laquelle sont deux grands arbres de la plus belle exécution ; du même côté l'on voit deux pâtres qui conduisent leurs troupeaux. Ce tableau est digne de faire le pendant du précédent, et prouve aussi que Jean Both tient, à juste titre, le premier rang parmi les paysagistes. (Both (Jean))|Le pendant. Le point de vue d'un paysage montagneux, coupé par divers chemins enrichis de plantes et de broussailles, et terminé à gauche par un lointain vaporeux. La droite est occupée par une masse de rochers près de laquelle sont deux grands arbres de la plus belle exécution ; du même côté l'on voit deux pâtres qui conduisent leurs troupeaux. Ce tableau est digne de faire le pendant du précédent, et prouve aussi que Jean Both tient, à juste titre, le premier rang parmi les paysagistes.]] réalisée par Both (Jean), achetée par Constantin au prix de 801 fl. [85]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un magnifique et riche paysage, dont toute la partie gauche est occupée par une masse de roches pittoresques, mêlées d'arbres qui se détachent, par un feuillé admirable et léger, sur un ciel vaporeux indiquant une belle matinée d'été ; la droite offre une perspective de lointains qui se terminent part une chaîne de montagnes de tons bleuâtres, et de la plus parfaite harmonie ; du même côté sont diverses plantes et un lac ; le milieu du Tableau est occupé par un chemin éclairé avec la plus grand art, et dans lequel Corneille Poelemburg a placé un groupe de trois nymphes, indiquant le sujet de Diane avant d'avoir aperçu Actéon, qui est dans l'admiration, de l'autre côté du lac, et sur un plan très-éloigné. Cet ouvrage capital de son auteur, joint à cette touche de goût et précieuse qui le mettent au rang des premiers paysagistes, un ton de couleur chaud et vaporeux, qui produit une illusion parfaite de la nature, en charmant l'oeil l'oeil du connaisseur. Nous le recommandons comme un morceau de première classe, et de cette précieuse conservation désirée particulièrement dans les tableaux de grande valeur. (Both (Jean))|Un magnifique et riche paysage, dont toute la partie gauche est occupée par une masse de roches pittoresques, mêlées d'arbres qui se détachent, par un feuillé admirable et léger, sur un ciel vaporeux indiquant une belle matinée d'été ; la droite offre une perspective de lointains qui se terminent part une chaîne de montagnes de tons bleuâtres, et de la plus parfaite harmonie ; du même côté sont diverses plantes et un lac ; le milieu du Tableau est occupé par un chemin éclairé avec la plus grand art, et dans lequel Corneille Poelemburg a placé un groupe de trois nymphes, indiquant le sujet de Diane avant d'avoir aperçu Actéon, qui est dans l'admiration, de l'autre côté du lac, et sur un plan très-éloigné. Cet ouvrage capital de son auteur, joint à cette touche de goût et précieuse qui le mettent au rang des premiers paysagistes, un ton de couleur chaud et vaporeux, qui produit une illusion parfaite de la nature, en charmant l'oeil l'oeil du connaisseur. Nous le recommandons comme un morceau de première classe, et de cette précieuse conservation désirée particulièrement dans les tableaux de grande valeur.]] réalisée par Both (Jean), vendue par Van Helsleuter, achetée par Lafontaine au prix de 3849 fl. [86]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un autre joli Tableau de paysage, encore de la touche de goût et spirituelle de Winants, avec figures et quelques animaux, par Adrien Van de Velde. réalisée par Winantz (Jean-Baptiste), achetée par Lafontaine au prix de 400 fl. [87]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le joli point de vue d'un paysage, avec terrain sablonneux, chargé de différentes plantes, et enrichi de charmantes figures de la meilleure touche d'Adrien Van de Velde. Les talens réunis de ces deux habiles peintres offrent encore aux amateurs un morceau digne de fixer leur choix. (Winantz (Jean-Baptiste))|Le joli point de vue d'un paysage, avec terrain sablonneux, chargé de différentes plantes, et enrichi de charmantes figures de la meilleure touche d'Adrien Van de Velde. Les talens réunis de ces deux habiles peintres offrent encore aux amateurs un morceau digne de fixer leur choix.]] réalisée par Winantz (Jean-Baptiste), vendue par [[[Lanjeac]]], achetée par Pitony au prix de 1000 fl. [88]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une perdrix morte, attachée à un clou par la patte. Précieuse étude de ce maître. réalisée par Wéeninx (Jean), achetée par Caillard au prix de 50 fl. [89]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une ruine ouverte en arcade, près de laquelle est un maréchal qui se dispose à ferrer un cheval alezan ; près de lui est un soldat monté sur un cheval blanc. Ce morceau, d'un effet piquant, est aussi d'un pinceau très-soigné. réalisée par Wouvermans (Pierre), achetée par Delaroche au prix de 55 fl. [90]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Tableau très-curieux par son