Ventes d'œuvres le 1814.05.26

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  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un bon tableau, représentant un intérieur de chambre basse, où l'on voit une multitude d'ustensiles et accessoires de cuisine, avec différens légumes ; deux jeunes garçons donnent à manger à des pigeons, et une femme, à l'entrée d'une porte, leur présente un couteau. (Zorg)|Un bon tableau, représentant un intérieur de chambre basse, où l'on voit une multitude d'ustensiles et accessoires de cuisine, avec différens légumes ; deux jeunes garçons donnent à manger à des pigeons, et une femme, à l'entrée d'une porte, leur présente un couteau.]] réalisée par Zorg, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Poilly au prix de 110 fl. [10]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit tableau, offrant le point de vue d'un paysage, coupé dans la partie du milieu par un chemin où l'on remarque quelques figures ; à droite et à gauche, des champs de blé, où l'on fait la moisson. Cette composition se termine par un lointain de montagnes qui se détachent sur un ciel frais et bien nuagé. (Ph. Wouvermans)|Un petit tableau, offrant le point de vue d'un paysage, coupé dans la partie du milieu par un chemin où l'on remarque quelques figures ; à droite et à gauche, des champs de blé, où l'on fait la moisson. Cette composition se termine par un lointain de montagnes qui se détachent sur un ciel frais et bien nuagé.]] réalisée par Ph. Wouvermans, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Made Hazard au prix de 276 fl. [11]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune femme blonde, assise sur le banc d'un balcon, et appuyée du bras droit sur une balustrade où se trouve un vase rempli de marguerites. Cette figure de grandeur naturelle, vue jusqu'au dessous des genous, est vêtue de blanc et d'un schal. Ce tableau a obtenu de justes éloges lors de son exposition au Salon. (Mme. Villers, Elève de M. Girodet)|Une jeune femme blonde, assise sur le banc d'un balcon, et appuyée du bras droit sur une balustrade où se trouve un vase rempli de marguerites. Cette figure de grandeur naturelle, vue jusqu'au dessous des genous, est vêtue de blanc et d'un schal. Ce tableau a obtenu de justes éloges lors de son exposition au Salon.]] réalisée par Mme. Villers, Elève de M. Girodet, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 181 fl. [14]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage offrant des prairies coupées par une rivière qui occupe la partie du milieu ; vers la gauche, on remarque un troupeau de vaches et de brebis ; du côté opposé, plusieurs touffes d'arbres, éclairées d'une manière piquante, et dans les fonds, quelques indications de chaumières. Un ciel brillant éclaire ce joli échantillon. (Ad. Vandevelde)|Un paysage offrant des prairies coupées par une rivière qui occupe la partie du milieu ; vers la gauche, on remarque un troupeau de vaches et de brebis ; du côté opposé, plusieurs touffes d'arbres, éclairées d'une manière piquante, et dans les fonds, quelques indications de chaumières. Un ciel brillant éclaire ce joli échantillon.]] réalisée par Ad. Vandevelde, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Coquille au prix de 250 fl. [22]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un riche point de vue de paysage, offrant un lac qui vient tomber en cascade sur le premier plan, et qui serpente au milieu de prairies, où l'on remarque quelques figures et des troupeaux. Ce tableau fin, peint dans le goût des paysages de Rubens, est éclairé par un ciel piquant. (Van Uden)|Un riche point de vue de paysage, offrant un lac qui vient tomber en cascade sur le premier plan, et qui serpente au milieu de prairies, où l'on remarque quelques figures et des troupeaux. Ce tableau fin, peint dans le goût des paysages de Rubens, est éclairé par un ciel piquant.]] réalisée par Van Uden, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 99.95 fl. [23]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un riche paysage dont le point de vue est élevé et d'une grande étendue, coupé de rivières et de différentes habitations. On y remarque, sur la droite, à la descente d'une montagne, un jeune pâtre, jouant du flageolet, précédant un troupeau de douze moutons, et de deux vaches qu'un berger et un paysan conduisent ; plusieurs autres figures, sur différens plans, sont aussi exécutées par David Téniers dans sa plus grande force et de son plus soigné. Ce tableau capital est un de ces morceaux rares parmi les ouvrages de Van Uden, il vient de la vente de M. Villers, n. 32. (Van Uden)|Un riche paysage dont le point de vue est élevé et d'une grande étendue, coupé de rivières et de différentes habitations. On y remarque, sur la droite, à la descente d'une montagne, un jeune pâtre, jouant du flageolet, précédant un troupeau de douze moutons, et de deux vaches qu'un berger et un paysan conduisent ; plusieurs autres figures, sur différens plans, sont aussi exécutées par David Téniers dans sa plus grande force et de son plus soigné. Ce tableau capital est un de ces morceaux rares parmi les ouvrages de Van Uden, il vient de la vente de M. Villers, n. 32.]] réalisée par Van Uden, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Lerouge au prix de 276 fl. [24]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Stratonice devant Antiochus au moment où son médecin l'examine. L'on remarque son père, assis auprès de son lit et dans la douleur ; plusieurs femmes de la suite de Stratonice, occupent la gauche du tableau. Composition riche, exécution agréable. (Taillasson)|Stratonice devant Antiochus au moment où son médecin l'examine. L'on remarque son père, assis auprès de son lit et dans la douleur ; plusieurs femmes de la suite de Stratonice, occupent la gauche du tableau. Composition riche, exécution agréable.]] réalisée par Taillasson, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Simon au prix de 30.5 fl. [25]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage d'un style sévère, offrant sur toute la partie droite, des masses de rochers couverts d'arbres et de fabriques ; du côté opposé, on aperçoit une partie de lac, quelques beaux arbres et de riches lointains. Un ciel d'un bel effet éclaire ce tableau, qui est enrichi de plusieurs figures sur le premier plan. (Tempeste)|Un paysage d'un style sévère, offrant sur toute la partie droite, des masses de rochers couverts d'arbres et de fabriques ; du côté opposé, on aperçoit une partie de lac, quelques beaux arbres et de riches lointains. Un ciel d'un bel effet éclaire ce tableau, qui est enrichi de plusieurs figures sur le premier plan.]] réalisée par Tempeste, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Marthe au prix de 66.5 fl. [26]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux précieux tableaux de ce maître, offrant l'un, le sujet de Cléopâtre se faisant piquer par une aspic ; l'autre, Lucrèce se donnant la mort. Les expressions des têtes peignent d'une manière noble le sentiment de la douleur. Nous regardons ces deux rares échantillons, comme devant concourir à la réunion des morceaux de choix dans l'école d'Italie. (Trevisani)|Deux précieux tableaux de ce maître, offrant l'un, le sujet de Cléopâtre se faisant piquer par une aspic ; l'autre, Lucrèce se donnant la mort. Les expressions des têtes peignent d'une manière noble le sentiment de la douleur. Nous regardons ces deux rares échantillons, comme devant concourir à la réunion des morceaux de choix dans l'école d'Italie.]] réalisée par Trevisani, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 201 fl. [28]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[A l'entrée d'une chaumière, un homme tenant une bêche à sa main parat causer avec une femme occupée à récurer un pot sur un tonneau ; dans l'embrasure de la porte, une femme a l'air de leur faire signe. On remarque à la gauche plusieurs ustensiles de ménage. Tableau d'une bonne couleur et bien touché, pouvant avoir été fait dans l'école du maître. (Genre de D. Téniers)|A l'entrée d'une chaumière, un homme