Ventes d'œuvres le 1816.06.17

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  • 1816.06.17/ maison de ventes : Mirandolle (J.F.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Twee stuks, verbeeldende, het ene, "Laat de kleine kinderen tot mij komen"; alwaar de Heiland, omringt van kleine kinderen in het bijzijn der Vrouwen en Apostelen, tegens de kinderen schijnt te spreken. - Het andere, de Vrouw in Overspel betrapt, wordt door de Fariseën voor den Heiland gebragt. Deze twee stukken worden voor de besten van dezen Meester gehouden, vergulde lijst (W. Schaeken)|Twee stuks, verbeeldende, het ene, "Laat de kleine kinderen tot mij komen"; alwaar de Heiland, omringt van kleine kinderen in het bijzijn der Vrouwen en Apostelen, tegens de kinderen schijnt te spreken. - Het andere, de Vrouw in Overspel betrapt, wordt door de Fariseën voor den Heiland gebragt. Deze twee stukken worden voor de besten van dezen Meester gehouden, vergulde lijst]] réalisée par W. Schaeken, vendue par Cornelis Laurentius Smits. [4]
  • 1816.06.17/ maison de ventes : Mirandolle (J.F.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Twee stukjes, verbeeldende het eene een Voerman die zijn Paard van den Wagen heeft afgespannen om het aan' een waterloop te laten drinken, terwijl de Wagen met een Vrouw op den dijk staat; - het andere een Paard dat graasd, terwijl de man rust. Zeer schoon geschildert (P. Wouwerman)|Twee stukjes, verbeeldende het eene een Voerman die zijn Paard van den Wagen heeft afgespannen om het aan' een waterloop te laten drinken, terwijl de Wagen met een Vrouw op den dijk staat; - het andere een Paard dat graasd, terwijl de man rust. Zeer schoon geschildert]] réalisée par P. Wouwerman. [94]
  • 1816.06.17/ maison de ventes : Mirandolle (J.F.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Verbeeldt het dorp Overschie, benevens de Rivier vol met Binnenjagten en Jaagschuiten, waar in de Vorstelijke Familie onder het gejuich van een groote menigte aanschouwers in een Binnenjagt zijn geplaatst; in het verschiet Rotterdam langs de zijde van de Schie te zien. - Dit stuk zoo schoon als vermakelijk geschildert kan in de eerste Kabinetten, als zijnde van een groot Meester, geplaatst worden (Hoet)|Verbeeldt het dorp Overschie, benevens de Rivier vol met Binnenjagten en Jaagschuiten, waar in de Vorstelijke Familie onder het gejuich van een groote menigte aanschouwers in een Binnenjagt zijn geplaatst; in het verschiet Rotterdam langs de zijde van de Schie te zien. - Dit stuk zoo schoon als vermakelijk geschildert kan in de eerste Kabinetten, als zijnde van een groot Meester, geplaatst worden]] réalisée par Hoet. [95]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune cuisinière, familièment placée entre deux soldats qui s'amusent à boire, se dispose à écumer son pot dans lequel un jeune garçon trempe furtivement un morceau de pain. A la porte de la salle apparaissent quatre autres personnages. Une table servie de plusieurs mets, un vase plein de lait et beaucoup d'autres détails enrichissent de toutes parts cette composition, qui d'ailleurs est rendue avec beaucoup d'art et de naïveté. (Signé A-A. 17 avril)|Une jeune cuisinière, familièment placée entre deux soldats qui s'amusent à boire, se dispose à écumer son pot dans lequel un jeune garçon trempe furtivement un morceau de pain. A la porte de la salle apparaissent quatre autres personnages. Une table servie de plusieurs mets, un vase plein de lait et beaucoup d'autres détails enrichissent de toutes parts cette composition, qui d'ailleurs est rendue avec beaucoup d'art et de naïveté.]] réalisée par Signé A-A. 17 avril, vendue par Cardinal Fesch au prix de 440 fl. [309]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Fête de village. On y voit une quantité de personnages de tout âge, dont les uns passent gaîment le tems à boire et à manger, tandis que d'autres sont réduits à demander humblement l'aumône. Cette scène a lieu sur une vaste place environnée d'édifices. Tableau de l'école de Flandres. (école de Flandres)|Fête de village. On y voit une quantité de personnages de tout âge, dont les uns passent gaîment le tems à boire et à manger, tandis que d'autres sont réduits à demander humblement l'aumône. Cette scène a lieu sur une vaste place environnée d'édifices. Tableau de l'école de Flandres.]] réalisée par école de Flandres, vendue par Cardinal Fesch, achetée par Laneuville au prix de 316 fl. [372]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Paysan italien, ayant son bâton appuyé contre lui et la main droite sur sa poitrine, tend la gauche pour implorer la bienfaisance des ames généreuses. Ces deux figures, d'un peintre napolitain, sont à mi-corps, de grandeur naturelle et d'une extrême vérité. (un peintre napolitain)|Un Paysan italien, ayant son bâton appuyé contre lui et la main droite sur sa poitrine, tend la gauche pour implorer la bienfaisance des ames généreuses. Ces deux figures, d'un peintre napolitain, sont à mi-corps, de grandeur naturelle et d'une extrême vérité.]] réalisée par un peintre napolitain, vendue par Cardinal Fesch au prix de 86 