exactitude et la précision de la touche ; il représente le siége de Naard, du côté de ses fortifications. Tout le premier plan est couvert d'une nombreuse cavalerie dans le mouvement de marcher à l'attaque et seconder l'armée, qui est indiquée dans la perspective avec beaucoup d'intelligence et de justesse. (Wouvermans (Pierre))|Un Tableau très-curieux par son exactitude et la précision de la touche ; il représente le siége de Naard, du côté de ses fortifications. Tout le premier plan est couvert d'une nombreuse cavalerie dans le mouvement de marcher à l'attaque et seconder l'armée, qui est indiquée dans la perspective avec beaucoup d'intelligence et de justesse.]] réalisée par Wouvermans (Pierre), vendue par Van Helsleuter, achetée par François Regneault au prix de 441 fl. [91]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un autre joli sujet de paysage, offrant le point de vue et les détails d'une pleine campagne pendant la moisson. Quelques petites figures y sont indiquées avec esprit, et se trouvent d'accord avec l'harmonie générale du sujet. réalisée par Wouvermans (Philippe), achetée par Paillet au prix de 238 fl. [92]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un endroit d'embarquement, dont toute la partie droite est occupée par un massif élevé au bord de la mer, et servant de port, où sont différens travailleurs occupés à charger des ballots et marchandises dans une barque qui forme une agréable richesse sur le premier plan. Des chevaux et mulets chargés attendent sur la hauteur avec leurs conducteurs. Ce Tableau, encore d'une composition piquante et agréable, est aussi de la touche brillante et facile du meilleur tems de son auteur. (Wouvermans (Philippe))|Le point de vue d'un endroit d'embarquement, dont toute la partie droite est occupée par un massif élevé au bord de la mer, et servant de port, où sont différens travailleurs occupés à charger des ballots et marchandises dans une barque qui forme une agréable richesse sur le premier plan. Des chevaux et mulets chargés attendent sur la hauteur avec leurs conducteurs. Ce Tableau, encore d'une composition piquante et agréable, est aussi de la touche brillante et facile du meilleur tems de son auteur.]] réalisée par Wouvermans (Philippe), achetée par Paillet au prix de 950 fl. [93]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un paysage où l'on voit sur le devant deux chevaux blancs et un homme prêt à monter sur l'un d'eux. Petit morceau d'un effet piquant et d'un bon empâtement de couleur. réalisée par Verbeck, achetée par Renouh pour Pallit au prix de 61 fl. [94]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'une chambre basse, l'on voit un boeuf écorché, ouvert et suspendu. Deux garçons, à la gauche du sujet, s'amusent à jouer avec une vessie, tandis qu'une servante nettoie le pavé. En écartant le disgracieux de cette représentation, l'on ne peut se refuser à être frappé de la grande vérité et de l'art du peintre. (Victoors (Jean))|Dans l'intérieur d'une chambre basse, l'on voit un boeuf écorché, ouvert et suspendu. Deux garçons, à la gauche du sujet, s'amusent à jouer avec une vessie, tandis qu'une servante nettoie le pavé. En écartant le disgracieux de cette représentation, l'on ne peut se refuser à être frappé de la grande vérité et de l'art du peintre.]] réalisée par Victoors (Jean), vendue par Van Helsleuter, achetée par Demidoff au prix de 201 fl. [95]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un autre joli Tableau de paysage, avec diverses figures, par J. Lingelback. Morceau encore de la belle qualité du maître, et de cette harmonie de couleur qui les fait rechercher. réalisée par Verboom, achetée par Caillard au prix de 178 fl. [96]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une eau calme faisant une admirable opposition avec le précédent, et d'une égale finesse. L'on y distingue entr'autres richesses de bâtimens et barques, un bateau que conduisent deux pêcheurs, sur le devant du sujet. Il doit être curieux de réunir ces deux précieux morceaux. (Velde (W. Van de))|Une eau calme faisant une admirable opposition avec le précédent, et d'une égale finesse. L'on y distingue entr'autres richesses de bâtimens et barques, un bateau que conduisent deux pêcheurs, sur le devant du sujet. Il doit être curieux de réunir ces deux précieux morceaux.]] réalisée par Velde (W. Van de), achetée par Paillet au prix de 550 fl. [97]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre Tableau encore de la précieuse qualité de cet habile peintre, offrant un point de vue d'une mer agitée par un vent frais, et enrichie de différens bâtimens et barques exécutés dans tous leurs détails avec autant d'art que de justesse. (Velde (W. Van de))|Un autre Tableau encore de la précieuse qualité de cet habile peintre, offrant un point de vue d'une mer agitée par un vent frais, et enrichie de différens bâtimens et barques exécutés dans tous leurs détails avec autant d'art que