Ventes d'œuvres le 1813.02.02

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  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge occupé à lire tandis que l'Enfant Jésus est endormi sur elle, près de son berceau couvert d'une draperie bleue ; au-dessus, Sainte Anne, les bras et les mains ouvertes, contemple le petit Jésus : figures vues jusqu'au dessous des genoux. Ce fin tableau nous rappelle les beautés de l'école de Bologne, dont il a été un des habiles maîtres. (Alexandre Thiarini)|La Vierge occupé à lire tandis que l'Enfant Jésus est endormi sur elle, près de son berceau couvert d'une draperie bleue ; au-dessus, Sainte Anne, les bras et les mains ouvertes, contemple le petit Jésus : figures vues jusqu'au dessous des genoux. Ce fin tableau nous rappelle les beautés de l'école de Bologne, dont il a été un des habiles maîtres.]] réalisée par Alexandre Thiarini, achetée par Laneuville au prix de 125 fl. [159]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sainte Élisabeth faisant dire les prières à la Vierge ; plus loin Saint Joachim : figures vues jusqu'au dessous des genoux. Ce petit tableau, l'un des plus finis et des plus précieux de ce maître, est aussi de couleur lumineuse et brillante, ce qui lui donne beaucoup de charmes. (Luc Giordano)|Sainte Élisabeth faisant dire les prières à la Vierge ; plus loin Saint Joachim : figures vues jusqu'au dessous des genoux. Ce petit tableau, l'un des plus finis et des plus précieux de ce maître, est aussi de couleur lumineuse et brillante, ce qui lui donne beaucoup de charmes.]] réalisée par Luc Giordano, achetée par Laneuville au prix de 151 [ou] 154 fl. [162]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Assemblée des Dieux aux nôces de Tétis et de Pélée : composition de vingt figures. Ce maître, justement admiré par la belle couleur qu'il a étudiée à Venise, la grace et le charme qu'il a su donner à tous ses ouvrages est placé parmi les premiers maîtres de l'école flamande ; ses vrais ouvrages sont rares à trouver, et souvent l'on est trompé en achetant des tableaux de Van-Ballenne comme peints par lui, et nous indiquons celui-ci comme un de ses meilleurs. (Jean Rottenhamer)|L'Assemblée des Dieux aux nôces de Tétis et de Pélée : composition de vingt figures. Ce maître, justement admiré par la belle couleur qu'il a étudiée à Venise, la grace et le charme qu'il a su donner à tous ses ouvrages est placé parmi les premiers maîtres de l'école flamande ; ses vrais ouvrages sont rares à trouver, et souvent l'on est trompé en achetant des tableaux de Van-Ballenne comme peints par lui, et nous indiquons celui-ci comme un de ses meilleurs.]] réalisée par Jean Rottenhamer, achetée par Tachinardi au prix de 104 fl. [165]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue intérieure d'une chambre de fermier, où l'on voit, sur la droite, une cheminée devant laquelle une femme est assise, tenant sur elle son chat ; près d'elle est un homme debout, tenant sa pipe ; plus loin une jeune fille touche à un sac de farine ; à gauche, on voit un paysan qui semble vouloir entrer, et est occupé à ouvrir le bas de la porte. Neuf poules, un hibou et nombre d'accessoires enrichissent ce fin et charmant tableau, qui offre toutes les beautés que l'on admire dans ce maître. (David Téniers)|La Vue intérieure d'une chambre de fermier, où l'on voit, sur la droite, une cheminée devant laquelle une femme est assise, tenant sur elle son chat ; près d'elle est un homme debout, tenant sa pipe ; plus loin une jeune fille touche à un sac de farine ; à gauche, on voit un paysan qui semble vouloir entrer, et est occupé à ouvrir le bas de la porte. Neuf poules, un hibou et nombre d'accessoires enrichissent ce fin et charmant tableau, qui offre toutes les beautés que l'on admire dans ce maître.]] réalisée par David Téniers, achetée par Hazard au prix de 272 fl. [169]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Portrait de femme âgée de 