Ventes d'œuvres le 1814.12.17

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  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge, son fils, Ste.-Élisabeth, St.-Jean-Baptiste et deux anges. La beauté de ce tableau a fait penser que ce pouvait être une répétition de celui du Musée royal. Nous invitons MM. les amateurs à juger eux-mêmes jusqu'à quel point cette opinion peut être fondée. (André Delsarte)|La Vierge, son fils, Ste.-Élisabeth, St.-Jean-Baptiste et deux anges. La beauté de ce tableau a fait penser que ce pouvait être une répétition de celui du Musée royal. Nous invitons MM. les amateurs à juger eux-mêmes jusqu'à quel point cette opinion peut être fondée.]] réalisée par André Delsarte, vendue par Destrez au prix de 61 fl. [2]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enfant Jésus assis sur les genoux de sa mère, présente l'anneau nuptial à Ste.-Catherine. Cette cérémonie se passe au milieu d'un choeur d'anges et de chérubins. La couleur de ce tableau est forte et belle, les figures en sont nobles et gracieuses. (Pierre Candide)|L'enfant Jésus assis sur les genoux de sa mère, présente l'anneau nuptial à Ste.-Catherine. Cette cérémonie se passe au milieu d'un choeur d'anges et de chérubins. La couleur de ce tableau est forte et belle, les figures en sont nobles et gracieuses.]] réalisée par Pierre Candide, vendue par Destrez, achetée par Cormeille au prix de 20.5 fl. [3]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Diane couvre Aréthuse d'un nuage et la délivre, par ce moyen, des poursuites d'Alphée. On avait attribué ce petit tableau à François Albane ; il en a bien l'amabilité ; mais dans toutes ses autres parties, se montrent évidemment le style et le pinceau de Franceschini. (Marc-Antoine Franceschini)|Diane couvre Aréthuse d'un nuage et la délivre, par ce moyen, des poursuites d'Alphée. On avait attribué ce petit tableau à François Albane ; il en a bien l'amabilité ; mais dans toutes ses autres parties, se montrent évidemment le style et le pinceau de Franceschini.]] réalisée par Marc-Antoine Franceschini, vendue par Destrez, achetée par Barrois au prix de 20 fl. [7]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Andromède enchaînée. Ces deux figures, vues à mi-corps et faisant pendant, sont du second âge de l'école florentine. Alors la peintre tendait vers cette vigueur de coloris sans laquelle il n'y a point de relief ; et le chevalier Furino surpassa, à cet égard, les plus grands maîtres de son tems. << Cette riche composition de dix figures, une des plus belles productions de ce peintre célèbre, était avant la révolution, ainsi que les tableaux des numéros 7 et 8, dans un des cabinets particuliers du duc d'Orléans. Ces trois tableaux furent achetés en Angleterre en 1795, et transportés à Saint.-Pétersbourg, pour l'impératrice Catherine II ; la mort de cette princesse, arrivée peu de tems après, a laissé ces tableaux au nouvel acquéreur, qui les a rapporté à Vienne. C'est de lui que je tiens une partie de ma collection. >> (Le Chevalier Furino)|Andromède enchaînée. Ces deux figures, vues à mi-corps et faisant pendant, sont du second âge de l'école florentine. Alors la peintre tendait vers cette vigueur de coloris sans laquelle il n'y a point de relief ; et le chevalier Furino surpassa, à cet égard, les plus grands maîtres de son tems. << Cette riche composition de dix figures, une des plus belles productions de ce peintre célèbre, était avant la révolution, ainsi que les tableaux des numéros 7 et 8, dans un des cabinets particuliers du duc d'Orléans. Ces trois tableaux furent achetés en Angleterre en 1795, et transportés à Saint.