Ventes d'œuvres le 1818.03.30

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  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Samson est endormi sur les genoux de Dalila, qui vient de lui couper les cheveux. Cette femme, les ciseaux encore à la main, fait signe aux Philistins de venir se saisir de leur redoutable ennemi. A la gauche de Dalila est une petite table sur laquelle on remarque un vase et une coupe. -- Ce tableaux est de la belle manière de son auteur : il ne faut donc pas le confondre avec les nombreuses copies que Giovanni Ceschini a faites d'après Alexandre Véronèse, son maître. (Alessandro Turchi. (dit l'Orbetto, et communément appe...)|Samson est endormi sur les genoux de Dalila, qui vient de lui couper les cheveux. Cette femme, les ciseaux encore à la main, fait signe aux Philistins de venir se saisir de leur redoutable ennemi. A la gauche de Dalila est une petite table sur laquelle on remarque un vase et une coupe. -- Ce tableaux est de la belle manière de son auteur : il ne faut donc pas le confondre avec les nombreuses copies que Giovanni Ceschini a faites d'après Alexandre Véronèse, son maître.]] réalisée par Alessandro Turchi. (dit l'Orbetto, et communément appe..., vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 250 fl. [1]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Suzanne surprise au bain par les vieillards. Nous avons conservé à ce bon tableau la dénomination sous laquelle il a été vendu jusqu'à ce jour : on y remarque cet empâtement de couleurs et cette fermeté de pinceau qui sont un des caractères de la grande école de Bologne. (Caracci (Annibale))|Suzanne surprise au bain par les vieillards. Nous avons conservé à ce bon tableau la dénomination sous laquelle il a été vendu jusqu'à ce jour : on y remarque cet empâtement de couleurs et cette fermeté de pinceau qui sont un des caractères de la grande école de Bologne.]] réalisée par Caracci (Annibale), vendue par Michalon au prix de 77.5 fl. [4]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un petit canal couvert de barques et fermé par une écluse : un de ses bords est occupé par un groupe de maisons construites à l'italienne. Ces deux tableaux nous rappellent ceux de Canaletti, et nous offrent tout à la fois la même touchee, la même couleur et les mêmes effets. (M. Migliara, de Milan)|Vue d'un petit canal couvert de barques et fermé par une écluse : un de ses bords est occupé par un groupe de maisons construites à l'italienne. Ces deux tableaux nous rappellent ceux de Canaletti, et nous offrent tout à la fois la même touchee, la même couleur et les mêmes effets.]] réalisée par M. Migliara, de Milan, vendue par Michalon, achetée par Valarde au prix de 163 fl. [7]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue prise dans l'intérieur d'une ville d'Italie. On y remarque une église bâtie sur l'un des côtés d'une place publique. Ces deux tableaux noux rappellent ceux de Canaletti, et nous offrent tout à la fois la même touche, la même couleur et les mêmes effets. (M. Migliara, de Milan)|Vue prise dans l'intérieur d'une ville d'Italie. On y remarque une église bâtie sur l'un des côtés d'une place publique. Ces deux tableaux noux rappellent ceux de Canaletti, et nous offrent tout à la fois la même touche, la même couleur et les mêmes effets.]] réalisée par M. Migliara, de Milan, vendue par Michalon, achetée par Valarde au prix de 40 fl. [8]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus, debout sur son berceau et soutenu par la Vierge, reçoit les caresses du petit saint Jean. -- Le dessin de ces figures, leurs airs de tête ne rappellent que le Parmesan ; c'est tout son style et toute sa grâce. (Parmegianino (Francesco Mazzuola, dit le))|Jésus, debout sur son berceau et soutenu par la Vierge, reçoit les caresses du petit saint Jean. -- Le dessin de ces figures, leurs airs de tête ne rappellent que le Parmesan ; c'est tout son style et toute sa grâce.]] réalisée par Parmegianino (Francesco Mazzuola, dit le), vendue par Michalon, achetée par Constantin au prix de 133 fl. [11]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une bergère assise sur le devant d'un paysage, et s'accoudant sur sa pannetière, veille avec deux chiens sur un troupeau de chêvres et de brebis. Plus loin est un paysan qui conduit du gros bétail. -- Ce tableau, d'une couleur brillante et d'une brosse aussi sûre que hardie, est sans contredit une des meilleures productions de son auteur. La figure est du plus beau faire de Lucas Jordano. (Rosa, de Tivoli (Filippo Roos, dit))|Une bergère assise sur le devant d'un paysage, et s'accoudant sur sa pannetière, veille avec deux chiens sur un troupeau de chêvres et de brebis. Plus loin est un paysan qui conduit du gros bétail. -- Ce tableau, d'une couleur brillante et d'une brosse aussi sûre que hardie, est sans contredit une des meilleures productions de son auteur. La figure est du plus beau faire de Lucas Jordano.]] réalisée par Rosa, de Tivoli (Filippo Roos, dit), vendue par Michalon au prix de 41.06 fl. [16]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus assis sur les genoux de la Vierge, jette les yeux sur un livre que lui présente saint Joseph. -- Les ouvrages de Schidone sont du petit nombre de ceux qu'on est dispensé de recommander, tant leur réputation est solidement établie. Celui-ci joint à la suavité du pinceau, une harmonie douce et une grande force de couleur. (Schidone (Bartolommeo))|Jésus assis sur les genoux de la Vierge, jette les yeux sur un livre que lui présente saint Joseph. -- Les ouvrages de Schidone sont du petit nombre de ceux qu'on est dispensé de recommander, tant leur réputation est solidement établie. Celui-ci joint à la suavité du pinceau, une harmonie douce et une grande force de couleur.]] réalisée par Schidone (Bartolommeo), vendue par Michalon au prix de 76 fl. [22]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un Port de mer rempli de vaisseaux, et situé au milieu d'une ville. Ce tableau, fort riche en jolies figures et en détails de toute espèce, est encore d'une exécution soignée, qui nous le fait regarder comme un des bons ouvrages de son auteur. (Vitelli (Gasparo van))|Vue d'un Port de mer rempli de vaisseaux, et situé au milieu d'une ville. Ce tableau, fort riche en jolies figures et en détails de toute espèce, est encore d'une exécution soignée, qui nous le fait regarder comme un des bons ouvrages de son auteur.]] réalisée par Vitelli (Gasparo van), vendue par Michalon, achetée par Irlande au prix de 150.05 fl. [25]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Vierge, à genoux, soutient son fils qui est debout devant elle. Il y a, dans ce tableau, beaucoup de grâce et de simplicité. Ces deux caratères brillèrent dans les ouvrages des peintres italiens, dès la renaissance des arts ; alors ils ne trouvaient de modèles que dans la nature même. (Ancienne École d'Italie)|La Vierge, à genoux, soutient son fils qui est debout devant elle. Il y a, dans ce tableau, beaucoup de grâce et de simplicité. Ces deux caratères brillèrent dans les ouvrages des peintres italiens, dès la renaissance des arts ; alors ils ne trouvaient de modèles que dans la nature même.]] réalisée par Ancienne École d'Italie, vendue par Michalon au prix de 316 fl. [26]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune Italienne toute nue et couchée sur son lit, attend des vêtemens que deux femmes de chambre sont occupées à chercher dans un coffre : belle copie, d'après un tableau de Titien, qui fait partie de la galerie de Florence. La figure du tableau original est regardée, par Algarotti, comme la rivale de la Vénus de Médicis. (Titien)|Une jeune Italienne toute nue et couchée sur son lit, attend des vêtemens que deux femmes de chambre sont occupées à chercher dans un coffre : belle copie, d'après un tableau de Titien, qui fait partie de la galerie de Florence. La figure du tableau original est regardée, par Algarotti, comme la rivale de la Vénus de Médicis.]] réalisée par Titien, vendue par Michalon au prix de 160 fl. [30]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Guinguette hollandaise. Sur le premier plan, sept à huit hommes font une partie de quilles et occupent l'attention de plusieurs autres, qui ont ou la pipe ou la cruche à la main. Plus loin, c'est à qui boira et fumera le mieux ; ailleurs des rustres sont à table avec des femmes qui ne s'effarouchent point d'un peu de familiarité : enfin, ce n'est partout que plaisirs et amusemens. -- Abshoven, comme son maître, a pris les sujets de ses tableaux dans les cabarets et les tavernes, et les a rendus avec esprit. (Abshoven)|La Guinguette hollandaise. Sur le premier plan, sept à huit hommes font une partie de quilles et occupent l'attention de plusieurs autres, qui ont ou la pipe ou la cruche à la main. Plus loin, c'est à qui boira et fumera le mieux ; ailleurs des rustres sont à table avec des femmes qui ne s'effarouchent point d'un peu de familiarité : enfin, ce n'est partout que plaisirs et amusemens. -- Abshoven, comme son maître, a pris les sujets de ses tableaux dans les cabarets et les tavernes, et les a rendus avec esprit.]] réalisée par Abshoven, vendue par Michalon au prix de 47.5 fl. [68]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Table couverte d'un tapis vert, sur lequel sont posés un verre plein de liqueur, un pain, un homard, des huîtres et un plat de poisson. Adriaenssen a excellé dans la représentation des objets de nature morte ; ce tableau nous en fournit une preuve incontestable. (Adriaenssen (Alex.))|Table couverte d'un tapis vert, sur lequel sont posés un verre plein de liqueur, un pain, un homard, des huîtres et un plat de poisson. Adriaenssen a excellé dans la représentation des objets de nature morte ; ce tableau nous en fournit une preuve incontestable.]] réalisée par Adriaenssen (Alex.), vendue par Michalon au prix de 55 fl. [70]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Plus de vingt barques voguent à la voile et dans des directions différentes, sur un large fleuve dont les deux rives sont bordées de terres basses, où l'on aperçoit çà et là plusieurs maisons et villages. En avant du fleuve est un bout de terrain sur lequel on voit un matelot armé d'une gaffe et prêt à s'embarquer dans un canot déjà monté par deux rameurs. (A. R.)|Plus de vingt barques voguent à la voile et dans des directions différentes, sur un large fleuve dont les deux rives sont bordées de terres basses, où l'on aperçoit çà et là plusieurs maisons et villages. En avant du fleuve est un bout de terrain sur lequel on voit un matelot armé d'une gaffe et prêt à s'embarquer dans un canot déjà monté par deux rameurs.]] réalisée par A. R., vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 50 fl. [71]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les Vierges folles et les Vierges prudentes ; parabole de Jésus rapportée par saint Mathieu, ch. 25. L'époux, soux la figure du Christ, vient d'ouvrir la porte du festin, et les cinq Vierges prudentes sont près d'y entrer avec leur lampe à la main : les Vierges imprudentes, dont les lampes s'éteignent, n'arriveront pas à tems et trouveront la porte refermée. (Baelen (Henri Van))|Les Vierges folles et les Vierges prudentes ; parabole de Jésus rapportée par saint Mathieu, ch. 25. L'époux, soux la figure du Christ, vient d'ouvrir la porte du festin, et les cinq Vierges prudentes sont près d'y entrer avec leur lampe à la main : les Vierges imprudentes, dont les lampes s'éteignent, n'arriveront pas à tems et trouveront la porte refermée.]] réalisée par Baelen (Henri Van), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 35.5 fl. [72]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Foire de village. Sur le devant, à droite, est un groupe de soldats armés et vidant quelques pas plus loin, deux charlatans, l'un assis sous un grand parasol, l'autre debout à côté d'une table chargée de médicamens ; ailleurs un homme se fait arracher une dent par un opérateur, dont la dextérité fait l'admiration de beaucoup de curieux. Une foule innombrable de gens de tout âge et des deux sexes enrichissent cette composition. Le fond représente une des places publiques de la Haye. (Beesl (S.) 1646)|Foire de village. Sur le devant, à droite, est un groupe de soldats armés et vidant quelques pas plus loin, deux charlatans, l'un assis sous un grand parasol, l'autre debout à côté d'une table chargée de médicamens ; ailleurs un homme se fait arracher une dent par un opérateur, dont la dextérité fait l'admiration de beaucoup de curieux. Une foule innombrable de gens de tout âge et des deux sexes enrichissent cette composition. Le fond représente une des places publiques de la Haye.]] réalisée par Beesl (S.) 1646, vendue par Michalon au prix de 80 fl. [74]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une ancienne porte de ville située sur le bord de la mer. A sa droite est une tour armée de canons et défendant un port où l'on remarque deux vaisseaux de guerre. Près du rivage est un canot où vont s'embarquer plusieurs personnages. (Beerstraten (A.))|Vue d'une ancienne porte de ville située sur le bord de la mer. A sa droite est une tour armée de canons et défendant un port où l'on remarque deux vaisseaux de guerre. Près du rivage est un canot où vont s'embarquer plusieurs personnages.]] réalisée par Beerstraten (A.), vendue par Michalon au prix de 20 fl. [75]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dans le goût de Jacques Ruysdael, et représentant un chemin pratiqué dans une forêt. A droite, sur le devant, est une marre ; à gauche, sur le bord du chemin, un homme cause avec une femme qui est accompagnée d'un enfant. Ce tableau est d'une extrême viguer de coloris. (Bois (G. Du))|Paysage dans le goût de Jacques Ruysdael, et représentant un chemin pratiqué dans une forêt. A droite, sur le devant, est une marre ; à gauche, sur le bord du chemin, un homme cause avec une femme qui est accompagnée d'un enfant. Ce tableau est d'une extrême viguer de coloris.]] réalisée par Bois (G. Du), vendue par Michalon au prix de 50 fl. [82]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un bateleur, monté sur des trétaux adossés à une grille qui entour la statue d'Henri IV, amuse par ses farces et ses tours de passe-passe une foule de spectateurs de tout âge rangés en demi-cercle autour de son théâtre. Deux hommes de qualité, couverts de manteaux et suivis de deux petits pages, font la conversation sur le devant du tableau : ailleurs d'autres personnages sont diversement occupés. (Both (Genre d'André))|Un bateleur, monté sur des trétaux adossés à une grille qui entour la statue d'Henri IV, amuse par ses farces et ses tours de passe-passe une foule de spectateurs de tout âge rangés en demi-cercle autour de son théâtre. Deux hommes de qualité, couverts de manteaux et suivis de deux petits pages, font la conversation sur le devant du tableau : ailleurs d'autres personnages sont diversement occupés.]] réalisée par Both (Genre d'André), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 57 fl. [85]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Des bouquets d'arbres s'élevent aux deux côtés du tableau. Au milieu est un large chemin sur lequel on voit une quantité de jeunes filles portant des paniers de fleurs. Si l'auteur de ce paysage n'y a pas ennobli son style, du moins y a-t-il agrandi sa manière et imité les meilleurs paysagistes, en traitant largement le feuillé des arbres, et en leur donnant un aspect imposant. (Boudewyns)|Paysage. Des bouquets d'arbres s'élevent aux deux côtés du tableau. Au milieu est un large chemin sur lequel on voit une quantité de jeunes filles portant des paniers de fleurs. Si l'auteur de ce paysage n'y a pas ennobli son style, du moins y a-t-il agrandi sa manière et imité les meilleurs paysagistes, en traitant largement le feuillé des arbres, et en leur donnant un aspect imposant.]] réalisée par Boudewyns, vendue par Michalon, achetée par Boutteville au prix de 66 fl. [86]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Réunion de sept dames autour d'une table servie de rafraîchissemens ; une d'entre elles joue du sistre pour accompagner une de ses amies qui exécute un morceau de chant, sujet de l'attention de toutes les autres ; pendant ce tems, la maîtresse de la maison donne ses ordres à une servante. (Brakenburg (R.))