tenant une bêche à sa main parat causer avec une femme occupée à récurer un pot sur un tonneau ; dans l'embrasure de la porte, une femme a l'air de leur faire signe. On remarque à la gauche plusieurs ustensiles de ménage. Tableau d'une bonne couleur et bien touché, pouvant avoir été fait dans l'école du maître.]] réalisée par Genre de D. Téniers, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Dufour au prix de 21.5 fl. [31]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage où l'on remarque sur le premier plan trois figures auprès d'un monticule blanchâtre et couvert d'arbres. Sur un plan reculé, quelques chaumières, et dans les fonds, des indications de clochers à travers quelques bouquets d'arbres. Tableau fin et entièrement dans la manière du maître auquel il est attribué. (Attribué à Téniers)|Un paysage où l'on remarque sur le premier plan trois figures auprès d'un monticule blanchâtre et couvert d'arbres. Sur un plan reculé, quelques chaumières, et dans les fonds, des indications de clochers à travers quelques bouquets d'arbres. Tableau fin et entièrement dans la manière du maître auquel il est attribué.]] réalisée par Attribué à Téniers, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Laneuville au prix de 25.5 fl. [32]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage où l'on voit sur le devant deux valets de chiens et environnés de 28 chiens de diverses espèces ; plus loin quatre autres personnages dont deux sonnent du cor. Ce tableau d'un genre extraordinaire, dont la couleur est argentine, prouve à quel point cet habile maître a rendu avec facilité tout ce que la nature lui a offert. (David Téniers)|Un paysage où l'on voit sur le devant deux valets de chiens et environnés de 28 chiens de diverses espèces ; plus loin quatre autres personnages dont deux sonnent du cor. Ce tableau d'un genre extraordinaire, dont la couleur est argentine, prouve à quel point cet habile maître a rendu avec facilité tout ce que la nature lui a offert.]] réalisée par David Téniers, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Constantin au prix de 600 fl. [34]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un cheval attaqué par quatre loups qui se disposent à le dévorer. Le fond est occupé par un paysage de la main de Vildens. Ce tableau d'un mérite égal à celui du précédent servirait parfaitement de pendant, et seraient l'un et l'autre très-convenables pour l'ornement d'un haut de belle galerie. (Sneyders)|Un cheval attaqué par quatre loups qui se disposent à le dévorer. Le fond est occupé par un paysage de la main de Vildens. Ce tableau d'un mérite égal à celui du précédent servirait parfaitement de pendant, et seraient l'un et l'autre très-convenables pour l'ornement d'un haut de belle galerie.]] réalisée par Sneyders, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Francillon au prix de 700 fl. [38]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une chasse au sanglier. On y voit l'animal au milieu de dix chiens d'espèces variées. Il est imposible d'exprimer avec plus de chaleur et de génie une pareille composition. Ce tableau est un des plus beaux de ce maître. Ce tableau d'un mérite égal à celui du précédent servirait parfaitement de pendant, et seraient l'un et l'autre très-convenables pour l'ornement d'un haut de belle galerie. (Sneyders)|Une chasse au sanglier. On y voit l'animal au milieu de dix chiens d'espèces variées. Il est imposible d'exprimer avec plus de chaleur et de génie une pareille composition. Ce tableau est un des plus beaux de ce maître. Ce tableau d'un mérite égal à celui du précédent servirait parfaitement de pendant, et seraient l'un et l'autre très-convenables pour l'ornement d'un haut de belle galerie.]] réalisée par Sneyders, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Francillon au prix de 700 fl. [39]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous un débris de ruines d'architecture, on voit un moine à genoux et en prière ; près de la porte d'entrée, de jeunes filles semblent occupées à parer sa retraite ; une autre, montée à une échelle et placée en dehors, cherche à l'atteindre avec une branche de roseau. Morceau où respire tout l'esprit et la facilité de cet habile et infatigable artiste. (Hubert Robert)|Sous un débris de ruines d'architecture, on voit un moine à genoux et en prière ; près de la porte d'entrée, de jeunes filles semblent occupées à parer sa retraite ; une autre, montée à une échelle et placée en dehors, cherche à l'atteindre avec une branche de roseau. Morceau où respire tout l'esprit et la facilité de cet habile et infatigable artiste.]] réalisée par Hubert Robert, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Frey au prix de 73 fl. [47]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait du cardinal de Bouillon, représenté assis et dans un riche ajustement ; il tient le marteau de la porte Sainte, accompagné d'un jeune enfant tenant les médailles de cet événement mémorable. Ce tableau, considéré comme un des plus marquans de ce maître, sort de la maison de Bouillon, et se trouve gravé par Drevet. (H. Rigault)|Le portrait du cardinal de Bouillon, représenté assis et dans un riche ajustement ; il tient le marteau de la porte Sainte, accompagné d'un jeune enfant tenant les médailles de cet événement mémorable. Ce tableau, considéré comme un des plus marquans de ce maître, sort de la maison de Bouillon, et se trouve gravé par Drevet.]] réalisée par H. Rigault, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Caillard au prix de 93 fl. [49]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet militaire, où l'on remarque, au milieu du tableau, des officiers et ingénieurs qui paraisent en observation ; plus bas, vers la droite, on voit leurs chevaux tenus par des soldats ; et du côté opposé, sur un plan reculé, une partie de troupe qui défile ; dans le fond, on aperçoit un fort placé sur une montagne élevée. Ce tableau, d'une couleur brillante et d'une belle exécution, est d'un effet juste et piquant. (Ch. Parocel)|Sujet militaire, où l'on remarque, au milieu du tableau, des officiers et ingénieurs qui paraisent en observation ; plus bas, vers la droite, on voit leurs chevaux tenus par des soldats ; et du côté opposé, sur un plan reculé, une partie de troupe qui défile ; dans le fond, on aperçoit un fort placé sur une montagne élevée. Ce tableau, d'une couleur brillante et d'une belle exécution, est d'un effet juste et piquant.]] réalisée par Ch. Parocel, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Made Thevenin au prix de 190 fl. [60]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis sujets de paysages mêlés de ruines et de montagnes, se détachant sur un ciel clair et lumineux ; dans l'un on remarque une femme étendue sur ses draperies, et dans l'autre un pâtre gardant son troupeau. Echantillons fins et précieux de ce maître. (Poelenburg (Corneille))|Deux jolis sujets de paysages mêlés de ruines et de montagnes, se détachant sur un ciel clair et lumineux ; dans l'un on remarque une femme étendue sur ses draperies, et dans l'autre un pâtre gardant son troupeau. Echantillons fins et précieux de ce maître.]] réalisée par Poelenburg (Corneille), vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 100 fl. [61]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Joli paysage, à la droite duquel on voit une hauteur plantée d'arbres touffus ; à la gauche, un chemin sur lequel on distingue une femme montée sur son âne, et ausant avec un homme ; effet de soleil qui répand une variété de tons piquans dans tous leurs détails. (Adam Pynacker)|Joli paysage, à la droite duquel on voit une hauteur plantée d'arbres touffus ; à la gauche, un chemin sur lequel on distingue une femme montée sur son âne, et ausant avec un homme ; effet de soleil qui répand une variété de tons piquans dans tous leurs détails.]] réalisée par Adam Pynacker, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 75 fl. [65]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au pied d'un arbre où s'élèvent des broussailles et des plantes de différentes espèces, on voit