Ventes d'œuvres le 1817.05.27
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- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item deux tableaux par Boucher Cès 24 frs adj Cinquante deux frs cinquante cy réalisée par Boucher, vendue par L. au prix de 52 50 fl. [1]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item deux tableaux par Stella Cé à 20 frs adj trente huit francs à Mo Ropiquet rue villneuve bourbon no 20 cy réalisée par Stella, vendue par L., achetée par Ropiquet rue villneuve bourbon no 20 au prix de 38 fl. [2]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item deux tableaux représentant des marines Cés 10 frs adj vingt Sept francs cy réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par o. au prix de 27 fl. [3]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item deux tableaux représentant du Gibier Cés à 6 frs adj huit francs soixante cinq a Mo Souyn rue thévenot no 28 cy réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par [[M[ontfort]]], achetée par Souyn rue thévenot no 28 au prix de 8 65 fl. [4]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item un tableau par corneille Polenbourg Cé 30 frs adj cinquante trois francs au meme Derepas cy réalisée par Corneille Polenbourg, vendue par [[M[ontfort]]], achetée par Derepas au prix de 53 fl. [5]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item deux tableau dont la toilette de Vénus vingt sept francs cinquante cy réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par [[M[ontfort]]] au prix de 27 50 fl. [6]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item deux paysages par un artiste moderne Cés 15 frs adj vingt cinq francs cy réalisée par Un artiste moderne, vendue par [[M[ontfort]]] au prix de 25 fl. [7]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item deux petits Paysages dans le gout de lantara Cés 3 frs adj huit francs a Mr Barbier quai malaquai no 1? réalisée par Lantara, vendue par S., achetée par [[Barbier quai malaquai no 1[?]]] au prix de 8 fl. [8]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Item une marine Cée 3 frs adj. quatre francs cinq à Mr Derepas palais royal no 23 cy réalisée par un.e artiste anonyme, vendue par f., achetée par Derepas palais royal no 23 au prix de 4 5 fl. [9]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage historique. Le peintre y a représenté Esculape venant, sous la forme d'un serpent, délivrer les Romains de la peste qui désole leur ville. réalisée par M. Chancourtois, vendue par Alphonse Louis Montfort au prix de 23.5 fl. [10]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'un site d'Espagne. L'auteur l'a peint d'après nature, et lui a donné tout l'intérêt d'un portrait fidèle. réalisée par M. Duperreux, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Dusommaratrat au prix de 25.6 fl. [11]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Bethsabée au bain ; tableau agréable et moëlleusement peint. réalisée par Bounieu, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Michel rue planche ... au prix de 50 fl. [12]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage historique, avec figures et animaux. Il est dans le style du Poussin, et d'un coloris aussi chaud que vigoureux. réalisée par M. Varenne, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Payen rue de St Père au prix de 89.05 fl. [13]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux paysages ornés de figures et d'animaux. réalisée par M. Swagers, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Derepas au prix de 70.5 fl. [14]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre paysage bien touché et d'un bon effet. réalisée par Bruandet, vendue par Alphonse Louis Montfort au prix de 26.95 fl. [15]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Paysage d'une exécution soignée et représentant l'intérieur d'une forêt où l'on aperçoit des chasseurs. réalisée par Bruandet, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Michel au prix de 38.5 fl. [16]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux cavaliers, assis à une table avec une dame, se rafraîchissent devant la porte d'un cabaret de village. réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Derepas au prix de 76 fl. [17]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Port de mer ; tableau capital sur lequel nous invitons les amateurs à vouloir bien porter toute l'attention dont il est digne. A gauche, les eaux de la mer légèrement agitées baignent le premier plan et y forment une entrée de port ou de canal. A droite, une fontaine cache en partie un bâtiment de guerre, à trois mâts et percé d'une batterie