Ventes d'œuvres le 1806.08.25

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  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Magdelaine pénitente ; la Sainte vue à mi-corps est représentée dans une grotte ; un crucifix est dans ses mains ; elle élève les regards vers le ciel dans l'expression du plus sincère répentir ; la tête est de toute beauté, d'une belle couleur et d'une délicatesse de touche admirable (Inconnu)|Une Magdelaine pénitente ; la Sainte vue à mi-corps est représentée dans une grotte ; un crucifix est dans ses mains ; elle élève les regards vers le ciel dans l'expression du plus sincère répentir ; la tête est de toute beauté, d'une belle couleur et d'une délicatesse de touche admirable]] réalisée par Inconnu, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 20 fl. [3]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les quatre évangelistes, figures de proportion naturelle vues à mi-corps ayant chacun leurs attributs distinctifs, ces figures, d'une grande pureté de dessin, sont bien contractées dans leurs différentes attitudes, le grand fini de ce Tableau ajoute encore à beaucoup d'autres mérites (Willaerts (Abraham))|Les quatre évangelistes, figures de proportion naturelle vues à mi-corps ayant chacun leurs attributs distinctifs, ces figures, d'une grande pureté de dessin, sont bien contractées dans leurs différentes attitudes, le grand fini de ce Tableau ajoute encore à beaucoup d'autres mérites]] réalisée par Willaerts (Abraham), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Brognier au prix de 36 fl. [11]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant une fabrique, peinte avec tout l'art imaginable, on voit un grouppe de six figures, représentant des gueux italiens jouant à un jeu, en usage dans leur pays, plus loin derrière eux sont deux femmes, l'une lave du linge à une fontaine, l'autre, chargée d'un paquet, descend un escalier. Ce Tableau d'un effet piquant et d'une couleur admirable est de la plus belle touche de ce maître (Wyck (Thomas))|Devant une fabrique, peinte avec tout l'art imaginable, on voit un grouppe de six figures, représentant des gueux italiens jouant à un jeu, en usage dans leur pays, plus loin derrière eux sont deux femmes, l'une lave du linge à une fontaine, l'autre, chargée d'un paquet, descend un escalier. Ce Tableau d'un effet piquant et d'une couleur admirable est de la plus belle touche de ce maître]] réalisée par Wyck (Thomas), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Burggrave au prix de 205 fl. [12]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enlèvement de Proserpine. Pluton, sous la figure d'un jeune homme, caresse tendrement la déesse, qui le repousse et cherche à se dégager de ses bras, à côté d'elle est une corbeille remplie de fleurs ; plus loin on voit ses compagnes, qui, assises à l'ombre d'un bosquet, prennent part à ce qui se passe entre la déesse et son ravisseur. Ce morçeau très-détaillé est d'un effet piquant (Werf (Pierre Van Der))|L'enlèvement de Proserpine. Pluton, sous la figure d'un jeune homme, caresse tendrement la déesse, qui le repousse et cherche à se dégager de ses bras, à côté d'elle est une corbeille remplie de fleurs ; plus loin on voit ses compagnes, qui, assises à l'ombre d'un bosquet, prennent part à ce qui se passe entre la déesse et son ravisseur. Ce morçeau très-détaillé est d'un effet piquant]] réalisée par Werf (Pierre Van Der), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Brognier au prix de 58 fl. [13]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'un seigneur en habit de velour cramoisi, ayant auprès de lui un chien lévrier ; il est vu jusqu'aux genoux, sur le devant d'un jardin au fond duquel on voit le chateau du bois de la Haye. Ce Tableau est d'un grand fini, le coloris en est charmant (Werf (Pierre Van Der))|Le portrait d'un seigneur en habit de velour cramoisi, ayant auprès de lui un chien lévrier ; il est vu jusqu'aux genoux, sur le devant d'un jardin au fond duquel on voit le chateau du bois de la Haye. Ce Tableau est d'un grand fini, le coloris en est charmant]] réalisée par Werf (Pierre Van Der), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Bultos au prix de 50 fl. [14]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le beau portrait de J. H. Roos, pasteur de Rotterdam, il est vu jusqu'aux genoux assis dans un fauteuil devant une table couverte d'un tapis cramoisi ; il tient un livre ouvert devant lui. Ce Tableau d'un fini précieux et d'une fonte de couleur admirable, confirme la brillante reputation que s'est acquis son auteur par un grand nombre de belles productions (Werf (Adrien Van Der))|Le beau portrait de J. H. Roos, pasteur de Rotterdam, il est vu jusqu'aux genoux assis dans un fauteuil devant une table couverte d'un tapis cramoisi ; il tient un livre ouvert devant lui. Ce Tableau d'un fini précieux et d'une fonte de couleur admirable, confirme la brillante reputation que s'est acquis son auteur par un grand nombre de belles productions]] réalisée par Werf (Adrien Van Der), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Burtin fils au prix de 175 fl. [15]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de ce grand peintre, peint par lui même, en 1701, on le voit en face dans une attitude grave, le col de sa chemise est ouvert et rabatu sur un ample manteau cramoisi, dont il est revêtu. Ce Tableau du travail le plus fin et le plus délicat a encore l'avantage d'offrir les traits d'un des plus habiles peintres de la célèbre école hollandaise (Werf (Adrien Van Der))|Le portrait de ce grand peintre, peint par lui même, en 1701, on le voit en face dans une attitude grave, le col de sa chemise est ouvert et rabatu sur un ample manteau cramoisi, dont il est revêtu. Ce Tableau du travail le plus fin et le plus délicat a encore l'avantage d'offrir les traits d'un des plus habiles peintres de la célèbre école hollandaise]] réalisée par Werf (Adrien Van Der), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par van Parys au prix de 175 fl. [16]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage très-intéressant dont le premier plan est occupé par un chemin sabloneux qui traverse un monticule couvert d'arbres et entouré des haies et barrières pitoresques qu'éclaire le soleil ; derrière on découvre des lointains charmants qui se perdent dans l'horison d'un ciel bien nuagé. J. Lingelback s'est plû à orner ce Tableau de plusieurs figures touchées avec esprit (Wynants (Jean))|Un paysage très-intéressant dont le premier plan est occupé par un chemin sabloneux qui traverse un monticule couvert d'arbres et entouré des haies et barrières pitoresques qu'éclaire le soleil ; derrière on découvre des lointains charmants qui se perdent dans l'horison d'un ciel bien nuagé. J. Lingelback s'est plû à orner ce Tableau de plusieurs figures touchées avec esprit]] réalisée par Wynants (Jean), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 56 fl. [17]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Tableau de paysage, plein d'effet et d'une belle harmonie de couleur, dont le devant est occupé par un chemin où sont deux mulets ; une femme en monte un et voyage de compagnie avec un homme couvert d'un manteau. Derrière eux de belles masses d'arbres, du feuiller le plus précieux, s'elèvent au pied d'un rocher, d'où se précipite une chûte d'eau. Sur le devant et servant de repoussoir, des vieux arbres, dont les troncs sont enveloppés de plantes paracides, se font remarquer avec intérêt par la richesse de leurs écorces. Leurs branches mousseuses, brunies par le tems, font fuir derrière eux des lointains agréables qui s'échapent à la vue, et vont se perdre dans l'horison d'un ciel serrein, indiquant la fin d'un beau jour (Wynants)|Un beau Tableau de paysage, plein d'effet et d'une belle harmonie de couleur, dont le devant est occupé par un chemin où sont deux mulets ; une femme en monte un et voyage de compagnie avec un homme couvert d'un manteau. Derrière eux de belles masses d'arbres, du feuiller le plus précieux, s'elèvent au pied d'un rocher, d'où se précipite une chûte d'eau. Sur le devant et servant de repoussoir, des vieux arbres, dont les troncs sont enveloppés de plantes paracides, se font remarquer avec intérêt par la richesse de leurs écorces. Leurs branches mousseuses, brunies par le tems, font fuir derrière eux des lointains agréables qui s'échapent à la vue, et vont se perdre dans l'horison d'un ciel serrein, indiquant la fin d'un beau jour]] réalisée par Wynants, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 285 fl. [18]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un musicien et une jeune musicienne chantent en s'accompagnant d'une guitarre ; à leurs pieds sont différens instrumens de musique ; ces deux Figures, de grandeur naturelle, sont bien dessinées et pleines d'expression ; un coloris soutenu d'une lumière heureusement distribuée concourent à rendre ce Tableau précieux (Valantin (L.))|Un musicien et une jeune musicienne chantent en s'accompagnant d'une guitarre ; à leurs pieds sont différens instrumens de musique ; ces deux Figures, de grandeur naturelle, sont bien dessinées et pleines d'expression ; un coloris soutenu d'une lumière heureusement distribuée concourent à rendre ce Tableau précieux]] réalisée par Valantin (L.), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Van Huylenbrock au prix de 40 fl. [19]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une adoration de bergers, effet de nuit: dans l'intérieur d'une étable on voit l'Enfant Jesus couché mollement sur un coussin, le corps en partie enveloppé d'une draperie ; la Ste.-Vierge le regarde avec attrendrissement. Tout auprès plusieurs personnages de sexe et d'âge différents, entrent par une porte et se prosternent. Ce Tableau est d'un fini précieux. La touche en est moëlleuse et l'effet très-piquant (Voorhout (Jean))|Une adoration de bergers, effet de nuit: dans l'intérieur d'une étable on voit l'Enfant Jesus couché mollement sur un coussin, le corps en partie enveloppé d'une draperie ; la Ste.-Vierge le regarde avec attrendrissement. Tout auprès plusieurs personnages de sexe et d'âge différents, entrent par une porte et se prosternent. Ce Tableau est d'un fini précieux. La touche en est moëlleuse et l'effet très-piquant]] réalisée par Voorhout (Jean), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Pitet au prix de 50 fl. [20]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Tableau représentant une allégorie sur la science hermétique: trois enfans, dans différentes attitudes, ayant chacun des attributs qui les personifient, représentent Mercure, la Nature et la Fortune un bandeau sur les yeux. L'artiste a tiré adroitement parti des veines de la pierre pour former des nuages ; les carnations sont pleines de fraîcheurs et très variées (Veronese (Alexandre))|Un Tableau représentant une allégorie sur la science hermétique: trois enfans, dans différentes attitudes, ayant chacun des attributs qui les personifient, représentent Mercure, la Nature et la Fortune un bandeau sur les yeux. L'artiste a tiré adroitement parti des veines de la pierre pour former des nuages ; les carnations sont pleines de fraîcheurs et très variées]] réalisée par Veronese (Alexandre), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier au prix de 54 fl. [21]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un superbe Tableau représentant la Ste.-Vierge et St.-Siméon. Celui-ci pose l'Enfant Jesus, qu'il tient dans ses bras, sur une Table de marbre ; ces figures, vues à mi-corps, de proportion de petite nature, sont bien dessinées et coloriées avec art (Veronese (Paul))|Un superbe Tableau représentant la Ste.