Ventes d'œuvres le 1812.02.13

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  • 1812.02.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un port de mer. Dans ce tableau, l'un des plus capitaux du maître, sont réunis des personnages de toutes conditions et de tous pays ; différens animaux, des sculptures, de magnifiques fabriques, un grand nombre de vaisseaux de guerre ou marchands, en un mot tout ce que le génie pouvait y introduire de richesses pittoresques (Jean-Baptiste Weeninx)|La Vue d'un port de mer. Dans ce tableau, l'un des plus capitaux du maître, sont réunis des personnages de toutes conditions et de tous pays ; différens animaux, des sculptures, de magnifiques fabriques, un grand nombre de vaisseaux de guerre ou marchands, en un mot tout ce que le génie pouvait y introduire de richesses pittoresques]] réalisée par Jean-Baptiste Weeninx, vendue par Forioso aîné, achetée par Constantin au prix de 1460 fl. [1]
  • 1812.02.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Déesse de la Beauté, couronnée de fleurs et assise sur un trône, reçoit les hommages de Cérès et de Bacchus. Par cette composition, l'auteur a sans doute voulu mettre en scène cet ancien adage : Sine Baccho et Cerere friget Venus (Corneille Poelenbourg)|La Déesse de la Beauté, couronnée de fleurs et assise sur un trône, reçoit les hommages de Cérès et de Bacchus. Par cette composition, l'auteur a sans doute voulu mettre en scène cet ancien adage : Sine Baccho et Cerere friget Venus]] réalisée par Corneille Poelenbourg, vendue par Forioso aîné, achetée par Samson au prix de 220 fl. [2]
  • 1812.02.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Village situé sur le bord d'une rivière. La terre est toute couverte de neige et de glaçons ; cependant l'oeil n'est point attristé par leur teinte monotone et froide : un ciel serein et les rayons du soleil prêt à se coucher, répandent au contraire dans l'air et sur chaque objet une sorte de chaleur de coloris et un éclat que l'on ne rencontre guère que dans les hivers dus au pinceau de Vander-Neer (Arnould Vander-Neer)|Un Village situé sur le bord d'une rivière. La terre est toute couverte de neige et de glaçons ; cependant l'oeil n'est point attristé par leur teinte monotone et froide : un ciel serein et les rayons du soleil prêt à se coucher, répandent au contraire dans l'air et sur chaque objet une sorte de chaleur de coloris et un éclat que l'on ne rencontre guère que dans les hivers dus au pinceau de Vander-Neer]] réalisée par Arnould Vander-Neer, vendue par Forioso aîné, achetée par Chaize au prix de 471 fl. [4]
  • 1812.02.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Chasseur entouré d'une nombreuse meute de chiens, et deux valets faisant le rappel au son du cor. Beaucoup d'ouvrages de Teniers sont plus finis que celui-ci, mais aucun n'atteste mieux l'étonnante adresse avec laquelle il maniait le pinceau, et l'étude approfondie qu'il avait faite du caractère de chaque animal domestique (David Teniers)|Un Chasseur entouré d'une nombreuse meute de chiens, et deux valets faisant le rappel au son du cor. Beaucoup d'ouvrages de Teniers sont plus finis que celui-ci, mais aucun n'atteste mieux l'étonnante adresse avec laquelle il maniait le pinceau, et l'étude approfondie qu'il avait faite du caractère de chaque animal domestique]] réalisée par David Teniers, vendue par Forioso aîné, achetée par Regnaut au prix de 692 fl. [6]
  • 1812.02.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Achille avait été envoyé par sa mère à la cour de Lycomède, et y demeurait sous l'habit de fille ; mais Ulysse, député par les Grecs et déguisé en marchand, étant allé présenter des armes et des bijoux aux dames de cette cour, y reconnut bientôt le jeune prince fils de Pélée, par l'ardeur avec laquelle il se saisit des armes (Henri Vanbalen)|Achille avait été envoyé par sa mère à la cour de Lycomède, et y demeurait sous l'habit de fille ; mais Ulysse, député par les Grecs et déguisé en marchand, étant allé présenter des armes et des bijoux aux dames de cette cour, y reconnut bientôt le jeune prince fils de Pélée, par l'ardeur avec laquelle il se saisit des armes]] réalisée par Henri Vanbalen, vendue par Forioso aîné, achetée par Chaize au prix de 105 fl. [7]
  • 1812.02.13/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Vues de Venise. Les connaisseurs ne confondront pas ces deux tableaux avec le grand nombre de ceux que l'on attribue chaque jour à Canaletti, et qui ne sont que de froides et sèches copies de ses ouvrages, toujours rendus avec chaleur et esprit (Antoine Canaletti)|Deux Vues de Venise. Les connaisseurs ne confondront pas ces deux tableaux avec le grand nombre de ceux que l'on attribue chaque jour à Canaletti, et qui ne sont que de froides et sèches copies de ses ouvrages, toujours rendus avec chaleur et esprit]] réalisée par Antoine Canaletti, vendue par Forioso aîné, achetée par Peillon au prix de 200 fl. [22]