Ventes d'œuvres le 1816.11.27

De Wikipast
Aller à la navigation Aller à la recherche
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Satyre entouré de Nymphes : les unes lui présentent une coupe, les autres semblent lui faire remarquer un pâtre et une jeune fille qui dansent sur une pelouse où sont des animaux ; le surplus de la Composition présente une campagne agréable. (Vertangen (Daniel))|Satyre entouré de Nymphes : les unes lui présentent une coupe, les autres semblent lui faire remarquer un pâtre et une jeune fille qui dansent sur une pelouse où sont des animaux ; le surplus de la Composition présente une campagne agréable.]] réalisée par Vertangen (Daniel), vendue par Mme De Forestier, achetée par DeWailly R. basse S. Pierre no.4 au prix de 101 fl. [13]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Mer prise par un gros temps, où un vaisseau de haut bord est poussé vers un port qu'entourent de hautes montagnes ; sur le lieu le plus élevé, un grand arbre ; de petites roches, près desquelles les vagues viennent se briser, bordent les devants, où deux pêcheurs, l'un dans une barque, l'autre à terre, retirent un filet de l'eau. Tableau fin de touche et harmonieux de ton. (Vernet (Joseph))|Vue de Mer prise par un gros temps, où un vaisseau de haut bord est poussé vers un port qu'entourent de hautes montagnes ; sur le lieu le plus élevé, un grand arbre ; de petites roches, près desquelles les vagues viennent se briser, bordent les devants, où deux pêcheurs, l'un dans une barque, l'autre à terre, retirent un filet de l'eau. Tableau fin de touche et harmonieux de ton.]] réalisée par Vernet (Joseph), vendue par Mme De Forestier, achetée par Barbier au prix de 203 fl. [14]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Mer par un clair de lune : à la gauche du devant, au pied d'une longue chaîne de rochers et de montagnes, trois matelots et une femme entourent un feu au-dessus duquel une marmite est suspendue ; plus loin, un fort avec tourelle où est un fanal allumé ; derrière le fort, un aqueduc de quatre arches ; on aperçoit, dans le fond, un port ; la mer occupe le milieu ; à la droite, un vaisseau à trois mâts et une frégate ; et à l'horizon, divers bâtimens ; cinq pêcheurs occupés à retirer leur filet d'une barque, et un matelot couché et endormi, occupent le rivage qui borde le milieu et à droite du devant : d'heuteux contrastes, produits par la clarté de la lune et par celle des feux du fanal et de la cuisine des matelots, concourent à rendre ce Tableau d'un effet très-piquant. (Vernet (Joseph))|Vue de Mer par un clair de lune : à la gauche du devant, au pied d'une longue chaîne de rochers et de montagnes, trois matelots et une femme entourent un feu au-dessus duquel une marmite est suspendue ; plus loin, un fort avec tourelle où est un fanal allumé ; derrière le fort, un aqueduc de quatre arches ; on aperçoit, dans le fond, un port ; la mer occupe le milieu ; à la droite, un vaisseau à trois mâts et une frégate ; et à l'horizon, divers bâtimens ; cinq pêcheurs occupés à retirer leur filet d'une barque, et un matelot couché et endormi, occupent le rivage qui borde le milieu et à droite du devant : d'heuteux contrastes, produits par la clarté de la lune et par celle des feux du fanal et de la cuisine des matelots, concourent à rendre ce Tableau d'un effet très-piquant.]] réalisée par Vernet (Joseph), vendue par Mme De Forestier au prix de 1000 fl. [15]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de l'Anse d'un Port, éclairée par un soleil couchant : à la gauche, au bout d'une jetée, Joseph Vernet s'est représenté, accompagné de Mme. Chalgrin, sa fille, de M. Carle Vernet, son fils, et son épouse Mlle. Moreau ; derrière eux, un domestique tient un porte-feuille ; du côté opposé, une masse de rochers ouverte laisse voir une grande étendue ; sur le devant, six hommes tirent leur barque sur le galet, où trois femmes de pêcheurs sont assises ; en avant, un matelot couché et endormi ; et vers la gauche, un pêcheur, un échiquier sur l'épaule ; plus loin. un château fortifié ; une haute tour carrée où se place le fanal ; au-delà du Château, une grosse tour ronde ; et dans l'éloignement, des montagnes ; vers le milieu, un vaisseau de haut bord et des embarcations. Tableau riche de composition, et l'une des excellentes productions de Jos. Vernet. Ce Tableau et le suivant, peints en 