Ventes d'œuvres le 1817.03.25

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  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'une forêt ; on y voit un pélerin à genoux, que des brigands sont prêts a assassiner, mais qui sont effrayés à l'aspect d'un rayon de lumière, d'où tombent des fleurs sur la tête de leur victime. Ce sujet, de caractère et d'un beau coloris, est composé de cinq figures, proportion de demi-nature, attribuées à P. Rubens. (Van-Hart)|Intérieur d'une forêt ; on y voit un pélerin à genoux, que des brigands sont prêts a assassiner, mais qui sont effrayés à l'aspect d'un rayon de lumière, d'où tombent des fleurs sur la tête de leur victime. Ce sujet, de caractère et d'un beau coloris, est composé de cinq figures, proportion de demi-nature, attribuées à P. Rubens.]] réalisée par Van-Hart, vendue par Vautier au prix de 50.5 fl. [12]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enlèvement de Déjanire par le centaure Nessus. Ce beau tableau, dant les figures ont quatre pieds de proportion, ornait autrefois le château de Versailles, où il était regardé comme une des productions les plus recommandables de son auteur. (Carle Van-Loo)|L'enlèvement de Déjanire par le centaure Nessus. Ce beau tableau, dant les figures ont quatre pieds de proportion, ornait autrefois le château de Versailles, où il était regardé comme une des productions les plus recommandables de son auteur.]] réalisée par Carle Van-Loo, vendue par Vautier, achetée par Bourgeois au prix de 50.5 fl. [13]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de la présentation au temple ; composition capitale de dix-sept figures, grandeur de nature, qui se détachent sur un riche fond d'architecture. Ce tableau, qui a fait long-tems l'ornement d'une de nos église de Paris, est cité, dans le Voyage pittoresque de Watelet, comme un des beaux ouvrages de cet habile peintre. (Eustache Lesueur)|Le sujet de la présentation au temple ; composition capitale de dix-sept figures, grandeur de nature, qui se détachent sur un riche fond d'architecture. Ce tableau, qui a fait long-tems l'ornement d'une de nos église de Paris, est cité, dans le Voyage pittoresque de Watelet, comme un des beaux ouvrages de cet habile peintre.]] réalisée par Eustache Lesueur, vendue par Vautier, achetée par Rocconi au prix de 85 fl. [14]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quatre tableaux, peints sur bois, offrant des figures allégoriques de quinze pouces de proportion. Ils proviennent de la maison de Gabrielle d'Estrées, où il y en avait douze, qui ont été gravés, et dont les estampes sont très-rares. (Rosso, dit maître Roux)|Quatre tableaux, peints sur bois, offrant des figures allégoriques de quinze pouces de proportion. Ils proviennent de la maison de Gabrielle d'Estrées, où il y en avait douze, qui ont été gravés, et dont les estampes sont très-rares.]] réalisée par Rosso, dit maître Roux, vendue par Vautier, achetée par Rocconi au prix de 131 fl. [33]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait de la femme de Louis XIV, représentée de grandeur naturelle, avec les attributs de Minerve, dans un beau fond de paysage, et assise auprès d'un temple, que deux génies décorent de guirlandes. Tableau, regardé à juste titre, comme une des belles productions de cet artiste. (Simon Vouet)|Le portrait de la femme de Louis XIV, représentée de grandeur naturelle, avec les attributs de Minerve, dans un beau fond de paysage, et assise auprès d'un temple, que deux génies décorent de guirlandes. Tableau, regardé à juste titre, comme une des belles productions de cet artiste.]] réalisée par Simon Vouet, vendue par Vautier au prix de 40 fl. [37]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue de mer dont les vagues éclairées par les effets du soleil viennent se briser sur la plage, où deux hommes qui paraissent s'entretenir, enrichissent le premier plan. A la gauche du spectateur s'élève un rocher surmonté de tours et fabriques, et en opposition à cette partie est une masse de terre garnie d'arbres et d'arbustes ; de distance en distance et sur des plans différens on aperçoit plusieurs vaisseaux légérement soulevés par les vagues. Un ciel chargé de beaux nuages est éclairé par un soleil brillant, qui s'élevant un peu au-dessus de l'horison, répand un ton doré sur tout ce qui l'entoure. Nous n'avon point la prétention de croire ce tableau supérieur à ceux qui font partie de la collection du Roi, mais il est d'une très-belle qualité. Ce que nous pouvons dire de plus