Ventes d'œuvres le 1802.07.21

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  • 1802.07.21/ maison de ventes : Kann (I.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Een Kabinet stukje, verbeeldende een staande Dame, gekleed in wit Sautyn, Speelende op de Guitar, op een stoel ligt een Hondje, en op een Tafel door een Tapyt gedekt staat een Vles met Roosen, alles zeer uitvoerig en delicaat behandelt, door Netscher, hoog 11 3/4 duym breed en 9 1/4 duym, op paneel, vergulde Lyst (Netscher)|Een Kabinet stukje, verbeeldende een staande Dame, gekleed in wit Sautyn, Speelende op de Guitar, op een stoel ligt een Hondje, en op een Tafel door een Tapyt gedekt staat een Vles met Roosen, alles zeer uitvoerig en delicaat behandelt, door Netscher, hoog 11 3/4 duym breed en 9 1/4 duym, op paneel, vergulde Lyst]] réalisée par Netscher. [61]
  • 1802.07.21/ maison de ventes : Kann (I.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Een Campement, op de Voorgrond, eenige Krygslieden, waar van eenige met de Kaart speelen voorts eenige Paarden, en in het verschiet een opgeslagen Leeger &c. Meesterlyk door J. v. Huchtenburch, hoog 17 3/4? duym, en breed 21 duym, op Doek, zwarte Lyst, vergulde binnen rand (J. v. Huchtenburtch)|Een Campement, op de Voorgrond, eenige Krygslieden, waar van eenige met de Kaart speelen voorts eenige Paarden, en in het verschiet een opgeslagen Leeger &c. Meesterlyk door J. v. Huchtenburch, hoog 17 3/4? duym, en breed 21 duym, op Doek, zwarte Lyst, vergulde binnen rand]] réalisée par J. v. Huchtenburtch. [63]
  • 1802.07.21/ maison de ventes : Kann (I.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Een capitaal stuk, verbeeldende eenige Krygslieden, welke zich met eenige Vrouwen in een verliefde houding schynen te vermaaken, Teekening, Couleuren en Hartstogten, zyn zodanig geobserveerd, dat men ter niets in aantreft, het geen niet yders bewondering opwekt, door C. Bakker, van Harlingen, Ao. 1627, zwarte Lyst (C. Bakker)|Een capitaal stuk, verbeeldende eenige Krygslieden, welke zich met eenige Vrouwen in een verliefde houding schynen te vermaaken, Teekening, Couleuren en Hartstogten, zyn zodanig geobserveerd, dat men ter niets in aantreft, het geen niet yders bewondering opwekt, door C. Bakker, van Harlingen, Ao. 1627, zwarte Lyst]] réalisée par C. Bakker. [72]
  • 1802.07.21/ maison de ventes : Kann (I.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Een Gezelschap Monniken en Nonnen, in een zingende houding, hebbende eene derzelve een open Kisje voor zich waar uit iemand schynt ontsnapt te zyn, terwyl wat laager een ander bezig is om Eyeren onder een op het Nest zittende Zwaan weg te haalen, dit is een zeer oud stuk, door Hieronimus de Bosch, geschildert in Ao. 1502. en schynt te zinspeelen, op de toen opkomende Reformatie, zwarte Lyst (Hieronimus de Bosch)|Een Gezelschap Monniken en Nonnen, in een zingende houding, hebbende eene derzelve een open Kisje voor zich waar uit iemand schynt ontsnapt te zyn, terwyl wat laager een ander bezig is om Eyeren onder een op het Nest zittende Zwaan weg te haalen, dit is een zeer oud stuk, door Hieronimus de Bosch, geschildert in Ao. 1502. en schynt te zinspeelen, op de toen opkomende Reformatie, zwarte Lyst]] réalisée par Hieronimus de Bosch. [74]
  • 1802.07.21/ maison de ventes : Kann (I.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Een Binnenhuys waar in een Vrouw zich bezich houd met Groentens en Vrugten, terwyl de Man nevens haar zittende, een glas Bier in de hand hond. Voords een Dienstmaagd en Knegt de Groentens aan en wegbrengen, door J. Appel den Ouden, zwarte Lyst, op Doek (J. Appel den Ouden)|Een Binnenhuys waar in een Vrouw zich bezich houd met Groentens en Vrugten, terwyl de Man nevens haar zittende, een glas Bier in de hand hond. Voords een Dienstmaagd en Knegt de Groentens aan en wegbrengen, door J. Appel den Ouden, zwarte Lyst, op Doek]] réalisée par J. Appel den Ouden. [76]
  • 1802.07.21/ maison de ventes : Kann (I.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Een Winter, zynde een Gezicht buiten een Stad, vol gewoel, zoo van Schaatzen rydende, Wandelende als andere met Werken bezich zynde Figuuren, zeer uitvoerig en krachtig geschildert, door K. Molenaar, paneel zwarte Lyst en vergulde binnen rand (K. Molenaar)|Een Winter, zynde een Gezicht buiten een Stad, vol gewoel, zoo van Schaatzen rydende, Wandelende als andere met Werken bezich zynde Figuuren, zeer uitvoerig en krachtig geschildert, door K. Molenaar, paneel zwarte Lyst en vergulde binnen rand]] réalisée par K. Molenaar. [84]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un point de vue de paysage, site d'Italie, dont tout le premier plan est couvert de figures et de différens animaux, tels que mulets, chevaux, chameaux, vaches, moutons etc., indiquant le sujet d'une caravanne. Ce Tableau, de la plus grande richesse de composition, est