un jeune garçon gardant un troupeau de bestiaux ; sur un plan plus éloigné, quelques fabriques sur une hauteur, et dans le fond, une montagne éclairée par un effet de soleil. Ce tableau capital de ces deux maîtres est d'un pinceau large et moelleux. (Pynacker)|Au pied d'un arbre où s'élèvent des broussailles et des plantes de différentes espèces, on voit un jeune garçon gardant un troupeau de bestiaux ; sur un plan plus éloigné, quelques fabriques sur une hauteur, et dans le fond, une montagne éclairée par un effet de soleil. Ce tableau capital de ces deux maîtres est d'un pinceau large et moelleux.]] réalisée par Pynacker, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 95 fl. [66]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet du retour de l'enfant prodigue. On distingue dans les fonds quelques épisodes des actions de sa vie. Composition de grand nombre de figures, où l'on remarque dans le milieu l'enfant prodigue à genoux devant son père, et plusieurs serviteurs qui prennent part à cette scène ; la partie droite est occupèe par des bâtimens d'une riche architecture, et la gauche par un paysage d'un ton vigoureux. Ce tableau est remarquable par la richesse des tons de draperie et par l'entente générale de l'effet. (Palme (le jeune))|Le sujet du retour de l'enfant prodigue. On distingue dans les fonds quelques épisodes des actions de sa vie. Composition de grand nombre de figures, où l'on remarque dans le milieu l'enfant prodigue à genoux devant son père, et plusieurs serviteurs qui prennent part à cette scène ; la partie droite est occupèe par des bâtimens d'une riche architecture, et la gauche par un paysage d'un ton vigoureux. Ce tableau est remarquable par la richesse des tons de draperie et par l'entente générale de l'effet.]] réalisée par Palme (le jeune), vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 79.95 fl. [71]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une réunion de différens monumens de Rome ; on y remarque, vers le milieu, la statue de l'Hercule Farnèse ; à gauche, le beau vase de Médicis ; `a droite, l'arc de triomph d'Aug. Vespasien, le temple d'Agrippa, une partie des bains de Titus, et autres riches morceaux. Plusieurs figures touchées avec esprit animent cette composition qui se détache sur un ciel frais et brillant. (J. P. Panini)|Une réunion de différens monumens de Rome ; on y remarque, vers le milieu, la statue de l'Hercule Farnèse ; à gauche, le beau vase de Médicis ; `a droite, l'arc de triomph d'Aug. Vespasien, le temple d'Agrippa, une partie des bains de Titus, et autres riches morceaux. Plusieurs figures touchées avec esprit animent cette composition qui se détache sur un ciel frais et brillant.]] réalisée par J. P. Panini, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 500 fl. [74]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Précieux échatillon, sujet d'un fumeur tenant un pot de bière d'une main, et l'autre appuyée sur un jeu de trictrac. Ce morceau est d'une couleur harmonieuse, qui fait rechecher les ouvrages de ce maître jusques dans ses moindres productions. (A. Van Ostade)|Précieux échatillon, sujet d'un fumeur tenant un pot de bière d'une main, et l'autre appuyée sur un jeu de trictrac. Ce morceau est d'une couleur harmonieuse, qui fait rechecher les ouvrages de ce maître jusques dans ses moindres productions.]] réalisée par A. Van Ostade, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Lafontaine au prix de 131 fl. [76]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Riche point de vue de paysage pris aux environs d'Anvers ; il offre sur le devant un beau terrain mêlé de plantes, sur lesquelles frappe le soleil ; un troupeau de vaches et de moutons, conduits par deux pâtres, rentrent dans la bergerie ; plus loin, d'autres animaux conduits par deux villageois, dont une femme portant un paquet sur sa tête ; on aperçoit une rivière sur le devant d'une grande étendue de prairie. La réputation dont jouit, à juste titre, ce paysagiste habile, dont les productions ont fait l'admiration du salon dernier et de ceux précédens, nous intérdit toute espèce d'éloge sur ce tableau qui provient de la riche collection de M. Clos. (Oméganck)|Riche point de vue de paysage pris aux environs d'Anvers ; il offre sur le devant un beau terrain mêlé de plantes, sur lesquelles frappe le soleil ; un troupeau de vaches et de moutons, conduits par deux pâtres, rentrent dans la bergerie ; plus loin, d'autres animaux conduits par deux villageois, dont une femme portant un paquet sur sa tête ; on aperçoit une rivière sur le devant d'une grande étendue de prairie. La réputation dont jouit, à juste titre, ce paysagiste habile, dont les productions ont fait l'admiration du salon dernier et de ceux précédens, nous intérdit toute espèce d'éloge sur ce tableau qui provient de la riche collection de M. Clos.]] réalisée par Oméganck, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Mde Hazard au prix de 400 fl. [77]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux cavaliers arrêtés auprès de quelques débris d'architecture, et auxquels un homme présente un verre de vin ; à la gauche, une femme tenant un enfant, et sur le devant, différens accessoires, parmi lesquels on remarque une cuirasse et un casque. (Nain (le))|Deux cavaliers arrêtés auprès de quelques débris d'architecture, et auxquels un homme présente un verre de vin ; à la gauche, une femme tenant un enfant, et sur le devant, différens accessoires, parmi lesquels on remarque une cuirasse et un casque.]] réalisée par Nain (le), vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Mde Hazard au prix de 15.5 fl. [78]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un joli portrait représentant une jeune fille dans un riche ajustement, assise sur des coussins de velours cramosi, et s'amusant à faire des bulles de savon ; près d'elle est un chien et un perroquet. On aperçoit dans les fonds une vue de jardin. La grâce de la figure, le brillant de la couleur et la beauté du pinceau, rendent cet ouvrage digne de la réputation de cet habile peintre. (Pierre Mignard)|Un joli portrait représentant une jeune fille dans un riche ajustement, assise sur des coussins de velours cramosi, et s'amusant à faire des bulles de savon ; près d'elle est un chien et un perroquet. On aperçoit dans les fonds une vue de jardin. La grâce de la figure, le brillant de la couleur et la beauté du pinceau, rendent cet ouvrage digne de la réputation de cet habile peintre.]] réalisée par Pierre Mignard, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 75.5 fl. [85]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le martyr de Saint Pierre, composition de neuf figures. Ce tableau, le plus capital de ce maître, fut acheté en Italie par les ordres du Régent. Quoique plusieurs peintres aient traité ce sujet, il n'en est aucun qui aient produit un tel chef-d'oeuvre, remarquable par la vérité du dessin, et la force de la couleur. (Le Chevalier Calabroise)|Le martyr de Saint Pierre, composition de neuf figures. Ce tableau, le plus capital de ce maître, fut acheté en Italie par les ordres du Régent. Quoique plusieurs peintres aient traité ce sujet, il n'en est aucun qui aient produit un tel chef-d'oeuvre, remarquable par la vérité du dessin, et la force de la couleur.]] réalisée par Le Chevalier Calabroise, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Lafontaine au prix de 321 fl. [86]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme, ajustée dans le costume du tems de François 1er., elle a les yeux fixés sur un livre qu'elle tient à sa main ; à côté d'elle est un riche vase placé sur une table. Morceau précieux par la beauté du fini et la vivacité des couleurs. (Jean de Mabuse)|Une femme, ajustée dans le costume du tems de François 1er., elle a les yeux fixés sur un livre qu'elle tient à sa main ; à côté d'elle est un riche vase placé sur une table. Morceau précieux par la beauté du fini et la vivacité des couleurs.]] réalisée par Jean de Mabuse, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Martin au prix de 80 