de justesse.]] réalisée par Velde (W. Van de), achetée par Paillet au prix de 550 fl. [98]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau de première classe, et l'un des ouvrages le plus éclatant qui soit sorti du pinceau de ce grand artiste. Il offre le sujet d'une famille de villageois, occupant tout le premier plan d'un riche paysage ; le personnage principal est un pâtre en chemise, tenant un boeuf roussâtre par la corne, pour lui faire traverser un lac. Cette figure a la tête tournée de profil, et semble parler à une paysanne qui tient un agneau sous son bras droit, soutenant de l'autre une jupe bleue dont elle est vêtue. Dans une demi-teinte de la plus surprenante harmonie, l'on voit encore un jeune garçon, deux chèvres, deux beliers et un mouton. La réputation de cet admirable morceau, nous dispensera du long détail qu'aurait exigé un pareil chef-d'oeuvre de l'art ; il suffira d'assurer qu'il est impossible d'avoir porté plus loin le fini, la grâce et le moëlleux du pinceau : les Cabinets de Boisset et de Praslin, en France, en ont été possesseurs ; ce renseignement seul est un éloge ; ces collections capitales ayant été formées avec les articles les plus rares dans toutes les Ecoles. (Velde (Adrien van de))|Un tableau de première classe, et l'un des ouvrages le plus éclatant qui soit sorti du pinceau de ce grand artiste. Il offre le sujet d'une famille de villageois, occupant tout le premier plan d'un riche paysage ; le personnage principal est un pâtre en chemise, tenant un boeuf roussâtre par la corne, pour lui faire traverser un lac. Cette figure a la tête tournée de profil, et semble parler à une paysanne qui tient un agneau sous son bras droit, soutenant de l'autre une jupe bleue dont elle est vêtue. Dans une demi-teinte de la plus surprenante harmonie, l'on voit encore un jeune garçon, deux chèvres, deux beliers et un mouton. La réputation de cet admirable morceau, nous dispensera du long détail qu'aurait exigé un pareil chef-d'oeuvre de l'art ; il suffira d'assurer qu'il est impossible d'avoir porté plus loin le fini, la grâce et le moëlleux du pinceau : les Cabinets de Boisset et de Praslin, en France, en ont été possesseurs ; ce renseignement seul est un éloge ; ces collections capitales ayant été formées avec les articles les plus rares dans toutes les Ecoles.]] réalisée par Velde (Adrien van de), vendue par Van Helsleuter, achetée par Lafontaine au prix de 9901 fl. [99]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux enfans vus à mi-corps à une croisée. Ils s'amusent à faire des bulles de savon. Un pot de fleurs en dehors de la croisée, au bas de laquelle est un bas-relief d'enfans, ainsi qu'un rideau de tapisserie, y forment les accessoires les plus heureux. Ce joli Tableau, qui rappelle la manière de G. Dow, ne laisse rien à désirer, tant par son effet qui est précis et juste, que par le charme du coloris et son exécution parfaite dans tous ses détails. (Tool (Van))|Deux enfans vus à mi-corps à une croisée. Ils s'amusent à faire des bulles de savon. Un pot de fleurs en dehors de la croisée, au bas de laquelle est un bas-relief d'enfans, ainsi qu'un rideau de tapisserie, y forment les accessoires les plus heureux. Ce joli Tableau, qui rappelle la manière de G. Dow, ne laisse rien à désirer, tant par son effet qui est précis et juste, que par le charme du coloris et son exécution parfaite dans tous ses détails.]] réalisée par Tool (Van), achetée par Pitony au prix de 915 fl. [100]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le sujet de la Mélancolie, pastiche de cet habile peintre, dans la manière du Fety. Tableau bien touché et d'une excellente couleur. réalisée par Teniers (David), achetée par Demidoff au prix de 150 fl. [101]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit Tableau de ton argentin et de la belle touche de cet artiste ; il représente un paysan dans un intérieur, et assis jouant du violon pour accompagner une vieille femme qui chante à sa gauche, tenant un papier dans ses mains : cette figure grotesque est appuyée sur un tonneau où l'on voit une petite chaufferette de terre. (Teniers (David))|Un petit Tableau de ton argentin et de la belle touche de cet artiste ; il représente un paysan dans un intérieur, et assis jouant du violon pour accompagner une vieille femme qui chante à sa gauche, tenant un papier dans ses mains : cette figure grotesque est appuyée sur un tonneau où l'on voit une petite chaufferette de terre.]] réalisée par Teniers (David), achetée par Paillet au prix de 300 fl. [102]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une Taverne où sont rassemblés différens personnages offrant une des plus heureuses et riantes compositions de ce Peintre. Dans le milieu du sujet, devant une cheminée, est placée une table où sont deux hommes jouant au trictrac ; celui qui tient les dez paraît fixer un vieillard assis dans un fauteuil, qui, d'un air amoureux, veut retenir une belle