Ventes d'œuvres le 1812.11.23

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  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vision de St. François ; la Vierge tenant l'Enfant Jésus, assise sur des nuages et environnée d'une gloire nombreuse de Chérubins. Ce tableau, d'un dessin correct, d'un pinceau moëleux et terminé, est d'une correction qui nous le fait regarder comme executé en Italie (Corneille Poelembourg)|La Vision de St. François ; la Vierge tenant l'Enfant Jésus, assise sur des nuages et environnée d'une gloire nombreuse de Chérubins. Ce tableau, d'un dessin correct, d'un pinceau moëleux et terminé, est d'une correction qui nous le fait regarder comme executé en Italie]] réalisée par Corneille Poelembourg, vendue par Hazard, achetée par Deviers au prix de 200 fl. [7]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue intérieure d'une cuisine, où l'on voit, sur la gauche, deux hommes debout, considérant la beauté d'un cochon ouvert et attaché sur une échelle ; à droite et plus loin est une femme assise près d'un billot entouré de plusieurs enfans, dont trois s'occupent avec une vessie. Ce tableau, que nous pouvons citer comme un des plus beaux et des plus précieux sortis du pinceau des plus grands harmonistes de la peinture, occupera toujours une des premières places dans les cabinets, par sa grande perfection ; aussi a-t-il été remarqué dans les collections de Tolozan, sous le no. 80, et dans celle de M. de Serville, sous le no. 25 (Adrien Van-Ostade)|La Vue intérieure d'une cuisine, où l'on voit, sur la gauche, deux hommes debout, considérant la beauté d'un cochon ouvert et attaché sur une échelle ; à droite et plus loin est une femme assise près d'un billot entouré de plusieurs enfans, dont trois s'occupent avec une vessie. Ce tableau, que nous pouvons citer comme un des plus beaux et des plus précieux sortis du pinceau des plus grands harmonistes de la peinture, occupera toujours une des premières places dans les cabinets, par sa grande perfection ; aussi a-t-il été remarqué dans les collections de Tolozan, sous le no. 80, et dans celle de M. de Serville, sous le no. 25]] réalisée par Adrien Van-Ostade, vendue par Hazard au prix de 3000 fl. [10]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une tabagie : composition de six figures, dont plusieurs debout et d'autres assises autour d'une table, occupées à fumer et à boire : petit tableau rempli d'harmonie et d'un faire transparent et léger. Il provient du cabinet de M. Ledoyen, no. 1 du Catalogue (Adrien Van-Ostade)|L'Intérieur d'une tabagie : composition de six figures, dont plusieurs debout et d'autres assises autour d'une table, occupées à fumer et à boire : petit tableau rempli d'harmonie et d'un faire transparent et léger. Il provient du cabinet de M. Ledoyen, no. 1 du Catalogue]] réalisée par Adrien Van-Ostade, vendue par Hazard, achetée par Berthon au prix de 800 fl. [11]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Repos de voyageurs près des ruines d'une colonne : composition riche et piquante de quatorze figures et de deux chevaux. Ce tableau, d'un ton solide, d'une touche fine et spirituelle, est rempli de détails du plus grand intérêt : il peut être placé au rang des ouvrages précieux de ce maître. Il nous suffira de dire qu'il faisait partie du riche cabinet de M. Dup..., no. 81 du Catalogue de la vente faite par nous en novembre 1811 (P.-H. Wowermans)|Un Repos de voyageurs près des ruines d'une colonne : composition riche et piquante de quatorze figures et de deux chevaux. Ce tableau, d'un ton solide, d'une touche fine et spirituelle, est rempli de détails du plus grand intérêt : il peut être placé au rang des ouvrages précieux de ce maître. Il nous suffira de dire qu'il faisait partie du riche cabinet de M. Dup..., no. 81 du Catalogue de la vente faite par nous en novembre 1811]] réalisée par P.