-Pétersbourg, pour l'impératrice Catherine II ; la mort de cette princesse, arrivée peu de tems après, a laissé ces tableaux au nouvel acquéreur, qui les a rapporté à Vienne. C'est de lui que je tiens une partie de ma collection. >>]] réalisée par Le Chevalier Furino, vendue par Destrez, achetée par Cormeille au prix de 20 fl. [8]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La courageuse Sophonisbe. Ces deux figures, vues à mi-corps et faisant pendant, sont du second âge de l'école florentine. Alors la peintre tendait vers cette vigueur de coloris sans laquelle il n'y a point de relief ; et le chevalier Furino surpassa, à cet égard, les plus grands maîtres de son tems. << Cette riche composition de dix figures, une des plus belles productions de ce peintre célèbre, était avant la révolution, ainsi que les tableaux des numéros 7 et 8, dans un des cabinets particuliers du duc d'Orléans. Ces trois tableaux furent achetés en Angleterre en 1795, et transportés à Saint.-Pétersbourg, pour l'impératrice Catherine II ; la mort de cette princesse, arrivée peu de tems après, a laissés ces tableaux au nouvel acquéreur, qui les a rapporté à Vienne. C'est de lui que je tiens une partie de ma collection. >> (Le Chevalier Furino)|La courageuse Sophonisbe. Ces deux figures, vues à mi-corps et faisant pendant, sont du second âge de l'école florentine. Alors la peintre tendait vers cette vigueur de coloris sans laquelle il n'y a point de relief ; et le chevalier Furino surpassa, à cet égard, les plus grands maîtres de son tems. << Cette riche composition de dix figures, une des plus belles productions de ce peintre célèbre, était avant la révolution, ainsi que les tableaux des numéros 7 et 8, dans un des cabinets particuliers du duc d'Orléans. Ces trois tableaux furent achetés en Angleterre en 1795, et transportés à Saint.-Pétersbourg, pour l'impératrice Catherine II ; la mort de cette princesse, arrivée peu de tems après, a laissés ces tableaux au nouvel acquéreur, qui les a rapporté à Vienne. C'est de lui que je tiens une partie de ma collection. >>]] réalisée par Le Chevalier Furino, vendue par Destrez, achetée par Decormeille au prix de 35.5 fl. [9]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'histoire fabuleuse nous dit qu'Hercule aima si passionnément Omphale, reine de Lydie, qu'il prenait sa quenouille, et s'amusait à filer avec elle. C'est dans cette occupation qu'on nous a représenté le vainqueur des monstres. Cependant Omphale, environnée de ses femmes et fière de sa victoire s'est couverte de la peau du lion de Némée, et tient dans ses mains la redoutable massue de son amant. Voyant cette espèce de métamorphose, le malicieux Amour rit de son pouvoir. Nous allons copier ce que contenait, touchant ce tableau, le Catalogue publié, il y a un an, par M. Destrez. << Cette riche composition de dix figures, une des plus belles productions de ce peintre célèbre, était avant la révolution, ainsi que les tableaux des numéros 7 et 8, dans un des cabinets particuliers du duc d'Orléans. Ces trois tableaux furent achetés en Angleterre en 1795, et transportés à Saint.-Pétersbourg, pour l'impératrice Catherine II ; la mort de cette princesse, arrivée peu de tems après, a laissé ces tableaux au nouvel acquéreur, qui les a rapporté à Vienne. C'est de lui que je tiens une partie de ma collection. >> (Dominiquin)|L'histoire fabuleuse nous dit qu'Hercule aima si passionnément Omphale, reine de Lydie, qu'il prenait sa quenouille, et s'amusait à filer avec elle. C'est dans cette occupation qu'on nous a représenté le vainqueur des monstres. Cependant Omphale, environnée de ses femmes et fière de sa victoire s'est couverte de la peau du lion de Némée, et tient dans ses mains la redoutable massue de son amant. Voyant cette espèce de métamorphose, le malicieux Amour rit de son pouvoir. Nous allons copier ce que contenait, touchant ce tableau, le Catalogue publié, il y a un an, par M. Destrez. << Cette riche composition de dix figures, une des plus belles productions de ce peintre célèbre, était avant la révolution, ainsi que les tableaux des numéros 7 et 8, dans un des cabinets particuliers du duc d'Orléans. Ces trois tableaux furent achetés en Angleterre en 1795, et transportés à Saint.