Ventes d'œuvres le 1817.02.10
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- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Très-belle copie d'après Rubens ; elle représente l'Enfant-Jésus caressant l'agneau du petit Saint-Jean. réalisée par Rubens, vendue par Clisorius au prix de 22 fl. [1]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un tableau représentant un jeune homme caressant une jeune femme. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Clisorius au prix de 8.6 fl. [2]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux, dont une tête de femme, par Ottorenius. réalisée par Ottorenius, vendue par Clisorius au prix de 8.6 fl. [3]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux, dont une copie d'après Rubens. réalisée par Rubens, vendue par Clisorius au prix de 8.6 fl. [4]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux esquisses représentant des chocs de cavalerie. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Clisorius au prix de 10.5 fl. [5]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux, dont une copie d'après G. Douw, et un paysage genre de Brandt. réalisée par Brandt, vendue par Clisorius au prix de 10 5 fl. [6]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux tableaux, dont une copie d'après G. Douw, et un paysage genre de Brandt. réalisée par G. Douw, vendue par Clisorius au prix de 10 5 fl. [7]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet allégorique. D'un côté sont réunis en un groupe, plusieurs femmes et un jeune homme, figurant les plaisirs du jeu, de l'amour, et autres ; du côté opposé sont représentées l'étude, la science, etc. ; entre ces groupes est un génie descendant du ciel, et tenant de la main droite une couronne de laurier, de la gauche, une discipline : emblêmes des récompenses et des châtimens dus aux hommes, à saison du bon ou mauvais emploi qu'ils font de leur tems. Cet ouvrage tient à la manière de Vanbalen. (Vanbalen)|Sujet allégorique. D'un côté sont réunis en un groupe, plusieurs femmes et un jeune homme, figurant les plaisirs du jeu, de l'amour, et autres ; du côté opposé sont représentées l'étude, la science, etc. ; entre ces groupes est un génie descendant du ciel, et tenant de la main droite une couronne de laurier, de la gauche, une discipline : emblêmes des récompenses et des châtimens dus aux hommes, à saison du bon ou mauvais emploi qu'ils font de leur tems. Cet ouvrage tient à la manière de Vanbalen.]] réalisée par Vanbalen, vendue par Clisorius, achetée par Descat au prix de 17.95 fl. [8]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vénus accompagnée de l'Amour. La déesse est couchée et endormie. Bonne copie d'après un tableau de Titien. réalisée par Titien, vendue par Clisorius au prix de 39.1 fl. [9]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'un chemin souterrain où passent des voyageurs ; d'autres gens s'y amusent à jouer. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Clisorius, achetée par Herbé au prix de 6 fl. [10]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Tête d'étude. réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par Clisorius, achetée par Herbé au prix de 6 fl. [11]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint-Pierre à genoux sur les marches d'un temple ; riche composition, par un élève de S. Vonet. réalisée par S. Vonet, vendue par Clisorius au prix de 20 fl. [12]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La mélancolie, figure représentée sur le devant d'un paysage, par Benedette de Castiglione. réalisée par Benedette de Castiglione, vendue par Clisorius au prix de 5 fl. [13]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Saint-François méditant sur la mort, demi-figure, par Salvator Rosa. réalisée par Salvator Rosa, vendue par Clisorius, achetée par Descat au prix de 24 fl. [14]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Allégorie. Minerve protège la terre des fureurs de Mars. La terre est figurée par une femme allaitant un enfant ; ouvrage de Tyssens, dans l'école de Vandyck. réalisée par Tyssens, vendue par Clisorius au prix de 