fl. [89]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage avec fabriques ; sur le devant, on voit un pêcheur ; au milieu, et sur un plan un peu plus éloigné, s'élève une monticule jonchée d'arbres, et sur laquelle on apercoit divers monumens. Cette étude est, comme toutes celles de Francisque Milé, d'une touche pleine de goût et d'une composition avante. (Francisque Milé)|Un paysage avec fabriques ; sur le devant, on voit un pêcheur ; au milieu, et sur un plan un peu plus éloigné, s'élève une monticule jonchée d'arbres, et sur laquelle on apercoit divers monumens. Cette étude est, comme toutes celles de Francisque Milé, d'une touche pleine de goût et d'une composition avante.]] réalisée par Francisque Milé, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Maurice au prix de 10.1 fl. [91]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage ouvert enrichi d'arbres, près d'une fontaine devant laquelle est une pelouse, où l'on voit dix bestiaux, dont une vache ; un pâtre et une jeune fille veillent à leur garde ; la droite offre dans le bas un lointain agréable. Le tout éclairé par un ciel de ton chaud. (Momers)|Un paysage ouvert enrichi d'arbres, près d'une fontaine devant laquelle est une pelouse, où l'on voit dix bestiaux, dont une vache ; un pâtre et une jeune fille veillent à leur garde ; la droite offre dans le bas un lointain agréable. Le tout éclairé par un ciel de ton chaud.]] réalisée par Momers, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Mde Hazard au prix de 114 fl. [93]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue intérieur d'un parc, où l'on voit une statue placée près d'une fontaine, et du côté opposé, deux personnages, dont un assis et paraissant occupé à dessiner la statue. Les figures ont été attribuées à Ad. Vandevelde. Il provient de la vente Pitté, à Bruxelles. (Moucheron)|Vue intérieur d'un parc, où l'on voit une statue placée près d'une fontaine, et du côté opposé, deux personnages, dont un assis et paraissant occupé à dessiner la statue. Les figures ont été attribuées à Ad. Vandevelde. Il provient de la vente Pitté, à Bruxelles.]] réalisée par Moucheron, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Malbête au prix de 54 fl. [96]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un riche paysage offrant à la gauche une masse de rochers surmontes de tours et fabriques ; à la droite et sur le second plan, plusieurs hauteurs semées d'arbres de différentes espèces, laissent apercevoir une étendue de plaine terminée par une chaîne de montagnes ; sur le devant, une rivière qu'un homme, monté sur son cheval, vient de traverser à gué avec son troupeau. Cette composition capitale de ce maître est éclairée par un soleil couchant qui répand sur toutes les parties cet effet d'un ton doux et doré que l'on admire si généralement dans toutes les productions de J. Moucheron. Les figures et animaux sont du pinceau gras et moelleux d'Ad. Vandevelde, qui a contribué à la perfection de cet ouvrage digne de passer dans quelques galeries ou cabinets enrichis de chefs-d'oeuvre. (Moucheron)|Un riche paysage offrant à la gauche une masse de rochers surmontes de tours et fabriques ; à la droite et sur le second plan, plusieurs hauteurs semées d'arbres de différentes espèces, laissent apercevoir une étendue de plaine terminée par une chaîne de montagnes ; sur le devant, une rivière qu'un homme, monté sur son cheval, vient de traverser à gué avec son troupeau. Cette composition capitale de ce maître est éclairée par un soleil couchant qui répand sur toutes les parties cet effet d'un ton doux et doré que l'on admire si généralement dans toutes les productions de J. Moucheron. Les figures et animaux sont du pinceau gras et moelleux d'Ad. Vandevelde, qui a contribué à la perfection de cet ouvrage digne de passer dans quelques galeries ou cabinets enrichis de chefs-d'oeuvre.]] réalisée par Moucheron, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 951 fl. [97]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Conception de la Vierge. Elle est vue debout, la tête et le regard élevés vers le ciel, les mains accolées ; elle est vêtue d'une tunique blanche et d'une ample draperie bleue placée sur un croissant ; le haut est enrichi d'une Gloire de onze chérubins ; des groupes des nuages se prolongent vers le bas, où l'on voit quatre petits anges, dont un tient une branche de palmier, l'autre d'olivier, un troisième tient des lys et des roses. Ce tableau est capital par ses figures et la richesse de sa composition. On ne peut se lasser de voir l'expression admirable de la tête de la Vierge, les figures séduisantes et la grâce des quatre petits anges. Nous regardons ce tableau comme un des plus beaux et des plus précieux sortis des mains du plus grand peintre dont l'Espagne se glorifie. Nous ajouterons à cet article que les tableaux de ce maître sont encore de la première rareté en France, que maintenant nous n'avons plus l'espoir d'en revoir de long-tems. (Article de M. Lebrun.) (Etienne-Barthelemi Steban Murillo)|La Conception de la Vierge. Elle est vue debout, la tête et le regard élevés vers le ciel, les mains accolées ; elle est vêtue d'une tunique blanche et d'une ample draperie bleue placée sur un croissant ; le haut est enrichi d'une Gloire de onze chérubins ; des groupes des nuages se prolongent vers le bas, où l'on voit quatre petits anges, dont un tient une branche de palmier, l'autre d'olivier, un troisième tient des lys et des roses. Ce tableau est capital par ses figures et la richesse de sa composition. On ne peut se lasser de voir l'expression admirable de la tête de la Vierge, les figures séduisantes et la grâce des quatre petits anges. Nous regardons ce tableau comme un des plus beaux et des plus précieux sortis des mains du plus grand peintre dont l'Espagne se glorifie. Nous ajouterons à cet article que les tableaux de ce maître sont encore de la première rareté en France, que maintenant nous n'avons plus l'espoir d'en revoir de long-tems. (Article de M. Lebrun.)]] réalisée par Etienne-Barthelemi Steban Murillo, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Mde Nigrin au prix de 2600 fl. [98]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune homme couvert d'une chemise blanche, et appuyé sur le balcon d'une croisée ; il se détache sur un fond de muraille d'un ton fin et habilement dégradé. Cette étude, librement touchée à l'imitation de Rembrandt, prouve le goût et les heureuses dispositions de son auteur pour la peinture. (M. Lebrun)|Un jeune homme couvert d'une chemise blanche, et appuyé sur le balcon d'une croisée ; il se détache sur un fond de muraille d'un ton fin et habilement dégradé. Cette étude, librement touchée à l'imitation de Rembrandt, prouve le goût et les heureuses dispositions de son auteur pour la peinture.]] réalisée par M. Lebrun, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 31 fl. [100]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un portrait de même style, représentant un autre envoyé de Tiposaïb ; il est assis jusqu'à mi-jambe sur un sopha de riche étoffe. Ces deux morceaux, de la plus belle couleur et qui peuvent être mis au nombre des meilleurs ouvrages de cette habile artiste, ont long-tems fait l'admiration des curieux qui visitaient la galerie de M. le Lebrun. (Mme. Lebrun)|Un portrait de même style, représentant un autre envoyé de Tiposaïb ; il est assis jusqu'à mi-jambe sur un sopha de riche étoffe. Ces deux morceaux, de la plus belle couleur et qui peuvent être mis au nombre des meilleurs ouvrages de cette habile artiste, ont long-tems fait l'admiration des curieux qui visitaient la galerie de M. le Lebrun.]] réalisée par Mme. Lebrun, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Constantin au prix de 151 fl. [102]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'envoyé de Tiposaïb, portrait de forte proportion de nature, debout et vu en pied ; il est richement vêtu et tient un sabre à la main. Ces deux morceaux, de la plus belle couleur et qui peuvent être mis au nombre des meilleurs ouvrages de cette habile artiste, ont long-tems fait l'admiration des