Ventes d'œuvres le 1811.04.29

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  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vue prise des cascatelles de Tivoli, dont les eaux forment un torrent qui vient se perdre dans des récifs couverts d'arbres. On voit sur la cime de la montagne diverses fabriques, ainsi que les ruines d'anciens monuments. Quelques figures heureusement distribuées sur différents plans, ajoutent à la richesse de ce paysage, dont l'effet juste et vaporeux ne le céde en rien à la beauté de l'exécution (M. Bidault (Romae 1790))|Une vue prise des cascatelles de Tivoli, dont les eaux forment un torrent qui vient se perdre dans des récifs couverts d'arbres. On voit sur la cime de la montagne diverses fabriques, ainsi que les ruines d'anciens monuments. Quelques figures heureusement distribuées sur différents plans, ajoutent à la richesse de ce paysage, dont l'effet juste et vaporeux ne le céde en rien à la beauté de l'exécution]] réalisée par M. Bidault (Romae 1790), vendue par Jauffret, achetée par De saint au prix de 450 fl. [2]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue d'un site traversé par une rivière avec perspective d'une ville. Les premiers plans couverts de ruines d'anciens monuments, sont aussi enrichis de différentes figures par Gauffier, dont les principales offrent le sujet de Belisaire qui demande l'aumône. Ce tableau touché avec autant d'esprit que de fermeté, est encore une production d'un artiste distingué que la mort a trop tôt enlevé aux arts (Burg (van der), à Rome)|Point de vue d'un site traversé par une rivière avec perspective d'une ville. Les premiers plans couverts de ruines d'anciens monuments, sont aussi enrichis de différentes figures par Gauffier, dont les principales offrent le sujet de Belisaire qui demande l'aumône. Ce tableau touché avec autant d'esprit que de fermeté, est encore une production d'un artiste distingué que la mort a trop tôt enlevé aux arts]] réalisée par Burg (van der), à Rome, vendue par Jauffret, achetée par Marthe au prix de 40 fl. [3]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'un appartement. On y voit sur le devant du sujet, un jeune homme pressant avec instance une demoiselle de s'asseoir sur un sopha, et plus loin, une vieille qui se retire avec une bourse d'argent. Tableau d'une couleur agréable et d'une exécution facile (M. Boilly)|Intérieur d'un appartement. On y voit sur le devant du sujet, un jeune homme pressant avec instance une demoiselle de s'asseoir sur un sopha, et plus loin, une vieille qui se retire avec une bourse d'argent. Tableau d'une couleur agréable et d'une exécution facile]] réalisée par M. Boilly, vendue par Jauffret, achetée par ...gorp au prix de 76 fl. [4]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de Blanche de Castille, mère de Saint Louis, délivrant des prisonniers détenus dans les prisons du chapitre de l'église de Notre-Dame de Paris. Tableau intéressant sous le rapport historique comme sous celui de l'art. Il a été gravé par l'auteur, et lors de la vente on en donnera l'estampe à l'acquéreur (M. Bounieu)|Le sujet de Blanche de Castille, mère de Saint Louis, délivrant des prisonniers détenus dans les prisons du chapitre de l'église de Notre-Dame de Paris. Tableau intéressant sous le rapport historique comme sous celui de l'art. Il a été gravé par l'auteur, et lors de la vente on en donnera l'estampe à l'acquéreur]] réalisée par M. Bounieu, vendue par Jauffret, achetée par Marthe au prix de 110.5 fl. [5]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marie de Médicis assise au milieu de ses enfants, et obtenant de Henri IV d'être couronnée avant son départ pour l'armée. A droite, sur un plan reculé, est Sully qui exprime son mécontentement. Ce tableau rempli de riches détails et d'une couleur agréable, a été aussi gravé pr l'auteur (M. Bounieu)|Marie de Médicis assise au milieu de ses enfants, et obtenant de Henri IV d'être couronnée avant son départ pour l'armée. A droite, sur un plan reculé, est Sully qui exprime son mécontentement. Ce tableau rempli de riches détails et d'une couleur agréable, a été aussi gravé pr l'auteur]] réalisée par M. Bounieu, vendue par Jauffret, achetée par [[[Lei]ble]] au prix de 56.95 fl. [6]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'entrée d'un village, avec habitations rustiques au bord d'une rivière, et lointain de plaines couvertes de bestiaux. Quelques figures distribuées avec art sur différens plans, ainsi que nombre d'accessoires tels que vases de terre, chaudrons, tonneaux et autres ustensiles, contribuent à la richesse de ce tableau que nous présentons