Ventes d'œuvres le 1818.05.19

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  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau de fruits de petite proportion ; représentant plusieurs fruits, tels que trois pommes d'amour, sur la droite ; plusieurs figures sur la gauche, sur une feuille de vigne, des olives dans un plat, et des raisins dans un panier. D'une grande finesse d'exécution et d'une grande transparence de couleur. (Absauven (Jean Van))|Tableau de fruits de petite proportion ; représentant plusieurs fruits, tels que trois pommes d'amour, sur la droite ; plusieurs figures sur la gauche, sur une feuille de vigne, des olives dans un plat, et des raisins dans un panier. D'une grande finesse d'exécution et d'une grande transparence de couleur.]] réalisée par Absauven (Jean Van), vendue par Mr et Mme Dellezenne au prix de 34.35 :d pour les lots nos 36 & 37 fl. [69]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un sîte montueux, et près des murs d'une ville enceinte de murailles et de tours, un voyageur est arrêté à converser avec une femme qui se repose assise sur un tertre ; le ciel est orageux, et la pluie tombe au loin. Cette production remarquable de cet excellent paysagiste, élève et parent de notre célèbre Poussin, se recommande par l'analogie qu'il y a entre ces deux grands maîtres. (Gaspre Poussin)|Dans un sîte montueux, et près des murs d'une ville enceinte de murailles et de tours, un voyageur est arrêté à converser avec une femme qui se repose assise sur un tertre ; le ciel est orageux, et la pluie tombe au loin. Cette production remarquable de cet excellent paysagiste, élève et parent de notre célèbre Poussin, se recommande par l'analogie qu'il y a entre ces deux grands maîtres.]] réalisée par Gaspre Poussin, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Martin au prix de 10.05 fl. [70]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un sîte montueux et pittoresque, Saint-François est en méditation, soutenant sa tête d'une main, et de l'autre tient une tête de mort ; auprès de lui un vieux livre et un panier de provisions. Ce tableau, faussement attribué à Salvator, est évidemment de Ketel, dont le pinceau ne cédait en rien à la vigueur de celui du peintre napolitain, car ce peintre peignait avec les mains, et même avec les pieds. Cette production, remarquable par l'enthousiasme du faire, est précieuse pour un amateur. (Corneille Ketel)|Dans un sîte montueux et pittoresque, Saint-François est en méditation, soutenant sa tête d'une main, et de l'autre tient une tête de mort ; auprès de lui un vieux livre et un panier de provisions. Ce tableau, faussement attribué à Salvator, est évidemment de Ketel, dont le pinceau ne cédait en rien à la vigueur de celui du peintre napolitain, car ce peintre peignait avec les mains, et même avec les pieds. Cette production, remarquable par l'enthousiasme du faire, est précieuse pour un amateur.]] réalisée par Corneille Ketel, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Debarmont au prix de 10.15 fl. [72]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieillard, les mains jointes et assis sur une chaise, semble réfléchir sur ses adversités ; il est couvert de haillons, et n'a pour nourriture que quelques légumes et de l'eau. Ce tableau, d'une excellente couleur et d'une touche large et empâtée, est absolument peint dans la manière de son maître, Mr Vien. (Belin)|Un vieillard, les mains jointes et assis sur une chaise, semble réfléchir sur ses adversités ; il est couvert de haillons, et n'a pour nourriture que quelques légumes et de l'eau. Ce tableau, d'une excellente couleur et d'une touche large et empâtée, est absolument peint dans la manière de son maître, Mr Vien.]] réalisée par Belin, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Monnel au prix de 32.1 fl. [74]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Tableau représentant un jeune enfant en pénitence, assis dans une cuisine, au pain et à l'eau, ayant le cornet d'âne à son chapeau. Ce tableau, peint sur toile, dans un cadre ovale, est plein de vérité et de naïveté, et est digne d'un imitateur de Greuze. (Belin)|Tableau représentant un jeune enfant en pénitence, assis dans une cuisine, au