Ventes d'œuvres le 1814.09.23
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- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue dans la Campagne de Rome sur une partie des Aqueducs; le premier plan du tableau richement orné de figures et de Bestiaux est en même tems la partie la plus éclairée de ce riche morceau; une Villageoise montée sur un cheval blanc se distingue au milieu d'un groupe composé de deux hommes bridant un autre cheval, de trois figures en conversation, de deux vaches, deux chèvres, de quatre Brebis et de plusieurs chiens. Sur un plan plus élévé on voit passer par une arcade voutée plusieurs pâtres conduisant du bétail. Ce morceau brillant est terminé par une perspective montueuse, et varié par des broussailles qui ajoutent à l'agrément de ce site pittoresque. L'on observera à l'égard de ce tableau qu'il est du faire le plus soigné de Berchem, qu'il est d'une touche pateuse et non manierée, et que l'effet d'une fraiche matinée y est observé en grand maitre (Berchem (Nicolas))|Vue dans la Campagne de Rome sur une partie des Aqueducs; le premier plan du tableau richement orné de figures et de Bestiaux est en même tems la partie la plus éclairée de ce riche morceau; une Villageoise montée sur un cheval blanc se distingue au milieu d'un groupe composé de deux hommes bridant un autre cheval, de trois figures en conversation, de deux vaches, deux chèvres, de quatre Brebis et de plusieurs chiens. Sur un plan plus élévé on voit passer par une arcade voutée plusieurs pâtres conduisant du bétail. Ce morceau brillant est terminé par une perspective montueuse, et varié par des broussailles qui ajoutent à l'agrément de ce site pittoresque. L'on observera à l'égard de ce tableau qu'il est du faire le plus soigné de Berchem, qu'il est d'une touche pateuse et non manierée, et que l'effet d'une fraiche matinée y est observé en grand maitre]] réalisée par Berchem (Nicolas), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Roos au prix de 1740 frs. [1]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Au milieu d'un beau site de paysage pris en Italie on voit s'éléver un Bouquet d'arbres de formes les plus attraïantes; la droite presente une Route embellie par des Muletiers conduisant leurs mulets, et par des Pâtres et des Bestiaux, cette partie est terminée par des monticules. La gauche qui est entierement éclairée laisse appercevoir une riviere serpentant entre des montagnes et des parties de terre; un ciel brillant de la lumiere termine ce bel accord. On ne peut trop s'étendre en Eloges sur le mérite préeminant de cette production: beau choix de site, delicatesse inimitable de touche, couleur brulante et vraie, joints à un effet piquant et harmonieux distinguent ce rare morceau (Both (Jean))|Au milieu d'un beau site de paysage pris en Italie on voit s'éléver un Bouquet d'arbres de formes les plus attraïantes; la droite presente une Route embellie par des Muletiers conduisant leurs mulets, et par des Pâtres et des Bestiaux, cette partie est terminée par des monticules. La gauche qui est entierement éclairée laisse appercevoir une riviere serpentant entre des montagnes et des parties de terre; un ciel brillant de la lumiere termine ce bel accord. On ne peut trop s'étendre en Eloges sur le mérite préeminant de cette production: beau choix de site, delicatesse inimitable de touche, couleur brulante et vraie, joints à un effet piquant et harmonieux distinguent ce rare morceau]] réalisée par Both (Jean), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Coclers au prix de 3100 frs. [2]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Pour pendant un autre point de vue pris en Italie: du premier plan qui se trouve richement boisé s'élévent quelques arbres et des broussailles des plus heureuses formes, laissant appercevoir une habitation éclairée du soleil et adossée à des montagnes. A la droite s'éléve insensiblement la route, garnie de deux hommes à cheval, et d'un Pâtre monté sur un ane; plus vers le fond sont quelques Baigneurs au bord d'une riviere, qui va se perdre à l'horison au bas des collines. Il seroit difficile de decider entre ces deux précieux paysages celui qui seroit préferable; ces morceaux uniques offrent tout ce que l'on peut attendre dans les ouvrages les mieux conçus et les plus delicatement exécutés de ce grands Paysagistes (Both (Jean))|Pour pendant un autre point de vue pris en Italie: du premier plan qui se trouve richement boisé s'élévent quelques arbres et des broussailles des plus heureuses formes, laissant appercevoir une habitation éclairée du soleil et adossée à des montagnes. A la