-Vierge et St.-Siméon. Celui-ci pose l'Enfant Jesus, qu'il tient dans ses bras, sur une Table de marbre ; ces figures, vues à mi-corps, de proportion de petite nature, sont bien dessinées et coloriées avec art]] réalisée par Veronese (Paul), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Godvernau au prix de 50 fl. [22]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un paysage montagneux, pris à l'effet d'un soleil couchant: le devant est occupé presqu'en totalité par une mare d'eau, dans laquelle on voit un troupeau de bétail qu'un homme, montant un cheval blanc, chasse devant lui ; deux autres paysans sont occupés du même soin ; plus loin on apperçoit un homme qui fait avancer un radeau. Tous ces différents objets sont de la plus belle touche de ce maître (Velde (Adrien Van De))|Le point de vue d'un paysage montagneux, pris à l'effet d'un soleil couchant: le devant est occupé presqu'en totalité par une mare d'eau, dans laquelle on voit un troupeau de bétail qu'un homme, montant un cheval blanc, chasse devant lui ; deux autres paysans sont occupés du même soin ; plus loin on apperçoit un homme qui fait avancer un radeau. Tous ces différents objets sont de la plus belle touche de ce maître]] réalisée par Velde (Adrien Van De), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 140 fl. [23]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La chaste Suzanne, molestée par les vieillards, figures de grandeur naturelle, cette héroïne de la pudeur parait saisie d'effroi à l'apparition de ces deux hommes ; elle couvre ses charmes d'une draperie et tache de les dérober à leurs avides regards, la surprise et la pudeur contrastent admirablement sur sa physionomie, la luxure est heureusement exprimée sur celle des deux vieillards (Theyssens)|La chaste Suzanne, molestée par les vieillards, figures de grandeur naturelle, cette héroïne de la pudeur parait saisie d'effroi à l'apparition de ces deux hommes ; elle couvre ses charmes d'une draperie et tache de les dérober à leurs avides regards, la surprise et la pudeur contrastent admirablement sur sa physionomie, la luxure est heureusement exprimée sur celle des deux vieillards]] réalisée par Theyssens, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vanuylenbroek au prix de 14 fl. [25]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jesus-Christ flagellé présenté devant Pilate, les trois principales figures de ce Tableau sont débout sous un portique d'une riche architecture, le Christ est couvert d'une draperie que souleve un sodat placé derrière lui, dans le fond du sujet ses disciples s'entretiennent avec la populace. On remarque dans ce Tableau, plein d'effet et d'harmonie, une belle entente de clair obscur et une dégradation de lumière charmante (Thulden (Théodore Van))|Jesus-Christ flagellé présenté devant Pilate, les trois principales figures de ce Tableau sont débout sous un portique d'une riche architecture, le Christ est couvert d'une draperie que souleve un sodat placé derrière lui, dans le fond du sujet ses disciples s'entretiennent avec la populace. On remarque dans ce Tableau, plein d'effet et d'harmonie, une belle entente de clair obscur et une dégradation de lumière charmante]] réalisée par Thulden (Théodore Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lacerna au prix de 46 fl. [27]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Tableau, représentant l'intérieur d'une chambre à coucher dans laquelle on voit un homme assis, vétu d'une cuirasse, présentant de l'argent à une jeune femme, dont il marchande les faveurs, celle ci acoudée sur une table couverte de deux plats chargés de fruits et d'huitres, fait la dédaigneuse et paraît ne s'occuper que du soin de remplir un verre d'une liqueur que renferme une caffétière. Ces figures sont peintes avec beaucoup de déilicatesse sic, et tous les details sont rendus avec une grande veritè (Terburg (Gérard))|Un beau Tableau, représentant l'intérieur d'une chambre à coucher dans laquelle on voit un homme assis, vétu d'une cuirasse, présentant de l'argent à une jeune femme, dont il marchande les faveurs, celle ci acoudée sur une table couverte de deux plats chargés de fruits et d'huitres, fait la dédaigneuse et paraît ne s'occuper que du soin de remplir un verre d'une liqueur que renferme une caffétière. Ces figures sont peintes avec beaucoup de déilicatesse sic, et tous les details sont rendus avec une grande veritè]] réalisée par Terburg (Gérard), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par de Roy au prix de 90 fl. [28]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Tableau de paysage, représenterre sic l'entrée d'un bois, à la porte d'une cabane une vieille femme s'appuyant sur sa béquille, montre un chasseur à son petit enfant, celui-ci court vers lui pour lui demander l'aumône ; sur le premier plan du sujet, on voit un chien qui se desaltère à une mare d'eau. Ce Tableau est d'un bel effet et d'un ton de couleur très-argentin (Teniers (David))|Un beau Tableau de paysage, représenterre sic l'entrée d'un bois, à la porte d'une cabane une vieille femme s'appuyant sur sa béquille, montre un chasseur à son petit enfant, celui-ci court vers lui pour lui demander l'aumône ; sur le premier plan du sujet, on voit un chien qui se desaltère à une mare d'eau. Ce Tableau est d'un bel effet et d'un ton de couleur très-argentin]] réalisée par Teniers (David), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Passemiers au prix de 30 fl. [30]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[David et Bethsabé, cette beauté est représentée au moment quelle vient de sortir du bain et assise devant une table sur laquelle sont plusieurs objets nécessaires à sa parure, une vieille matrone range sa chevelure, une servante lui présente un miroir, une autre apporte une corbeille de fleurs et prépare des parfums, à côté d'elle un petit amour, un genoux en terre, va decocher une flêche à David qui, appuyé sur la balustrade du magnifique palais de Rubbens, parcourt d'un oeil avide les charmes de cette belle femme ; à droite dans le coin du sujet on voit une fontaine de marbre blanc, sur le bord de laquelle un paon s'est perché, sa femelle est à terre, auprès de lui, des canards se jouent dans le bain, d'autres objets qu'il seroit trop long de décrire ornent ce beau tableau et le rendent encore plus précieux. Une couleur vraie, un dessin très-correct, une touche libre et facile assurent à cette composition un rang distingué parmi les bonnes productions de ce maître (Teniers (David))|David et Bethsabé, cette beauté est représentée au moment quelle vient de sortir du bain et assise devant une table sur laquelle sont plusieurs objets nécessaires à sa parure, une vieille matrone range sa chevelure, une servante lui présente un miroir, une autre apporte une corbeille de fleurs et prépare des parfums, à côté d'elle un petit amour, un genoux en terre, va decocher une flêche à David qui, appuyé sur la balustrade du magnifique palais de Rubbens, parcourt d'un oeil avide les charmes de cette belle femme ; à droite dans le coin du sujet on voit une fontaine de marbre blanc, sur le bord de laquelle un paon s'est perché, sa femelle est à terre, auprès de lui, des canards se jouent dans le bain, d'autres objets qu'il seroit trop long de décrire ornent ce beau tableau et le rendent encore plus précieux. Une couleur vraie, un dessin très-correct, une touche libre et facile assurent à cette composition un rang distingué parmi les bonnes productions de ce maître]] réalisée par Teniers (David), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier au prix de 320 fl. [32]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet d'une fête de village, dans lequel on compte trente-trois figures: la scène se passe dans la cour d'une guiguette devant laquelle plusieurs paysans et paysannes, dans des attitudes très-variées, sont assis sur des bancs et devant une table couverte, le pot et le verre à la main, s'abandonnent à la plus grande gaîté, au milieu de ces différens groupes, ingénieusement distribués, on distingue une jeune femme à qui un jeune homme donne la main, tous deux forment des pas au son d'une musette, qu'un ménétrier, monté sur un tonneau, fait raisonner ; un beau lointain, où l'on découvre le faîte d'une église entourée d'arbres, termine ce riant paysage et se détache en harmonie sur un ciel bien nuagé. Ce petit bijou qui est un chef-d'oeuvre dans ce genre a été précieusement conservé, il est du dernier fini, du ton de couleur le plus argentin et touché avec tout l'esprit, dont cet habile maitre était susceptible. Il est gravé et a fait l'ornément d'un des plus beaux cabinets de Paris (Teniers (David))|Le sujet d'une fête de village, dans lequel on compte trente-trois figures: la scène se passe dans la cour d'une guiguette devant laquelle plusieurs paysans et paysannes, dans des attitudes très-variées, sont assis sur des bancs et devant une table couverte, le pot et le verre à la main, s'abandonnent à la plus grande gaîté, au milieu de ces différens groupes, ingénieusement distribués, on distingue une jeune femme à qui un jeune homme donne la main, tous deux forment des pas au son d'une musette, qu'un ménétrier, monté sur un tonneau, fait raisonner ; un beau lointain, où l'on découvre le faîte d'une église entourée d'arbres, termine ce riant paysage et se détache en harmonie sur un ciel bien nuagé. Ce petit bijou qui est un chef-d'oeuvre dans ce genre a été précieusement conservé, il est du dernier fini, du ton de couleur le plus argentin et touché avec tout l'esprit, dont cet habile maitre était susceptible. Il est gravé et a fait l'ornément d'un des plus beaux cabinets de Paris]] réalisée par Teniers (David), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Reynders au prix de 670 fl. [33]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un paysage Hollandais, pris à l'effet d'un soleil levant: sur le devant on voit trois pêcheurs dans différentes attitudes et se détachant sur un massif d'arbres mêlés de broussailles. Un lointain vaporeux se confond artistement avec l'horizon d'un ciel riant (Schellinck (Guillaume))|Le point de vue d'un paysage Hollandais, pris à l'effet d'un soleil levant: sur le devant on voit trois pêcheurs dans différentes attitudes et se détachant sur un massif d'arbres mêlés de broussailles. Un lointain vaporeux se confond artistement avec l'horizon d'un ciel riant]] réalisée par Schellinck (Guillaume), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Godfurnau au prix de 52 fl. [39]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Tableau de forme ovale, représentant une Ste. Famille, l'enfant Jesus dans un attitude gracieuse someille sur les genoux de sa mère, qui le regarde avec tendresse et soulève légèrement un linge dont elle parait vouloir le couvrir. St. Anne est près d'elle tenant le petit St. Jean qui montre une croix surmontée d'une banderole ; derrière eux St. Joseph soulève une draperie et contemple avec vénération cette scène attendrissente, un dessin sçavant, des caractères de tête pleins de noblesse et d'une belle expression joint, à une harmonie de couleur admirable, rendent ce Tableau précieux (Schiavone (André))|Un beau Tableau de forme ovale, représentant une Ste. Famille, l'enfant Jesus dans un attitude gracieuse someille sur les genoux de sa mère, qui le regarde avec tendresse et soulève légèrement un linge dont elle parait vouloir le couvrir. St. Anne est près d'elle tenant le petit St. Jean qui montre une croix surmontée d'une banderole ; derrière eux St. Joseph soulève