curieux qui visitaient la galerie de M. le Lebrun. (Mme. Lebrun)|L'envoyé de Tiposaïb, portrait de forte proportion de nature, debout et vu en pied ; il est richement vêtu et tient un sabre à la main. Ces deux morceaux, de la plus belle couleur et qui peuvent être mis au nombre des meilleurs ouvrages de cette habile artiste, ont long-tems fait l'admiration des curieux qui visitaient la galerie de M. le Lebrun.]] réalisée par Mme. Lebrun, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Constantin au prix de 112 fl. [103]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme assise dans l'intérieur d'une grotte ; elle est vêtue d'une robe rouge et d'une draperie bleue, et coiffée d'un voile ajusté en tunique. Cette figure, de l'expression la plus admirable, indique le caractère d'une Sibylle. Nous regardons cet ouvrage comme un de ceux qui a le plus contribué à la réputation de son auteur, qui s'est plû à le répéter. (Mme. Lebrun)|Une femme assise dans l'intérieur d'une grotte ; elle est vêtue d'une robe rouge et d'une draperie bleue, et coiffée d'un voile ajusté en tunique. Cette figure, de l'expression la plus admirable, indique le caractère d'une Sibylle. Nous regardons cet ouvrage comme un de ceux qui a le plus contribué à la réputation de son auteur, qui s'est plû à le répéter.]] réalisée par Mme. Lebrun, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 460 fl. [104]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de M. Caillot, ancien acteur de la comédie italienne ; il est représenté dans un costume de chasseur, et vu jusqu'à mi-jambe. La fraîcheur du coloris, jointe à une extrême ressemblance, fait de ce tableau un morceau digne de fixer l'attention des amateurs et des artistes, autant par le mérite de son exécution que par la célébrité du personnage qu'il représente. (Mme. Lebrun)|Le portrait de M. Caillot, ancien acteur de la comédie italienne ; il est représenté dans un costume de chasseur, et vu jusqu'à mi-jambe. La fraîcheur du coloris, jointe à une extrême ressemblance, fait de ce tableau un morceau digne de fixer l'attention des amateurs et des artistes, autant par le mérite de son exécution que par la célébrité du personnage qu'il représente.]] réalisée par Mme. Lebrun, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 310 fl. [105]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Fuite de la Sainte Famille en Egypte. Un ange indique à saint Joseph le chemin qu'il doit prendre ; la vierge, tenant l'enfant Jésus dans ses bras, se retourne en jetant un regard plein d'effroy. Ce tableau, d'un style sage, est entièrement composé dans le style du Poussin. (Nicolas Loir)|Fuite de la Sainte Famille en Egypte. Un ange indique à saint Joseph le chemin qu'il doit prendre ; la vierge, tenant l'enfant Jésus dans ses bras, se retourne en jetant un regard plein d'effroy. Ce tableau, d'un style sage, est entièrement composé dans le style du Poussin.]] réalisée par Nicolas Loir, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Marthe au prix de 43 fl. [107]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des monumens d'architecture grecque, où l'on voit sur le devant Pasiphaé accompagnée de sa suivante, et appuyée sur le taureau de Marathon, ordonnant la construction d'une vache en bois qu'un sculpteur est occupé à achever. Plusieurs autres figures enrichissent cette compsition qui est du plus beau style. (Le Maire Poussin)|Des monumens d'architecture grecque, où l'on voit sur le devant Pasiphaé accompagnée de sa suivante, et appuyée sur le taureau de Marathon, ordonnant la construction d'une vache en bois qu'un sculpteur est occupé à achever. Plusieurs autres figures enrichissent cette compsition qui est du plus beau style.]] réalisée par Le Maire Poussin, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Dancher au prix de 75 fl. [108]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Jean dans le Désert, assis au pied d'un monument où l'on voit un bas-relief représentant la Circoncision. Ce tableau précieux sous les rapports d'une belle composition, d'un effet et d'une harmonie vifs et piquans, peut être considéré comme classique dans une collection de l'école hollandaise, dont Gerard de Lairesse a été le plus beau génie. (Gerard de Lairesse)|Saint Jean dans le Désert, assis au pied d'un monument où l'on voit un bas-relief représentant la Circoncision. Ce tableau précieux sous les rapports d'une belle composition, d'un effet et d'une harmonie vifs et piquans, peut être considéré comme classique dans une collection de l'école hollandaise, dont Gerard de Lairesse a été le plus beau génie.]] réalisée par Gerard de Lairesse, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Constantin au prix de 119 fl. [110]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans une chambre basse, on voit plusieurs ustensiles de cuisine et différens légumes ; dans le fond, une femme et un homme assis au coin du feu. Ce tableau, d'un pinceau flou et d'un effet piquant, peut être regardé comme le meilleur de ce maître. (G. Kalf)|Dans une chambre basse, on voit plusieurs ustensiles de cuisine et différens légumes ; dans le fond, une femme et un homme assis au coin du feu. Ce tableau, d'un pinceau flou et d'un effet piquant, peut être regardé comme le meilleur de ce maître.]] réalisée par G. Kalf, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Didot au prix de 103 fl. [112]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage offrant sur la droite un terrain élevé couvert d'arbres, en opposition avec un lointain de plaines, coteaux et montagnes. On y voit, auprès de plusieurs tentes, une réunion de villageois, les uns couchés sur l'herbe, et les autres qui dansent ; à gauche et sur le premier plan, un petit garçon monté sur un arbre pour dégager un cerf-volant ; un autre, qui tient la corde, paraît effrayé de voir son camarade si haut élevé. Ce charmant tableau fait également honneur aux deux artistes qui y ont coopéré, l'un par l'agrément et la vérité du site, l'autre par les charmantes figures qui l'enrichissent. Il provient du cabinet de M. Clos, n. 16 de son Catalogue. (M. Hue)|Un paysage offrant sur la droite un terrain élevé couvert d'arbres, en opposition avec un lointain de plaines, coteaux et montagnes. On y voit, auprès de plusieurs tentes, une réunion de villageois, les uns couchés sur l'herbe, et les autres qui dansent ; à gauche et sur le premier plan, un petit garçon monté sur un arbre pour dégager un cerf-volant ; un autre, qui tient la corde, paraît effrayé de voir son camarade si haut élevé. Ce charmant tableau fait également honneur aux deux artistes qui y ont coopéré, l'un par l'agrément et la vérité du site, l'autre par les charmantes figures qui l'enrichissent. Il provient du cabinet de M. Clos, n. 16 de son Catalogue.]] réalisée par M. Hue, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Madame Hazard au prix de 402 fl. [119]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vase contenant un riche bouquet de fleurs, composé de pavots, de tulipes, de boules de neige, de chèvrefeuilles, et de toutes les sortes de fleurs qui pouvaient ajouter au brillant et à l'argement de sa composition. Ce vase est posé sur un fragment de riche architecture. (Just Van Huysum)|Un vase contenant un riche bouquet de fleurs, composé de pavots, de tulipes, de boules de neige, de chèvrefeuilles, et de toutes les sortes de fleurs qui pouvaient ajouter au brillant et à l'argement de sa composition. Ce vase est posé sur un fragment de riche architecture.]] réalisée par Just Van Huysum, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Marthe au prix de 50 fl. [120]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jolis paysages pris à l'effet du soleil, offrant différens points de vue coupés par plusieurs rivières et mêlés de fabriques et montagnes dans le lointain. Quelques figures placées à différentes distances, ajoutent à l'intérêt de la composition. Ils peuvent être regardés comme les délassemens du plus habile peintre de fleurs. (Jean Van Huysum)|Deux jolis paysages pris à l'effet du soleil, offrant différens