d'une admirable éxécution dans tous ses détails. (Bergen (Dirikc Van den))|Un point de vue de paysage, site d'Italie, dont tout le premier plan est couvert de figures et de différens animaux, tels que mulets, chevaux, chameaux, vaches, moutons etc., indiquant le sujet d'une caravanne. Ce Tableau, de la plus grande richesse de composition, est d'une admirable éxécution dans tous ses détails.]] réalisée par Bergen (Dirikc Van den), vendue par Montaleau, achetée par Wilkinson au prix de 1010 fl. [121]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Tableau faisant une variété curieuse et piquante pour une grande collection, avec le genre familier de ce Peintre. Il représente le Calvaire, dans le moment où les bourreaux viennent de crucifier Jésus-Christ ; on en remarque quatre à cheval, l'un tenant un drapeau, et un autre cuirassé et monté sur un cheval blanc de belle race. On voit dans l'éloignement, à gauche, divers monumens indiquant une grande ville. Ce morceau, d'un faire spirituel et précieux, et d'une conservation parfaite, nous assure qu'il sera distingué autant par les amateurs que par les artistes. (Wouvermans (Philippe))|Un Tableau faisant une variété curieuse et piquante pour une grande collection, avec le genre familier de ce Peintre. Il représente le Calvaire, dans le moment où les bourreaux viennent de crucifier Jésus-Christ ; on en remarque quatre à cheval, l'un tenant un drapeau, et un autre cuirassé et monté sur un cheval blanc de belle race. On voit dans l'éloignement, à gauche, divers monumens indiquant une grande ville. Ce morceau, d'un faire spirituel et précieux, et d'une conservation parfaite, nous assure qu'il sera distingué autant par les amateurs que par les artistes.]] réalisée par Wouvermans (Philippe), vendue par Montaleau, achetée par Neveu au prix de 2400 fl. [146]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vaste étendue de mer représentée à l'effet du soleil couchant, par un tems de brouillard. Les premiers plans sont garnis de figures de pêcheurs occupés à transporter leur poisson sur le rivage. A la gauche est un rocher percé en voûte, avec lequel se groupe un bâtiment garni de ses mâts et agrès. On distingue encore dans le lointain différens navires à voile, et en rade. Ce morceau capital et de la plus grande harmonie dans son ensemble, offre de très-riches détails, et peut être classé au nombre des ouvrages marquans de ce grand Peintre de marine. (Vernet (Joseph, 1753))|Une vaste étendue de mer représentée à l'effet du soleil couchant, par un tems de brouillard. Les premiers plans sont garnis de figures de pêcheurs occupés à transporter leur poisson sur le rivage. A la gauche est un rocher percé en voûte, avec lequel se groupe un bâtiment garni de ses mâts et agrès. On distingue encore dans le lointain différens navires à voile, et en rade. Ce morceau capital et de la plus grande harmonie dans son ensemble, offre de très-riches détails, et peut être classé au nombre des ouvrages marquans de ce grand Peintre de marine.]] réalisée par Vernet (Joseph, 1753), vendue par Montaleau, achetée par Wilkinson au prix de 1620 fl. [147]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une cuisine. Sur le devant, à gauche du spectateur, on voit un cochon ouvert en deux, et posé sur un morceau de bois ; parties des débris sont dans un baquet, et les autres à terre : au milieu une jeune cuisinière est occupée à faire le boudin. Le devant, à droite, offre un groupe de quatre enfans, dont le plus âgé souffle dans une vessie. Sur un plan plus reculé, dans une autre pièce voisine de la cuisine, dont elle n'est séparée que par une simple cloison, l'on aperçoit, dans la demi-teinte la plus heureuse, six paysans, dont quatre sont à table, et s'amusent à boire et à chanter. Nombre d'accessoires, tels que pots, vases, terrines et autres ustensiles, contribuent à la richesse de cette grande composition. Nous devons observer qu'il est rare de rencontrer un morceau dont l'effet soit plus vrai et plus brillant : tous les accessoires y sont rendus avec une perfection inimitable ; en un mot, cette production est digne de tenir un rang distingué dans les plus belles collections. (Teniers (David))|L'intérieur d'une cuisine. Sur le devant, à gauche du spectateur, on voit un cochon ouvert en deux, et posé sur un morceau de bois ; parties des débris sont dans un baquet, et les autres à terre : au milieu une jeune cuisinière est occupée à faire le boudin. Le devant, à droite, offre un groupe de quatre enfans, dont le plus âgé souffle dans une vessie. Sur un plan plus reculé, dans une autre pièce voisine de la cuisine, dont elle n'est séparée que par une simple cloison, l'on aperçoit, dans la demi-teinte la plus heureuse, six paysans, dont quatre sont à table, et s'amusent à boire et à chanter. Nombre d'accessoires, tels que pots, vases, terrines et autres ustensiles, contribuent à