1788, ont été exposés au salon du Louvre en 1789. (Vernet (Joseph))|Vue de l'Anse d'un Port, éclairée par un soleil couchant : à la gauche, au bout d'une jetée, Joseph Vernet s'est représenté, accompagné de Mme. Chalgrin, sa fille, de M. Carle Vernet, son fils, et son épouse Mlle. Moreau ; derrière eux, un domestique tient un porte-feuille ; du côté opposé, une masse de rochers ouverte laisse voir une grande étendue ; sur le devant, six hommes tirent leur barque sur le galet, où trois femmes de pêcheurs sont assises ; en avant, un matelot couché et endormi ; et vers la gauche, un pêcheur, un échiquier sur l'épaule ; plus loin. un château fortifié ; une haute tour carrée où se place le fanal ; au-delà du Château, une grosse tour ronde ; et dans l'éloignement, des montagnes ; vers le milieu, un vaisseau de haut bord et des embarcations. Tableau riche de composition, et l'une des excellentes productions de Jos. Vernet. Ce Tableau et le suivant, peints en 1788, ont été exposés au salon du Louvre en 1789.]] réalisée par Vernet (Joseph), vendue par Mme De Forestier au prix de 3000 fl. [16]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Mer, prise à l'instant d'une tempête : un vaisseaux frappé par la foudre est près de s'y briser sur des rochers qui occupent la gauche ; sur les rochers, des hommes échappés au naufrage ; l'un d'eux retient dans ses bras une femme près d'être de nouveau précipitée dans la mer par la force des vents ; au milieu, sur le devant, des matelots tirent avec un cable une portion de mât, seul moyen de salut qui paresse rester à quatre hommes qui s'y tiennent cramponés, et un autre matelot aide une femme à sortir de l'eau, dont les vagues vont se briser près d'une énorme masse de rochers qui occupe la droite ; on aperçoit, dans le fond, une ville et l'entrée d'un port : cette scène, rendue avec la poétique de l'art si heureusement employé par J. Vernet dans ce genre de composition, peut être regardée comme une des plus savantes conceptions de ce maître. Ce Tableau et le suivant, peints en 1788, ont été exposés au salon du Louvre en 1789. (Vernet (Joseph))|Vue de Mer, prise à l'instant d'une tempête : un vaisseaux frappé par la foudre est près de s'y briser sur des rochers qui occupent la gauche ; sur les rochers, des hommes échappés au naufrage ; l'un d'eux retient dans ses bras une femme près d'être de nouveau précipitée dans la mer par la force des vents ; au milieu, sur le devant, des matelots tirent avec un cable une portion de mât, seul moyen de salut qui paresse rester à quatre hommes qui s'y tiennent cramponés, et un autre matelot aide une femme à sortir de l'eau, dont les vagues vont se briser près d'une énorme masse de rochers qui occupe la droite ; on aperçoit, dans le fond, une ville et l'entrée d'un port : cette scène, rendue avec la poétique de l'art si heureusement employé par J. Vernet dans ce genre de composition, peut être regardée comme une des plus savantes conceptions de ce maître. Ce Tableau et le suivant, peints en 1788, ont été exposés au salon du Louvre en 1789.]] réalisée par Vernet (Joseph), vendue par Mme De Forestier au prix de 3000 fl. [17]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Mer par un temps calme : d'un côté deux bâtimens à voiles ; de l'autre, un vaisseau de haut bord ; on aperçoit dans l'éloignement, des embarcations et des côtes ; près du rivage, à la droite du devant, une balise et d'autres pieux. Tableau clair de ton, et d'une couleur transparente, dont les bâtimens sont dessinés avec précision, et les figures touchées avec esprit. (Velde (Willem))|Vue de Mer par un temps calme : d'un côté deux bâtimens à voiles ; de l'autre, un vaisseau de haut bord ; on aperçoit dans l'éloignement, des embarcations et des côtes ; près du rivage, à la droite du devant, une balise et d'autres pieux. Tableau clair de ton, et d'une couleur transparente, dont les bâtimens sont dessinés avec précision, et les figures touchées avec esprit.]] réalisée par Velde (Willem), vendue par Mme De Forestier, achetée par Regnault au prix de 127 fl. [18]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de Chambre : un paysan debout y joue à pair ou non avec deux fumeurs assis ; à droite, au fond, trois Hommes à côté d'une cheminée regardent deux villageois jouant aux cartes ; on remarque à gauche, à la porte, une servante : elle porte un plat ; du même côté, au