Ventes d'œuvres le 1814.12.07

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  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue de paysage, offrant, à droite, l'entrée d'une forêt, et terminé, sur la gauche, par un lointain de plaines. Quelques figures sur différens plans et un pâtre conduisant un troupeau de boeufs et de moutons à une mare d'eau qui occupe le premier plan de la composition, y forment le plus riche accessoire. Tableau d'une belle couleur et d'une exécution soignée. (Asch. (Van))|Point de vue de paysage, offrant, à droite, l'entrée d'une forêt, et terminé, sur la gauche, par un lointain de plaines. Quelques figures sur différens plans et un pâtre conduisant un troupeau de boeufs et de moutons à une mare d'eau qui occupe le premier plan de la composition, y forment le plus riche accessoire. Tableau d'une belle couleur et d'une exécution soignée.]] réalisée par Asch. (Van), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 118 fl. [1]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un site au bord de la Meuse ; on y voit, à droite, sur le rive opposée, les restes d'anciennes constructions, appuyées contre de hautes montagnes couronnées d'arbustes, d'où l'oeil se porte sur un vaste lointain. En premier plan, sur le rivage, sont trois personnages, dont un à cheval vu par le dos, et un domestique qui tient deux chevaux par la bride ; deux autres figures, un bac chargé de bestiaux qui remonte la rivière, et plusieurs chiens dans différentes attitudes, forment une grande richesse d'accessoires dans ce tableau, où l'on retrouve partout le faire de Cuyp. Quelques restaurations peut-être inutiles, et qu'il serait facile de faire disparaître, nuisent dans plusieurs parties à la fermeté de la touche et à la transparence de la couleur. (A.C. (Signé))|Un site au bord de la Meuse ; on y voit, à droite, sur le rive opposée, les restes d'anciennes constructions, appuyées contre de hautes montagnes couronnées d'arbustes, d'où l'oeil se porte sur un vaste lointain. En premier plan, sur le rivage, sont trois personnages, dont un à cheval vu par le dos, et un domestique qui tient deux chevaux par la bride ; deux autres figures, un bac chargé de bestiaux qui remonte la rivière, et plusieurs chiens dans différentes attitudes, forment une grande richesse d'accessoires dans ce tableau, où l'on retrouve partout le faire de Cuyp. Quelques restaurations peut-être inutiles, et qu'il serait facile de faire disparaître, nuisent dans plusieurs parties à la fermeté de la touche et à la transparence de la couleur.]] réalisée par A.C. (Signé), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 80 fl. [2]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Magdeleine en extase et vue à mi-corps, soutenue par deux Anges. L'expression admirable de cette figure ne le cède en rien à la beauté de l'exécution, où l'on remarque ce pinceau moelleux et cette force de coloris si recommandables dans les ouvrages de ce grand peintre. Il provient de la collection de M. Lebas, grand amateur des productions de l'Ecole d'Italie, et a toujours été attribué à ce grand peintre. (Barbarelli, (George) dit le Giorgion)|La Magdeleine en extase et vue à mi-corps, soutenue par deux Anges. L'expression admirable de cette figure ne le cède en rien à la beauté de l'exécution, où l'on remarque ce pinceau moelleux et cette force de coloris si recommandables dans les ouvrages de ce grand peintre. Il provient de la collection de M. Lebas, grand amateur des productions de l'Ecole d'Italie, et a toujours été attribué à ce grand peintre.]] réalisée par Barbarelli, (George) dit le Giorgion, vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 78.5 fl. [3]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site enrichi de diverses ruines d'anciens palais et monumens au bord de la mer, où l'on distingue une barque et deux gondoles. Tableau d'une belle ordonnance, d'un effet juste de perspective, et d'une grande intelligence de couleur. (Bibiena. (Ferdinand Galli))|Site enrichi de diverses ruines d'anciens palais et monumens au bord de la mer, où l'on distingue une barque et deux gondoles. Tableau d'une belle ordonnance, d'un effet juste de perspective, et d'une grande intelligence de couleur.]] réalisée par Bibiena. (Ferdinand Galli), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 47.5 fl. [5]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un site pittoresque, en partie couvert d'arbres, indiquant une vallée, et terminé par une chaîne de montagnes surmontées d'anciens édifices. On y voit encore, sur la droite, un troupeau de chèvres et de moutons. Ce tableau réunit au piquant de la composition une grande justesse d'effet, ainsi qu'une touche large et facile. (M. Bidault)|Un site pittoresque, en partie couvert d'arbres, indiquant une vallée, et terminé par une chaîne de montagnes surmontées d'anciens édifices. On y