pain et à l'eau, ayant le cornet d'âne à son chapeau. Ce tableau, peint sur toile, dans un cadre ovale, est plein de vérité et de naïveté, et est digne d'un imitateur de Greuze.]] réalisée par Belin, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Monnel au prix de 100.05 fl. [75]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'une bibliothèque, on voit un chancelier, donnant une leçon de géographie à une dame de distinction, au moment où le mari de la dame ouvre la porte mystérieusement. Tableau peint sur toile, d'une grande finesse d'exécution et du meilleur tems de ce maître. (De Troy)|Dans l'intérieur d'une bibliothèque, on voit un chancelier, donnant une leçon de géographie à une dame de distinction, au moment où le mari de la dame ouvre la porte mystérieusement. Tableau peint sur toile, d'une grande finesse d'exécution et du meilleur tems de ce maître.]] réalisée par De Troy, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Tester au prix de 37.05 fl. [76]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un intérieur rustique, un paysan est assis sur un banc, devant une barrique renversée, sur laquelle il y a un pot de bière et un réchaud ; il tient une pipe à la main. Trois autres figures ornent cette charmante composition, pleine de couleur et d'esprit. (Téniers le Vieux (David))|Dans un intérieur rustique, un paysan est assis sur un banc, devant une barrique renversée, sur laquelle il y a un pot de bière et un réchaud ; il tient une pipe à la main. Trois autres figures ornent cette charmante composition, pleine de couleur et d'esprit.]] réalisée par Téniers le Vieux (David), vendue par Mr et Mme Dellezenne au prix de 12.5 fl. [79]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un intérieur d'église gothique, le sujet représente la femme adultère amenée devant Jésus-Christ ; les figures sont de Franke Hiris. Ce tableau, d'une grande fonesse d'exécution, est aussi recommandable par l'entente du clair-obscur. (Stéenvick (Henri Van))|Dans un intérieur d'église gothique, le sujet représente la femme adultère amenée devant Jésus-Christ ; les figures sont de Franke Hiris. Ce tableau, d'une grande fonesse d'exécution, est aussi recommandable par l'entente du clair-obscur.]] réalisée par Stéenvick (Henri Van), vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Monnel au prix de 82.5 fl. [80]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage représentant une montagne, au milieu d'une forêt qui s'aperçoit sur le second plan : le premier est orné d'une fontaine bordée de jonc, et d'un tronc d'arbre coupé ; deux bergers, gardant leurs troupeaux, sont sur la montagne. Tableau peint sur toile, d'un charmant effet de lumière, d'une touche légère et spirituelle. (Lantara)|Paysage représentant une montagne, au milieu d'une forêt qui s'aperçoit sur le second plan : le premier est orné d'une fontaine bordée de jonc, et d'un tronc d'arbre coupé ; deux bergers, gardant leurs troupeaux, sont sur la montagne. Tableau peint sur toile, d'un charmant effet de lumière, d'une touche légère et spirituelle.]] réalisée par Lantara, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Villard au prix de 22 fl. [82]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Son pendant, connu sous celui de : Ni l'un, ni l'autre, représente une jeune personne se bouchant les oreilles pour ne point entendre les propositions de deux vieillards qui veulent la séduire, l'une par de l'or et l'autre par des bijoux. Du même mérite d'exécution que le précédent. (Jenny Désora)|Son pendant, connu sous celui de : Ni l'un, ni l'autre, représente une jeune personne se bouchant les oreilles pour ne point entendre les propositions de deux vieillards qui veulent la séduire, l'une par de l'or et l'autre par des bijoux. Du même mérite d'exécution que le précédent.]] réalisée par Jenny Désora, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Martin au prix de 154.:d pour les lots nos 21 & 22 fl. [83]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Représente également sur les rives fortunées du Rhin, témoin de tant d'actions mémorables de nos aïeux, un choc de cavalerie ; on voit plusieurs escadrons de cavalerie se déplyer dans la plaine. Non moins précieux