fl. [377]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre cintre de niche au dessus duquel est également attaché un feston de fruits. Ce tableau et le précédent sont de ceux qu'on attribue communément à Michel-Ange-Amerighi ; quoi qu'il en soit, ils sont marqués du cachet de la vérité et d'une grande liberté de pinceau. (Michel-Ange-Amerighi)|Autre cintre de niche au dessus duquel est également attaché un feston de fruits. Ce tableau et le précédent sont de ceux qu'on attribue communément à Michel-Ange-Amerighi ; quoi qu'il en soit, ils sont marqués du cachet de la vérité et d'une grande liberté de pinceau.]] réalisée par Michel-Ange-Amerighi, vendue par Cardinal Fesch au prix de 32 fl. [387]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cintre de niche orné d'un feston ou guirlande de fruits, tels que pêches, prunes, raisins, abricots, etc. Ce tableau et le précédent sont de ceux qu'on attribué communément à Michel-Ange-Amerighi ; quoi qu'il en soit, ils sont marqués du cachet de la vérité et d'une grande liberté de pinceau. (Michel-Ange-Amerighi)|Cintre de niche orné d'un feston ou guirlande de fruits, tels que pêches, prunes, raisins, abricots, etc. Ce tableau et le précédent sont de ceux qu'on attribué communément à Michel-Ange-Amerighi ; quoi qu'il en soit, ils sont marqués du cachet de la vérité et d'une grande liberté de pinceau.]] réalisée par Michel-Ange-Amerighi, vendue par Cardinal Fesch au prix de 32 fl. [388]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Notre Seigneur, assis à table avec les deux disciples d'Emmaüs, est reconnu par eux à la fraction du pain. Nota. Simon Vouet n'a point laissé de meilleurs ouvrages que ceux que nous venons de citer ; ils sont d'un pinceau net et assuré, aussi bien entendus d'effet que de composition, agréables à l'oeil, dignes en un mot de l'artiste qui, dans le commencement du 17.e siècle, ramena le premier en France les germes du bon goût. (Vouet (Simon))|Notre Seigneur, assis à table avec les deux disciples d'Emmaüs, est reconnu par eux à la fraction du pain. Nota. Simon Vouet n'a point laissé de meilleurs ouvrages que ceux que nous venons de citer ; ils sont d'un pinceau net et assuré, aussi bien entendus d'effet que de composition, agréables à l'oeil, dignes en un mot de l'artiste qui, dans le commencement du 17.e siècle, ramena le premier en France les germes du bon goût.]] réalisée par Vouet (Simon), vendue par Cardinal Fesch au prix de 260 fl. [392]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madame de Montespan, vêtue en chasseresse et mollement étendue sur un gazon émaillé de fleurs, est entourée d'amours qui viennent déposer leurs armes à ses pieds. Un château royal entouré d'un parc termine heureusement le fond de ce tableau. On n'a rien dit des grâces et de la beauté de madame de Montespan qui puisse nous en donner une idée aussi juste que ce portrait. Quant à l'art, on conçoit aisément que Mignard, ayant à pendre la maîtresse chérie d'un grand roi, a dû tout faire pour se surpasser lui-même et rivaliser avec son charmant modèle. (Mignard (Pierre))|Madame de Montespan, vêtue en chasseresse et mollement étendue sur un gazon émaillé de fleurs, est entourée d'amours qui viennent déposer leurs armes à ses pieds. Un château royal entouré d'un parc termine heureusement le fond de ce tableau. On n'a rien dit des grâces et de la beauté de madame de Montespan qui puisse nous en donner une idée aussi juste que ce portrait. Quant à l'art, on conçoit aisément que Mignard, ayant à pendre la maîtresse chérie d'un grand roi, a dû tout faire pour se surpasser lui-même et rivaliser avec son charmant modèle.]] réalisée par Mignard (Pierre), vendue par Cardinal Fesch, achetée par VanderBerg au prix de 940 fl. [404]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jeunes filles portant chacune un couple de colombes qu'elles viennent offrir à Vénus. Une prêtresse brule de l'encens au pied de la statue de la déesse placée sur un autel, sous une espèce de portique à colonnes. Pendant ce tems, d'autres jeunes filles jouent sur la flûte des airs en son honneur. (Le Maire (surnommé Poussin))|Jeunes filles portant chacune un couple de colombes qu'elles viennent offrir à Vénus. Une prêtresse brule de l'encens au pied de la statue de la déesse placée sur un autel, sous une espèce de portique à colonnes. Pendant ce tems, d'autres jeunes filles jouent sur la flûte des airs en son honneur.]] réalisée par Le Maire (surnommé Poussin), vendue par Cardinal Fesch, achetée par Beaubois au prix de 117.5 fl. [407]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un port de mer. Sur le devant, au pied d'un édifice orné de pilastres, sont réunis différens personnages qui ont à côté d'eux des malles et des ballots. On remarque plus loin des vaisseaux, les uns amarés dans le port, les autres en pleine mer. (Zeeman)|Vue d'un port de mer. Sur le devant, au pied d'un édifice orné de pilastres, sont réunis différens personnages qui ont à côté d'eux des malles et des ballots. On remarque plus loin des vaisseaux, les uns amarés dans le port, les autres en pleine mer.]] réalisée par Zeeman, vendue par Cardinal