-H. Wowermans, vendue par Hazard, achetée par Jamard au prix de 1081 fl. [12]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vieille Femme richement vêtue, tenant une balance où elle pèse des pièces d'or et cherche des karats dans une boîte qui est ouverte sur la table, où l'on voit aussi un coffret, diverses médailles, des chaînes d'or et autres bijoux. Ce tableau, d'une belle harmonie et de la plus grande vérité, a été regardé comme le portrait de la mère de ce peintre, à laquelle il aurait fait un premier hommage de son talent. Il provient du cabinet de M. de Serville, no. 43 (Gérard Douw)|Une vieille Femme richement vêtue, tenant une balance où elle pèse des pièces d'or et cherche des karats dans une boîte qui est ouverte sur la table, où l'on voit aussi un coffret, diverses médailles, des chaînes d'or et autres bijoux. Ce tableau, d'une belle harmonie et de la plus grande vérité, a été regardé comme le portrait de la mère de ce peintre, à laquelle il aurait fait un premier hommage de son talent. Il provient du cabinet de M. de Serville, no. 43]] réalisée par Gérard Douw, vendue par Hazard au prix de 765 fl. [16]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage d'une composition variée : des rochers, des masses d'arbres, des fabriques, traversés de plusieurs rivières qui viennent enrichir le premier plan, concourent à offrir l'un des plus beaux et des plus précieux ouvrages de cet habile maître, dont la touche, facile et agréable, nous séduit. Le ton chaud d'un soleil et la belle harmonie l'ont justement fait admirer dans la belle collection de M. de Serville, sous le no. 59 du Catalogue de sa vente, d'où il provient (Frédéric Moucheron)|Un Paysage d'une composition variée : des rochers, des masses d'arbres, des fabriques, traversés de plusieurs rivières qui viennent enrichir le premier plan, concourent à offrir l'un des plus beaux et des plus précieux ouvrages de cet habile maître, dont la touche, facile et agréable, nous séduit. Le ton chaud d'un soleil et la belle harmonie l'ont justement fait admirer dans la belle collection de M. de Serville, sous le no. 59 du Catalogue de sa vente, d'où il provient]] réalisée par Frédéric Moucheron, vendue par Hazard, achetée par Lebrun au prix de 1302 fl. [17]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une ferme où l'on voit plusieurs militaires, dont un, sur le devant, est endormi, et auquel une femme vient donner un camouflet ; plus loin, et près d'une cheminée, on voit encore sept autres personnages. Ce tableau harmonieux est aussi d'une couleur vive et piquante (Jean Leduc)|L'Intérieur d'une ferme où l'on voit plusieurs militaires, dont un, sur le devant, est endormi, et auquel une femme vient donner un camouflet ; plus loin, et près d'une cheminée, on voit encore sept autres personnages. Ce tableau harmonieux est aussi d'une couleur vive et piquante]] réalisée par Jean Leduc, vendue par Hazard au prix de 258 fl. [22]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'un appartement ; on y remarque une femme assise, vêtue d'une robe nacarat en satin, à laquelle un cavalier offre un verre de liqueur ; elle est près d'une cheminée où se voit un homme en manteau gris qui se réfléchit dans une glace. Ce tableau, du plus grand effet, a été exécuté pour une place. Il a passé dans la vente Grandpré, no. 103 de son Catalogue (Pierre Dehooge)|L'Intérieur d'un appartement ; on y remarque une femme assise, vêtue d'une robe nacarat en satin, à laquelle un cavalier offre un verre de liqueur ; elle est près d'une cheminée où se voit un homme en manteau gris qui se réfléchit dans une glace. Ce tableau, du plus grand effet, a été exécuté pour une place. Il a passé dans la vente Grandpré, no. 103 de son Catalogue]] réalisée par Pierre Dehooge, vendue par Hazard. [24]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage élevé, vue d'Italie : l'on voit, à droite, une jeune fille assise, occupée à filer et gardant un troupeau de bestiaux : tableau clair, lumineux et des plus agréables de son faire d'Italie. Il fut attribué par M. Clizorius à Karel Dujardin dans la vente du 18 mars 1808, no. 38 (Jean Asselin)|Un Paysage élevé, vue d'Italie : l'on voit, à droite, une jeune fille assise, occupée à filer et gardant un troupeau de bestiaux : tableau clair, lumineux et des plus agréables de son faire d'Italie. Il fut attribué par M. Clizorius à Karel Dujardin dans la vente du 18 mars 1808, no. 38]] réalisée par Jean Asselin, vendue par Hazard, achetée par Deliere au prix de 171 fl. [45]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Prairie sur le devant de laquelle on voit une fileuse environnée de neuf différens bestiaux ; plus loin, et sur la droite, sont un cavalier et trois autres figures. Ce tableau, touché avec une grande