40 fl. [15]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue prise sur le bord de la mer, dans le voisinage d'un port. Tout près du rivage, sur un roc isolé, s'élève un phare qui se détache en forte demiteinte sur un ciel brûlant. A droite est une forteresse, et plus loin une côte, au pied de laquelle on voit des vaisseaux en construction. Du côté gauche, d'autres vaisseaux voguent en pleine mer. Sur le devant sont des pêcheurs et autres personnages. La fermeté qu'on rémarque dans l'exécution de ce tableau, s'accorde assez contractée en Italie. (Vernet (Joseph))|Vue prise sur le bord de la mer, dans le voisinage d'un port. Tout près du rivage, sur un roc isolé, s'élève un phare qui se détache en forte demiteinte sur un ciel brûlant. A droite est une forteresse, et plus loin une côte, au pied de laquelle on voit des vaisseaux en construction. Du côté gauche, d'autres vaisseaux voguent en pleine mer. Sur le devant sont des pêcheurs et autres personnages. La fermeté qu'on rémarque dans l'exécution de ce tableau, s'accorde assez contractée en Italie.]] réalisée par Vernet (Joseph), vendue par Clisorius, achetée par Michalon au prix de 202 fl. [16]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'un port de mer. Elle offre, sur le premier plan, divers monumens de sculpture et d'architecture. réalisée par Veenix (genre de J.-B.), vendue par Clisorius au prix de 36 fl. [17]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus chez Marthe et Marie, est accompagné de plusieurs de ses disciples qui sont debout derrière lui. C'est le moment où il dit à Marche, qui se plaint de ce que sa soeur ne la seconde pas dans son travail : Vous avez tort de vous inquiéter ; Marie a choisi la meilleure place. Voici encore un tableau que feu M. Clisorius éstimait singulièrement, et à l'égard duquel son opinion, fortifiée par un long examen, n'a jamais varié. Nous n'en sommes point tout-à-fait surpris ; une peinture qui rappelle la sagesse des compositions de le Sueur, la noble simplicité de ses figures, le sublime de ses sujets, ne peut que nous pénétrer d'une continuelle admiration. (Sueur (Eustache le))|Jésus chez Marthe et Marie, est accompagné de plusieurs de ses disciples qui sont debout derrière lui. C'est le moment où il dit à Marche, qui se plaint de ce que sa soeur ne la seconde pas dans son travail : Vous avez tort de vous inquiéter ; Marie a choisi la meilleure place. Voici encore un tableau que feu M. Clisorius éstimait singulièrement, et à l'égard duquel son opinion, fortifiée par un long examen, n'a jamais varié. Nous n'en sommes point tout-à-fait surpris ; une peinture qui rappelle la sagesse des compositions de le Sueur, la noble simplicité de ses figures, le sublime de ses sujets, ne peut que nous pénétrer d'une continuelle admiration.]] réalisée par Sueur (Eustache le), vendue par Clisorius au prix de 169 fl. [18]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une jeune femme, malade et chaudement enveloppée, est assise dans son ménage, et se fait tâter le pouls par un vieux médecin. Cet ouvrage, à l'imitation de ceux de Brakenburg, est moëlleusement peint et d'un bon effet. réalisée par Schendel (Bernard), vendue par Clisorius au prix de 53.5 fl. [19]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieillard, les lunettes sur le nez, joue aux cartes avec une jeune et jolie femme qui paraît satisfaite du jeu qu'elle a en main. Avec eux est un enfant qui s'amuse à lire, et une servante qui présente un verre de vin à sa maîtresse. Ce charmant tableau, éclairé de la lumière d'une bougie, a tout le piquant des bon ouvrages de G. Schalken. (M. Senave)|Un vieillard, les lunettes sur le nez, joue aux cartes avec une jeune et jolie femme qui paraît satisfaite du jeu qu'elle a en main. Avec eux est un enfant qui s'amuse à lire, et une servante qui présente un verre de vin à sa maîtresse. Ce charmant tableau, éclairé de la lumière d'une bougie, a tout le piquant des bon ouvrages de G. Schalken.]] réalisée par M. Senave, vendue par Clisorius, achetée par Michalon au prix de 142 fl. [20]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une