la richesse de cette grande composition. Nous devons observer qu'il est rare de rencontrer un morceau dont l'effet soit plus vrai et plus brillant : tous les accessoires y sont rendus avec une perfection inimitable ; en un mot, cette production est digne de tenir un rang distingué dans les plus belles collections.]] réalisée par Teniers (David), vendue par Montaleau, achetée par Henry au prix de 1820 fl. [148]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre Tableau pouvant servir de pendant au précédent, et pris dans un effet de jour très-piquant. Il représente une jeune fille de carnation blonde, vue à mi-corps, la tête de trois-quarts, et ajustée avec goût d'une riche draperie qui laisse son épaule droite à découvert ; elle fixe en souriant un objet qui paraît l'intéresser, et tient ses deux mains croisées sur sa poitrine. Ce morceau est touché avec toute la finesse et le moelleux que l'on trouve ordinairement dans les meilleurs ouvrages de cet artiste. (Schalken (Godefroy))|Un autre Tableau pouvant servir de pendant au précédent, et pris dans un effet de jour très-piquant. Il représente une jeune fille de carnation blonde, vue à mi-corps, la tête de trois-quarts, et ajustée avec goût d'une riche draperie qui laisse son épaule droite à découvert ; elle fixe en souriant un objet qui paraît l'intéresser, et tient ses deux mains croisées sur sa poitrine. Ce morceau est touché avec toute la finesse et le moelleux que l'on trouve ordinairement dans les meilleurs ouvrages de cet artiste.]] réalisée par Schalken (Godefroy), vendue par Montaleau, achetée par Wilkinson au prix de 645 fl. [149]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune femme de la figure la plus agréable, représentée à mi-corps, assise devant une table et occupée à enfiler une aiguille, à la lueur d'une chandelle ; ce morceau précieux, du plus beau fini, d'une vérité qui porte à l'illusion, et d'une intelligence de clair obscur admirable, doit être placé au nombre des chefs-d'oeuvres de l'Ecole hollandaise. Il a passé de la belle collection de Conty dans celle de Poulain, et provient, en dernier lieu, du cabinet de la veuve Lebas de Courmont. (Schalken (Godefroy))|Une jeune femme de la figure la plus agréable, représentée à mi-corps, assise devant une table et occupée à enfiler une aiguille, à la lueur d'une chandelle ; ce morceau précieux, du plus beau fini, d'une vérité qui porte à l'illusion, et d'une intelligence de clair obscur admirable, doit être placé au nombre des chefs-d'oeuvres de l'Ecole hollandaise. Il a passé de la belle collection de Conty dans celle de Poulain, et provient, en dernier lieu, du cabinet de la veuve Lebas de Courmont.]] réalisée par Schalken (Godefroy), vendue par Montaleau, achetée par Delaroche au prix de 4801 fl. [150]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Pendant. Ce morceau, faisant suite au précédent, représente Vulcain enlevant sa femme, et favorisé dans sa fuite par un nuage qui laisse voir, sur un plan éloigné, Mars accompagné de Mercure et d'autres Dieux. Ces deux Tableaux, inséparables par l'ensemble et la suite des sujets, offrent toute la grâce et la beauté du style que demandaient des traits de fable aussi galans. Tous les détails en sont riches, et les caractères de têtes fins et agréables ; en un mot, un grand goût de couleur, joint au charme d'une exécution précieuse, classent ces deux morceaux au premier rang des productions de notre Ecole moderne. (Renaud)|Le Pendant. Ce morceau, faisant suite au précédent, représente Vulcain enlevant sa femme, et favorisé dans sa fuite par un nuage qui laisse voir, sur un plan éloigné, Mars accompagné de Mercure et d'autres Dieux. Ces deux Tableaux, inséparables par l'ensemble et la suite des sujets, offrent toute la grâce et la beauté du style que demandaient des traits de fable aussi galans. Tous les détails en sont riches, et les caractères de têtes fins et agréables ; en un mot, un grand goût de couleur, joint au charme d'une exécution précieuse, classent ces deux morceaux au premier rang des productions de notre Ecole moderne.]] réalisée par Renaud, vendue par Montaleau, achetée par Belier peintre au prix de 1510 fl. [151]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet des plus gracieux de la Fable, représentant le Dieu Mars désarmé par les Grâces et s'aprochant de Vénus, que l'on voit couchée sur un lit de forme antique, et écoutant l'Amour qui lui parle et lui montre ce héros. Cette composition ingénieuse est représentée dans un palais de riche architecture. Ces deux Tableaux, inséparables par l'ensemble et la suite des sujets, offrent toute la grâce et la beauté du style que demandaient des traits de fable aussi galans. Tous les détails en sont riches, et les caractères de têtes fins et agréables ; en un mot, un grand goût de couleur, joint au charme d'une exécution précieuse, classent ces deux morceaux