droite s'éléve insensiblement la route, garnie de deux hommes à cheval, et d'un Pâtre monté sur un ane; plus vers le fond sont quelques Baigneurs au bord d'une riviere, qui va se perdre à l'horison au bas des collines. Il seroit difficile de decider entre ces deux précieux paysages celui qui seroit préferable; ces morceaux uniques offrent tout ce que l'on peut attendre dans les ouvrages les mieux conçus et les plus delicatement exécutés de ce grands Paysagistes]] réalisée par Both (Jean), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Roos au prix de 2000 frs. [3]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue pris dans l'interieur d'une cour d'auberge; au milieu de cette place se trouve un charriot dételé sur lequel est monté un conducteur donnant l'avoine à un cheval blanc, un autre personnage semble lui adresser la parole. Vèrs le fond sont quelques geux à jouer aux cartes. Un bel arbre élèvé va se detacher sur un ciel lumineux. Cette représentation d'un ton de couleur doré, est rendue d'une manière piquante par un effet de lumiere qui traverse le tableau de gauche à droite; l'exécution en est facile et digne du pinceau des deux frères célèbres (Both (Jean))|Point de vue pris dans l'interieur d'une cour d'auberge; au milieu de cette place se trouve un charriot dételé sur lequel est monté un conducteur donnant l'avoine à un cheval blanc, un autre personnage semble lui adresser la parole. Vèrs le fond sont quelques geux à jouer aux cartes. Un bel arbre élèvé va se detacher sur un ciel lumineux. Cette représentation d'un ton de couleur doré, est rendue d'une manière piquante par un effet de lumiere qui traverse le tableau de gauche à droite; l'exécution en est facile et digne du pinceau des deux frères célèbres]] réalisée par Both (Jean), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par J: de Vries au prix de 610 frs. [4]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Representation d'un manége en plein air. Le groupe placé au milieu du tableau offre un cheval blanc sellé tenu par un valet, derriere lequel se trouve un cavalier habillé à l'espagnole monté sur un cheval bai clair, parlant à un autre qui est accompagné d'une Dame; à gauche est placé un cheval brun et deux hommes: à droite un Piqueur se courbe pour arranger ses bottes. Au second plan le manége et différentes figures terminent le point de vue vèrs un chateau se delachant sur un ciel clair et vaporeux. Ce tableau d'une couleur fraiche et argentine, d'une exécution spirituelle et des plus achevés de l'auteur, produit un effet charmant (Lingelbach (Jean))|Representation d'un manége en plein air. Le groupe placé au milieu du tableau offre un cheval blanc sellé tenu par un valet, derriere lequel se trouve un cavalier habillé à l'espagnole monté sur un cheval bai clair, parlant à un autre qui est accompagné d'une Dame; à gauche est placé un cheval brun et deux hommes: à droite un Piqueur se courbe pour arranger ses bottes. Au second plan le manége et différentes figures terminent le point de vue vèrs un chateau se delachant sur un ciel clair et vaporeux. Ce tableau d'une couleur fraiche et argentine, d'une exécution spirituelle et des plus achevés de l'auteur, produit un effet charmant]] réalisée par Lingelbach (Jean), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Roos au prix de 700 frs. [5]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysage arcadique d'une composition grandieuse, offrant sous une masse d'arbres une fontaine auprès de laquelle quelques figures de femmes, bien dessinées, puisent de l'eau. Le site est traversé par une riviere serpentant au bas de quelques collines ornées de fabriques. Ce morceau produit un bel effet et l'exécution en est large et facile (Lucatelli (André))|Un Paysage arcadique d'une composition grandieuse, offrant sous une masse d'arbres une fontaine auprès de laquelle quelques figures de femmes, bien dessinées, puisent de l'eau. Le site est traversé par une riviere serpentant au bas de quelques collines ornées de fabriques. Ce morceau produit un bel effet et l'exécution en est large et facile]] réalisée par Lucatelli (André), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Coclers au prix de 105 frs. [6]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Pour pendant l'auteur à représenté le lever du soleil, dans un grand et majestueux paysage: des arbres de belle forme s'élévent à la droite; une Riviere embrasse le milieu entre des monticules et l'avant plan; cette partie est ornée de Pêcheurs. Ces deux tableaux sont des ouvrages distingués de l'Auteur (Lucatelli (André))|Pour pendant l'auteur à