points de vue coupés par plusieurs rivières et mêlés de fabriques et montagnes dans le lointain. Quelques figures placées à différentes distances, ajoutent à l'intérêt de la composition. Ils peuvent être regardés comme les délassemens du plus habile peintre de fleurs.]] réalisée par Jean Van Huysum, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Didot au prix de 72 fl. [121]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux de fleurs et de fruits, groupés sur des tables de marbre. Ces deux précieux ouvrages, dont tous les amateurs connaissent la rareté et le prix, lorsqu'ils ont des fonds clairs, sont d'une vérité qui produit l'illusion la plus complette. L'évidence doit faire interprêter que le maître ayant trouvé ses compositions trop resserées, s'était décidé à y ajouter ce que l'on voit de plus que dans leurs premièrs formes. Cette différence est à leur avantage pour le maître a fait lui-même par ce repentir, ne peut leur ôter la moindre valeur. La preuve que nous en pouvons fournir, est qu'ils ont fait long-tems l'ornement du cabinet de M. Lempereur, n. 72 du catalogue, pour passer ensuite dans la riche collection de M. Clos, n. 14 et 15 de la vente dernière. (Jean Van Huysum)|Deux tableaux de fleurs et de fruits, groupés sur des tables de marbre. Ces deux précieux ouvrages, dont tous les amateurs connaissent la rareté et le prix, lorsqu'ils ont des fonds clairs, sont d'une vérité qui produit l'illusion la plus complette. L'évidence doit faire interprêter que le maître ayant trouvé ses compositions trop resserées, s'était décidé à y ajouter ce que l'on voit de plus que dans leurs premièrs formes. Cette différence est à leur avantage pour le maître a fait lui-même par ce repentir, ne peut leur ôter la moindre valeur. La preuve que nous en pouvons fournir, est qu'ils ont fait long-tems l'ornement du cabinet de M. Lempereur, n. 72 du catalogue, pour passer ensuite dans la riche collection de M. Clos, n. 14 et 15 de la vente dernière.]] réalisée par Jean Van Huysum, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Lerouge au prix de 3395.95 fl. [122]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Jérôme, pendant son sommeil, entendant un ange qui, au son de la trompette, vient annoncer jugement dernier, se réveille aussitôt. Nous nous appuyons de l'opinion de M. Lebrun, qui regardait ce tableau comme une répétition de celui du Musée. (Le Guerchin)|Saint Jérôme, pendant son sommeil, entendant un ange qui, au son de la trompette, vient annoncer jugement dernier, se réveille aussitôt. Nous nous appuyons de l'opinion de M. Lebrun, qui regardait ce tableau comme une répétition de celui du Musée.]] réalisée par Le Guerchin, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 171.95 fl. [129]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage d'un beau style et richement boisé. On remarque sur le premier plan, à droite, une jeune nymphe couchée et endormie au pied d'un gros arbre, dont les rameaux portent ombre sur son corps ; du côté opposé, un ruisseau vient tomber en cascade au milieu de plantes et de broussailles. Tableau de la plus grande finesse et bien conservé. (J. Glaubert)|Un paysage d'un beau style et richement boisé. On remarque sur le premier plan, à droite, une jeune nymphe couchée et endormie au pied d'un gros arbre, dont les rameaux portent ombre sur son corps ; du côté opposé, un ruisseau vient tomber en cascade au milieu de plantes et de broussailles. Tableau de la plus grande finesse et bien conservé.]] réalisée par J. Glaubert, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 121 fl. [133]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une composition noble, représebtant une dame délivrant des pains à des malheureux ; cette scène intéressante se passe à l'entrée d'un palais de riche architecture. Ce tableau d'une belle couleur et très-capital de ce maître, est digne des beaux ouvrages de Vandeyck. (Gonzales Coques)|Une composition noble, représebtant une dame délivrant des pains à des malheureux ; cette scène intéressante se passe à l'entrée d'un palais de riche architecture. Ce tableau d'une belle couleur et très-capital de ce maître, est digne des beaux ouvrages de Vandeyck.]] réalisée par Gonzales Coques, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Constantin au prix de 103 fl. [135]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ulysse et Néoptolême fils d'Achile, enlevant à Philoctète les flèches d'Hercule. Ce tableau capital fut exécuté à Rome pour milord Bristol. On y admire une très-belle composition, un dessin grand et correct, de belles expressions, une couleur et une exécution qui ne laissent rien à désirer. Ce belle ouvrage, l'un des plus capitaux de cet artiste, est propre à décorer un beau salon ou une galerie. (M. Fabre)|Ulysse et Néoptolême fils d'Achile, enlevant à Philoctète les flèches d'Hercule. Ce tableau capital fut exécuté à Rome pour milord Bristol. On y admire une très-belle composition, un dessin grand et correct, de belles expressions, une couleur et une exécution qui ne laissent rien à désirer. Ce belle ouvrage, l'un des plus capitaux de cet artiste, est propre à décorer un beau salon ou une galerie.]] réalisée par M. Fabre, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 199.95 fl. [138]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage, représentant la sortie d'une bois, où l'on voit deux hommes sur le bord du chemin et un autre au milieu ; dans le fond un champ de blé et un village. Ce tableau est d'une couleur vive et harmonieuse, et digne des plus habiles peintres en ce genre. Il provient de la vente de M. Dupré, du 25 novembre 1811, n. 128 du catalogue. (Reinier Devries)|Un paysage, représentant la sortie d'une bois, où l'on voit deux hommes sur le bord du chemin et un autre au milieu ; dans le fond un champ de blé et un village. Ce tableau est d'une couleur vive et harmonieuse, et digne des plus habiles peintres en ce genre. Il provient de la vente de M. Dupré, du 25 novembre 1811, n. 128 du catalogue.]] réalisée par Reinier Devries, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Claire au prix de 173 fl. [139]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Abraham et sa femme, recevant les trois anges, figures de proportion naturelle, vues à mi-corps. On ne peut rien voir de plus gracieux, tant par la noblesse des caractères, que par la richesse de la couleur et de l'harmonie ; un faire moelleux et une touche facile, concourent à en faire un de ces tableaux justement recherchés des amateurs. (Jean Dewit)|Abraham et sa femme, recevant les trois anges, figures de proportion naturelle, vues à mi-corps. On ne peut rien voir de plus gracieux, tant par la noblesse des caractères, que par la richesse de la couleur et de l'harmonie ; un faire moelleux et une touche facile, concourent à en faire un de ces tableaux justement recherchés des amateurs.]] réalisée par Jean Dewit, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Le Cerf au prix de 108 fl. [141]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montueux, où l'on remarque un troupeau de plusieurs animaux, gardé par deux jeunes enfans. Ce tableau agréable peut être considéré comme un des bons ouvrages de ce peintre, et supporterait la comparaison avec les meilleurs ouvrages de Vanbergen. (Vander Does)|Paysage montueux, où l'on remarque un troupeau de plusieurs animaux, gardé par deux jeunes enfans. Ce tableau agréable peut être considéré comme un des bons ouvrages de ce peintre, et supporterait la comparaison avec les meilleurs ouvrages de Vanbergen.]] réalisée par Vander Does, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par St-Martin au prix de 115 fl. [144]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet allégorique représentant une femme seule, assise, tenant sur elle un chat, et appuyée sur une table où l'on voit un vase, un chien, une montre, etc. Ce tableau d'un très-beau style est exécuté avec un soin précieux. Les ouvrages de ce grand peintre sont très-rares à rencontrer. Ils se voient dans la galerie de Dusseldorf. (Gerard Douffet)|Sujet allégorique