Ventes d'œuvres le 1819.-.-

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  • 1819.-.-/ maison de ventes : Bodicote (Henry F.). Vente de l'œuvre décrite comme [[Sea Piece, illumined by a flash of lightning, in a Thunder Storm, at night: to the right is seen a part of a wreck; and to the left, the remainder of the crew (having taken to their boat) in imminent danger of being overwhelmed and dashed against the rocks (Loutherbourg)|Sea Piece, illumined by a flash of lightning, in a Thunder Storm, at night: to the right is seen a part of a wreck; and to the left, the remainder of the crew (having taken to their boat) in imminent danger of being overwhelmed and dashed against the rocks]] réalisée par Loutherbourg, vendue par [[[Henry F Bodicote]]]. [1]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[On the Peace of Ryswick, painted by order of King William. From the Collection of the Earl of Buchan. The Genius of Peace descends from Heaven to Britannia, holding forth the olive branch; and pours, from her Horn of Plenty, fruits in abundance, with all the accompaniments of Prosperity, Faith, Hope, and Charity, are allegorically represented in her Suite (Adrian van der Werf (Chevalier))|On the Peace of Ryswick, painted by order of King William. From the Collection of the Earl of Buchan. The Genius of Peace descends from Heaven to Britannia, holding forth the olive branch; and pours, from her Horn of Plenty, fruits in abundance, with all the accompaniments of Prosperity, Faith, Hope, and Charity, are allegorically represented in her Suite]] réalisée par Adrian van der Werf (Chevalier). [173]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le portrait vu en pied de Louis XIII ; il est revêtu du manteau royal et assis sur un fauteil richement décoré. Nous pourrions faire l'éloge de ce grand peintre, qui a disputé avec ceux de l'antiquité ; mais nous nous regardons comme trop faibles pour faire celui qu'il s'est plu à représenter. (Champagne Philippe)|Le portrait vu en pied de Louis XIII ; il est revêtu du manteau royal et assis sur un fauteil richement décoré. Nous pourrions faire l'éloge de ce grand peintre, qui a disputé avec ceux de l'antiquité ; mais nous nous regardons comme trop faibles pour faire celui qu'il s'est plu à représenter.]] réalisée par Champagne Philippe, vendue par [[[Fabre]]]. [206]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage où l'on remarque dans la vapeur la vue d'un temple ancien ; le devant est enrichi par des figures peintes par Philippe Laure. Ce tableau, d'une rare beauté, est surprenant dans son ensemble et ses détails, et l'on dit avec raison que chaque tableau de ce grand maître est un chef-d'oeuvre. (Gelée Claude dit le Lorrain)|Paysage où l'on remarque dans la vapeur la vue d'un temple ancien ; le devant est enrichi par des figures peintes par Philippe Laure. Ce tableau, d'une rare beauté, est surprenant dans son ensemble et ses détails, et l'on dit avec raison que chaque tableau de ce grand maître est un chef-d'oeuvre.]] réalisée par Gelée Claude dit le Lorrain, vendue par [[[Fabre]]]. [207]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sujet du déluge tiré de l'histoire payenne, représentant le moment où Mercure présente à Jupiter Deucalion et Pirrha. Il n'est pas de cabinet que ce rare tableau, qui est gravé , ne pût embellir ; sa riche composition, sa couleur fraîche et transparente ne laissent rien à désirer à l'amateur difficile et exigeant. (P.P. Rubens)|Sujet du déluge tiré de l'histoire payenne, représentant le moment où Mercure présente à Jupiter Deucalion et Pirrha. Il n'est pas de cabinet que ce rare tableau, qui est gravé , ne pût embellir ; sa riche composition, sa couleur fraîche et transparente ne laissent rien à désirer à l'amateur difficile et exigeant.]] réalisée par P.P. Rubens, vendue par [[[Fabre]]]. [208]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente les domestiques d'Abraham conduisant les chameaux chargés de présens qu'il envoie à Rebecca ; ils sont représentés près d'un pont où ils vont faire boire leurs chameaux. Les Hollandais attachent beaucoup de prix aux tableaux de ce maître, et n'hésitent pas de mettre auprès de Rembrandt les productions de son ami qu'ils regardent comme son égal dans beaucoup de ses ouvrages. (Lechout (Gebrandt Vander))|Ce tableau représente les domestiques d'Abraham conduisant les chameaux chargés de présens qu'il envoie à Rebecca ; ils sont représentés près d'un pont où ils vont faire boire leurs chameaux. Les Hollandais attachent beaucoup de prix aux tableaux de ce maître, et n'hésitent pas de mettre auprès de Rembrandt les productions de son ami qu'ils regardent comme son égal dans beaucoup de ses ouvrages.]] réalisée par Lechout (Gebrandt