comme une des intéressantes productions de son auteur (M. Drolling (1803))|L'entrée d'un village, avec habitations rustiques au bord d'une rivière, et lointain de plaines couvertes de bestiaux. Quelques figures distribuées avec art sur différens plans, ainsi que nombre d'accessoires tels que vases de terre, chaudrons, tonneaux et autres ustensiles, contribuent à la richesse de ce tableau que nous présentons comme une des intéressantes productions de son auteur]] réalisée par M. Drolling (1803), vendue par Jauffret, achetée par Chesse au prix de 403 fl. [12]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau d'un ton de couleur argentin et d'une exécution soignée dans tous les détails, offre l'intérieur d'une ferme enrichie de figures, parmi lesquelles on distingue une jeune paysanne avec ses enfants, dont elle tient le plus jeune sur ses genoux (M. Drolling)|Ce tableau d'un ton de couleur argentin et d'une exécution soignée dans tous les détails, offre l'intérieur d'une ferme enrichie de figures, parmi lesquelles on distingue une jeune paysanne avec ses enfants, dont elle tient le plus jeune sur ses genoux]] réalisée par M. Drolling, vendue par Jauffret, achetée par Saint au prix de 175 fl. [13]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue d'un paysage dont la partie gauche est occupée par quelques habitations de pêcheurs, en opposition avec une rivière sur laquelle est un pont rustique qui sert de repoussoir à un lointain de plaines et de montagnes. Les premiers plans sont enrichis de figures parmi lesquelles on remarque trois matelots qui retirent leur filets. Tableau d'une bonne couleur et d'un aspect agréable (M. Eschard (1792))|Point de vue d'un paysage dont la partie gauche est occupée par quelques habitations de pêcheurs, en opposition avec une rivière sur laquelle est un pont rustique qui sert de repoussoir à un lointain de plaines et de montagnes. Les premiers plans sont enrichis de figures parmi lesquelles on remarque trois matelots qui retirent leur filets. Tableau d'une bonne couleur et d'un aspect agréable]] réalisée par M. Eschard (1792), vendue par Jauffret, achetée par Biodel au prix de 33 fl. [15]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au milieu d'une vaste campagne et sur le déclin du jour, Bélisaire, l'honneur du nom romain, et l'une des victimes les plus illustres des caprices du sort, vient d'en recevoir le dernier et le plus terrible des coups. Son jeune guide, compagnon de ses misères et son consolateur, a été blessé par un serpent qui est encore attaché à sa jambe. Sans connoissance et sur le point d'expirer, le héros infortuné le porte d'une main, et cherche, à l'aide d'un bâton qu'il tient de l'autre, à guider ses pas ; mais il est sur le bord d'un précipice. Ce sujet traité en grand par M. Gérard, a été exposé, il y a quelques années, au salon. Celui que nous offrons en est la repétition en petit par le même auteur, que feu M. Jauffret obtint de son amitié. Elle joint au faire le plus précieux le large de l'effet, le grandiose des formes et la noblesse des caractères qui ont mérité au premier le suffrage de tous les vrais connoisseurs (M. Gérard)|Au milieu d'une vaste campagne et sur le déclin du jour, Bélisaire, l'honneur du nom romain, et l'une des victimes les plus illustres des caprices du sort, vient d'en recevoir le dernier et le plus terrible des coups. Son jeune guide, compagnon de ses misères et son consolateur, a été blessé par un serpent qui est encore attaché à sa jambe. Sans connoissance et sur le point d'expirer, le héros infortuné le porte d'une main, et cherche, à l'aide d'un bâton qu'il tient de l'autre, à guider ses pas ; mais il est sur le bord d'un précipice. Ce sujet traité en grand par M. Gérard, a été exposé, il y a quelques années, au salon. Celui que nous offrons en est la repétition en petit par le même auteur, que feu M. Jauffret obtint de son amitié. Elle joint au faire le plus précieux le large de l'effet, le grandiose des formes et la noblesse des caractères qui ont mérité au premier le suffrage de tous les vrais connoisseurs]] réalisée par M. Gérard, vendue par Jauffret au prix de 2005 fl. [17]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les dames romaines, faisant don à la patrie de leurs bijoux et de leurs ornements. Cette composition capitale de vingt figures toutes variées d'attitudes et d'expressions, offre autant de sagesse dans l'ordonnance que de correction dans le dessin. C'est avec raison qu'on l'a placée au nombre des meilleures productions de cet habile peintre, qui contemporain et rival du célèbre Drouais, concourut, en 1783, pour le grand