48 ans, vue debout, de grandeur naturelle jusqu'aux genoux, vêtue de noir avec coiffe noire, grand fichu blanc rabattu, les mains croisées devant, et tenant un livre d'office et son chapelet. Tableau d'une parfaite imitation de la nature et d'une couleur qui l'a souvent fait attribuer à un plus grand maître. (Pierre Mirevelt)|Un Portrait de femme âgée de 48 ans, vue debout, de grandeur naturelle jusqu'aux genoux, vêtue de noir avec coiffe noire, grand fichu blanc rabattu, les mains croisées devant, et tenant un livre d'office et son chapelet. Tableau d'une parfaite imitation de la nature et d'une couleur qui l'a souvent fait attribuer à un plus grand maître.]] réalisée par Pierre Mirevelt, achetée par Hazard au prix de 73 fl. [172]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Homme, vu à mi-corps, assis devant une table, tenant de la main droite une petite cruche de grès, et est appuyé de la main gauche sur un trictrac ; il a la tête couverte d'un chapeau gris-blanc, portant revers de chemise, un juste-au-corps violet et un manteau. Ce petit tableau est un échantillon de cet habile maître. (Adrien Van-Ostade)|Un Homme, vu à mi-corps, assis devant une table, tenant de la main droite une petite cruche de grès, et est appuyé de la main gauche sur un trictrac ; il a la tête couverte d'un chapeau gris-blanc, portant revers de chemise, un juste-au-corps violet et un manteau. Ce petit tableau est un échantillon de cet habile maître.]] réalisée par Adrien Van-Ostade, achetée par Lebrun au prix de 130 fl. [178]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Rue de village, traversant de droite à gauche ; l'on voit dans le milieu une pauvre femme jouat de la vielle, environnée de quatre enfans sont occupés à jouer avec un moulin-à-vent ; trois divers personnages dans l'intérieur de la maison regardent par dessus le bas de la porte ; plus loin, dans le village, nombre de figures ; en tout l'on en compte vingt-quatre. Ce tableau, l'un des plus fins, des plus piquans, et l'un des capitaux par sa richesse, le rendent digne des plus beaux d'Ostade, son maître. (Corneille Dusart)|Une Rue de village, traversant de droite à gauche ; l'on voit dans le milieu une pauvre femme jouat de la vielle, environnée de quatre enfans sont occupés à jouer avec un moulin-à-vent ; trois divers personnages dans l'intérieur de la maison regardent par dessus le bas de la porte ; plus loin, dans le village, nombre de figures ; en tout l'on en compte vingt-quatre. Ce tableau, l'un des plus fins, des plus piquans, et l'un des capitaux par sa richesse, le rendent digne des plus beaux d'Ostade, son maître.]] réalisée par Corneille Dusart au prix de 2000 fl. [179]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage montueux ; l'on y voit, sur le premier plan, une rivière au dessus de terrains sablonneux et montueux, entouré d'une haie, auprès de laquelle l'on remarque un homme et un chien ; en face, un chemin montant à un village où l'on voit plusieurs maisons environnées de masses d'arbres, et tout au haut une église ; tout ce terrain montueux va descendant vers la gauche où est une femme assise et un homme qui semble lui parler ; plus bas un voyageur chargé, accompagné de son chien ; la droite offre un arbre qui s'élève devant une maison en partie construite en bois. Ce tableau vigoureux est d'un faire et d'une touche brillante ; l'on ne peut voir la nature mieux rendue ni avec une plus grande harmonie. (Jacques Ruysdaal)|Un Paysage montueux ; l'on y voit, sur le premier plan, une rivière au dessus de terrains sablonneux et montueux, entouré d'une haie, auprès de laquelle l'on remarque un homme et un chien ; en face, un chemin montant à un village où l'on voit plusieurs maisons environnées de masses d'arbres, et tout au haut une église ; tout ce terrain montueux va descendant vers la gauche où est une femme assise et un homme qui semble lui parler ; plus bas un voyageur chargé, accompagné de son