représenté le lever du soleil, dans un grand et majestueux paysage: des arbres de belle forme s'élévent à la droite; une Riviere embrasse le milieu entre des monticules et l'avant plan; cette partie est ornée de Pêcheurs. Ces deux tableaux sont des ouvrages distingués de l'Auteur]] réalisée par Lucatelli (André), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Coclers au prix de 105 frs. [7]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Au devant d'une table de pierre ornée d'un pot à fleurs sculpté est assise une gentille femme; son vétement consiste en une coëffe blanche, un casaquin rouge, et un jupon d'étoffe grise; elle recoit un billet de la main d'un jeune homme qui se tient debout devant elle le chapeau à la main. Le fond laisse appercevoir un chateau autravèrs d'une arcade. Ce précieux tableau ne laisse rien à desirer pour la delicatesse du dessin, l'expression des deux têtes, la verité de la couleur, et le charme de l'exécution (Metsu (Gabriel))|Au devant d'une table de pierre ornée d'un pot à fleurs sculpté est assise une gentille femme; son vétement consiste en une coëffe blanche, un casaquin rouge, et un jupon d'étoffe grise; elle recoit un billet de la main d'un jeune homme qui se tient debout devant elle le chapeau à la main. Le fond laisse appercevoir un chateau autravèrs d'une arcade. Ce précieux tableau ne laisse rien à desirer pour la delicatesse du dessin, l'expression des deux têtes, la verité de la couleur, et le charme de l'exécution]] réalisée par Metsu (Gabriel), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par van Iperen pour Nieuwenhuys au prix de 905 frs. [8]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Un homme distingué assis devant une table semble méditer profondement sur un objet qu'il se propose d'écrire; il tient une plume de la droite et appuie la main gauche sur le papier; sa tête est garnie de cheveux noirs, et couverte d'une calotte. Son vétement est un large surtout gris, garni de cordons en argent. Sur la table est jetté nonchalamment un tapis de smirne, couvert d'un écritoire, d'un livre, et d'une plume. Vérs la droite du spectateur se présente une servante tenant une lumiere à la main. Le reste du fond offre une partie de bibliothéque masquée par un rideau verd. Les mêmes qualitées énoncées à l'égard du morceau précédent distinguent également celui-ci; les amateurs observeront avec plaisir l'expression de meditation, qui caractérise admirablement la figure principale (Metsu (Gabriel))|Un homme distingué assis devant une table semble méditer profondement sur un objet qu'il se propose d'écrire; il tient une plume de la droite et appuie la main gauche sur le papier; sa tête est garnie de cheveux noirs, et couverte d'une calotte. Son vétement est un large surtout gris, garni de cordons en argent. Sur la table est jetté nonchalamment un tapis de smirne, couvert d'un écritoire, d'un livre, et d'une plume. Vérs la droite du spectateur se présente une servante tenant une lumiere à la main. Le reste du fond offre une partie de bibliothéque masquée par un rideau verd. Les mêmes qualitées énoncées à l'égard du morceau précédent distinguent également celui-ci; les amateurs observeront avec plaisir l'expression de meditation, qui caractérise admirablement la figure principale]] réalisée par Metsu (Gabriel), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par van Iperen au prix de 2205 frs. [9]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de ce petit tableau est un homme jovial assis devant une table couverte, sur laquelle se trouvent des déz et un grand verre de vin du Rhin; il appuye le bras droit contre un trictrac, montrant de sa main les objets de jeu: dans sa gauche qu'il élève il tient une longue pipe à tabac. La tête porte le caractère d'un commencement d'ivresse. Cette réprésentation detachée sur un fond de paysage produit un très bel effet; la veritéde la couleur et la prétieuse exécution le feront distiguer par les amateurs (Mieris (Francois van) Le Vieux)|Le sujet de ce petit tableau est un homme jovial assis devant une table couverte, sur laquelle se trouvent des déz et un grand verre de vin du Rhin; il appuye le bras droit contre un trictrac, montrant de sa main les objets de jeu: dans sa gauche qu'il élève il tient une longue pipe à tabac. La tête porte le caractère d'un commencement d'ivresse. Cette réprésentation detachée sur un fond de paysage produit un très bel effet; la veritéde la couleur et la prétieuse exécution le feront distiguer par les amateurs]] réalisée par Mieris (Francois van) Le Vieux, vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par