Fesch, achetée par Beaubois au prix de 126 fl. [411]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un maître boucher hollandais, debout près de son étal, parle à son garçon de boutique, qui est occupé à peser de la Viande. Ces deux figures, vues à mi-corps et de grandeur naturelle, se détachent sur une cloison de sapin contre laquelle est pendu un morceau de mouton. Ce tableau n'est que vérité. (Zaft Leven (Corneille))|Un maître boucher hollandais, debout près de son étal, parle à son garçon de boutique, qui est occupé à peser de la Viande. Ces deux figures, vues à mi-corps et de grandeur naturelle, se détachent sur une cloison de sapin contre laquelle est pendu un morceau de mouton. Ce tableau n'est que vérité.]] réalisée par Zaft Leven (Corneille), vendue par Cardinal Fesch au prix de 120 fl. [412]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des pâtres gardant leurs troupeaux. L'un d'eux joue d'une espèce de musette, tandis que deux autres causent ensemble et qu'un troisième dort profondément sur le gazon. Le soleil, prêt à se coucher, indique la fin d'un beau jour d'été. (Wulfaert, (imitateur de Cuyp))|Des pâtres gardant leurs troupeaux. L'un d'eux joue d'une espèce de musette, tandis que deux autres causent ensemble et qu'un troisième dort profondément sur le gazon. Le soleil, prêt à se coucher, indique la fin d'un beau jour d'été.]] réalisée par Wulfaert, (imitateur de Cuyp), vendue par Cardinal Fesch au prix de 79 fl. [413]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage montagneux. On y remarque Jésus entouré de ses disciples, auquel la femme de Zébédée présente ses deux fils. Ces figures, dessinées et ordonnées avec goût, ont en même tems de la simplicité et se ressentent des bonnes études que leur auteur fit en Italie. (Vos (Martin De))|Paysage montagneux. On y remarque Jésus entouré de ses disciples, auquel la femme de Zébédée présente ses deux fils. Ces figures, dessinées et ordonnées avec goût, ont en même tems de la simplicité et se ressentent des bonnes études que leur auteur fit en Italie.]] réalisée par Vos (Martin De), vendue par Cardinal Fesch, achetée par Hofmann au prix de 92 fl. [416]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Derrière un Pacha ou Bey barbaresque sont placés deux de ses officiers qui, la plume à la main, semblent attendre l'ordre de signer la délivrance de trois captifs, dont un autre personnage est occupé à compter la rançon. Ce tableau, d'une conservation parfaite, présente des airs de tête, dont le fameux Rubens, élève d'Ottovenius, ne s'est jamais écarté. (Ottovenius (Octavio Van Veen, dit))|Derrière un Pacha ou Bey barbaresque sont placés deux de ses officiers qui, la plume à la main, semblent attendre l'ordre de signer la délivrance de trois captifs, dont un autre personnage est occupé à compter la rançon. Ce tableau, d'une conservation parfaite, présente des airs de tête, dont le fameux Rubens, élève d'Ottovenius, ne s'est jamais écarté.]] réalisée par Ottovenius (Octavio Van Veen, dit), vendue par Cardinal Fesch au prix de 400 fl. [421]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Céphale, la douleur peinte sur le visage, arrache du sein de l'infortunée Procris le javelot dont il l'a percée par inadvertance, en croyant le lancer sur une bête fauve cachée dans un buisson. Janssens, contemporain du célèbre Rubens, osa se croire son rival. La vérité est qu'il a excellé dans quelques parties, et notamment dans la couleur et l'entente du clair-obscur, ce que prouve jusqu'à l'évidence le tableau que nous avons sous les yeux. (Janssens (Abraham))|Céphale, la douleur peinte sur le visage, arrache du sein de l'infortunée Procris le javelot dont il l'a percée par inadvertance, en croyant le lancer sur une bête fauve cachée dans un buisson. Janssens, contemporain du célèbre Rubens, osa se croire son rival. La vérité est qu'il a excellé dans quelques parties, et notamment dans la couleur et l'entente du clair-obscur, ce que prouve jusqu'à l'évidence le tableau que nous avons sous les yeux.]] réalisée par Janssens (Abraham), vendue par Cardinal Fesch au prix de 40 fl. [428]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Mages adorent l'enfant Jésus assis sur les genoux de sa divine mère, et lui offrent des présens. Ces deux tableaux, sur bois, ont 2 p. 8 p. de haut sur 1 p. 1 p. de large, et sont d'autant plus remarquables qu'ils remontent à l'origine de la peinture à l'huile. (Eyck (Hubert Van))|Les Mages adorent l'enfant Jésus assis sur les genoux de sa divine mère, et lui offrent des présens. Ces deux tableaux, sur bois, ont 2 p. 8 p. de haut sur 1 p. 1 p. de large, et sont d'autant plus remarquables qu'ils remontent à l'origine de la peinture à l'huile.]] réalisée par Eyck (Hubert Van), vendue par Cardinal Fesch au prix de 270 fl. [435]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Pierre, debout devant la porte du Paradis, y fait entrer les élus. Ces deux tableau, sur bois, ont 2 p. 8 p. de haut sur 1 p. 1 p. de large, et sont d'autant plus remarquables qu'ils remontent à l'origine de la peinture à l'huile. (Eyck (Hubert Van))|Saint Pierre, debout devant la