représentant une femme seule, assise, tenant sur elle un chat, et appuyée sur une table où l'on voit un vase, un chien, une montre, etc. Ce tableau d'un très-beau style est exécuté avec un soin précieux. Les ouvrages de ce grand peintre sont très-rares à rencontrer. Ils se voient dans la galerie de Dusseldorf.]] réalisée par Gerard Douffet, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 73 fl. [146]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieillard à long barbe, assis dans un fauteuil et placé devant une table, où il est occupé à peser des pièces d'or. Il est représenté dans un riche vêtement. Ce tableau d'une belle finesse d'exécution a été attribué à Gérard Dow, dans une des notes de M. Lebrun. (Gérard Dow)|Un vieillard à long barbe, assis dans un fauteuil et placé devant une table, où il est occupé à peser des pièces d'or. Il est représenté dans un riche vêtement. Ce tableau d'une belle finesse d'exécution a été attribué à Gérard Dow, dans une des notes de M. Lebrun.]] réalisée par Gérard Dow, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 401 fl. [147]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus, environné d'hommes et de femmes dans diverses attitudes et dans l'expression de l'admiration et du respect, évoque Lazare qui sort de son tombeau, entouré de ses linceuls. Cette figure se détache sur des nuages qui laissent apercevoir une gloire d'anges. Tableau d'une belle couleur et d'un effet décidé, que M. Lebrun contemplait avec plaisir, comme une des belles productions de son maître. Neuf fig. princ. (Deshayes)|Jésus, environné d'hommes et de femmes dans diverses attitudes et dans l'expression de l'admiration et du respect, évoque Lazare qui sort de son tombeau, entouré de ses linceuls. Cette figure se détache sur des nuages qui laissent apercevoir une gloire d'anges. Tableau d'une belle couleur et d'un effet décidé, que M. Lebrun contemplait avec plaisir, comme une des belles productions de son maître. Neuf fig. princ.]] réalisée par Deshayes, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 46 fl. [149]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage d'un ton doré, pris à l'effet du soleil couchant, offrant un riche point de vue des campagnes d'Italie. Vers la droite, on remarque des jeunes filles arrangeant un berceau, au milieu quelques vaches, et à la gauche, un chemin frayé parmi des montagnes et dominé par des rochers couronnés de fabriques. Un ciel brillant éclaire ce tableau agréable et d'un effet séduisant. (Denys)|Un paysage d'un ton doré, pris à l'effet du soleil couchant, offrant un riche point de vue des campagnes d'Italie. Vers la droite, on remarque des jeunes filles arrangeant un berceau, au milieu quelques vaches, et à la gauche, un chemin frayé parmi des montagnes et dominé par des rochers couronnés de fabriques. Un ciel brillant éclaire ce tableau agréable et d'un effet séduisant.]] réalisée par Denys, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 131 fl. [150]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage d'une grande étendue, offrant au loin une vue des environs de Naples. A l'entrée d'une prairie où reposent quelques animaux, on voit deux taureaux qui se battent, et sur la gauche, occupée par des hauteurs plantées de bouquets d'arbres, un pâtre occupée à jouer de la flûte. Un ciel d'un ton chaud par l'effet du soleil couchant, éclaire ce tableau dont la richesse de la couleur et la beauté de l'exécution auraient assuré à cet artiste un des premiers rangs parmi les paysagistes. (Denys)|Un paysage d'une grande étendue, offrant au loin une vue des environs de Naples. A l'entrée d'une prairie où reposent quelques animaux, on voit deux taureaux qui se battent, et sur la gauche, occupée par des hauteurs plantées de bouquets d'arbres, un pâtre occupée à jouer de la flûte. Un ciel d'un ton chaud par l'effet du soleil couchant, éclaire ce tableau dont la richesse de la couleur et la beauté de l'exécution auraient assuré à cet artiste un des premiers rangs parmi les paysagistes.]] réalisée par Denys, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Laneuville au prix de 161 fl. [151]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Jean, baptisant sur les bords de l'Euphrate. Ce sujet est représenté dans une paysage d'une riche ordonance ; on y remarque, à la droite, plusieurs figures, entr'autres une femme portant son enfant pour être baptisé. De belles masses d'arbres occupent cette même partie et se détachent sur un ciel savamment nuagé. Du côté opposé, on voit un terrein élevé, garni de fabriques. Les fonds sont occupés par des montagnes et quelques indications de ville. Quelques troncs d'arbres et des broussailles enrichissent le premier plan. En étudiant ce tableau, on admirera la simplicité de pauses, la sagesse de l'exécution, la savante distribution des plans et la richesse des couleurs, etc. Le mérite de ce tableau, joint à son extrême rareté attirera, sans doute l'attention des amateurs. (Dominique Zampieri dit le Dominiquain)|Saint Jean, baptisant sur les bords de l'Euphrate. Ce sujet est représenté dans une paysage d'une riche ordonance ; on y remarque, à la droite, plusieurs figures, entr'autres une femme portant son enfant pour être baptisé. De belles masses d'arbres occupent cette même partie et se détachent sur un ciel savamment nuagé. Du côté opposé, on voit un terrein élevé, garni de fabriques. Les fonds sont occupés par des montagnes et quelques indications de ville. Quelques troncs d'arbres et des broussailles enrichissent le premier plan. En étudiant ce tableau, on admirera la simplicité de pauses, la sagesse de l'exécution, la savante distribution des plans et la richesse des couleurs, etc. Le mérite de ce tableau, joint à son extrême rareté attirera, sans doute l'attention des amateurs.]] réalisée par Dominique Zampieri dit le Dominiquain, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Lerouge au prix de 861 fl. [152]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait d'une belle femme vue à mi-corps et coiffée en cheveux comme sous le règne de Louis XIV, et ornée de perles et boucles d'oreilles. Elle est vêtue d'une robe verte et soulève de sa main gauche une draperie jaune. Nous laissons à ce tableau l'attribution que M. Lebrun lui a donnée dans son catalogue du 2 fevrier 1812. (Gaspard de Crayer)|Portrait d'une belle femme vue à mi-corps et coiffée en cheveux comme sous le règne de Louis XIV, et ornée de perles et boucles d'oreilles. Elle est vêtue d'une robe verte et soulève de sa main gauche une draperie jaune. Nous laissons à ce tableau l'attribution que M. Lebrun lui a donnée dans son catalogue du 2 fevrier 1812.]] réalisée par Gaspard de Crayer, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Soin au prix de 75.95 fl. [157]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vénus, Négligemment étendue sur une draperie bleue, caresse l'Amour qui tient une des ses flèches ; ces deux jolies figures, d'un coloris séduisant, sont entourées d'une guirlande de fleurs par Mario Nuzzy dit Mario di Fiori. Ce tableau, dont le sujet est des plus agréables, vient de la riche collection du prince de Conti, il est peint sur marbre noir. (Carlo Cignani)|Vénus, Négligemment étendue sur une draperie bleue, caresse l'Amour qui tient une des ses flèches ; ces deux jolies figures, d'un coloris séduisant, sont entourées d'une guirlande de fleurs par Mario Nuzzy dit Mario di Fiori. Ce tableau, dont le sujet est des plus agréables, vient de la riche collection du prince de Conti, il est peint sur marbre noir.]] réalisée par Carlo Cignani, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Salupiens au prix de 330 fl. [160]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce deuxième tableau dans le procédé d'exécution le plus terminé, représente la tête du christ couronné d'épines. La sensation que cette production a faite à l'exposition et la vente du riche cabinet de M. de Seréville, et en premier lieu du cabinet Monaco, nous dispense d'un plus long détail. Nous rappellerons comme une vérité, qu'il fut porté au prix de 7001 fr. et