Ventes d'œuvres le 1813.02.11

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  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ au tombeau : composition de huit figures ; on y remarque les trois Maries et Saint Jean qui retire la couronne d'épine de dessus la tête du Sauveur. Ce trait provient de M. le chevalier d'Azara, qui recueillit tout ce qu'il put de cet habile artiste. (Mengs)|Le Christ au tombeau : composition de huit figures ; on y remarque les trois Maries et Saint Jean qui retire la couronne d'épine de dessus la tête du Sauveur. Ce trait provient de M. le chevalier d'Azara, qui recueillit tout ce qu'il put de cet habile artiste.]] réalisée par Mengs, vendue par [[[Lebrun]]] au prix de 38 fl. [11]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Prophéties de l'ancien Testament accomplies par le nouveau : composition considérable de plus de cinquante figures, où l'on voit le Sacrifice d'Abracham, le Serpent d'airain, la Cène, le Christ en croix, la Résurection : tableau d'une riche couleur et d'un faire facile. On sait que les tableaux de chevalet de ce maître sont rares à rencontrer. (Jean de Witt)|Les Prophéties de l'ancien Testament accomplies par le nouveau : composition considérable de plus de cinquante figures, où l'on voit le Sacrifice d'Abracham, le Serpent d'airain, la Cène, le Christ en croix, la Résurection : tableau d'une riche couleur et d'un faire facile. On sait que les tableaux de chevalet de ce maître sont rares à rencontrer.]] réalisée par Jean de Witt au prix de 199.95 fl. [22]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Paysages de style élevé, et dignes de ces habiles maîtres ; ils sont tous deux ornés de cinq figures de 6 pouces et plus de proportion : l'un représente Céphale et Procris ; l'autre, Narcisse. Ces tableaux, clairs et lumineux, sont exécuté avec une grande facilité. (Glaubert)|Deux Paysages de style élevé, et dignes de ces habiles maîtres ; ils sont tous deux ornés de cinq figures de 6 pouces et plus de proportion : l'un représente Céphale et Procris ; l'autre, Narcisse. Ces tableaux, clairs et lumineux, sont exécuté avec une grande facilité.]] réalisée par Glaubert au prix de 200 fl. [24]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Entrée d'une Forêt, où l'on remarque un rendez-vous de chasse au faucon ; près d'une amazone à cheval sont deux cavaliers, dont l'un donne du cor ; sur différens chemins plusieurs autres cavaliers avec leurs chiens et leurs valets ; dans le fond, sur la droite, sont les ruines d'un ancien château, se détachant sur des lointains brillans. Ce tableau, d'une couleur ferme et vigoureuse, est d'une vérité digne de Ruisdaal et d'Hobbema. (Verbomm)|L'Entrée d'une Forêt, où l'on remarque un rendez-vous de chasse au faucon ; près d'une amazone à cheval sont deux cavaliers, dont l'un donne du cor ; sur différens chemins plusieurs autres cavaliers avec leurs chiens et leurs valets ; dans le fond, sur la droite, sont les ruines d'un ancien château, se détachant sur des lointains brillans. Ce tableau, d'une couleur ferme et vigoureuse, est d'une vérité digne de Ruisdaal et d'Hobbema.]] réalisée par Verbomm, achetée par Jamard au prix de 701 fl. [27]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Astronome, les yeux fixés vers le ciel, tenant un compas de la main droite, et ayant la gauche posée sur une sphère céleste placée sur l'appui d'une croisée, au haut de laquelle est un rideau vert retroussé. Ce tableau d'une grande finesse et cependant libre dans l'exécution, mérite toute l'attention des amateurs. (Gerard Dow)|Un Astronome, les yeux fixés vers le ciel, tenant un compas de la main droite, et ayant la gauche posée sur une sphère céleste placée sur l'appui d'une croisée, au haut de laquelle est un rideau vert retroussé. Ce tableau d'une grande finesse et cependant libre dans l'exécution, mérite toute l'attention des amateurs.]] réalisée par Gerard Dow au prix de 600 fl. [28]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vue d'un pays d'une grande étendue : l'on y remarque, sur le premier