levrette garde du gibier suspendu à un arbre et posé à terre, sur le devant d'un paysage. Le peintre, pour enrichir son tableau, y a représenté une statue de pierre sur un piédestal sculpté. réalisée par Risbraek (Jean), vendue par Clisorius, achetée par Herbé au prix de 115.5 fl. [21]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un torrent roule avec impetuosité à travers une vaste campagne, et entraine avec lui hommes, arbres et animaux. Cependant Philemon et Baucis se prosternent devant Jupiter, et lui rendent grâce de les avoir sauvés de cette dévastation. Bolswert a gravé ce paysage. (Rubens (d'après))|Un torrent roule avec impetuosité à travers une vaste campagne, et entraine avec lui hommes, arbres et animaux. Cependant Philemon et Baucis se prosternent devant Jupiter, et lui rendent grâce de les avoir sauvés de cette dévastation. Bolswert a gravé ce paysage.]] réalisée par Rubens (d'après), vendue par Clisorius au prix de 48 fl. [22]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Petite étude d'après un des groupes de figures qui sont dans le tableau dit la Transfiguration. réalisée par Raphael. (d'après), vendue par Clisorius au prix de 18 fl. [23]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un jeune garçon conduisant un cheval gris par la bride ; plus loin, deux cavaliers courant au grand galop. C'est par erreur que ce petit tableau a été gravé sous le nom de Casanove. réalisée par Querfurt, vendue par Clisorius au prix de 4 fl. [24]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Ce tableau, les délices de feu M. Clisorius, nous offre une jeune femme nonchalamment accoudée sur le bord d'une table, tenant à la main un papier de musique, et vêtue d'une robe de satin blanc, avec corsage rouge. réalisée par Neer (eglon Vander), vendue par Clisorius au prix de 106 fl. [25]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage. Sur le devant est une rivière que franchissent deux cerfs poursuivis par des chasseurs accompagnés de chiens. Ce tableau est le meilleur que nous ayons vu de la main d'Ocker. Il est composé dans le genre de Moucheron. réalisée par Ocker (A.), vendue par Clisorius, achetée par Herbé au prix de 58.5 fl. [26]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux tableaux sur cuivre : le Printems et l'Automne ; sujets allégoriquement figurés, l'un par des enfans enchaînant un cygne avec une guirlande de fleurs ; le second, par d'autres enfants remplissant un vase et jouant avec un bouc et un tambour. (Natoire (Charles))|Deux tableaux sur cuivre : le Printems et l'Automne ; sujets allégoriquement figurés, l'un par des enfans enchaînant un cygne avec une guirlande de fleurs ; le second, par d'autres enfants remplissant un vase et jouant avec un bouc et un tambour.]] réalisée par Natoire (Charles), vendue par Clisorius au prix de 36 fl. [27]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage montagneux coupé par une rivière. réalisée par Monper, vendue par Clisorius au prix de 4.5 fl. [28]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de la ville et du port d'Anvers (Antuerpia), prise de la rive gauche de l'Escaut. réalisée par Monper, vendue par Clisorius au prix de 30 fl. [29]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue de Cologne (Colonia Agrippina), prise de la rive droite du Rhin. réalisée par Monper, vendue par Clisorius au prix de 30 fl. [30]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Bacchanale. Deux femmes sont endormies, l'une étendue sur un lit, l'autre assise et appuyée sur un grand vase ; une troisème tient un tambour ; une quatrième verse du vin à un jeune homme qui la presse dans ses bras. réalisée par Lairesse (Jean de), vendue par Clisorius, achetée par Herbé au prix de 80.5 fl. [31]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Près d'une chaumière entourée d'une haie de paille et située sur le bord d'un chemin, une pauvre villageoise file sa quenouille, tandis qu'un jeune garçon demande l'aumône à un cavalier. Ce tableau serait-il, comme le pensait feu M. Clisorius, le premier motif de celui qu'on voit au Musée ? La seule