chien ; la droite offre un arbre qui s'élève devant une maison en partie construite en bois. Ce tableau vigoureux est d'un faire et d'une touche brillante ; l'on ne peut voir la nature mieux rendue ni avec une plus grande harmonie.]] réalisée par Jacques Ruysdaal, achetée par Naudou au prix de 810 fl. [180]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Demoiselle assise, pinçant du cistre : ses cheveux sont tombans, ses épaules et sa gorge sont couverts de plusieurs fichus brodés, ainsi que des bouts de manches retroussés ; elle est vêtue d'une robe noire et d'une jupe de satin couleur noisette, tenant dessus un livre ouvert. A sa droite est une table couverte d'un tapis ; un rideau vert ainsi que sa chaise, terminent ce fin et précieux tableau, qui est de la plus grande vérité et d'une belle harmonie. (Gerard Dow)|Une jeune Demoiselle assise, pinçant du cistre : ses cheveux sont tombans, ses épaules et sa gorge sont couverts de plusieurs fichus brodés, ainsi que des bouts de manches retroussés ; elle est vêtue d'une robe noire et d'une jupe de satin couleur noisette, tenant dessus un livre ouvert. A sa droite est une table couverte d'un tapis ; un rideau vert ainsi que sa chaise, terminent ce fin et précieux tableau, qui est de la plus grande vérité et d'une belle harmonie.]] réalisée par Gerard Dow, achetée par Laneuville au prix de 241 fl. [181]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un chemin sur lequel est un cavalier à cheval : il salue des voyageurs en repos ; deux chiens sont sur le devant, à droite ; sur la gauche s'élève un arbre presque dégarni de ses feuilles. Tableau de l'effet le plus piquant, de la touche la plus spirituelle, et dont les figures se détachent sur un ciel chaud. (Ph. Wouwermans)|La Vue d'un chemin sur lequel est un cavalier à cheval : il salue des voyageurs en repos ; deux chiens sont sur le devant, à droite ; sur la gauche s'élève un arbre presque dégarni de ses feuilles. Tableau de l'effet le plus piquant, de la touche la plus spirituelle, et dont les figures se détachent sur un ciel chaud.]] réalisée par Ph. Wouwermans au prix de 1000 fl. [182]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage sabloneux, élevé sur la droite, où l'on voit un homme qui descend une montagne couronnée d'arbres et de maisons ; dans le bas et sur la gauche, une rivière traversée d'un pont. Ce tableau, l'un des plus parfaits de ce maître, ne le cède en rien à ceux de Philippe Wouvermans, son frère. (Pierre Wouvermans)|Un Paysage sabloneux, élevé sur la droite, où l'on voit un homme qui descend une montagne couronnée d'arbres et de maisons ; dans le bas et sur la gauche, une rivière traversée d'un pont. Ce tableau, l'un des plus parfaits de ce maître, ne le cède en rien à ceux de Philippe Wouvermans, son frère.]] réalisée par Pierre Wouvermans, achetée par Royer au prix de 152 fl. [183]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage, où l'on voit, sur la droite, de hautes montagnes couronnées par des fabriques et monumens ; sur un chemin, plus bas, on voit quatre personnages à pied, un cavalier et une mulle chargée ; la gauche offre une grande étendue de pays : le tout d'un ton lumineux et de l'effet le plus piquant. (Jean Asselyn)|Un Paysage, où l'on voit, sur la droite, de hautes montagnes couronnées par des fabriques et monumens ; sur un chemin, plus bas, on voit quatre personnages à pied, un cavalier et une mulle chargée ; la gauche offre une grande étendue de pays : le tout d'un ton lumineux et de l'effet le plus piquant.]] réalisée par Jean Asselyn, achetée par Lebrun au prix de 72 fl. [184]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage représentant la sortie d'un bois, où l'on voit deux hommes surle bord du chemin et un autre au milieu ; dans le fond, un champ de bled et un village. Ce tableau est d'une couleur chaude et harmonieuse, et digne des plus habiles peintres en ce genre. Il provient de la vente de M. Dupré, du 