Ventes d'œuvres le 1817.04.28

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  • 1817.04.28/ maison de ventes : Farebrother (Charles). Vente de l'œuvre décrite comme [[The Death of the Great Earl of Chatham, in the House of Lords, 11th of May, 1788 -- The luminous talents and exalted character of the great Statesman whose death is recorded in this distinguished example of British art; the singular coincidence of time and place, in which the world was deprived of its brightest ornament of intellectual excellence; added to the elevated dignity and eminent abilities of the other noble personages represented, are circumstances that cannot but have their full force on the minds of Englishmen, in this, and in ages to come, whenever they shall contemplate this performance (J.S. Copley)|The Death of the Great Earl of Chatham, in the House of Lords, 11th of May, 1788 -- The luminous talents and exalted character of the great Statesman whose death is recorded in this distinguished example of British art; the singular coincidence of time and place, in which the world was deprived of its brightest ornament of intellectual excellence; added to the elevated dignity and eminent abilities of the other noble personages represented, are circumstances that cannot but have their full force on the minds of Englishmen, in this, and in ages to come, whenever they shall contemplate this performance]] réalisée par J.S. Copley, vendue par Alexander Davison. [49]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dont le devant offre un massif d'arbres et arbustes sur une hauteur de terrein sabloneux bordé par un chemin où l'on distingue deux jolies figures de voyageurs. Nous présentons cet échantillon comme des plus précieux de ce peintre dont les ouvrages sont aujourd'hui très-recherchés. (Vander-burq (Jac.-Antoine))|Paysage dont le devant offre un massif d'arbres et arbustes sur une hauteur de terrein sabloneux bordé par un chemin où l'on distingue deux jolies figures de voyageurs. Nous présentons cet échantillon comme des plus précieux de ce peintre dont les ouvrages sont aujourd'hui très-recherchés.]] réalisée par Vander-burq (Jac.-Antoine), vendue par Sallé au prix de 151 fl. [128]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux très-jolis tableaux peints sur porcelaine de Sèvres, lorsque cet artiste y était employé. L'un offre une charge de Cuirassiers français et prussiens, l'autre une rencontre de Hussards et de Cosaques. Outre le mérite de l'exactitude et la difficulté vaincue de maintenir au feu des plaques de cette dimension dans leur surface plate, on a l'avantage que ces tableaux ne se ternissent jamais. (Sweback (Jac.-Louis) dit Desfontaines)|Deux très-jolis tableaux peints sur porcelaine de Sèvres, lorsque cet artiste y était employé. L'un offre une charge de Cuirassiers français et prussiens, l'autre une rencontre de Hussards et de Cosaques. Outre le mérite de l'exactitude et la difficulté vaincue de maintenir au feu des plaques de cette dimension dans leur surface plate, on a l'avantage que ces tableaux ne se ternissent jamais.]] réalisée par Sweback (Jac.-Louis) dit Desfontaines, vendue par Sallé, achetée par Laneuville au prix de 152 fl. [130]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage, site d'Italie ; à gauche sur une hauteur on remarque une ruine ; un lac bordé de collines occupe le milieu de la composition ; et un tronc d'arbre et des plantes occupent le premier plan. Ce tableau pris à l'effet du soleil couchant est enrichi de jolies figures. (Swanevelt (Herman) dit d'Italie)|Un paysage, site d'Italie ; à gauche sur une hauteur on remarque une ruine ; un lac bordé de collines occupe le milieu de la composition ; et un tronc d'arbre et des plantes occupent le premier plan. Ce tableau pris à l'effet du soleil couchant est enrichi de jolies figures.]] réalisée par Swanevelt (Herman) dit d'Italie, vendue par Sallé, achetée par Constantin au prix de 110 fl. [134]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Beau Paysage dont tout le premier plan est enrichi de bestiaux gardés par des bergers, dont un joue de la flûte ; le fond offre différentes lignes de perspective savamment distribuées et coupées par des rivières. Ce tableau d'une belle ordonance est de la qualité dont ceux de ce maître sont recherchés pour l'ornement des cabinets les plus précieux. (Orisonti)|Beau Paysage dont tout le premier plan est enrichi de bestiaux gardés par des bergers, dont un joue de la flûte ; le fond offre différentes lignes de perspective savamment distribuées et coupées par des rivières. Ce tableau d'une belle ordonance est de la qualité dont ceux de ce maître sont recherchés pour l'ornement