Vander), vendue par [[[Fabre]]]. [213]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente la résurrection du Lazare, au moment où Notre-Seigneur lui ordonne de se lever. On remarque la famille du miracle du fils de Dieu, qui marque son admiration et son étonnement. Ce tableau, qui jouit à juste titre de sa réputation, ne le cède point à Rembrandt, tant par la richesse de sa composition et de sa couleur que par la hardiesse de son pinceau. (Dietricy Christian-William Ernert)|Ce tableau représente la résurrection du Lazare, au moment où Notre-Seigneur lui ordonne de se lever. On remarque la famille du miracle du fils de Dieu, qui marque son admiration et son étonnement. Ce tableau, qui jouit à juste titre de sa réputation, ne le cède point à Rembrandt, tant par la richesse de sa composition et de sa couleur que par la hardiesse de son pinceau.]] réalisée par Dietricy Christian-William Ernert, vendue par [[[Fabre]]]. [214]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ce tableau représente, sur le devant, un homme tenant un chien en laisse, près de lui un groupe en marbre sur un piédestal à moitieé mutilé ; au fond on aperçoit l'extérieur d'une ville où l'on remarque l'apprêt d'un marché et différens personnages conduisant leurs troupeaux. Il est rare de trouver un tableau où toutes les parties soient traitées avec autant de mérite que dans celui-ci ; tout y est peint avec le plus grand soin, et l'exécution répond entièrement à sa riche composition. Weenix possédait à fond la théorie et la pratique de son art. (J.B. Weenix)|Ce tableau représente, sur le devant, un homme tenant un chien en laisse, près de lui un groupe en marbre sur un piédestal à moitieé mutilé ; au fond on aperçoit l'extérieur d'une ville où l'on remarque l'apprêt d'un marché et différens personnages conduisant leurs troupeaux. Il est rare de trouver un tableau où toutes les parties soient traitées avec autant de mérite que dans celui-ci ; tout y est peint avec le plus grand soin, et l'exécution répond entièrement à sa riche composition. Weenix possédait à fond la théorie et la pratique de son art.]] réalisée par J.B. Weenix, vendue par [[[Fabre]]]. [215]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le faire, l'intelligence, l'harmonie la plus parfaite, une touche légère, enfin, tout ce qui peut contribuer à la perfection sont réunis dans ce tableau, riche de composition. Le devant est planté d'herbes sauvages, d'un arbre mort. On y remarque des voleurs contre des cavaliers ; à droite et à gauche sont de bois. Le fond représente une vaste plaine éclairée par une belle journée de printemps. Vouvermans en a fait les figures à ces deux grands talens réunis en ont fait un morceau accompli. (J. Vynants)|Le faire, l'intelligence, l'harmonie la plus parfaite, une touche légère, enfin, tout ce qui peut contribuer à la perfection sont réunis dans ce tableau, riche de composition. Le devant est planté d'herbes sauvages, d'un arbre mort. On y remarque des voleurs contre des cavaliers ; à droite et à gauche sont de bois. Le fond représente une vaste plaine éclairée par une belle journée de printemps. Vouvermans en a fait les figures à ces deux grands talens réunis en ont fait un morceau accompli.]] réalisée par J. Vynants, vendue par [[[Fabre]]]. [216]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le triomphe de Vénus : elle est sur un char forme de coquille, et traînee par une mer houleuse, par des monstres marins, des nymphes et des naïades l'accompagnent. Les amours voltigent autour d'elle, et sur un rocher Polyphème joue de son son instrument favori. Ce tableau, capital par sa grandeur et sa composition , n'en est que plus intéressant. Une touche hardie réunie à grand caractère de dessin et à la grace qui embellit chaque figure, le font regarder avec le plus grand intérêt. (Annibal Carrache)|Le triomphe de Vénus : elle est sur un char forme de coquille, et traînee par une mer houleuse, par des monstres marins, des nymphes et des naïades l'accompagnent. Les amours voltigent autour d'elle, et sur un rocher Polyphème joue de son son instrument favori. Ce tableau, capital par sa grandeur et sa composition , n'en est que plus intéressant. Une touche hardie réunie à grand caractère de dessin et à la grace qui embellit chaque figure, le font regarder avec le plus grand intérêt.]] réalisée par Annibal Carrache, vendue par [[[Fabre]]]. [221]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Notre-Seigneur au jardin des Olives. Sur le premier point sont les apôtres endormis ; le fond représente les dehors d'une ville où l'on voit Judas conduisant une troupe armée pour s'emparer de Jésus. On ne peut pas s'empêcher de rendre justice à la composition de ce tableau dont l'effet est des plus surprenant, et à la manière dont il est peint : comme tout ce qui sort de l'ancienne école, il est digne d'admiration. (Segolie)|Notre-Seigneur au jardin des Olives. Sur le premier point sont les apôtres endormis ; le fond représente les dehors d'une ville où l'on voit Judas conduisant une troupe armée pour s'emparer de Jésus. On ne peut pas s'empêcher de rendre justice à la composition de ce tableau dont l'effet est des plus surprenant, et à la manière dont il est peint : comme tout ce qui sort de l'ancienne école, il est digne d'admiration.]] réalisée par Segolie, vendue par [[[Fabre]]]. [222]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Composition de quatre figures représentant Ste.