25 novembre 1811, n. 128 du catalogue. (Renier de Vries)|Un Paysage représentant la sortie d'un bois, où l'on voit deux hommes surle bord du chemin et un autre au milieu ; dans le fond, un champ de bled et un village. Ce tableau est d'une couleur chaude et harmonieuse, et digne des plus habiles peintres en ce genre. Il provient de la vente de M. Dupré, du 25 novembre 1811, n. 128 du catalogue.]] réalisée par Renier de Vries au prix de 72 fl. [185]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Bergère vue à mi-corps, la tête couverte d'un voile, portant collier de perles, ayant un fichu blanc sur la gorge, un juste-au-corps verdâtre, avec chaîne d'or, et tenant de la main gauche sa houlette. Très-joli tableau, digne de Rembrandt, son maître ; il est de forme ovale, sur bois. (Gavaert Flinck)|Une jeune Bergère vue à mi-corps, la tête couverte d'un voile, portant collier de perles, ayant un fichu blanc sur la gorge, un juste-au-corps verdâtre, avec chaîne d'or, et tenant de la main gauche sa houlette. Très-joli tableau, digne de Rembrandt, son maître ; il est de forme ovale, sur bois.]] réalisée par Gavaert Flinck, achetée par Lebrun au prix de 72 fl. [187]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage, où l'on voit un pont d'une arche sur lequel passent un troupeau de moutons, un âne et des vaches ; de l'autre côté du pont, une tourelle, de hautes montagnes et une rivière coupée d'arbres et arbustes ; sur le devant, un pâtre conduisant un troupeau de bestiaux. Tableau capital et piquant de ce maître. (Moucheron)|Un Paysage, où l'on voit un pont d'une arche sur lequel passent un troupeau de moutons, un âne et des vaches ; de l'autre côté du pont, une tourelle, de hautes montagnes et une rivière coupée d'arbres et arbustes ; sur le devant, un pâtre conduisant un troupeau de bestiaux. Tableau capital et piquant de ce maître.]] réalisée par Moucheron, achetée par Didot au prix de 433 fl. [189]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage ouvert, enrichi d'arbres, près d'une fontaine devant laquelle est une pelouse où l'on voit dix bestiaux, dont une vache : un pâtre et une jeune fille veillent à leur garde. La droite offre, dans le bas, un lointain agréable. Le tout éclairé par un ciel de ton chaud. (Monmers)|Un Paysage ouvert, enrichi d'arbres, près d'une fontaine devant laquelle est une pelouse où l'on voit dix bestiaux, dont une vache : un pâtre et une jeune fille veillent à leur garde. La droite offre, dans le bas, un lointain agréable. Le tout éclairé par un ciel de ton chaud.]] réalisée par Monmers, achetée par Lebrun au prix de 120 fl. [190]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Site de la Norwège ; l'on y remarque un pont construit en briques, qui conduit à un village ; diverses maisons, dont la moitié construites en bois ; plus élevé, au dessus de masses d'arbres, on voit un clocher qui indique un village aux environs ; deux cavaliers traversent cette route, qui est une imitation fidèle de la nature, dont ce maître a été un des plus parfaits imitateurs. (Alder Van-Everdingen)|Un Site de la Norwège ; l'on y remarque un pont construit en briques, qui conduit à un village ; diverses maisons, dont la moitié construites en bois ; plus élevé, au dessus de masses d'arbres, on voit un clocher qui indique un village aux environs ; deux cavaliers traversent cette route, qui est une imitation fidèle de la nature, dont ce maître a été un des plus parfaits imitateurs.]] réalisée par Alder Van-Everdingen, achetée par Royer au prix de 180 fl. [192]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur rustique, où l'on voit un homme couché et endormi, ayant près de lui un panier d'oeufs renversé ; dans le fond, à gauche, une femme et un enfant près d'un feu, et sur le devant un chien : morceau d'un excellent goût de couleurs. Les ouvrages de ce maître sont devenus fort rares. (Alexandre Van Eyven 1681)|Intérieur rustique, où l'on voit un