|Réunion de sept dames autour d'une table servie de rafraîchissemens ; une d'entre elles joue du sistre pour accompagner une de ses amies qui exécute un morceau de chant, sujet de l'attention de toutes les autres ; pendant ce tems, la maîtresse de la maison donne ses ordres à une servante.]] réalisée par Brakenburg (R.), vendue par Michalon au prix de 62 fl. [88]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Tentation de s. Antoine. Un démon, sous les traîts d'une jeune femme élégamment vêtue, aborde le pieux ermite et tâche d'attirer ses regards. Pendant ce tems, vingt autres esprits infernaux, sous des formes hideuses ou bisarres, s'agittent en tout sens et font un vacarme horrible. Le saint, immobile et calme, n'éprouve ni crainte ni distraction : il prie et ne pense qu'à Dieu. Près de lui est son cochon, que la frayeur a fait tapir sous une table. (Breughel (Jean))|La Tentation de s. Antoine. Un démon, sous les traîts d'une jeune femme élégamment vêtue, aborde le pieux ermite et tâche d'attirer ses regards. Pendant ce tems, vingt autres esprits infernaux, sous des formes hideuses ou bisarres, s'agittent en tout sens et font un vacarme horrible. Le saint, immobile et calme, n'éprouve ni crainte ni distraction : il prie et ne pense qu'à Dieu. Près de lui est son cochon, que la frayeur a fait tapir sous une table.]] réalisée par Breughel (Jean), vendue par Michalon au prix de 35 fl. [90]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madeleine se dispose à verser des parfums sur les pieds de Jésus, qui est à table chez Simon le pharisien. Le repas a lieu dans une galerie ouverte, et les convives, couchés sur des lits, à la manière des anciens, occupent trois des côtés de la table seulement, le quatrième étant réservé pour la facilité du service. Esquisse terminée. (Champagne (Philippe de))|Madeleine se dispose à verser des parfums sur les pieds de Jésus, qui est à table chez Simon le pharisien. Le repas a lieu dans une galerie ouverte, et les convives, couchés sur des lits, à la manière des anciens, occupent trois des côtés de la table seulement, le quatrième étant réservé pour la facilité du service. Esquisse terminée.]] réalisée par Champagne (Philippe de), vendue par Michalon au prix de 25.5 fl. [97]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un Magistrat hollandais se promenant dans un parc avec sa femme, lui présente gravement un bouquet de roses qu'il vient de cueillir. On voit, plus loin, une gouvernante avec deux enfans, dont elle tient le plus jeune dans ses bras. Le paysage est de la plus belle manière de Huymans de Malines. (Coques (Gonzales))|Un Magistrat hollandais se promenant dans un parc avec sa femme, lui présente gravement un bouquet de roses qu'il vient de cueillir. On voit, plus loin, une gouvernante avec deux enfans, dont elle tient le plus jeune dans ses bras. Le paysage est de la plus belle manière de Huymans de Malines.]] réalisée par Coques (Gonzales), vendue par Michalon, achetée par Marte au prix de 43 fl. [102]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Christ mort repose sur les genoux de la Vierge qui lève tristement ses regards vers le ciel. A la droite de Marie est l'apôtre saint Jean ; à sa gauche, la Madeleine, qui embrasse une des mains de Jésus. -- Crayer nous a laissé, dans ce tableau, des marques évidentes du beau talent qui lui valut l'estime toute particulière de Rubens, et le fit quelquefois regardeer comme l'égal de ce grand maître. (Crayer (Gaspard de))|Le Christ mort repose sur les genoux de la Vierge qui lève tristement ses regards vers le ciel. A la droite de Marie est l'apôtre saint Jean ; à sa gauche, la Madeleine, qui embrasse une des mains de Jésus. -- Crayer nous a laissé, dans ce tableau, des marques évidentes du beau talent qui lui valut l'estime toute particulière de Rubens, et le fit quelquefois regardeer comme l'égal de ce grand maître.]] réalisée par Crayer (Gaspard de), vendue par Michelon au prix de 62 [ou] 73.5 fl. [103]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Six pêches et plusieurs grappes de raisin groupées ensemble et entourées de chenilles, papillons et autres insectes. Le pinceau le plus suave, la plus belle fonte de couleurs se réunissent, dans ce tableau, à la vérité la plus parfaite. Cuyp est admirable dans tout ce qu'il a peint et tous les genres se sont en quelque sorte soumis à son pinceau. (Cuyp (Albert))|Six pêches et plusieurs grappes de raisin groupées ensemble et entourées de chenilles, papillons et autres insectes. Le pinceau le plus suave, la plus belle fonte de couleurs se réunissent, dans ce tableau, à la vérité la plus parfaite. Cuyp est admirable dans tout ce qu'il a peint et tous les genres se sont en quelque sorte soumis à son pinceau.]] réalisée par Cuyp (Albert), vendue par Michalon au prix de 260 fl. [106]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune bergère, à demi-nue et couronnée de roses, dort couchée sur le devant d'un paysage. Un berger, qui vient de s'approcher d'elle, fait un signe comme pour la faire remarquer à quelqu'autre personnage. Un bouc est à côté de la belle dormeuse ; et à ses pieds se tient le chien fidèle qui lui aide à garder son troupeau. Ce tableau, qui tient singulièrement à la manière d'Albert Cuyp, est remarquable par une grande beauté de pinceau. (Cuyp (Jacques Gerrits))|Une jeune bergère, à demi-nue et couronnée de roses, dort couchée sur le devant d'un paysage. Un berger, qui vient de s'approcher d'elle, fait un signe comme pour la faire remarquer à quelqu'autre personnage. Un bouc est à côté de la belle dormeuse ; et à ses pieds se tient le chien fidèle qui lui aide à garder son troupeau. Ce tableau, qui tient singulièrement à la manière d'Albert Cuyp, est remarquable par une grande beauté de pinceau.]] réalisée par Cuyp (Jacques Gerrits), vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 25 fl. [107]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme, la houlette en main et coîffée d'un chapeau de paille, garde un nombreux troupeau de brebis ; près d'elle est un enfant qui lui fait sentir un bouquet de jonquilles. Plus loin, un villageois s'occupe à ensemenser son champ. (Cuyp (Jacques Gerrits))|Une femme, la houlette en main et coîffée d'un chapeau de paille, garde un nombreux troupeau de brebis ; près d'elle est un enfant qui lui fait sentir un bouquet de jonquilles. Plus loin, un villageois s'occupe à ensemenser son champ.]] réalisée par Cuyp (Jacques Gerrits), vendue par Michalon au prix de 45.5 fl. [108]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de ménage ; au milieu, près d'un lit et d'un berceau, une mère tient son enfant emmailloté dans ses bras ; près d'elle, deux autres enfans de sept à neuf ans s'amusent avec un chien ; un tableau est attaché au mur de l'appartement, et l'on voit en dehors une jeune fille regardant par la croisée. Ce tableau est aussi agréable que bien peint. (Demoni (Louis))|Intérieur de ménage ; au milieu, près d'un lit et d'un berceau, une mère tient son enfant emmailloté dans ses bras ; près d'elle, deux autres enfans de sept à neuf ans s'amusent avec un chien ; un tableau est attaché au mur de l'appartement, et l'on voit en dehors une jeune fille regardant par la croisée. Ce tableau est aussi agréable que bien peint.]] réalisée par Demoni (Louis), vendue par Michalon, achetée par Couturier au prix de 79.5 fl. [109]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Buste de vieillard représenté tête nue, barbe courte. L'inimitable auteur de ce tableau a vu la nature avec des yeux de lynx et l'a rendue de même. Les moindres rides, les pores même de la peau, sa transparence, le sang et les humeurs qu'elle enveloppe, sont autant de choses qu'il a osé peindre, et qui rendent ses beaux ouvrages inapréciables. (Denner (Balthazar))|Buste de vieillard représenté tête nue, barbe courte. L'inimitable auteur de ce tableau a vu la nature avec des yeux de lynx et l'a rendue de même. Les moindres rides, les pores même de la peau, sa transparence, le sang et les humeurs qu'elle enveloppe, sont autant de choses qu'il a osé peindre, et qui rendent ses beaux ouvrages inapréciables.]] réalisée par Denner (Balthazar), vendue par Michalon au prix de 247 fl. [110]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue prise dans l'intérieur d'une forêt traversée par un ruisseau. A gauche, sur le devant, est une chaumière entourée d'arbres, et un peu plus loin, vers le milieu du point de vue, un villageois causant avec une femme sur un petit pont de bois. Ce paysage réunit une touche facile à beaucoup de vigueur et de vérité. (Devries (Reynier))|Vue prise dans l'intérieur d'une forêt traversée par un ruisseau. A gauche, sur le devant, est une chaumière entourée d'arbres, et un peu plus loin, vers le milieu du point de vue, un villageois causant avec une femme sur un petit pont de bois. Ce paysage réunit une touche facile à beaucoup de vigueur et de vérité.]] réalisée par Devries (Reynier), vendue par Michalon au prix de 76 fl. [111]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un homme et une femme, assis dans l'intérieur d'une maison, sont entourés de légumes qui forment vraisemblablement l'objet de leur commerce. L'homme tient un panier d'oeufs, et devant lui se trouve placé un baquet ou l'on remarque une courge et plusieurs sortes de choux ; d'autres choux, mêlés avec des carottes et des navets, remplissent un panier renversé à côté de la femme. Une porte ouverte laisse voir à quelque distance un pont situé sur un canal. Ce tableau, d'un style naïf et d'un travail extrêmement rendu, a quelque chose du faire de Zorg et quelque chose aussi de la manière de Van Staveren. (Donckr (Signé G.))|Un homme et une femme, assis dans l'intérieur d'une maison, sont entourés de légumes qui forment vraisemblablement l'objet de leur commerce. L'homme tient un panier d'oeufs, et devant lui se trouve placé un baquet ou l'on remarque une courge et plusieurs sortes de choux ; d'autres choux, mêlés avec des carottes et des navets, remplissent un panier renversé à côté de la femme. Une porte ouverte laisse voir à quelque distance un pont situé sur un canal. Ce tableau, d'un style naïf et d'un travail extrêmement rendu, a quelque chose du faire de Zorg et quelque chose aussi de la manière de Van Staveren.]] réalisée par Donckr (Signé G.), vendue par Michalon au prix de 85 fl. [114]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une femme assise appuie sa tête sur une de ses mains et tient de de l'autre un compas. Ce sujet, gravé par Albert Durer, est connu sous le titre de la Mélancolie. Albert Durer est-il aussi l'auteur de ce tableau ? c'est ce que nous laissons au jugement des connaisseurs, les opinions étant partagées. (Durer (Albert))|Une femme assise appuie sa tête sur une de ses mains et tient de de l'autre un compas. Ce sujet, gravé par Albert Durer, est connu sous le titre de la Mélancolie. Albert Durer est-il aussi l'auteur de ce tableau ? c'est ce que nous laissons au jugement des connaisseurs, les opinions étant partagées.]] réalisée par Durer (Albert), vendue par Michalon au prix de 72 fl. [117]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un homme coiffé d'une toque de velours, chaissé de brodequins et portant une centure sur sa tunique, tient une canne à sa main et se repose sur le devant d'un paysage. On voit à ses pieds deux brebis et un bélier. Dans ce tableau régne la belle commune à tous les élèves de Rembrant, et donne à leurs ouvrages un caractère tout particulier. (Eekhout (Gerbrand vanden))|Un homme coiffé d'une toque de velours, chaissé de brodequins et portant une centure sur sa tunique, tient une canne à sa main et se repose sur le devant d'un paysage. On voit à ses pieds deux brebis et un bélier. Dans ce tableau régne la belle commune à tous les élèves de Rembrant, et donne à leurs ouvrages un caractère tout particulier.]] réalisée par Eekhout (Gerbrand vanden), vendue par Michalon, achetée par Delaloge au prix de 79 fl. [118]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cabinet de tableaux, sculptures, et autres objets de curiosité. L'amateur qui l'a formé est assis devant une table, et tient un compas avec lequel il cherche des distances sur un globe terrestre. A sa gauche, est un marchand qui lui fait remarquer une coquille qu'il vient sans doute lui offrir ; et derrière lui est un peintre qui paraît vouloir lui montrer un tableau. On aime ce genre de tableaux, à cause de la variété d'objets qu'ils présentent aux yeux. (Franck (François))|Cabinet de tableaux, sculptures, et autres objets de curiosité. L'amateur qui l'a formé est assis devant une table, et tient un compas avec lequel il cherche des distances sur un globe terrestre. A sa gauche, est un marchand qui lui fait remarquer une coquille qu'il vient sans doute lui offrir ; et derrière lui est un peintre qui paraît vouloir lui montrer un tableau. On aime ce genre de tableaux, à cause de la variété d'objets qu'ils présentent aux yeux.]] réalisée par Franck (François), vendue par Michalon au prix de 42.5 fl. [120]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Société de personnages entrant deux à deux dans un salon, où plusieurs masques tenant des torchers et des instrumens de musique, sortent brusquement de derrière un rideau. Un buffet à vaisselle, et trois musiciens jouant de la mandoline, annoncent qu'il s'agit des préparaitifs d'un bal. (Franck (Genre de François))|Société de personnages entrant deux à deux dans un salon, où plusieurs masques tenant des torchers et des instrumens de musique, sortent brusquement de derrière un rideau. Un buffet à vaisselle, et trois musiciens jouant de la mandoline, annoncent qu'il s'agit des préparaitifs d'un bal.]] réalisée par Franck (Genre de François), vendue par Michalon, achetée par Durand au prix de 34 fl. [122]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un port de Hollande. Il est rempli de chaloupes, galiottes, yachts et vaisseaux, les uns amarrés près des quais, les autres au milieu du port. Plus loin, d'autres navires sont mouillés sur une rivière au delà de laquelle on remarque plusieurs maisons de campagne. Sur le devant est un quai ; aux deux côtés sont des auberges ; et çà et là beaucoup de personnages, matelots, travailleurs, et autres. (Fargue (Paulus Constantin la))|Vue d'un port de Hollande. Il est rempli de chaloupes, galiottes, yachts et vaisseaux, les uns amarrés près des quais, les autres au milieu du port. Plus loin, d'autres navires sont mouillés sur une rivière au delà de laquelle on remarque plusieurs maisons de campagne. Sur le devant est un quai ; aux deux côtés sont des auberges ; et çà et là beaucoup de personnages, matelots, travailleurs, et autres.]] réalisée par Fargue (Paulus Constantin la), vendue par Michalon au prix de 80 fl. [124]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage d'un aspect romantique et tout-à-fait silencieux. Les premiers plans sont arrosés par une rivière, en deçà de laquelle une nymphe est debout devant une naïade. Une autre naïade, vue par le dos, est assise sur l'herbe et appuyée sur un vase renversé. Au delà de la rivière, on aperçoit une fontaine, et plus loin de magnifiques édifices, situés au pied d'une montagne dont la cime est surmontée d'un rocher percé. Beaucoup de grands arbres, marroniers et autres, ornent et ombragent cette composition. Les figures de ces tableaux sont de la main de Gérard de Lairesse. Quant au paysages, ils sont des meilleurs de Glauber, peintre de beaucoup de mérite. (Glaubert (Jean))|Paysage d'un aspect romantique et tout-à-fait silencieux. Les premiers plans sont arrosés par une rivière, en deçà de laquelle une nymphe est debout devant une naïade. Une autre naïade, vue par le dos, est assise sur l'herbe et appuyée sur un vase renversé. Au delà de la rivière, on aperçoit une fontaine, et plus loin de magnifiques édifices, situés au pied d'une montagne dont la cime est surmontée d'un rocher percé. Beaucoup de grands arbres, marroniers et autres, ornent et ombragent cette composition. Les figures de ces tableaux sont de la main de Gérard de Lairesse. Quant au paysages, ils sont des meilleurs de Glauber, peintre de beaucoup de mérite.]] réalisée par Glaubert (Jean), vendue par Michalon au prix de 216 fl. [126]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre paysage, de la même grandeur que le précédent, et composé dans le genre historique. On y remarque, sur le devant, un homme se reposant sur un des côtés d'un chemin, deux autres sur le bord d'une rivière, et plus loin d'autres encore, sur la rive d'un fleuve. Des arbres d'une belle forme, des montagnes dont le sommet perce les airs, enrichissent toutes les parties du point de vue, et en font une perspective où la grandeur se joint aux charmes de la variètè. Les figures de ces tableaux sont de la main de Gérard de Lairesse. Quant aux paysages, ils sont des meilleurs de Glauber, peintre de beaucoup de mérite. h. 17, l. 21. (Glaubert (Jean))|Autre paysage, de la même grandeur que le précédent, et composé dans le genre historique. On y remarque, sur le devant, un homme se reposant sur un des côtés d'un chemin, deux autres sur le bord d'une rivière, et plus loin d'autres encore, sur la rive d'un fleuve. Des arbres d'une belle forme, des montagnes dont le sommet perce les airs, enrichissent toutes les parties du point de vue, et en font une perspective où la grandeur se joint aux charmes de la variètè. Les figures de ces tableaux sont de la main de Gérard de Lairesse. Quant aux paysages, ils sont des meilleurs de Glauber, peintre de beaucoup de mérite. h. 17, l. 21.]] réalisée par Glaubert (Jean), vendue par Michalon au prix de 216 fl. [127]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un fleuve dont les eaux s'étendent, à droite, jusqu'à l'horizon ; à gauche est un jetée construite en bois et couverte de personnages. On voit, au pied de cette jetée, des matelots dans plusieurs chaloupes. -- Tableau d'une grande légéreté de pinceau et d'un bon effet. (Goyen (Jean van))|Vue d'un fleuve dont les eaux s'étendent, à droite, jusqu'à l'horizon ; à gauche est un jetée construite en bois et couverte de personnages. On voit, au pied de cette jetée, des matelots dans plusieurs chaloupes. -- Tableau d'une grande légéreté de pinceau et d'un bon effet.]] réalisée par Goyen (Jean van), vendue par Michalon au prix de 41 fl. [129]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage offrant une vue du Rhin. Ce fleuve, dont le cours tortueux s'enfonce et disparaît dans les montagnes lointaines, est bordé de petits côteaux et de rocs escarpés qui recréent la vue de mille objets divers. A droite, sur le devant du tableau, on remarque une grande quantité de marchands et de tentes qui indiquent une foire. Ce délicieux tableau, dont toutes les parties sont terminées avec un grand soin, présente, une plus riches perspectives qu'il soit possible de rencontrer. (Griffier (Jean))|Paysage offrant une vue du Rhin. Ce fleuve, dont le cours tortueux s'enfonce et disparaît dans les montagnes lointaines, est bordé de petits côteaux et de rocs escarpés qui recréent la vue de mille objets divers. A droite, sur le devant du tableau, on remarque une grande quantité de marchands et de tentes qui indiquent une foire. Ce délicieux tableau, dont toutes les parties sont terminées avec un grand soin, présente, une plus riches perspectives qu'il soit possible de rencontrer.]] réalisée par Griffier (Jean), vendue par Michalon au prix de 220 fl. [130]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur une table couverte d'un tapis vert sont posés un couteau, un plat et un pot d'étain, une moitié de fromage, une assiette de porcelaine