prix de Rome, sur le sujet de la Cananéenne aux pieds de Jésus-Christ, et obtint avec lui un premier prix (Gauffier (Louis). Romae 1790)|Les dames romaines, faisant don à la patrie de leurs bijoux et de leurs ornements. Cette composition capitale de vingt figures toutes variées d'attitudes et d'expressions, offre autant de sagesse dans l'ordonnance que de correction dans le dessin. C'est avec raison qu'on l'a placée au nombre des meilleures productions de cet habile peintre, qui contemporain et rival du célèbre Drouais, concourut, en 1783, pour le grand prix de Rome, sur le sujet de la Cananéenne aux pieds de Jésus-Christ, et obtint avec lui un premier prix]] réalisée par Gauffier (Louis). Romae 1790, vendue par Jauffret, achetée par Marthe au prix de 321 fl. [18]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site d'un aspect imposant, dont toute la partie droite est occupée par une masse de rocher, en opposition avec un riche lointain de plaines et de montagnes arrosées par le Tibre. Les devants sont ornés de figures de belle proportion offrant le sujet de Faustule, intendant des bergers du roi Amulius, qui remet à Laurentia son épouse, Remus et Romulus qu'il vient de trouver sur les bords du fleuve. Dans l'éloignement à l'entrée du rocher, l'on aperçoit la la louve qui les a nourris. Tableau d'une belle couleur et d'une exécution soignée dans tous ses détails (Gauffier (Louis). (Floréal an 5.e de la R.))|Site d'un aspect imposant, dont toute la partie droite est occupée par une masse de rocher, en opposition avec un riche lointain de plaines et de montagnes arrosées par le Tibre. Les devants sont ornés de figures de belle proportion offrant le sujet de Faustule, intendant des bergers du roi Amulius, qui remet à Laurentia son épouse, Remus et Romulus qu'il vient de trouver sur les bords du fleuve. Dans l'éloignement à l'entrée du rocher, l'on aperçoit la la louve qui les a nourris. Tableau d'une belle couleur et d'une exécution soignée dans tous ses détails]] réalisée par Gauffier (Louis). (Floréal an 5.e de la R.), vendue par Jauffret au prix de 120 fl. [19]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de la Présentation au temple. La Vierge en pied sur le premier degré, présente son fils à Saint Siméon, qui les yeux élevés vers le ciel, où brille une gloire d'anges, compose le cantique Nunc dimittis. Une vapeur céleste environne le Sauveur du monde, qui est soutenu par deux anges. Saint Joseph suit la Vierge et apporte son offrande composée de deux colombes. Toutes ces figures se détachent dans un ton suave et harmonieux, sur un fond de nuages à travers lesquels on distingue dans l'éloignment, sur la gauche, un palais de la plus riche architecture (Le Pendant par M. Lagrenée jeune, en 1775)|Le sujet de la Présentation au temple. La Vierge en pied sur le premier degré, présente son fils à Saint Siméon, qui les yeux élevés vers le ciel, où brille une gloire d'anges, compose le cantique Nunc dimittis. Une vapeur céleste environne le Sauveur du monde, qui est soutenu par deux anges. Saint Joseph suit la Vierge et apporte son offrande composée de deux colombes. Toutes ces figures se détachent dans un ton suave et harmonieux, sur un fond de nuages à travers lesquels on distingue dans l'éloignment, sur la gauche, un palais de la plus riche architecture]] réalisée par Le Pendant par M. Lagrenée jeune, en 1775, vendue par Jauffret, achetée par Laroche au prix de 110 fl. [21]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue de paysage par un temps de neige. Au milieu est une fabrique de bon style, vers laquelle se dirigent deux bûcherons ; sur la droite, près d'une barrière et en opposition avec la partie gauche occupée par des dunes couvertes de frimats, on voit encore un angar où des paysans se chauffent à un grand feu. Tous les amateurs connoissent le talent distingué et inimitable de M. van Loo dans ce genre ; le tableau que nous venons de décrire en est un échantillon précieux, autant par la vérité de l'effet que par l'esprit de la touche (M. César van Loo, 1811)|Point de vue de paysage par un temps de neige. Au milieu est une fabrique de bon style, vers laquelle se dirigent deux bûcherons ; sur la droite, près d'une barrière et en opposition avec la partie gauche occupée par des dunes couvertes de frimats, on voit encore un angar où des paysans se chauffent à un grand feu. Tous les amateurs connoissent le talent distingué et inimitable de M. van Loo dans ce genre ; le tableau que nous venons de décrire en est un échantillon précieux, autant par la vérité de l'effet que par l'esprit de la touche]] réalisée par M. César van Loo, 