plan à gauche, un pauvre assis par terre, demandant l'aumône à un militaire qui passe à pied sur le chemin ; la droite offre des masses de rochers et les ruines d'un château fort situé dessus ; l'on y remarque encore plusieurs figures. Joli tableau, du meilleur faire de ce maître. (Bartholomé Breemberg)|La Vue d'un pays d'une grande étendue : l'on y remarque, sur le premier plan à gauche, un pauvre assis par terre, demandant l'aumône à un militaire qui passe à pied sur le chemin ; la droite offre des masses de rochers et les ruines d'un château fort situé dessus ; l'on y remarque encore plusieurs figures. Joli tableau, du meilleur faire de ce maître.]] réalisée par Bartholomé Breemberg, achetée par Dun... au prix de 70 fl. [30]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux, dont l'un représente Vénus venant de punir un Amour ; tandis qu'un second Amour semble demander pardon pour lui, un troisième sonne du cor. Ces deux tableaux, les plus fins de ce maître, sont d'un genre difficile à rencontrer. (A. V. Gryef)|Deux tableaux, dont l'un représente Vénus venant de punir un Amour ; tandis qu'un second Amour semble demander pardon pour lui, un troisième sonne du cor. Ces deux tableaux, les plus fins de ce maître, sont d'un genre difficile à rencontrer.]] réalisée par A. V. Gryef au prix de 60 fl. [32]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait d'un homme de distinction : il est de proportion naturelle et vu à mi-corps ; il tient de sa main gauche ses gants ; il porte les cheveux courts, moustaches et barbiche ; une grande fraise blanche au cou, et vêtement noir. Tableau d'étude, pour la couleur et la vérité. Il provient de la vente St.-Foy, n. 15. (Pierre Mirevelt)|Le portrait d'un homme de distinction : il est de proportion naturelle et vu à mi-corps ; il tient de sa main gauche ses gants ; il porte les cheveux courts, moustaches et barbiche ; une grande fraise blanche au cou, et vêtement noir. Tableau d'étude, pour la couleur et la vérité. Il provient de la vente St.-Foy, n. 15.]] réalisée par Pierre Mirevelt, achetée par Hazard au prix de 9.5 fl. [34]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux, dont l'un représente la Vue de quelques maisons de paysans enrichies de cinq figures, dont une femme sur sa porte ; le tout vu au clair de lune ; et l'autre, un paysage et une rivière. On voit, sur le devant, une barque où sont un homme et une femme : tableau fait au premier coup. (David Téniers)|Deux Tableaux, dont l'un représente la Vue de quelques maisons de paysans enrichies de cinq figures, dont une femme sur sa porte ; le tout vu au clair de lune ; et l'autre, un paysage et une rivière. On voit, sur le devant, une barque où sont un homme et une femme : tableau fait au premier coup.]] réalisée par David Téniers, achetée par Laneuville au prix de 199 fl. [36]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Intérieur d'une cuisine. On voit une femme assise, occupée à éplucher des navets : un paysan, appuyé sur le dos de sa chaise, semble lui parler. Au fond, près d'une cheminée, sont deux autres hommes fumant et causant ; une femme apporte un plat ; sur le devant, à gauche, sont un lièvre, un quartier de mouton, un chaudron et autres ustensiles de cuisine ; à droite, un chat qui guette un navet échappé du panier. Ce tableau, de la plus grande légéreté , est du plus beau faire de ce maître. (David Téniers)|L'Intérieur d'une cuisine. On voit une femme assise, occupée à éplucher des navets : un paysan, appuyé sur le dos de sa chaise, semble lui parler. Au fond, près d'une cheminée, sont deux autres hommes fumant et causant ; une femme apporte un plat ; sur le devant, à gauche, sont un lièvre, un quartier de mouton, un chaudron et autres ustensiles de cuisine ; à droite, un chat qui guette un navet échappé du panier. Ce tableau, de la plus grande légéreté , est du plus beau faire de ce maître.]] réalisée par David Téniers au prix de 300 [ou] 700 fl. [37]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Tête d'homme, le regard élevé, vu presque de trois quarts, portant