porte du Paradis, y fait entrer les élus. Ces deux tableau, sur bois, ont 2 p. 8 p. de haut sur 1 p. 1 p. de large, et sont d'autant plus remarquables qu'ils remontent à l'origine de la peinture à l'huile.]] réalisée par Eyck (Hubert Van), vendue par Cardinal Fesch au prix de 270 fl. [436]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte Vierge, tenant l'enfant Jésus sur ses genoux, est entourée de plusieurs saints et saintes ayant chacun ses attributs caractéristiques. Nous conservons à cette peinture la dénomination qui lui a toujours été donnée, sans pourtant qu'elle nous paraisse incontestable. Cet ouvrage, quoique facilement peint, ne nous paraît pas beaucoup plus avéré que le précédent. (Durer (Albert))|La Sainte Vierge, tenant l'enfant Jésus sur ses genoux, est entourée de plusieurs saints et saintes ayant chacun ses attributs caractéristiques. Nous conservons à cette peinture la dénomination qui lui a toujours été donnée, sans pourtant qu'elle nous paraisse incontestable. Cet ouvrage, quoique facilement peint, ne nous paraît pas beaucoup plus avéré que le précédent.]] réalisée par Durer (Albert), vendue par Cardinal Fesch, achetée par Lerouge au prix de 150 fl. [438]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Saint Antoine à genoux, les yeux baissés et priant Dieu, est entouré de démons qui, revêtus des formes les plus bizarres, s'efforcent de le tenter. De tous côtés des montagnes vomissent des tourbillons de fumée et de feu. Telle était l'imagination de Bos, qu'elle ne lui inspirait que des sujets singuliers, extravagans, terribles ; mais il les peignait avec autant de légéreté que d'esprit. (Bos (Jérome))|Saint Antoine à genoux, les yeux baissés et priant Dieu, est entouré de démons qui, revêtus des formes les plus bizarres, s'efforcent de le tenter. De tous côtés des montagnes vomissent des tourbillons de fumée et de feu. Telle était l'imagination de Bos, qu'elle ne lui inspirait que des sujets singuliers, extravagans, terribles ; mais il les peignait avec autant de légéreté que d'esprit.]] réalisée par Bos (Jérome), vendue par Cardinal Fesch au prix de 60 fl. [440]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enfant Jésus et le petit Saint Jean, tous deux debout à côté de la Vierge, qui n'est vue qu'à mi-corps ; derrière eux est placé Saint Joseph. Ce tableau, du commencement du quinzième siècle, est propre à faire suite, dans une galerie, aux peintures de ce tems. (Signé A.P.)|L'enfant Jésus et le petit Saint Jean, tous deux debout à côté de la Vierge, qui n'est vue qu'à mi-corps ; derrière eux est placé Saint Joseph. Ce tableau, du commencement du quinzième siècle, est propre à faire suite, dans une galerie, aux peintures de ce tems.]] réalisée par Signé A.P., vendue par Cardinal Fesch au prix de 84 fl. [443]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Plusieurs paysans rangés autour d'une petite table devant la porte d'un cabaret, regardent attentivement un de leurs compagnons de bouteille, qui, les poings fermés, semble jouer à pair ou non les frais de l'écot ; d'autres villageois s'amusent plus loin au jeu de quilles. (Abshoven)|Plusieurs paysans rangés autour d'une petite table devant la porte d'un cabaret, regardent attentivement un de leurs compagnons de bouteille, qui, les poings fermés, semble jouer à pair ou non les frais de l'écot ; d'autres villageois s'amusent plus loin au jeu de quilles.]] réalisée par Abshoven, vendue par Cardinal Fesch au prix de 300.05 fl. [444]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre Paysage de la même forme et des mêmes dimensions que le précédent. Des gens de guerre et des vivandières remplissent l'avant-scène et sont occupés, les uns à manger ou à préparer des viandes, les autres à jouer ou à causer. (Zuccherelli (Francesco))|Autre Paysage de la même forme et des mêmes dimensions que le précédent. Des gens de guerre et des vivandières remplissent l'avant-scène et sont occupés, les uns à manger ou à préparer des viandes, les autres à jouer ou à causer.]] réalisée par Zuccherelli (Francesco), vendue par Cardinal Fesch au prix de 120 fl. [445]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage de forme ovale. On y compte, sur le devant, une quinzaine de personnages, dont plusieurs s'amusent à danser au son d'une guitare ; de grands arbres, l'ancienne porte d'un bourg et des lointains composent les autres plans de ce point de vue. (Zuccherelli (Francesco))|Paysage de forme ovale. On y compte, sur le devant, une quinzaine de personnages, dont plusieurs s'amusent à danser au son d'une guitare ; de grands arbres, l'ancienne porte d'un bourg et des lointains composent les autres plans de ce point de vue.]] réalisée par Zuccherelli (Francesco), vendue par Cardinal Fesch au prix de 120 fl. [446]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La purification de la Sainte Vierge. Marie, vue de face, est debout dans le temple, et porte dans ses bras l'enfant Jésus qu'elle présente au grand-prêtre. Celui-ci, les yeux sur un livre, récite la formule usitée ; à sa gauche et derrière lui se tiennent les desservans du temple ; du côté opposé est Saint