femme, paraissant être l'hôtesse : elle le repousse, sans trop de rudesse, de la main gauche, ayant l'autre occupée d'un verre ou bocal de vin du Rhin ; plus loin, et sous la cheminée, est un homme assis, considérant cette scène plaisante, tandis qu'un autre debout boit à la canette, qu'il élève très-haut pour désigner qu'elle est vide. Les plans en avant sont enrichis de divers détails : un chien qui se mord la cuisse, un pot d'étain, une escabelle renversée, un réchaud où s'allume une pipe, des écailles de moules et coquilles d'oeufs, plusieurs branchages et des feuilles, indiquant, par leur allégorie, qu'il y a eu une fiancée dans cette maison. Une porte ouverte fait apercevoir la perspective d'une campagne, dans un beau jour d'automne : il est impossible à la plume de rendre les diverses expressions des personnages, particulièrement du vieillard, comme de l'énergie avec laquelle il veut saisir la femme par son tablier, et de la délicatesse qu'elle met à sa défense. On a toujours distingué cet admirable Tableau, avec d'autant plus de raison encore, qu'il retrace une époque de la vie de Jean Steen, lorsqu'il s'est remarié, pour acquitter ses dettes, d'après les conseils de ses amis. Une couleur agréable, un pinceau digne de Metzu, et le charme du sujet, nous le font considérer comme un chef-d'oeuvre de son genre. (Steen (Jean))|L'intérieur d'une Taverne où sont rassemblés différens personnages offrant une des plus heureuses et riantes compositions de ce Peintre. Dans le milieu du sujet, devant une cheminée, est placée une table où sont deux hommes jouant au trictrac ; celui qui tient les dez paraît fixer un vieillard assis dans un fauteuil, qui, d'un air amoureux, veut retenir une belle femme, paraissant être l'hôtesse : elle le repousse, sans trop de rudesse, de la main gauche, ayant l'autre occupée d'un verre ou bocal de vin du Rhin ; plus loin, et sous la cheminée, est un homme assis, considérant cette scène plaisante, tandis qu'un autre debout boit à la canette, qu'il élève très-haut pour désigner qu'elle est vide. Les plans en avant sont enrichis de divers détails : un chien qui se mord la cuisse, un pot d'étain, une escabelle renversée, un réchaud où s'allume une pipe, des écailles de moules et coquilles d'oeufs, plusieurs branchages et des feuilles, indiquant, par leur allégorie, qu'il y a eu une fiancée dans cette maison. Une porte ouverte fait apercevoir la perspective d'une campagne, dans un beau jour d'automne : il est impossible à la plume de rendre les diverses expressions des personnages, particulièrement du vieillard, comme de l'énergie avec laquelle il veut saisir la femme par son tablier, et de la délicatesse qu'elle met à sa défense. On a toujours distingué cet admirable Tableau, avec d'autant plus de raison encore, qu'il retrace une époque de la vie de Jean Steen, lorsqu'il s'est remarié, pour acquitter ses dettes, d'après les conseils de ses amis. Une couleur agréable, un pinceau digne de Metzu, et le charme du sujet, nous le font considérer comme un chef-d'oeuvre de son genre.]] réalisée par Steen (Jean), vendue par Van Helsleuter, achetée par Deschamps au prix de 3445 fl. [103]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le martyre de Saint Lyvens, répétition ancienne et de petite proportion du grand Tableau sur le même sujet, qu'on voit au Muséum national. réalisée par Rubens (attribué à), achetée par Lafontaine au prix de 262 fl. [104]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un paysage pittoresque et montagneux. Les devans sont enrichis de deux boeufs et quatre moutons gardés par un pâtre qui tient sur ses genoux une jeune fille endormie. Les figures se détachent avec harmonie sur un fond de muraille derrière lequel on voit, entre autre architecture, une fontaine sur laquelle est la statue d'un enfant ; la gauche est terminée par de hautes montagnes sur lesquelles sont divers monumens. Ce Tableau est d'une couleur vigoureuse, soutenue d'une touche large et facile. (Roos (Philippe))|Le point de vue d'un paysage pittoresque et montagneux. Les devans sont enrichis de deux boeufs et quatre moutons gardés par un pâtre qui tient sur ses genoux une jeune fille endormie. Les figures se détachent avec harmonie sur un fond de muraille derrière lequel on voit, entre autre architecture, une fontaine sur laquelle est la statue d'un enfant ; la gauche est terminée par de hautes montagnes sur lesquelles sont divers monumens. Ce Tableau est d'une couleur vigoureuse, soutenue d'une touche large et facile.]] réalisée par Roos (Philippe), achetée par Lafontaine au prix de 250 fl. [105]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une Descente de croix. Sujet plein d'expression et de caractère, et d'une grande force de coloris. réalisée par Parmesan (attribué au), achetée par Lafontaine au prix de 200 fl. [106]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet d'un astronome, représenté par un vieillard. Il est assis dans un