circonstance qui milite en faveur de cette opinion, c'est la différence de faire qui règne entre ces deux tableaux. Dans celui du Musée royal, l'exécution se ressent du bon tems de K. du Jardin, tandis que dans celui dont il s'agit ici, elle rappelle sa première manière. (Jardin (Karel du))|Près d'une chaumière entourée d'une haie de paille et située sur le bord d'un chemin, une pauvre villageoise file sa quenouille, tandis qu'un jeune garçon demande l'aumône à un cavalier. Ce tableau serait-il, comme le pensait feu M. Clisorius, le premier motif de celui qu'on voit au Musée ? La seule circonstance qui milite en faveur de cette opinion, c'est la différence de faire qui règne entre ces deux tableaux. Dans celui du Musée royal, l'exécution se ressent du bon tems de K. du Jardin, tandis que dans celui dont il s'agit ici, elle rappelle sa première manière.]] réalisée par Jardin (Karel du), vendue par Clisorius, achetée par Henri au prix de 136 fl. [32]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Déposition de Croix. Le corps de Jésus étendu, par terre et soutenu par la Vierge Marie, est l'objet des regrets de plusieurs saints personnages qui viennent lui rendre les derniers devoirs. Cette peinture convient particulièrement à une chapelle. (Jordaens (Jacques))|Déposition de Croix. Le corps de Jésus étendu, par terre et soutenu par la Vierge Marie, est l'objet des regrets de plusieurs saints personnages qui viennent lui rendre les derniers devoirs. Cette peinture convient particulièrement à une chapelle.]] réalisée par Jordaens (Jacques), vendue par Clisorius au prix de 40 fl. [33]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus, lié et tenant un roseau dans une de ses mains, est ignominieusement outragé par ses bourreaux. Ce tableau, qui entre dans la classe des morceaux d'expression, est composé de trois figures à mi-corps et de grandeur naturelle. Il mérite une place dans les hauts d'un cabinet ou d'une galerie. (Josepin (Joseph-Cesari d'Arpino dit))|Jésus, lié et tenant un roseau dans une de ses mains, est ignominieusement outragé par ses bourreaux. Ce tableau, qui entre dans la classe des morceaux d'expression, est composé de trois figures à mi-corps et de grandeur naturelle. Il mérite une place dans les hauts d'un cabinet ou d'une galerie.]] réalisée par Josepin (Joseph-Cesari d'Arpino dit), vendue par Clisorius au prix de 25 fl. [34]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'Enfant Jésus présente une fleur à sa mère, près de laquelle il est assis. Ces deux figures, de grandeur naturelle, sont sur le devant d'un paysage orné de débris d'architecture. réalisée par Hire. (Laurens de la), vendue par Clisorius au prix de 78 fl. [35]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme L'éducation de l'Amour : Mercure, assis à la droite de Vénus, trace des caractères sur une tablette que lui présente Cupidon. La déesse, une coupe à la main, est près d'une table servie de plusieurs mets. réalisée par Goltius (Henri), vendue par Clisorius, achetée par Herbé au prix de 23.5 fl. [36]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une corbeille de fruits et plusieurs sortes de gibier. réalisée par Fyt (Jean), vendue par Clisorius au prix de 20 fl. [37]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'infortune Priam, après avoir eu la douleur de voir mourir tous ses enfans par le fer des Grecs, est à son tour victime de leur rage, et succombe près de l'autel où il s'était réfugié, sous les coups que lui porte Pyrrhus. Ce sujet est traité dans le style de G. Lairesse. On lit, au bas du tableau : O. Elliger, 1692. (Elliger (O.))