Joseph, avec plusieurs spectateurs. Le fond du tableau offre une belle architecture. Ce morceau, très-capital, tant par sa grandeur que par le nombre des personnages dont il est composé, a subi ça et là quelques dégradations. Nous ne l'en regardons pas moins comme un objet rare, de valeur, et digne de l'attention des personnes qui forment des galeries. (Veronese (Carlo Caliari, dit))|La purification de la Sainte Vierge. Marie, vue de face, est debout dans le temple, et porte dans ses bras l'enfant Jésus qu'elle présente au grand-prêtre. Celui-ci, les yeux sur un livre, récite la formule usitée ; à sa gauche et derrière lui se tiennent les desservans du temple ; du côté opposé est Saint Joseph, avec plusieurs spectateurs. Le fond du tableau offre une belle architecture. Ce morceau, très-capital, tant par sa grandeur que par le nombre des personnages dont il est composé, a subi ça et là quelques dégradations. Nous ne l'en regardons pas moins comme un objet rare, de valeur, et digne de l'attention des personnes qui forment des galeries.]] réalisée par Veronese (Carlo Caliari, dit), vendue par Cardinal Fesch au prix de 161 fl. [447]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le dieu Pan poursuivant la nymphe Syrinx, à l'instigation de l'Amour. Deux autres nymphes viennent au secours de leur compagne. On voit beaucoup d'ouvrages de ce maître qui sont d'une couleur plus vive que celle du tableau dont il est ici question, mais peu où l'on sente mieux les morbi dessimi Carnagioni et cet allettamento qui, selon Lanzi, caractérise en partie les ouvrages d'Alexandre Véronèse. (Veronese (Alessandro Turchi, dit))|Le dieu Pan poursuivant la nymphe Syrinx, à l'instigation de l'Amour. Deux autres nymphes viennent au secours de leur compagne. On voit beaucoup d'ouvrages de ce maître qui sont d'une couleur plus vive que celle du tableau dont il est ici question, mais peu où l'on sente mieux les morbi dessimi Carnagioni et cet allettamento qui, selon Lanzi, caractérise en partie les ouvrages d'Alexandre Véronèse.]] réalisée par Veronese (Alessandro Turchi, dit), vendue par Cardinal Fesch au prix de 360 fl. [449]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage grandement touché, piquant de lumière et embelli de figures représentant des anges en adoration avec les bergers, devant notre Seigneur qui vient de naître. Il est de la même hauteur et de la même largeur que le précédent, auquel il sert de pendant. (Tempesta (Pictro Mulier, dit))|Un paysage grandement touché, piquant de lumière et embelli de figures représentant des anges en adoration avec les bergers, devant notre Seigneur qui vient de naître. Il est de la même hauteur et de la même largeur que le précédent, auquel il sert de pendant.]] réalisée par Tempesta (Pictro Mulier, dit), vendue par Cardinal Fesch, achetée par Mde Paraud au prix de 83 fl. [452]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La conversion de Saint Paul sur la route de Damas, où il se rendait dans l'intention de se saisir des chrétiens contre lesquels il manifestait une violente haine. Cette composition riche, traitée avec enthousiasme, est en outre pleine d'effet, et toutes les figures, dans les poses variées, y expriment parfaitement ou la surprise ou la crainte dont elles sont frappées à la voix du Seigneur. (Solimena (Francesco))|La conversion de Saint Paul sur la route de Damas, où il se rendait dans l'intention de se saisir des chrétiens contre lesquels il manifestait une violente haine. Cette composition riche, traitée avec enthousiasme, est en outre pleine d'effet, et toutes les figures, dans les poses variées, y expriment parfaitement ou la surprise ou la crainte dont elles sont frappées à la voix du Seigneur.]] réalisée par Solimena (Francesco), vendue par Cardinal Fesch, achetée par Marte au prix de 70 fl. [453]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La continence de Scipion l'Africain. Nous voyons près de ce héros la jeune fille qu'il remet entre les mains d'Ellutius, prince Celtiberien, à qui elle était fiancée. Des soldats de l'armée de Scipion sont placés autour de lui, et l'on aperçoit à quelque distance les murs de Carthagène. A travers les négligences qui naissent ordinairement d'un travail de pratique, on remarque ici un esprit fertile et le pinceau le plus léger. (Castelli (Valerio))|La continence de Scipion l'Africain. Nous voyons près de ce héros la jeune fille qu'il remet entre les mains d'Ellutius, prince Celtiberien, à qui elle était fiancée. Des soldats de l'armée de Scipion sont placés autour de lui, et l'on aperçoit à quelque distance les murs de Carthagène. A travers les négligences qui naissent ordinairement d'un travail de pratique, on remarque ici un esprit fertile et le pinceau le plus léger.]] réalisée par Castelli (Valerio), vendue par Cardinal Fesch, achetée par Laneuville au prix de 420 fl. [456]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge, sur une espèce de trône, soutient l'Enfant-Jésus qui est debout devant elle. Saint Jérôme et Saint Augustin, évêques, sont à ses côtés ; à ses pieds sont agenouillés Sainte Madelein et Sainte Lucie ou