Ventes d'œuvres le 1812.02.25

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  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux ; l'un représente l'enfant prodigue se faisant rendre compte : composition de neuf figures principales et de plus de douze dans le lointain ; l'autre représent le retour de l'enfant prodigue : composition de quatorze figures. Ces deux tableaux, d'une grande rareté, proviennent de la vente de M. Denogaret (Dominique Feti)|Deux Tableaux ; l'un représente l'enfant prodigue se faisant rendre compte : composition de neuf figures principales et de plus de douze dans le lointain ; l'autre représent le retour de l'enfant prodigue : composition de quatorze figures. Ces deux tableaux, d'une grande rareté, proviennent de la vente de M. Denogaret]] réalisée par Dominique Feti, vendue par Hazard, achetée par Fabre au prix de 15 fl. [83]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Hérodiade portant la tête de Saint Jean sur un linge, dans un plat : figures de proportion naturelle, vues à mi-corps. Ce tableau est d'une riche couleur et d'un faire moëlleux. Il vient de la collection du Palais Ricardi à Florence, et de notre Catalogue du 16 avril 1811 (Carlo Dolcy)|Hérodiade portant la tête de Saint Jean sur un linge, dans un plat : figures de proportion naturelle, vues à mi-corps. Ce tableau est d'une riche couleur et d'un faire moëlleux. Il vient de la collection du Palais Ricardi à Florence, et de notre Catalogue du 16 avril 1811]] réalisée par Carlo Dolcy, vendue par Hazard, achetée par Fabre au prix de 200 fl. [86]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage où l'on remarque, sur le devant, la vue d'un chemin qui conduit à une barrière de l'autre côté de laquelle on construit une maison en brique. On y remarque encore un pont-levis qui conduit à une maison que l'on voit à travers des masses d'arbres. Ce tableau a été exécuté dans la force de ce maître, et provient de notre collection d'avril 1811, no. 96 (J. Ruysdaal)|Un Paysage où l'on remarque, sur le devant, la vue d'un chemin qui conduit à une barrière de l'autre côté de laquelle on construit une maison en brique. On y remarque encore un pont-levis qui conduit à une maison que l'on voit à travers des masses d'arbres. Ce tableau a été exécuté dans la force de ce maître, et provient de notre collection d'avril 1811, no. 96]] réalisée par J. Ruysdaal, vendue par Hazard, achetée par Jamard au prix de 452 fl. [96]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Vue de la Norwège, où l'on voit des torrens qui traversent des rochers sur lesquels sont plusieurs habitations en bois. Ce maître, imitateur fidèle de la nature, est l'égal de J. Ruysdaal. Moyen tableau en travers, peint sur toile. Il provient de la vente de M. Raymond, no. 10 de notre Catalogue (Alder Van-Everdingen)|Une Vue de la Norwège, où l'on voit des torrens qui traversent des rochers sur lesquels sont plusieurs habitations en bois. Ce maître, imitateur fidèle de la nature, est l'égal de J. Ruysdaal. Moyen tableau en travers, peint sur toile. Il provient de la vente de M. Raymond, no. 10 de notre Catalogue]] réalisée par Alder Van-Everdingen, vendue par Hazard, achetée par Jamard au prix de 251 fl. [97]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vne d'un chemin, où l'on voit, sur la droite, un cabaret en plan coupé, une femme va y entrer ; deux cavaliers et une femme à cheval sont arrêtés pour se rafraîchir. On voit aussi le maître de l'hôtellerie qui semble attendre qu'un cavalier ait bu ; sur la gauche, un pâtre endormi, gardant trois moutons ; dans le fond, sur la route, on voit trois petites figures, dont un cavalier. Ce tableau, d'une harmonie et d'une touche fine, tient à la manière de Banboche, qu'il fut forcé d'imiter pour placer alors cet ouvrage. Il provient de notre vente