J. de Vries au prix de 160 frs. [10]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Un site de paysage du plus beau choix: parmi quelques bouquets d'arbres on voit s'avancer un escalier en pierres, menant à quelque chateau, d'ou partent des chasseurs à pied et à cheval pour la chasse au faucon, suivis de leurs chiens; un ciel lumieux éclaire cette agréable réprésentation. La légereté du feuillé, la beauté de la touche et le ton petillant de la couleur, ajoutent au mérite de l'effet et des figures excellentes dont A. van de Velde a embelli ce tableau (Moucheron (Frederic de))|Un site de paysage du plus beau choix: parmi quelques bouquets d'arbres on voit s'avancer un escalier en pierres, menant à quelque chateau, d'ou partent des chasseurs à pied et à cheval pour la chasse au faucon, suivis de leurs chiens; un ciel lumieux éclaire cette agréable réprésentation. La légereté du feuillé, la beauté de la touche et le ton petillant de la couleur, ajoutent au mérite de l'effet et des figures excellentes dont A. van de Velde a embelli ce tableau]] réalisée par Moucheron (Frederic de), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par J: de Vries au prix de 725 frs. [11]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue perspective sur une ville au bas de laquelle une Riviere gelée qui va se perdre à l'horison dans une perspective lointaine. Le premier plan du tableau offre un plateau de terre, couvert de neige et garni de figures que l'on voit s'amuser au jeu de crosse. Nombre de figures et de nacelles garnissent la glace; un ciel largement nuagé termine cette image de l'hiver, rendue avec toute la verité, la franchise et l'harmonie qui distinguent les meilleurs ouvrages de l'auteur (Neer (Aart van der))|Vue perspective sur une ville au bas de laquelle une Riviere gelée qui va se perdre à l'horison dans une perspective lointaine. Le premier plan du tableau offre un plateau de terre, couvert de neige et garni de figures que l'on voit s'amuser au jeu de crosse. Nombre de figures et de nacelles garnissent la glace; un ciel largement nuagé termine cette image de l'hiver, rendue avec toute la verité, la franchise et l'harmonie qui distinguent les meilleurs ouvrages de l'auteur]] réalisée par Neer (Aart van der), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par J: de Vries au prix de 175 frs. [12]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau a pour sujet un homme qui se présente sur le devant d'une fenêtre ouverte, tenant dans la main droite une feuille qui semble l'egayer, et dans sa gauche il tient ses lunettes: Quelques branches de vigne couvrent en partie les carreaux de sa fenêtre. Ce petit morceau a le mérite de la plus grande verité, d'un pinceau facile, et d'une excellente couleur (Ostade (Adrien van))|Ce tableau a pour sujet un homme qui se présente sur le devant d'une fenêtre ouverte, tenant dans la main droite une feuille qui semble l'egayer, et dans sa gauche il tient ses lunettes: Quelques branches de vigne couvrent en partie les carreaux de sa fenêtre. Ce petit morceau a le mérite de la plus grande verité, d'un pinceau facile, et d'une excellente couleur]] réalisée par Ostade (Adrien van), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par van Iperen pour Nieuwenhuis au prix de 305 frs. [13]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Pour pendant l'artiste a répresenté un vieux Marin appuyé sur le devant de sa porte, tenant sa pipe de sa main droite. Audessus d'une toicture cintrée qui couvre cette demeure on voit descendre des branches de vigne. Cette figure expressive semble attendre qu'on lui adresse la parole; le bel effet de lumiere joint aux qualités énoncées à l'égard du précédent feront distinguer ce moreceau (Ostade (Adrien van))|Pour pendant l'artiste a répresenté un vieux Marin appuyé sur le devant de sa porte, tenant sa pipe de sa main droite. Audessus d'une toicture cintrée qui couvre cette demeure on voit descendre des branches de vigne. Cette figure expressive semble attendre qu'on lui adresse la parole; le bel effet de lumiere joint aux qualités énoncées à l'égard du précédent feront distinguer ce moreceau]] réalisée par Ostade (Adrien van), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par van Ieperen pour Nieuwenhuis au prix de 510 frs. [14]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Au milieu d'un site gay et ouvert est placé un Cabaret de village, devant lequel arrête une charette d'un vieux cheval blanc, dont deux villageois retirent des paniers, la cabaretiere et sa servante sont à servir de la bierre à quatre hommes assis sous une treille, et