que le précédent. (Le Chevalier Bredel)|Représente également sur les rives fortunées du Rhin, témoin de tant d'actions mémorables de nos aïeux, un choc de cavalerie ; on voit plusieurs escadrons de cavalerie se déplyer dans la plaine. Non moins précieux que le précédent.]] réalisée par Le Chevalier Bredel, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Libert au prix de 82.10 :d pour les lots nos 14 & 15 fl. [90]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur les bords du Rhin, on voit une escarmouche de cavalerie sur les premiers plans du tableau. Le fond, qui se prolonge à l'infini, laisse entrevoir une immense étandue à parcourir. Ce peintre semble s'être plu à composer ses tableaux dans la manière de Vandermeulhen, en y ajoutant la touche fine et spirituelle de Wouvermans ; ils ne peuvent manquer de plaire aux amateurs des petites productions. (Le Chevalier Bredel)|Sur les bords du Rhin, on voit une escarmouche de cavalerie sur les premiers plans du tableau. Le fond, qui se prolonge à l'infini, laisse entrevoir une immense étandue à parcourir. Ce peintre semble s'être plu à composer ses tableaux dans la manière de Vandermeulhen, en y ajoutant la touche fine et spirituelle de Wouvermans ; ils ne peuvent manquer de plaire aux amateurs des petites productions.]] réalisée par Le Chevalier Bredel, vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Libert au prix de 82.10 :d pour les lots nos 14 & 15 fl. [91]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un beau et brillant paysage, site d'Italie, laisse entrevoir une chaîne de montagnes qui se prolongent à perte de vue ; une rivière qui passe sous un pont, et coule dans un marais fangeux, traverse cette vaste solitude. A la droite de ce tableau, un rocher, sur le sommet duquel s'élèvent d'antiques pins d'un ton noirâtre et d'une touche badine. Plusieurs jolies figures, spirituellement touchées, ajoutent au charme de cette charmante production de la plus grande finesse de ce maître. (Brill (Paul))|Un beau et brillant paysage, site d'Italie, laisse entrevoir une chaîne de montagnes qui se prolongent à perte de vue ; une rivière qui passe sous un pont, et coule dans un marais fangeux, traverse cette vaste solitude. A la droite de ce tableau, un rocher, sur le sommet duquel s'élèvent d'antiques pins d'un ton noirâtre et d'une touche badine. Plusieurs jolies figures, spirituellement touchées, ajoutent au charme de cette charmante production de la plus grande finesse de ce maître.]] réalisée par Brill (Paul), vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Martin au prix de 21 fl. [92]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Copie en petit, faisant partie de l'histoire de l'Amour et Psyché, peinte par Raphaél, et transmise à la postérité par cet élève estimé ; d'une finesse d'exécution et de couleur remarquable et précieuse. Ce tableau, vraiment classique, est recommandable par son antiquité et la pureté de sa conservation, qui ne laisse rien à désirer. (Bonazone (Jules))|Copie en petit, faisant partie de l'histoire de l'Amour et Psyché, peinte par Raphaél, et transmise à la postérité par cet élève estimé ; d'une finesse d'exécution et de couleur remarquable et précieuse. Ce tableau, vraiment classique, est recommandable par son antiquité et la pureté de sa conservation, qui ne laisse rien à désirer.]] réalisée par Bonazone (Jules), vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Barbier au prix de 36 fl. [93]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans l'intérieur d'un temple d'architecture gothique, on voit un prêtre sur le premier plan, occupé à faire une cérémonie funèbre ; plusieurs personnes de distinction accompagnent le corps, auquel on rend les derniers devoirs. La fermeté de la touche, et la fraîcheur des coloris, font assez connaître cet homme était universel dans son art. L'architecture, pleine de perspective et de belles oppositions d'ombres et de lumières, semble le disputer au célèbre Peteer Neef. (Witte (Thomas))|Dans l'intérieur d'un temple d'architecture gothique, on voit un prêtre sur le premier plan, occupé à faire une cérémonie funèbre ; plusieurs personnes de distinction accompagnent le corps, auquel on rend les derniers