fauteuil, et paraît consulter avec attention un grand livre. Un globe et autres accessoires sont posés sur la table et distribués dans l'intérieur de la pièce, qui se trouve éclairée par une croisée à la droite. Ce Tableau, précieux dans les détails, tient beaucoup du style et du genre de G. Dow, dont il est à présumer que ce peintre était le disciple. (Pape (de), disciple de G. Dow)|Le sujet d'un astronome, représenté par un vieillard. Il est assis dans un fauteuil, et paraît consulter avec attention un grand livre. Un globe et autres accessoires sont posés sur la table et distribués dans l'intérieur de la pièce, qui se trouve éclairée par une croisée à la droite. Ce Tableau, précieux dans les détails, tient beaucoup du style et du genre de G. Dow, dont il est à présumer que ce peintre était le disciple.]] réalisée par Pape (de), disciple de G. Dow, achetée par Lafontaine au prix de 201 fl. [107]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'un souterrain formant corps de garde, où sont rassemblés quatorze personnages. A la gauche du sujet, l'on remarque un militaire qui sonne de la trompette pour amuser deux enfans, dont un est sur sa mère, tandis qu'un soldat fait danser un petit chien. Ce Tableau, de seconde classe, est de la touche la plus facile, et soutenue d'un ton de couleur général, qui tient toujours à cette précieuse école. (Palamedes)|L'intérieur d'un souterrain formant corps de garde, où sont rassemblés quatorze personnages. A la gauche du sujet, l'on remarque un militaire qui sonne de la trompette pour amuser deux enfans, dont un est sur sa mère, tandis qu'un soldat fait danser un petit chien. Ce Tableau, de seconde classe, est de la touche la plus facile, et soutenue d'un ton de couleur général, qui tient toujours à cette précieuse école.]] réalisée par Palamedes, achetée par Paillet au prix de 260 fl. [108]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un joli Tableau de paysage indiquant la touche spirituelle de Pynacker. réalisée par Genre de Pynacker (Adam), achetée par Lebrun l'aîné au prix de 190.5 fl. [109]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit Tableau de la bonne couleur de ce peintre, offrant un paysan vu à mi-corps, tenant sa pipe d'une main et un verre de l'autre. Ces deux échantillons d'Ostade, paraissent être des portraits fidelles qu'il se plaisait à faire pour ses amis. (Ostade (Adrien Van))|Un petit Tableau de la bonne couleur de ce peintre, offrant un paysan vu à mi-corps, tenant sa pipe d'une main et un verre de l'autre. Ces deux échantillons d'Ostade, paraissent être des portraits fidelles qu'il se plaisait à faire pour ses amis.]] réalisée par Ostade (Adrien Van), achetée par Paillet au prix de 300 fl. [110]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le point de vue d'un riche paysage où passe un canal ; morceau d'une grande perspective et d'une parfaite harmonie de clair obscur, rendue avec beaucoup d'art à l'effet d'une soirée. réalisée par Neer (Hart Van der), vendue par Van Helsleuter, achetée par Lafontaine au prix de 171 fl. [111]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit Tableau très-fin d'exécution, offrant le sujet d'un jeune garçon qui s'amuse à faire des bulles de savon par un chalumeau de paille ; il est vu de face sur la gauche, et appuyé du coude sur une balustrade où sont groupé diverses pièces d'argenterie, avec un tapis de Turquie artistement travaillé. Ces accessoires se détachent sur un fond de rideau verdâtre, entièrement sacrifié aux détails. (Netscher (Gaspard))|Un petit Tableau très-fin d'exécution, offrant le sujet d'un jeune garçon qui s'amuse à faire des bulles de savon par un chalumeau de paille ; il est vu de face sur la gauche, et appuyé du coude sur une balustrade où sont groupé diverses pièces d'argenterie, avec un tapis de Turquie artistement travaillé. Ces accessoires se détachent sur un fond de rideau verdâtre, entièrement sacrifié aux détails.]] réalisée par Netscher (Gaspard), achetée par Demidoff au prix de 129 fl. [112]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un autre Tableau, aussi précieux de touche que ferme d'exécution ; il représente un combat dans un défilé. réalisée par Meulen (Antoine-François Van der), vendue par [[[Lanjeac]]], achetée par Delaroche au prix de 136 fl. [113]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un riche paysage et point de vue d'un canal avec quelques petites figures, dont un garçon qui pêche à la ligne. réalisée par Meer (Van der), surnommé le Vieux, achetée par Paillet au prix de 70 fl. [114]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une chambre hollandaise. A gauche et sur le devant on voit de profil une jeune et jolie femme de carnation blonde, ajustée d'un manteau de lit d'une étoffe d'un jaune vif et brillant, bordé d'hermine. Elle est assise auprès d'une table couverte d'un tapis vert, sur laquelle sont un miroir, un coffret et autres accessoires ; elle vient de remettre