favorable après son mérite évident, c'est que tous ceux des amateurs et spéculateurs qui l'ont vu en on désiré la possession. (Claude le Lorrain)|Point de vue de mer dont les vagues éclairées par les effets du soleil viennent se briser sur la plage, où deux hommes qui paraissent s'entretenir, enrichissent le premier plan. A la gauche du spectateur s'élève un rocher surmonté de tours et fabriques, et en opposition à cette partie est une masse de terre garnie d'arbres et d'arbustes ; de distance en distance et sur des plans différens on aperçoit plusieurs vaisseaux légérement soulevés par les vagues. Un ciel chargé de beaux nuages est éclairé par un soleil brillant, qui s'élevant un peu au-dessus de l'horison, répand un ton doré sur tout ce qui l'entoure. Nous n'avon point la prétention de croire ce tableau supérieur à ceux qui font partie de la collection du Roi, mais il est d'une très-belle qualité. Ce que nous pouvons dire de plus favorable après son mérite évident, c'est que tous ceux des amateurs et spéculateurs qui l'ont vu en on désiré la possession.]] réalisée par Claude le Lorrain, vendue par Gout au prix de 5000 fl. [56]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Incendie de Moscou. Ce tableau, du plus grand effet et de la plus belle couleur, représente la ville de Moscou au moment où le gouverneur russe vient d'y faire mettre le feu ; les flammes qui ont fait des progrès effrayans dans une ville bâtie en bois, ont déjà réduit en cendres une grande quantité de maisons et contraignent les habitans à chercher un refuge dans des bateaux où ils entassent pêlemêle leurs familles et les effets qu'ils ont pu dérober à l'incendie ; sur le devant, au milieu des ruines, quelques Mongiques s'abreuvent à longs traits de liqueurs fortes qu'on leur a distribuées, et la torche à la main, s'apprêtent à embrâser de nouveau tout ce qu'auraient épargné les flammes. Le Kremlin, seul édifice qu'on ait respecté, élève dans les airs ses minarets majestueux empreints de la couleur locale du tableau. L'auteur, plein de cet enthousiasme qui distingue le véritable artiste, s'occupait à dessiner ce terrible spectacle tandis qu'un cabinet de tableaux de la plus grande beauté et sa maison entière étaient la proie de l'incendie : semblable en cette occasion au célèbre Vernet, qui pour saisir la vérité dans les effets de mer, se faisait attacher au mat d'un vaisseau battu par la tempête. (M. Varennes)|Incendie de Moscou. Ce tableau, du plus grand effet et de la plus belle couleur, représente la ville de Moscou au moment où le gouverneur russe vient d'y faire mettre le feu ; les flammes qui ont fait des progrès effrayans dans une ville bâtie en bois, ont déjà réduit en cendres une grande quantité de maisons et contraignent les habitans à chercher un refuge dans des bateaux où ils entassent pêlemêle leurs familles et les effets qu'ils ont pu dérober à l'incendie ; sur le devant, au milieu des ruines, quelques Mongiques s'abreuvent à longs traits de liqueurs fortes qu'on leur a distribuées, et la torche à la main, s'apprêtent à embrâser de nouveau tout ce qu'auraient épargné les flammes. Le Kremlin, seul édifice qu'on ait respecté, élève dans les airs ses minarets majestueux empreints de la couleur locale du tableau. L'auteur, plein de cet enthousiasme qui distingue le véritable artiste, s'occupait à dessiner ce terrible spectacle tandis qu'un cabinet de tableaux de la plus grande beauté et sa maison entière étaient la proie de l'incendie : semblable en cette occasion au célèbre Vernet, qui pour saisir la vérité dans les effets de mer, se faisait attacher au mat d'un vaisseau battu par la tempête.]] réalisée par M. Varennes, vendue par Gout. [57]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Entrée de Louis XVIII à Paris. Ce monarque amène la paix ; la ville de Paris lui présente ses clefs, deux petit génies, le septre et la couronne ; la France guerrière lui présente les coeurs des français. La scène se passe à la porte St-Denis : la garde national et le peuple témoignent leur joie par des acclamations. Diverses pensées ingénieuses caractérisent ce sujet. La calèche du Roi est restée sous la porte ; quelques vieilles femmes sont prosternées, d'autres reçoivent des aumônes. (M. Legrand)|Entrée de Louis XVIII à Paris. Ce monarque amène la paix ; la ville de Paris lui présente ses clefs, deux petit génies, le septre et la couronne ; la France guerrière lui présente les coeurs des français. La scène se passe à la porte St-Denis : la garde national et le peuple