|L'infortune Priam, après avoir eu la douleur de voir mourir tous ses enfans par le fer des Grecs, est à son tour victime de leur rage, et succombe près de l'autel où il s'était réfugié, sous les coups que lui porte Pyrrhus. Ce sujet est traité dans le style de G. Lairesse. On lit, au bas du tableau : O. Elliger, 1692.]] réalisée par Elliger (O.), vendue par Clisorius, achetée par Herbé au prix de 15.5 fl. [38]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme assise, appuye sa tête sur une de ses mains, et tient de l'autre un compas. Près d'elle sont différens accessoires symboliques. Albert Durer a gravé ce sujet. Son estampe appelée la Mélancolie, et connue de tout le monde, était regardée par Vasari comme une pièce incomparable. La longue persévérance avec laquelle feu M. Clisorius a conservé ce tableau, le grand prix qu'il en a toujours demandé, sont deux témoignages de la haute opinion qu'il en avait conçue. Nous ne nous permettrons point de reviser le jugement de M. Clisorius, qui, comme nous l'avons dit, passait déjà pour maître dans la connaissance des tableaux, que nous n'y étions encore qu'écolier. (Durer (Albert))|Une femme assise, appuye sa tête sur une de ses mains, et tient de l'autre un compas. Près d'elle sont différens accessoires symboliques. Albert Durer a gravé ce sujet. Son estampe appelée la Mélancolie, et connue de tout le monde, était regardée par Vasari comme une pièce incomparable. La longue persévérance avec laquelle feu M. Clisorius a conservé ce tableau, le grand prix qu'il en a toujours demandé, sont deux témoignages de la haute opinion qu'il en avait conçue. Nous ne nous permettrons point de reviser le jugement de M. Clisorius, qui, comme nous l'avons dit, passait déjà pour maître dans la connaissance des tableaux, que nous n'y étions encore qu'écolier.]] réalisée par Durer (Albert), vendue par Clisorius au prix de 200 fl. [39]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une jeune fille se dispose à allumer la pipe d'un vieux soldat qui lui fait la cour. réalisée par Duchatel (genre de), vendue par Clisorius au prix de 15 fl. [40]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Plusieurs barques vont à la voile sur un bras de mer dont les eaux sont agitées par un vent frais. A l'horison paraît une ville dominée par un clocher. Le ciel indique un tems de pluie. réalisée par De Vliger (Simon.), vendue par Clisorius au prix de 23.5 fl. [41]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une chatte, renversée avec deux de ses petits sous les pattes d'un chien, présente les griffes à son, redoutable ennemi. On voit par terre les morceaux d'un plat qu'elle fait tomber de dessus une table, en voulant dérober un morceau de viande. Plusieurs autres détails enrichissent cette composition. (Desportes)|Une chatte, renversée avec deux de ses petits sous les pattes d'un chien, présente les griffes à son, redoutable ennemi. On voit par terre les morceaux d'un plat qu'elle fait tomber de dessus une table, en voulant dérober un morceau de viande. Plusieurs autres détails enrichissent cette composition.]] réalisée par Desportes, vendue par Clisorius, achetée par Bourgeois au prix de 90.5 fl. [42]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un site aride et couvert de dunes. On y remarque principalement une vieille tour et un bouquet d'arbres, près desquels sont arrêtés trois villageois qui font la conversation. Le beau talent de Cuyp se manifeste dans toutes les parties de ce paysage. La touche y est vive et variée, la couleur bien dégravée, le ciel lumineux et d'une étonnante profondeur ; un pareil tableau ne peut qu'être goûté par les connaisseurs. (Cuyp (Albert.))|Vue d'un site aride et couvert de dunes. On y remarque principalement une vieille tour et un bouquet d'arbres, près desquels sont arrêtés trois villageois qui font la conversation. Le beau talent de Cuyp se manifeste dans toutes les parties de ce paysage. La touche y est vive et variée, la couleur bien dégravée, le ciel lumineux et d'une étonnante profondeur ; un pareil tableau ne peut qu'être goûté par les connaisseurs.]] réalisée par Cuyp (Albert.), vendue par Clisorius, achetée par Henri au prix de 160 fl. [43]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trois vaches, un cheval, plusieurs chèvres et moutons, se reposent sur le devant d'un pâturage, bordé par un chemin ; plus loin, sur une émienece, un homme causant avec une femme ; et à peu de distance d'eux, un cavalier descend une côte. (Cuyp (Jacques Gerrits))|Trois vaches, un cheval, plusieurs chèvres et moutons, se reposent sur le devant d'un