au premier rang des productions de notre Ecole moderne. (Renaud)|Un sujet des plus gracieux de la Fable, représentant le Dieu Mars désarmé par les Grâces et s'aprochant de Vénus, que l'on voit couchée sur un lit de forme antique, et écoutant l'Amour qui lui parle et lui montre ce héros. Cette composition ingénieuse est représentée dans un palais de riche architecture. Ces deux Tableaux, inséparables par l'ensemble et la suite des sujets, offrent toute la grâce et la beauté du style que demandaient des traits de fable aussi galans. Tous les détails en sont riches, et les caractères de têtes fins et agréables ; en un mot, un grand goût de couleur, joint au charme d'une exécution précieuse, classent ces deux morceaux au premier rang des productions de notre Ecole moderne.]] réalisée par Renaud, vendue par Montaleau, achetée par Belier peintre au prix de 1322 fl. [152]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet de l'Histoire profane, grande et riche composition, offrant l'intérieur d'un temple de Minerve, et le moment où les vestales y sont rassemblées pour tirer au sort la victime qui sera sacrifiée à cette Déesse. Morceau de caractère, qui paraît être le projet d'un plus grand ouvrage, et qui joint à un grand style et à beaucoup de sagesse, une très-belle exécution. (Perrin (Jacques-Charles))|Un sujet de l'Histoire profane, grande et riche composition, offrant l'intérieur d'un temple de Minerve, et le moment où les vestales y sont rassemblées pour tirer au sort la victime qui sera sacrifiée à cette Déesse. Morceau de caractère, qui paraît être le projet d'un plus grand ouvrage, et qui joint à un grand style et à beaucoup de sagesse, une très-belle exécution.]] réalisée par Perrin (Jacques-Charles), vendue par Montaleau, achetée par Constantin au prix de 280 fl. [153]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre beau Tableau de ce Peintre, dans un ton de couleur brillant et argentin, représentant de belles ruines de monumens dans un site de paysage au bord de la mer. Ce morceau, plein de mérite, est enrichi de plusieurs belles figures et de quelques animaux. (Panini (Jean-Paul))|Un autre beau Tableau de ce Peintre, dans un ton de couleur brillant et argentin, représentant de belles ruines de monumens dans un site de paysage au bord de la mer. Ce morceau, plein de mérite, est enrichi de plusieurs belles figures et de quelques animaux.]] réalisée par Panini (Jean-Paul), vendue par Montaleau, achetée par Rederne au prix de 300 fl. [154]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un bouquet de fleurs artistement groupées dans un riche vase posé sur une table de marbre où l'on voit une montre ouverte, avec un cordon de soie bleue. De beaux papillons nuancés de différentes couleurs, et d'autres insectes heureusement placés sur les fleurs, offrent des détails piquans, et contribuent à la richesse de ce morceau, qui est d'un excellent ton de couleur, et d'une exécution soignée. (Osterwyck (Anne-Marie))|Un bouquet de fleurs artistement groupées dans un riche vase posé sur une table de marbre où l'on voit une montre ouverte, avec un cordon de soie bleue. De beaux papillons nuancés de différentes couleurs, et d'autres insectes heureusement placés sur les fleurs, offrent des détails piquans, et contribuent à la richesse de ce morceau, qui est d'un excellent ton de couleur, et d'une exécution soignée.]] réalisée par Osterwyck (Anne-Marie), vendue par Montaleau, achetée par Genné au prix de 135 fl. [155]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue intérieur et perspective d'une des plus belles églises de la Flandre, ornée de figures sur tous les plans, qui nous paraissent de la belle touche du vieux Franck. Ce morceau offre une grande richesse de détails, et cette exécution précieuse qui distingue son auteur. (Neeff (Pierre))|Le point de vue intérieur et perspective d'une des plus belles églises de la Flandre, ornée de figures sur tous les plans, qui nous paraissent de la belle touche du vieux Franck. Ce morceau offre une grande richesse de détails, et cette exécution précieuse qui distingue son auteur.]] réalisée par Neeff (Pierre), vendue par Montaleau, achetée par Lebrun aîné au prix de 272 fl. [156]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une chambre, dans laquelle donne un escalier d'où l'on voit descendre avec précaution une jeune Hollandaise de jolie figure, dont l'intention, d'après le sourire et le geste qu'elle fait, paraît être de vouloir surprendre un homme et une femme que l'on voit dans l'enfoncement de la pièce, à la lueur d'une lanterne qu'un valet tient à sa main. La rareté des productions de ce maître, son exécution précieuse, et l'entente admirable de clair obscur qui règne dans ce Tableau, doivent le faire distinguer parmi les morceaux de choix de l'Ecole flamande. (Mas (Nicolas))|L'intérieur d'une chambre, dans laquelle donne un escalier d'où