-Pétersbourg, pour l'impératrice Catherine II ; la mort de cette princesse, arrivée peu de tems après, a laissé ces tableaux au nouvel acquéreur, qui les a rapporté à Vienne. C'est de lui que je tiens une partie de ma collection. >>]] réalisée par Dominiquin, vendue par Destrez, achetée par Dupley au prix de 120 fl. [10]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La charité humaine, représentée par une jeune femme avec trois enfans qu'elle allaite et carresse. Dans ses traits se peint la sensibilité de son coeur. On retrouve ici, avec beaucoup de grâce, le coloris vigoureux du Guerchin, dont Gennaro fut élève. (Gennaro)|La charité humaine, représentée par une jeune femme avec trois enfans qu'elle allaite et carresse. Dans ses traits se peint la sensibilité de son coeur. On retrouve ici, avec beaucoup de grâce, le coloris vigoureux du Guerchin, dont Gennaro fut élève.]] réalisée par Gennaro, vendue par Destrez au prix de 500 fl. [11]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Andromède enchaînée au rocher ; figure en pied, de grandeur naturelle, et d'une expression si parfaite qu'on ne peut la voir sans être touché de la frayeur qu'elle paraît éprouver à à la vue du monstre prêt à la dévorer. Dans le catalogue dont nous venons d'extraire un possage, on disait de cet ouvrage, qu'il est digne de figurer dans la galerie d'un souverain. (Le Guide)|Andromède enchaînée au rocher ; figure en pied, de grandeur naturelle, et d'une expression si parfaite qu'on ne peut la voir sans être touché de la frayeur qu'elle paraît éprouver à à la vue du monstre prêt à la dévorer. Dans le catalogue dont nous venons d'extraire un possage, on disait de cet ouvrage, qu'il est digne de figurer dans la galerie d'un souverain.]] réalisée par Le Guide, vendue par Destrez. [12]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Orphée après la mort de sa chère Euridice, montra une si grande indifférence pour les femmes, que les bacchantes irritées, se liguèrent contre lui et le massacrènt. Un pareil sujet convenait à l'imagination vive ardente de Solimène ) aussi l'a-t-il rendu avec toute l'action et tout le mouvement possible, en y joignant le coloris le plus mâle au pinceau le plus savant. (Solimène)|Orphée après la mort de sa chère Euridice, montra une si grande indifférence pour les femmes, que les bacchantes irritées, se liguèrent contre lui et le massacrènt. Un pareil sujet convenait à l'imagination vive ardente de Solimène ) aussi l'a-t-il rendu avec toute l'action et tout le mouvement possible, en y joignant le coloris le plus mâle au pinceau le plus savant.]] réalisée par Solimène, vendue par Destrez, achetée par Dupley au prix de 50 fl. [14]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Malgré le bandeau que Vénus met sur les yeux de son fils, le petit Dieu n'en dirigera pas avec moins de sureté le trait qu'il tiré de son carquois. L'amour peut tout d'un mot, comme il peut tout d'un regard. On découvre encore de grandes beautés dans ce tableau ; mais il est à croire qu'il en contient beaucoup d'autres qui sont voilées par la mauvaise restauration qu'on lui a fait subir. C'est une chose à bien examiner. (Titien)|Malgré le bandeau que Vénus met sur les yeux de son fils, le petit Dieu n'en dirigera pas avec moins de sureté le trait qu'il tiré de son carquois. L'amour peut tout d'un mot, comme il peut tout d'un regard. On découvre encore de grandes beautés dans ce tableau ; mais il est à croire qu'il en contient beaucoup d'autres qui sont voilées par