homme couché et endormi, ayant près de lui un panier d'oeufs renversé ; dans le fond, à gauche, une femme et un enfant près d'un feu, et sur le devant un chien : morceau d'un excellent goût de couleurs. Les ouvrages de ce maître sont devenus fort rares.]] réalisée par Alexandre Van Eyven 1681, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Lebrun au prix de 40 fl. [195]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux, l'un représente une femme assise aux pieds d'un vieux pâtre endormi, gardant deux vaches et trois moutons ; l'autre une femme assise, qui donne à téter à son enfant ; près d'elle son chien, un groupe de trois moutons et deux vaches : ces deux fins et précieux tableaux ont été souvent attribués à Adrien Vandenvelde. (Dirck Van-Ergen)|Deux tableaux, l'un représente une femme assise aux pieds d'un vieux pâtre endormi, gardant deux vaches et trois moutons ; l'autre une femme assise, qui donne à téter à son enfant ; près d'elle son chien, un groupe de trois moutons et deux vaches : ces deux fins et précieux tableaux ont été souvent attribués à Adrien Vandenvelde.]] réalisée par Dirck Van-Ergen, achetée par Regnault au prix de 301 fl. [196]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux sujets allégiriques sur l'avénement de Louis XIV à la couronne : compositions de six et sept figures. Ces deux morceaux, de ton argentin, exécutés dans le meilleur tems de ce maître, sont connus par les estampes qui sont gravées. (Sébastien Bourdon)|Deux sujets allégiriques sur l'avénement de Louis XIV à la couronne : compositions de six et sept figures. Ces deux morceaux, de ton argentin, exécutés dans le meilleur tems de ce maître, sont connus par les estampes qui sont gravées.]] réalisée par Sébastien Bourdon. [199]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Nymphes au bain ; l'une, placée sur la gauche, paraît sortir de l'eau, et est occupée à s'essuyer ; l'autre, vue par le dos, est encore dans l'eau jusqu'à mi-corps. Un site agreste et piquant, que le soleil pénètre à peine, donne à ce tableau, qui d'ailleurs est rempli de grace et de finesse, l'effet le plus piquant. (Jean Raoux)|Deux Nymphes au bain ; l'une, placée sur la gauche, paraît sortir de l'eau, et est occupée à s'essuyer ; l'autre, vue par le dos, est encore dans l'eau jusqu'à mi-corps. Un site agreste et piquant, que le soleil pénètre à peine, donne à ce tableau, qui d'ailleurs est rempli de grace et de finesse, l'effet le plus piquant.]] réalisée par Jean Raoux, achetée par Lebrun au prix de 100 fl. [200]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Femme accompagnée de 3 Amours ; elle est occupée à décorer de fleurs des berceaux de treillage qu'un de ces Amours dessine. Malgré les défauts que l'on ne cesse de reprocher à ce maître, on est forcé d'y admirer une grace et un goût qui n'appartiennent qu'à l'homme de génie. (François Boucher)|Une jeune Femme accompagnée de 3 Amours ; elle est occupée à décorer de fleurs des berceaux de treillage qu'un de ces Amours dessine. Malgré les défauts que l'on ne cesse de reprocher à ce maître, on est forcé d'y admirer une grace et un goût qui n'appartiennent qu'à l'homme de génie.]] réalisée par François Boucher, achetée par Lebrun au prix de 30 fl. [201]
  • 1813.02.02/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Paysages, l'un traversepar un bras de rivière où l'on voit un moulin à eau que fait aller une cascade qui tombe d'un rocher, et l'autre offrant le point de vue d'une forêt où des chasseurs poursuivent un cerf. Tableaux d'une couleur brillante et d'une exécution facile. (l'Allemand)|Deux Paysages, l'un traversepar un bras de rivière où l'on voit un moulin à eau que fait aller une cascade qui tombe d'un rocher, et l'autre offrant le point de vue d'une forêt où des chasseurs poursuivent un cerf. Tableaux d'une couleur brillante et d'une exécution facile.]] réalisée par l'Allemand, achetée par Haquin au prix de 57.5 fl. [202]