une draperie et contemple avec vénération cette scène attendrissente, un dessin sçavant, des caractères de tête pleins de noblesse et d'une belle expression joint, à une harmonie de couleur admirable, rendent ce Tableau précieux]] réalisée par Schiavone (André), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier au prix de 40 fl. [41]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La nativité du Sauveur, petit Tableau d'un coloris séduisant. La Vierge à genoux, les mains jointes, regarde tendrement l'enfant Jesus posé dans une crêche sur un linge blanc ; deux anges placés à côté de lui, semblent partager le tendre sentiment qu'éprouve la mere, derrière elle St. Joseph fait un mouvement pour contempler le rédempteur, au-dessus duquel une gloire d'anges voltige (Sueur (Eustache))|La nativité du Sauveur, petit Tableau d'un coloris séduisant. La Vierge à genoux, les mains jointes, regarde tendrement l'enfant Jesus posé dans une crêche sur un linge blanc ; deux anges placés à côté de lui, semblent partager le tendre sentiment qu'éprouve la mere, derrière elle St. Joseph fait un mouvement pour contempler le rédempteur, au-dessus duquel une gloire d'anges voltige]] réalisée par Sueur (Eustache), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier de Gand au prix de 64 fl. [42]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La tête d'un jeune enfant coëffé d'un chapeau orné de bouffetes de rubans bleus et revetu d'un espece de manteau couleur brunâtre. Ce Tableau du dernier fini est peint avec une delicatesse admirable, le moëleux de la touche et la belle fonte de couleur y sont portés à un point de perfection dont rien n'aproche (Schalcken (Godefroy))|La tête d'un jeune enfant coëffé d'un chapeau orné de bouffetes de rubans bleus et revetu d'un espece de manteau couleur brunâtre. Ce Tableau du dernier fini est peint avec une delicatesse admirable, le moëleux de la touche et la belle fonte de couleur y sont portés à un point de perfection dont rien n'aproche]] réalisée par Schalcken (Godefroy), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier au prix de 64 fl. [43]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de la mère de Schalcken. Elle est habillié en fourrures, ayant un mouchoir noué sur sa tête qui, peinte dans un ton de demie teinte, et éclairée par reflet, ne reçoit le jour que sur une partie de la joue et l'épaule du même côté, ce qui produit un effet très-piquant. La transparence des ombres, le bel empatement des clairs, la legereté de la touche rendent ce Tableau précieux (Schalcken (Godefroy))|Le portrait de la mère de Schalcken. Elle est habillié en fourrures, ayant un mouchoir noué sur sa tête qui, peinte dans un ton de demie teinte, et éclairée par reflet, ne reçoit le jour que sur une partie de la joue et l'épaule du même côté, ce qui produit un effet très-piquant. La transparence des ombres, le bel empatement des clairs, la legereté de la touche rendent ce Tableau précieux]] réalisée par Schalcken (Godefroy), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 90 fl. [44]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant la porte d'une maison, servant de cabaret, on voit une jeune femme ivre que l'on croit être celle de J. Steen, un homme aidé d'un jeune garçon la posent sur une brouëtte ; trois enfants de différents sexes l'entourent, l'un deux s'est emparé de son panier ; il en tire une bouteille pleine de liqueur et la montre en riant ; un autre par dérision lui pisse sur la tête, tandis que le peintre, qui s'est représenté dans le coin du Tableau, s'entretient avec une femme appuyée sur une moitié de porte ; deux autres personnages grotesques, riant aux éclats, sont à la fenêtre, l'un tient un pot de terre ; plus loin une servante puise de l'eau, chacun s'empresse à sécourir cette femme et à l'arracher à l'état d'ivresse où elle est plongée. Cette Scène très-divertissante est rendue avec une vérité étonnante, la composition est bien ordonnée, les expressions de têtes très-variées le coloris et l'effet de ce Tableau sont séduisants. La touche est du plus beau faire de cet habile peintre (Steen (Jean))|Devant la porte d'une maison, servant de cabaret, on voit une jeune femme ivre que l'on croit être celle de J. Steen, un homme aidé d'un jeune garçon la posent sur une brouëtte ; trois enfants de différents sexes l'entourent, l'un deux s'est emparé de son panier ; il en tire une bouteille pleine de liqueur et la montre en riant ; un autre par dérision lui pisse sur la tête, tandis que le peintre, qui s'est représenté dans le coin du Tableau, s'entretient avec une femme appuyée sur une moitié de porte ; deux autres personnages grotesques, riant aux éclats, sont à la fenêtre, l'un tient un pot de terre ; plus loin une servante puise de l'eau, chacun s'empresse à sécourir cette femme et à l'arracher à l'état d'ivresse où elle est plongée. Cette Scène très-divertissante est rendue avec une vérité étonnante, la composition est bien ordonnée, les expressions de têtes très-variées le coloris et l'effet de ce Tableau sont séduisants. La touche est du plus beau faire de cet habile peintre]] réalisée par Steen (Jean), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Aubert au prix de 550 fl. [46]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le buste d'un homme qui paraît être un juif, il est vu de trois quarts, coëffé d'un chapeau rabattu sur l'oreille droite, et porte une chaîne d'or au col. Ce beau Tableau joint à une force de coloris étonante, un effet de lumière surprenante et capable de produire la plus parfaite illusion (Rembrant (Van Rhyn))|Le buste d'un homme qui paraît être un juif, il est vu de trois quarts, coëffé d'un chapeau rabattu sur l'oreille droite, et porte une chaîne d'or au col. Ce beau Tableau joint à une force de coloris étonante, un effet de lumière surprenante et capable de produire la plus parfaite illusion]] réalisée par Rembrant (Van Rhyn), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 62 fl. [50]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Tableau représentant la Sainte-Famille; la Ste.-Vierge tient sur ses genoux l'Enfant Jesus qui joue, ainsi que le petit St.-Jean, avec un mouton; derrière eux on voit Ste-Anne qui leur sourit; ces Figures, peintes avec beaucoup de facilité et d'une belle belle sic couleur, détachent d'une manière piquante sur un fond d'architecture (Rubens (attribué à))|Un beau Tableau représentant la Sainte-Famille; la Ste.-Vierge tient sur ses genoux l'Enfant Jesus qui joue, ainsi que le petit St.-Jean, avec un mouton; derrière eux on voit Ste-Anne qui leur sourit; ces Figures, peintes avec beaucoup de facilité et d'une belle belle sic couleur, détachent d'une manière piquante sur un fond d'architecture]] réalisée par Rubens (attribué à), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Burtin fils au prix de 86 fl. [52]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une petite esquisse, peinte avec ce feu et cette heureuse facilité si naturelle à ce peintre: elle représente Jesus-Christ dans le désert tenté par le Diable, sujet représenté dans un plafond de l'Eglise des Jésuites d'Anvers (Rubens (Pierre Paul))|Une petite esquisse, peinte avec ce feu et cette heureuse facilité si naturelle à ce peintre: elle représente Jesus-Christ dans le désert tenté par le Diable, sujet représenté dans un plafond de l'Eglise des Jésuites d'Anvers]] réalisée par Rubens (Pierre Paul), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier au prix de 42 fl. [54]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'un vieillard âgé de cent et trois ans, ayant à côté de lui les attributs d'un pélérin ; malgré ce grand âge, cette figure décrépite montre un caractère de sérénité et n'offre rien de rébutant. Ce morçeau est peint avec beaucoup de légérété (Rubens (Pierre Paul))|Le portrait d'un vieillard âgé de cent et trois ans, ayant à côté de lui les attributs d'un pélérin ; malgré ce grand âge, cette figure décrépite montre un caractère de sérénité et n'offre rien de rébutant. Ce morçeau est peint avec beaucoup de légérété]] réalisée par Rubens (Pierre Paul), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Passemiers au prix de 38 fl. [55]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de St. Ignace, de proportion naturelle, il est vu de profil, la main droite posée sur la poitrine il parait être en contemplation, les carnations de ce beau morçeau sont rendus avec cet air de vérité que savait leur donner ce grand coloriste (Rubens (Pierre Paul))|Le portrait de St. Ignace, de proportion naturelle, il est vu de profil, la main droite posée sur la poitrine il parait être en contemplation, les carnations de ce beau morçeau sont rendus avec cet air de vérité que savait leur donner ce grand coloriste]] réalisée par Rubens (Pierre Paul), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Peeters d'Anvers au prix de 40 fl. [57]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage agreste et montagneux, traversé par une rivière qui tombe en cascade et serpente le long d'un chemin élevé, située au pied d'un rocher avec lequel des belles masses d'arbres se détachent en harmonie sur un ciel serein qui annonce une belle matinée d'été, plusieurs figures cheminent ça et là et paraissent animer le sujet (Pynaker (dans la manière de))|Un paysage agreste et montagneux, traversé par une rivière qui tombe en cascade et serpente le long d'un chemin élevé, située au pied d'un rocher avec lequel des belles masses d'arbres se détachent en harmonie sur un ciel serein qui annonce une belle matinée d'été, plusieurs figures cheminent ça et là et paraissent animer le sujet]] réalisée par Pynaker (dans la manière de), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 22 fl. [60]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit paysage orné de figures et d'animaux ; sur la partie gauche du sujet, on voit un lac sur lequel plusieurs barques naviguent ; du côté opposé de grandes masses de rocher couverts de broussailles et contrastées avec des massifs d'arbres artistement feuillés, se détachent agréablement sur un ciel serrein et vaporeux. Ce Tableau, d'une bonne pâte de couleur et d'une touche grasse, est très-pittoresque (Pynaker (Adam))|Un petit paysage orné de figures et d'animaux ; sur la partie gauche du sujet, on voit un lac sur lequel plusieurs barques naviguent ; du côté opposé de grandes masses de rocher couverts de broussailles et contrastées avec des massifs d'arbres artistement feuillés, se détachent agréablement sur un ciel serrein et vaporeux. Ce Tableau, d'une bonne pâte de couleur et d'une touche grasse, est très-pittoresque]] réalisée par Pynaker (Adam), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier de Gand au prix de 56 fl. [61]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La peste d'Egypte: grande composition de plus de cinquante figures d'une belle proportien sic, ce fléau destructeur a déjà moissoné plusieurs victimes, parmi lesquelles on distingue une jeune femme dans un dessin de racourci, dont un enfant s'aproche, un homme l'éloigne du cadavre de la mère près duquel un autre enfant est déjà expiré, plusieurs personnages de différents sexes sont repandues sur différents plans, la plupart d'eux sont attentifs à considerer le grand prêtre qui paroit leur parler et leur montre l'idôle brisée, tout auprès est l'arche d'alliance, le fond du sujet est orné de bâtimens d'une riche architecture. Ce morçeau capital est plein de vigueur et d'harmonie (Poussin (dans la manière de))|La peste d'Egypte: grande composition de plus de cinquante figures d'une belle proportien sic, ce