l'on voit descendre avec précaution une jeune Hollandaise de jolie figure, dont l'intention, d'après le sourire et le geste qu'elle fait, paraît être de vouloir surprendre un homme et une femme que l'on voit dans l'enfoncement de la pièce, à la lueur d'une lanterne qu'un valet tient à sa main. La rareté des productions de ce maître, son exécution précieuse, et l'entente admirable de clair obscur qui règne dans ce Tableau, doivent le faire distinguer parmi les morceaux de choix de l'Ecole flamande.]] réalisée par Mas (Nicolas), vendue par Montaleau, achetée par Commarieux au prix de 100 fl. [157]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet du Christ mort sur la croix, ayant à ses pieds Saint Jean, La Madeleine et la Vierge ; ouvrage extraordinaire au genre familier de ce grand Peintre, mais dans lequel on retrouve facilement cette touche large et savante qui l'a distingué. Nous ne doutons point que cette belle production ne soit appréciée des connaisseurs. (Metzu (Gabriel))|Un sujet du Christ mort sur la croix, ayant à ses pieds Saint Jean, La Madeleine et la Vierge ; ouvrage extraordinaire au genre familier de ce grand Peintre, mais dans lequel on retrouve facilement cette touche large et savante qui l'a distingué. Nous ne doutons point que cette belle production ne soit appréciée des connaisseurs.]] réalisée par Metzu (Gabriel), vendue par Montaleau, achetée par Simon au prix de 710 fl. [158]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une guirlande composée de différentes belles fleurs et fruits, distribués avec beaucoup de grâce, et retombant sur une table où l'on voit des huîtres, une montre et d'autres accessoires. On y remarque encore un groupe d'oiseaux morts, suspendu à un des noeuds du ruban qui attache cette guirlande. Ce Tableau, par la finesse de l'exécution et la vérité de ses détails, peut être placé au premier rang des ouvrages de ce genre. (Heem (Jean-David de))|Une guirlande composée de différentes belles fleurs et fruits, distribués avec beaucoup de grâce, et retombant sur une table où l'on voit des huîtres, une montre et d'autres accessoires. On y remarque encore un groupe d'oiseaux morts, suspendu à un des noeuds du ruban qui attache cette guirlande. Ce Tableau, par la finesse de l'exécution et la vérité de ses détails, peut être placé au premier rang des ouvrages de ce genre.]] réalisée par Heem (Jean-David de), vendue par Montaleau, achetée par Hostoulle au prix de 550 fl. [160]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet allégorique aux Sciences et aux Arts : on y distingue une belle femme caractérisant l'Abondance ; elle est entourée de différens génies, et foule l'Ignorance à ses pieds. Morceau brillant de couleur et de la plus belle exécution. (Hoet (Gérard))|Un sujet allégorique aux Sciences et aux Arts : on y distingue une belle femme caractérisant l'Abondance ; elle est entourée de différens génies, et foule l'Ignorance à ses pieds. Morceau brillant de couleur et de la plus belle exécution.]] réalisée par Hoet (Gérard), vendue par Montaleau, achetée par Delaroche au prix de 195 fl. [161]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage de site montagneux, avec roches élevées sur la droite et garnies d'arbres d'un feuillé léger ; à la gauche, sur le premier plan, on voit un groupe de figures avec des ânes. Les Tableaux de ce Peintre sont estimés autant par le jeu de la couleur que par le brillant de l'exécution. (Heuss (Guillaume de))|Un paysage de site montagneux, avec roches élevées sur la droite et garnies d'arbres d'un feuillé léger ; à la gauche, sur le premier plan, on voit un groupe de figures avec des ânes. Les Tableaux de ce Peintre sont estimés autant par le jeu de la couleur que par le brillant de l'exécution.]] réalisée par Heuss (Guillaume de), vendue par Montaleau, achetée par Constantin au prix de 194 fl. [162]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un site pittoresque, traversé sur le devant par un canal. Le côté opposé offre, à gauche, un massif de grands arbres qui se détachent légérement sur un ciel frais, et servent de repoussoir à une plaine de vaste étendue, que l'on voit dans l'éloignement. Quatre personnages dans un bateau, et deux pêcheurs que l'on voit à droite, forment un accessoire intéressant dans ce paysage, qui est de la meilleure touche de cet habile Peintre. (Hobema (M.-J.))|Le point de vue d'un site pittoresque, traversé sur le devant par un canal. Le côté opposé offre, à gauche, un massif de grands arbres qui se détachent légérement sur un ciel frais, et servent de repoussoir à une plaine de vaste étendue, que l'on voit dans l'éloignement. Quatre personnages dans un bateau, et deux pêcheurs que l'on voit à droite, forment un accessoire intéressant dans ce paysage, qui est de la meilleure touche de cet habile Peintre.]] réalisée par Hobema (M.