adjugé à M. Lebrun. (Antoine Correge)|Ce deuxième tableau dans le procédé d'exécution le plus terminé, représente la tête du christ couronné d'épines. La sensation que cette production a faite à l'exposition et la vente du riche cabinet de M. de Seréville, et en premier lieu du cabinet Monaco, nous dispense d'un plus long détail. Nous rappellerons comme une vérité, qu'il fut porté au prix de 7001 fr. et adjugé à M. Lebrun.]] réalisée par Antoine Correge, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Lerouge au prix de 3810 fl. [162]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge tenant son fils dans ses bras et envirronnée d'une gloire d'anges formant un concert céleste. Elle est accompagnée de Saint Catherine tous deux dans l'attitude de l'adoration. Le paysage et les autres détails de ce magnifique tableau sont de la touche à la fois la plus gracieuse et la plus savante. Un ensemble aussi imposant doit nécessairement porter à l'admiration et fixer les regards des vrais connaisseurs, qui, de nos jours, n'auront jamais rencontré rien d'aussi capital dans les différentes ventes qui ont eu lieu. Nous ne hésiterons pas dire que les espérances de M. Lebrun en avaient porté le prix à la haute valeur des ouvrages de ce grand peintre ; pénétrés de son opinion, nous les présentons avec confiance et la détermination de le livrer aux enchères, à un prix digne de son rang. (Antoine Correge)|La Vierge tenant son fils dans ses bras et envirronnée d'une gloire d'anges formant un concert céleste. Elle est accompagnée de Saint Catherine tous deux dans l'attitude de l'adoration. Le paysage et les autres détails de ce magnifique tableau sont de la touche à la fois la plus gracieuse et la plus savante. Un ensemble aussi imposant doit nécessairement porter à l'admiration et fixer les regards des vrais connaisseurs, qui, de nos jours, n'auront jamais rencontré rien d'aussi capital dans les différentes ventes qui ont eu lieu. Nous ne hésiterons pas dire que les espérances de M. Lebrun en avaient porté le prix à la haute valeur des ouvrages de ce grand peintre ; pénétrés de son opinion, nous les présentons avec confiance et la détermination de le livrer aux enchères, à un prix digne de son rang.]] réalisée par Antoine Correge, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Billaudel au prix de 5000 fl. [163]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet pastoral, une bergère assise près de son berger tenant sa houlette à la main et gardant son troupeau. Le fond offre un paysage où l'on distingue quelques masures. Cette composition, à l'imitation du Bassan, est touchée dans la manière facile qui caractérise le goût et l'esprit de ce maître. (François Boucher)|Sujet pastoral, une bergère assise près de son berger tenant sa houlette à la main et gardant son troupeau. Le fond offre un paysage où l'on distingue quelques masures. Cette composition, à l'imitation du Bassan, est touchée dans la manière facile qui caractérise le goût et l'esprit de ce maître.]] réalisée par François Boucher, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Maurice au prix de 61 fl. [166]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La vue d'un village où l'on aperçoit plusieurs paysans dont un roule une brouette ; quelques arbres épars ça et là rendent le site plus agréable et l'effet de clair de lune plus piquant. Bon ouvrage de ce maître dont la couleur et l'exécution a quelque ressemblance avec D. Téniers. (P. Bloot)|La vue d'un village où l'on aperçoit plusieurs paysans dont un roule une brouette ; quelques arbres épars ça et là rendent le site plus agréable et l'effet de clair de lune plus piquant. Bon ouvrage de ce maître dont la couleur et l'exécution a quelque ressemblance avec D. Téniers.]] réalisée par P. Bloot, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Moris au prix de 10.5 fl. [170]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un guerrier venant consulter l'oracle dans le temple d'Hercule, riche composition de vingt-huit figures. Tout le premier plan à gauche est occupé par un orchestre très-considérable que dirige un homme vu par le dos et couronné de lauriers, tandis que le feu sacré brûle sur l'autel d'Hercule ; cette superbe composition est digne, par son style et sa sagesse, des belles productions de Nicolas Poussin. (Bertholet Flammel)|Un guerrier venant consulter l'oracle dans le temple d'Hercule, riche composition de vingt-huit figures. Tout le premier plan à gauche est occupé par un orchestre très-considérable que dirige un homme vu par le dos et couronné de lauriers, tandis que le feu sacré brûle sur l'autel d'Hercule ; cette superbe composition est digne, par son style et sa sagesse, des belles productions de Nicolas Poussin.]] réalisée par Bertholet Flammel, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Lafontaine au prix de 75 fl. [175]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage agreste, pris dans les environs du château Saint-Ange, baigné par le Tibre ; sur le devant, un homme et une femme conduisent un troupeau de bestiaux ; de belles fabriques, des masses d'arbres et des montagnes élevées, concourent à la richesse de ce tableau que nous regardons comme tout ce que le maître a produit de plus précieux et de plus fin. (S. Bourdon)|Un paysage agreste, pris dans les environs du château Saint-Ange, baigné par le Tibre ; sur le devant, un homme et une femme conduisent un troupeau de bestiaux ; de belles fabriques, des masses d'arbres et des montagnes élevées, concourent à la richesse de ce tableau que nous regardons comme tout ce que le maître a produit de plus précieux et de plus fin.]] réalisée par S. Bourdon, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Ve Hazard au prix de 397 fl. [177]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage montueux ; de droite à gauche s'élèvent de hauts rochers courronnés de broussailles, au bas, plusieurs chemins où l'on voit, sur trois plans, différens pâtres qui conduisent leurs boeufs ; en devant du tableau ; plusieurs arbres et têtes d'autres plantés dans un vallon, au haut duquel l'on voit une route qui tourne une montagne sur la droite, plusieurs masses de montagnes, dans le lointain, terminent ce tableau, éclairé par un soleil couchant ; l'on y admirera cette vapeur aërienne que Both a possédée à l'égal de Claude, et cette touche fine et spirituelle, jointe à la plus belle harmonie : nous pouvons citer ce tableau comme un des plus parfaits de ce maître. (Jean Both, dit Both d'Italie)|Un paysage montueux ; de droite à gauche s'élèvent de hauts rochers courronnés de broussailles, au bas, plusieurs chemins où l'on voit, sur trois plans, différens pâtres qui conduisent leurs boeufs ; en devant du tableau ; plusieurs arbres et têtes d'autres plantés dans un vallon, au haut duquel l'on voit une route qui tourne une montagne sur la droite, plusieurs masses de montagnes, dans le lointain, terminent ce tableau, éclairé par un soleil couchant ; l'on y admirera cette vapeur aërienne que Both a possédée à l'égal de Claude, et cette touche fine et spirituelle, jointe à la plus belle harmonie : nous pouvons citer ce tableau comme un des plus parfaits de ce maître.]] réalisée par Jean Both, dit Both d'Italie, vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun, achetée par Mde Nigrin au prix de 600 fl. [179]
  • 1814.05.26/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage où l'on voit sur la droite de hautes montagnes courronnées de fabriques et monumens ; sur un chemin, plus bas, l'on voit quatre personnages à pied, un cavalier et une mulle chargée ; la gauche offre une grande étendue de pays, le tout d'un ton lumineux et de l'effet le plus piquant. (Asselyn (Jean))|Paysage où l'on voit sur la droite de hautes montagnes courronnées de fabriques et monumens ; sur un chemin, plus bas, l'on voit quatre personnages à pied, un cavalier et une mulle chargée ; la gauche offre une grande étendue de pays, le tout d'un ton lumineux et de l'effet le plus piquant.]] réalisée par Asselyn (Jean), vendue par Jean Baptiste Pierre Lebrun au prix de 57 fl. [181]