fléau destructeur a déjà moissoné plusieurs victimes, parmi lesquelles on distingue une jeune femme dans un dessin de racourci, dont un enfant s'aproche, un homme l'éloigne du cadavre de la mère près duquel un autre enfant est déjà expiré, plusieurs personnages de différents sexes sont repandues sur différents plans, la plupart d'eux sont attentifs à considerer le grand prêtre qui paroit leur parler et leur montre l'idôle brisée, tout auprès est l'arche d'alliance, le fond du sujet est orné de bâtimens d'une riche architecture. Ce morçeau capital est plein de vigueur et d'harmonie]] réalisée par Poussin (dans la manière de), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 14 fl. [63]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau site de paysage d'Italie, où l'on voit à côté des débris d'un temple d'une riche architecture, deux femmes debout auprès d'une fontaine enrichie de bas-reliefs, montrant un jeune homme qui souleve une pierre sous laquelle on voit des armes. Ce Tableau est d'une belle couleur (Poussin (Nicolas))|Un beau site de paysage d'Italie, où l'on voit à côté des débris d'un temple d'une riche architecture, deux femmes debout auprès d'une fontaine enrichie de bas-reliefs, montrant un jeune homme qui souleve une pierre sous laquelle on voit des armes. Ce Tableau est d'une belle couleur]] réalisée par Poussin (Nicolas), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Pitet au prix de 105 fl. [65]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau paysage site d'Italie, sur le devant duquel on voit deux jeunes femmes, l'une est occupée à traire une vache, à côté d'elle et vers le milieu du sujet, l'artiste a placé un groupe de moutons dans différentes attitudes. Ce Tableau d'un beau ton de couleur est peint dans la manière de J. Both (Ossenbeeck (Jean))|Un beau paysage site d'Italie, sur le devant duquel on voit deux jeunes femmes, l'une est occupée à traire une vache, à côté d'elle et vers le milieu du sujet, l'artiste a placé un groupe de moutons dans différentes attitudes. Ce Tableau d'un beau ton de couleur est peint dans la manière de J. Both]] réalisée par Ossenbeeck (Jean), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Godfurnau au prix de 28 fl. [66]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une habitation rustique, où l'on voit plusieurs enfants assis autour d'une table, les uns écrivent, les autres étudient leur leçon, plus loin un maître d'école fait dire la leçon à un petit garçon debout devant lui, d'autres groupes d'enfants distribués savamment, sont répandus ça et là dans la chambre. Ce Tableau est d'un effet très-piquant (Ostade (Adrien Van))|L'intérieur d'une habitation rustique, où l'on voit plusieurs enfants assis autour d'une table, les uns écrivent, les autres étudient leur leçon, plus loin un maître d'école fait dire la leçon à un petit garçon debout devant lui, d'autres groupes d'enfants distribués savamment, sont répandus ça et là dans la chambre. Ce Tableau est d'un effet très-piquant]] réalisée par Ostade (Adrien Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Aubert au prix de 80 fl. [67]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un point de vue fidelle de la Maison de Ville d'Amsterdam et des bâtimens qui l'entourent, pris du coté du Poids de la Ville: dans le milieu du sujet on remarque ce bel édifice dont tous les détails d'architecture sont rendus avec une delicatesse infinie et une verité d'optique qui fait illusion, un monde considerable circule sur la place et forme différens groupes de figures avec animaux, peints avec autant de goût que d'intelligence par J. Lingelback. Les amateurs admireront avec quelle vérité surprenante ces deux artistes ont su représenter les différens objets qui concourent à rendre ce tableau précieux (Nichele (Isaack Van))|Un point de vue fidelle de la Maison de Ville d'Amsterdam et des bâtimens qui l'entourent, pris du coté du Poids de la Ville: dans le milieu du sujet on remarque ce bel édifice dont tous les détails d'architecture sont rendus avec une delicatesse infinie et une verité d'optique qui fait illusion, un monde considerable circule sur la place et forme différens groupes de figures avec animaux, peints avec autant de goût que d'intelligence par J. Lingelback. Les amateurs admireront avec quelle vérité surprenante ces deux artistes ont su représenter les différens objets qui concourent à rendre ce tableau précieux]] réalisée par Nichele (Isaack Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 62 fl. [68]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit Tableau très-intéressant, représentant deux mendiants sous la porte d'une maison, l'un d'eux est aveugle et conduit par un chien, l'autre plus jeune se baisse par un mouvement de curiosité et regarde s'il ne voit personne. Ce tableau est connu par la gravure (Miel (Jean))|Un petit Tableau très-intéressant, représentant deux mendiants sous la porte d'une maison, l'un d'eux est aveugle et conduit par un chien, l'autre plus jeune se baisse par un mouvement de curiosité et regarde s'il ne voit personne. Ce tableau est connu par la gravure]] réalisée par Miel (Jean), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 62 fl. [70]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit Tableau de paysage d'une simplicité charmante, où l'on voit une belle fabrique située au bord d'une rivière et environnée de belles masses d'arbres d'un feuillé admirable. Ce morçeau est d'une couleur harmonieuse et d'un effet piquant (Moucheron (Isaack))|Un petit Tableau de paysage d'une simplicité charmante, où l'on voit une belle fabrique située au bord d'une rivière et environnée de belles masses d'arbres d'un feuillé admirable. Ce morçeau est d'une couleur harmonieuse et d'un effet piquant]] réalisée par Moucheron (Isaack), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lorent au prix de 25 fl. [71]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau site de paysage montagneux, vers le milieu du sujet un torrent d'eau se brise avec fracas sur de grosses masses de pierres et se précipite du haut d'un rocher élevé, couvert de belles masses d'arbres d'un feuiller admirable, des beaux lointains, où l'oeil se promène agréablement, terminent ce beau paysage, et se perdent dans l'horizon d'un ciel vaporeux indiquant un coucher du soleil, sur le devant du sujet on a distribué avec gout plusieurs petites figures représentant des pêcheurs (Moucheron (Isaack))|Un beau site de paysage montagneux, vers le milieu du sujet un torrent d'eau se brise avec fracas sur de grosses masses de pierres et se précipite du haut d'un rocher élevé, couvert de belles masses d'arbres d'un feuiller admirable, des beaux lointains, où l'oeil se promène agréablement, terminent ce beau paysage, et se perdent dans l'horizon d'un ciel vaporeux indiquant un coucher du soleil, sur le devant du sujet on a distribué avec gout plusieurs petites figures représentant des pêcheurs]] réalisée par Moucheron (Isaack), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Godfurnau au prix de 90 fl. [72]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un parc orné de plusieurs statues, J. Lingelback a placé vers le milieu de ce beau paysage, une jeune femme à cheval accompagnée d'un cavalier partant pour une partie de chasse, à côté d'eux un piqueur chasse devant lui plusieurs chiens, d'autres personnages marchent à leur suite. Ce Tableau est d'une bonne couleur d'un effet vrai autant que naturel (Moucheron (Isaack))|La vue d'un parc orné de plusieurs statues, J. Lingelback a placé vers le milieu de ce beau paysage, une jeune femme à cheval accompagnée d'un cavalier partant pour une partie de chasse, à côté d'eux un piqueur chasse devant lui plusieurs chiens, d'autres personnages marchent à leur suite. Ce Tableau est d'une bonne couleur d'un effet vrai autant que naturel]] réalisée par Moucheron (Isaack), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Godfurnau au prix de 64 fl. [73]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue perspective de l'entrée d'une ville située sur une éminence, au bas de laquelle une rivière coule entre des rochers couronnés de beaux bosquets d'arbres artistement feuillés, qui se detachent sur un ciel légèrement nuagé, indiquant le déclin du jour, sur l'avant plan on voit un troupeau de bétail que son conducteur à cheval oblige à passer l'eau (Moucheron)|Vue perspective de l'entrée d'une ville située sur une éminence, au bas de laquelle une rivière coule entre des rochers couronnés de beaux bosquets d'arbres artistement feuillés, qui se detachent sur un ciel légèrement nuagé, indiquant le déclin du jour, sur l'avant plan on voit un troupeau de bétail que son conducteur à cheval oblige à passer l'eau]] réalisée par Moucheron, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Brognier au prix de 36 fl. [74]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un autre sujet de bataille, d'un effet rare et piquant, dans un defilé de montagne, un gros corps de cavalerie en poursuit un autre l'épée et le pistolet à la main, sur le premier plan ou remarque un cavalier qui reçoit un coup de feu à la tête, ce morceau, exécuté avec fermeté, est du meilleur faire de ce maître (Meulen (François Van Der))|Un autre sujet de bataille, d'un effet rare et piquant, dans un defilé de montagne, un gros corps de cavalerie en poursuit un autre l'épée et le pistolet à la main, sur le premier plan ou remarque un cavalier qui reçoit un coup de feu à la tête, ce morceau, exécuté avec fermeté, est du meilleur faire de ce maître]] réalisée par Meulen (François Van Der), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 125 fl. [76]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un grand et superbe Tableau de paysage, reprèsentant un convoi attaqué à l'entrée d'un bois par une troupe de cavaliers, sur le devant du côté droit, un chariot attelé de quatre beaux cheveaux et chargé de bagage est déjà arrêté, plusieurs voyageurs ont perdu la vie, les autres, parmi lesquels on distingue un ecclésiastique et une jeune femme, ont été obligés de mettre pied à terre, la troupe les dépouille et les ménace l'épée à la main, plus loin au pied d'un monticule sabloneux, sur lequel frappe la plus grande lumière, on voit un autre chariot assailli par plusieurs cavaliers placés en embuscade, cette belle composition est pleine de mouvement, la partie du paysage est supérieurement traitée, les figures et les chevaux sont bien peints et bien dessinés (Meulen (François Van Der))|Un grand et superbe Tableau de paysage, reprèsentant un convoi attaqué à l'entrée d'un bois par une troupe de cavaliers, sur le devant du côté droit, un chariot attelé de quatre beaux cheveaux et chargé de bagage est déjà arrêté, plusieurs voyageurs ont perdu la vie, les autres, parmi lesquels on distingue un ecclésiastique et une jeune femme, ont été obligés de mettre pied à terre, la troupe les dépouille et les ménace l'épée à la main, plus loin au pied d'un monticule sabloneux, sur lequel frappe la plus grande lumière, on voit un autre chariot assailli par plusieurs cavaliers placés en embuscade, cette belle composition est pleine de mouvement, la partie du paysage est supérieurement traitée, les figures et les chevaux sont bien peints et bien dessinés]] réalisée par Meulen (François Van Der), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 390 fl. [77]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le pendant du précédent, représentant deux jeunes mendiants de grandeur naturelle, l'un d'eux tient une petite curiosité d'enfant qu'il veut faire voir à l'autre moyennant une certaine rétribution, celui-ci tient de l'argent dans la main et hésite à le donner, à ses pieds est un panier avec quelque chiffons de pain, le fond offre un paysage ; la defiance et le désir sont heureusement exprimés sur leur physionomie (Murillos (B.))