voit encore, sur la droite, un troupeau de chèvres et de moutons. Ce tableau réunit au piquant de la composition une grande justesse d'effet, ainsi qu'une touche large et facile.]] réalisée par M. Bidault, vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 140 fl. [6]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site agreste et montagneux, couronné, sur le gauche, par de belles fabriques en opposition à un bouquet d'arbres légèrement feuillés. Tous les premiers plans sont couverts de figures, parmi lesquelles on distingue des joueurs de boule. Ce tableau, dont l'effet mystérieux indique le coucher du soleil, est d'une touche savante et spirituelle. (Caraches. (Ecole des))|Site agreste et montagneux, couronné, sur le gauche, par de belles fabriques en opposition à un bouquet d'arbres légèrement feuillés. Tous les premiers plans sont couverts de figures, parmi lesquelles on distingue des joueurs de boule. Ce tableau, dont l'effet mystérieux indique le coucher du soleil, est d'une touche savante et spirituelle.]] réalisée par Caraches. (Ecole des), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 61 fl. [7]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Prémices de l'Amour-Propre. Une jeune fille de carnation blonde et d'une figure intéressante où règnent la candeur et la naïveté, se regarde avec satisfaction dans un miroir, et semble se laisser aller aux propos séducteurs de la Perfidie, personnifiée par un jeune homme tenant un serpent qui s'échappe de sa main et glisse sur sa poitrine. Ces deux tableaux, composés chacun de deux figures vues à mi-corps, et intéressans par leur sujet, sont également recommandables par la vérité des expressions, la fraîcheur du coloris, le relief des figures et la facilité de l'exécution. Quelques connaisseurs le regardent comme étant de Pamphile, dit le Guide de la Lombardie. (Cignani. (Carlo))|Les Prémices de l'Amour-Propre. Une jeune fille de carnation blonde et d'une figure intéressante où règnent la candeur et la naïveté, se regarde avec satisfaction dans un miroir, et semble se laisser aller aux propos séducteurs de la Perfidie, personnifiée par un jeune homme tenant un serpent qui s'échappe de sa main et glisse sur sa poitrine. Ces deux tableaux, composés chacun de deux figures vues à mi-corps, et intéressans par leur sujet, sont également recommandables par la vérité des expressions, la fraîcheur du coloris, le relief des figures et la facilité de l'exécution. Quelques connaisseurs le regardent comme étant de Pamphile, dit le Guide de la Lombardie.]] réalisée par Cignani. (Carlo), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 120 fl. [8]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Pendant. Une jeune femme, la tête inclinée sur l'épaule gauche, porte un sablier, et paraît implorer la Justice, personnifiée par une autre femme d'un caractère sévère, et qui tient un sceptre surmonté d'une main, au milieu de laquelle est un oeil ouvert. Le Peintre a sans doute voulu rendre cette idée, qu'avec le temps on obtient toujours justice. Ces deux tableaux, composés chacun de deux figures vues à mi-corps, et intéressans par leur sujet, sont également recommandables par la vérité des expressions, la fraîcheur du coloris, le relief des figures et la facilité de l'exécution. Quelques connaisseurs le regardent comme étant de Pamphile, dit le Guide de la Lombardie. (Cignani. (Carlo))|Le Pendant. Une jeune femme, la tête inclinée sur l'épaule gauche, porte un sablier, et paraît implorer la Justice, personnifiée par une autre femme d'un caractère sévère, et qui tient un sceptre surmonté d'une main, au milieu de laquelle est un oeil ouvert. Le Peintre a sans doute voulu rendre cette idée, qu'avec le temps on obtient toujours justice. Ces deux tableaux, composés chacun de deux figures vues à mi-corps, et intéressans par leur sujet, sont également recommandables par la vérité des expressions, la fraîcheur du coloris, le relief des figures et la facilité de l'exécution. Quelques connaisseurs le regardent comme étant de Pamphile, dit le Guide de la Lombardie.]] réalisée par Cignani. (Carlo), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 120 fl. [9]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint François retiré dans les montagnes de l'Apennin, et représenté à genoux dans le moment où il vit, à ce que rapporte Saint Bonaventure, un Séraphin crucifié, qui perça ses pieds, ses mains et son côté droit. Figure pleine d'expression et d'un beau caractère de dessin. (Cardi (Lodovico Cav) da Cigoli)|Saint François retiré dans les montagnes de l'Apennin, et représenté à genoux dans le moment où il vit, à ce que rapporte Saint Bonaventure, un Séraphin crucifié, qui perça ses pieds, ses mains et son côté droit. Figure pleine d'expression et d'un beau caractère de dessin.]] réalisée par Cardi (Lodovico Cav) da Cigoli, vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 