des cabinets les plus précieux.]] réalisée par Orisonti, vendue par Sallé, achetée par Bourgeois au prix de 160 fl. [141]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Près d'un village de Hollande, une chaumière sur un tertre élevé, domine une route où est un paysan dans sa charette, son chien aboie après deux petits enfans qui l'agacent, un autre voyageur se repose près de la chaumière et d'un petit point couvrant une chute d'eau qui vient s'étendre au bord de la route, un ciel clair, des terrains éboulés éclairés par un effet du soleil, des troncs d'arbres coupés et étudés avec soin et très-terminés, ainsi que tous les tableaux de ce maître, rendent celui-ci très-intéressant. (Laan (Dirck J. Vander))|Près d'un village de Hollande, une chaumière sur un tertre élevé, domine une route où est un paysan dans sa charette, son chien aboie après deux petits enfans qui l'agacent, un autre voyageur se repose près de la chaumière et d'un petit point couvrant une chute d'eau qui vient s'étendre au bord de la route, un ciel clair, des terrains éboulés éclairés par un effet du soleil, des troncs d'arbres coupés et étudés avec soin et très-terminés, ainsi que tous les tableaux de ce maître, rendent celui-ci très-intéressant.]] réalisée par Laan (Dirck J. Vander), vendue par Sallé, achetée par Laneuville au prix de 60 fl. [152]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une vue des environs de Paris. Sur une grande route, une femme à cheval conduit un troupeau de moutons ; à gauche, un homme fait abreuver une vache à une fontaine ; la droite est occupé par une marre d'eau. Joli tableau de ce maître. (M. Demarne (Jean-Louis))|Une vue des environs de Paris. Sur une grande route, une femme à cheval conduit un troupeau de moutons ; à gauche, un homme fait abreuver une vache à une fontaine ; la droite est occupé par une marre d'eau. Joli tableau de ce maître.]] réalisée par M. Demarne (Jean-Louis), vendue par Sallé, achetée par St. Martin au prix de 206 fl. [161]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le repas des fanneurs. Sur le premier plan, dix figures de villageois et villageoises ; les uns assis ou debout, sont groupés autour d'une grande écuelle de lait ; auprès d'eux, paissent quelques troupeaux ; une chaîne de montagnes bordée par une rivière, termine l'horison, et sur la droite, on voit encore des paysans chargeant une charette de foin. Autre petit tableau piquant dans toutes ses parties. (M. Demarne (Jean-Louis))|Le repas des fanneurs. Sur le premier plan, dix figures de villageois et villageoises ; les uns assis ou debout, sont groupés autour d'une grande écuelle de lait ; auprès d'eux, paissent quelques troupeaux ; une chaîne de montagnes bordée par une rivière, termine l'horison, et sur la droite, on voit encore des paysans chargeant une charette de foin. Autre petit tableau piquant dans toutes ses parties.]] réalisée par M. Demarne (Jean-Louis), vendue par Sallé, achetée par Delalande au prix de 480 fl. [162]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysan causant auprès d'une femme assise, et donnant à manger à sa chèvre. La scène se passe sur un devant de maison, la partie droite laisse entrevoir un fonds de paysage éclairé par un effet de soleil. Ce petit tableau ne le cède en rien aux plus belles qualités de ceux de M. Demarne, tant par la finesse du pinceau que par le piquant de l'effet. (M. Demarne (Jean-Louis))|Paysan causant auprès d'une femme assise, et donnant à manger à sa chèvre. La scène se passe sur un devant de maison, la partie droite laisse entrevoir un fonds de paysage éclairé par un effet de soleil. Ce petit tableau ne le cède en rien aux plus belles qualités de ceux de M. Demarne, tant par la finesse du pinceau que par le piquant de l'effet.]] réalisée par M. Demarne (Jean-Louis), vendue par Sallé, achetée par Marte au prix de 301 fl. [163]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un joli paysage ; vers la droite, un tertre vient d'être fauché, les fanneurs se reposent à l'ombre de gros arbres, un petit point et une haie entourent ce terrain ; à gauche, on remarque la base d'une croix gothique, près de laquelle est une villageoise avec son troupeau. (M. Demarne (Jean-Louis))|Un joli paysage ; vers la droite, un tertre vient d'être fauché, les fanneurs se reposent à l'ombre de gros arbres, un petit point et une haie entourent ce terrain ; à gauche, on remarque la base d'une croix gothique, près de laquelle est une villageoise avec son troupeau.]] réalisée par M. Demarne (Jean-Louis), vendue par Sallé, achetée par Marte au prix de 312 fl. [165]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Suisse aussi riche que pittoresque, arrosée par