|Le pendant du précédent, représentant deux jeunes mendiants de grandeur naturelle, l'un d'eux tient une petite curiosité d'enfant qu'il veut faire voir à l'autre moyennant une certaine rétribution, celui-ci tient de l'argent dans la main et hésite à le donner, à ses pieds est un panier avec quelque chiffons de pain, le fond offre un paysage ; la defiance et le désir sont heureusement exprimés sur leur physionomie]] réalisée par Murillos (B.), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Thierry au prix de 26 fl. [78]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet représentant deux jeunes gens jouant aux dez, derrière eux une jeune mandiante tenant un panier à son bras droit, prend part à leurs plaisirs. Ces trois figures peintes avec goût et bien dessinées detachent sur un fond de paysage tenu dans la demi teinte (Murillos (B.))|Un sujet représentant deux jeunes gens jouant aux dez, derrière eux une jeune mandiante tenant un panier à son bras droit, prend part à leurs plaisirs. Ces trois figures peintes avec goût et bien dessinées detachent sur un fond de paysage tenu dans la demi teinte]] réalisée par Murillos (B.), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Thierry au prix de 40 fl. [79]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'intérieur d'une maison rustique, dans laquelle l'artiste a placé un vieillard assis sur un baquet, jouant du violon, et paroissant accompagner une femme qui chante, à côté d'eux on voit un enfant qui joue de la flûte. Ce petit Tableau d'une belle couleur et rempli d'effet, est du bon faire de ce maître (Metzu (Gabriel))|L'intérieur d'une maison rustique, dans laquelle l'artiste a placé un vieillard assis sur un baquet, jouant du violon, et paroissant accompagner une femme qui chante, à côté d'eux on voit un enfant qui joue de la flûte. Ce petit Tableau d'une belle couleur et rempli d'effet, est du bon faire de ce maître]] réalisée par Metzu (Gabriel), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Deroy au prix de 72 fl. [80]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ulysse dans le palais de Circé la ménace de la mort si elle ne detruit le charme qui reduit ses compagnons à l'état de bête. Vers le milieu du Tableau, le guerrier, dans une attitude énergique, tire son épée, l'enchanteresse à genoux implore sa clémence et dépose à ses pieds sa baguette magique et le livre qui contient les secrets de son art, derrière elle on voit deux femmes, l'une d'elles fuit épouvantée, l'autre par ses jestes indique la frayeur qu'elle éprouve, le fond offre la vue d'un jardin charmant où l'on voit plusieurs personnes métamorphosées en cochons. Ce tableau, d'un fini precieux et d'une charmante couleur, est remarquable par un bel effet de lumière (Mieris (François))|Ulysse dans le palais de Circé la ménace de la mort si elle ne detruit le charme qui reduit ses compagnons à l'état de bête. Vers le milieu du Tableau, le guerrier, dans une attitude énergique, tire son épée, l'enchanteresse à genoux implore sa clémence et dépose à ses pieds sa baguette magique et le livre qui contient les secrets de son art, derrière elle on voit deux femmes, l'une d'elles fuit épouvantée, l'autre par ses jestes indique la frayeur qu'elle éprouve, le fond offre la vue d'un jardin charmant où l'on voit plusieurs personnes métamorphosées en cochons. Ce tableau, d'un fini precieux et d'une charmante couleur, est remarquable par un bel effet de lumière]] réalisée par Mieris (François), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Deroy au prix de 225 fl. [81]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau site de paysage, pris à l'effet d'un soleil couchant, toute la partie droite du devant est occupée par un massif d'arbres artistement feuillés et servant à faire valoir un débris d'architecture, au bas duquel est une fontaine où plusieurs personnes se désaltèrent ainsi que différents animaux (Lorrain (Claude))|Un beau site de paysage, pris à l'effet d'un soleil couchant, toute la partie droite du devant est occupée par un massif d'arbres artistement feuillés et servant à faire valoir un débris d'architecture, au bas duquel est une fontaine où plusieurs personnes se désaltèrent ainsi que différents animaux]] réalisée par Lorrain (Claude), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Burtin fils au prix de 20 fl. [82]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La multiplication des pains, composition de quatre figures vues à mi-corps, de proportion naturelle. Le Christ occupe la partie gauche du Tableau, il bénit les pains et les poissons qu'un jeune homme lui présente dans un panier, ses disciples qui l'environnent témoigent leur admiration à la vue du prodige que leur divin maître opère sous leurs yeux. La couleur de ce Tableau est vigoureuse, la touche en est libre et facile (L'Espagnolet)|La multiplication des pains, composition de quatre figures vues à mi-corps, de proportion naturelle. Le Christ occupe la partie gauche du Tableau, il bénit les pains et les poissons qu'un jeune homme lui présente dans un panier, ses disciples qui l'environnent témoigent leur admiration à la vue du prodige que leur divin maître opère sous leurs yeux. La couleur de ce Tableau est vigoureuse, la touche en est libre et facile]] réalisée par L'Espagnolet, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 12 fl. [83]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le pendant du précédent, un paysage montagneux, sur le devant duquel un berger est assis, jouant de la flutte, auprès de lui est une bergère qui, appuyée sur son coude, s'abandonne à une douce reverie, un troupeau de moutons erre autour d'eux. Ce paysage d'un grand style est orné de belles fabriques (Lucatelli (André))|Le pendant du précédent, un paysage montagneux, sur le devant duquel un berger est assis, jouant de la flutte, auprès de lui est une bergère qui, appuyée sur son coude, s'abandonne à une douce reverie, un troupeau de moutons erre autour d'eux. Ce paysage d'un grand style est orné de belles fabriques]] réalisée par Lucatelli (André), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Godfurnau au prix de 54 fl. [84]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Tableau représentant les débris d'un pont, on voit une jeune bergère conversant avec un berger qui pêche sur le bord d'un petit ruisseau ; plus loin des moutons reposent dans différentes attitudes. Ce Tableau d'un effet piquant et d'un ton chaud et vigoureux (Lucatelli (André))|Un beau Tableau représentant les débris d'un pont, on voit une jeune bergère conversant avec un berger qui pêche sur le bord d'un petit ruisseau ; plus loin des moutons reposent dans différentes attitudes. Ce Tableau d'un effet piquant et d'un ton chaud et vigoureux]] réalisée par Lucatelli (André), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Godfurnau au prix de 68 fl. [85]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Tableau représentant Télémaque, se séparant de sa mère au moment qu'il va partir pour aller à la recherche de son père. La scène se passe dans un sallon de l'architecture la plus riche, orné de statues et de basreliefs en bronze (Lairesse (Gérard De))|Un beau Tableau représentant Télémaque, se séparant de sa mère au moment qu'il va partir pour aller à la recherche de son père. La scène se passe dans un sallon de l'architecture la plus riche, orné de statues et de basreliefs en bronze]] réalisée par Lairesse (Gérard De), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 34 fl. [86]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Phinée, transporté de fureur de ce que Persée lui avoit ravis Andromède, et jaloux de la gloire de son rival, vient troubler le festin de ses noces en armant contre ce héros les cephéins qui, ainsi que lui, sont métamorphosés en pierres à l'aspect de la tête de Méduse: la scène se passe dans le vestibule d'un palais d'une riche architecture. Ce sujet bien conçu et bien exécuté, prouve que ce célèbre artiste possédait à un degré très-éminent toutes les différentes parties de son art (Lairesse (Gérard De))|Phinée, transporté de fureur de ce que Persée lui avoit ravis Andromède, et jaloux de la gloire de son rival, vient troubler le festin de ses noces en armant contre ce héros les cephéins qui, ainsi que lui, sont métamorphosés en pierres à l'aspect de la tête de Méduse: la scène se passe dans le vestibule d'un palais d'une riche architecture. Ce sujet bien conçu et bien exécuté, prouve que ce célèbre artiste possédait à un degré très-éminent toutes les différentes parties de son art]] réalisée par Lairesse (Gérard De), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 200 fl. [87]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Ste Vierge, représentée sur un nuage, tient de la main gauche un globe qu'un ange soutient et sur lequel l'enfant Jesus est assis. Derrière elle un autre ange, porte sa draperie, cette figure est bien dessinée, les plis de sa draperie sont largement jettés. Le ton de couleur de ce petit Tableau est très-agréable (Un inconnu)|La Ste Vierge, représentée sur un nuage, tient de la main gauche un globe qu'un ange soutient et sur lequel l'enfant Jesus est assis. Derrière elle un autre ange, porte sa draperie, cette figure est bien dessinée, les plis de sa draperie sont largement jettés. Le ton de couleur de ce petit Tableau est très-agréable]] réalisée par Un inconnu, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par van Parys au prix de 15 fl. [89]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Loth et ses filles, sur le devant du sujet on voit ce vieillard assis et apuyé sur les genoux de l'aînée de ses filles qui, par un geste qu'elle fait de la main, semble ordonner à sa soeur d'emplir une soucoupe de jus de raisin, dont elle tient une grappe qu'elle presse entre ses doigts: cette dernière figure detache en partie dans un ton de demi teinte sur le fond du Tableau à l'endroit où est placée la ville de Sodome consumée par les flammes que l'on voit dans le lointain. Ces figures de proportion naturelle sont bien dessinées, les têtes ont de l'expression, la couleur est vraie, harmonieuse et l'effet très-piquant (Jordano (Lucas))|Loth et ses filles, sur le devant du sujet on voit ce vieillard assis et apuyé sur les genoux de l'aînée de ses filles qui, par un geste qu'elle fait de la main, semble ordonner à sa soeur d'emplir une soucoupe de jus de raisin, dont elle tient une grappe qu'elle presse entre ses doigts: cette dernière figure detache en partie dans un ton de demi teinte sur le fond du Tableau à l'endroit où est placée la ville de Sodome consumée par les flammes que l'on voit dans le lointain. Ces figures de proportion naturelle sont bien dessinées, les têtes ont de l'expression, la couleur est vraie, harmonieuse et l'effet très-piquant]] réalisée par Jordano (Lucas), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Coquerau au prix de 12 fl. [90]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet représentant un festin de dieux, compositions de six figures, sur le premier plan on voit Mercure ayant une coupe à la main assis devant une table chargée de fruits et entourée des déesses. Ce Tableau rempli d'effet est d'une vigeur de coloris surprenante (Jordans (Jacques))|Un sujet représentant un festin de dieux, compositions de six figures, sur le premier plan on voit Mercure ayant une coupe