tous en action de remplir leurs pipes à tabac; Devant la charette est un jeune homme qui detache deux gros chiens. Trois voyageurs arrivent vèrs la maison, qui est pitoresquement ornée de differens accessoires analogues au sujet. Ce tableau d'un bel effet est d'une couleur vigoureuse et éclattante, d'un pinceau gras et facile, qui distingue les beaux ouvrages que le célébre auteur a representé en plein air (Ostade (Isac van))|Au milieu d'un site gay et ouvert est placé un Cabaret de village, devant lequel arrête une charette d'un vieux cheval blanc, dont deux villageois retirent des paniers, la cabaretiere et sa servante sont à servir de la bierre à quatre hommes assis sous une treille, et tous en action de remplir leurs pipes à tabac; Devant la charette est un jeune homme qui detache deux gros chiens. Trois voyageurs arrivent vèrs la maison, qui est pitoresquement ornée de differens accessoires analogues au sujet. Ce tableau d'un bel effet est d'une couleur vigoureuse et éclattante, d'un pinceau gras et facile, qui distingue les beaux ouvrages que le célébre auteur a representé en plein air]] réalisée par Ostade (Isac van), vendue par madame la douairiere Boreel au prix de 1520 frs. [15]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce morceau capital un des principaux ouvrages sortis de la main de ce grand artiste, contient douze animaux. La savante disposition de ce composé en rend le detail difficile a rendre d'une maniere claire. Vérs le milieu du tableau est placé un bout de paturage garni d'un léger ombrage d'arbres; auprès de cette partie se trouve une villageoise occupée à traire, une vache tachée de roux et blanc, derriere cet animal, une autre vache brune à tête bigarrée de blanc pousse sa tête expressive; un veau noir couché aux pieds de ces animaux acheve ce groupe. Auprès de cette partie est une troisième vache à paturer, et à coté de celle-ci une quatrième qui est couchée. A gauche sur le devant du tableau est couchée une grosse chèvre; à droite deux belles brebis et une autre chèvre; Au second plan marchent deux brebis et une vache. La paysage est terminé d'un coté par une habitation champêtre et de l'autre par une perspective lointaine, ce bel ensemble se detache sur un ciel clair, légérement nuagé. On ne sauroit donner trop d'éloges à ce précieux tableau, c'est le plus haut point de perfection auquel la peinture en ce genre ait atteint! ce morceau seul auroit suffi pour constater la supériorité de Potter pour exprimer les caratères des animaux; la savante touche brodée, et la couleur vraie comme la nature élévent cet inapréciable tableau au rang des plus rares productions de l'Ecole Hollandoise, il porte la signature de Paul Potter 1646, époque de sa plus grande vigeur (Potter (Paul))|Ce morceau capital un des principaux ouvrages sortis de la main de ce grand artiste, contient douze animaux. La savante disposition de ce composé en rend le detail difficile a rendre d'une maniere claire. Vérs le milieu du tableau est placé un bout de paturage garni d'un léger ombrage d'arbres; auprès de cette partie se trouve une villageoise occupée à traire, une vache tachée de roux et blanc, derriere cet animal, une autre vache brune à tête bigarrée de blanc pousse sa tête expressive; un veau noir couché aux pieds de ces animaux acheve ce groupe. Auprès de cette partie est une troisième vache à paturer, et à coté de celle-ci une quatrième qui est couchée. A gauche sur le devant du tableau est couchée une grosse chèvre; à droite deux belles brebis et une autre chèvre; Au second plan marchent deux brebis et une vache. La paysage est terminé d'un coté par une habitation champêtre et de l'autre par une perspective lointaine, ce bel ensemble se detache sur un ciel clair, légérement nuagé. On ne sauroit donner trop d'éloges à ce précieux tableau, c'est le plus haut point de perfection auquel la peinture en ce genre ait atteint! ce morceau seul auroit suffi pour constater la supériorité de Potter pour exprimer les caratères des animaux; la savante touche brodée, et la couleur vraie comme la nature élévent cet inapréciable tableau au rang des plus rares productions de l'Ecole Hollandoise, il porte la signature de Paul Potter 1646, époque de sa plus grande vigeur]] réalisée par Potter (Paul), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par van Iperen pour Nieuwenhuis au prix de 2710 frs. [16]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Cette magnifique production offre un Paysage montueux, dont les fabriques indiquent un site pris en Westphalie, il exprime un jour pluvieux aux approches de l'automne. Au premier plan on