Apollonie, l'une et l'autre ayant leurs attributs. L'expression de la vie et du mouvement, et plusieurs autres beautés percent à travers la restauration dont ce tableau a eu besoin ; l'on y remarque surtout une liberté, une fermeté de pinceau qui ne laissent aucun doute sur son originalité. Cependant il peut être un de ceux que Jules-Romain faisait faire sur ses dessins et qu'il retouchait dans presque toutes les parties. Nous invitons les amateurs à lui donner l'attention qu'il mérite. (Pippi Giulo (dit Jules-Romain))|La Vierge, sur une espèce de trône, soutient l'Enfant-Jésus qui est debout devant elle. Saint Jérôme et Saint Augustin, évêques, sont à ses côtés ; à ses pieds sont agenouillés Sainte Madelein et Sainte Lucie ou Apollonie, l'une et l'autre ayant leurs attributs. L'expression de la vie et du mouvement, et plusieurs autres beautés percent à travers la restauration dont ce tableau a eu besoin ; l'on y remarque surtout une liberté, une fermeté de pinceau qui ne laissent aucun doute sur son originalité. Cependant il peut être un de ceux que Jules-Romain faisait faire sur ses dessins et qu'il retouchait dans presque toutes les parties. Nous invitons les amateurs à lui donner l'attention qu'il mérite.]] réalisée par Pippi Giulo (dit Jules-Romain), vendue par Cardinal Fesch au prix de 390 fl. [458]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Notre Seigneur, nouveau-né et couché dans une crêche sur de la paille, y est soutenu par la Vierge qui tourne les yeux sur son époux ; ceux de Saint Joseph et de deux Anges, présens à cette scène, sont abaissés vers l'Enfant-Jésus, qu'ils regardent avec une admiration mêlée de respect. (Maratti (Carlo))|Notre Seigneur, nouveau-né et couché dans une crêche sur de la paille, y est soutenu par la Vierge qui tourne les yeux sur son époux ; ceux de Saint Joseph et de deux Anges, présens à cette scène, sont abaissés vers l'Enfant-Jésus, qu'ils regardent avec une admiration mêlée de respect.]] réalisée par Maratti (Carlo), vendue par Cardinal Fesch, achetée par Henry au prix de 181 fl. [462]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Notre Seigneur rendant la vue à un aveugle-né, en présence de ses disciples. Nous ne rangeons l'auteur de cette excellente production parmi les peintres italiens, qu'à cause de sa parfaite conformité avec ceux de Venise, entre lesquels il passa sa vie toute entière. (Kalcker (Jean-Van))|Notre Seigneur rendant la vue à un aveugle-né, en présence de ses disciples. Nous ne rangeons l'auteur de cette excellente production parmi les peintres italiens, qu'à cause de sa parfaite conformité avec ceux de Venise, entre lesquels il passa sa vie toute entière.]] réalisée par Kalcker (Jean-Van), vendue par Cardinal Fesch au prix de 280 fl. [464]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un petit troupeau de gros et de menu bétail ; il est précédé d'un âne et suivi de deux villageois marchant à côté d'un cheval. Ces deux tableaux, faits à l'imitation de ceux de Benedetto Castiglione, sont d'un coloris plein de vigueur. (Giordano (Luca))|Un petit troupeau de gros et de menu bétail ; il est précédé d'un âne et suivi de deux villageois marchant à côté d'un cheval. Ces deux tableaux, faits à l'imitation de ceux de Benedetto Castiglione, sont d'un coloris plein de vigueur.]] réalisée par Giordano (Luca), vendue par Cardinal Fesch au prix de 220 fl. [466]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autres enfans, parmi lesquels il y en a un qui fait des bulles de savon ; au dessus de leur tête voltigent un oiseau et un papillon. Ce tableau caractérise l'élément de l'air ; le précédent caractérise l'eau, et l'un et l'autre sont de la même grandeur. (Giordano (Luca))|Autres enfans, parmi lesquels il y en a un qui fait des bulles de savon ; au dessus de leur tête voltigent un oiseau et un papillon. Ce tableau caractérise l'élément de l'air ; le précédent caractérise l'eau, et l'un et l'autre sont de la même grandeur.]] réalisée par Giordano (Luca), vendue par Cardinal Fesch au prix de 35.5 fl. [470]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le roi David avec Bethsabée. Celle-ci repousse avec mollesse la main carressante de son amant, et n'ose le regarder. En relevant du fard de la pudeur le joli visage de Bethsabée, Giminiani a trouvé le secret de donner à son tableau, d'ailleurs peint avec amour, tout le charme imaginable. (Giminiani (Giacinto))|Le roi David avec Bethsabée. Celle-ci repousse avec mollesse la main carressante de son amant, et n'ose le regarder. En relevant du fard de la pudeur le joli visage de Bethsabée, Giminiani a trouvé le secret de donner à son tableau, d'ailleurs peint avec amour, tout le charme imaginable.]] réalisée par Giminiani (Giacinto), vendue par Cardinal Fesch au prix de 330 fl. [474]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Combat singulier d'Enée contre Turnus. Celui-ci, renversé par terre, implore fièrement son vainqueur, dont l'épée levée est prête à le percer ; mais c'est en vain. Enée aperçoit sur le corps de son ennemi l'armure du jeune Pallas, et cette vue Réveillant dans son coeur sa colère étouffée, Furieux, il s'écrie : " Assasin d'un enfant ! Eh quoi ! de sa dépouille à mes yeux triomphant, Tu vivrais ! non, cruel : que ta mort le console ; C'est Pallas par ma main, c'est Pallas qui t'immole Jacq. Delille, trad. de l'Enéide. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer. (Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeus de Cortona)|Combat singulier d'Enée contre Turnus. Celui-ci, renversé par terre, implore fièrement son vainqueur, dont l'épée levée est prête à le percer ; mais c'est en vain. Enée aperçoit sur le corps de son ennemi l'armure du jeune Pallas, et cette vue Réveillant dans son coeur sa colère étouffée, Furieux, il s'écrie : " Assasin d'un enfant ! Eh quoi ! de sa dépouille à mes yeux triomphant, Tu vivrais ! non, cruel : que ta mort le console ; C'est Pallas par ma main, c'est Pallas qui t'immole Jacq. Delille, trad. de l'Enéide. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer.]] réalisée par Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeus de Cortona, vendue par Cardinal Fesch au prix de 300 fl. [476]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Nous voyons ici le pieux héros, une branche d'olivier à la main, arrivant avec Ascagne chez le vieux Evandre, au moment où ce Roi se prépare à faire un sacrifice. Ces six compositions, tirées savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer. (Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona)|Nous voyons ici le pieux héros, une branche d'olivier à la main, arrivant avec Ascagne chez le vieux Evandre, au moment où ce Roi se prépare à faire un sacrifice. Ces six compositions, tirées savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer.]] réalisée par Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona, vendue par Cardinal Fesch au prix de 300 fl. [477]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Enée, prêt à sortir de son vaisseau avec son fils Ascagne, aborde en Italie par le secours de Neptune et des Tritons. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer. (Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona)|Enée, prêt à sortir de son vaisseau avec son fils Ascagne, aborde en Italie par le secours de Neptune et des Tritons. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer.]] réalisée par Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona, vendue par Cardinal Fesch au prix de 300 fl. [478]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vénus, portée sur un nuage, reçoit des mains de Vulcan les armes qu'elle lui avait ordonné de forger pour Enée. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer. (Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona)|Vénus, portée sur un nuage, reçoit des mains de Vulcan les armes qu'elle lui avait ordonné de forger pour Enée. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer.]] réalisée par Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona, vendue par Cardinal Fesch au prix de 300 fl. [479]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Neptune sur un char traîné par deux chevaux marins conduits par des amours, commande aux vents de se calmer ; à sa voix terrible, les aquilons se précipitent dans le mer et cessent d'en soulever les flots ; des Naïades et des Tritons précèdent et entourent le dieu de l'océan. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer. (Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona)|Neptune sur un char traîné par deux chevaux marins conduits par des amours, commande aux vents de se calmer ; à sa voix terrible, les aquilons se précipitent dans le mer et cessent d'en soulever les flots ; des Naïades et des Tritons précèdent et entourent le dieu de l'océan. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer.]] réalisée par Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona, vendue par Cardinal Fesch au prix de 300 fl. [480]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La déese Junon, planant dans les airs à côté de son char, vient supplier Eole de seconder la haine qu'elle porte aux Troyens. Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, Vous à qui mon époux, le souverain du monde, Permit et d'appaisser et de soulever l'onde ! ................................................ Commandez à vos vents de servir ma furie. Jacq. Delille, trad. de l'Enéide. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer. (Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona)|La déese Junon, planant dans les airs à côté de son char, vient supplier Eole de seconder la haine qu'elle porte aux Troyens. Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, Vous à qui mon époux, le souverain du monde, Permit et d'appaisser et de soulever l'onde ! ................................................ Commandez à vos vents de servir ma furie. Jacq. Delille, trad. de l'Enéide. Ces six compositions, tirées et savamment imitées du poëme de Virgile, forment, par leur ensemble, une décoration aussi magnifique que rare et difficile à rencontrer.]] réalisée par Ferri (Ciro), sur les dessins et sous les yeux de Cortona, vendue par Cardinal Fesch au prix de 285 fl. [481]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Sainte Vierge assise et contemplant l'enfant Jésus qui est endormi sur elle ; toutes les pensées de cette tendre mère n'ont qu'un seul objet, son divin fils ; et toute son existence, tout son bonheur se composent du ravissement avec lequel elle le considère. La couleura se poussé au noir, mais sans trop nuire à l'intérêt du sujet. (Cantarini (Simone))|Une Sainte Vierge assise et contemplant l'enfant Jésus qui est endormi sur elle ; toutes les pensées de cette tendre mère n'ont qu'un seul objet, son divin fils ; et toute son existence, tout son bonheur se composent du ravissement avec lequel elle le considère. La couleura se poussé au noir, mais sans trop nuire à l'intérêt du sujet.]] réalisée par Cantarini (Simone), vendue par Cardinal Fesch au prix de 76 fl. [484]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La mort de la Vierge. Tandis que les Apôtres, rangés autour d'elle, expriment diversement leurs regrets, une des saintes femmes lui embrasse les pieds avec humilité, et plusieurs anges, dans une gloire, soulèvent les rideaux de son lit. Ce tableau, très-capital et d'une couleur brillante, est doublement convenable, soit à une église, soit à une galerie. (Aviense (Antonio Bassilacchi detto))|La mort de la Vierge. Tandis que les Apôtres, rangés autour d'elle, expriment diversement leurs regrets, une des saintes femmes lui embrasse les pieds avec humilité, et plusieurs anges, dans une gloire, soulèvent les rideaux de son lit. Ce tableau, très-capital et d'une couleur brillante, est doublement convenable, soit à une église, soit à une galerie.]] réalisée par Aviense (Antonio Bassilacchi detto), vendue par Cardinal Fesch au prix de 820 fl. [490]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre Sibylle : elle tremple sa plume dans une écritoire que lui tend un ange debout et soutenant une tablette où elle va écrire ; un second ange est placé devant elle, un flambeau à la main, allusion à la lumière céleste dont elle est intérieurement éclairée ; d'autres sont derrière et la secondent dans ses divins travaux. Ces ouvrages, d'un coloris mâle, d'un grand goût, d'un aspect imposant, nous rappellent les beaux jours de l'école de Florence. Voici le jugement que Lanzi porte d'Alberti : "Il est, dit-il, svelto nelle proporzioni, spiritoso, di un tocco di pennello, et di un fare in ogni parte disinvolto e spontaneo." On n'a, dans un long espace de tems, qu'une occasion pour se procurer de tels tableaux ; la manquer, c'est la perdre de même le moyen d'enrichir un cabinet de choses aussi précieuses que rares. (Alberti (Cherubino))|Autre Sibylle : elle tremple sa plume dans une écritoire que lui tend un ange debout et soutenant une tablette où elle va écrire ; un second ange est placé devant elle, un flambeau à la main, allusion à la lumière céleste dont elle est intérieurement éclairée ; d'autres sont derrière et la secondent dans ses divins travaux. Ces ouvrages, d'un coloris mâle, d'un grand goût, d'un aspect imposant, nous rappellent les beaux jours de l'école de Florence. Voici le jugement que Lanzi porte d'Alberti : "Il est, dit-il, svelto nelle proporzioni, spiritoso, di un tocco di pennello, et di un fare in ogni parte disinvolto e spontaneo." On n'a, dans un long espace de tems, qu'une occasion pour se procurer de tels tableaux ; la manquer, c'est la perdre de même le moyen d'enrichir un cabinet de choses aussi précieuses que rares.]] réalisée par Alberti (Cherubino), vendue par Cardinal Fesch au prix de 461 fl. [491]
  • 1816.06.17/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sibylle de Cumes, assise sur la plynthe d'une attique, s'appuie et fixe ses regards sur des tablettes que lui présentent des anges, et où sont écrites plusieurs prophéties annonçant la venue du Sauveur. Ces ouvrages, d'un bon coloris mâle, d'un grand goût, d'un aspect imposant, nous rappellent les beaux jours de l'école de Florence. Voici le jugement que Lanzi porte d'Alberti : "Il est, dit-il, svelto nelle proporzioni, spiritoso, di un tocco di pennello, et di un fare in ogni parte disinvolto e spontaneo." On n'a, dans un long espace de tems, qu'une occasion pour se procurer de tels tableaux ; la manquer, c'est la perdre et perdre de même le moyen d'enrichir un cabinet de choses aussi précieuses que rares. (Alberti (Cherubino))|La Sibylle de Cumes, assise sur la plynthe d'une attique, s'appuie et fixe ses regards sur des tablettes que lui présentent des anges, et où sont écrites plusieurs prophéties annonçant la venue du Sauveur. Ces ouvrages, d'un bon coloris mâle, d'un grand goût, d'un aspect imposant, nous rappellent les beaux jours de l'école de Florence. Voici le jugement que Lanzi porte d'Alberti : "Il est, dit-il, svelto nelle proporzioni, spiritoso, di un tocco di pennello, et di un fare in ogni parte disinvolto e spontaneo." On n'a, dans un long espace de tems, qu'une occasion pour se procurer de tels tableaux ; la manquer, c'est la perdre et perdre de même le moyen d'enrichir un cabinet de choses aussi précieuses que rares.]] réalisée par Alberti (Cherubino), vendue par Cardinal Fesch au prix de 461 fl. [492]