la mauvaise restauration qu'on lui a fait subir. C'est une chose à bien examiner.]] réalisée par Titien, vendue par Destrez, achetée par Dupley au prix de 500 fl. [15]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des soldats assis à la porte d'un cabaret de village, s'amusent à jouer aux cartes. Près d'eux sont plusieurs femmes, et plus en avant un cavalier avec une dame qui s'entretiennent et se promènent ensemble. Bourdon, heureux imitateur des peintres hollandais, a excellé dans les bambochades, dans les intérieurs de ménages, et en un mot dans tous les sujets de ce genre. (Bourdon)|Des soldats assis à la porte d'un cabaret de village, s'amusent à jouer aux cartes. Près d'eux sont plusieurs femmes, et plus en avant un cavalier avec une dame qui s'entretiennent et se promènent ensemble. Bourdon, heureux imitateur des peintres hollandais, a excellé dans les bambochades, dans les intérieurs de ménages, et en un mot dans tous les sujets de ce genre.]] réalisée par Bourdon, vendue par Destrez, achetée par Decormeille au prix de 97 fl. [18]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Charité. Une jeune dame d'une figure douce et modeste, est environnée de pauvres auxquels elle fait ou vient de faire la charité. Sans doute cette vertueuse action lui a été inspirée par la vue de deux moines, qui du perron de leur couvent font aux nécessiteux du pays une distribution d'aumônes. Au physique comme au moral, ce tableau présente la nature sous ses plus belles couleurs, et fait tout-à-la fois l'éloge du coeur et du talent de M. Droling. (M. Droling)|La Charité. Une jeune dame d'une figure douce et modeste, est environnée de pauvres auxquels elle fait ou vient de faire la charité. Sans doute cette vertueuse action lui a été inspirée par la vue de deux moines, qui du perron de leur couvent font aux nécessiteux du pays une distribution d'aumônes. Au physique comme au moral, ce tableau présente la nature sous ses plus belles couleurs, et fait tout-à-la fois l'éloge du coeur et du talent de M. Droling.]] réalisée par M. Droling, vendue par Destrez, achetée par Dufour au prix de 140 fl. [19]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La continence de Scipion. << Ce général romain, assis à son tribunal, est environné de licteurs ; derrière lui une jeune fille habillée de blanc, pose, de ses deux mains une couronne sur la tête de ce héros. Le général montre la jeune femme, accompagnée de sa suite qu'il va rendre à Allucius, son époux. Celui-ci accompagné de ses parens, s'incline devant Scipion. >> On remarque dans ce tableau une grande pureté de style, et une noble ordonnance dans la distribution des groupes. Il vient, comme le précédent, du cabinet du Cardinal de Brienne, d'où il a été conduit à Amsterdam, et de là par mer à Saint-Pétersbourg. La mort de l'impératrice Catherine II, pour qui il avait été acheté, le fit venir à Vienne, d'où je l'au apporté à Paris >>. Les deux précédens articles sont extraits du catalogue que nous avons cité plus haut. Quand on nous fournit de telles autorités, nous ne peuvons que les soumettre aux amateurs. (Nicolas Poussin)|La continence de Scipion. << Ce général romain, assis à son tribunal, est environné de licteurs ; derrière lui une jeune fille habillée de blanc, pose, de ses deux mains une couronne sur la tête de ce héros. Le général montre la jeune femme, accompagnée de sa suite qu'il va rendre à Allucius, son époux. Celui-ci accompagné de ses parens, s'incline devant Scipion. >> On remarque dans ce tableau une grande pureté de style, et une noble ordonnance dans la distribution des groupes. Il vient, comme le précédent, du cabinet du Cardinal de Brienne, d'où il a été conduit à Amsterdam, et de là par mer à Saint-Pétersbourg. La mort de l'impératrice Catherine II, pour qui il avait été