-J.), vendue par Montaleau, achetée par Henry au prix de 1060 fl. [163]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue exact d'une des belles maisons de la Hollande, offrant un corps de bâtiment régulier dans le milieu, entouré d'un jardin. La partie droite est décorée d'une belle porte construite en brique, de laquelle viennent de sortir des personnages qui se disposent à une partie de chasse au vol. Deux sont déjà à cheval, tandis que leurs valets conduisent les chiens. Toutes ces figures sont de la touche la plus terminée d'Adrien Van de Velde. Suivant l'historique de ce Tableau, il provient directement de la famille pour laquelle il avait été fait, et le personnage qui salue une dame au bas du perron de la maison, est Van der Heyden, qui vient d'être payé après lui avoir livré son Tableau. Il est impossible de porter plus loin l'art de l'imitation. Les moindres détails y sont rendus avec une telle perfection, qu'ils portent à l'illusion, tant par la vérité de l'ensemble que par la plus bel entente de clair obscur. (Heyden (Jean Van der))|Le point de vue exact d'une des belles maisons de la Hollande, offrant un corps de bâtiment régulier dans le milieu, entouré d'un jardin. La partie droite est décorée d'une belle porte construite en brique, de laquelle viennent de sortir des personnages qui se disposent à une partie de chasse au vol. Deux sont déjà à cheval, tandis que leurs valets conduisent les chiens. Toutes ces figures sont de la touche la plus terminée d'Adrien Van de Velde. Suivant l'historique de ce Tableau, il provient directement de la famille pour laquelle il avait été fait, et le personnage qui salue une dame au bas du perron de la maison, est Van der Heyden, qui vient d'être payé après lui avoir livré son Tableau. Il est impossible de porter plus loin l'art de l'imitation. Les moindres détails y sont rendus avec une telle perfection, qu'ils portent à l'illusion, tant par la vérité de l'ensemble que par la plus bel entente de clair obscur.]] réalisée par Heyden (Jean Van der), vendue par Montaleau, achetée par Laneuville au prix de 1620 fl. [164]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'un appartement, une jolie femme de carnation blonde, et vêtue d'une robe de satin bleu, avec jupon de même étoffe, couleur de paille, est assise près d'une table à écrire. L'on voit debout derrière elle, une jeune personne qui tient de la main droite une guitare, et de l'autre fait observer à son amie un passage dans la lettre qu'elle lui montre. Une glace placée dans la partie supérieure du meuble, un portrait, un mouchoir de batiste, des livres et un vase rempli de fleurs, forment d'agréables et riches accessoires dans ce sujet gracieux, qui est d'un coloris brillant et d'une touche pleine de goût. (Gerard (Mademoiselle))|Dans l'intérieur d'un appartement, une jolie femme de carnation blonde, et vêtue d'une robe de satin bleu, avec jupon de même étoffe, couleur de paille, est assise près d'une table à écrire. L'on voit debout derrière elle, une jeune personne qui tient de la main droite une guitare, et de l'autre fait observer à son amie un passage dans la lettre qu'elle lui montre. Une glace placée dans la partie supérieure du meuble, un portrait, un mouchoir de batiste, des livres et un vase rempli de fleurs, forment d'agréables et riches accessoires dans ce sujet gracieux, qui est d'un coloris brillant et d'une touche pleine de goût.]] réalisée par Gerard (Mademoiselle), vendue par Montaleau, achetée par Wilkinson au prix de 1160 fl. [165]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Tableau du plus grand caractère, offrant le sujet de la Dame de charité. Il serait difficile de rendre par l'analyse le sentiment qui existe dans les différens personnages qui composent cette scène touchante. Le malade, couché sur son grabat, offre l'état de la souffrance et de la misère, et contraste admirablement avec le groupe de femmes qui occupe la partie droite. Ce morceau capital est trop connu par la planche qu'en a gravé Massard, pour entrer plus au long dans les détails poëtiques que Greuse a toujours su rendre avec tant de succès dans ses ouvrages. (Greuze (Jean-Baptiste))|Un Tableau du plus grand caractère, offrant le sujet de la Dame de charité. Il serait difficile de rendre par l'analyse le sentiment qui existe dans les différens personnages qui composent cette scène touchante. Le malade, couché sur son grabat, offre l'état de la souffrance et de la misère, et contraste admirablement avec le groupe de femmes qui occupe la partie droite. Ce morceau capital est trop connu par la planche qu'en a gravé Massard, pour entrer plus au long dans les détails poëtiques que Greuse a toujours su rendre avec tant de succès dans ses ouvrages.]] réalisée par Greuze (Jean-Baptiste), vendue par Montaleau, achetée par Henry au prix de 7000 fl. [166]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre beau Tableau de paysage, pris à