à la main assis devant une table chargée de fruits et entourée des déesses. Ce Tableau rempli d'effet est d'une vigeur de coloris surprenante]] réalisée par Jordans (Jacques), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 72 fl. [91]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un grand et superbe paysage d'une immense étendue de pays, traversé dans toute sa profondeur par une rivière dont les deux rives sont couvertes de villes, bourgs et hameaux, toute la partie droite est occupée par une chaine de montagnes escarpées, en opposition avec une masse de rochers placés sur sur le premier plan et du somet duquel un ruisseau tombe en cascade. Baut a orné ce beau Tableau d'une grande quantité de figures que l'on croirait être peintes par Teniers tant elles sont supérieures a toutes celles qu'il avait coutume d'introduire dans beaucoup d'autres tableaux (Heil (Van))|Un grand et superbe paysage d'une immense étendue de pays, traversé dans toute sa profondeur par une rivière dont les deux rives sont couvertes de villes, bourgs et hameaux, toute la partie droite est occupée par une chaine de montagnes escarpées, en opposition avec une masse de rochers placés sur sur le premier plan et du somet duquel un ruisseau tombe en cascade. Baut a orné ce beau Tableau d'une grande quantité de figures que l'on croirait être peintes par Teniers tant elles sont supérieures a toutes celles qu'il avait coutume d'introduire dans beaucoup d'autres tableaux]] réalisée par Heil (Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Origé au prix de 52 fl. [93]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte-Vierge présentant une poire au petit Jesus qu'elle tient devant elle assis sur un coussin écarlate, la lumiére la plus éclatante est repandue sur la figure de l'Enfant et se reproduit par reflets sur la tête et le corps de la Vierge, ce qui produit un bel effet et rend ce tableau precieux (Harlem (Corneil De))|La Sainte-Vierge présentant une poire au petit Jesus qu'elle tient devant elle assis sur un coussin écarlate, la lumiére la plus éclatante est repandue sur la figure de l'Enfant et se reproduit par reflets sur la tête et le corps de la Vierge, ce qui produit un bel effet et rend ce tableau precieux]] réalisée par Harlem (Corneil De), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 64 fl. [94]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un riche paysage, toute la partie gauche du sujet est occupée par des ruines offrant des débrits d'un vaste édifice élevé au bord d'une rivière, bornée à l'autre extrêmité par une chaine de montagnes. Sur le devant et à l'endroit ou frappe la plus grande lumière, on voit sur un chemin bordé de broussailles, plusieurs figures et animaux, du faire le plus délicat de J. Lingebag (Hoock (J.H.D.))|Le point de vue d'un riche paysage, toute la partie gauche du sujet est occupée par des ruines offrant des débrits d'un vaste édifice élevé au bord d'une rivière, bornée à l'autre extrêmité par une chaine de montagnes. Sur le devant et à l'endroit ou frappe la plus grande lumière, on voit sur un chemin bordé de broussailles, plusieurs figures et animaux, du faire le plus délicat de J. Lingebag]] réalisée par Hoock (J.H.D.), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par van Parys au prix de 72 fl. [97]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'une habitation rustique on voit un Satyre assis près d'une table, la tête appuyée sur son poing, regardant attentivement et d'un air de surprise un homme et une femme qui souffle sur une cuillèrée de bouillie, derriere eux un autre personnage va servir un plat chargé de viandes, dans l'enfoncement une femme est occupée à surveiller une marmite posée sur le feu. Ce Tableau est d'un coloris vigoureux et d'un effet piquant, les objets de détail y sont peints et touchés avec une grande vérité (Herp (Van))|Dans l'intérieur d'une habitation rustique on voit un Satyre assis près d'une table, la tête appuyée sur son poing, regardant attentivement et d'un air de surprise un homme et une femme qui souffle sur une cuillèrée de bouillie, derriere eux un autre personnage va servir un plat chargé de viandes, dans l'enfoncement une femme est occupée à surveiller une marmite posée sur le feu. Ce Tableau est d'un coloris vigoureux et d'un effet piquant, les objets de détail y sont peints et touchés avec une grande vérité]] réalisée par Herp (Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verheyden au prix de 185 fl. [98]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de Charles le Hardi, duc de Bourgogne, il est représenté en cuirasse, la tête vue en trois quarts et un peu inclinée sur l'épaule droite dont le bras est posé sur l'appui d'une fenêtre en marbre de couleur ; de sa main gauche il tient son casque qui est a côté de lui. Ce morçeau très-fini et très-bien détaillé est du ton de couleur le plus vigoureux (Giorgion (Le))|Le portrait de Charles le Hardi, duc de Bourgogne, il est représenté en cuirasse, la tête vue en trois quarts et un peu inclinée sur l'épaule droite dont le bras est posé sur l'appui d'une fenêtre en marbre de couleur ; de sa main gauche il tient son casque qui est a côté de lui. Ce morçeau très-fini et très-bien détaillé est du ton de couleur le plus vigoureux]] réalisée par Giorgion (Le), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par De Roy au prix de 44 fl. [100]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La mort d'Abel, composition de sept figures dont cinq sont de grandeur naturelle, Adam et son épouse, dans des attitudes exprimant la plus vive douleur, entourent leur fils étendu mort dans un dessin de racourcis, à côté de lui, sa jeune épouse fondant en larmes, se livre au plus affreux désespoir ; derrière elle on voit un Lion qui déchire un Agneau ; cette scène attendrissante se passe sur le devant d'un vaste paysage. Ce Tableau très-fini dans toutes ses parties est d'un grand gout de dessin, il offre en outre des détails très-gracieux il est gravé (Flore (François))|La mort d'Abel, composition de sept figures dont cinq sont de grandeur naturelle, Adam et son épouse, dans des attitudes exprimant la plus vive douleur, entourent leur fils étendu mort dans un dessin de racourcis, à côté de lui, sa jeune épouse fondant en larmes, se livre au plus affreux désespoir ; derrière elle on voit un Lion qui déchire un Agneau ; cette scène attendrissante se passe sur le devant d'un vaste paysage. Ce Tableau très-fini dans toutes ses parties est d'un grand gout de dessin, il offre en outre des détails très-gracieux il est gravé]] réalisée par Flore (François), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Feignaux au prix de 22 fl. [101]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Tableau de premier ordre, représentant la naissance de Vénus, la Déesse dans l'attitude la plus gracieuse, est assise dans une conque, une naiade l'aide à en sortir, des tritons l'entourent et s'abandonnent à la plus vive allegresse, des amours voltigent autour d'elle et la parent de guirlandes de fleurs tandis que l'un d'eux monté sur un dauphin fait raisoner une trompe marine, sur le devant les trois graces dans des attitudes très-variées viennent recevoir la déesse de la beauté, l'une d'elles vue presqu'en face est voilée depuis la ceinture jusqu'au bas des jambes, d'un gaze leger qui laisse voir à travers la transparance de son leger tissu, les contours delicats de la nature la mieux choisie, il seroit difficile d'introduire dans un semblable sujet plus de graces et de délicatesse, tout y respire la plus aimable volupté, et c'est à juste titre que cette magnifique composition passe pour être le chef-d'oeuvre de ce maître (Egmont (Le Chevalier Juste))|Un Tableau de premier ordre, représentant la naissance de Vénus, la Déesse dans l'attitude la plus gracieuse, est assise dans une conque, une naiade l'aide à en sortir, des tritons l'entourent et s'abandonnent à la plus vive allegresse, des amours voltigent autour d'elle et la parent de guirlandes de fleurs tandis que l'un d'eux monté sur un dauphin fait raisoner une trompe marine, sur le devant les trois graces dans des attitudes très-variées viennent recevoir la déesse de la beauté, l'une d'elles vue presqu'en face est voilée depuis la ceinture jusqu'au bas des jambes, d'un gaze leger qui laisse voir à travers la transparance de son leger tissu, les contours delicats de la nature la mieux choisie, il seroit difficile d'introduire dans un semblable sujet plus de graces et de délicatesse, tout y respire la plus aimable volupté, et c'est à juste titre que cette magnifique composition passe pour être le chef-d'oeuvre de ce maître]] réalisée par Egmont (Le Chevalier Juste), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Camusel au prix de 240 fl. [104]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un très-beau Tableau de Chevalet, représentant la flagellation de Notre Seigneur, composition de seize figures, toutes bien dessinées et d'un fini qui ne laisse rien a désirer. L'estampe que l'on a gravé d'après cette belle production nous dispense de la détailler (D'Arpinas (Joseph))|Un très-beau Tableau de Chevalet, représentant la flagellation de Notre Seigneur, composition de seize figures, toutes bien dessinées et d'un fini qui ne laisse rien a désirer. L'estampe que l'on a gravé d'après cette belle production nous dispense de la détailler]] réalisée par D'Arpinas (Joseph), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 30 fl. [105]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'un cabinet d'étude, un savant ecclésiastique, d'un âge assez avancé, est assis dans un fauteuil, devant une table sur laquelle est posé un livre ouvert, une mappemonde et une petite figure en bronze ; sa tête est vue en profil ; il taille une plume et paraît méditatif. Le fond du sujet est orné de différents objets, parmi lesquels on découvre plusieurs livres en désordre sur deux planches ; le tout tenu dans un ton de demi teinte agréable, qui fait ressortir d'une manière à produire l'illussion sic la partie éclairée du sujet qui reçoit la lumière par une fenêtre garni d'un rideau de couleur verdatre. L'extrême fini de ce petit Tableau et la délicatesse avec laquelle il est touché, le rendent admirable (Douw (Gérard))|Dans l'intérieur d'un cabinet d'étude, un savant ecclésiastique, d'un âge assez avancé, est assis dans un fauteuil, devant une table sur laquelle est posé un livre ouvert, une mappemonde et une petite figure en bronze ; sa tête est vue en profil ; il taille une plume et paraît méditatif. Le fond du sujet est orné de différents objets, parmi lesquels on découvre plusieurs livres en désordre sur deux planches ; le tout tenu dans un ton de demi teinte agréable, qui fait ressortir d'une manière à produire l'illussion sic la partie éclairée du sujet qui reçoit la lumière par une fenêtre garni d'un rideau de couleur verdatre. L'extrême fini de ce petit Tableau et la délicatesse avec laquelle il est touché, le rendent admirable]] réalisée par Douw (Gérard), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Passemiers au prix de 230 fl. [106]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La tête d'un guerrier, tenant un drapeau; il est revêtu d'une cuirasse, coëffé d'un casque surmonté d'un panache rouge. Ce morçeau, exécuté avec feu, est de la touche la plus savante de ce maître. Tous les détails de son armure sont rendus avec une vérité surprenante (Dyck (Antoine Van))|La tête d'un guerrier, tenant un drapeau; il est revêtu d'une cuirasse, coëffé d'un casque surmonté d'un panache rouge. Ce morçeau, exécuté avec feu, est de la touche