une rivière. Une jolie villageoise montée sur un cheval blanc conduit son troupeau et cause avec une de ses compagnes qui porte un panier sur sa tête. Tableau d'un coloris séduisant, indiquant bien la fraîche matinée. Ce morceau est un des plus soignés du maître. (M. Demarne (Jean-Louis))|Vue de Suisse aussi riche que pittoresque, arrosée par une rivière. Une jolie villageoise montée sur un cheval blanc conduit son troupeau et cause avec une de ses compagnes qui porte un panier sur sa tête. Tableau d'un coloris séduisant, indiquant bien la fraîche matinée. Ce morceau est un des plus soignés du maître.]] réalisée par M. Demarne (Jean-Louis), vendue par Sallé, achetée par Laneuville au prix de 407 fl. [166]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune femme prête à se baigner et craignant d'être surprise, quoiqu'avertie par son chien ; sa jolie suivante tient une partie de ses vêtemens dont les étoffes de soie ainsi qu'un panier, et généralement tous les accessoires, sont d'une vérité surprenante. Il provient de la vente du cabinet de M. Trescat, graveur. (Boilly (L.))|Une jeune femme prête à se baigner et craignant d'être surprise, quoiqu'avertie par son chien ; sa jolie suivante tient une partie de ses vêtemens dont les étoffes de soie ainsi qu'un panier, et généralement tous les accessoires, sont d'une vérité surprenante. Il provient de la vente du cabinet de M. Trescat, graveur.]] réalisée par Boilly (L.), vendue par Sallé, achetée par Delaroche au prix de 75.1 fl. [173]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage d'un effet piquant ; sur un monticule, une route ombragée par des grands arbres, et sur le devant, des paysans conduisant des mulets chargés de barils ; ces figures, comme toutes celles de Teniers, sont touchées avec esprit et en grande harmonie avec le paysage. (J.V. Artois)|Un paysage d'un effet piquant ; sur un monticule, une route ombragée par des grands arbres, et sur le devant, des paysans conduisant des mulets chargés de barils ; ces figures, comme toutes celles de Teniers, sont touchées avec esprit et en grande harmonie avec le paysage.]] réalisée par J.V. Artois, vendue par Sallé, achetée par Marte au prix de 60 fl. [174]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trois Villageois, ivres ou fatigués, se reposent sur le gazon, au pied d'une petite mâsure. Ces figures sont aussi belles et aussi terminées qu'on puisse le souhaiter. Pour le fond du tableau, c'est, à n'en pas douter, une étude faite d'après nature, tant il y règne de vérité et de simplicité. (Ad. V. Ostade)|Trois Villageois, ivres ou fatigués, se reposent sur le gazon, au pied d'une petite mâsure. Ces figures sont aussi belles et aussi terminées qu'on puisse le souhaiter. Pour le fond du tableau, c'est, à n'en pas douter, une étude faite d'après nature, tant il y règne de vérité et de simplicité.]] réalisée par Ad. V. Ostade, vendue par Simon au prix de 40 fl. [187]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le devant d'un Paysage, exécuté par le dernier de ces trois maîtres, Janssens a représenté une société de personnes des deux sexes qui se livrent aux plaisirs de la danse et du vin. Ailleurs, Van Bloemen a placé des cavaliers à côté du plusieurs tentes. Tableau capital et amusant. (Van Bloemen)|Sur le devant d'un Paysage, exécuté par le dernier de ces trois maîtres, Janssens a représenté une société de personnes des deux sexes qui se livrent aux plaisirs de la danse et du vin. Ailleurs, Van Bloemen a placé des cavaliers à côté du plusieurs tentes. Tableau capital et amusant.]] réalisée par Van Bloemen, vendue par Simon. [190]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jeunes Paysannes, debout à côté d'un cheval de somme, prennent plaisir d`a écouter un berger qui joue de la flûte en gardant quelques chèvres et brebis. Cette scène naïve se passe sur un tertre, entre un chemin et une petite éminence surmontée d'habitations rustiques. Un pinceau suave, coulant et léger, un coloris frais et vrai, une simplicité charmante, la rareté des ouvrages de M. Legillon, sont autant de titres qui recommandent ce tableau à l'attention des amateurs. (Legillon)|Deux jeunes Paysannes, debout à côté d'un cheval de somme, prennent plaisir d`a écouter un berger qui joue de la flûte en gardant quelques chèvres et brebis. Cette scène naïve se passe sur un tertre, entre un chemin et une petite éminence surmontée d'habitations rustiques. Un pinceau suave, coulant et léger, un coloris frais et vrai, une simplicité charmante, la rareté des ouvrages de M. Legillon, sont autant de titres qui recommandent ce tableau à l'attention des amateurs.]] réalisée par Legillon, vendue par