l'effet d'une fraîche matinée. Toute la partie gauche offre une masse de ruines garnies d'arbres, formant une arcade dans le milieu, qui laisse voir un vaste lointain qui se prolonge jusque sur la droite. Les devans offrent une belle prairie couverte d'animaux, qui forme le rivage d'une rivière limpide qui traverse ce beau site. Ce morceau des premiers tems de ce Maître inimitable, offre de grandes beautés de détails, soutenus d'une très-forte couleur. (Gelée (Claude), dit le Lorrain)|Un autre beau Tableau de paysage, pris à l'effet d'une fraîche matinée. Toute la partie gauche offre une masse de ruines garnies d'arbres, formant une arcade dans le milieu, qui laisse voir un vaste lointain qui se prolonge jusque sur la droite. Les devans offrent une belle prairie couverte d'animaux, qui forme le rivage d'une rivière limpide qui traverse ce beau site. Ce morceau des premiers tems de ce Maître inimitable, offre de grandes beautés de détails, soutenus d'une très-forte couleur.]] réalisée par Gelée (Claude), dit le Lorrain, vendue par Montaleau, achetée par Paillet au prix de 1150 fl. [167]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cette composition capitale représente une foire, où sont rassemblés quantité de personnages de tous états, et dans une variété d'habillemens qui y donne le plus grand intérêt. Sur le devant, à gauche, on voit une marchande de fruits, et plus loin, du même côté, des bateleurs montés sur leurs trétaux, et autour desquels sont nombre de spectateurs. Du côté opposé, dans l'éloignement, on aperçoit un canal chargé de bateaux remplis de passagers. Ce Tableau, clair et argenté, présente par sa richesse et ses détails, une des productions les plus importantes de ce bon peintre. (Ferg (Paul))|Cette composition capitale représente une foire, où sont rassemblés quantité de personnages de tous états, et dans une variété d'habillemens qui y donne le plus grand intérêt. Sur le devant, à gauche, on voit une marchande de fruits, et plus loin, du même côté, des bateleurs montés sur leurs trétaux, et autour desquels sont nombre de spectateurs. Du côté opposé, dans l'éloignement, on aperçoit un canal chargé de bateaux remplis de passagers. Ce Tableau, clair et argenté, présente par sa richesse et ses détails, une des productions les plus importantes de ce bon peintre.]] réalisée par Ferg (Paul), vendue par Montaleau, achetée par Wilkinson au prix de 360 fl. [168]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Il est rare de rencontrer dans la curiosité des Tableaux de ce Peintre vraiment inimitable. Ses effets de lumière sont en si petits nombre, que le Muséum n'en possède qu'un ; celui que nous allons décrire est dans ce genre, et offre tout-à-la-fois une composition capitale, et un sujet très-agréable, connu par tous les amateurs, sous le titre de la Double surprise. Dans l'intérieur d'une cave, une jeune et jolie servante est à genoux devant un tonneau dont elle vient de tirer de la bière, qu'elle veut boire dans le moment où elle est surprise par son maître. Il est représenté la main droite posée sur l'épaule de cette fille, et le bras gauche appuyé sur le tonneau, ayant une chandelle à la main, dont le foyer de lumière réfléchit sur leur visage ; l'air riant de l'un et de l'autre, annonce leur intelligence, lorsqu'ils sont surpris par une vieille femme que l'on voit à l'entrée de la cave, tenant aussi une lumière, et semblant venir épier son mari. Sur le devant du Tableau est placée une lanterne allumée, qui éclaire avec vigueur la partie du Tableau qui est à droite du spectateur, et laisse toute la gauche dans un ton de demi-teinte admirable, en servant du plus riche repoussoir au groupe principal, dont le Peintre a su tellement ménager la lumière, qu'elle ne nuit en rien à la distance qui doit régner entre lui et la vieille femme, qui est sur un plan très-reculé. Entre autres accessoires, on distingue dans un panier deux oiseaux plumés, un coq attaché par la patte à la voûte de la cave, un pot au lait en cuivre, deux choux rouges, et plusieurs tonneaux. Il est, nous croyons, superflu de faire l'éloge de ce Tableau, qui à la vente du fameux cabinet de Tolozan, a fait l'admiration et l'étonnement de tous les artistes et des vrais connaisseurs. Il doit nous suffire de répéter qu'il vient en premier lieu de la collection de M. Déer Lubbling, à Amsterdam ; qu'il est cité dans la Vie des Peintres, par Descamps, et qu'on doit le mettre au nombre des productions les plus parfaites et les plus capitales de son auteur. (Dow (Gerard))|Il est rare de rencontrer dans la curiosité des Tableaux de ce Peintre vraiment inimitable. Ses effets de lumière sont en si petits nombre, que le Muséum n'en possède qu'un ; celui que nous allons décrire est dans ce genre, et offre tout-à-la-fois une composition capitale, et un sujet très-agréable, connu par tous les amateurs, sous le titre de la