d'avril 1811, no. 129 (Philippe Wouvermans)|La Vne d'un chemin, où l'on voit, sur la droite, un cabaret en plan coupé, une femme va y entrer ; deux cavaliers et une femme à cheval sont arrêtés pour se rafraîchir. On voit aussi le maître de l'hôtellerie qui semble attendre qu'un cavalier ait bu ; sur la gauche, un pâtre endormi, gardant trois moutons ; dans le fond, sur la route, on voit trois petites figures, dont un cavalier. Ce tableau, d'une harmonie et d'une touche fine, tient à la manière de Banboche, qu'il fut forcé d'imiter pour placer alors cet ouvrage. Il provient de notre vente d'avril 1811, no. 129]] réalisée par Philippe Wouvermans, vendue par Hazard, achetée par Laneuville au prix de 381 [ou] 781 fl. [99]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage, où l'on voit, sur le devant et en plan coupé, deux pêcheurs tirant leurs filets le long de la rivière qui traverse de droite à gauche ; de l'autre côté, une vache et trois moutons sont à boire ; derrière eux, une pelouse s'étend jusqu'auprès d'un bois ; on y aperçoit différens bestiaux. Ce bois, composé d'arbres élevés, est varié d'espèces et de couleurs. La gauche offre une grande étendu de pays et de montagnes éclairés par un ciel brillant et lumineux. Ce rare et précieux tableau, grace à sa vapeur aérienne, nous fait, en quelque sorte, respirer l'air d'une belle journée. Nous ne pouvons le comparer qu'au petit dessinateur gravé dans le recueil de Choiseul. Il provient du cabinet de M. de Smeth, no. 49 du Catalogue (Carle Du Jardin)|Un Paysage, où l'on voit, sur le devant et en plan coupé, deux pêcheurs tirant leurs filets le long de la rivière qui traverse de droite à gauche ; de l'autre côté, une vache et trois moutons sont à boire ; derrière eux, une pelouse s'étend jusqu'auprès d'un bois ; on y aperçoit différens bestiaux. Ce bois, composé d'arbres élevés, est varié d'espèces et de couleurs. La gauche offre une grande étendu de pays et de montagnes éclairés par un ciel brillant et lumineux. Ce rare et précieux tableau, grace à sa vapeur aérienne, nous fait, en quelque sorte, respirer l'air d'une belle journée. Nous ne pouvons le comparer qu'au petit dessinateur gravé dans le recueil de Choiseul. Il provient du cabinet de M. de Smeth, no. 49 du Catalogue]] réalisée par Carle Du Jardin, vendue par Hazard, achetée par Lebrun au prix de 1300 fl. [105]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un vaste pays coupé de montagnes, enrichi de pont, de bâtimens, de masses d'arbres et de montagnes élevées les unes sur les autres. On voit, sur le premier plan, une femme montée sur un âne et deux pâtres debout près d'elle ; en plan coupé, un homme conduit son cheval chargé vers un gué, auprès duquel on voit deux ânes et deux personnages. Ce tableau, exécuté en Italie, vient de la vente de M. de Smeth, no. 3 de son Catalogue, et du notre, le 16 avril 1811, no. 130 (Carle Du Jardin)|La Vue d'un vaste pays coupé de montagnes, enrichi de pont, de bâtimens, de masses d'arbres et de montagnes élevées les unes sur les autres. On voit, sur le premier plan, une femme montée sur un âne et deux pâtres debout près d'elle ; en plan coupé, un homme conduit son cheval chargé vers un gué, auprès duquel on voit deux ânes et deux personnages. Ce tableau, exécuté en Italie, vient de la vente de M. de Smeth, no. 3 de son Catalogue, et du notre, le 16 avril 1811, no. 130]] réalisée par Carle Du Jardin, vendue par Hazard, achetée par Hazard au prix de 201 fl. [106]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'une place de village, où l'on remarque, sur la gauche, une auberge devant laquelle deux cavaliers viennent de s'arrêter ; l'un, sur son cheval, va recevoir un verre de bière qu'une jeune femme lui présente ; le second, placé sur la droite et sur le premier plan, s'occupe à remettre une des ses