témoignent leur joie par des acclamations. Diverses pensées ingénieuses caractérisent ce sujet. La calèche du Roi est restée sous la porte ; quelques vieilles femmes sont prosternées, d'autres reçoivent des aumônes.]] réalisée par M. Legrand, vendue par Gout, achetée par Lambert La Roche au prix de 31 fl. [61]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La sensitive. Une jeune personne qu'un malin vieillard invite à toucher la plante lui dit que si elle n'a fait aucune faute la plante ne se fermera pas, mais dans le cas contraire elle se fermera sous ses doigts ; la jeune personne touche et la sensitive se ferme ; alors la jeune fille rougit et ses amis sont dans le plus grand étonnement en voyant ce phénomène. (M. Legrand)|La sensitive. Une jeune personne qu'un malin vieillard invite à toucher la plante lui dit que si elle n'a fait aucune faute la plante ne se fermera pas, mais dans le cas contraire elle se fermera sous ses doigts ; la jeune personne touche et la sensitive se ferme ; alors la jeune fille rougit et ses amis sont dans le plus grand étonnement en voyant ce phénomène.]] réalisée par M. Legrand, vendue par Gout, achetée par Paillet au prix de 121 fl. [62]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Psychée revient des enfers rapportant la boête demandé par Vénus à Proserpine. Caron invite Psychée à passer dans la barque ; le fleuve Achéron est sur le devant, plus loin sont les ombres des morts qui arrivent sur les bords du fleuve. (M. Legrand)|Psychée revient des enfers rapportant la boête demandé par Vénus à Proserpine. Caron invite Psychée à passer dans la barque ; le fleuve Achéron est sur le devant, plus loin sont les ombres des morts qui arrivent sur les bords du fleuve.]] réalisée par M. Legrand, vendue par Gout, achetée par Paillet au prix de 33 fl. [66]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une scène de villageois. Quatre des principaux personnages groupés autour d'une table occupent le premier plan, ils sont dans des attitudes grotesques ; plus loin une bonne vieille femme appuyée sur la porte semble les considérer ; sur la gauche et un peu plus dans l'éloignement on aperçoit plusieurs buveurs. Cette composition des plus amusantes est enrichie d'un grand nombre d'accessoires. (M. Senave)|Une scène de villageois. Quatre des principaux personnages groupés autour d'une table occupent le premier plan, ils sont dans des attitudes grotesques ; plus loin une bonne vieille femme appuyée sur la porte semble les considérer ; sur la gauche et un peu plus dans l'éloignement on aperçoit plusieurs buveurs. Cette composition des plus amusantes est enrichie d'un grand nombre d'accessoires.]] réalisée par M. Senave, vendue par Gout au prix de 251 fl. [74]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet est la mort d'Alceste. Ce tableau, qui porte la date de 1794, nous paraît, par la noblesse de sa composition, avoir fait partie d'un programme de concours. Quelque soit la source de ce tableau, il n'en est pas moins d'une composition très-bien disposée, tant par les caractères de tête que par un style pur et d'une grande sagesse. (M. Peyron)|Le sujet est la mort d'Alceste. Ce tableau, qui porte la date de 1794, nous paraît, par la noblesse de sa composition, avoir fait partie d'un programme de concours. Quelque soit la source de ce tableau, il n'en est pas moins d'une composition très-bien disposée, tant par les caractères de tête que par un style pur et d'une grande sagesse.]] réalisée par M. Peyron, vendue par Gout. [84]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une Minerve pacifique rassemble autour de l'olivier, symbole de la paix, les emblêmes des beaux-arts ; elle en forme un seul trophée et semble prévenir les écarts du génie en l'enlaçant d'une guirlande de laurier ; un rosier croît au pied de l'olivier pour désigner les plaisirs que la culture des arts peut procurer, et quelques touffes de violette annoncent que la modestie doit toujours les accompagner. (M.lle Julie Forestier)|Une Minerve pacifique rassemble autour de l'olivier, symbole de la paix, les emblêmes des beaux-arts ; elle en forme un seul trophée et semble prévenir les écarts du génie en l'enlaçant d'une guirlande de laurier ; un rosier croît au pied de l'olivier pour désigner les plaisirs que la culture des arts peut procurer, et quelques touffes de violette annoncent que la modestie doit toujours les accompagner.]] réalisée par M.lle Julie Forestier, vendue par Gout. [86]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le