remplie de beurre frais et deux petits pains. On voit de fois à autres des tableaux de nature morte qui sont d'une grande vérité ; dans celui-ci l'art est parvenu au plus haut degré d'illusion. (De Heem (J. David de))|Sur une table couverte d'un tapis vert sont posés un couteau, un plat et un pot d'étain, une moitié de fromage, une assiette de porcelaine remplie de beurre frais et deux petits pains. On voit de fois à autres des tableaux de nature morte qui sont d'une grande vérité ; dans celui-ci l'art est parvenu au plus haut degré d'illusion.]] réalisée par De Heem (J. David de), vendue par Michalon, achetée par Rey au prix de 46 fl. [138]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Estaminet flamand. On y remarque trois tersonnages d'un riche embonpoint, dont l'un semble communiquer aux deux autres quelques passages d'une gazette qu'il tient à sa main -- Pour pendant, trois fumeurs dans une tabagie, dont l'un regarde en riant son camarade, qui renvoie la fumée de sa pipe. (Heemskerck (Egbert))|Estaminet flamand. On y remarque trois tersonnages d'un riche embonpoint, dont l'un semble communiquer aux deux autres quelques passages d'une gazette qu'il tient à sa main -- Pour pendant, trois fumeurs dans une tabagie, dont l'un regarde en riant son camarade, qui renvoie la fumée de sa pipe.]] réalisée par Heemskerck (Egbert), vendue par Michalon au prix de 16.5 fl. [144]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de cuisine d'auberge. Sur le devant, à côté d'une table chargée de fruits et de gibier, une femme est occupée à éplucher des légumes : dans le fond, trois autres personnages se chauffent au feu d'une cheminée. Un chaudron, un baquet, plusieurs vases de terre, une brouette et des légumes enrichissent ce tableau. (Helmont (Mathieu Van))|Intérieur de cuisine d'auberge. Sur le devant, à côté d'une table chargée de fruits et de gibier, une femme est occupée à éplucher des légumes : dans le fond, trois autres personnages se chauffent au feu d'une cheminée. Un chaudron, un baquet, plusieurs vases de terre, une brouette et des légumes enrichissent ce tableau.]] réalisée par Helmont (Mathieu Van), vendue par Michalon au prix de 33.5 fl. [146]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un pâtre, ayant son chien à ses pieds, et tenant sa musette, dont il vient d'interrompre les sons, garde un riche troupeau de vaches et de brebis répandues sur un cabaret près duquel on remarque une société de gens à table. Sur ce même plan, à gauche, s'élève une colline où l'on distingue un autre berger avec son troupeau. (Helmont (Mathieu Van))|Un pâtre, ayant son chien à ses pieds, et tenant sa musette, dont il vient d'interrompre les sons, garde un riche troupeau de vaches et de brebis répandues sur un cabaret près duquel on remarque une société de gens à table. Sur ce même plan, à gauche, s'élève une colline où l'on distingue un autre berger avec son troupeau.]] réalisée par Helmont (Mathieu Van), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 40 [ou] 44 fl. [147]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un apothicaire, un livre à la main, est occupé à composer une mixtion ; près de lui est une table chargée de vases et autres objets : dans le fond de son laboratoire, trois garçons font chauffer un médicament sur un réchaud. (Helmont (Mathieu Van))|Un apothicaire, un livre à la main, est occupé à composer une mixtion ; près de lui est une table chargée de vases et autres objets : dans le fond de son laboratoire, trois garçons font chauffer un médicament sur un réchaud.]] réalisée par Helmont (Mathieu Van), vendue par Michalon au prix de 30.2 fl. [148]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Au milieu, dans le bord d'une rivière, s'élève un antique édifice surmonté d'une tourelle et en partie ruiné. Sur le devant est un chemin où sont arrêtés deux paysans, un homme rattachant les hottes d'un âne, et une femme tenant un agneau qu'elle montre à une brebis. Ces figures sont de main de M. Ommeganck et de son plus beau faire. Quant au paysage, c'est également une des meilleurs productions de M. Huysmans. (Huysmans, de Bruxelles)|Paysage. Au milieu, dans le bord d'une rivière, s'élève un antique édifice surmonté d'une tourelle et en partie ruiné. Sur le devant est un chemin où sont arrêtés deux paysans, un homme rattachant les hottes d'un âne, et une femme tenant un agneau qu'elle montre à une brebis. Ces figures sont de main de M. Ommeganck et de son plus beau faire. Quant au paysage, c'est également une des meilleurs productions de M. Huysmans.]] réalisée par Huysmans, de Bruxelles, vendue par Michalon au prix de 231 [ou] 431 fl. [151]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Plusieurs vaches et autres animaux broutent ou se reposent sur le devant d'un paysage, dont la gauche est ombragée par des grands arbres. Ce joli tableau est un de ceux où l'auteur a pris à tâche de se rapprôcher du genre de Paul Potter. (Klomp (Albert))|Plusieurs vaches et autres animaux broutent ou se reposent sur le devant d'un paysage, dont la gauche est ombragée par des grands arbres. Ce joli tableau est un de ceux où l'auteur a pris à tâche de se rapprôcher du genre de Paul Potter.]] réalisée par Klomp (Albert), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 89 fl. [159]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Pâturage. On y voit sur le premier plan un cheval blanc, plusieurs moutons et deux vaches, l'une debout, l'autre couchée : à droite quelques arbres relvent la simplicité du point de vue. Les ouvrages de Kobell approchent plus qu'aucuns autres de ceux du célèbre Paul Potter, et peuvent en tenir lieu quand on ne veut que des tableaux d'un prix modéré. (Kobell)|Le Pâturage. On y voit sur le premier plan un cheval blanc, plusieurs moutons et deux vaches, l'une debout, l'autre couchée : à droite quelques arbres relvent la simplicité du point de vue. Les ouvrages de Kobell approchent plus qu'aucuns autres de ceux du célèbre Paul Potter, et peuvent en tenir lieu quand on ne veut que des tableaux d'un prix modéré.]] réalisée par Kobell, vendue par Michalon, achetée par Delahante au prix de 800 fl. [161]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de cuisine d'auberge. Une servante, assise près d'un tonneau, se dispose à éplucher des légumes, qu'une marchande lui apporte dans une brouette. Une autre servante arrange quelque chose sur un buffet. Le maître de la maison, une pipe à la main, présente un verre de bière à un paysane, qui lui apporte aussi des productions de son jardin. (Lambrechts)|Intérieur de cuisine d'auberge. Une servante, assise près d'un tonneau, se dispose à éplucher des légumes, qu'une marchande lui apporte dans une brouette. Une autre servante arrange quelque chose sur un buffet. Le maître de la maison, une pipe à la main, présente un verre de bière à un paysane, qui lui apporte aussi des productions de son jardin.]] réalisée par Lambrechts, vendue par Michalon au prix de 55.05 fl. [165]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de cuisine. On y remarque un homme vidant un pot de bière, une femme tenant un plat de légumes, et de plus trois autres personnages tournant le dos. La touche de Lambrechts, franche et moëlleuse, fait regretter qu'il n'ait pas mieux choisi ses airs de tête. (Lambrechts)|Intérieur de cuisine. On y remarque un homme vidant un pot de bière, une femme tenant un plat de légumes, et de plus trois autres personnages tournant le dos. La touche de Lambrechts, franche et moëlleuse, fait regretter qu'il n'ait pas mieux choisi ses airs de tête.]] réalisée par Lambrechts, vendue par Michalon au prix de 42.5 fl. [166]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de temple consacré au culte des protestans. A droite, au dessus d'une porte, est un grand buffet d'orgue ; à gauche, dans une autre nef, est suspendu un lustre garni de bougies allumées : çà et là sont dispersés une vingtaine de personnages, hommes, femmes et enfans. (Lueck (D.D.))|Intérieur de temple consacré au culte des protestans. A droite, au dessus d'une porte, est un grand buffet d'orgue ; à gauche, dans une autre nef, est suspendu un lustre garni de bougies allumées : çà et là sont dispersés une vingtaine de personnages, hommes, femmes et enfans.]] réalisée par Lueck (D.D.), vendue par Michalon au prix de 111 fl. [168]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Manége. Il est établi sur une grande terrasse attenant à un parc. Un écuyer fait passager un cheval dans les piliers, pour le mettre en belle posture et le façonner à une démarche fière et relevée. Cet exercice excite l'attention de trois cavaliers, dont l'un est prêt à monter sur un cheval noir, qu'un valet tient par la bride. Plus loin, deux autres cavaliers font la promenade autour du manége. -- Maas a bien dessiné les chevaux ; sa couleur est claire et agréable et son pinceau des plus moëlleux. (Maas (Dirck))|Le Manége. Il est établi sur une grande terrasse attenant à un parc. Un écuyer fait passager un cheval dans les piliers, pour le mettre en belle posture et le façonner à une démarche fière et relevée. Cet exercice excite l'attention de trois cavaliers, dont l'un est prêt à monter sur un cheval noir, qu'un valet tient par la bride. Plus loin, deux autres cavaliers font la promenade autour du manége. -- Maas a bien dessiné les chevaux ; sa couleur est claire et agréable et son pinceau des plus moëlleux.]] réalisée par Maas (Dirck), vendue par Michalon au prix de 66.05 fl. [170]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une des bonnes productions de ce maître. On y remarque, sur le devant d'un paysage, plusieurs marchandes de légumes et de gibier, au milieu desquelles est une dame suivie d'une jeune fille qui lui porte son parasol ; sur le second plan, à gauche, une rivière baigne les murs d'un village : à droite, une coline et des montagnes s'élèvent au dessus de l'horizon. (Momers)|Une des bonnes productions de ce maître. On y remarque, sur le devant d'un paysage, plusieurs marchandes de légumes et de gibier, au milieu desquelles est une dame suivie d'une jeune fille qui lui porte son parasol ; sur le second plan, à gauche, une rivière baigne les murs d'un village : à droite, une coline et des montagnes s'élèvent au dessus de l'horizon.]] réalisée par Momers, vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 127 fl. [181]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dans le goût de Vangoyen. A droit, plusieurs chaumières entourées d'arbres ; à gauche, un champ de blé et des moissonneurs ; au milieu, trois villageois causant ensemble sur le bord d'un chemin. Ces figures sont de la main d'Isaac Van Ostade. Un artiste moderne a cru devoir ajouter vaches sur le devant du tableau. (Moscher (J. Van))|Paysage dans le goût de Vangoyen. A droit, plusieurs chaumières entourées d'arbres ; à gauche, un champ de blé et des moissonneurs ; au milieu, trois villageois causant ensemble sur le bord d'un chemin. Ces figures sont de la main d'Isaac Van Ostade. Un artiste moderne a cru devoir ajouter vaches sur le devant du tableau.]] réalisée par Moscher (J. Van), vendue par Michalon au prix de 40 fl. [184]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un chemin tracé au pied d'un roc escarpé, un paysan rattache sur le dos de son âne une paire de hottes, Avec lui est une femme tenant un agneau, qu'elle montre à la brebis qui en est la mère. Plusieurs autres animaux que ces villageois conduisent, sont arrêtés avec eux sur le milieu du chemin ; à gauche est une rivière au dela de laquelle on aperçoit une jolie petite maison. -- M. Myn, imitateur de M. Ommeganck, son beaufrère, ne lui cede presqu'en rien sous le rapport de l'exécution. (Myn (M.))|Dans un chemin tracé au pied d'un roc escarpé, un paysan rattache sur le dos de son âne une paire de hottes, Avec lui est une femme tenant un agneau, qu'elle montre à la brebis qui en est la mère. Plusieurs autres animaux que ces villageois conduisent, sont arrêtés avec eux sur le milieu du chemin ; à gauche est une rivière au dela de laquelle on aperçoit une jolie petite maison. -- M. Myn, imitateur de M. Ommeganck, son beaufrère, ne lui cede presqu'en rien sous le rapport de l'exécution.]] réalisée par Myn (M.), vendue par Michalon, achetée par Henry au prix de 90 fl. [185]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de la grande nef d'une église destinée au culte catholique : un prêtre y célèbre la messe devant un autel qui est placé au dessous de jubé ; un second s'entretient avec un gentilhomme, tout près du bénitier : ça et là sont dispersés beaucoup d'autres personnages. Les figures sont de F. Frank. Ce tableau est riche en détails et d'un bon effet. (Neef, le vieux (Pierre))|Vue de la grande nef d'une église destinée au culte catholique : un prêtre y célèbre la messe devant un autel qui est placé au dessous de jubé ; un second s'entretient avec un gentilhomme, tout près du bénitier : ça et là sont dispersés beaucoup d'autres personnages. Les figures sont de F. Frank. Ce tableau est riche en détails et d'un bon effet.]] réalisée par Neef, le vieux (Pierre), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 184 fl. [186]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage couvert d'arbres à main gauche, et baigné à droite par un fleuve au delà duquel est une chaîne de montagnes. On y remarque, entre autres figures, Tobie accompagné par l'ange et portant le poisson. Les paysages de ce maître sont d'autant plus rares qu'il quitta ce genre pour peindre des scènes famili`eres. (Neer (Eglon Vander))|Paysage couvert d'arbres à main gauche, et baigné à droite par un fleuve au delà duquel est une chaîne de montagnes. On y remarque, entre autres figures, Tobie accompagné par l'ange et portant le poisson. Les paysages de ce maître sont d'autant plus rares qu'il quitta ce genre pour peindre des scènes famili`eres.]] réalisée par Neer (Eglon Vander), vendue par Michalon, achetée par Tardieu au prix de 48.05 fl. [187]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune femme tenant une corbeille de fleurs et portant une branche d'oranger fleuri dans ses cheveux. La tête a été retouchée par un artiste moderne ; les fleurs, ajoutées par Vanpol, sont peintes avec autant d'esprit que de vérité. (Netscher (Constantin))|Une jeune femme tenant une corbeille de fleurs et portant une branche d'oranger fleuri dans ses cheveux. La tête a été retouchée par un artiste moderne ; les fleurs, ajoutées par Vanpol, sont peintes avec autant d'esprit que de vérité.]] réalisée par Netscher (Constantin), vendue par Michalon au prix de 33.50 [ou] 63 fl. [189]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'incendie d'une maison pendant la nuit. Cet événement a rassemblé une foule d'hommes et de femmes, dont les uns travaillent à arrèter les progrès du feu, tandis que d'autres emportent des effets qu'ils sont parvenus à soustraire à ses ravages. (Poel (Vander))|L'incendie d'une maison pendant la nuit. Cet événement a rassemblé une foule d'hommes et de femmes, dont les uns travaillent à arrèter les progrès du feu, tandis que d'autres emportent des effets qu'ils sont parvenus à soustraire à ses ravages.]] réalisée par Poel (Vander), vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 18 fl. [195]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue intérieure d'une habitation de nègres, en Amérique. On y remarque, dans une enceinte de murs, des plantes, des arbres et des animaux indigènes ; deux petites maisons ayant chacune un péristyle, et plusieurs nègres et négresses occupés à différens travaux. (Post)|Vue intérieure d'une habitation de nègres, en Amérique. On y remarque, dans une enceinte de murs, des plantes, des arbres et des animaux indigènes ; deux petites maisons ayant chacune un péristyle, et plusieurs nègres et négresses occupés à différens travaux.]] réalisée par Post, vendue par Michalon au prix de 40.1 fl. [197]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de Hollande. Effets de neige et de clair de lune. A gauche, sur le devant, est une maison d'où viennent de sortir un homme et sa femme : celle-ci tient une chandelle allumée ; l'homme, armé d'un long bâton, brise la glace d'un canal pour former un puisard. De chaque côté du canal, sur différens plans, on distingue une église, plusieurs toits de chaume et un moulin à vent. (Regemorter (Van))|Vue de Hollande. Effets de neige et de clair de lune. A gauche, sur le devant, est une maison d'où viennent de sortir un homme et sa femme : celle-ci tient une chandelle allumée ; l'homme, armé d'un long bâton, brise la glace d'un canal pour former un puisard. De chaque côté du canal, sur différens plans, on distingue une église, plusieurs toits de chaume et un moulin à vent.]] réalisée par Regemorter (Van), vendue par Michalon au prix de 130 fl. [198]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Claire de lune. Cet astre éclaire un paysage dont le milieu est occupé par un pont de deux arches ; la droite, par plusieurs édifices situés au pied d'une montagne, et la gauche, par un chemin où s'avance un villageois conduisant un troupeau de gros et de menu bétail. (Regemorter (Genre de))|Claire de lune. Cet astre éclaire un paysage dont le milieu est occupé par un pont de deux arches ; la droite, par plusieurs édifices situés au pied d'une montagne, et la gauche, par un chemin où s'avance un villageois conduisant un troupeau de gros et de menu bétail.]] réalisée par Regemorter (Genre de), vendue par Michalon au prix de 28.5 fl. [199]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau dans le style de Paul Potter. Sur le premier plan, qu'obscurcit une forte demi-teinte, sont représentées deux vaches, une rousse et une noire, qui se détachent en vigueur sur le ciel. Plus loin, dans un endroit qu'éclairent les rayons du soleil, trois autres vaches se détachent en clair sur d'épaisses nuées qui s'abaissent sur l'horizon et annoncent un prochain orage. Nous regardons ce tableau comme une des meilleurs productions de son