de canons. Par la manoeuvre que font plusieurs hommes de l'équipage de ce navire, on reconnaît qu'ils viennent d'en serrer les voiles. Une chaloupe, prête à l'aborder, y porte des balots de marchandises. Une seconde chaloupe, qui vient de toucher au rivage, est aussi chargée de marchandises que des matelots sont occupés à débarquer. -- A gauche, sur le deuxième plan, est une porte de ville, ornée de colonnes ; plus loin sont deux tours, un mur crénelé et d'autres édifices à peu de distance desquels deux frégates sont à l'ancre. On voit dans l'éloignement plusieurs barques voguant en pleine mer ou le long d'une côte de montagnes. -- Le soleil, un peu au dessus de l'horison, répand sur tous ces objets une douce lumière à laquelle se mêle la vapeur de l'air. La rareté des ouvrages de Claude Lorrain, leur haute réputation, la recherche qu'on en a toujours faite, relèvent singulièrement la valeur commerciale de celui-ci. Mais ce qui lui est un garant plus certain de cette valeur, c'est sa beauté réelle généralement reconnue, et qui, dans certaines parties, va jusqu'à la perfection. (Gelée, (Claude) dit le Lorrain)|Port de mer ; tableau capital sur lequel nous invitons les amateurs à vouloir bien porter toute l'attention dont il est digne. A gauche, les eaux de la mer légèrement agitées baignent le premier plan et y forment une entrée de port ou de canal. A droite, une fontaine cache en partie un bâtiment de guerre, à trois mâts et percé d'une batterie de canons. Par la manoeuvre que font plusieurs hommes de l'équipage de ce navire, on reconnaît qu'ils viennent d'en serrer les voiles. Une chaloupe, prête à l'aborder, y porte des balots de marchandises. Une seconde chaloupe, qui vient de toucher au rivage, est aussi chargée de marchandises que des matelots sont occupés à débarquer. -- A gauche, sur le deuxième plan, est une porte de ville, ornée de colonnes ; plus loin sont deux tours, un mur crénelé et d'autres édifices à peu de distance desquels deux frégates sont à l'ancre. On voit dans l'éloignement plusieurs barques voguant en pleine mer ou le long d'une côte de montagnes. -- Le soleil, un peu au dessus de l'horison, répand sur tous ces objets une douce lumière à laquelle se mêle la vapeur de l'air. La rareté des ouvrages de Claude Lorrain, leur haute réputation, la recherche qu'on en a toujours faite, relèvent singulièrement la valeur commerciale de celui-ci. Mais ce qui lui est un garant plus certain de cette valeur, c'est sa beauté réelle généralement reconnue, et qui, dans certaines parties, va jusqu'à la perfection.]] réalisée par Gelée, (Claude) dit le Lorrain, vendue par Alphonse Louis Montfort. [18]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Une Femme dans l'intérieur d'une chambre est occupée à peler une pomme. Morceau recommandable par une belle exécution. réalisée par De Hooge. (Pierre), vendue par Alphonse Louis Montfort au prix de 54 fl. [19]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Autre tableau représentant une rivière couverte de barques où l'on remarque une multitude de personnages. réalisée par Breughels. (Jean), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Derepas au prix de 29.95 fl. [20]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vue d'un port de mer. Beaucoup de figures et d'animaux dessinés avec esprit répandent de l'intérêt sur ce tableau. réalisée par Breugels. (Jean), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Simon rue du temple au prix de 23 fl. [21]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Marché au poisson sur le bord de la mer ; composition de beaucoup de fiugres spirituellement touchées. Nous regardons ce joli tableau comme un des meilleurs de son auteur. réalisée par Michaud (Théobald), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Derepas au prix de 55.95 fl. [22]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Le portrait de la mère de Gérard Douw ; bonne copie peinte sur bois. réalisée par Gérard Douw. (Ecole de), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Simon rue platrière au prix de 64 fl. [23]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La fuite en Egypte ; tableau sur cuivre. réalisée par Elzheimer. (Adam), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Amar au prix de 16 fl. [24]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Vertumne et Pomone ; Tableau d'un bon effet et peint sur cuivre. réalisée par Boonen. (Arnould), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Laville au prix de 20 fl. [25]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Un homme allume sa pipe à la flamme d'une chandelle ; derrière lui est