la plus savante de ce maître. Tous les détails de son armure sont rendus avec une vérité surprenante]] réalisée par Dyck (Antoine Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier de Gand au prix de 40 fl. [108]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau tableau reprétentant sic un jeune homme de quinze à seize ans ayant a coté de lui un chein levrier qu'il montre de la main droite de l'autre il tient son chapeau, derrière lui on voit une colonne d'architecture en partie cachée par une draperie dont les plies sont largement jetés, le chien est rendu avec une grande vérité (Dyck (Antoine Van))|Un beau tableau reprétentant sic un jeune homme de quinze à seize ans ayant a coté de lui un chein levrier qu'il montre de la main droite de l'autre il tient son chapeau, derrière lui on voit une colonne d'architecture en partie cachée par une draperie dont les plies sont largement jetés, le chien est rendu avec une grande vérité]] réalisée par Dyck (Antoine Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier au prix de 46 fl. [111]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le martyre de St. Sebastien, composition de trois figures de grandeur naturelle, le St. est attaché à un tronc d'arbre, les bras élévés au-dessus de sa tète, et dans une position qui developpe d'une manière heureuse toutes les parties d'un beau corps, deux anges sont à ses cotés, l'un degage une jambe du lïen qui la retenait, l'autre tache de retirer une flèche enfoncée dans la poitrine de ce saint martyr. Ce Tableau bien dessiné et d'une bonne couleur à été peint en Italie dans le temps que Van Dyck y étudiait les grands maîtres de cette célèbre école (Dyck (Antoine Van))|Le martyre de St. Sebastien, composition de trois figures de grandeur naturelle, le St. est attaché à un tronc d'arbre, les bras élévés au-dessus de sa tète, et dans une position qui developpe d'une manière heureuse toutes les parties d'un beau corps, deux anges sont à ses cotés, l'un degage une jambe du lïen qui la retenait, l'autre tache de retirer une flèche enfoncée dans la poitrine de ce saint martyr. Ce Tableau bien dessiné et d'une bonne couleur à été peint en Italie dans le temps que Van Dyck y étudiait les grands maîtres de cette célèbre école]] réalisée par Dyck (Antoine Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Passemiers au prix de 18 fl. [112]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ mort attaché sur la croix entre les deux larrons, du côté gauche et dans le coin du sujet, une groupe de cavaliers detache avec force sur un ciel ténébreux, la partie opposée est occupée par la Vierge représentée dans une attitude marquant la plus grande affliction, à ses cotés sont St.-Jean, Marie et la Madelaine, celle-ci les cheveux épars sur le visage et dans la plus profonde douleur, embrasse les pieds de la croix qu'elle arrose de ses larmes. Ce morceau des mains de maître réunit toutes les parties de l'art dans un très-haut point de perfection (Dyck (Antoine Van))|Le Christ mort attaché sur la croix entre les deux larrons, du côté gauche et dans le coin du sujet, une groupe de cavaliers detache avec force sur un ciel ténébreux, la partie opposée est occupée par la Vierge représentée dans une attitude marquant la plus grande affliction, à ses cotés sont St.-Jean, Marie et la Madelaine, celle-ci les cheveux épars sur le visage et dans la plus profonde douleur, embrasse les pieds de la croix qu'elle arrose de ses larmes. Ce morceau des mains de maître réunit toutes les parties de l'art dans un très-haut point de perfection]] réalisée par Dyck (Antoine Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Lefranc au prix de 200 fl. [113]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un tableau peint en grisaille, composition de quinze figures, réprésentant la mort de la Ste. Vierge, on la voit expirée étendue sur un lit et entourée des disciples de Jesus-Christ, dans le haut du tableau l'artiste l'a représentée au moment de son ascension au ciel (Coxie (Michel))|Un tableau peint en grisaille, composition de quinze figures, réprésentant la mort de la Ste. Vierge, on la voit expirée étendue sur un lit et entourée des disciples de Jesus-Christ, dans le haut du tableau l'artiste l'a représentée au moment de son ascension au ciel]] réalisée par Coxie (Michel), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Coquerau au prix de 16 fl. [115]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le repas du levite, grand et magnifique sujet, qu'il serait impossible de détailler dans un description de catalogue. Le grand fini, la beauté des expressions que l'artiste à su varier à l'infini, la richesse du détail, tout enfin est porté dans ce précieux tableau au plus haut degré de perfection (Covi (Dominique))|Le repas du levite, grand et magnifique sujet, qu'il serait impossible de détailler dans un description de catalogue. Le grand fini, la beauté des expressions que l'artiste à su varier à l'infini, la richesse du détail, tout enfin est porté dans ce précieux tableau au plus haut degré de perfection]] réalisée par Covi (Dominique), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Tierry au prix de 205 fl. [116]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Tableau allegorique, représentant l'apothêose de Louis le Grand, les dieux rassemblés dans l'olimpe reçoivent le héros qui s'avance rapidement vers eux, à ses pieds est un amas d'armes qu'un genie embrasse, Minerve apuyée sur un écusson, regarde attentivement le monarque, les muses distinguées par leurs différents attributs, forment plusieurs groupes attistement sic enlassés, des genies leur distribuent des couronnes, tandis que la Renommée embouchant sa trompette publie les grandes actions de ce héros. Ce tableau plein d'harmonie et d'une fonte de couleur admirable est rempli d'effet et touché avec une grande délicatesse (Champagne (Philippe De))|Un Tableau allegorique, représentant l'apothêose de Louis le Grand, les dieux rassemblés dans l'olimpe reçoivent le héros qui s'avance rapidement vers eux, à ses pieds est un amas d'armes qu'un genie embrasse, Minerve apuyée sur un écusson, regarde attentivement le monarque, les muses distinguées par leurs différents attributs, forment plusieurs groupes attistement sic enlassés, des genies leur distribuent des couronnes, tandis que la Renommée embouchant sa trompette publie les grandes actions de ce héros. Ce tableau plein d'harmonie et d'une fonte de couleur admirable est rempli d'effet et touché avec une grande délicatesse]] réalisée par Champagne (Philippe De), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Pitet au prix de 82 fl. [117]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La conversion de St. Paul, grande et riche composition pleine de mouvement et exécuté avec feu d'une force et d'une vigueur de coloris, que l'on rencontre rarement dans cet habile maître. Ce Tableau provient du couvent de St.-Pierre où il a toujours fait l'admiration des connaisseurs (Crayer (Gaspar De))|La conversion de St. Paul, grande et riche composition pleine de mouvement et exécuté avec feu d'une force et d'une vigueur de coloris, que l'on rencontre rarement dans cet habile maître. Ce Tableau provient du couvent de St.-Pierre où il a toujours fait l'admiration des connaisseurs]] réalisée par Crayer (Gaspar De), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 620 fl. [120]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le serpent d'Airain, composition de dix-huit figures d'une belle proportion. Sur le premier plan, on voit un homme renversé mordu par un serpent, qui se débat et tache de dégager sa jambe des replis du reptyle, tout son corps ainsi que sa physionomie expriment par la contraction des muscles, la douleur qu'il ressent des morsures du perfide animal. A côté de lui un vieillard expirant, fait un dernier effort afin de pouvoir fixer ses regards sur l'objet qui doit le preserver de la mort. A droite dans le coin du Tableau, on voit une tendre mère alaitant son nourrisson, une jeune fille lui fait observer un serpent qui rampe vers elle. Plus loin une jeune femme soulève un petit enfant, dont elle tache d'attirer l'attention vers l'endroit ou est placé l'objet préservateur que le législateur des hébreux montre de sa verge. Le clair obscur de ce beau Tableau est bien raisonné, les figures sont pleines de noblesse et d'une carnation, la touche est d'un moileux admirable (Castelli (Valerio))|Le serpent d'Airain, composition de dix-huit figures d'une belle proportion. Sur le premier plan, on voit un homme renversé mordu par un serpent, qui se débat et tache de dégager sa jambe des replis du reptyle, tout son corps ainsi que sa physionomie expriment par la contraction des muscles, la douleur qu'il ressent des morsures du perfide animal. A côté de lui un vieillard expirant, fait un dernier effort afin de pouvoir fixer ses regards sur l'objet qui doit le preserver de la mort. A droite dans le coin du Tableau, on voit une tendre mère alaitant son nourrisson, une jeune fille lui fait observer un serpent qui rampe vers elle. Plus loin une jeune femme soulève un petit enfant, dont elle tache d'attirer l'attention vers l'endroit ou est placé l'objet préservateur que le législateur des hébreux montre de sa verge. Le clair obscur de ce beau Tableau est bien raisonné, les figures sont pleines de noblesse et d'une carnation, la touche est d'un moileux admirable]] réalisée par Castelli (Valerio), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Pitet au prix de 62 fl. [122]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[St. Sébastien, mourant, attaché nu à un arbre, il a le flanc droit percé d'une flèche qu'une femme détache, derrière elle on voit deux autres femmes, l'une déplore le triste sort de cette victime de la foi, l'autre apporte dans un verre de l'eau pour panser les plaies du St. Martyr. Les figures sont d'un grand gout de dessin et d'une couleur suave (Caravage (Michel Ange De))|St. Sébastien, mourant, attaché nu à un arbre, il a le flanc droit percé d'une flèche qu'une femme détache, derrière elle on voit deux autres femmes, l'une déplore le triste sort de cette victime de la foi, l'autre apporte dans un verre de l'eau pour panser les plaies du St. Martyr. Les figures sont d'un grand gout de dessin et d'une couleur suave]] réalisée par Caravage (Michel Ange De), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verheyden au prix de 14 fl. [123]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Jean assis dans le désert, il est réprésenté sous la figure d'un jeune adolescent d'une grande beauté. Ce sujet est gravé à l'eau forte, le grand gout de dessin que cet habile maître possédait, se trouve réuni dans ce beau Tableau et a une couleur très-agréable (Carache (Annibal))|Saint Jean assis dans le désert, il est réprésenté sous la figure d'un jeune adolescent d'une grande beauté. Ce sujet est gravé à l'eau forte, le grand gout de dessin que cet habile maître possédait, se trouve réuni dans ce beau Tableau et a une couleur très-agréable]] réalisée par Carache (Annibal), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Thiery au prix de 17 fl. [124]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un superbe Tableau de paysage, représentant un monticule sabloneux, couvert de mousse et surmonté de quelques arbres légèrement feuillés. Vers le milieu du sujet on remarque une femme montant un cheval baie brun. Elle s'entretient avec un chasseur qui rajuste ses bottes, il s'est débarassé de sa carnassière qu'il a posé à terre, ainsi que son fusil ; à côté de lui, plusieurs chiens courants sont réprésentés