auteur. (Roy (M.B. de))|Tableau dans le style de Paul Potter. Sur le premier plan, qu'obscurcit une forte demi-teinte, sont représentées deux vaches, une rousse et une noire, qui se détachent en vigueur sur le ciel. Plus loin, dans un endroit qu'éclairent les rayons du soleil, trois autres vaches se détachent en clair sur d'épaisses nuées qui s'abaissent sur l'horizon et annoncent un prochain orage. Nous regardons ce tableau comme une des meilleurs productions de son auteur.]] réalisée par Roy (M.B. de), vendue par Michalon, achetée par Montigneul au prix de 160 fl. [200]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de forêt. Sur le premier plan, et au delà d'une rivière formant cascade, est une butte couronnée de chênes et autres arbres ; à gauche, la rivière va baigner le pied d'un côteau qui occupe le second plan ; à droite, elle coule sous un petit pont de bois où passe un troupeau de brebis. -- Ce bel ouvrage, d'un maître qui tient un des premiers rangs parmi les paysagistes, réunit à la vigueur du coloris, à l'aspect sombre et sauvage d'une forêt, ce pinceau facile, cette solidité d'exécution, ce feuillé spirituellement rendu qui caractérisent la belle manière de Ruysdael. (Ruysdael (Jacques))|Intérieur de forêt. Sur le premier plan, et au delà d'une rivière formant cascade, est une butte couronnée de chênes et autres arbres ; à gauche, la rivière va baigner le pied d'un côteau qui occupe le second plan ; à droite, elle coule sous un petit pont de bois où passe un troupeau de brebis. -- Ce bel ouvrage, d'un maître qui tient un des premiers rangs parmi les paysagistes, réunit à la vigueur du coloris, à l'aspect sombre et sauvage d'une forêt, ce pinceau facile, cette solidité d'exécution, ce feuillé spirituellement rendu qui caractérisent la belle manière de Ruysdael.]] réalisée par Ruysdael (Jacques), vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 687.5 fl. [204]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une petite paysanne, tenant une corbeille remplie de légumes, regarde en riant une geune garçon qui fait manger un chevreau. Près d'eux est un autre enfant qui s'amuse à jouer du flageolet. Sekats, imitateur de Diétrick, l'a égalé dans ces deux charmans tableaux. (Sekats)|Une petite paysanne, tenant une corbeille remplie de légumes, regarde en riant une geune garçon qui fait manger un chevreau. Près d'eux est un autre enfant qui s'amuse à jouer du flageolet. Sekats, imitateur de Diétrick, l'a égalé dans ces deux charmans tableaux.]] réalisée par Sekats, vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 167 fl. [210]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les amusemens de la guinguette. Un musicien de village, la musette en main, régle la mesure et les pas de deux danseurs. A sa gauche est un sage, qui préfère le bonheur de caresser tour à tour sa pinte et sa pipe, au stérile plaisir de gambader. Sur un banc, presque vis-a-vis de lui, un homme et une femme font un écot particulier, le premier tenant une cruche, la femme se disposant à vider un grand verre. Pendant ce tems, un autre couple fait la conversation dans un coin. -- Ce joli tableau est d'une teinte blonde, d'un faire léger, d'une touche délicate et bien ménagée, et enfin d'un ensemble aussi séduisant que parfait. (Téniers fils (David))|Les amusemens de la guinguette. Un musicien de village, la musette en main, régle la mesure et les pas de deux danseurs. A sa gauche est un sage, qui préfère le bonheur de caresser tour à tour sa pinte et sa pipe, au stérile plaisir de gambader. Sur un banc, presque vis-a-vis de lui, un homme et une femme font un écot particulier, le premier tenant une cruche, la femme se disposant à vider un grand verre. Pendant ce tems, un autre couple fait la conversation dans un coin. -- Ce joli tableau est d'une teinte blonde, d'un faire léger, d'une touche délicate et bien ménagée, et enfin d'un ensemble aussi séduisant que parfait.]] réalisée par Téniers fils (David), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 1201 fl. [214]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sept buveurs rassemblés en un groupe, près de la cheminée d'un cabaret. L'un d'eux tient une cruche et un verre ; les autres ont leur pipe à la bouche ou à la main. Il y a dans ce tableau des parties admirablement traitées, et qui sont de nature à faire faire une méprise. (Attribué à Téniers)|Sept buveurs rassemblés en un groupe, près de la cheminée d'un cabaret. L'un d'eux tient une cruche et un verre ; les autres ont leur pipe à la bouche ou à la main. Il y a dans ce tableau des parties admirablement traitées, et qui sont de nature à faire faire une méprise.]] réalisée par Attribué à Téniers, vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 181 fl. [215]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Elle représente la cour d'une auberge ou cabaret de village. Au milieu, trois femmes sont à table avec un homme, et derrière elles se tiennent debout trois autres personnages, parmi lesquels est un joueur de violon. A droite, près d'un puits, est une servante et un rustre qui mange des moules. Cet ouvrage est remarquable par une grande fermeté de pinceau, une touche pleine d'énergie, et plus encore par une sorte d'originalité. (Belle imitation de Téniers)|Elle représente la cour d'une auberge ou cabaret de village. Au milieu, trois femmes sont à table avec un homme, et derrière elles se tiennent debout trois autres personnages, parmi lesquels est un joueur de violon. A droite, près d'un puits, est une servante et un rustre qui mange des moules. Cet ouvrage est remarquable par une grande fermeté de pinceau, une touche pleine d'énergie, et plus encore par une sorte d'originalité.]] réalisée par Belle imitation de Téniers, vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 104 fl. [216]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des voleurs, rassemblés dans leur repaire, examinent, à la clarté d'une torche, les effets que renfermait un coffre dont ils viennent de se saisir. Pendant ce tems, deux hommes de leur bande, armés de fusils, sont en sentinelle sur le haut d'un mur. Ailleurs est une femme qui leur prépare à souper. Ce tableau, d'une touche spirituelle et d'un grand effet, a quelque chose de la manière de Diétrick. (Trautmann)|Des voleurs, rassemblés dans leur repaire, examinent, à la clarté d'une torche, les effets que renfermait un coffre dont ils viennent de se saisir. Pendant ce tems, deux hommes de leur bande, armés de fusils, sont en sentinelle sur le haut d'un mur. Ailleurs est une femme qui leur prépare à souper. Ce tableau, d'une touche spirituelle et d'un grand effet, a quelque chose de la manière de Diétrick.]] réalisée par Trautmann, vendue par Michalon au prix de 112 fl. [217]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage d'une exécution soignée. A droite, une grande maison ombragée d'arbres ; à gauche, d'autres arbres ; au milieu, une échappée de vue laissant apercevoir une plaine arrosée par un fleuve ; sur le devant, plusieurs figures se reposant au bord d'un champ. (Uden (Lucas Van))|Paysage d'une exécution soignée. A droite, une grande maison ombragée d'arbres ; à gauche, d'autres arbres ; au milieu, une échappée de vue laissant apercevoir une plaine arrosée par un fleuve ; sur le devant, plusieurs figures se reposant au bord d'un champ.]] réalisée par Uden (Lucas Van), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 19.5 fl. [218]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des canots, des chalouppes et des barques de transport flottent en grand nombre sur un fleuve calme, où se réflette la brillante clarté d'un beau ciel. Au milieu de ces batteaux est un yacht, magnifiquement décoré, qui se dirige vers le large. Son capitaine, le porte-voix à la bouche, héle l'équipage d'un des navires devant lesquels il passe, ou les personnages que porte un canot qui vient de quitter son bord. Ce tableau, d'un grand mérite et d'un très-bel aspect, a été chèrement payé par feu M. Michalon ; cependant il a fait naître des doutes qui nous obligent de le soumettre au jugement des connaisseurs. (Velde (Willem Vanden))|Des canots, des chalouppes et des barques de transport flottent en grand nombre sur un fleuve calme, où se réflette la brillante clarté d'un beau ciel. Au milieu de ces batteaux est un yacht, magnifiquement décoré, qui se dirige vers le large. Son capitaine, le porte-voix à la bouche, héle l'équipage d'un des navires devant lesquels il passe, ou les personnages que porte un canot qui vient de quitter son bord. Ce tableau, d'un grand mérite et d'un très-bel aspect, a été chèrement payé par feu M. Michalon ; cependant il a fait naître des doutes qui nous obligent de le soumettre au jugement des connaisseurs.]] réalisée par Velde (Willem Vanden), vendue par Michalon au prix de 1400 [ou] 1800 fl. [221]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jacob, à la porte de sa maison, exprime la douleur extrême que lui cause la perte du plus chéri de ses enfans, de Joseph qu'il croit mort en voyant sa tunique ensanglantée que lui apportent plusieurs de ses autres fils. A côté du patriarche est sa femme Lia, et derrière lui Benjamin, frère utérin de Joseph. Les tableaux de Victoor se recommandent en général par leur aspect de vérité. Celui-ci est capital. (Victoor (Jan))|Jacob, à la porte de sa maison, exprime la douleur extrême que lui cause la perte du plus chéri de ses enfans, de Joseph qu'il croit mort en voyant sa tunique ensanglantée que lui apportent plusieurs de ses autres fils. A côté du patriarche est sa femme Lia, et derrière lui Benjamin, frère utérin de Joseph. Les tableaux de Victoor se recommandent en général par leur aspect de vérité. Celui-ci est capital.]] réalisée par Victoor (Jan), vendue par Michalon au prix de 301 fl. [226]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un palais construit sur une vaste plateforme, et situé sur le bord de la Méditerranée. A gauche, près d'un quai, flottent amarées deux galères, dont la poupe est élegamment décorée. A droite, est un triple escalier, orné de deux groupes sculptés représentant des esclaves domptant deux chevaux fougueux. Plus de vingt figures très-sveltes, et d'une exécution pleine d'originalité, enrichissent les devans de ce piquant tableau. (Weenix (genre de Jean-Baptiste))|Vue d'un palais construit sur une vaste plateforme, et situé sur le bord de la Méditerranée. A gauche, près d'un quai, flottent amarées deux galères, dont la poupe est élegamment décorée. A droite, est un triple escalier, orné de deux groupes sculptés représentant des esclaves domptant deux chevaux fougueux. Plus de vingt figures très-sveltes, et d'une exécution pleine d'originalité, enrichissent les devans de ce piquant tableau.]] réalisée par Weenix (genre de Jean-Baptiste), vendue par Michalon au prix de 31 fl. [228]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Distribution d'aumônes à la porte d'un couvent : composition très-riche, où l'auteur se ressent de l'étude qu'il fit d'après les ouvrages de Pierre de Laar, communément appelé Bamboche. Des mendians dévorent, pour ainsi dire, la portion de nourriture qu'ils viennent d'obtenir de la compâtissante charité ; et parmi eux est une femme qui met la paix entre ses deux enfans que la faim avait sans doute portés à se disputer le partage de quelque aliment. (Wouwermans (Philippe))|Distribution d'aumônes à la porte d'un couvent : composition très-riche, où l'auteur se ressent de l'étude qu'il fit d'après les ouvrages de Pierre de Laar, communément appelé Bamboche. Des mendians dévorent, pour ainsi dire, la portion de nourriture qu'ils viennent d'obtenir de la compâtissante charité ; et parmi eux est une femme qui met la paix entre ses deux enfans que la faim avait sans doute portés à se disputer le partage de quelque aliment.]] réalisée par Wouwermans (Philippe), vendue par Michalon, achetée par DHarcourt au prix de 150 fl. [234]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Sur le devant, un valet de chasse, arrêté avec deux cavaliers, dont l'un est descendu de son cheval, s'entretient avec une femme qui lave du linge au bord d'un ruisseau. A droite, une autre femme, filant sa quenouille, cause avec une de ses voisines qui tient un enfant dans ses bras. A gauche, trois voyageurs suivent un sentier pratiqué dans un terrain sablonneux. Au milieu, une habitation rustique est située sur le bord d'une rivière. Au loin, des montagnes terminent le point de vue. Ce bon tableau mérite l'attention des curieux. Le faire en est facile, et sa touche, bien accusée, ressemble singulièrement à celle de Ph. Wouwermans. (Wouwermans (signé Philippe))|Paysage. Sur le devant, un valet de chasse, arrêté avec deux cavaliers, dont l'un est descendu de son cheval, s'entretient avec une femme qui lave du linge au bord d'un ruisseau. A droite, une autre femme, filant sa quenouille, cause avec une de ses voisines qui tient un enfant dans ses bras. A gauche, trois voyageurs suivent un sentier pratiqué dans un terrain sablonneux. Au milieu, une habitation rustique est située sur le bord d'une rivière. Au loin, des montagnes terminent le point de vue. Ce bon tableau mérite l'attention des curieux. Le faire en est facile, et sa touche, bien accusée, ressemble singulièrement à celle de Ph. Wouwermans.]] réalisée par Wouwermans (signé Philippe), vendue par Michalon, achetée par Montigneul au prix de 238 fl. [235]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trois cavaliers et plusieurs autres personnages, arrêtés sur le bord d'une rivière, se disposent à partir pour la chasse. Sur la rive opposée est un parc, sous les murs duquel flotte une riche gondole, où vont s'embarquer un homme et une femme qui descendent un escalier. (Wouwermans (Pierre))|Trois cavaliers et plusieurs autres personnages, arrêtés sur le bord d'une rivière, se disposent à partir pour la chasse. Sur la rive opposée est un parc, sous les murs duquel flotte une riche gondole, où vont s'embarquer un homme et une femme qui descendent un escalier.]] réalisée par Wouwermans (Pierre), vendue par Michalon au prix de 56.05 fl. [236]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage avec éboulement de terrain. Des plantes sauvages, molène et chardons, y croissent sur le bord d'un chemin et au pied de deux chênes, l'un tronqué et sans branches, l'autre entièrement dépouillé des siennes. Au delà est un terrain jaunâtre, éboulé et couronné de jeunes arbres. Dans le chemin, passe un valet de ferme conduisant des bestiaux ; et à quelques pas, sont arrêtés trois autres villageois. Une petite échappée de vue laisse apercevoir une habitation rustique, plusieurs côteaux et des montagnes lointaines. Ce tableau capital présente des détails bien peints et d'une vérité parfaite. (Wynants (Jean))|Paysage avec éboulement de terrain. Des plantes sauvages, molène et chardons, y croissent sur le bord d'un chemin et au pied de deux chênes, l'un tronqué et sans branches, l'autre entièrement dépouillé des siennes. Au delà est un terrain jaunâtre, éboulé et couronné de jeunes arbres. Dans le chemin, passe un valet de ferme conduisant des bestiaux ; et à quelques pas, sont arrêtés trois autres villageois. Une petite échappée de vue laisse apercevoir une habitation rustique, plusieurs côteaux et des montagnes lointaines. Ce tableau capital présente des détails bien peints et d'une vérité parfaite.]] réalisée par Wynants (Jean), vendue par Michalon, achetée par Jamard au prix de 373 fl. [238]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. A gauche, sur le devant, une paysanne file sa quenouille en gardant un petit troupeau de chèvres et de brebis. On voit, à droite, un dessinateur, une femme chargée d'un paquet, et un homme à cheval. Ce tableau, composé de plusieurs morceaux réunis, passe depuis long-tems pour un assamblage d'études faites par Wynants, Berchem et Wouvermans. Quoi qu'il en soit, cette réunion a quelque chose de curieux. (Wynants (Jean))|Paysage. A gauche, sur le devant, une paysanne file sa quenouille en gardant un petit troupeau de chèvres et de brebis. On voit, à droite, un dessinateur, une femme chargée d'un paquet, et un homme à cheval. Ce tableau, composé de plusieurs morceaux réunis, passe depuis long-tems pour un assamblage d'études faites par Wynants, Berchem et Wouvermans. Quoi qu'il en soit, cette réunion a quelque chose de curieux.]] réalisée par Wynants (Jean), vendue par Michalon, achetée par Souin au prix de 141.05 fl. [239]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. A droite, un tronc d'arbre nouvellement abattu est au bas d'un terrain éboulé ; à gauche, sur le second plan, une tourelle de château s'élève audessus de la cime d'un bouquet d'arbres. Au milieu est un large chemin dans lequel on voit un homme ssis et causant avec une femme qui porte un enfant sur son dos. (Wynants (Jean))|Paysage. A droite, un tronc d'arbre nouvellement abattu est au bas d'un terrain éboulé ; à gauche, sur le second plan, une tourelle de château s'élève audessus de la cime d'un bouquet d'arbres. Au milieu est un large chemin dans lequel on voit un homme ssis et causant avec une femme qui porte un enfant sur son dos.]] réalisée par Wynants (Jean), vendue par Michalon, achetée par Tardieu au prix de 300 fl. [240]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un éboulement de terrain, frappé par le soleil et couronné d'arbres, occupe la droite de ce paysage. Au milieu, dans un chemin, sont arrêtés deux chasseurs accompagnés de leurs chiens. A gauche est une plaine terminée par des montagnes. Les figures sont de Lingelback. (Wynants (Jean))|Un éboulement de terrain, frappé par le soleil et couronné d'arbres, occupe la droite de ce paysage. Au milieu, dans un chemin, sont arrêtés deux chasseurs accompagnés de leurs chiens. A gauche est une plaine terminée par des montagnes. Les figures sont de Lingelback.]] réalisée par Wynants (Jean), vendue par Michalon au prix de 140 fl. [241]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une ferme