un autre homme vn dans la demi-teinte. Quelques accessoires enrichissent ce petit tableau, dont l'exécution est aussi légère que l'effet en est piquant. réalisée par Schalken (Godefroi), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Montfort au prix de 101 fl. [26]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux campemens d'armée ; riche et agréable composition. Les ouvrages de ce maître sont généralement estimés en Hollande ; en France ils sont très-rares. réalisée par Van Lint, élève de Wouwermans, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Pelloin rue du fbg au prix de 81 fl. [27]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sept vaches de différentes couleurs, et plusieurs moutons, sont dispersés sur le devant d'un paysage orné de quelques ruines. Les moutons et le fond de ce tableau sont bien évidemment de Simon Vanderdoës ; mais, dans le dessin correct des vaches, dans la manière dont elles sont touchées, dans l'imitation fidèle des habitudes de ces animaux, on ne reconnaît que le pinceau de Paul Potter. Cette espèce d'association n'est point sans exemple ; il y avait dans le fameux cabinet de Van Leyden un tableau qui était tout à la fois de Berghem, Karel-Dujardin et Jacques Vanderdoës. (Potter (Paul))|Sept vaches de différentes couleurs, et plusieurs moutons, sont dispersés sur le devant d'un paysage orné de quelques ruines. Les moutons et le fond de ce tableau sont bien évidemment de Simon Vanderdoës ; mais, dans le dessin correct des vaches, dans la manière dont elles sont touchées, dans l'imitation fidèle des habitudes de ces animaux, on ne reconnaît que le pinceau de Paul Potter. Cette espèce d'association n'est point sans exemple ; il y avait dans le fameux cabinet de Van Leyden un tableau qui était tout à la fois de Berghem, Karel-Dujardin et Jacques Vanderdoës.]] réalisée par Potter (Paul), vendue par Alphonse Louis Montfort. [28]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Des baigneuses. Le paysage dans lequel elles sont représentées offre un site agréable, et tout y est exécuté avec beaucoup de goût et d'esprit. réalisée par Poelenburg (Corneille), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Delalande au prix de 144 fl. [29]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux batailles. Elles sont d'une exécution facile et légère. Personne n'ignore que Breydel a excellé dans ce genre de peinture. réalisée par Breydel. (François), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Goutman au prix de 87 fl. [30]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un vase, posé sur le bord d'une tablette de marbre, sont groupées avec art douze ou quinze des plus belles fleurs de nos parterres, telles que la rose rouge et blanche, l'oeillet panaché, la tulipe, la renoncule, l'anémone, la jacynthe, le lilas, le pavot, la jonquille, le narcisse et la pensée : avec ces fleurs sont mêlés le liseron, la scabieuse, la bourrache et le myosotis, la primevère et autres fleurs des champs. La beauté de ce tableau, sa richesse, la réputation dont il jouit, le grand prix où nous l'avons vu porter dans la dernière vente où il a passé, sont des titres recommandables qui lui valent mieux ici que des éloges. (Van Huysum. (Jean))|Dans un vase, posé sur le bord d'une tablette de marbre, sont groupées avec art douze ou quinze des plus belles fleurs de nos parterres, telles que la rose rouge et blanche, l'oeillet panaché, la tulipe, la renoncule, l'anémone, la jacynthe, le lilas, le pavot, la jonquille, le narcisse et la pensée : avec ces fleurs sont mêlés le liseron, la scabieuse, la bourrache et le myosotis, la primevère et autres fleurs des champs. La beauté de ce tableau, sa richesse, la réputation dont il jouit, le grand prix où nous l'avons vu porter dans la dernière vente où il a passé, sont des titres recommandables qui lui valent mieux ici que des éloges.]] réalisée par Van Huysum. (Jean), vendue par Alphonse Louis Montfort. [31]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge, assise près d'une table, se tourne vers l'ange Gabriël qui vient la saluer au nom du Très-Haut. réalisée par Maîtres Inconnus, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Henry au prix de 22.5 fl. [32]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Jésus à la colonne. Une carnation vraie, de la vigueur dans le coloris font remarquer ce petit tableau. réalisée par Maîtres Inconnus, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par [[Lantalary [?]]] au prix de 13.5 fl. [33]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Deux petits Paysages. Ils sont ornés de jolies figures et largement peints. réalisée