à sa servante, qui est de l'autre côté de la table, en troisième plan, un billet sur lequel il n'y a point d'adresse, et semble éprouver, ainsi que son geste l'indique, beaucoup d'embarras pour expliquer à sa servante, qui la regarde en souriant, l'objet du message. Voici la première fois que nous avons occasion de citer dans nos catalogues cet habile peintre, et d'offrir aux amateurs un de ses ouvrages marquans. Le Brun, dans son OEuvre sur la vie des peintres, pag. 49, tom. 2, en fait le plus grand éloge ; et son mérite étonnant, ainsi qu'on peut le juger par ce beau Tableau, a droit de fixer l'attention des curieux. (Meer de Delft (Van der))|L'intérieur d'une chambre hollandaise. A gauche et sur le devant on voit de profil une jeune et jolie femme de carnation blonde, ajustée d'un manteau de lit d'une étoffe d'un jaune vif et brillant, bordé d'hermine. Elle est assise auprès d'une table couverte d'un tapis vert, sur laquelle sont un miroir, un coffret et autres accessoires ; elle vient de remettre à sa servante, qui est de l'autre côté de la table, en troisième plan, un billet sur lequel il n'y a point d'adresse, et semble éprouver, ainsi que son geste l'indique, beaucoup d'embarras pour expliquer à sa servante, qui la regarde en souriant, l'objet du message. Voici la première fois que nous avons occasion de citer dans nos catalogues cet habile peintre, et d'offrir aux amateurs un de ses ouvrages marquans. Le Brun, dans son OEuvre sur la vie des peintres, pag. 49, tom. 2, en fait le plus grand éloge ; et son mérite étonnant, ainsi qu'on peut le juger par ce beau Tableau, a droit de fixer l'attention des curieux.]] réalisée par Meer de Delft (Van der), vendue par [[[Lanjeac]]], achetée par Pitony au prix de 2000 fl. [115]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un portrait d'homme représenté de trois-quarts et de grandeur de nature, dans un habillement noir. réalisée par Keulen (Van), achetée par Lebrun l'aîné au prix de 24 fl. [116]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un site de paysage montagneux, mêlé de belles fabriques d'Italie. Le premier plan est occupé par une mare limpide où passe une villageoise accompagnée de son enfant et conduisant des boeufs, un âne chargé et quelques moutons. Ce Tableau, chaud de couleur et peint facilement, a de l'éclat ; mais nous doutons de son authenticité, malgré la réputation dont il jouissait dans ce Cabinet. Les acquéreurs, d'après cet avis, ne pourront faire aucune réclamation. (Jardin (Karel du))|Un site de paysage montagneux, mêlé de belles fabriques d'Italie. Le premier plan est occupé par une mare limpide où passe une villageoise accompagnée de son enfant et conduisant des boeufs, un âne chargé et quelques moutons. Ce Tableau, chaud de couleur et peint facilement, a de l'éclat ; mais nous doutons de son authenticité, malgré la réputation dont il jouissait dans ce Cabinet. Les acquéreurs, d'après cet avis, ne pourront faire aucune réclamation.]] réalisée par Jardin (Karel du), vendue par Van Helsleuter, achetée par Caudeseigne pour Lafontaine au prix de 466 fl. [117]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'un magistrat représenté à mi-corps, dans un riche habillement noir ; la tête presque de face, coiffée de beaux cheveux blancs et portant des moustaches, avec courte barbe, selon l'ancien usage ; ce personnage, d'une carnation très-colorée, a le regard expressif comme la nature même. Un large collet de batiste, attaché avec de petits glans, contribue à donner l'effet le plus piquant à l'ensemble. Ce bel ouvrage de Van der Helst, est peint avec ce brillant et cette belle fonte de couleur qui désigne son meilleur tems. (Helst (Bartholomée Van der))|Le portrait d'un magistrat représenté à mi-corps, dans un riche habillement noir ; la tête presque de face, coiffée de beaux cheveux blancs et portant des moustaches, avec courte barbe, selon l'ancien usage ; ce personnage, d'une carnation très-colorée, a le regard expressif comme la nature même. Un large collet de batiste, attaché avec de petits glans, contribue à donner l'effet le plus piquant à l'ensemble. Ce bel ouvrage de Van der Helst, est peint avec ce brillant et cette belle fonte de couleur qui désigne son meilleur tems.]] réalisée par Helst (Bartholomée Van der), achetée par Paillet au prix de 406 fl. [118]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une vue de la Meuse, avec de riches lointains et différentes barques naturellement distribuées sur les premiers plans. réalisée par Goyen (Jean Van), achetée par Caillard au prix de 112 fl. [119]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet d'une Descente de croix, composition de neuf figures, proportion de quinze pouces. Ce tableau, d'une riche couleur, et pris dans un effet très-piquant de clair obscur, offre une des productions de choix de l'un des premiers disciples de Rembrandt. (Flinck (Govaert))|Le sujet d'une Descente de croix, composition de neuf