Double surprise. Dans l'intérieur d'une cave, une jeune et jolie servante est à genoux devant un tonneau dont elle vient de tirer de la bière, qu'elle veut boire dans le moment où elle est surprise par son maître. Il est représenté la main droite posée sur l'épaule de cette fille, et le bras gauche appuyé sur le tonneau, ayant une chandelle à la main, dont le foyer de lumière réfléchit sur leur visage ; l'air riant de l'un et de l'autre, annonce leur intelligence, lorsqu'ils sont surpris par une vieille femme que l'on voit à l'entrée de la cave, tenant aussi une lumière, et semblant venir épier son mari. Sur le devant du Tableau est placée une lanterne allumée, qui éclaire avec vigueur la partie du Tableau qui est à droite du spectateur, et laisse toute la gauche dans un ton de demi-teinte admirable, en servant du plus riche repoussoir au groupe principal, dont le Peintre a su tellement ménager la lumière, qu'elle ne nuit en rien à la distance qui doit régner entre lui et la vieille femme, qui est sur un plan très-reculé. Entre autres accessoires, on distingue dans un panier deux oiseaux plumés, un coq attaché par la patte à la voûte de la cave, un pot au lait en cuivre, deux choux rouges, et plusieurs tonneaux. Il est, nous croyons, superflu de faire l'éloge de ce Tableau, qui à la vente du fameux cabinet de Tolozan, a fait l'admiration et l'étonnement de tous les artistes et des vrais connaisseurs. Il doit nous suffire de répéter qu'il vient en premier lieu de la collection de M. Déer Lubbling, à Amsterdam ; qu'il est cité dans la Vie des Peintres, par Descamps, et qu'on doit le mettre au nombre des productions les plus parfaites et les plus capitales de son auteur.]] réalisée par Dow (Gerard), vendue par Montaleau, achetée par Henry au prix de 10500 fl. [170]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une tête d'étude, de la plus forte couleur et d'une touche aussi savante qu'énergique, représentant la tête du Christ rayonnant de gloire. Ce buste a été vraisemblablement agrandi pour servir de pendant à quelque Tableau dans le haut d'un cabinet. (Dick (Antoine van))|Une tête d'étude, de la plus forte couleur et d'une touche aussi savante qu'énergique, représentant la tête du Christ rayonnant de gloire. Ce buste a été vraisemblablement agrandi pour servir de pendant à quelque Tableau dans le haut d'un cabinet.]] réalisée par Dick (Antoine van), vendue par Montaleau, achetée par Neveu au prix de 350 fl. [171]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'une vieille femme lisant la Bible, et celui d'un vieillard taillant sa plume. Ils sont tous deux assis près d'une table couverte d'un tapis vert, et vus jusqu'aux genoux. Ces deux Tableaux faisant pendans, sont d'un beau ton de couleur, et offrent une exécution facile. (Brekelenkamp (Quirini))|Le portrait d'une vieille femme lisant la Bible, et celui d'un vieillard taillant sa plume. Ils sont tous deux assis près d'une table couverte d'un tapis vert, et vus jusqu'aux genoux. Ces deux Tableaux faisant pendans, sont d'un beau ton de couleur, et offrent une exécution facile.]] réalisée par Brekelenkamp (Quirini), vendue par Montaleau, achetée par Wilkinsone au prix de 200 fl. [172]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Tableau de la touche la plus facile et la plus brillante, offrant un site de paysage mêlé de ruines et de fabriques. Sur le premier plan on voit des pâtres, dont deux montés sur des ânes, qui conduisent un troupeau de boeufs dans un détroit de rivière qui fait aller un moulin. L'effet chaud et vigoureux de ce Tableau, d'un très-bon choix, annonce l'heure du soleil couchant. (Berghem (Nicolas))|Un Tableau de la touche la plus facile et la plus brillante, offrant un site de paysage mêlé de ruines et de fabriques. Sur le premier plan on voit des pâtres, dont deux montés sur des ânes, qui conduisent un troupeau de boeufs dans un détroit de rivière qui fait aller un moulin. L'effet chaud et vigoureux de ce Tableau, d'un très-bon choix, annonce l'heure du soleil couchant.]] réalisée par Berghem (Nicolas), vendue par Montaleau, achetée par Belier au prix de 1900 fl. [173]
  • 1802.07.21/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une chambre rustique où l'on voit une famille de paysans occupés à prendre leur repas. Cette composition de six figures, dans le genre de Bamboche, joint à une grande vérité et à une entente de clair obscur admirable, la touche la plus moelleuse et la plus belle conservation. (Bourdon (Sébastien))|L'intérieur d'une chambre rustique où l'on voit une famille de paysans occupés à prendre leur repas. Cette composition de six figures, dans le genre de Bamboche, joint à une grande vérité et à une entente de clair obscur admirable, la touche la plus moelleuse et la plus belle conservation.]] réalisée par Bourdon (Sébastien), vendue par Montaleau, achetée par Henry au prix de 250 fl. [174]