bout d'un banc placé sur le devant, une cruche ; à droite, à terre, D. Teniers, F. Tableau harmonieux et chaux de ton, d'une couleur transparente et d'une touche très-spirituelle. (Teniers (David))|Intérieur de Chambre : un paysan debout y joue à pair ou non avec deux fumeurs assis ; à droite, au fond, trois Hommes à côté d'une cheminée regardent deux villageois jouant aux cartes ; on remarque à gauche, à la porte, une servante : elle porte un plat ; du même côté, au bout d'un banc placé sur le devant, une cruche ; à droite, à terre, D. Teniers, F. Tableau harmonieux et chaux de ton, d'une couleur transparente et d'une touche très-spirituelle.]] réalisée par Teniers (David), vendue par Mme De Forestier, achetée par Regnault au prix de 650 fl. [19]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'une Cour d'auberge : d'un côté, un cavalier recommande à l'hôtesse le soin de son cheval, dont son valet raccommode la selle ; de l'autre, un fumeur, la pipe à la main, et une jeune fille, un panier au bras, près d'un vieillard assis et d'un charretier agenouillé, qui se disposent à jouer aux des sur le cul d'un baquet ; derrière eux, un paysan boit à-même une cruche ; plus loin, une femme paraît se diriger vers la porte qui donne sur la campagne ; à gauche, à côté d'une espèce de tour, la maison de lauberge élevée sur une cave voûtée qui sert d'écurie ; près de l'entrée de la maison, deux femmes, une occupée à coudre, est assise sur le seuil de la porte ; du même côté, à un sac, le monogramme formé des lettres I.S. (Jean Steen) : ce Tableau, plein d'expression, et d'une touche facile, a malheureusement souffert en voyage, principalement sur la fabrique, dont partie a été enlevée à vif. (Steen (Jean))|Intérieur d'une Cour d'auberge : d'un côté, un cavalier recommande à l'hôtesse le soin de son cheval, dont son valet raccommode la selle ; de l'autre, un fumeur, la pipe à la main, et une jeune fille, un panier au bras, près d'un vieillard assis et d'un charretier agenouillé, qui se disposent à jouer aux des sur le cul d'un baquet ; derrière eux, un paysan boit à-même une cruche ; plus loin, une femme paraît se diriger vers la porte qui donne sur la campagne ; à gauche, à côté d'une espèce de tour, la maison de lauberge élevée sur une cave voûtée qui sert d'écurie ; près de l'entrée de la maison, deux femmes, une occupée à coudre, est assise sur le seuil de la porte ; du même côté, à un sac, le monogramme formé des lettres I.S. (Jean Steen) : ce Tableau, plein d'expression, et d'une touche facile, a malheureusement souffert en voyage, principalement sur la fabrique, dont partie a été enlevée à vif.]] réalisée par Steen (Jean), vendue par Mme De Forestier, achetée par Francillon R. d'Anjou S honoré au prix de 356 fl. [20]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Bataille livrée aux Infidèles par saint Louis : ce prince, l'épée à la main, charge et met en fuite plusieurs turcs, et se dirige, avec des guerriers qui l'accompagnent, vers le lieu où se passe l'action générale ; à droite, de hautes montagnes ; les défilés en sont occupés par des troupes : Tableau librement peint et touché avec sentiment. (Rosa (Salvatore))|Bataille livrée aux Infidèles par saint Louis : ce prince, l'épée à la main, charge et met en fuite plusieurs turcs, et se dirige, avec des guerriers qui l'accompagnent, vers le lieu où se passe l'action générale ; à droite, de hautes montagnes ; les défilés en sont occupés par des troupes : Tableau librement peint et touché avec sentiment.]] réalisée par Rosa (Salvatore), vendue par Mme De Forestier, achetée par [[Simon [...]]] au prix de 80 fl. [21]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une Campagne pendant l'hiver ; des bouviers et des boeufs y sont arrêtés près des vestiges d'un ancien monument ; du côté opposé, à peu de distance d'une baraque en paille, deux hommes près d'un feu ; au coin de la terrasse à droite, P.P. Roos, 1636. Tableau peint avec fermeté et très-vigoureux de ton. (Roos (P.P.))