près de laquelle des villageois vont déposer une charretée de foin. A quelques pas, deux autres paysans, un homme et une femme, conduisent un troupeau de brebis. Ces deux tableaux sont d'un grand fini, et ressemblent un peu à ceux de de Cort. (Zeep (C.) 1782)|Vue d'une ferme près de laquelle des villageois vont déposer une charretée de foin. A quelques pas, deux autres paysans, un homme et une femme, conduisent un troupeau de brebis. Ces deux tableaux sont d'un grand fini, et ressemblent un peu à ceux de de Cort.]] réalisée par Zeep (C.) 1782, vendue par Michalon au prix de 60.5 fl. [245]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous une grotte où des villageois ont établi un cabaret, un jeune homme, la cruche et le verre en main, chante gaîment ou ses amours ou quelque couplet qui lui rappèle le dieu du vin. Vis-à-vis de lui est un vieillard qui le regarde, et tout à côté un jeune garçon dormant profondément : plus loin, deux hommes et un enfant se chauffent au feu d'une cheminée. La grotte est fermée par une enceinte dont la porte ouverte laisse apercevoir un voyageur qui passe sur un chemin. La beauté de ce tableau frappera les yeux des connaisseurs. (Bourdon (Sébastien))|Sous une grotte où des villageois ont établi un cabaret, un jeune homme, la cruche et le verre en main, chante gaîment ou ses amours ou quelque couplet qui lui rappèle le dieu du vin. Vis-à-vis de lui est un vieillard qui le regarde, et tout à côté un jeune garçon dormant profondément : plus loin, deux hommes et un enfant se chauffent au feu d'une cheminée. La grotte est fermée par une enceinte dont la porte ouverte laisse apercevoir un voyageur qui passe sur un chemin. La beauté de ce tableau frappera les yeux des connaisseurs.]] réalisée par Bourdon (Sébastien), vendue par Michalon, achetée par Boullanger au prix de 200 fl. [308]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trente à quarante lazaronis sont près de deux tours adossées à un rocher : l'un d'eux fait une recherche dans ses vêtemens, par laquelle il tend à se procurer la tranquillité ; d'autres causent entr'eux ; d'autres enfin jouent ou regardent jouer. -- Ce tableau, peint dans la manière de ceux de Bamboche et d'André Both, est légèrement touché et d'une transparence étonnante. (Bourdon (Sébastien))|Trente à quarante lazaronis sont près de deux tours adossées à un rocher : l'un d'eux fait une recherche dans ses vêtemens, par laquelle il tend à se procurer la tranquillité ; d'autres causent entr'eux ; d'autres enfin jouent ou regardent jouer. -- Ce tableau, peint dans la manière de ceux de Bamboche et d'André Both, est légèrement touché et d'une transparence étonnante.]] réalisée par Bourdon (Sébastien), vendue par Michalon, achetée par Dubois au prix de 77 fl. [309]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune femme fait avec un militaire une partie de cartes dans un corps-de-garde ; près d'une table couverte d'un tapis, un second militaire tient un verre de vin que vient de lui servir un jeune nègre. Deux autres, dont un est armé d'une pique, causent à la porte du corps-de-garde. (Bourdon (Sébastien))|Une jeune femme fait avec un militaire une partie de cartes dans un corps-de-garde ; près d'une table couverte d'un tapis, un second militaire tient un verre de vin que vient de lui servir un jeune nègre. Deux autres, dont un est armé d'une pique, causent à la porte du corps-de-garde.]] réalisée par Bourdon (Sébastien), vendue par Michalon, achetée par Couturier au prix de 40 fl. [310]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Étude de paysage. D'un côté, des rochers et une marre sur le bord de laquelle sont arrêtées deux jeunes filles ; de l'autre, un chemin et trois villageois ; au milieu, un jeune hêtre se groupant avec un chêne en partie dépouillé de ses branches. Ce tableau est d'un rare mérite sous le rapport de l'exécution, ainsi que sous celui de l'exacte et frappante imitation de la nature. (Bruandet (Léasar))|Étude de paysage. D'un côté, des rochers et une marre sur le bord de laquelle sont arrêtées deux jeunes filles ; de l'autre, un chemin et trois villageois ; au milieu, un jeune hêtre se groupant avec un chêne en partie dépouillé de ses branches. Ce tableau est d'un rare mérite sous le rapport de l'exécution, ainsi que sous celui de l'exacte et frappante imitation de la nature.]] réalisée par Bruandet (Léasar), vendue par Michalon au prix de 172 fl. [312]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage baigné par une rivière sur le bord de laquelle est un homme pêchant à la ligne. A gauche on voit deux autres personnages se reposant à l'ombre d'une butte couronnée d'arbres ; à droite, les ruines d'un ancien édifice, et dans le lointain, plusieurs fabriques situées au pied d'une montagne. (Chavannes (Pierre Domachin de))|Paysage baigné par une rivière sur le bord de laquelle est un homme pêchant à la ligne. A gauche on voit deux autres personnages se reposant à l'ombre d'une butte couronnée d'arbres ; à droite, les ruines d'un ancien édifice, et dans le lointain, plusieurs fabriques situées au pied d'une montagne.]] réalisée par Chavannes (Pierre Domachin de), vendue par Michalon au prix de 40.5 fl. [315]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage dans le goût de Claude Lorrain. Une grande étendue de pays, terminée par des montagnes, compose les lointains de ce tableau. A gauche, sur le second plan, est une éminence couverte de monumens en ruines. Sur le devant s'élève un grand arbre qui domine toute la composition. Parmi les figures dont elle est ornée, on remarque un pâtre jouant de la flûte et gardant un troupeau. (Clerc (le))|Paysage dans le goût de Claude Lorrain. Une grande étendue de pays, terminée par des montagnes, compose les lointains de ce tableau. A gauche, sur le second plan, est une éminence couverte de monumens en ruines. Sur le devant s'élève un grand arbre qui domine toute la composition. Parmi les figures dont elle est ornée, on remarque un pâtre jouant de la flûte et gardant un troupeau.]] réalisée par Clerc (le), vendue par Michalon au prix de 50 fl. [316]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Riche composition appelée la foire de Guibray. Autant cette foire est fameuse dans les livres du commerce, autant l'image que M. Demarne nous en a donnée peut devenir fameuse dans les annales de la peinture. A droite, sur le devant de la scène, nous voyons un chaudronnier dont la marchandise est étalée sur une table et par terre. Un rustre choisit une pelle et des pincettes, tandis qu'une villageoise paraît demander le prix d'une lanterne. Derrière ce marchand, un homme s'entretient avec une femme qui garde une chèvre. Plus loin, en dedans d'une allée d'arbres, sont des beteleurs, des gens qui dansent, et mille autres qui vont et viennent en tout sens. A gauche est une jeune fille qui plume de la volaille, un cuisinier qui soigne une marmitte, et une active cantinière qui distribue de la viande qu'une fille et un garçon vont servir sous une tente : là, entre autres personnes, sont à table deux grenadiers et un dragon. Vis-à-vis la tente est un tonneau de cidre qui ne cesse de couleur, et du haut duquel un ménétrier règle avec son violon les pas de plusieurs danseurs. Des charlatans ou bateleurs, faisant la parade devant leurs théâtres, occupent l'attention d'une foule de curieux. Vers le milieu du tableau, et à peu de distance du premier plan, une vieille femme conclut avec un boucher le marché de plusieurs bestiaux. (Demarne (M.))|Riche composition appelée la foire de Guibray. Autant cette foire est fameuse dans les livres du commerce, autant l'image que M. Demarne nous en a donnée peut devenir fameuse dans les annales de la peinture. A droite, sur le devant de la scène, nous voyons un chaudronnier dont la marchandise est étalée sur une table et par terre. Un rustre choisit une pelle et des pincettes, tandis qu'une villageoise paraît demander le prix d'une lanterne. Derrière ce marchand, un homme s'entretient avec une femme qui garde une chèvre. Plus loin, en dedans d'une allée d'arbres, sont des beteleurs, des gens qui dansent, et mille autres qui vont et viennent en tout sens. A gauche est une jeune fille qui plume de la volaille, un cuisinier qui soigne une marmitte, et une active cantinière qui distribue de la viande qu'une fille et un garçon vont servir sous une tente : là, entre autres personnes, sont à table deux grenadiers et un dragon. Vis-à-vis la tente est un tonneau de cidre qui ne cesse de couleur, et du haut duquel un ménétrier règle avec son violon les pas de plusieurs danseurs. Des charlatans ou bateleurs, faisant la parade devant leurs théâtres, occupent l'attention d'une foule de curieux. Vers le milieu du tableau, et à peu de distance du premier plan, une vieille femme conclut avec un boucher le marché de plusieurs bestiaux.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Michalon, achetée par Laneuville au prix de 1830 [ou] 1835 fl. [322]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le devant d'un pâturage couvert de bestiaux, un militaire français, ayant le bras en écharpe et portant la croix d'honneur, est assisté par quatre villageois, entre lesquels on remarque un petit garçon qui lui offre naïvement une pomme, tandis qu'un bon vieillard lui sert une tasse de lait. Plus loin, est une jeune fille appuyée contre un arbre et filant sa quenouille. Ce tableau, flatteur aux yeux et remarquable par la grandeur des personnages, a de plus le rare mérite de parler au coeur : c'est une églogue où l'auteur nous peint d'une manière simple, mais touchante, ce caractère de bonté qui relève les moeurs pastorales. Nous croyons devoir ajouter que la tête du vieillard est belle et expressive, et que l'on retrouve dans plusieurs autres ces tons fins, ces nuances délicates, qui caractérisent les têtes du célèbre Greuze. (Demarne (M.))|Sur le devant d'un pâturage couvert de bestiaux, un militaire français, ayant le bras en écharpe et portant la croix d'honneur, est assisté par quatre villageois, entre lesquels on remarque un petit garçon qui lui offre naïvement une pomme, tandis qu'un bon vieillard lui sert une tasse de lait. Plus loin, est une jeune fille appuyée contre un arbre et filant sa quenouille. Ce tableau, flatteur aux yeux et remarquable par la grandeur des personnages, a de plus le rare mérite de parler au coeur : c'est une églogue où l'auteur nous peint d'une manière simple, mais touchante, ce caractère de bonté qui relève les moeurs pastorales. Nous croyons devoir ajouter que la tête du vieillard est belle et expressive, et que l'on retrouve dans plusieurs autres ces tons fins, ces nuances délicates, qui caractérisent les têtes du célèbre Greuze.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Michalon au prix de 1000 fl. [323]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le devant d'une prairie que baigne un limpide ruisseau, des faneurs, assis ou couchés sur le gazon, entourent une grande jatte de lait et font un frugal déjeûné. L'un d'eux cherchant à faire avaler une cuillerée de lait à une jolie paysanne qui s'y refuse, se laisse tirer l'oreille par une vieille filles. Pendant ce tems, le maître de la prairie, en chemise et un de ses valets. Une femme s'avance vers les faneurs, avec un panier contenant des provisions. Au delà est un côteau couvert de vignobles et de terres labourables. (Demarne (M.))|Sur le devant d'une prairie que baigne un limpide ruisseau, des faneurs, assis ou couchés sur le gazon, entourent une grande jatte de lait et font un frugal déjeûné. L'un d'eux cherchant à faire avaler une cuillerée de lait à une jolie paysanne qui s'y refuse, se laisse tirer l'oreille par une vieille filles. Pendant ce tems, le maître de la prairie, en chemise et un de ses valets. Une femme s'avance vers les faneurs, avec un panier contenant des provisions. Au delà est un côteau couvert de vignobles et de terres labourables.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Michalon, achetée par Henry au prix de 599 fl. [324]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune pâtre, qui était occupé à traire une chèvre, vient de renverser son lait en voulant se défendre contre trois jolies villageoises qui s'amusent à le lutiner. L'une d'elles, qu'il a saisie par le bas de son jupon, lui tire l'oreille, sans paraître disposée à lâcher prise. Une autre lui prend son chapeau, et la troisième, en passant un de ses doigts sur l'autre, lui fait entendre par ce geste moqueur qu'il ne doit rien attendre d'elles. Un chien aboie contre le berger, un autre profite du lait renversé. Cette petite scène se passe sur le devant d'un pâturage, ou l'on voit encore plusieurs vaches et autres animaux groupés su pieds d'un bouquet d'arbres. (Demarne (M.))|Un jeune pâtre, qui était occupé à traire une chèvre, vient de renverser son lait en voulant se défendre contre trois jolies villageoises qui s'amusent à le lutiner. L'une d'elles, qu'il a saisie par le bas de son jupon, lui tire l'oreille, sans paraître disposée à lâcher prise. Une autre lui prend son chapeau, et la troisième, en passant un de ses doigts sur l'autre, lui fait entendre par ce geste moqueur qu'il ne doit rien attendre d'elles. Un chien aboie contre le berger, un autre profite du lait renversé. Cette petite scène se passe sur le devant d'un pâturage, ou l'on voit encore plusieurs vaches et autres animaux groupés su pieds d'un bouquet d'arbres.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Michalon, achetée par Bouteville au prix de 700 fl. [325]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un grand chemin pavé, bordé d'ormes, et se dirigeant en ligne droite vers l'horizon. Au milieu, sur le devant, un militaire français s'entretient avec une femme qui est montée sur un âne, et accompagnée de deux paysans, dont l'un conduit une vache. Près de là, passe un chariot attelé d'un cheval et chargé de voyageurs. A gauche, à l'entrée d'un champ, un laboureur, assis sur sa charrue, cause avec une paysanne qui porte un panier à son bras. Plus loin est une auberge, une charrette couverte et un troupeau de brebis qui fait voler un tourbillon de poussière. Ailleurs, on voit encore d'autres personnages, et beaucoup de richesses qu'il serait trop long de décrire. (Demarne (M.))|Vue d'un grand chemin pavé, bordé d'ormes, et se dirigeant en ligne droite vers l'horizon. Au milieu, sur le devant, un militaire français s'entretient avec une femme qui est montée sur un âne, et accompagnée de deux paysans, dont l'un conduit une vache. Près de là, passe un chariot attelé d'un cheval et chargé de voyageurs. A gauche, à l'entrée d'un champ, un laboureur, assis sur sa charrue, cause avec une paysanne qui porte un panier à son bras. Plus loin est une auberge, une charrette couverte et un troupeau de brebis qui fait voler un tourbillon de poussière. Ailleurs, on voit encore d'autres personnages, et beaucoup de richesses qu'il serait trop long de décrire.]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Michalon, achetée par Montigneul au prix de 495 fl. [326]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage pastoral. Un berger et une bergère gardent ensemble leurs troupeaux ; celle-ci caresse son chien, le berger joue du chalumeau. On a tant de fois vanté le beau talent de M. Demarne, qu'il suffit maintenant de citer son nom. Combien de noms sont au dessus de tous les éloges imaginables ! (Demarne (M.))|Paysage pastoral. Un berger et une bergère gardent ensemble leurs troupeaux ; celle-ci caresse son chien, le berger joue du chalumeau. On a tant de fois vanté le beau talent de M. Demarne, qu'il suffit maintenant de citer son nom. Combien de noms sont au dessus de tous les éloges imaginables !]] réalisée par Demarne (M.), vendue par Michalon. [328]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La grande nef de l'église cathédrale de notre-Dame. On y voit, parmi beaucoup de personnages, un prêtre causant avec deux soeurs de la charité, une dame prenant de l'eau bénite, et un curieux examinant avec sa lorgnette les tableaux qui sont au dessus des piliers. Ce tableau, d'un pinceau net et hardi, d'une couleur empâtée, est aussi d'un bel effet et d'une grande vérité. (M. Depelchin)|La grande nef de l'église cathédrale de notre-Dame. On y voit, parmi beaucoup de personnages, un prêtre causant avec deux soeurs de la charité, une dame prenant de l'eau bénite, et un curieux examinant avec sa lorgnette les tableaux qui sont au dessus des piliers. Ce tableau, d'un pinceau net et hardi, d'une couleur empâtée, est aussi d'un bel effet et d'une grande vérité.]] réalisée par M. Depelchin, vendue par Michalon, achetée par Delalande au prix de 199 fl. [331]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune homme, assis à table entre deux jolies filles en saisit une au corps, et lui donne un baiser dont elle fait semblant de se défendre ; l'autre, en attendant son tour, pose sa main sur un broc, avec l'intention, sans doute, de remplir les verres. (M. Drolling)|Un jeune homme, assis à table entre deux jolies filles en saisit une au corps, et lui donne un baiser dont elle fait semblant de se défendre ; l'autre, en attendant son tour, pose sa main sur un broc, avec l'intention, sans doute, de remplir les verres.]] réalisée par M. Drolling, vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 175 fl. [333]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'église. La vue en est prise au bas de la grande nef ; dans le haut, on aperçoit l'autel du choeur, et sur les côtés, plusieurs chapelles. M. la Fontaine est le Peter Neefs de nos jours, et ses ouvrages vont souvent de pair avec ceux de cet auteur. (Fontaine (M. la))|Intérieur d'église. La vue en est prise au bas de la grande nef ; dans le haut, on aperçoit l'autel du choeur, et sur les côtés, plusieurs chapelles. M. la Fontaine est le Peter Neefs de nos jours, et ses ouvrages vont souvent de pair avec ceux de cet auteur.]] réalisée par Fontaine (M. la), vendue par Michalon au prix de 96 fl. [337]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage ; à droite, un cabaret près duquel sont arrêtés deux cavaliers, l'un faisant visiter les pieds de son cheval, l'autre en selle et vidant un verre de vin que vient de lui servir une jeune cabaretière ; à gauche, une marre d'eau ; au milieu, un bouquet de grands arbres. (Gadebois (M.))