Simon. [195]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mme. de la Vallière, renfermée dans sa cellule, verse des pleurs en regardant un lys, symbole de ses amours. Ce joli tableau, fait de souvenir à l'imitation de celui de M. Richard, est d'une exécution délicate et d'un effet bien entendu. (M. Le Borne)|Mme. de la Vallière, renfermée dans sa cellule, verse des pleurs en regardant un lys, symbole de ses amours. Ce joli tableau, fait de souvenir à l'imitation de celui de M. Richard, est d'une exécution délicate et d'un effet bien entendu.]] réalisée par M. Le Borne, vendue par Simon, achetée par Billaudel au prix de 45.5 fl. [201]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une ancienne porte de ville, avoisinée de masures, remplis la gauche d'un paysage traversé par un pont, et dont le devant est occupé par une rivière. Une Femme lavant du linge, et plusieurs autres Personnages dans le barques, animent ce bon tableau. (Molyn (Pierre))|Une ancienne porte de ville, avoisinée de masures, remplis la gauche d'un paysage traversé par un pont, et dont le devant est occupé par une rivière. Une Femme lavant du linge, et plusieurs autres Personnages dans le barques, animent ce bon tableau.]] réalisée par Molyn (Pierre), vendue par Simon. [220]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Tems, debout entre deux Hommes figurant le Travail et la Paresse, présente à l'un une couronne et à l'autre une discipline. Otho Venius s'est plu à mettre en tableaux une quantité de pensées morales, témoin son livre intitulé : Emblemata horatiana. (Otho Venius)|Le Tems, debout entre deux Hommes figurant le Travail et la Paresse, présente à l'un une couronne et à l'autre une discipline. Otho Venius s'est plu à mettre en tableaux une quantité de pensées morales, témoin son livre intitulé : Emblemata horatiana.]] réalisée par Otho Venius, vendue par Simon. [223]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Nous remettons avec confiance sous les yeux des connaisseurs un tableau qu'ils ont généralement admiré il y a peu de jours, et dont on sent de plus en plus toute la beauté, toute la valeur, chaque fois qu'on a le plaisir de le revoir. Dans ce tableau le soleil levant éclaire une petite baie où sont venus se mettre à l'abri trois vaisseaux et deux galères, qui semblent se balancer sur une mer tant soit peu agitée par une brise de vent d'est. A gauche, la vague qui s'élève et s'abaisse alternativement frappe et blanchit contre un rocher couronné de grands arbres ; à droite elle reproduit les mêmes effets au pied d'une montagne escarpée, à mi-côte de laquelle est une tour qui défend la baie. Des Matelots voguent, à force de rames, dans une petite chaloupe, tandis que deux autres s'entretiennent sur le rivage de quelque objet que l'un d'eux indique à son camarade. Il y a dans ce tableau, comme dans tous ou presque tous ceux de l'auteur, quelque chose de vraiment merveilleux ; et jamais on n'a mieux peint l'espace, la lumière, l'air, et tout ce qu'ils embrassent ou éclairent. (Claude Gélée, dit Le Lorrain)|Nous remettons avec confiance sous les yeux des connaisseurs un tableau qu'ils ont généralement admiré il y a peu de jours, et dont on sent de plus en plus toute la beauté, toute la valeur, chaque fois qu'on a le plaisir de le revoir. Dans ce tableau le soleil levant éclaire une petite baie où sont venus se mettre à l'abri trois vaisseaux et deux galères, qui semblent se balancer sur une mer tant soit peu agitée par une brise de vent d'est. A gauche, la vague qui s'élève et s'abaisse alternativement frappe et blanchit contre un rocher couronné de grands arbres ; à droite elle reproduit les mêmes effets au pied d'une montagne escarpée, à mi-côte de laquelle est une tour qui défend la baie. Des Matelots voguent, à force de rames, dans une petite chaloupe, tandis que deux autres s'entretiennent sur le rivage de quelque objet que l'un d'eux indique à son camarade. Il y a dans ce tableau, comme dans tous ou presque tous ceux de l'auteur, quelque chose de vraiment merveilleux ; et jamais on n'a mieux peint l'espace, la lumière, l'air, et tout ce qu'ils embrassent ou éclairent.]] réalisée par Claude Gélée, dit Le Lorrain, vendue par Simon. [224]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Harlem et d'une partie de ses environs. En deçà de cette ville, et presque sur le devant du point de vue, est un pré couvert de toiles, et dans lequel plusieuss femmes sont occupés aux divers travaux d'une blanchisserie. Ce beau tableau réunit, à l'intérêt d'un portrait fidèle, une grande richesse de détails, une exécution des plus soignées, un ciel brillant et bien nuagé, une couleur vraie et beaucoup d'effet. (Ruysdael (Jacques))|Vue