|Vue d'une Campagne pendant l'hiver ; des bouviers et des boeufs y sont arrêtés près des vestiges d'un ancien monument ; du côté opposé, à peu de distance d'une baraque en paille, deux hommes près d'un feu ; au coin de la terrasse à droite, P.P. Roos, 1636. Tableau peint avec fermeté et très-vigoureux de ton.]] réalisée par Roos (P.P.), vendue par Mme De Forestier, achetée par Regnault au prix de 70 fl. [22]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage où une villageoise parle à un homme assis, appuyé contre un monticule ; plus loin, trois femmes se baignent dans une rivière, sur laquelle est un pont de cinq arches en pierre ; à l'entrée et à la sortie du pont, d'anciennes fortifications destinees à en défendre le passage ; à gauche, au-delà d'un terrain couvert de bronssailles, un baigneur repasse sa chemise ; on aperçoit avec peine, près du pont, un berger et des animaux ; dans le fond, des montagnes. (Poelenburg (Corneille))|Paysage où une villageoise parle à un homme assis, appuyé contre un monticule ; plus loin, trois femmes se baignent dans une rivière, sur laquelle est un pont de cinq arches en pierre ; à l'entrée et à la sortie du pont, d'anciennes fortifications destinees à en défendre le passage ; à gauche, au-delà d'un terrain couvert de bronssailles, un baigneur repasse sa chemise ; on aperçoit avec peine, près du pont, un berger et des animaux ; dans le fond, des montagnes.]] réalisée par Poelenburg (Corneille), vendue par Mme De Forestier, achetée par Paillet au prix de 46 fl. [23]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Rencontre de Cavalerie dans de vastes pays coupés de rivières ; à la droite de la première de ces Compositions, un porte-étendard terrassé succombe sous les coups d'un cuirassier ; à la gauche de la seconde, derrière un piédestal où est un vase, un homme assis à terre et déjà dépouillé de ses vêtemens. Tableaux marqués F. Rubens, fecit. (Petit Rubens (F.))|Rencontre de Cavalerie dans de vastes pays coupés de rivières ; à la droite de la première de ces Compositions, un porte-étendard terrassé succombe sous les coups d'un cuirassier ; à la gauche de la seconde, derrière un piédestal où est un vase, un homme assis à terre et déjà dépouillé de ses vêtemens. Tableaux marqués F. Rubens, fecit.]] réalisée par Petit Rubens (F.), vendue par Mme De Forestier, achetée par Fabre au prix de 36.5 fl. [24]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte-Vierge vue de trois quarts et à mi-corps : sa chevelure est en partie couverte d'un voile, qui descend sur le haut de sa robe ; elle soutient de ses deux mains l'Enfant Jésus assis sur un coussin recouvert d'un linge ; le Sauveur, dont le regard est tourné vers le spectateur, porte sa main gauche sur la poitrine de la Sainte-Vierge. Tableau gracieux, d'une belle couleur et d'un pinceau facile ; sur le bord du linge, Pauly de Matthey, 1720. (Matthey (Pauly de))|La Sainte-Vierge vue de trois quarts et à mi-corps : sa chevelure est en partie couverte d'un voile, qui descend sur le haut de sa robe ; elle soutient de ses deux mains l'Enfant Jésus assis sur un coussin recouvert d'un linge ; le Sauveur, dont le regard est tourné vers le spectateur, porte sa main gauche sur la poitrine de la Sainte-Vierge. Tableau gracieux, d'une belle couleur et d'un pinceau facile ; sur le bord du linge, Pauly de Matthey, 1720.]] réalisée par Matthey (Pauly de), vendue par Mme De Forestier, achetée par Grignon au prix de 30 fl. [27]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Union paisible : la scène se passe dans un modeste réduit, où une femme assise unit la main de sa fille à celle d'un jeune garçon ; les amans semblent jurer sur ses genoux d'augmenter, par leur tendresse, sa félicité : ce Tableau a fait partie de l'exposition au salon du Louvre, en 1777 ; on en connaît l'estampe gravée par Hemery, sous le titre de la Promesse approuvée. (Lépicié (Nicolas-Bernard))|L'Union paisible : la scène se passe dans un modeste réduit, où une femme assise unit la main de sa fille à celle d'un jeune garçon ; les amans semblent jurer sur ses genoux d'augmenter, par leur tendresse, sa félicité : ce Tableau a fait partie de l'exposition au salon du Louvre, en 1777 ; on en connaît l'estampe gravée par Hemery, sous le titre de la Promesse approuvée.]] réalisée par Lépicié (Nicolas-Bernard), vendue par Mme De Forestier, achetée par Martin au prix de 250 fl. [28]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Princesse assise, soutenant un guerrier à demi couché à terre ; près d'eux des Génies aîlés traînent des lions ; plus loin, des hommes et un soldat enlèvent le corps d'une femme et celui d'un homme morts ; à gauche une Dame dans la douleur se cache la figure avec son voile ; sur les terrasses