acheté, le fit venir à Vienne, d'où je l'au apporté à Paris >>. Les deux précédens articles sont extraits du catalogue que nous avons cité plus haut. Quand on nous fournit de telles autorités, nous ne peuvons que les soumettre aux amateurs.]] réalisée par Nicolas Poussin, vendue par Destrez. [21]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La visitation de Sainte-Elisabeth ; composition de six figures, dans laquelle on remarque beaucoup de grâce dans les têtes, et surtout un fini précieux. etc. Il vient du cabinet du cardinal de Brienne, premier ministre avant la révolution. Il a suivi les mêmes traces que le tbleau suivant . Il vient, comme le précédent, du cabinet du Cardinal de Brienne, d'où il a été conduit à Amsterdam, et de là par mer à Saint-Pétersbourg. La mort de l'impératrice Catherine II, pour qui il avait été acheté, le fit venir à Vienne, d'où je l'au apporté à Paris . (Le Sueur. (attribué à))|La visitation de Sainte-Elisabeth ; composition de six figures, dans laquelle on remarque beaucoup de grâce dans les têtes, et surtout un fini précieux. etc. Il vient du cabinet du cardinal de Brienne, premier ministre avant la révolution. Il a suivi les mêmes traces que le tbleau suivant . Il vient, comme le précédent, du cabinet du Cardinal de Brienne, d'où il a été conduit à Amsterdam, et de là par mer à Saint-Pétersbourg. La mort de l'impératrice Catherine II, pour qui il avait été acheté, le fit venir à Vienne, d'où je l'au apporté à Paris .]] réalisée par Le Sueur. (attribué à), vendue par Destrez, achetée par Barrois au prix de 35 fl. [22]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendant et représentant deux femmes nues et couchées. L'une et l'autre sont deux portraits fidels de la beauté lorsqu'elle étale tous ses charmes à nos yeux. Ces figures sont gracieuses, bien dessinées et d'une grande finesse de couleur. (Braun)|Deux tableaux faisant pendant et représentant deux femmes nues et couchées. L'une et l'autre sont deux portraits fidels de la beauté lorsqu'elle étale tous ses charmes à nos yeux. Ces figures sont gracieuses, bien dessinées et d'une grande finesse de couleur.]] réalisée par Braun, vendue par Destrez au prix de 36 10 fl. [41]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux faisant pendant et représentant deux femmes nues et couchées. L'une et l'autre sont deux portraits fidels de la beauté lorsqu'elle étale tous ses charmes à nos yeux. Ces figures sont gracieuses, bien dessinées et d'une grande finesse de couleur. (Braun)|Deux tableaux faisant pendant et représentant deux femmes nues et couchées. L'une et l'autre sont deux portraits fidels de la beauté lorsqu'elle étale tous ses charmes à nos yeux. Ces figures sont gracieuses, bien dessinées et d'une grande finesse de couleur.]] réalisée par Braun, vendue par Destrez au prix de 39 10 fl. [42]
  • 1814.12.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Kermesse de village. -- On voit dans cette riche composition une prodigieuse quantité de personnages de tout âges et de tous rangs ; les uns s'occupant de la vente de leurs marchandises, les autres se livrant aux plaisirs du vin et de la danse, d'autre enfin se querellant le bâton levé, comme cela arrive ordinairement dans les grandes assemblées. Ce tableau peint en 1634 a été gravé. (David Vinch Booms)|Kermesse de village. -- On voit dans cette riche composition une prodigieuse quantité de personnages de tout âges et de tous rangs ; les uns s'occupant de la vente de leurs marchandises, les autres se livrant aux plaisirs du vin et de la danse, d'autre enfin se querellant le bâton levé, comme cela arrive ordinairement dans les grandes assemblées. Ce tableau peint en 1634 a été gravé.]] réalisée par David Vinch Booms, vendue par Destrez, achetée par Cormeille au prix de 102 fl. [47]