39.95 fl. [10]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus à table dans le désert, et servi par les Anges. Ce groupe se détache dans l'effet le plus piquant et le plus vigoureux de couleur, sur un massif de grands arbres qui découvre, à la droite du spectateur, un vaste lointain de pays, et, du côté opposé, un énorme rocher taillé à pic, au bas duquel on distingue, dans l'éloignement, le Démon qui cherche à tenter le Fils de Dieu. Tableau remarquable par la fierté du coloris, la beauté des caractères et le moelleux du pinceau. (Feti. (Domenico))|Jésus à table dans le désert, et servi par les Anges. Ce groupe se détache dans l'effet le plus piquant et le plus vigoureux de couleur, sur un massif de grands arbres qui découvre, à la droite du spectateur, un vaste lointain de pays, et, du côté opposé, un énorme rocher taillé à pic, au bas duquel on distingue, dans l'éloignement, le Démon qui cherche à tenter le Fils de Dieu. Tableau remarquable par la fierté du coloris, la beauté des caractères et le moelleux du pinceau.]] réalisée par Feti. (Domenico), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 90.15 fl. [12]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les portraits d'une mère et de son enfant, représentés sous les traits de la Vierge et du Sauveur. Cette femme, dans un riche costume composé d'une robe d'étoffe oramoisie, avec broderie en or, et d'un manteau bleu, est assise à la droite du tableau, et tient sur ses genoux son enfant qui joue avec son voile. Les yeux baissé, elle paraît dans un moment de réflexion. Le fond offre un paysage terminé par de hautes montagnes. Tableau rare et curieux d'un des plus anciens peintres de l'Ecole florentine. (Lippi, (Filippino) mort à l'âge de 45 ans, vers 1505)|Les portraits d'une mère et de son enfant, représentés sous les traits de la Vierge et du Sauveur. Cette femme, dans un riche costume composé d'une robe d'étoffe oramoisie, avec broderie en or, et d'un manteau bleu, est assise à la droite du tableau, et tient sur ses genoux son enfant qui joue avec son voile. Les yeux baissé, elle paraît dans un moment de réflexion. Le fond offre un paysage terminé par de hautes montagnes. Tableau rare et curieux d'un des plus anciens peintres de l'Ecole florentine.]] réalisée par Lippi, (Filippino) mort à l'âge de 45 ans, vers 1505, vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 50 fl. [15]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'église, représenté à l'effet du jour, et dont la voûte est soutenue par une longue allée de piliers, au fond de laquelle on distingue le maître-autel : diverses chapelles sur les bas-côtés, une chaire à prêcher, un buffet d'orgues, ainsi que plusieurs figures de la main de David Teniers, ajoutent à la richesse de ce tableau, que l'on offre comme un des plus fins de ce maître. (Neef. (Peters))|Intérieur d'église, représenté à l'effet du jour, et dont la voûte est soutenue par une longue allée de piliers, au fond de laquelle on distingue le maître-autel : diverses chapelles sur les bas-côtés, une chaire à prêcher, un buffet d'orgues, ainsi que plusieurs figures de la main de David Teniers, ajoutent à la richesse de ce tableau, que l'on offre comme un des plus fins de ce maître.]] réalisée par Neef. (Peters), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 200 fl. [16]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vénus, accompagnée des Grâces et portée sur des nuages, descend dans l'île de Amathonte ; l'Amour la précède et voltige dans les airs ; huit autres, sur le rivage, se tiennent par la main, et viennent en dansant au-devant de la déesse. Les poses élégantes et agréables du groupe de Vénus, les attitudes variées et naturelles des huit amours, un coloris frais et agréable, et une touche aussi ferme que spirituelle, répondent à l'idée heureuse du sujet. (Solimene. (François))|Vénus, accompagnée des Grâces et portée sur des nuages, descend dans l'île de Amathonte ; l'Amour la précède et voltige dans les airs ; huit autres, sur le rivage, se tiennent par la main, et viennent en dansant au-devant de la déesse. Les poses élégantes et agréables du groupe de Vénus, les attitudes variées et naturelles des huit amours, un coloris frais et agréable, et une touche aussi ferme que spirituelle, répondent à l'idée heureuse du sujet.]] réalisée par Solimene. (François), vendue par [[[H. Delaroche]]], achetée par Foisi au prix de 125 fl. [20]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge, assise près d'une table couverte d'un riche tapis, tient son divin fils dans ses bras, et s'incline doucement vers lui pour recevoir ses caresses. Ce groupe, dont les caractères de têtes sont on ne peut plus gracieux, ressort avec vigueur sur un fond d'appartement décoré d'un ample rideau de velours cramoisi. Plusieurs connaisseurs attribuent ce tableau à Antoine Bouzonnet