du palais où cette scène est représentée, des Spectateurs dont l'attitude semble indiquer la surprise. (Le Maire Poussin (J)|Princesse assise, soutenant un guerrier à demi couché à terre ; près d'eux des Génies aîlés traînent des lions ; plus loin, des hommes et un soldat enlèvent le corps d'une femme et celui d'un homme morts ; à gauche une Dame dans la douleur se cache la figure avec son voile ; sur les terrasses du palais où cette scène est représentée, des Spectateurs dont l'attitude semble indiquer la surprise.]] réalisée par Le Maire Poussin (J, vendue par Mme De Forestier, achetée par Souin R. Thevenot no.28 au prix de 35 fl. [29]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vénus arrivant chez Vulcain pour le prier de travailler aux armes d'Énée : la Déesse, accompagnée de l'Amour, et portée sur un nuage, a pénétré au fond du Mont-Etna, où le fils de Jupiter a établi ses forges ; elle est debout, à demi-voilée ; Vulcain l'écoute, la main posée sur un bouclier ; dans le fond, à droite, des Cyclopes s'occupent à forger les foudres de Jupiter ; à gauche, une ouverture à travers le Mont laisse voir une campagne dont le ciel est enflammé : Tableau correct de dessin et d'un bel effet. (Jouvenet (Jean))|Vénus arrivant chez Vulcain pour le prier de travailler aux armes d'Énée : la Déesse, accompagnée de l'Amour, et portée sur un nuage, a pénétré au fond du Mont-Etna, où le fils de Jupiter a établi ses forges ; elle est debout, à demi-voilée ; Vulcain l'écoute, la main posée sur un bouclier ; dans le fond, à droite, des Cyclopes s'occupent à forger les foudres de Jupiter ; à gauche, une ouverture à travers le Mont laisse voir une campagne dont le ciel est enflammé : Tableau correct de dessin et d'un bel effet.]] réalisée par Jouvenet (Jean), vendue par Mme De Forestier, achetée par Grignon au prix de 74 fl. [31]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Elévation en Croix : des bourreaux soutiennent la croix où ils viennent d'attacher le Sauveur, pendant que leurs camarades s'occupent à la placer en terre ; l'un des premiers la tire en avant avec une corde ; d'autres, placés derrière, la soulévent avec leurs épaules ou avec une échelle ; près de là, un cavalier tenant un drapeau marqué des lettres S.P.Q.R., paraît chargé de les surveiller ; plus loin, la Vierge, les Saintes-Femmes et Joseph d'Arimathie, livrés à la plus profonde douleur. Cette Composition, pleine de mouvement et d'un dessin correct, se distingue encore par l'intelligence du clair obscur que Jouvenet a su mettre dans ses ouvrages. (Jouvenet (Jean))|L'Elévation en Croix : des bourreaux soutiennent la croix où ils viennent d'attacher le Sauveur, pendant que leurs camarades s'occupent à la placer en terre ; l'un des premiers la tire en avant avec une corde ; d'autres, placés derrière, la soulévent avec leurs épaules ou avec une échelle ; près de là, un cavalier tenant un drapeau marqué des lettres S.P.Q.R., paraît chargé de les surveiller ; plus loin, la Vierge, les Saintes-Femmes et Joseph d'Arimathie, livrés à la plus profonde douleur. Cette Composition, pleine de mouvement et d'un dessin correct, se distingue encore par l'intelligence du clair obscur que Jouvenet a su mettre dans ses ouvrages.]] réalisée par Jouvenet (Jean), vendue par Mme de Forestier, achetée par Roux Rue de Braque au prix de 91 fl. [32]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage où coule une rivière : des jeunes filles s'y baignent, d'autres se reposent sur la rive ; le devant de la Composition est occupé par de grands arbres, et le fond par des vallons ; à l'horizon, des montagnes. Tableau dont les figures ont été peintes par Poelenburg. (Heus (Guillaume de))|Paysage où coule une rivière : des jeunes filles s'y baignent, d'autres se reposent sur la rive ; le devant de la Composition est occupé par de grands arbres, et le fond par des vallons ; à l'horizon, des montagnes. Tableau dont les figures ont été peintes par Poelenburg.]] réalisée par Heus (Guillaume de), vendue par Mme De Forestier, achetée par Jamard Place Vendome no.26 au prix de 130 fl. [33]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vaste Pays coupé de plaines et de montagnes ; la Meuse serpente à la droite ; un bouquet de grands arbres, entre lesquels coule un ruisseau, dont les eaux tombent en cascade vers la droite du devant, occupe le milieu de la Composition ; à gauche, un cavalier et une charrette arrêtés, et deux villageoises assises à terre ; plus loin, sur une route, des charriots. (Guesche (Pietre))|Vaste Pays coupé de plaines et de montagnes ; la Meuse serpente à la droite ; un bouquet de grands arbres, entre lesquels coule un ruisseau, dont les eaux tombent en cascade vers la droite du devant, occupe le milieu de la Composition ; à gauche, un cavalier et une charrette arrêtés, et deux villageoises assises à terre ; plus loin, sur une route, des charriots.]] réalisée par Guesche (Pietre), vendue par Mme De Forestier, achetée par Martin au prix de 78 fl. [34]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Enlèvement d'Hélène : Paris, aidé de ses soldats, porte la fille de Tyndare dans une barque abordée près du rivage ; les regards de la pricesse se portent encore vers un temple où les dieux reçurent ses premiers sermens ; des guerriers, restés sur la plage, protègent la fuite du ravisseur, dont les vaisseaux couvrent la mer. L'Enlèvement de Sabines : l'instant représente celui où la jeunesse romaine, au signal donné par Romulus, enlève les jeunes Sabines venues à Rome avec leurs parens pour assister à une fête donnée en l'honneur de Neptune Equestre,ou le Dieu des conseils ; les pères des filles enlevées, pleins de colère et de fureur, sortent de la ville en invoquant les dieux vengeurs, pendant que les jeunes filles font de vains efforts pour échapper à leurs ravisseurs ; des fabriques occupent les différens plans et les fonds de cette composition ; à terre, sur le devant, un voile et un bouclier : Tableaux moëlleux de touche, d'une couleur fraîche, et d'une exécution facile. (Giordano (Luca))|L'Enlèvement d'Hélène : Paris, aidé de ses soldats, porte la fille de Tyndare dans une barque abordée près du rivage ; les regards de la pricesse se portent encore vers un temple où les dieux reçurent ses premiers sermens ; des guerriers, restés sur la plage, protègent la fuite du ravisseur, dont les vaisseaux couvrent la mer. L'Enlèvement de Sabines : l'instant représente celui où la jeunesse romaine, au signal donné par Romulus, enlève les jeunes Sabines venues à Rome avec leurs parens pour assister à une fête donnée en l'honneur de Neptune Equestre,ou le Dieu des conseils ; les pères des filles enlevées, pleins de colère et de fureur, sortent de la ville en invoquant les dieux vengeurs, pendant que les jeunes filles font de vains efforts pour échapper à leurs ravisseurs ; des fabriques occupent les différens plans et les fonds de cette composition ; à terre, sur le devant, un voile et un bouclier : Tableaux moëlleux de touche, d'une couleur fraîche, et d'une exécution facile.]] réalisée par Giordano (Luca), vendue par Mme De Forestier, achetée par Grignon au prix de 72.5 fl. [37]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[David, vainqueur de Goliath : le héros, représenté debout, vu à mi-corps, tient d'une main sa fronde, et de l'autre l'épée du géant qu'il a terrassé ; sa toque est ornée de grandes plumes blanches, et son vêtement recouvert d'un large manteau garni de fourrure. Tableau touché avec fermeté, et d'une bonne couleur. (Genovese (Pietre))|David, vainqueur de Goliath : le héros, représenté debout, vu à mi-corps, tient d'une main sa fronde, et de l'autre l'épée du géant qu'il a terrassé ; sa toque est ornée de grandes plumes blanches, et son vêtement recouvert d'un large manteau garni de fourrure. Tableau touché avec fermeté, et d'une bonne couleur.]] réalisée par Genovese (Pietre), vendue par Mme De Forestier, achetée par [[Martin [...] R. Poissonière no.37]] au prix de 48 fl. [38]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point-de-Vue de Paysage pris au coucher du soleil : à la droite, une jeune femme à cheval, précédée d'un cheval de somme et de deux chiens, arrive au bord d'une large rivière ; elle semble attendre, pour la passer, un bac qu'on aperçoit dans l'éloignement, et vers lequel son regard est porté ; derrière elle, deux paysannes, des paquets sur la tête, parlent à un jeune garçon ; en avant, un berger en grand chapeau, et vêtu d'un gillet recouvert d'une peau de mouton : il tient un long bâton à la main ; du côté opposé, à peu de distance d'un grand rocher, des baigneurs ; plus loin, une île où sont des fabriques entourées d'arbres. Le vaste pays de la rive opposée présente des collines couvertes de bois et