|Paysage ; à droite, un cabaret près duquel sont arrêtés deux cavaliers, l'un faisant visiter les pieds de son cheval, l'autre en selle et vidant un verre de vin que vient de lui servir une jeune cabaretière ; à gauche, une marre d'eau ; au milieu, un bouquet de grands arbres.]] réalisée par Gadebois (M.), vendue par Michalon au prix de 65.5 fl. [340]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune femme, les yeux bandés, joue à colinmaillard avec trois de ses enfans ; derrière elle est un jeune homme qui tient dans ses bras un quatrième enfant. Ces personnages animent le devant d'un paysage exécuté par Ganda, et dont les fonds représentent une plaine terminée par de hautes montagnes. (Gauffier)|Une jeune femme, les yeux bandés, joue à colinmaillard avec trois de ses enfans ; derrière elle est un jeune homme qui tient dans ses bras un quatrième enfant. Ces personnages animent le devant d'un paysage exécuté par Ganda, et dont les fonds représentent une plaine terminée par de hautes montagnes.]] réalisée par Gauffier, vendue par Michalon. [341]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux charmans tableaux dans le style de J. Vernet, et représentant des marines, l'une par un tems calme, l'autre avec effet de tempête. Dans la première, on remarque des pêcheurs, un phare, un vaisseau à la voile, etc. ; dans la seconde, on voit deux vaisseaux, l'un submergé, l'autre prêt à l'être, et nombre de personnages occupés, ou a secourir les naufragés, ou à sauver quelques effets. (Henry, de Marseille, (Henry Arelat surnommé))|Deux charmans tableaux dans le style de J. Vernet, et représentant des marines, l'une par un tems calme, l'autre avec effet de tempête. Dans la première, on remarque des pêcheurs, un phare, un vaisseau à la voile, etc. ; dans la seconde, on voit deux vaisseaux, l'un submergé, l'autre prêt à l'être, et nombre de personnages occupés, ou a secourir les naufragés, ou à sauver quelques effets.]] réalisée par Henry, de Marseille, (Henry Arelat surnommé), vendue par Michalon au prix de 146 fl. [342]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux charmans tableaux dans le style de J. Vernet, et représentant des marines, l'une par un tems calme, l'autre avec effet de tempête. Dans la première, on remarque des pêcheurs, un phare, un vaisseau à la voile, etc. ; dans la seconde, on voit deux vasseaux, l'un submergé, l'autre prêt à l'être, et nombre de personnage occupés, ou a secourir les naufragés, ou à sauver quelques effets. (Henry, de Marseille, (Henry Arelat surnommé))|Deux charmans tableaux dans le style de J. Vernet, et représentant des marines, l'une par un tems calme, l'autre avec effet de tempête. Dans la première, on remarque des pêcheurs, un phare, un vaisseau à la voile, etc. ; dans la seconde, on voit deux vasseaux, l'un submergé, l'autre prêt à l'être, et nombre de personnage occupés, ou a secourir les naufragés, ou à sauver quelques effets.]] réalisée par Henry, de Marseille, (Henry Arelat surnommé), vendue par Michalon au prix de 146 fl. [343]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marine. Effet de soleil couchant. On voit à gauche la poupe d'une galère amarrée près du rivage, et plus loin, un vaisseau gagnant la pleine mer, à force de voiles ; à droite on remarque un roc escarpé, une tour carrée dont le sommet est éclairé par un rayon de soleil, un port rempli de vaisseaux, et nombre d'édifices situés sur le penchant d'une colline. Les figures qui ornent le premier plan représentent des pêcheurs et des jeunes pourvoyeuses achetant du poisson. (Hue (M.))|Marine. Effet de soleil couchant. On voit à gauche la poupe d'une galère amarrée près du rivage, et plus loin, un vaisseau gagnant la pleine mer, à force de voiles ; à droite on remarque un roc escarpé, une tour carrée dont le sommet est éclairé par un rayon de soleil, un port rempli de vaisseaux, et nombre d'édifices situés sur le penchant d'une colline. Les figures qui ornent le premier plan représentent des pêcheurs et des jeunes pourvoyeuses achetant du poisson.]] réalisée par Hue (M.), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 560 fl. [346]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marine ; effet de soleil levant. Le spectateur, censé sur la plage, n'aperçoit devant lui qu'une barque échouée, une tour isolée, la pleine mer et un ciel où le soleil paraît dans tout son éclat. L'effet de ces deux tableaux est porté jusqu'à l'illusion. La lumière scintillante qui glisse sur les flots semblent se mouvoir comme eux ; les vagues, soumises à l'action de la marée et d'un léger vent, paraissent s'élever, s'abaisser alternativement et s'étendre par degrés sur le sable du rivage. On se croit sur le bord de la mer et en respirer la fraîcheur. (Hue (M.))|Marine ; effet de soleil levant. Le spectateur, censé sur la plage, n'aperçoit devant lui qu'une barque échouée, une tour isolée, la pleine mer et un ciel où le soleil paraît dans tout son éclat. L'effet de ces deux tableaux est porté jusqu'à l'illusion. La lumière scintillante qui glisse sur les flots semblent se mouvoir comme eux ; les vagues, soumises à l'action de la marée et d'un léger vent, paraissent s'élever, s'abaisser alternativement et s'étendre par degrés sur le sable du rivage. On se croit sur le bord de la mer et en respirer la fraîcheur.]] réalisée par Hue (M.), vendue par Michalon au prix de 860 fl. [347]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Autre vue de la pleine mer après le coucher du soleil. Une plage unie, un chasse-marée échoué, une tour, un ciel et des eaux, composent toutes les richesse de cette peinture, et cependant on n'y désire point autre chose. -- L'effet de ces deux tableaux est porté jusqu'à l'illusion. La lumière scintillante qui glisse sur les flots semblent se mouvoir comme eux ; les vagues, soumises à l'action de la marée et d'un léger vent, paraissent s'élever, s'abaisser alternativement et s'étendre par degrès sur le sable du rivage. On se croit sur le bord de la mer et en respirer la fraîcheur. (Hue (M.))|Autre vue de la pleine mer après le coucher du soleil. Une plage unie, un chasse-marée échoué, une tour, un ciel et des eaux, composent toutes les richesse de cette peinture, et cependant on n'y désire point autre chose. -- L'effet de ces deux tableaux est porté jusqu'à l'illusion. La lumière scintillante qui glisse sur les flots semblent se mouvoir comme eux ; les vagues, soumises à l'action de la marée et d'un léger vent, paraissent s'élever, s'abaisser alternativement et s'étendre par degrès sur le sable du rivage. On se croit sur le bord de la mer et en respirer la fraîcheur.]] réalisée par Hue (M.), vendue par Michalon au prix de 571 fl. [348]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Port de mer ; effet de pluie et de soleil couchant. Une rivière traverse tout le tableau ; et l'on remarque, en deçà, un peintre qui dessine un point de vue. Au delà est une ville, un arsenal et des vaisseaux désarmés. Une frégate, les voiles déployées et le vent en poupe, suit le cpours de la rivière ; à gauche est un golphe au milieu duquel on aperçoit une île. (Hue (M.))|Port de mer ; effet de pluie et de soleil couchant. Une rivière traverse tout le tableau ; et l'on remarque, en deçà, un peintre qui dessine un point de vue. Au delà est une ville, un arsenal et des vaisseaux désarmés. Une frégate, les voiles déployées et le vent en poupe, suit le cpours de la rivière ; à gauche est un golphe au milieu duquel on aperçoit une île.]] réalisée par Hue (M.), vendue par Michalon au prix de 120 fl. [349]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un parc et d'un parterre au delà desquels est une rivière bordée de montagnes. Sur le premier plan, à droite, six jeunes femmes s'amusent à se baigner ; à gauche, près d'une statue, est une servante qui porte une corbeille sur sa tête. (Saint-Martin père (M.))|Vue d'un parc et d'un parterre au delà desquels est une rivière bordée de montagnes. Sur le premier plan, à droite, six jeunes femmes s'amusent à se baigner ; à gauche, près d'une statue, est une servante qui porte une corbeille sur sa tête.]] réalisée par Saint-Martin père (M.), vendue par Michalon au prix de 250 fl. [353]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Dans un chemin qui en fait le milieu, une paysanne, ayant un panier au bras et un paquet sur la tête, marche devant une charrette où sont montés une femme et un homme. On aperçoit plus loin un four à chaux ; à gauche est une butte courronnée d'arbres et dont le terrain sablonneux réfléchit une grande lumière. (Michel (M.))|Paysage. Dans un chemin qui en fait le milieu, une paysanne, ayant un panier au bras et un paquet sur la tête, marche devant une charrette où sont montés une femme et un homme. On aperçoit plus loin un four à chaux ; à gauche est une butte courronnée d'arbres et dont le terrain sablonneux réfléchit une grande lumière.]] réalisée par Michel (M.), vendue par Michalon au prix de 84.5 fl. [354]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. Sur le devant est représenté le Christ marchant entre deux de ses disciles, Cléophas et Lucas, qui se rendent de Jérusalem à Emmaüs. On voit, à gauche, un bassin entouré de murs, et au delà, des pâtres conduisant un trupeau sur un chemin ombragé par un bouquet d'arbres ; à droite, d'autres arbres, groupés vec deux palmiers, couronnent une eminence dont la peinte douce est coupée par un étroit sentier ; plus loin s'étend l'enceinte de Jérusalem, dont le temple, entouré de colonnes, domine sur tous les autres édifices. Devant l'horizon est une chaîne de hautes montagnes. (Milet (Francisque))|Paysage. Sur le devant est représenté le Christ marchant entre deux de ses disciles, Cléophas et Lucas, qui se rendent de Jérusalem à Emmaüs. On voit, à gauche, un bassin entouré de murs, et au delà, des pâtres conduisant un trupeau sur un chemin ombragé par un bouquet d'arbres ; à droite, d'autres arbres, groupés vec deux palmiers, couronnent une eminence dont la peinte douce est coupée par un étroit sentier ; plus loin s'étend l'enceinte de Jérusalem, dont le temple, entouré de colonnes, domine sur tous les autres édifices. Devant l'horizon est une chaîne de hautes montagnes.]] réalisée par Milet (Francisque), vendue par Michalon au prix de 54.5 fl. [356]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieillard, chargé de la garde de quelques chèvres et brebis, charme ses loisirs en jouant du chalumeau ; près de lui est un enfant qui l'écoute avec attention : un peu plus loin, deux femmes sont arrétées près d'une fontaine, l'une avant un paquet sur sa tête, l'autre puisant de l'eau avec seau : on aperçoit ailleurs plusieurs autres personnages. Les ouvrages des le Nain réunissent à une excellente couleur une bonhommie qui leur est particulière. (Nain (L. Le))|Un vieillard, chargé de la garde de quelques chèvres et brebis, charme ses loisirs en jouant du chalumeau ; près de lui est un enfant qui l'écoute avec attention : un peu plus loin, deux femmes sont arrétées près d'une fontaine, l'une avant un paquet sur sa tête, l'autre puisant de l'eau avec seau : on aperçoit ailleurs plusieurs autres personnages. Les ouvrages des le Nain réunissent à une excellente couleur une bonhommie qui leur est particulière.]] réalisée par Nain (L. Le), vendue par Michalon au prix de 77 fl. [357]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une grape de raisin rouge et une grappe de raisin noir posée sur une table de marbre, à côté d'une tasse de porcelaine dans laquelle est une rose. Ce tableau est de la même grandeur que le précédent, et tous deux sont d'une grande fraîcheur de coloris. (Pol (Van))|Une grape de raisin rouge et une grappe de raisin noir posée sur une table de marbre, à côté d'une tasse de porcelaine dans laquelle est une rose. Ce tableau est de la même grandeur que le précédent, et tous deux sont d'une grande fraîcheur de coloris.]] réalisée par Pol (Van), vendue par Michalon au prix de 155 fl. [362]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le repas de noce. La table est dressée sous un grand vestibule, et les convives s'avancent pour y prendre place. Une femme en fait les honneurs, et plusieurs instrumens vont en animer la gaîté. Rien de plus brillant que la couleur de ce tableau. (M. Sablet jeune)|Le repas de noce. La table est dressée sous un grand vestibule, et les convives s'avancent pour y prendre place. Une femme en fait les honneurs, et plusieurs instrumens vont en animer la gaîté. Rien de plus brillant que la couleur de ce tableau.]] réalisée par M. Sablet jeune, vendue par Michalon au prix de 151 [ou] 170 fl. [363]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le marchand de curiosités. On le voit en dedans d'une fenêtre, dont la tablette est chargée de bronzes, coquillages, tableaux et autres objets curieux. Deux femmes sont à côté de lui, l'une appuyée sur le dossier de sa chaise, l'autre portant un carton sous son bras. (M. Senave)|Le marchand de curiosités. On le voit en dedans d'une fenêtre, dont la tablette est chargée de bronzes, coquillages, tableaux et autres objets curieux. Deux femmes sont à côté de lui, l'une appuyée sur le dossier de sa chaise, l'autre portant un carton sous son bras.]] réalisée par M. Senave, vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 325 fl. [364]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de cabaret, composé dans le style d'Ostade. Un homme et une femme y sont à table, et derrière eux est la maîtresse de la maison s'occupant à faire cuire des beignets ; d'un autre côté est le cabaretier qui apporte de sa cave une cruche de vin. Une porte ouverte laisse entrevoir un jardin, où beaucoup de gens sont autour d'une table. Une forte demi-teinte opposée à une lumière hardiment rendue, donnent à ce tableau l'effet le plus étonnant. (M. Senave)|Intérieur de cabaret, composé dans le style d'Ostade. Un homme et une femme y sont à table, et derrière eux est la maîtresse de la maison s'occupant à faire cuire des beignets ; d'un autre côté est le cabaretier qui apporte de sa cave une cruche de vin. Une porte ouverte laisse entrevoir un jardin, où beaucoup de gens sont autour d'une table. Une forte demi-teinte opposée à une lumière hardiment rendue, donnent à ce tableau l'effet le plus étonnant.]] réalisée par M. Senave, vendue par Michalon, achetée par Boutteville au prix de 450 fl. [366]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieillard, les lunettes sur le nez, joue aux cartes avec une jeune et jolie femme, qui paraît satisfaite du jeu qu'elle a en main. Avec eux est un enfant qui s'amuse à lire, et une servante qui présente un verre de vin à sa maîtresse. Ce charmant tableau, éclairé de la lumière d'une bougie, a tout le piquant des bons ouvrages de G. Schalken. (M. Senave)|Un vieillard, les lunettes sur le nez, joue aux cartes avec une jeune et jolie femme, qui paraît satisfaite du jeu qu'elle a en main. Avec eux est un enfant qui s'amuse à lire, et une servante qui présente un verre de vin à sa maîtresse. Ce charmant tableau, éclairé de la lumière d'une bougie, a tout le piquant des bons ouvrages de G. Schalken.]] réalisée par M. Senave, vendue par Michalon au prix de 150 fl. [367]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue du port de la ville d'Anvers, prise en deçà de l'Escaut. En avant du fleuve est une jetée, où plusieurs personnages semblent attendre un bateau passager. Tout près de là une chaloupe dans laquelle est une femme avec deux matelots ; un peu plus loin on voit une barque hollandaise ayant les voiles déployées et remontant le fleuve. Sur plusieurs autres points sont mouillés d'autres navires de grandeurs et de mâtures différentes. Ce tableau a été exposé au salon du Louvre. (M. Swagers)|Vue du port de la ville d'Anvers, prise en deçà de l'Escaut. En avant du fleuve est une jetée, où plusieurs personnages semblent attendre un bateau passager. Tout près de là une chaloupe dans laquelle est une femme avec deux matelots ; un peu plus loin on voit une barque hollandaise ayant les voiles déployées et remontant le fleuve. Sur plusieurs autres points sont mouillés d'autres navires de grandeurs et de mâtures différentes. Ce tableau a été exposé au salon du Louvre.]] réalisée par M. Swagers, vendue par Michalon, achetée par Couturier au prix de 144 fl. [373]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'un fleuve dont les eaux sont agitées par un gros vent. Sur le premier plan, à droite, trois barques marchandes, forcées de louvoyer, suivent différentes directions ; vers la gauche, sur un plan reculé, une frégate s'éloigne d'une côté où l'on distingue plusieurs édifices, et notamment un grand clocher : sur d'autres points, on aperçoit des chaloupes à voile et un brigantin. -- M. Swagers, dans ce beau tableau, approche de Backuisen, soit pour les effets du coloris, soit pour le large et le moëlleux du pinceau. (M. Swagers)|Vue d'un fleuve dont les eaux sont agitées par un gros vent. Sur le premier plan, à droite, trois barques marchandes, forcées de louvoyer, suivent différentes directions ; vers la gauche, sur un plan reculé, une frégate s'éloigne d'une côté où l'on distingue plusieurs édifices, et notamment un grand clocher : sur d'autres points, on aperçoit des chaloupes à voile et un brigantin. -- M. Swagers, dans ce beau tableau, approche de Backuisen, soit pour les effets du coloris, soit pour le large et le moëlleux du pinceau.]] réalisée par M. Swagers, vendue par Michalon au prix de 152 fl. [374]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marine ; effet de tempête. Sur une mer violemment agitée, deux yachts, maîtrises par les vagues et le vent, sont tout près de s'aborder. Plus loin est un vaisseau à trois mâts, courant au plus près sous toutes ses basses voiles. (D'après Backuysen)|Marine ; effet de tempête. Sur une mer violemment agitée, deux yachts, maîtrises par les vagues et le vent, sont tout près de s'aborder. Plus loin est un vaisseau à trois mâts, courant au plus près sous toutes ses basses voiles.]] réalisée par D'après Backuysen, vendue par Michalon au prix de 76 fl. [377]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Halte de militaires escortant un convoi. A droite est un cabaret, d'où ils se sont fait apporter des rafraîchissemens ; à gauche est un chariot, sur lequel on remarque une femme causant avec un soldat. De grands arbres ornent les deux côtés de la composition : dans le lointain est une plaine éclairée par un coup de soleil, et terminée par des montagnes. (Swéback (M.) dit Fontaine)|Halte de militaires escortant un convoi. A droite est un cabaret, d'où ils se sont fait apporter des rafraîchissemens ; à gauche est un chariot, sur lequel on remarque une femme causant avec un soldat. De grands arbres ornent les deux côtés de la composition : dans le lointain est une plaine éclairée par un coup de soleil, et terminée par des montagnes.]] réalisée par Swéback (M.) dit Fontaine, vendue par Michalon au prix de 1161 fl. [382]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Halte de voyageurs à la porte d'un cabaret. Un valet de cette maison parle avec un charretier qui est monté sur un de ses chevaut ; plus près, un cavalier fait mander le sien. Des chariots et autres objets accroissent la richesse de ce joli tableau. (Swéback (M.) dit Fontaine)|Halte de voyageurs à la porte d'un cabaret. Un valet de cette maison parle avec un charretier qui est monté sur un de ses chevaut ; plus près, un cavalier fait mander le sien. Des chariots et autres objets accroissent la richesse de ce joli tableau.]] réalisée par Swéback (M.) dit Fontaine, vendue par Michalon, achetée par Simon au prix de 230 fl. [386]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'Amour, sous les traits d'un adolescent, vient de surprendre une nymphe dans un bois. Elle veut fuir, mais le méchant lui barre le passage en l'enfermant entre ses bras et les branches d'un rosier dont il s'est saisit. Partout où se présente l'Amour, on y trouve des roses ; c'est le charme dont il se sert pour nous enchaîner. Telle a été sans doute l'idée de M. Vallin. (Vallin (M.))