chien voulant sauver son maître. Un marchand conduisant deux chevaux chargés, accompagné de son chien, arrive à un ruisseau débordé à la suite d'un orage ; les chevaux portant les marchandises le traversent heureusement, mais celui qu'il montait fit un faux pas et entraîna le cavalier dans sa chute ; assitôt le chien se jette à la nage, saisit son maître par la ceinture, l'attire vers la terre et l'aurait infailliblement sauvé, si cette ceinture eut pu résister ; mais elle se rompit lorsqu'il touchait au rivage ; un misérable lambeau fut tout le prix de sa peine. Ce tableau d'un effet terrible, fut vu avec grand intérêt à l'exposition de 1814. L'expression de l'homme qui périt dans les flots est de la plus grande vérité. Les eaux du torrent sont remarquables par la fougue de l'exécution. Le ton général bien approprié à la scène, est à la fois vigoureux et transparant. (M. Mongin)|Le chien voulant sauver son maître. Un marchand conduisant deux chevaux chargés, accompagné de son chien, arrive à un ruisseau débordé à la suite d'un orage ; les chevaux portant les marchandises le traversent heureusement, mais celui qu'il montait fit un faux pas et entraîna le cavalier dans sa chute ; assitôt le chien se jette à la nage, saisit son maître par la ceinture, l'attire vers la terre et l'aurait infailliblement sauvé, si cette ceinture eut pu résister ; mais elle se rompit lorsqu'il touchait au rivage ; un misérable lambeau fut tout le prix de sa peine. Ce tableau d'un effet terrible, fut vu avec grand intérêt à l'exposition de 1814. L'expression de l'homme qui périt dans les flots est de la plus grande vérité. Les eaux du torrent sont remarquables par la fougue de l'exécution. Le ton général bien approprié à la scène, est à la fois vigoureux et transparant.]] réalisée par M. Mongin, vendue par Gout, achetée par Couturier au prix de 32 fl. [87]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un des plus jolis tableaux de ce maître et rare à rencontrer. Il représente un site montagneux dont la partie gauche est couronnée sur ses hauteurs par quelques fabriques. Dans le bas et sur le premier plan, le peintre a placé un groupe de personnages, dont un paysan assis et jouant de la flûte en présence de deux jeunes villageoises stationnées près de leur cheval. Cette composition pittoresque est partagée par un chemin et garnie dans toutes ses parties d'arbres et arbustes d'un feuillé léger et touchés d'une manière piquante. Ce tableau d'un ton vaporeux et aërien est d'un pinceau délicat et d'une couleur pleine de goût. (Légillon)|Un des plus jolis tableaux de ce maître et rare à rencontrer. Il représente un site montagneux dont la partie gauche est couronnée sur ses hauteurs par quelques fabriques. Dans le bas et sur le premier plan, le peintre a placé un groupe de personnages, dont un paysan assis et jouant de la flûte en présence de deux jeunes villageoises stationnées près de leur cheval. Cette composition pittoresque est partagée par un chemin et garnie dans toutes ses parties d'arbres et arbustes d'un feuillé léger et touchés d'une manière piquante. Ce tableau d'un ton vaporeux et aërien est d'un pinceau délicat et d'une couleur pleine de goût.]] réalisée par Légillon, vendue par Gout. [89]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux fort beaux paysages pris à effet de soleil. Ils représentent des sites d'Italie, et sont l'un et l'autre enrichis de figures et animaux. Ces deux morceaux capitaux sont d'un très-bel effet de couleur et d'une chaleur de ton digne de Claude le Lorrain. (Tassi)|Deux fort beaux paysages pris à effet de soleil. Ils représentent des sites d'Italie, et sont l'un et l'autre enrichis de figures et animaux. Ces deux morceaux capitaux sont d'un très-bel effet de couleur et d'une chaleur de ton digne de Claude le Lorrain.]] réalisée par Tassi, vendue par Gout. [94]
  • 1817.03.25/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Réunion de plusieurs enfans, dont un se balançant sur un arbre et les deux autres s'efforçant sur un arbre et les deux autres s'efforçant de séparer deux chiens qui semblent se disputer un os. Morceau d'une grande vigueur de pinceau et d'un dessin agréable. (De l'Ecole d'Italie)|Réunion de plusieurs enfans, dont un se balançant sur un arbre et les deux autres s'efforçant sur un arbre et les deux autres s'efforçant de séparer deux chiens qui semblent se disputer un os. Morceau d'une grande vigueur de pinceau et d'un dessin agréable.]] réalisée par De l'Ecole d'Italie, vendue par Gout. [115]