d'habitations champêtres au-delà des montagnes. Ce Tableau, dont le ciel est léger de faire, et d'un ton chaud et lumineux, a été peint en Italie par Du Jardin ; on y trouve la touche ferme qui caractérise ses premiers ouvrages. (Du Jardin (Carle))|Point-de-Vue de Paysage pris au coucher du soleil : à la droite, une jeune femme à cheval, précédée d'un cheval de somme et de deux chiens, arrive au bord d'une large rivière ; elle semble attendre, pour la passer, un bac qu'on aperçoit dans l'éloignement, et vers lequel son regard est porté ; derrière elle, deux paysannes, des paquets sur la tête, parlent à un jeune garçon ; en avant, un berger en grand chapeau, et vêtu d'un gillet recouvert d'une peau de mouton : il tient un long bâton à la main ; du côté opposé, à peu de distance d'un grand rocher, des baigneurs ; plus loin, une île où sont des fabriques entourées d'arbres. Le vaste pays de la rive opposée présente des collines couvertes de bois et d'habitations champêtres au-delà des montagnes. Ce Tableau, dont le ciel est léger de faire, et d'un ton chaud et lumineux, a été peint en Italie par Du Jardin ; on y trouve la touche ferme qui caractérise ses premiers ouvrages.]] réalisée par Du Jardin (Carle), vendue par Mme De Forestier, achetée par Auguste de Forestier au prix de 201 fl. [40]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un ancien Château, entouré d'une rivière dont les eaux viennent occuper la droite et partie du devant de la Composition ; un homme y conduit un bac, où sont des paysannes ; une jeune fille, montée sur un cheval ; deux vaches et des moutons ; derrière la jettée, en avant de la porte du château, on aperçoit les mâtures de plusieurs bâtimens à voiles ; et au-delà, vers le fond, un village . Tableau brillant et harmonieux de ton. (Demarne (Jean-Louis))|Vue d'un ancien Château, entouré d'une rivière dont les eaux viennent occuper la droite et partie du devant de la Composition ; un homme y conduit un bac, où sont des paysannes ; une jeune fille, montée sur un cheval ; deux vaches et des moutons ; derrière la jettée, en avant de la porte du château, on aperçoit les mâtures de plusieurs bâtimens à voiles ; et au-delà, vers le fond, un village . Tableau brillant et harmonieux de ton.]] réalisée par Demarne (Jean-Louis), vendue par Mme De Forestier, achetée par Paillet au prix de 125 fl. [41]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Bouvier, son bâton sous le bras : Il conduit un taureau et six vaches, et dirige la marche vers un village ; sur une des deux montagnes qui occupent le fond, un arbuste, des buissons et une haie en paille ; à droite, derrière le bouvier, un groupe de grands arbres, dont la cîme se détache sur un ciel chargé de nuages ; à la gauche du devant, de belles plantes. Ce Tableau, composé dans le goût de P. Potter, est peint avec facilité, et vigoureux de ton. (Clomp (Albert))|Un Bouvier, son bâton sous le bras : Il conduit un taureau et six vaches, et dirige la marche vers un village ; sur une des deux montagnes qui occupent le fond, un arbuste, des buissons et une haie en paille ; à droite, derrière le bouvier, un groupe de grands arbres, dont la cîme se détache sur un ciel chargé de nuages ; à la gauche du devant, de belles plantes. Ce Tableau, composé dans le goût de P. Potter, est peint avec facilité, et vigoureux de ton.]] réalisée par Clomp (Albert), vendue par Mme De Forestier, achetée par Regnault Delaland au prix de 121 fl. [42]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux Tableaux. L'un représente l'Entrée d'un Port où arrivent des bâtimens : sur le devant, de jeunes filles et un paysan sur un âne. L'autre offre l'Intérieur d'un Port ; on y voit des vaisseaux et diverses embarcations ; à gauche sur le devant, près d'un fort, des marchandes de poissons. (Cabel (Adrien Vander))|Deux Tableaux. L'un représente l'Entrée d'un Port où arrivent des bâtimens : sur le devant, de jeunes filles et un paysan sur un âne. L'autre offre l'Intérieur d'un Port ; on y voit des vaisseaux et diverses embarcations ; à gauche sur le devant, près d'un fort, des marchandes de poissons.]] réalisée par Cabel (Adrien Vander), vendue par Mme De Forestier, achetée par Paillet au prix de 61 fl. [44]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Passage de la Mer Rouge : l'instant représente celui où Moyse, après le passage du peuple d'Israël, fait