|L'Amour, sous les traits d'un adolescent, vient de surprendre une nymphe dans un bois. Elle veut fuir, mais le méchant lui barre le passage en l'enfermant entre ses bras et les branches d'un rosier dont il s'est saisit. Partout où se présente l'Amour, on y trouve des roses ; c'est le charme dont il se sert pour nous enchaîner. Telle a été sans doute l'idée de M. Vallin.]] réalisée par Vallin (M.), vendue par Michalon au prix de 100 [ou] 140 fl. [387]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marine. Effet de vent. A gauche, les vagues se brisent contre une côte de rochers escarpés, sous laquelle un bateau semble venir chercher un abri. A droite, en pleine mer, un vaisseau court vent arrière sous une de ses basses voiles. On remarque au pied de la côte plusieurs matelots, et à son extrémité, de grands édifices qui indiquent la situation d'un port. Ce petit tableau est touché avec esprit et fermeté. (Vallin (M.))|Marine. Effet de vent. A gauche, les vagues se brisent contre une côte de rochers escarpés, sous laquelle un bateau semble venir chercher un abri. A droite, en pleine mer, un vaisseau court vent arrière sous une de ses basses voiles. On remarque au pied de la côte plusieurs matelots, et à son extrémité, de grands édifices qui indiquent la situation d'un port. Ce petit tableau est touché avec esprit et fermeté.]] réalisée par Vallin (M.), vendue par Michalon au prix de 50 fl. [388]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'amour, appuyé contre un arbre, sur une espèce de plateforme, joue de la flûte et fait danser six jeunes filles vêtues de demi-tuniques attachées au-dessous du sein. Une autre jeune fille est assise près d'une fontaine. De grands arbres forment avec leurs rameaux une épaisse voûte, qui abrite cet agréable lieu. (Vangorp (M.))|L'amour, appuyé contre un arbre, sur une espèce de plateforme, joue de la flûte et fait danser six jeunes filles vêtues de demi-tuniques attachées au-dessous du sein. Une autre jeune fille est assise près d'une fontaine. De grands arbres forment avec leurs rameaux une épaisse voûte, qui abrite cet agréable lieu.]] réalisée par Vangorp (M.), vendue par Michalon au prix de 198 fl. [394]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue prise sur le bord de la mer, dans le voisinage d'un port. Tout près du rivage, sur un roc isolé, s'élève un phare qui se détache en forte demi-teinte sur un ciel brûlant. A droite est une fortresse, et plus loin une côté, au pied de laquelle on voit des vaisseaux en construction ; du côté gauche, d'autres vaisseaux voguent en pleine mer. Sur le devant sont des pêcheurs et autres personnages. (D'après Vernet (Joseph))|Vue prise sur le bord de la mer, dans le voisinage d'un port. Tout près du rivage, sur un roc isolé, s'élève un phare qui se détache en forte demi-teinte sur un ciel brûlant. A droite est une fortresse, et plus loin une côté, au pied de laquelle on voit des vaisseaux en construction ; du côté gauche, d'autres vaisseaux voguent en pleine mer. Sur le devant sont des pêcheurs et autres personnages.]] réalisée par D'après Vernet (Joseph), vendue par Michalon au prix de 74 fl. [400]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cette brillante peinture nous offre les nymphes de Diane revenant de la chasse. Une d'elles tient un héron dans ses bras, une autre porte un paon sur son dos, une troisième va dépouiller une biche qu'elle a suspendue à un arbre. Près d'elles des chiens gardent du gibier ; plus loin se reposent d'autres nymphes. (Baelen (H.-V.))|Cette brillante peinture nous offre les nymphes de Diane revenant de la chasse. Une d'elles tient un héron dans ses bras, une autre porte un paon sur son dos, une troisième va dépouiller une biche qu'elle a suspendue à un arbre. Près d'elles des chiens gardent du gibier ; plus loin se reposent d'autres nymphes.]] réalisée par Baelen (H.-V.), vendue par Michalon au prix de 161 fl. [443]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quatre paysans, à la porte d'une maison, entoutent un cochon qu'ils viennent de tuer, et se disposent sans doute à le dépecer. L'animal est sur un table, et sous la table est un baqaet. Ce petit tableau est un précieux échantillon du beau talent de Brauwer. (Brauwer (A.))|Quatre paysans, à la porte d'une maison, entoutent un cochon qu'ils viennent de tuer, et se disposent sans doute à le dépecer. L'animal est sur un table, et sous la table est un baqaet. Ce petit tableau est un précieux échantillon du beau talent de Brauwer.]] réalisée par Brauwer (A.), vendue par Michalon au prix de 7.40 [ou] 40 fl. [445]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage. A droite est un édifice ruiné, au pied duquel une jeune paysanne file sa quenouille en gardant quelques bestiaux. A gauche est une échappée de vue ; au milieu, un bouquet d'arbres, et sur le devant, un paysan monté sur un âne et causant avec un jeune garçon qui passe à coté de lui. (Breenberg (Bartholomé))|Paysage. A droite est un édifice ruiné, au pied duquel une jeune paysanne file sa quenouille en gardant quelques bestiaux. A gauche est une échappée de vue ; au milieu, un bouquet d'arbres, et sur le devant, un paysan monté sur un âne et causant avec un jeune garçon qui passe à coté de lui.]] réalisée par Breenberg (Bartholomé), vendue par Michalon, achetée par Durand au prix de 52.5 fl. [446]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un militaire, assis au milieu d'un salon, s'appuie nonchalamment sur une table chargée d'un trictrac, de verres et d'une cruche renversée. Deux jeunes filles sont avec lui, l'une d'elles vient lui dire quelque chose à l'oreille, ce fait rire sa camarade. On ne saurait trouver un meilleur ouvrage de Le Duck. (Duck (J. Le))|Un militaire, assis au milieu d'un salon, s'appuie nonchalamment sur une table chargée d'un trictrac, de verres et d'une cruche renversée. Deux jeunes filles sont avec lui, l'une d'elles vient lui dire quelque chose à l'oreille, ce fait rire sa camarade. On ne saurait trouver un meilleur ouvrage de Le Duck.]] réalisée par Duck (J. Le), vendue par Michalon au prix de 81 fl. [450]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant la porte d'un cabaret situé en pleine campagne, un joueur de mandoline règle avec son instrument les pas de deux danseurs dont les traits respirent le plaisir, quoique leurs vêtemens n'annoncent guères que la pauvreté. Autour des danseurs sont tangées plusieurs personnes qui s'amusent à les regarder et parmi lesquelles on distingue un homme à cheval, deux buveurs assis près d'une table, et la servante du cabaret. Ce tableau, ainsi que le précédent, est remarquable par l'expression des personnages ; il ne l'est pas moins par sa conservation ; et l'on ne peut pas dire qu'il soit noir, comme le sont la plupart des productions de J. Miel. (Miel (Jean))|Devant la porte d'un cabaret situé en pleine campagne, un joueur de mandoline règle avec son instrument les pas de deux danseurs dont les traits respirent le plaisir, quoique leurs vêtemens n'annoncent guères que la pauvreté. Autour des danseurs sont tangées plusieurs personnes qui s'amusent à les regarder et parmi lesquelles on distingue un homme à cheval, deux buveurs assis près d'une table, et la servante du cabaret. Ce tableau, ainsi que le précédent, est remarquable par l'expression des personnages ; il ne l'est pas moins par sa conservation ; et l'on ne peut pas dire qu'il soit noir, comme le sont la plupart des productions de J. Miel.]] réalisée par Miel (Jean), vendue par Michalon au prix de 130 fl. [469]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Scène de carnaval. Elle se passe dans la cour d'une auberge en Italie. Un homme masqué joue de la mandore et fait danser deux de ses camarades. Aux sons de cet instrument se marient ceux d'un tambour de basque qu'une femme fait résonner. A l'air vif de la musicienne se prend un galant qui paraît lui conter des douceurs. D'autres masques, réunis à ces joyeux personnages, se récréent à fumer et à boire, tandis qu'un cuisinier tire de la broche un morceau de viande qui sans doute leur est destiné. -- Ce tableau, ainsi que le précédent, est remarquable par l'expression des personnages ; il ne l'est pas moins par sa conservation ; et l'on ne peut pas dire qu'il soit noir, comme le sont la plupart des productions de J. Miel. (Miel (Jean))|Scène de carnaval. Elle se passe dans la cour d'une auberge en Italie. Un homme masqué joue de la mandore et fait danser deux de ses camarades. Aux sons de cet instrument se marient ceux d'un tambour de basque qu'une femme fait résonner. A l'air vif de la musicienne se prend un galant qui paraît lui conter des douceurs. D'autres masques, réunis à ces joyeux personnages, se récréent à fumer et à boire, tandis qu'un cuisinier tire de la broche un morceau de viande qui sans doute leur est destiné. -- Ce tableau, ainsi que le précédent, est remarquable par l'expression des personnages ; il ne l'est pas moins par sa conservation ; et l'on ne peut pas dire qu'il soit noir, comme le sont la plupart des productions de J. Miel.]] réalisée par Miel (Jean), vendue par Michalon au prix de 53 fl. [470]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Très-riche composition dont le sujet, tiré de l'histoire sainte, paraît être celui de l'annonce aux bergers. Ce tableau, l'un des plus beaux ouvrages de Moyaert, provient de la riche collection de Muylmann, vendu en Hollande au mois de mai 1813. (Moyaert (Nicolas))|Très-riche composition dont le sujet, tiré de l'histoire sainte, paraît être celui de l'annonce aux bergers. Ce tableau, l'un des plus beaux ouvrages de Moyaert, provient de la riche collection de Muylmann, vendu en Hollande au mois de mai 1813.]] réalisée par Moyaert (Nicolas), vendue par Michalon, achetée par Boutteville au prix de 104 fl. [473]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une petite ville située entre des dunes, au bord de la mer. Au milieu s'élève le clocher de l'église ; et au delè, par dessus les toits des maisons, on aperçoit la pleine mer, qui d'un côté est éclairée par un coup de soleil, et de l'autre côté est obscurcie par une forte ombre causée par des nuages. Ce paysage est une espèce de portrait où la nature est fidelement observée. (Ruysdael (J.))|Vue d'une petite ville située entre des dunes, au bord de la mer. Au milieu s'élève le clocher de l'église ; et au delè, par dessus les toits des maisons, on aperçoit la pleine mer, qui d'un côté est éclairée par un coup de soleil, et de l'autre côté est obscurcie par une forte ombre causée par des nuages. Ce paysage est une espèce de portrait où la nature est fidelement observée.]] réalisée par Ruysdael (J.), vendue par Michalon au prix de 180 fl. [477]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une société de villageois rassemblés chez un de leurs amis : deux d'entre eux dansent une gavotte au son d'une basse et d'un violon. Les autres boivent, fument et content des douceurs à leurs voisines. Les attitudes de tous ces personnages sont naturelles, expressives ; et telle est la richesse de la composition, qu'elle peut passer pour capitale. (Sart (Corneille du))|Une société de villageois rassemblés chez un de leurs amis : deux d'entre eux dansent une gavotte au son d'une basse et d'un violon. Les autres boivent, fument et content des douceurs à leurs voisines. Les attitudes de tous ces personnages sont naturelles, expressives ; et telle est la richesse de la composition, qu'elle peut passer pour capitale.]] réalisée par Sart (Corneille du), vendue par Michalon au prix de 131 fl. [479]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Trois ivrognes dans un estaminet. L'un d'eux, debout derrière ses deux camarades, porte à sa bouche une petite fiole remplie de liqueur. Un autre, riant et armé d'une pinte, est prêt à se verser une rasade de vin ; le troisième tient sa pipe et se livre à ses réflexions. Ces deux derniers sont assis de chaque côté d'un tabouret qui leur sert de table, et sur lequel sont posés une bouteille d'eau-de-vie, un jeu de cartes, une pipe et du tabac dans un papier. (Sart (Corneille du))|Trois ivrognes dans un estaminet. L'un d'eux, debout derrière ses deux camarades, porte à sa bouche une petite fiole remplie de liqueur. Un autre, riant et armé d'une pinte, est prêt à se verser une rasade de vin ; le troisième tient sa pipe et se livre à ses réflexions. Ces deux derniers sont assis de chaque côté d'un tabouret qui leur sert de table, et sur lequel sont posés une bouteille d'eau-de-vie, un jeu de cartes, une pipe et du tabac dans un papier.]] réalisée par Sart (Corneille du), vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 150 fl. [480]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de femme représentée en pied avec son enfant, sur le devant d'un parc. L'enfant est assis sur une table de pierre, et tient un chien dans ses bras. Portrait d'homme vu en pied et accoudé sur la base d'un grand vase de pierre qui est rempli de fleurs. A ses pieds est un chien, à sa gauche un perroquet, et à sa droite un fond de paysage représentant un port de mer. (Weenix (J.-B.))|Portrait de femme représentée en pied avec son enfant, sur le devant d'un parc. L'enfant est assis sur une table de pierre, et tient un chien dans ses bras. Portrait d'homme vu en pied et accoudé sur la base d'un grand vase de pierre qui est rempli de fleurs. A ses pieds est un chien, à sa gauche un perroquet, et à sa droite un fond de paysage représentant un port de mer.]] réalisée par Weenix (J.-B.), vendue par Michalon au prix de 130 fl. [484]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Portrait de femme vue à mi-corps, tête nue et portant un manteau bleu sur une chemise négligemment ajustée. Elle tient une fleur de la main gauche, et pose son coude droit sur la base d'une colonne. Une statue orne le fond de ce tableau. Le pinceau de Van der Werf est d'une beauté, d'une perfection, où nul autre que lui n'a encore pu attendre. (Werf (Adrien Van der))|Portrait de femme vue à mi-corps, tête nue et portant un manteau bleu sur une chemise négligemment ajustée. Elle tient une fleur de la main gauche, et pose son coude droit sur la base d'une colonne. Une statue orne le fond de ce tableau. Le pinceau de Van der Werf est d'une beauté, d'une perfection, où nul autre que lui n'a encore pu attendre.]] réalisée par Werf (Adrien Van der), vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 125 fl. [485]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une rivière chargée de bateau, et coulant sous les murs d'un village d'Italie. Sur le premier plan sont représentées deux marchandes de fruits et de légumes, l'une tenant une corbeille remplie de raisins, l'autre entourée de sa marchandise et s'occupant d'un travail de couture ; près d'elles est un villageois avec qui elles font la conversation. (Wyck (Thomas))|Vue d'une rivière chargée de bateau, et coulant sous les murs d'un village d'Italie. Sur le premier plan sont représentées deux marchandes de fruits et de légumes, l'une tenant une corbeille remplie de raisins, l'autre entourée de sa marchandise et s'occupant d'un travail de couture ; près d'elles est un villageois avec qui elles font la conversation.]] réalisée par Wyck (Thomas), vendue par Michalon au prix de 78 fl. [488]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les enfans de Noé viennent de rassembler tous les animaux de la terre pour les renfermer dans l'Arche. A côté de lions et de panthères qui jouent avec leurs femelles, passe un des fils de Noé conduisant un chameau chargé de riches bagages. Rien de plus brillant, de plus riche, de plus amusant que cette peinture. (Breughel (Jean))|Les enfans de Noé viennent de rassembler tous les animaux de la terre pour les renfermer dans l'Arche. A côté de lions et de panthères qui jouent avec leurs femelles, passe un des fils de Noé conduisant un chameau chargé de riches bagages. Rien de plus brillant, de plus riche, de plus amusant que cette peinture.]] réalisée par Breughel (Jean), vendue par Michalon, achetée par Hoffman au prix de 150 fl. [517]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Madeleine, à genoux devant un crucifix, à l'entrée d'une grotte, élève ses yeux et ses pensées vers le ciel, son unique consolation. Dubourg a fait beaucoup de grands ouvrages en Hollande, et c'est un des derniers peintres de ce pays qui ont traité l'histoire avec quelques succés. (Dubourg (L.