figures, proportion de quinze pouces. Ce tableau, d'une riche couleur, et pris dans un effet très-piquant de clair obscur, offre une des productions de choix de l'un des premiers disciples de Rembrandt.]] réalisée par Flinck (Govaert), vendue par Van Helsleuter, achetée par Paillet au prix de 600 fl. [120]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une composition de quinze figures, offrant le sujet du mariage de la Vierge dans le moment où l'évêque unit les deux époux. Cette scène de caractère se passe dans un temple de riche architecture. Ce Tableau, d'une couleur brillante, vrai et touché en grand maître, avait été attribué au Bassan, mais nous avons préféré de le laisser anonyme, jusqu'à ce que des comparaisons lui ayent donné son véritable auteur. (Ecole Vénitienne)|Une composition de quinze figures, offrant le sujet du mariage de la Vierge dans le moment où l'évêque unit les deux époux. Cette scène de caractère se passe dans un temple de riche architecture. Ce Tableau, d'une couleur brillante, vrai et touché en grand maître, avait été attribué au Bassan, mais nous avons préféré de le laisser anonyme, jusqu'à ce que des comparaisons lui ayent donné son véritable auteur.]] réalisée par Ecole Vénitienne, achetée par Paillet au prix de 300 fl. [121]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vieille femme représentée à mi-corps et vue de trois-quarts ; elle est vêtue d'une robe garnie d'hermine, attachée par une agraffe d'or, et a la tête couverte d'un bonnet fourré enrichi d'une chaîne, avec un saphir au milieu. Cette tête, pleine de vérité et d'expression, est d'un faire admirable, et annonce le tems où il étudiait chez Rembrandt. (Dow (Gérard))|Une vieille femme représentée à mi-corps et vue de trois-quarts ; elle est vêtue d'une robe garnie d'hermine, attachée par une agraffe d'or, et a la tête couverte d'un bonnet fourré enrichi d'une chaîne, avec un saphir au milieu. Cette tête, pleine de vérité et d'expression, est d'un faire admirable, et annonce le tems où il étudiait chez Rembrandt.]] réalisée par Dow (Gérard), vendue par [[[Lanjeac]]], achetée par Delaroche au prix de 300 fl. [122]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage frais, auprès d'une fontaine limpide, on voit Vénus dans l'attitude du repos. L'Amour est à ses pieds, et joue avec deux colombes. Ce Tableau, d'un coloris aimable, est aussi du meilleur tems de ce peintre distingué. (Boucher (François))|Dans un paysage frais, auprès d'une fontaine limpide, on voit Vénus dans l'attitude du repos. L'Amour est à ses pieds, et joue avec deux colombes. Ce Tableau, d'un coloris aimable, est aussi du meilleur tems de ce peintre distingué.]] réalisée par Boucher (François), achetée par Delaroche au prix de 110 fl. [123]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un terrain, à l'entrée d'un village et auprès de bâtimens annonçant l'extérieur d'une ferme, on voit quatre chevaux de charrette, dételés, qui viennent de se rafraîchir. A gauche du sujet, sur un plan reculé, sont deux cavaliers vers lesquels s'avance une femme avec deux enfans, dont un dans ses bras. A droite on voit une échappée de village, et sur le devant un homme couché, ayant un âne derrière lui. Ce Tableau est d'un bon empâtement de couleur, d'un faire facile et ragoûtant, et sort de la classe ordinaire de ceux de ce maître, dont il est rare de rencontrer des productions aussi soignées que celle que nous offrons. (Bloemen (Pierre Van))|Sur un terrain, à l'entrée d'un village et auprès de bâtimens annonçant l'extérieur d'une ferme, on voit quatre chevaux de charrette, dételés, qui viennent de se rafraîchir. A gauche du sujet, sur un plan reculé, sont deux cavaliers vers lesquels s'avance une femme avec deux enfans, dont un dans ses bras. A droite on voit une échappée de village, et sur le devant un homme couché, ayant un âne derrière lui. Ce Tableau est d'un bon empâtement de couleur, d'un faire facile et ragoûtant, et sort de la classe ordinaire de ceux de ce maître, dont il est rare de rencontrer des productions aussi soignées que celle que nous offrons.]] réalisée par Bloemen (Pierre Van), achetée par Jaubert au prix de 300 fl. [124]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet d'intérieur, dont le milieu de la scène offre plusieurs personnages autour d'une table, faisant de la musique ; à la gauche se voit encore une dame à laquelle un officier, debout et appuyé sur son épée, présente un verre ; du côté opposé, sont encore un homme vêtu d'un large manteau, une jeune personne et un valet qui prépare des rafraîchissemens. Cette riche composition est traitée avec tout le caractère qui pouvait intéresser dans un sujet aussi plaisant. (Breckelemkamp)|Un sujet d'intérieur, dont le milieu de la scène offre plusieurs personnages autour d'une table, faisant de la musique ; à la gauche se voit encore une dame à laquelle un officier, debout et appuyé sur son épée, présente un verre ; du côté