de Harlem et d'une partie de ses environs. En deçà de cette ville, et presque sur le devant du point de vue, est un pré couvert de toiles, et dans lequel plusieuss femmes sont occupés aux divers travaux d'une blanchisserie. Ce beau tableau réunit, à l'intérêt d'un portrait fidèle, une grande richesse de détails, une exécution des plus soignées, un ciel brillant et bien nuagé, une couleur vraie et beaucoup d'effet.]] réalisée par Ruysdael (Jacques), vendue par Simon, achetée par Henri au prix de 1520 fl. [225]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Moulin-Vert, cabaret situé dans la plaine de Mont-Rouge. Dans l'intérieur sont représentés trois petits enfans, une servante tenant une casserole sur le feu, un homme assis à côté de la porte où il lit une gazette, et une jeune fille faisant de la dentelle. On voit, à l'extérieur, cinq autres personnages assis à deux tables. Ces deux tableaux sont remarquables par un effet piquant et un coloris vigoureux. (M. Senave)|Le Moulin-Vert, cabaret situé dans la plaine de Mont-Rouge. Dans l'intérieur sont représentés trois petits enfans, une servante tenant une casserole sur le feu, un homme assis à côté de la porte où il lit une gazette, et une jeune fille faisant de la dentelle. On voit, à l'extérieur, cinq autres personnages assis à deux tables. Ces deux tableaux sont remarquables par un effet piquant et un coloris vigoureux.]] réalisée par M. Senave, vendue par Simon, achetée par Berté au prix de 244 fl. [239]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Charron, établi à l'entrée d'un village, est occupé, dans son atelier, à percer un morceau de bois avec une tarière ; près de lui s'amusent deux enfans en bas âge. Ces deux tableaux sont remarquables par un effet piquant et un coloris vigoureux. (M. Senave)|Un Charron, établi à l'entrée d'un village, est occupé, dans son atelier, à percer un morceau de bois avec une tarière ; près de lui s'amusent deux enfans en bas âge. Ces deux tableaux sont remarquables par un effet piquant et un coloris vigoureux.]] réalisée par M. Senave, vendue par Simon au prix de 181 fl. [240]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre Paysage dont le premier plan est presque entièrement baigné par les eaux d'une rivière où s'élèvent les ruines d'un temple antique. Deux personnages, dans une chaloupe conduite par un matelot, s'approchent de ce monument pour l'examiner. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies. (M. Petit)|Autre Paysage dont le premier plan est presque entièrement baigné par les eaux d'une rivière où s'élèvent les ruines d'un temple antique. Deux personnages, dans une chaloupe conduite par un matelot, s'approchent de ce monument pour l'examiner. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies.]] réalisée par M. Petit, vendue par Simon au prix de 28 fl. [241]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux autres Paysages, sites des environs de Grenoble. L'un est vu à la clarté de la lune ; l'autre est peint dans le ton d'une fraîche matinée. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies. (M. Petit)|Deux autres Paysages, sites des environs de Grenoble. L'un est vu à la clarté de la lune ; l'autre est peint dans le ton d'une fraîche matinée. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies.]] réalisée par M. Petit, vendue par Simon au prix de 66 fl. [242]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue pris dans les environs de Tivoli et sur la montagne même où cette ville est bâtie. Deux pâtres veillent sur un troupeau de boeufs et de moutons. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies. (M. Petit)|Point de vue pris dans les environs de Tivoli et sur la montagne même où cette ville est bâtie. Deux pâtres veillent sur un troupeau de boeufs et de moutons. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies.]] réalisée par M. Petit, vendue par Simon, achetée par Abraham au prix de 90 fl. [243]
  • 1817.04.28/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de la Cascade de Terni et de l'Auberge où s'arrêtent les curieux qui vont visiter cet endroit. Joli paysage orné de deux figures, dont une femme gardant un troupeau. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies. (M. Petit)|Vue de la Cascade de Terni et de l'Auberge où s'arrêtent les curieux qui vont visiter cet endroit. Joli paysage orné de deux figures, dont une femme gardant un troupeau. Outre que M. Petit a su choisir avec goût les sites qu'il nous reproduit dans ses jolis tableaux, il a encore le talent de nous les présenter sous des couleurs aussi riantes que vraies.]] réalisée par M. Petit, vendue par Simon, achetée par Abraham au prix de 90 fl. [244]