devoirs. La fermeté de la touche, et la fraîcheur des coloris, font assez connaître cet homme était universel dans son art. L'architecture, pleine de perspective et de belles oppositions d'ombres et de lumières, semble le disputer au célèbre Peteer Neef.]] réalisée par Witte (Thomas), vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Paillet au prix de 36 fl. [94]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[A la porte d'une hôtellerie, un cavalier, monté sur un beau cheval blanc, semble demander à se rafraîchir à un homme qui tient respectueusement son bonnet à la main. Non loin de lui, son domestique, qui est descendu du sien, tient son cheval par la bride, et attend les ordres de son maître. Ce charmant tableau a souvent, par la finesse de sa touche et de son dessin, et la transparence de sa couleur, fait croire à des amateurs qu'il était de Philippe. C'est assez faire l'éloge de cette charmante production. (Wouvermans (Pierre))|A la porte d'une hôtellerie, un cavalier, monté sur un beau cheval blanc, semble demander à se rafraîchir à un homme qui tient respectueusement son bonnet à la main. Non loin de lui, son domestique, qui est descendu du sien, tient son cheval par la bride, et attend les ordres de son maître. Ce charmant tableau a souvent, par la finesse de sa touche et de son dessin, et la transparence de sa couleur, fait croire à des amateurs qu'il était de Philippe. C'est assez faire l'éloge de cette charmante production.]] réalisée par Wouvermans (Pierre), vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Jamard au prix de 110 fl. [95]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Cette production distinguée et pleine d'esprit, le dispute en mérite au talent du fils, et ne diffère de ce dernier que par le ton argentin qu'il a su répandre dans sa composition, jointe à la grande légèreté de son pinceau, ne peignant jamais qu'au premier coup. Celui-ci, de très-petite proportion pour les figures, et de la plus grande finssse de ce maître, représente, dans un paysage agréable, plusieurs bons flamands s'entretenant. Sur le premier plan, ils semblent sortir d'une maison que l'on voit sur une élévation, et par où l'on arrive par un sentier, plusieurs villageois y viennent d'arriver. Un échappé piquant, une rivière, et un pont sur la droite, rendent ce tableau vraiment classique. (Téniers le Vieux (David))|Cette production distinguée et pleine d'esprit, le dispute en mérite au talent du fils, et ne diffère de ce dernier que par le ton argentin qu'il a su répandre dans sa composition, jointe à la grande légèreté de son pinceau, ne peignant jamais qu'au premier coup. Celui-ci, de très-petite proportion pour les figures, et de la plus grande finssse de ce maître, représente, dans un paysage agréable, plusieurs bons flamands s'entretenant. Sur le premier plan, ils semblent sortir d'une maison que l'on voit sur une élévation, et par où l'on arrive par un sentier, plusieurs villageois y viennent d'arriver. Un échappé piquant, une rivière, et un pont sur la droite, rendent ce tableau vraiment classique.]] réalisée par Téniers le Vieux (David), vendue par Mr et Mme Dellezenne, achetée par Martin au prix de 38.5 fl. [96]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Morte il y a peu d'années, près de Milan. Pénëlope tient l'arc formidable qu'Ulysse lui a laissé en partant ; et la tête soutenue par sa main, semble réfléchir sur le parti qu'elle doit prendre envers ceux qui prétendent à sa main. Ce charmant échantillon de cette femme célèbre ne peut donner qu'une idée avantageuse de son juste mérite. L'élégance, la force et la vigueur du pinceau, font assez voir qu'elle était appelée par la nature à cultiver avec succès la peinture historique, genre dans lequel fort peu de femmes se sont véritablement distinguées. Ce petit tableau sur cuivre forme ovale, est beaucoup connu par sa gravure dans la manière noire. (Kaufmann (Angelica))|Morte il y a peu d'années, près de Milan. Pénëlope tient l'arc formidable qu'Ulysse lui a laissé en partant ; et la tête soutenue par sa main, semble réfléchir sur le parti qu'elle doit prendre envers ceux qui prétendent à sa main. Ce charmant échantillon de cette femme célèbre ne peut donner