moustaches, vêtu d'une fraise au col et d'un large manteau noir. Cette tête, peinte au premier coup, est d'une légéreté et d'une vérité admirables. Elle provient du cabinet de M. Silvestres. (Antoine Vandick)|Une Tête d'homme, le regard élevé, vu presque de trois quarts, portant moustaches, vêtu d'une fraise au col et d'un large manteau noir. Cette tête, peinte au premier coup, est d'une légéreté et d'une vérité admirables. Elle provient du cabinet de M. Silvestres.]] réalisée par Antoine Vandick, vendue par [[[Lebrun]]], achetée par Didot au prix de 116 fl. [40]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Vieillard portant cheveux blancs, la tête couverte d'une toque noire, vu de trois quarts, vêtu d'une chemise blanche, d'un juste-au-corps noir et d'un manteau doublé de fourrure brune, tenant dans ses mains un chapelet, représenté de grandeur naturelle et à mi-corps. Ce tableau est d'une grande vérité, du plus précieux fini et de la plus admirable conservation. L'on verra derrière qu'il a toujours attribué à Albert Durer, opinion que nous n'avons pas partagée ; néanmoins c'est un de ces morceaux de la première rareté, et classique pour toute belle collection. (Quintin Messis)|Un Vieillard portant cheveux blancs, la tête couverte d'une toque noire, vu de trois quarts, vêtu d'une chemise blanche, d'un juste-au-corps noir et d'un manteau doublé de fourrure brune, tenant dans ses mains un chapelet, représenté de grandeur naturelle et à mi-corps. Ce tableau est d'une grande vérité, du plus précieux fini et de la plus admirable conservation. L'on verra derrière qu'il a toujours attribué à Albert Durer, opinion que nous n'avons pas partagée ; néanmoins c'est un de ces morceaux de la première rareté, et classique pour toute belle collection.]] réalisée par Quintin Messis, achetée par [[Jama[r]]] au prix de 151 fl. [43]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Joachim venant rendre visite à Sainte Elisabeth : il est suivi d'un jeune garçon qui apporte en riant une jeune brebis ; sur la gauche, une jeune fille joignant les mains du bonheur qu'éprouvent ces deux saints. Ce tableaux, du plus beau style historique, est digne de tous les chefs-d'oeuvre de l'école de Bologne. L'impression a seulement poussé dans une partie de ce tableau. Nous connaissons le petit tableau qui a été plus heureux que le grand ; mais le mérite n'en est pas égal. Nous prions les personnages qui n'ont jamais vu rien de ce maître, l'un des plus grands peintres de l'école de Valence, d'y prêter toute leur attention. (François Zurbaran)|Saint Joachim venant rendre visite à Sainte Elisabeth : il est suivi d'un jeune garçon qui apporte en riant une jeune brebis ; sur la gauche, une jeune fille joignant les mains du bonheur qu'éprouvent ces deux saints. Ce tableaux, du plus beau style historique, est digne de tous les chefs-d'oeuvre de l'école de Bologne. L'impression a seulement poussé dans une partie de ce tableau. Nous connaissons le petit tableau qui a été plus heureux que le grand ; mais le mérite n'en est pas égal. Nous prions les personnages qui n'ont jamais vu rien de ce maître, l'un des plus grands peintres de l'école de Valence, d'y prêter toute leur attention.]] réalisée par François Zurbaran au prix de 100 fl. [45]
  • 1813.02.11/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux ; l'un représente Lucrèce au moment de se poignarder ; elle est assise sur son lit, se détachant sur un fond de rideau, et vue jusqu'au dessous des genoux ; l'autre représente Cléopâtre, reine d'Egypte, prête à se faire piquer de l'aspic. Ces deux tableaux, du plus beau faire de ce maître, sont aussi de ses plus rares. (Trevisani)|Deux Tableaux ; l'un représente Lucrèce au moment de se poignarder ; elle est assise sur son lit, se détachant sur un fond de rideau, et vue jusqu'au dessous des genoux ; l'autre représente Cléopâtre, reine d'Egypte, prête à se faire piquer de l'aspic. Ces deux tableaux, du plus beau faire de ce maître, sont aussi de ses plus rares.]] réalisée par Trevisani, achetée par Lebrun au prix de 120 fl. [51]