-F.))|Madeleine, à genoux devant un crucifix, à l'entrée d'une grotte, élève ses yeux et ses pensées vers le ciel, son unique consolation. Dubourg a fait beaucoup de grands ouvrages en Hollande, et c'est un des derniers peintres de ce pays qui ont traité l'histoire avec quelques succés.]] réalisée par Dubourg (L.-F.), vendue par Michalon au prix de 30 fl. [518]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une des plus agréables productions de ce maître. Elle représente un paysage frais et composé, à droite, d'un chemin bordé d'arbres et de rochers ; à gauche d'une rivière au delà de laquelle on aperçoit un lointain. Sur le devant est un cavalier, suivi d'un valet qui porte un lièvre sur son dos et conduit quatre chiens. (Heusch (Guillaume de))|Une des plus agréables productions de ce maître. Elle représente un paysage frais et composé, à droite, d'un chemin bordé d'arbres et de rochers ; à gauche d'une rivière au delà de laquelle on aperçoit un lointain. Sur le devant est un cavalier, suivi d'un valet qui porte un lièvre sur son dos et conduit quatre chiens.]] réalisée par Heusch (Guillaume de), vendue par Michalon, achetée par Henri au prix de 425 fl. [522]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le pendant du précédent tableau. A droite, un torrent tombe avec fracas du haut d'une montagne, et réunit ses eaux à celle d'une rivière qui coule par cascades et vient s'étendre sur le devant du tableau ; du côté gauche est un chemin où s'avancent un homme et une femme qui chassent deux boeufs, et sont suivis de chèvres et de brebis. (Heusch (Guillaume de))|Le pendant du précédent tableau. A droite, un torrent tombe avec fracas du haut d'une montagne, et réunit ses eaux à celle d'une rivière qui coule par cascades et vient s'étendre sur le devant du tableau ; du côté gauche est un chemin où s'avancent un homme et une femme qui chassent deux boeufs, et sont suivis de chèvres et de brebis.]] réalisée par Heusch (Guillaume de), vendue par Michalon au prix de 301 fl. [523]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux jeunes dames chantant en duo sont accompagnées par deux musiciens qui jouent de la basse et du violon. Une jeune femme, dont un coîffeur arrange la chevelure, tient affectueusement la main d'un enfant qui est debout à sa droite ; à sa gauche est assis son mari qui veut bien présider à sa toilette. (Lancret)|Deux jeunes dames chantant en duo sont accompagnées par deux musiciens qui jouent de la basse et du violon. Une jeune femme, dont un coîffeur arrange la chevelure, tient affectueusement la main d'un enfant qui est debout à sa droite ; à sa gauche est assis son mari qui veut bien présider à sa toilette.]] réalisée par Lancret, vendue par Michalon au prix de 34.5 fl. [525]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieillard à cheveux blancs, figure de grandeur naturelle, et presqu'à mi-corps. On le voit de trois quarts, la tête couverte d'une toque noire, portant un juste-au-corps sous une mante doublée de fourrures, et tenant un chapelet dans ses mains. Cette peinture, étonnante et précieuse, a long-tems passé pour être le portrait d'Albert Durer, peint par lui-même deux ns avant sa mort, c'est-à-dire 1526. Mais feu J.P. Lebrun, l'ayant regardé comme un ouvrage de Quintin Metsys, nous ne pouvons mieux faire que de nous conformer à l'opinion de ce connaisseur. Il s'est ainsi exprimé à l'occasion de ce tableau : "Ce tableau, d'une grande vérité, du plus précieux fini, est un morceau de première rareté et classique pour toute belle collection. (Metsys (Quintin), dit le maréchal d'Anvers)|Un vieillard à cheveux blancs, figure de grandeur naturelle, et presqu'à mi-corps. On le voit de trois quarts, la tête couverte d'une toque noire, portant un juste-au-corps sous une mante doublée de fourrures, et tenant un chapelet dans ses mains. Cette peinture, étonnante et précieuse, a long-tems passé pour être le portrait d'Albert Durer, peint par lui-même deux ns avant sa mort, c'est-à-dire 1526. Mais feu J.P. Lebrun, l'ayant regardé comme un ouvrage de Quintin Metsys, nous ne pouvons mieux faire que de nous conformer à l'opinion de ce connaisseur. Il s'est ainsi exprimé à l'occasion de ce tableau : "Ce tableau, d'une grande vérité, du plus précieux fini, est un morceau de première rareté et classique pour toute belle collection.]] réalisée par Metsys (Quintin), dit le maréchal d'Anvers, vendue par Michalon au prix de 81 fl. [527]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieillard, dansant gaiement avec une jeune femme, fait voir que l'âge n'a pas encore éteint en lui le goût des plaisirs ; un joueur de musette règle la danse et se tient près d'une table où trois villageois fêtent le dieu du vint. Pendant ce tems, un de leurs compagnons, d'une humeur gaillarde, saisit une vieille femme par les mains et veut la faire danser. A la gauche du tableau un autre homme, assis sur un tronc d'arbre, cause familièrement avec une femme, et près de lui est un jeune garçon qui retourne vers lui comme pour lui parler. (Miel (Jean))|Un vieillard, dansant gaiement avec une jeune femme, fait voir que l'âge n'a pas encore éteint en lui le goût des plaisirs ; un joueur de musette règle la danse et se tient près d'une table où trois villageois fêtent le dieu du vint. Pendant ce tems, un de leurs compagnons, d'une humeur gaillarde, saisit une vieille femme par les mains et veut la faire danser. A la gauche du tableau un autre homme, assis sur un tronc d'arbre, cause familièrement avec une femme, et près de lui est un jeune garçon qui retourne vers lui comme pour lui parler.]] réalisée par Miel (Jean), vendue par Michalon, achetée par Roux au prix de 200 fl. [528]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le marchand de gibier. Il est en dedans d'une fenêtre, et tient par les pattes un très-beau coq, dont une jeune fille lui offre le prix. Un fièvre, des canards et autres objets sont posés sur la tablette de la fenêtre : au dessus est un bas-relief scilpté dans le mur. On a collé au dos de ce joli tableau un article de catalogue, qui le dit être de W. Mièris. (Mieris le jeune (François))|Le marchand de gibier. Il est en dedans d'une fenêtre, et tient par les pattes un très-beau coq, dont une jeune fille lui offre le prix. Un fièvre, des canards et autres objets sont posés sur la tablette de la fenêtre : au dessus est un bas-relief scilpté dans le mur. On a collé au dos de ce joli tableau un article de catalogue, qui le dit être de W. Mièris.]] réalisée par Mieris le jeune (François), vendue par Michalon, achetée par Hazard au prix de 95 fl. [529]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Deux paysages, de forme ronde et du diamètre de 10 p. On voit, dans l'un, un pâtre gardant un troupeau de brebis ; et dans le second, un troupeau de brebis, près duquel passe une femme portant un vase sur sa tête et un autre à sa main. (Milet (Francisque))|Deux paysages, de forme ronde et du diamètre de 10 p. On voit, dans l'un, un pâtre gardant un troupeau de brebis ; et dans le second, un troupeau de brebis, près duquel passe une femme portant un vase sur sa tête et un autre à sa main.]] réalisée par Milet (Francisque), vendue par Michalon au prix de 70 fl. [530]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans une salle, au rez-de-chaussée et devant l'appui d'une fenêtre ayant vue sur la campagne, se présentent trois enfans vêtus noblement et surveillés par leur gouvernante. Le plus jeune, en très-bas âge, dort assis sur cette fenêtre et se penche légèrement sur un panier servant de cage à un oiseau. Cet animal est l'objet des soins d'un jeune garçon qui lui donne la becquée, tandis que le troisième de ces enfans, d'une figure très-agréable, fixe ses regards sur la campagne. Quant à la gouvernente, en posant une de ses mains sur le petit dormeur et en tenant de l'autre le panier sur lequel il s'appuie, elle montre une prudence qui justifie l'emploi qui lui est donné. Un rideau retroussé, un tapis de Turquie, quelques fleurs qui croissent en dehors au bas de la fenêtre, sont les ornemens accessoires de ce charmant tableau qui, par son faire et sa grande richesse, est un des meilleurs et des plus capitaux de ce maître. (Netscher (Gaspard))|Dans une salle, au rez-de-chaussée et devant l'appui d'une fenêtre ayant vue sur la campagne, se présentent trois enfans vêtus noblement et surveillés par leur gouvernante. Le plus jeune, en très-bas âge, dort assis sur cette fenêtre et se penche légèrement sur un panier servant de cage à un oiseau. Cet animal est l'objet des soins d'un jeune garçon qui lui donne la becquée, tandis que le troisième de ces enfans, d'une figure très-agréable, fixe ses regards sur la campagne. Quant à la gouvernente, en posant une de ses mains sur le petit dormeur et en tenant de l'autre le panier sur lequel il s'appuie, elle montre une prudence qui justifie l'emploi qui lui est donné. Un rideau retroussé, un tapis de Turquie, quelques fleurs qui croissent en dehors au bas de la fenêtre, sont les ornemens accessoires de ce charmant tableau qui, par son faire et sa grande richesse, est un des meilleurs et des plus capitaux de ce maître.]] réalisée par Netscher (Gaspard), vendue par Michalon, achetée par Henry au prix de 1000 fl. [532]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une dame, appuyé sur la porte de sa maison, achète des cerises d'une fruitière ; tandis que celle-ci les met dans une balance pour les peser, une servante présente une assiette pour les recevoir, et une jeune fille, tenant une pièce de monnaie, est prète à les payer. En dehors de la porte, on aperçoit un cavalier donnant le bras à une dame. L'étonnant effet de ce tableau, l'éclat de ses couleurs, la suavité de son exécution, en font un morceau de choix qui peut entrer dans toutes les collections. (Ochterveldt (Jean))|Une dame, appuyé sur la porte de sa maison, achète des cerises d'une fruitière ; tandis que celle-ci les met dans une balance pour les peser, une servante présente une assiette pour les recevoir, et une jeune fille, tenant une pièce de monnaie, est prète à les payer. En dehors de la porte, on aperçoit un cavalier donnant le bras à une dame. L'étonnant effet de ce tableau, l'éclat de ses couleurs, la suavité de son exécution, en font un morceau de choix qui peut entrer dans toutes les collections.]] réalisée par Ochterveldt (Jean), vendue par Michalon, achetée par Henry au prix de 299 fl. [533]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La mère de Jésus, représentée dans un saint recueillement, joint les mains et baisse ses regards vers la terre. A la gracieuse naïveté qui donne tant de charme aux productions de Perugino, se joint ici une expression admirable de douceur et d'humilité. (Perugino (Pietro Vannucci dit))|La mère de Jésus, représentée dans un saint recueillement, joint les mains et baisse ses regards vers la terre. A la gracieuse naïveté qui donne tant de charme aux productions de Perugino, se joint ici une expression admirable de douceur et d'humilité.]] réalisée par Perugino (Pietro Vannucci dit), vendue par Michalon au prix de 62.5 fl. [534]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une grande église située sur une petite éminence au milieu d'une ville ; à gauche et sur un plan moins avancé, est une autre église dont on n'aperçoit guères que le clocher ; à droite est située une des portes de la ville. -- Ce tableau, d'une exécution très-soignée, d'un ton brillant et vrai, est enrichi de jolies figures parmi lesquelles on remarque deux pélerins. Ten Compe, élève de Dirck Dalens, se forma d'après les tableaux de Vander Heyden et de G. Berck Heyden, étudia leur manière et s'en fit une fort agréable. (Ten Compe (Jean))|Vue d'une grande église située sur une petite éminence au milieu d'une ville ; à gauche et sur un plan moins avancé, est une autre église dont on n'aperçoit guères que le clocher ; à droite est située une des portes de la ville. -- Ce tableau, d'une exécution très-soignée, d'un ton brillant et vrai, est enrichi de jolies figures parmi lesquelles on remarque deux pélerins. Ten Compe, élève de Dirck Dalens, se forma d'après les tableaux de Vander Heyden et de G. Berck Heyden, étudia leur manière et s'en fit une fort agréable.]] réalisée par Ten Compe (Jean), vendue par Michalon au prix de 48 fl. [536]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage où l'éclat et la vérité de la couleur s'unissent à un faire aussi solide que parfait. A droite, au pied d'un chemin descendant, est une marre d'eau vers laquelle s'avancent deux villageois, homme et femme, conduisant trois vaches et cinq moutons ; on remarque encore de ce côté plusieurs plans éloignés. A gauche, sur le devant, des plantes sauvages croissent à l'ombre de plusieurs chênes. Au delà est une butte sablonneuse couronnée de jeunes arbres. -- Ce tableau est un des plus beaux ouvrages de Wynantz, et les figures sont du plus beau faire d'Adrien Vandenvelde. (Wynants (Jean))|Paysage où l'éclat et la vérité de la couleur s'unissent à un faire aussi solide que parfait. A droite, au pied d'un chemin descendant, est une marre d'eau vers laquelle s'avancent deux villageois, homme et femme, conduisant trois vaches et cinq moutons ; on remarque encore de ce côté plusieurs plans éloignés. A gauche, sur le devant, des plantes sauvages croissent à l'ombre de plusieurs chênes. Au delà est une butte sablonneuse couronnée de jeunes arbres. -- Ce tableau est un des plus beaux ouvrages de Wynantz, et les figures sont du plus beau faire d'Adrien Vandenvelde.]] réalisée par Wynants (Jean), vendue par Michalon au prix de 513 fl. [538]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le ciel et les fonds de ce paisage sont dus au pinceau de Berghem, ainsi que la vache roussâtre qui en occupe le milieu. Van der Does a peint la vache blanche et noire qui sort sa tête d'une hutte, ainsi que les moutons qui sont du même côté ; et l'on attribue à Karel du Jardin le bouc, la chèvre et la brebis qui sont du côté opposé. Ce tableau, non moins précieux qu'extraordinaire, provient du fameux cabinet de Van Leyden, et jouit d'une sorte de célébrité. Il est en effet d'autant plus digne de l'attention des curieux, qu'à l'avantage d'être l'oeuvre de trois grands maîtres, il réunit celui d'offrir un accord parfait et une imitation fidéle de la nature. (Berghem (Nicolas))|Le ciel et les fonds de ce paisage sont dus au pinceau de Berghem, ainsi que la vache roussâtre qui en occupe le milieu. Van der Does a peint la vache blanche et noire qui sort sa tête d'une hutte, ainsi que les moutons qui sont du même côté ; et l'on attribue à Karel du Jardin le bouc, la chèvre et la brebis qui sont du côté opposé. Ce tableau, non moins précieux qu'extraordinaire, provient du fameux cabinet de Van Leyden, et jouit d'une sorte de célébrité. Il est en effet d'autant plus digne de l'attention des curieux, qu'à l'avantage d'être l'oeuvre de trois grands maîtres, il réunit celui d'offrir un accord parfait et une imitation fidéle de la nature.]] réalisée par Berghem (Nicolas), vendue par Michalon au prix de 750 fl. [560]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Copie de ce tableau lot no.562, Une dame, appuyé sur la porte de sa maison, achète des cerises d'une fruitière ; tandis que celle-ci les met dans une balance pour les peser, une servante présente une assiette pour les recevoir, et une jeune fille, tenant une pièce de monnaie, est prète à les payer. En dehors de la porte, on aperçoit un cavalier donnant le bras à une dame. L'étonnant effet de ce tableau, l'éclat de ses couleurs, la suavité de son exécution, en font un morceau de choix qui peut entrer dans toutes les collections. (Ochterveldt (Jean))|La Copie de ce tableau lot no.562, Une dame, appuyé sur la porte de sa maison, achète des cerises d'une fruitière ; tandis que celle-ci les met dans une balance pour les peser, une servante présente une assiette pour les recevoir, et une jeune fille, tenant une pièce de monnaie, est prète à les payer. En dehors de la porte, on aperçoit un cavalier donnant le bras à une dame. L'étonnant effet de ce tableau, l'éclat de ses couleurs, la suavité de son exécution, en font un morceau de choix qui peut entrer dans toutes les collections.]] réalisée par Ochterveldt (Jean), vendue par Michalon au prix de 44 50 fl. [573]
  • 1818.03.30/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de cuisine d'auberge. Une servante, assise près d'un tonneau, se dispose à éplucher des légumes, qu'une marchande lui apporte dans une brouette. Une autre servante arrange quelque chose sur un buffet. Le maître de la maison, une pipe à la main, présente un verre de bière à un paysane, qui lui apporte aussi des productions de son jardin. (Lambrechts)|Intérieur de cuisine d'auberge. Une servante, assise près d'un tonneau, se dispose à éplucher des légumes, qu'une marchande lui apporte dans une brouette. Une autre servante arrange quelque chose sur un buffet. Le maître de la maison, une pipe à la main, présente un verre de bière à un paysane, qui lui apporte aussi des productions de son jardin.]] réalisée par Lambrechts, vendue par Michalon au prix de 55.05 fl. [575]