qu'une idée avantageuse de son juste mérite. L'élégance, la force et la vigueur du pinceau, font assez voir qu'elle était appelée par la nature à cultiver avec succès la peinture historique, genre dans lequel fort peu de femmes se sont véritablement distinguées. Ce petit tableau sur cuivre forme ovale, est beaucoup connu par sa gravure dans la manière noire.]] réalisée par Kaufmann (Angelica), vendue par Mr et Mme Dellezenne. [97]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un sujet égal en composition et en mérite au précédnt, représente plusieurs cavaliers occupés à jouer aux cartes sur les bords de la mer ; l'un d'eux tient un cheval blanc par la bride, et est enveloppé dans son manteau ; non loin de lui est un mulet chargé de bagages ; sur le second plan, un cavalier, tenant son cheval, s'entretenant avec des femmes ; le troisième offre plusieurs fabriques sur une élévation. Sur bois, d'une grande finesse d'exécution. (Duplessis Berteaux)|Un sujet égal en composition et en mérite au précédnt, représente plusieurs cavaliers occupés à jouer aux cartes sur les bords de la mer ; l'un d'eux tient un cheval blanc par la bride, et est enveloppé dans son manteau ; non loin de lui est un mulet chargé de bagages ; sur le second plan, un cavalier, tenant son cheval, s'entretenant avec des femmes ; le troisième offre plusieurs fabriques sur une élévation. Sur bois, d'une grande finesse d'exécution.]] réalisée par Duplessis Berteaux, vendue par Mr et Mme Dellezenne au prix de 80 fl. [98]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition capitale de ce maître, représentant, sur le premier plan, un bateau chargé de passagers, que le batelier se dispose à amarrer à un cable, pour en faciliter la descente ; sur la droite, un cavalier tenant son cheval par la bride, s'entretient avec une dame, au moment où un marchand vient leur offrir ses marchandises ; plusieurs cavaliers se disposent à faire boire leurs chevaux ; un pont, deux barques, et plusieurs fabriques sont les derniers plans ; d'une touche ferme et spirituelle, et d'un bon ton de couleur qui semble rappeler un imitateur de Wouvermans. (Duplessis Berteaux)|Composition capitale de ce maître, représentant, sur le premier plan, un bateau chargé de passagers, que le batelier se dispose à amarrer à un cable, pour en faciliter la descente ; sur la droite, un cavalier tenant son cheval par la bride, s'entretient avec une dame, au moment où un marchand vient leur offrir ses marchandises ; plusieurs cavaliers se disposent à faire boire leurs chevaux ; un pont, deux barques, et plusieurs fabriques sont les derniers plans ; d'une touche ferme et spirituelle, et d'un bon ton de couleur qui semble rappeler un imitateur de Wouvermans.]] réalisée par Duplessis Berteaux, vendue par Mr et Mme Dellezenne. [99]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un paysage agréable et riant, cet habile artiste a représenté Moïse frappant la roche, au moment où les Israélites, accablés de fatigues, expiraient de faim et de soif. On ne pourrait trop louer la manière élégante et gracieuse avec laquelle il a varié les différentes expressions de son sujet ; les formes agréables sont jointes à la pureté du dessin, à la finesse de l'exécution, et du bon ton de couleur qui semble en disputer à Corneil Solimbourg. Ce tableau, peint sur cuivre, ne peut manquer de trouver place dans le cabinet d'un amateur distingué, d'autant plus qu'il est rare d'en trouver de cette qualité. (Breenberg (Bartholomée))|Dans un paysage agréable et riant, cet habile artiste a représenté Moïse frappant la roche, au moment où les Israélites, accablés de fatigues, expiraient de faim et de soif. On ne pourrait trop louer la manière élégante et gracieuse avec laquelle il a varié les différentes expressions de son sujet ; les formes agréables sont jointes à la pureté du dessin, à la finesse de l'exécution, et du bon ton de couleur qui semble en disputer à Corneil Solimbourg. Ce tableau, peint sur cuivre, ne peut manquer de trouver place dans le cabinet d'un amateur distingué, d'autant plus qu'il est rare d'en trouver de cette qualité.]] réalisée par Breenberg (Bartholomée), vendue par Mr et Mme Dellezenne au prix de 350 