pâturage, bordé par un chemin ; plus loin, sur une émienece, un homme causant avec une femme ; et à peu de distance d'eux, un cavalier descend une côte.]] réalisée par Cuyp (Jacques Gerrits), vendue par Clisorius au prix de 32.5 fl. [44]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus dans le temple, au milieu des Docteurs, les étonne par la sagesse de ses paroles. L'architecture du temple est d'ordre gothique. Un semblable tableau est une rareté, s'il est vrai, comme le dit Descamps, que D. Coninc ait habituellement peint du gibier et des sujets de nature morte. (Coninc (D) 1636)|Jésus dans le temple, au milieu des Docteurs, les étonne par la sagesse de ses paroles. L'architecture du temple est d'ordre gothique. Un semblable tableau est une rareté, s'il est vrai, comme le dit Descamps, que D. Coninc ait habituellement peint du gibier et des sujets de nature morte.]] réalisée par Coninc (D) 1636, vendue par Clisorius, achetée par Michalon au prix de 76 fl. [45]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Combat de cavaliers. Plusieurs ont déjà reçu la mort, les autres la bravent avec intrépidité. Bourguignon n'a rien produit de plus parfait que cet ouvrage. réalisée par Bourguignon (Jacques Courtois, dit Le), vendue par Clisorius au prix de 125 fl. [46]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Didon, sur un bûcher enflammé, met un terme à ses peintes, et par cet acte de désespoir, répand le deuil parmi toutes les personnes de sa cour. On voit dans le fond du tableau, une partie des murs et du port de Carthage. réalisée par Bibiena (Ferdinand Galli), vendue par Clisorius au prix de 15.1 fl. [47]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un renard tenant un coq renversé sous ses pates, jette l'effroi dans une basse-cour. réalisée par Boel (Piere), vendue par Clisorius au prix de 26 fl. [48]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Jugement dernier. L'Eternel apparaît sur des nuages, entouré des signes de l'Apocalypse ; à sa droite, est la Vierge Marie, accompagnée de plusieurs autres saintes femmes ; à sa gauche sont les prophètes ; et sous ses pieds, des anges qui reveillent les morts, au son de leurs terribles trompettes. Dans la partie intérieure de la composition, sont, d'un côté, les élus sous la sauve-garde de la Religion et de la Charité, de l'autre, les réprouvés, dont s'emparent les démons. (Backer (Jacques de))|Le Jugement dernier. L'Eternel apparaît sur des nuages, entouré des signes de l'Apocalypse ; à sa droite, est la Vierge Marie, accompagnée de plusieurs autres saintes femmes ; à sa gauche sont les prophètes ; et sous ses pieds, des anges qui reveillent les morts, au son de leurs terribles trompettes. Dans la partie intérieure de la composition, sont, d'un côté, les élus sous la sauve-garde de la Religion et de la Charité, de l'autre, les réprouvés, dont s'emparent les démons.]] réalisée par Backer (Jacques de), vendue par Clisorius au prix de 231 fl. [49]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre paysage d'une teinte vigoureuse. réalisée par Artois (Jacques Van), vendue par Clisorius au prix de 11.5 fl. [50]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Grand paysage largement touché. Il est orné de figures par Schovaert. réalisée par Artois (Jacques Van), vendue par Clisorius au prix de 14 fl. [51]
- 1817.02.10/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un chimiste dans son laboratoire, tient un vase de terre entre ses mains, et s'approche d'un fourneau, tandis que deux garçons travaillant sur une table, à quelque préparation chimique. Abshoven est regardé comme le meilleur élève de D. Téniers ; et le tableau que nous voyon ici, appuye fortement cette opinion. (Abshoven)|Un chimiste dans son laboratoire, tient un vase de terre entre ses mains, et s'approche d'un fourneau, tandis que deux garçons travaillant sur une table, à quelque préparation chimique. Abshoven est regardé comme le meilleur élève de D. Téniers ; et le tableau que nous voyon ici, appuye fortement cette opinion.]] réalisée par Abshoven, vendue par Clisorius au prix de 75 fl. [52]