facilité, a plusieurs fois été attribué à Nicolas Berghem (Abraham Begyn)|Une Prairie sur le devant de laquelle on voit une fileuse environnée de neuf différens bestiaux ; plus loin, et sur la droite, sont un cavalier et trois autres figures. Ce tableau, touché avec une grande facilité, a plusieurs fois été attribué à Nicolas Berghem]] réalisée par Abraham Begyn, vendue par Hazard, achetée par Berthon au prix de 274 fl. [56]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vaste Paysage éclairé par un ciel chaud ; un groupe d'arbres s'élève vers le milieu du tableau : plusieurs figures et bestiaux enrichissent cette composition, dont la beauté peut être comparée à Jean Both. Il provient de notre vente d'avril 1811 (Abraham Begyn)|Un vaste Paysage éclairé par un ciel chaud ; un groupe d'arbres s'élève vers le milieu du tableau : plusieurs figures et bestiaux enrichissent cette composition, dont la beauté peut être comparée à Jean Both. Il provient de notre vente d'avril 1811]] réalisée par Abraham Begyn, vendue par Hazard, achetée par Berthon au prix de 226 fl. [57]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Pâtre, vue par le dos, monté sur un cheval et conduisant des bestiaux ; deux autres pâtres conduisant d'autres troupeaux sur des montagnes ; enfin plusieurs fabriques enrichissent cette composition, qui est éclairée par un soleil couchant. Il provient de la vente de M. Sylvestre (Abraham Begyn)|Un Pâtre, vue par le dos, monté sur un cheval et conduisant des bestiaux ; deux autres pâtres conduisant d'autres troupeaux sur des montagnes ; enfin plusieurs fabriques enrichissent cette composition, qui est éclairée par un soleil couchant. Il provient de la vente de M. Sylvestre]] réalisée par Abraham Begyn, vendue par Hazard, achetée par Deliere au prix de 410 fl. [58]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Vase enrichi de bas-reliefs représentant des jeux d'enfans. Il est rempli de fleurs assorties, telle que roses, tournesols, pivoines, tulipes, oeillets, iris, jacinthes, etc. et est placé sur une table de marbre. Divers fruits, un nid de mousse concourent à la richesse et à la variété de ce tableau, qui sort du cabinet de M. de Serreville, no. 54 (Juste Van-Huysum)|Un Vase enrichi de bas-reliefs représentant des jeux d'enfans. Il est rempli de fleurs assorties, telle que roses, tournesols, pivoines, tulipes, oeillets, iris, jacinthes, etc. et est placé sur une table de marbre. Divers fruits, un nid de mousse concourent à la richesse et à la variété de ce tableau, qui sort du cabinet de M. de Serreville, no. 54]] réalisée par Juste Van-Huysum, vendue par Hazard, achetée par Berthon au prix de 1669 fl. [60]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Extérieur d'une ferme à la porte de laquelle on voit une jeune fille occupée à traire une genisse, tandis qu'une autre lui présente des herbages ; plus loin une vieille femme debout tient un pot au lait ; près d'elle une vache rousse est à boire, et un berger assis sur la gauche. Un bouc, un coq et deux poules enrichissent encore cette composition, qui est l'une des plus belles de ce maître (Lenain)|L'Extérieur d'une ferme à la porte de laquelle on voit une jeune fille occupée à traire une genisse, tandis qu'une autre lui présente des herbages ; plus loin une vieille femme debout tient un pot au lait ; près d'elle une vache rousse est à boire, et un berger assis sur la gauche. Un bouc, un coq et deux poules enrichissent encore cette composition, qui est l'une des plus belles de ce maître]] réalisée par Lenain, vendue par Hazard au prix de 385 fl. [63]
  • 1812.11.23/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le tems ne nous ayant par permis de donner plus d'étendue à notre Catalogue, nous prions les amateurs de jeter un coup-d'oeil attentif sur tous les tableaux que se trouveront placés sous ce Numéro, parmi lesquels on en trouvera des meilleurs maîtres, des plus piquans et des mieux choisis (Par différens maîtres)|Le tems ne nous ayant par permis de donner plus d'étendue à notre Catalogue, nous prions les amateurs de jeter un coup-d'oeil attentif sur tous les tableaux que se trouveront placés sous ce Numéro, parmi lesquels on en trouvera des meilleurs maîtres, des plus piquans et des mieux choisis]] réalisée par Par différens maîtres, vendue par Hazard. [67]