bottes, tandis qu'un jeune palfrenier tient son cheval par la bride. Nombre d'autres figures et accessoires enrichissent ce tableau, l'un des plus beaux de ce maître. Il provient de notre collection vendue en avril 1811, sous le no. 166 (Jean Victors)|La Vue d'une place de village, où l'on remarque, sur la gauche, une auberge devant laquelle deux cavaliers viennent de s'arrêter ; l'un, sur son cheval, va recevoir un verre de bière qu'une jeune femme lui présente ; le second, placé sur la droite et sur le premier plan, s'occupe à remettre une des ses bottes, tandis qu'un jeune palfrenier tient son cheval par la bride. Nombre d'autres figures et accessoires enrichissent ce tableau, l'un des plus beaux de ce maître. Il provient de notre collection vendue en avril 1811, sous le no. 166]] réalisée par Jean Victors, vendue par Hazard, achetée par Fabre au prix de 472 fl. [107]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une Cuisine, où l'on voit la cuisinière écaillant un poisson ; la maîtresse entre et vient lui donner des ordres sur la manière de le préparer. Divers accessoires et une porte entr'ouverte, qui laisse voir une autre pièce, terminent ce tableau d'une grande vérité et de l'effet le plus piquant. Il provient de notre vente d'avril 1811, no. 79 (N. Maas)|L'Intérieur d'une Cuisine, où l'on voit la cuisinière écaillant un poisson ; la maîtresse entre et vient lui donner des ordres sur la manière de le préparer. Divers accessoires et une porte entr'ouverte, qui laisse voir une autre pièce, terminent ce tableau d'une grande vérité et de l'effet le plus piquant. Il provient de notre vente d'avril 1811, no. 79]] réalisée par N. Maas, vendue par Hazard, achetée par Jamard au prix de 88 fl. [112]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un riche Paysage d'Arcadie, orné de quatorze figures, dont huit occupées à se baigner ; d'autres jouant de divers instrumens. La noblesse du lieu, la belle distribution des masses d'arbres et le grand style du tout en forment un des beaux ouvrages de ce maître, de forme en travers et de moyenne grandeur, peint sur toile. Il provient de la vente de M. Raymond, no. 11 de notre Catalogue (Glaubert)|Un riche Paysage d'Arcadie, orné de quatorze figures, dont huit occupées à se baigner ; d'autres jouant de divers instrumens. La noblesse du lieu, la belle distribution des masses d'arbres et le grand style du tout en forment un des beaux ouvrages de ce maître, de forme en travers et de moyenne grandeur, peint sur toile. Il provient de la vente de M. Raymond, no. 11 de notre Catalogue]] réalisée par Glaubert, vendue par Hazard, achetée par Fabre au prix de 412 fl. [116]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau Paysage coupé d'un monticule, dominé, sur la droite, par de grands rochers dont la cime est couverte de broussailles ; sur le devant un pâtre, en chemise, conduit un mouton ; deux autres figures et bestiaux enrichissent les différens plans de ce tableau que l'on peut regarder comme un des plus beaux ouvrages de cet habile maître (Jean Vander Hagen)|Un beau Paysage coupé d'un monticule, dominé, sur la droite, par de grands rochers dont la cime est couverte de broussailles ; sur le devant un pâtre, en chemise, conduit un mouton ; deux autres figures et bestiaux enrichissent les différens plans de ce tableau que l'on peut regarder comme un des plus beaux ouvrages de cet habile maître]] réalisée par Jean Vander Hagen, vendue par Hazard. [117]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un Vestibule, où l'on voit différens groupes de femmes et d'enfans occupés à faire de la musique et à jouer : composition de dix-sept figures et de plusieurs animaux, dont un chien blanc qui danse. Tableau capital de ce maître (J.