par Carache. (Augustin), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Henry au prix de 50 fl. [34]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge, tenant l'Enfant-Jésus dans ses bras, est dans une gloire au milieu d'un choeur d'Anges. Ce beau tableau rivalise avec ceux des Carache. réalisée par Cavedone. (Jacques), vendue par Alphonse Louis Montfort. [35]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Annonciation. On sait que les tableaux de Verocchio sont rares. Nous conservons à celui-ci la dénomination qu'il avait en arrivant d'Italie. Nous le regardons cependant comme étant d'une exécution postérieure, et beaucoup plus parfaite que celle du maître auquel on l'attribue. La finesse d'exécution, les caractères de tête, et la couleur qu'on y remarque, sont du bon tems de l'école de Florence, et rappellent en plusieurs choses les ouvrages de Cigoli et de Dolci. Nous le recommandons à l'attention des connaisseurs. (Verocchio. (André))|L'Annonciation. On sait que les tableaux de Verocchio sont rares. Nous conservons à celui-ci la dénomination qu'il avait en arrivant d'Italie. Nous le regardons cependant comme étant d'une exécution postérieure, et beaucoup plus parfaite que celle du maître auquel on l'attribue. La finesse d'exécution, les caractères de tête, et la couleur qu'on y remarque, sont du bon tems de l'école de Florence, et rappellent en plusieurs choses les ouvrages de Cigoli et de Dolci. Nous le recommandons à l'attention des connaisseurs.]] réalisée par Verocchio. (André), vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Durand jeune au prix de 161 fl. [36]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme Tête pleine d'expression. Elle rappelle celles de Guido Reni. réalisée par Guido Cagnacci, vendue par Alphonse Louis Montfort, achetée par Cornillon fils rue coquillière no 46 au prix de 16.5 fl. [37]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme La Vierge tenant l'Enfant-Jésus est accompagnée des Saintes Femmes et de Saint François. réalisée par Mazzuola. (Jérôme), vendue par Alphonse Louis Montfort au prix de 31 fl. [38]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge assise, levant les mains et les yeux au ciel, exprime ainsi la douleur que lui cause la mort de son Fils, descendu de la croix et appuyé sur ses genoux. Deux Anges, placés aux deux côtés de Jésus, le soutiennent chacun par un bras. Ce tableau, quoique répété par plusieurs des élèves de Michel-Ange, n'en est pas moins précieux. (Del Piombo. (Sébastien))|La Vierge assise, levant les mains et les yeux au ciel, exprime ainsi la douleur que lui cause la mort de son Fils, descendu de la croix et appuyé sur ses genoux. Deux Anges, placés aux deux côtés de Jésus, le soutiennent chacun par un bras. Ce tableau, quoique répété par plusieurs des élèves de Michel-Ange, n'en est pas moins précieux.]] réalisée par Del Piombo. (Sébastien), vendue par Alphonse Louis Montfort au prix de 300 fl. [39]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau allégorique, qu'on doit au pinceau du fondateur de la fameuse école des Carache, représente une femme tenant d'une main des épis, et de l'autre des raisins qu'elle présente à Cybèle, déesse de la terre. Cette peinture, d'un grand caractère et d'une grande rareté, est digne d'entrer dans toutes les galeries. Elle vient de celle de Naples. (Carache. (Louis))|Ce tableau allégorique, qu'on doit au pinceau du fondateur de la fameuse école des Carache, représente une femme tenant d'une main des épis, et de l'autre des raisins qu'elle présente à Cybèle, déesse de la terre. Cette peinture, d'un grand caractère et d'une grande rareté, est digne d'entrer dans toutes les galeries. Elle vient de celle de Naples.]] réalisée par Carache. (Louis), vendue par Alphonse Louis Montfort. [40]
- 1817.05.27/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sainte Catherine. Petite figure plus qu'à mi-corps, où la grâce s'unit au coloris. Il provient de la galerie de Naples, et mérite d'autant plus l'attention des connaisseurs qu'il est fort rare de rencontrer des productions du Parmesan qui soient aussi avérées, aussi séduisantes, et même aussi parfaites que celle-ci. (Parmesan, (François Mazzuola. dit))|Sainte Catherine. Petite figure plus qu'à mi-corps, où la grâce s'unit au coloris. Il provient de la galerie de Naples, et mérite d'autant plus l'attention des connaisseurs qu'il est fort rare de rencontrer des productions du Parmesan qui soient aussi avérées, aussi séduisantes, et même aussi parfaites que celle-ci.]] réalisée par Parmesan, (François Mazzuola. dit), vendue par Alphonse Louis Montfort au prix de 810 fl. [41]