observe à gauche une route qui mène insensiblement vérs un monticule richement boisé d'arbres de différentes espèces, ce chemin est traversé par un pont de bois, sous lequel passe un Ruisseau en y formant une légere chutte d'eau qui se brise en écumant sur le devant du tableau. Cette partié prédominante est richement embellie par des hommes à cheval, des Vaches, des Brebis et autres animaux, de la main d'A. van de Velde, qui en relevent singulierement l'intérêt. Plus vérs la perspective, à la rive opposée du ruisseau la vue s'arrète sur différentes fabriques et sur un pont arcqué, à l'horison elle est bornée par des montagnes; des richesses de détail augmentent l'intérêt de cette grandieuse image dont le ciel savamment nuagé complette parfaitement l'illusion. On ne connoit point de Tableau de Ruisdaal comparable à celui-ci, tant à l'égard de la richesse poëtique de sa composition, de son éclat, que de la superiorité des figures qui s'y trouvent aussi harmonieusement placées! (Ruisdaal (Jaques))|Cette magnifique production offre un Paysage montueux, dont les fabriques indiquent un site pris en Westphalie, il exprime un jour pluvieux aux approches de l'automne. Au premier plan on observe à gauche une route qui mène insensiblement vérs un monticule richement boisé d'arbres de différentes espèces, ce chemin est traversé par un pont de bois, sous lequel passe un Ruisseau en y formant une légere chutte d'eau qui se brise en écumant sur le devant du tableau. Cette partié prédominante est richement embellie par des hommes à cheval, des Vaches, des Brebis et autres animaux, de la main d'A. van de Velde, qui en relevent singulierement l'intérêt. Plus vérs la perspective, à la rive opposée du ruisseau la vue s'arrète sur différentes fabriques et sur un pont arcqué, à l'horison elle est bornée par des montagnes; des richesses de détail augmentent l'intérêt de cette grandieuse image dont le ciel savamment nuagé complette parfaitement l'illusion. On ne connoit point de Tableau de Ruisdaal comparable à celui-ci, tant à l'égard de la richesse poëtique de sa composition, de son éclat, que de la superiorité des figures qui s'y trouvent aussi harmonieusement placées!]] réalisée par Ruisdaal (Jaques), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Nieuwenhuis au prix de 5505 frs. [17]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans une niche de pierre grise sur une table de marbre est posé un vase de verre garni d'un riche bouquet de fleurs, la Rose blanche, la Bigarrée et la Rouge concourrent avec l'Anemone, l'Hyacinte et des Tilupes à former la partie la plus éclairée de ce bel ensemble: les Auricules et différentes autres fleurs contrastent par des teintes vigoureuses à produire un jeu de clair - obscur savamment conçu. On connoit la prétieuse maniere de cette Artiste célèbre, il suffira donc d'ajouter que ce tableau est un des meilleurs qu'elle ait produit (Ruysch (Rachel) 1722)|Dans une niche de pierre grise sur une table de marbre est posé un vase de verre garni d'un riche bouquet de fleurs, la Rose blanche, la Bigarrée et la Rouge concourrent avec l'Anemone, l'Hyacinte et des Tilupes à former la partie la plus éclairée de ce bel ensemble: les Auricules et différentes autres fleurs contrastent par des teintes vigoureuses à produire un jeu de clair - obscur savamment conçu. On connoit la prétieuse maniere de cette Artiste célèbre, il suffira donc d'ajouter que ce tableau est un des meilleurs qu'elle ait produit]] réalisée par Ruysch (Rachel) 1722, vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par J de Vries au prix de 570 frs. [18]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau offre le sujet d'une Chambre à coucher dans laquelle une jeune femme portant la main à son front semble vouloir indiquer le Siège de sa douleur; elle porte ses regards sur un chien qui est couché sur un coussin auprès d'elle; un docteur lui tâtant le poulx exprime le jugement qu'il porte sur la malade, s'adressant à une servante qui tient un urinal. Devant ce groupe se trouve une chaise couverte d'étoffe rouge, et sur le plancher est assis un jeune garçon jouant avec un petit arc et des flèches; allusion indiquant que la belle est blessée au coeur. De cet appartement qui est meublé d'un lit, de tableaux et d'autres richesses d'accessoires analogues au lieu, la vue perce par des escaliers et une porte ouverte dans un second appartement, dans lequel un viellard s'occupe à lire une feuille. On connoit l'esprit de l'auteur pour rendre ce genre de Scènes et l'expression qu'il savoit leur donner, ce tableau est un des plus soignés et produit un effet