-B. Wéeninx)|La Vue d'un Vestibule, où l'on voit différens groupes de femmes et d'enfans occupés à faire de la musique et à jouer : composition de dix-sept figures et de plusieurs animaux, dont un chien blanc qui danse. Tableau capital de ce maître]] réalisée par J.-B. Wéeninx, vendue par Hazard au prix de 300 fl. [119]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un chemin, d'une porte et d'un pont qui conduit à la campagne. Sur le devant du tableau un cavalier, vêtu d'un manteau rouge, semble indiquer, de la main droite, le chemin à un homme à pied, tenant son chapeau bas. A droite, devant la porte d'un bâtiment, un chien semble aboyer après ce cavalier, tandis qu'un autre, en demi-teinte, pèse sur la porte et est précédé d'un troisième sur le haut du pont. Un paysage fin, des montagnes vaporeuses et un ciel brillant terminent ce précieux tableau, l'un des plus parfaits de ce maître. Il vient de la collection de M. de Smeth, à Amsterdam, no. 2 du Catalogue (J. Asselyn)|La Vue d'un chemin, d'une porte et d'un pont qui conduit à la campagne. Sur le devant du tableau un cavalier, vêtu d'un manteau rouge, semble indiquer, de la main droite, le chemin à un homme à pied, tenant son chapeau bas. A droite, devant la porte d'un bâtiment, un chien semble aboyer après ce cavalier, tandis qu'un autre, en demi-teinte, pèse sur la porte et est précédé d'un troisième sur le haut du pont. Un paysage fin, des montagnes vaporeuses et un ciel brillant terminent ce précieux tableau, l'un des plus parfaits de ce maître. Il vient de la collection de M. de Smeth, à Amsterdam, no. 2 du Catalogue]] réalisée par J. Asselyn, vendue par Hazard, achetée par Lebrun au prix de 1000 fl. [123]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un très-beau Paysage éclairé pr un ciel chaud ; un groupe d'arbres s'élève ver le milieu du tableau ; plusieurs figures et bestiaux enrichissent cette composition, dont la beauté peut être comparée à Jean Both. Il provient de notre collection d'avril 1811 (Abraham Bégyn)|Un très-beau Paysage éclairé pr un ciel chaud ; un groupe d'arbres s'élève ver le milieu du tableau ; plusieurs figures et bestiaux enrichissent cette composition, dont la beauté peut être comparée à Jean Both. Il provient de notre collection d'avril 1811]] réalisée par Abraham Bégyn, vendue par Hazard. [133]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une belle Pelouse enrichie d'un grand nombre de bestiaux de diverses espèces. On y remarque, sur le devant, une paysanne vue par le dos, occupée à traire une brebis ; plus loin, une masure de paysan : tableau d'une belle touche et d'une couleur riche (Baringal)|Une belle Pelouse enrichie d'un grand nombre de bestiaux de diverses espèces. On y remarque, sur le devant, une paysanne vue par le dos, occupée à traire une brebis ; plus loin, une masure de paysan : tableau d'une belle touche et d'une couleur riche]] réalisée par Baringal, vendue par Hazard. [147]
  • 1812.02.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une Ferme à la porte de laquelle on voit une jeune fille occupée à traire une genisse, tandis qu'une autre lui présent de l'herbage ; plus loin, une vieille femme debout tient un pot au lait, près d'elle une vache rousse est à boire, ainsi qu'un berger assis sur la gauche, et en dedans du tableau un bouc, un coq et deux poules enrichissent encore cette composition, l'une des plus belles de ce maître (Lenain)|L'Intérieur d'une Ferme à la porte de laquelle on voit une jeune fille occupée à traire une genisse, tandis qu'une autre lui présent de l'herbage ; plus loin, une vieille femme debout tient un pot au lait, près d'elle une vache rousse est à boire, ainsi qu'un berger assis sur la gauche, et en dedans du tableau un bouc, un coq et deux poules enrichissent encore cette composition, l'une des plus belles de ce maître]] réalisée par Lenain, vendue par Hazard au prix de 360 fl. [156]