1811, vendue par Jauffret au prix de 121... fl. [22]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Madeleine sous les traits de madame de la Vallière. Elle est représentée assise à l'entrée du rocher qui lui sert de retraite, les cheveux en désordre et les mains jointes. On ne peut offrir un tableau plus séduisant, soit par la beauté de la figure, la fraîcheur du coloris ou la légéreté de la touche (Mignard (Pierre))|La Madeleine sous les traits de madame de la Vallière. Elle est représentée assise à l'entrée du rocher qui lui sert de retraite, les cheveux en désordre et les mains jointes. On ne peut offrir un tableau plus séduisant, soit par la beauté de la figure, la fraîcheur du coloris ou la légéreté de la touche]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Jauffret au prix de 37 fl. [24]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'un riche appartement, un personnage vêtu à l'espagnol est assis et regarde avec complaisance une jeune demoiselle qui, debout devant lui, est appuyée sur une table ronde couverte d'un tapis de Turqui. Dans l'éloignement, à gauche, on aperçoit un page qui porte un faucon sur son poing. Tableau d'une couleur agréable et d'une exécution soignée dans tous ses détails (M. Mallet)|Dans l'intérieur d'un riche appartement, un personnage vêtu à l'espagnol est assis et regarde avec complaisance une jeune demoiselle qui, debout devant lui, est appuyée sur une table ronde couverte d'un tapis de Turqui. Dans l'éloignement, à gauche, on aperçoit un page qui porte un faucon sur son poing. Tableau d'une couleur agréable et d'une exécution soignée dans tous ses détails]] réalisée par M. Mallet, vendue par Jauffret, achetée par ..liere au prix de 81 fl. [26]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux paysages, effet du soleil couchant, offrant l'un et l'autre des sites pittoresques avec rochers couronnés d'arbustes et de quelques fabriques. Tous deux sont enrichis de figures ; dans l'un, des pâtres gardent des chèvres, et dans l'autre, deux pêcheurs assis au bord d'un lac, causent ensemble (M. Naudou)|Deux paysages, effet du soleil couchant, offrant l'un et l'autre des sites pittoresques avec rochers couronnés d'arbustes et de quelques fabriques. Tous deux sont enrichis de figures ; dans l'un, des pâtres gardent des chèvres, et dans l'autre, deux pêcheurs assis au bord d'un lac, causent ensemble]] réalisée par M. Naudou, vendue par Jauffret, achetée par ...uylan au prix de 75 fl. [27]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux esquisses de forme chantournée, représentant, l'une le miracle de la piscine, et l'autre, Jésus parmis les docteurs. Ces deux précieux morceaux touchés avec autant de facilité que d'esprit, offrent les projets de plus grands ouvrages exécutés par ce célèbre artiste, et proviennent de la collection du bailli de Breteuil (Panini (J.P.))|Deux esquisses de forme chantournée, représentant, l'une le miracle de la piscine, et l'autre, Jésus parmis les docteurs. Ces deux précieux morceaux touchés avec autant de facilité que d'esprit, offrent les projets de plus grands ouvrages exécutés par ce célèbre artiste, et proviennent de la collection du bailli de Breteuil]] réalisée par Panini (J.P.), vendue par Jauffret, achetée par Coll... au prix de 116.5 fl. [28]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte famille dans un fond de paysage. On y voit la Vierge assise, ayant sur elle l'enfant Jésus à qui Saint Jean présente la croix ; à droite est Saint Joseph tenant une planche sur laquelle il prend des mesures avec un compas. Tableau d'une couleur brillante et d'un pinceau moelleux (Stella (Jacques))|La Sainte famille dans un fond de paysage. On y voit la Vierge assise, ayant sur elle l'enfant Jésus à qui Saint Jean présente la croix ; à droite est Saint Joseph tenant une planche sur laquelle il prend des mesures avec un compas. Tableau d'une couleur brillante et d'un pinceau moelleux]] réalisée par Stella (Jacques), vendue par Jauffret au prix de 44.5 fl. [30]
  • 1811.04.29/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marius à Minturne, dans le moment où le Cimbre envoyé pour le faire périr, frappé de respect à sa vue, s'd'ecrie : Je ne pourrai jamais tuer Marius. Ce sujet d'un grand caractère et traité avec énergie, est attribué à M. Fabre (École de M. David)|Marius à Minturne, dans le moment où le Cimbre envoyé pour le faire périr, frappé de respect à sa vue, s'd'ecrie : Je ne pourrai jamais tuer Marius. Ce sujet d'un grand caractère et traité avec énergie, est attribué à M. Fabre]] réalisée par École de M. David, vendue par Jauffret au prix de 24 fl. [33]