de la plus grande vérité (Steen (Jean))|Ce tableau offre le sujet d'une Chambre à coucher dans laquelle une jeune femme portant la main à son front semble vouloir indiquer le Siège de sa douleur; elle porte ses regards sur un chien qui est couché sur un coussin auprès d'elle; un docteur lui tâtant le poulx exprime le jugement qu'il porte sur la malade, s'adressant à une servante qui tient un urinal. Devant ce groupe se trouve une chaise couverte d'étoffe rouge, et sur le plancher est assis un jeune garçon jouant avec un petit arc et des flèches; allusion indiquant que la belle est blessée au coeur. De cet appartement qui est meublé d'un lit, de tableaux et d'autres richesses d'accessoires analogues au lieu, la vue perce par des escaliers et une porte ouverte dans un second appartement, dans lequel un viellard s'occupe à lire une feuille. On connoit l'esprit de l'auteur pour rendre ce genre de Scènes et l'expression qu'il savoit leur donner, ce tableau est un des plus soignés et produit un effet de la plus grande vérité]] réalisée par Steen (Jean), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Nieuwenhuis au prix de 1805 frs. [19]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Marine representée en plain calme. Vèrs le milieu du tableau se trouvent deux bateaux marchands et une chaloupe garnis de mariniers; à la droite se trouve un bateau de transport et un petit navire, à gauche du premier plan une chaloupe pontée, et derriere celle-ci une fregatte. Les différens plans jusqu'à l'horison à perte de vue contiennent une militude de vaisseaux et de navires. Un ciel clair s'accorde avec le ton argentin de toute la composition. Ce tableau délicat et Richement garni est d'une exécution très soignée, il produit un effet enchanteur par la diversité des constructions des navires, et la finesse des tons clairs et suaves qui se dégradent jusqu'à l'horison (Velde (Guillaume van de))|Une Marine representée en plain calme. Vèrs le milieu du tableau se trouvent deux bateaux marchands et une chaloupe garnis de mariniers; à la droite se trouve un bateau de transport et un petit navire, à gauche du premier plan une chaloupe pontée, et derriere celle-ci une fregatte. Les différens plans jusqu'à l'horison à perte de vue contiennent une militude de vaisseaux et de navires. Un ciel clair s'accorde avec le ton argentin de toute la composition. Ce tableau délicat et Richement garni est d'une exécution très soignée, il produit un effet enchanteur par la diversité des constructions des navires, et la finesse des tons clairs et suaves qui se dégradent jusqu'à l'horison]] réalisée par Velde (Guillaume van de), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Nieuwenhuis au prix de 1800 frs. [20]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Un homme vu à mi-corps tenant un grand verre à vin du Rhin à la main, il exprime la joïe et un commencement d'ivresse, poussant la langue sous la moustache; Le fond offre un point de vue montueux. Ce petit sujet est traité avec une délicatesse de pinceau surprenante, d'une couleur vigoureuse et d'un bel effet (Vois (Ari de))|Un homme vu à mi-corps tenant un grand verre à vin du Rhin à la main, il exprime la joïe et un commencement d'ivresse, poussant la langue sous la moustache; Le fond offre un point de vue montueux. Ce petit sujet est traité avec une délicatesse de pinceau surprenante, d'une couleur vigoureuse et d'un bel effet]] réalisée par Vois (Ari de), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par C Buys au prix de 100 frs. [21]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de ce morceau capital est un départ pour la chasse au faucon. Au milieu du premier plan est placé un Cavalier monté sur un beau cheval bai brun à tous crains, tenant son chapeau d'une main et un faucon sur le poignet gauche; derriere celui - ci s'avance une Dame montant un cheval alesan; un valet veut les devancer avec deux chiens qu'il tient en lesse; un Palfrenier s'appretant à monter un cheval blanc achève les groupes du premier plan. Dans un ruisseau venant de la partie gauche se distingue un valet faisant abreuver deux chevaux. Le fond offre un vieux chateau, des arbres de belle forme, et autres richesses de détail opposés à un ciel brillant et savamment nuagé. La fraicheur de ce tableau magnifique le fait paroître comme sortant nouvellement des mains de l'auteur; il présente les plus belles formes et toute la noblesse dont Wouwerman a embelli ses sujets le mieux conçus; rien n'égale la délicatesse de pinceau le charme du coloris ainsi que le brillant effet qu'il a su repandre sur ce morceau (Wouwerman (Philippe))|Le sujet de ce morceau capital est un départ pour la chasse au faucon. Au milieu du premier plan est placé un Cavalier monté sur un beau cheval bai brun à tous crains, tenant son chapeau d'une main et un faucon sur le poignet gauche; derriere celui - ci s'avance une Dame montant un cheval alesan; un valet veut les devancer avec deux chiens qu'il tient en lesse; un Palfrenier s'appretant à monter un cheval blanc achève les groupes du premier plan. Dans un ruisseau venant de la partie gauche se distingue un valet faisant abreuver deux chevaux. Le fond offre un vieux chateau, des arbres de belle forme, et autres richesses de détail opposés à un ciel brillant et savamment nuagé. La fraicheur de ce tableau magnifique le fait paroître comme sortant nouvellement des mains de l'auteur; il présente les plus belles formes et toute la noblesse dont Wouwerman a embelli ses sujets le mieux conçus; rien n'égale la délicatesse de pinceau le charme du coloris ainsi que le brillant effet qu'il a su repandre sur ce morceau]] réalisée par Wouwerman (Philippe), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Nieuwenhuis au prix de 3999 frs. [22]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Auprès de quelques gros chênes est représenté un Cavalier montant un cheval blanc, qui vient de renverser en ruant une fruitiere tombée à terre et ramassant son panier; à côté de celui - ci se trouve un palfrenier tenant un cheval gris. Du massif d'arbres part un autre Cavalier au grand galop, auquel un Seigneur et une Dame font place. Au second plan deux hommes font abreuver leurs chevaux dans une marre d'eau au bord de laquelle on voit des baigneurs; la perspective est terminée par des colines detachées sur un beau ciel nuagé. Ce tableau touché avec infiniment d'Esprit porte la caractère de la facilité, c'est une production distingué du meileur tems de Ph. Wouwerman (Wouwerman (Philippe))|Auprès de quelques gros chênes est représenté un Cavalier montant un cheval blanc, qui vient de renverser en ruant une fruitiere tombée à terre et ramassant son panier; à côté de celui - ci se trouve un palfrenier tenant un cheval gris. Du massif d'arbres part un autre Cavalier au grand galop, auquel un Seigneur et une Dame font place. Au second plan deux hommes font abreuver leurs chevaux dans une marre d'eau au bord de laquelle on voit des baigneurs; la perspective est terminée par des colines detachées sur un beau ciel nuagé. Ce tableau touché avec infiniment d'Esprit porte la caractère de la facilité, c'est une production distingué du meileur tems de Ph. Wouwerman]] réalisée par Wouwerman (Philippe), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par J de Vries au prix de 2825 frs. [23]
- 1814.09.23/ maison de ventes : Schley (Philippus). Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue sur une partie d'un Campement réprésenté en hiver. Auprès d'un chène et d'un abri construit de jonc et de paille est placé un groupe de sept figures dont deux semblent jouer au jeu l'amore, tandis qu'une femme tenant un enfant au sein, et deux geux examinent les joueurs; deux petites filles, dont l'une est assise s'amusent de leur côté. A droite arrive un militaire et une femme portant un pacquet, et à gauche se trouvent quatre figures au devant de l'abri de Paille. Le fond est garni de tentes détacheés sur un très beau ciel légerement nuagé. Ce tableau d'une composition singuliere est aussi de la meilleure touche pateuse de son ingenieux auteur, il a su y repandre tout le charme et la verité dont l'art soit susceptible, nous observerons que Wouwerman n'a traité que très rarement des réprésentations d'hiver (Wouwerman (Philippe))|Vue sur une partie d'un Campement réprésenté en hiver. Auprès d'un chène et d'un abri construit de jonc et de paille est placé un groupe de sept figures dont deux semblent jouer au jeu l'amore, tandis qu'une femme tenant un enfant au sein, et deux geux examinent les joueurs; deux petites filles, dont l'une est assise s'amusent de leur côté. A droite arrive un militaire et une femme portant un pacquet, et à gauche se trouvent quatre figures au devant de l'abri de Paille. Le fond est garni de tentes détacheés sur un très beau ciel légerement nuagé. Ce tableau d'une composition singuliere est aussi de la meilleure touche pateuse de son ingenieux auteur, il a su y repandre tout le charme et la verité dont l'art soit susceptible, nous observerons que Wouwerman n'a traité que très rarement des réprésentations d'hiver]] réalisée par Wouwerman (Philippe), vendue par madame la douairiere Boreel, achetée par Nieuwenhuis au prix de 800 frs. [24]