fl. [100]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Louise, sous l'emblême de la Charité, se dépouille de ses ajustemens et de ses bijoux pour se retirer du monde ; dans le fond, plusieurs presonnes sont occupées à faire un sacrifice de ses habits. Ces quatre tableaux de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambes, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncemt déjà l'aurore des progrès des arts en France vers la perfection. (Jean-Marc Nattier)|Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Louise, sous l'emblême de la Charité, se dépouille de ses ajustemens et de ses bijoux pour se retirer du monde ; dans le fond, plusieurs presonnes sont occupées à faire un sacrifice de ses habits. Ces quatre tableaux de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambes, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncemt déjà l'aurore des progrès des arts en France vers la perfection.]] réalisée par Jean-Marc Nattier, vendue par Mr et Mme Dellezenne. [101]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Victoire, sous celle de la Force, tient de la main droite une épée ; près d'elle est un lion qu'elle vient de rerrasser ; elle est couverte d'une peau de tigre, et de l'autre main tient une torche. Ces quatre tableaux, de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambe, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncent déjà l'aurore des arts en France vers la perfection. (Jean-Marc Nattier)|Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Victoire, sous celle de la Force, tient de la main droite une épée ; près d'elle est un lion qu'elle vient de rerrasser ; elle est couverte d'une peau de tigre, et de l'autre main tient une torche. Ces quatre tableaux, de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambe, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncent déjà l'aurore des arts en France vers la perfection.]] réalisée par Jean-Marc Nattier, vendue par Mr et Mme Dellezenne. [102]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Sophie, sous celle de la Prudence, est coiffée du casque de Minerve, tient de la main droite un miroir soutenu par le génie de la Vérité ; son bras gauche est entouré d'un serpent. Ces quatre tableaux, de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambe, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncent déjà l'aurore des arts en France vers la perfection. (Jean-Marc Nattier)|Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Sophie, sous celle de la Prudence, est coiffée du casque de Minerve, tient de la main droite un miroir soutenu par le génie de la Vérité ; son bras gauche est entouré d'un serpent. Ces quatre tableaux, de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambe, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncent déjà l'aurore des arts en France vers la perfection.]] réalisée par Jean-Marc Nattier, vendue par Mr et Mme Dellezenne. [103]
  • 1818.05.19/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Adélaïde, sous l'emblême de la Justice, est prête à frapper un coupable ; elle semble fixer ses regards sur la balance qui doit en régler la destinée. Ces quatre tableaux, de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambes, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncemt déjà l'aurore des progrès des arts en France vers la perfection. (Jean-Marc Nattier)|Description des portraits des quatre Dames de France, peintes d'après nature par Nattier, sous les emblêmes des quatre Vertus Cardinales. Jean-Marc Nattier, De l'École Française, né à Paris en 1685, fut reçu de l'Académie Royale comme peintre d'histoire, et se consacra au portrait, genre dans lequel il eut beaucoup de réputation. Il est mort en 1776, agé de 91 ans. Madame Adélaïde, sous l'emblême de la Justice, est prête à frapper un coupable ; elle semble fixer ses regards sur la balance qui doit en régler la destinée. Ces quatre tableaux, de grandeur naturelle jusqu'à mi-jambes, sont recommandables par la plus exacte ressemblance ; une couleur vigoureuse et transparente, un dessin correct et élégant annoncemt déjà l'aurore des progrès des arts en France vers la perfection.]] réalisée par Jean-Marc Nattier, vendue par Mr et Mme Dellezenne. [104]