dans différentes attitudes, sur un plan plus reculé, deux valets de chiens groupant avec un cheval blanc, sont au pied d'une masse de rocher couvert de broussailles, qui se détache du ton de couleur le plus chaud et le plus harmonieux sur un Ciel légèrement nuagé. Ce tableau rempli d'effet est du plus bel empâtement de couleur (Cuyp (Albert))|Un superbe Tableau de paysage, représentant un monticule sabloneux, couvert de mousse et surmonté de quelques arbres légèrement feuillés. Vers le milieu du sujet on remarque une femme montant un cheval baie brun. Elle s'entretient avec un chasseur qui rajuste ses bottes, il s'est débarassé de sa carnassière qu'il a posé à terre, ainsi que son fusil ; à côté de lui, plusieurs chiens courants sont réprésentés dans différentes attitudes, sur un plan plus reculé, deux valets de chiens groupant avec un cheval blanc, sont au pied d'une masse de rocher couvert de broussailles, qui se détache du ton de couleur le plus chaud et le plus harmonieux sur un Ciel légèrement nuagé. Ce tableau rempli d'effet est du plus bel empâtement de couleur]] réalisée par Cuyp (Albert), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Mahy d'Anvers au prix de 105 fl. [127]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un point de vue très-exact, d'une grande place de Rome, sur laquelle on voit un cortège nombreux accompagner la Haquenée, que le roi de Naples offrait tous les ans au Pape. La place est remplie d'une multitude innombrable de figures peintes avec cette vérité et cette liberté de pinçeau si familière à ce maître (Bloemen (Pierre Van))|Un point de vue très-exact, d'une grande place de Rome, sur laquelle on voit un cortège nombreux accompagner la Haquenée, que le roi de Naples offrait tous les ans au Pape. La place est remplie d'une multitude innombrable de figures peintes avec cette vérité et cette liberté de pinçeau si familière à ce maître]] réalisée par Bloemen (Pierre Van), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Deroy au prix de 74 fl. [132]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ porté au Sépulcre, composition de neuf figures. Sur le devant du sujet la Magdelaine en pleurs, est agénouillée devant le corps mort de Jesus-Christ, qui est porté sur un lincueil par Joseph d'Arimathie. La Vierge est prête à s'évanouir de douleur, les saintes femmes la soutiennent et voudraient l'arracher à ce triste spectacle. Ce Tableau est d'une grande pureté de dessin et d'une fonte de couleur admirable (Baroche (Frédéric))|Le Christ porté au Sépulcre, composition de neuf figures. Sur le devant du sujet la Magdelaine en pleurs, est agénouillée devant le corps mort de Jesus-Christ, qui est porté sur un lincueil par Joseph d'Arimathie. La Vierge est prête à s'évanouir de douleur, les saintes femmes la soutiennent et voudraient l'arracher à ce triste spectacle. Ce Tableau est d'une grande pureté de dessin et d'une fonte de couleur admirable]] réalisée par Baroche (Frédéric), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Tierry au prix de 62 fl. [133]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une grande composition de onze figures d'une belle proposition et de l'exécution la plus brillante, représentant une troupe de Bohêmiens et Bohêmiennes, entourant une jeune dame qu'il ont enlevée à son mari. Celui-ci, guidé par ses chiens qui ont découvert la trace de leur maitresse, s'approche d'un air suppliant, du réduit ou se sont refugiés ces brigands et parait réclamer sa jeune épouse. Une vieille femme de la bande le repousse avec dedain. Les autres personnages par leur différentes attitudes et expressions, concourent à rendre cette scène très-intéressante. Le fond du Tableau offre la vue d'un riche paysage (Both (André))|Une grande composition de onze figures d'une belle proposition et de l'exécution la plus brillante, représentant une troupe de Bohêmiens et Bohêmiennes, entourant une jeune dame qu'il ont enlevée à son mari. Celui-ci, guidé par ses chiens qui ont découvert la trace de leur maitresse, s'approche d'un air suppliant, du réduit ou se sont refugiés ces brigands et parait réclamer sa jeune épouse. Une vieille femme de la bande le repousse avec dedain. Les autres personnages par leur différentes attitudes et expressions, concourent à rendre cette scène très-intéressante. Le fond du Tableau offre la vue d'un riche paysage]] réalisée par Both (André), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Vervier de Gand au prix de 64 fl. [135]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet d'Antiochus le tyran, qui meurt rongé par les vers. Il tombe de son char qui se renverse et se brise sous lui ; un esclave le saisit au travers du corps et fait tout ce qu'il peut pour rendre sa chute moins périlleuse, ses cheveaux s'emportent, leur conducteur , saisi d'effroi, fait des efforts pour les retenir, les soldats composant sa suite, sont épouvantés et fuyent loin d'un spectacle aussi affreux. Tous ces caractères sont rendus avec beaucoup de noblesse et de vérité. Ce Tableau bien dessiné est peint largement et touché avec franchise (Benedotte, dit Castilione)|Le sujet d'Antiochus le tyran, qui meurt rongé par les vers. Il tombe de son char qui se renverse et se brise sous lui ; un esclave le saisit au travers du corps et fait tout ce qu'il peut pour rendre sa chute moins périlleuse, ses cheveaux s'emportent, leur conducteur , saisi d'effroi, fait des efforts pour les retenir, les soldats composant sa suite, sont épouvantés et fuyent loin d'un spectacle aussi affreux. Tous ces caractères sont rendus avec beaucoup de noblesse et de vérité. Ce Tableau bien dessiné est peint largement et touché avec franchise]] réalisée par Benedotte, dit Castilione, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Burtin fils au prix de 28 fl. [136]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une grande étendue de Mer, couverte de vaisseaux et bornée à l'horison par la vue du Cap de Bonne-Espérance, le devant de cette riche composition est orné de plusieurs figures, parmi lesquelles on distingue des marins occupés à porter de tonneaux dans une chaloupe, qui parait être celle d'un grand vaisseau à l'ancre que l'on voit non loin d'eux, garni de toutes ses voiles et agrès, détaillées avec autant de délicatesse que de précision, ayant sur son bord un grand nombre de voyageurs. Plus loin, tirant vers la droite, on voit quelques vaisseaux voguant à pleine voile: le Ciel se couvre de nuages, la Mer s'agite, tout parait annoncer l'approche d'une tempête. Ce morceau capital est rendu avec cette vérité étonnante qui a acquis à son auteur la réputation du plus habile peintre dans ce genre (Backhuys (Louis))|Une grande étendue de Mer, couverte de vaisseaux et bornée à l'horison par la vue du Cap de Bonne-Espérance, le devant de cette riche composition est orné de plusieurs figures, parmi lesquelles on distingue des marins occupés à porter de tonneaux dans une chaloupe, qui parait être celle d'un grand vaisseau à l'ancre que l'on voit non loin d'eux, garni de toutes ses voiles et agrès, détaillées avec autant de délicatesse que de précision, ayant sur son bord un grand nombre de voyageurs. Plus loin, tirant vers la droite, on voit quelques vaisseaux voguant à pleine voile: le Ciel se couvre de nuages, la Mer s'agite, tout parait annoncer l'approche d'une tempête. Ce morceau capital est rendu avec cette vérité étonnante qui a acquis à son auteur la réputation du plus habile peintre dans ce genre]] réalisée par Backhuys (Louis), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Verbelen au prix de 280 fl. [138]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit Tableau plus qu'esquisse, plein d'effet et d'une touche ragoutante, sur le devant des animaux traversent une mare d'eau, leur conducteur est à cheval et parle à une femme qui marche à côté de lui ; plus loin, un petit pâtre, porte sur ses épaules un jeune mouton ; toutes ces figures détachent en claire sur des belles masses d'arbres mêlées de broussailles qui ombragent le sommet d'une petite éminence, derrière laquelle on découvre des montagnes chargées de vapeurs qui s'unissent à un ciel nébuleux (Berghem (Nicolas))|Un petit Tableau plus qu'esquisse, plein d'effet et d'une touche ragoutante, sur le devant des animaux traversent une mare d'eau, leur conducteur est à cheval et parle à une femme qui marche à côté de lui ; plus loin, un petit pâtre, porte sur ses épaules un jeune mouton ; toutes ces figures détachent en claire sur des belles masses d'arbres mêlées de broussailles qui ombragent le sommet d'une petite éminence, derrière laquelle on découvre des montagnes chargées de vapeurs qui s'unissent à un ciel nébuleux]] réalisée par Berghem (Nicolas), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Passemiers au prix de 115 fl. [139]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un effet de nuit, représentant la révelation aux bergers, plusieurs groupes d'animaux de différentes espèces et d'une belle proportion sont heureusement distribués sur les divers plans d'un monticule sabloneux mêlé de gazons, qui occupe le devant d'un beau paysage couvert d'habitations rustiques, auprès desquelles des pâtres avec leurs femmes paraissent étonnés et saisis d'admiration à l'apparition d'un choeur d'Anges, qui répand sur eux une vive clarté. Ce tableau largement peint est d'un bel effet (Berghem (Nicolas))|Un effet de nuit, représentant la révelation aux bergers, plusieurs groupes d'animaux de différentes espèces et d'une belle proportion sont heureusement distribués sur les divers plans d'un monticule sabloneux mêlé de gazons, qui occupe le devant d'un beau paysage couvert d'habitations rustiques, auprès desquelles des pâtres avec leurs femmes paraissent étonnés et saisis d'admiration à l'apparition d'un choeur d'Anges, qui répand sur eux une vive clarté. Ce tableau largement peint est d'un bel effet]] réalisée par Berghem (Nicolas), vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Thierry au prix de 105 fl. [140]
  • 1806.08.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le point de vue d'un riche paysage pris dans les environs de Chambery, près de St. Jean de Maurienne, sur le devant on voit une barque qu'un marin pousse à bord pour prendre des passagers ; une bête de somme chargée, ainsi que plusieurs autres figures, touchées avec esprit, cheminent vers le rivage, par un chemin pratiqué sous un rocher taillé en arcade et surmonté de belles masses d'arbres. A l'autre extrêmité de la rivière, on découvre un port ou plusieurs vaisseaux marchands sont à la rade ; des lointains charmans, se détachant avec harmonie sur un ciel clair et légèrement nuagé, terminent ce riant et magnifique paysage qui peut être cité pour une des bonnes productions de ce maître (Asseleyn (Jean) dit Crabbetje)|Le point de vue d'un riche paysage pris dans les environs de Chambery, près de St. Jean de Maurienne, sur le devant on voit une barque qu'un marin pousse à bord pour prendre des passagers ; une bête de somme chargée, ainsi que plusieurs autres figures, touchées avec esprit, cheminent vers le rivage, par un chemin pratiqué sous un rocher taillé en arcade et surmonté de belles masses d'arbres. A l'autre extrêmité de la rivière, on découvre un port ou plusieurs vaisseaux marchands sont à la rade ; des lointains charmans, se détachant avec harmonie sur un ciel clair et légèrement nuagé, terminent ce riant et magnifique paysage qui peut être cité pour une des bonnes productions de ce maître]] réalisée par Asseleyn (Jean) dit Crabbetje, vendue par Léopold-Joseph Cocquereau, achetée par Burtin au prix de 200 fl. [142]