opposé, sont encore un homme vêtu d'un large manteau, une jeune personne et un valet qui prépare des rafraîchissemens. Cette riche composition est traitée avec tout le caractère qui pouvait intéresser dans un sujet aussi plaisant.]] réalisée par Breckelemkamp, achetée par Demidof au prix de 260 fl. [125]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un marchand de petits poissons appelés crevettes. Il veut embrasser une jeune fille que l'on voit près de lui ; sur un plan plus reculé, est une vieille femme qui les regarde. Ce joli morceau est connu sous le nom de d'Ary Buurman, ou Eh. Voisin. Descamps le cite dans son ouvrage, à l'article de ce grand peintre. Quant à nous, nous ne pouvons nous empêcher de fixer l'attention des amateurs sur ce petit Tableau, qui offre une couleur naturelle et vraie, une touche large et facile, et un précieux fini qui ne le cède en rien aux beaux ouvrages de Scalken. (Burg (Adrien Van der))|Un marchand de petits poissons appelés crevettes. Il veut embrasser une jeune fille que l'on voit près de lui ; sur un plan plus reculé, est une vieille femme qui les regarde. Ce joli morceau est connu sous le nom de d'Ary Buurman, ou Eh. Voisin. Descamps le cite dans son ouvrage, à l'article de ce grand peintre. Quant à nous, nous ne pouvons nous empêcher de fixer l'attention des amateurs sur ce petit Tableau, qui offre une couleur naturelle et vraie, une touche large et facile, et un précieux fini qui ne le cède en rien aux beaux ouvrages de Scalken.]] réalisée par Burg (Adrien Van der), vendue par [[[Lanjeac]]], achetée par Pitony au prix de 690 fl. [126]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une grande étendue de mer, terminée par la vue d'un port. A gauche, sur un plan reculé, on voit un vaisseau de guerre garni de toutes ses voiles et agrès, suivi d'un autre bâtiment qui tire un coup de canon. A droite, presque sur le devant, est une barque à voile, chargée de différens personnages, que des rameurs semblent diriger vers les deux bâtimens qui arrivent. Au milieu et sur la même direction, deux pêcheurs dans leur nacelle sont occupés à retirer leurs filets. Nous fixerons encore l'attention des amateurs sur ce tableau, qui rappelle également le grand talent de ce peintre, ainsi que le moëlleux de son pinceau et son précieux fini dans tous les détails des vaisseaux, dont il connaissait si bien la construction. (Backuizen (Louis))|Une grande étendue de mer, terminée par la vue d'un port. A gauche, sur un plan reculé, on voit un vaisseau de guerre garni de toutes ses voiles et agrès, suivi d'un autre bâtiment qui tire un coup de canon. A droite, presque sur le devant, est une barque à voile, chargée de différens personnages, que des rameurs semblent diriger vers les deux bâtimens qui arrivent. Au milieu et sur la même direction, deux pêcheurs dans leur nacelle sont occupés à retirer leurs filets. Nous fixerons encore l'attention des amateurs sur ce tableau, qui rappelle également le grand talent de ce peintre, ainsi que le moëlleux de son pinceau et son précieux fini dans tous les détails des vaisseaux, dont il connaissait si bien la construction.]] réalisée par Backuizen (Louis), achetée par Varesco au prix de 801 fl. [127]
- 1802.01.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'une mer agitée par un vent frais, et enrichie de différens bâtimens et barques ; vers la gauche, un navire de guerre déployant ses voiles, s'y fait remarquer par la justesse et le précieux de ses détails ; derrière est encore une frégate et quelques chaloupes. Du côté opposé, une belle barque remplie de passagers, indique par ses voiles, qu'elle marche vent contraire pour approcher d'un port, qui se distingue dans le plus grand éloignement ; trois pêcheurs dans leur bateau, ajoutent encore à la richesse de ce Tableau, et contribuent à présenter un des ouvrages précieux et de choix de cet habile peintre, qui a rendu, avec autant d'art que de vérité, le ton de couleur et le mouvement des eaux. Il joint à cette finesse admirable d'exécution, une conservation parfaite. (Backhuysen (Ludolf))|Le point de vue d'une mer agitée par un vent frais, et enrichie de différens bâtimens et barques ; vers la gauche, un navire de guerre déployant ses voiles, s'y fait remarquer par la justesse et le précieux de ses détails ; derrière est encore une frégate et quelques chaloupes. Du côté opposé, une belle barque remplie de passagers, indique par ses voiles, qu'elle marche vent contraire pour approcher d'un port, qui se distingue dans le plus grand éloignement ; trois pêcheurs dans leur bateau, ajoutent encore à la richesse de ce Tableau, et contribuent à présenter un des ouvrages précieux et de choix de cet habile peintre, qui a rendu, avec autant d'art que de vérité, le ton de couleur et le mouvement des eaux. Il joint à cette finesse admirable d'exécution, une conservation parfaite.]] réalisée par Backhuysen (Ludolf), achetée par Boileau au prix de 720 fl. [128]