Stella, neveu de Jacques, lequel suivit entièrement sa manière. (Stella. (Jacques))|La Vierge, assise près d'une table couverte d'un riche tapis, tient son divin fils dans ses bras, et s'incline doucement vers lui pour recevoir ses caresses. Ce groupe, dont les caractères de têtes sont on ne peut plus gracieux, ressort avec vigueur sur un fond d'appartement décoré d'un ample rideau de velours cramoisi. Plusieurs connaisseurs attribuent ce tableau à Antoine Bouzonnet Stella, neveu de Jacques, lequel suivit entièrement sa manière.]] réalisée par Stella. (Jacques), vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 50.5 fl. [21]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les quatre heures du jour. Cette suite intéressante offre quatre points de vue différens au bord de la mer, tous enrichis de monumens et de fabriques du meilleur style ; ils sont aussi ornés de figures qui y jettent le plus grand intérêt. Le matin, des matelots retirent leurs filets ; au milieu du jour, des femmes prennent les plaisirs du bain ; sur son déclin, des voyageurs, surpris par un orage, fuients épouvantés ; la nuit, par un beau claire de lune, les pêcheurs jettent leurs filets, et d'autres préparent leurs repas en se chauffant à un grand feu allumé sur le rivage. Tous les amateurs connaissent les talens de J. Vernet : les tableaux que je viens de décrire succinctement vont leur donner une nouvelle occasion de les apprécier et de leur rendre justice ; au mérite d'une dimension agréable pour les cabinets, ils joignent toutes les perfections de l'art qui distinguent les meilleurs ouvrages de ce grand peintre de paysage et de marine. (Vernet. (Joseph))|Les quatre heures du jour. Cette suite intéressante offre quatre points de vue différens au bord de la mer, tous enrichis de monumens et de fabriques du meilleur style ; ils sont aussi ornés de figures qui y jettent le plus grand intérêt. Le matin, des matelots retirent leurs filets ; au milieu du jour, des femmes prennent les plaisirs du bain ; sur son déclin, des voyageurs, surpris par un orage, fuients épouvantés ; la nuit, par un beau claire de lune, les pêcheurs jettent leurs filets, et d'autres préparent leurs repas en se chauffant à un grand feu allumé sur le rivage. Tous les amateurs connaissent les talens de J. Vernet : les tableaux que je viens de décrire succinctement vont leur donner une nouvelle occasion de les apprécier et de leur rendre justice ; au mérite d'une dimension agréable pour les cabinets, ils joignent toutes les perfections de l'art qui distinguent les meilleurs ouvrages de ce grand peintre de paysage et de marine.]] réalisée par Vernet. (Joseph), vendue par [[[H. Delaroche]]], achetée par Constantin au prix de 5000 fl. [22]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Riche paysage occupé, sur la gauche, par un massif d'arbres, derrière lesquels s'élèvent des fabriques en opposition à un lointain de plaines et de montagnes. Le premier plan offre un terrain couvert de plantes, arrosé par un étang où est une femme qui lave du linge, et se retourne du côté d'un homme en manteau rouge, que l'on voit plus loin couché sur l'herbe. Ce tableau, savamment composé et d'une couleur agréable, présente ce ton vague et aérien que le Guaspre mit dans ses ouvrages, lorsque, de retour à Rome, il s'attacha à la belle manière de Claude Lorrain. (Le Guaspre)|Riche paysage occupé, sur la gauche, par un massif d'arbres, derrière lesquels s'élèvent des fabriques en opposition à un lointain de plaines et de montagnes. Le premier plan offre un terrain couvert de plantes, arrosé par un étang où est une femme qui lave du linge, et se retourne du côté d'un homme en manteau rouge, que l'on voit plus loin couché sur l'herbe. Ce tableau, savamment composé et d'une couleur agréable, présente ce ton vague et aérien que le Guaspre mit dans ses ouvrages, lorsque, de retour à Rome, il s'attacha à la belle manière de Claude Lorrain.]] réalisée par Le Guaspre, vendue par [[[H. Delaroche]]] au prix de 92 fl. [24]
  • 1814.12.07/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Site de Hollande a bord d'un canal traversé par un pont de deux arches surmonté d'une tour ; il est enrichi de diverses figures, parmi lesquelles on remarque, au milieu, sur le devant, deux cavaliers dont un à qui on remet l'étrier. Paysage d'une couleur agréable, et dont la facilité de la touche rappelle la manière de Frédéric Moucheron. (Frédéric Moucheron)|Site de Hollande a bord d'un canal traversé par un pont de deux arches surmonté d'une tour ; il est enrichi de diverses figures, parmi lesquelles on remarque, au milieu, sur le devant, deux cavaliers dont un à qui on remet l'étrier. Paysage d'une couleur agréable, et dont la facilité de la touche rappelle la manière de Frédéric Moucheron.]] réalisée par Frédéric Moucheron, vendue par [[[H. Delaroche]]], achetée par Segond au prix de 76.5 fl. [25]