rapprocher les armée vont être engloutis ; à la gauche, de hautes montagnes que gravissent les Israélites ; du côté opposé, Pharaon et ses soldats s'efforcent d'échapper aux flots qui viennent les submerger. (Bronzino (Agnolo))|Le Passage de la Mer Rouge : l'instant représente celui où Moyse, après le passage du peuple d'Israël, fait rapprocher les armée vont être engloutis ; à la gauche, de hautes montagnes que gravissent les Israélites ; du côté opposé, Pharaon et ses soldats s'efforcent d'échapper aux flots qui viennent les submerger.]] réalisée par Bronzino (Agnolo), vendue par Mme De Forestier, achetée par Simon R. du Faub. du Temple no.26 au prix de 91 fl. [45]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage occupé d'un côté par une rivière bordée d'habitations champêtres, de l'autre, par un grande étendue de pays ; sur le devant, un port, où des hommes s'occupent à divers travaux ; on y remarque, sur la rivière, des passagers dans un bateau prêt à partir, et plus loin, dans un autre bateau, des pâtres et des animaux. (Breughel (Jean))|Paysage occupé d'un côté par une rivière bordée d'habitations champêtres, de l'autre, par un grande étendue de pays ; sur le devant, un port, où des hommes s'occupent à divers travaux ; on y remarque, sur la rivière, des passagers dans un bateau prêt à partir, et plus loin, dans un autre bateau, des pâtres et des animaux.]] réalisée par Breughel (Jean), vendue par Mme De Forestier, achetée par Paillet au prix de 50.5 fl. [46]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une Campagne au coucher du soleil ; un jeune pâtre assis y garde trois vaches, deux sont couchées sur l'herbe ; une paysanne trait la troisième qui est debout ; du côté opposé, un petit garçon, un fouet à la main, fait avancer une chèvre qu'il tient avec une corde ; audelà de cette portion de terrain, qu'entoure une haie de paille, on aperçoit des bergers et des animaux ; dans le fond, d'un côté, une grande masse de rochers ; de l'autre, une vaste étendue de pays, et à l'horizon, des montagnes. A ce Tableau, que nous regardons comme une production de Jean Griffier, dans le goût de Berghem, ces mots N.C.Berghem fecit écrits sur une pierre. (Berghem (Signé N.))|Vue d'une Campagne au coucher du soleil ; un jeune pâtre assis y garde trois vaches, deux sont couchées sur l'herbe ; une paysanne trait la troisième qui est debout ; du côté opposé, un petit garçon, un fouet à la main, fait avancer une chèvre qu'il tient avec une corde ; audelà de cette portion de terrain, qu'entoure une haie de paille, on aperçoit des bergers et des animaux ; dans le fond, d'un côté, une grande masse de rochers ; de l'autre, une vaste étendue de pays, et à l'horizon, des montagnes. A ce Tableau, que nous regardons comme une production de Jean Griffier, dans le goût de Berghem, ces mots N.C.Berghem fecit écrits sur une pierre.]] réalisée par Berghem (Signé N.), vendue par Mme De Forestier, achetée par Paillet au prix de 108 fl. [47]
  • 1816.11.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une Campagne, où un fleuve serpente dans des vallées bordées de montagnes couronnées de fabriques : vers le milieu du devant, des femmes se reposent ; une d'elles arrange des fleurs dans une corbeille ; deux s'entretiennent, tandis qu'une quatrième, à demi-couchée sur les débris d'un bateau jeté sur le rivage, d'occupe d'un agneau qui est près d'elle : à droite, des vaches et des moutons près d'un grand arbre ; du côté opposé, sur la rivière, un homme dans une barque. Cette Composition rappelle les belles et ingénieuses inventions du Poussin, qu'Allegrain semble s'être proposé pour modèle. (Allegrain (Gabriel))|Vue d'une Campagne, où un fleuve serpente dans des vallées bordées de montagnes couronnées de fabriques : vers le milieu du devant, des femmes se reposent ; une d'elles arrange des fleurs dans une corbeille ; deux s'entretiennent, tandis qu'une quatrième, à demi-couchée sur les débris d'un bateau jeté sur le rivage, d'occupe d'un agneau qui est près d'elle : à droite, des vaches et des moutons près d'un grand arbre ; du côté opposé, sur la rivière, un homme dans une barque. Cette Composition rappelle les belles et ingénieuses inventions du Poussin, qu'Allegrain semble s'être proposé pour modèle.]] réalisée par Allegrain (Gabriel), vendue par Mme De Forestier, achetée par Regnault Laland au prix de 106 fl. [50]