-Anne et St. Jean visitant la Vierge et l'Enfant Jésus. On remarque dans ce tableau une finesse extraordinaire dans la touche, et la fraîcheur du coloris séduit au point qu'on ne peut s'empêcher de l'admirer et de le regarder comme le chef-d'oeuvre de ce maître ; il est élève de Gio-Basile et de Pietro de Colenio. (André del Sarto)|Composition de quatre figures représentant Ste.-Anne et St. Jean visitant la Vierge et l'Enfant Jésus. On remarque dans ce tableau une finesse extraordinaire dans la touche, et la fraîcheur du coloris séduit au point qu'on ne peut s'empêcher de l'admirer et de le regarder comme le chef-d'oeuvre de ce maître ; il est élève de Gio-Basile et de Pietro de Colenio.]] réalisée par André del Sarto, vendue par [[[Fabre]]]. [223]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Sainte Famille, composition de cinq figures. Ce tableau gravé jouit à juste titre d'une grande célébrité ; sa composition, l'ordonnacne, l'expression dans les figures, la correction dans le contour, l'harmonie et la richesse dans la couleur, tout y est réuni, et tel élevé qu'en soit le prix, il ne sera jamais apprécié à sa valeur ; il peut briller dans les plus beaux cabinets de l'Europe. (Raphael Durbin)|La Sainte Famille, composition de cinq figures. Ce tableau gravé jouit à juste titre d'une grande célébrité ; sa composition, l'ordonnacne, l'expression dans les figures, la correction dans le contour, l'harmonie et la richesse dans la couleur, tout y est réuni, et tel élevé qu'en soit le prix, il ne sera jamais apprécié à sa valeur ; il peut briller dans les plus beaux cabinets de l'Europe.]] réalisée par Raphael Durbin, vendue par [[[Fabre]]]. [224]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Joli paysage coupé par un rivière dont les eaux viennent baigner les premiers plans. A droite, une riche campagne se prolonguejusqu'à l'horison, et à gauche, on remarque un petit moulin à eau. Ce tableau à fait partie de l'exposition du Louvre en 1819, sous le no, 1203. (M. Watelet)|Joli paysage coupé par un rivière dont les eaux viennent baigner les premiers plans. A droite, une riche campagne se prolonguejusqu'à l'horison, et à gauche, on remarque un petit moulin à eau. Ce tableau à fait partie de l'exposition du Louvre en 1819, sous le no, 1203.]] réalisée par M. Watelet, vendue par Alphonse Giroux. [225]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Réduit rustique offrant une scène familière dans un ménage villageois. La ménagère reçoit de sa mère un plat de légumes dont un enfant voudrait avoir sa part. Un jeune garçon, au milieu de la chambre, place une chaise par dessus laquelle il veut sauter, tandis que le maître du logis rentre chez lui avec un seau d'eau qu'il vient de tirer du puits voisin. (M. Drolling)|Réduit rustique offrant une scène familière dans un ménage villageois. La ménagère reçoit de sa mère un plat de légumes dont un enfant voudrait avoir sa part. Un jeune garçon, au milieu de la chambre, place une chaise par dessus laquelle il veut sauter, tandis que le maître du logis rentre chez lui avec un seau d'eau qu'il vient de tirer du puits voisin.]] réalisée par M. Drolling, vendue par Alphonse Giroux. [229]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[François Ier, grand-duc de Toscane, appuyé sur un page, donne une sérénade à Biancha-Capello, sa maîtresse, sous l'arcade du Ponte-Vecchio, à Florence. La grande-duchesse, jalouse et délaissée, se déguisait en paysanne, et la nuit, suivie de deux femmes, elle s'assurait douloureusement de l'infidélité de son époux. (M. le Comte de Forbin)|François Ier, grand-duc de Toscane, appuyé sur un page, donne une sérénade à Biancha-Capello, sa maîtresse, sous l'arcade du Ponte-Vecchio, à Florence. La grande-duchesse, jalouse et délaissée, se déguisait en paysanne, et la nuit, suivie de deux femmes, elle s'assurait douloureusement de l'infidélité de son époux.]] réalisée par M. le Comte de Forbin, vendue par Alphonse Giroux. [232]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vallée riante, arrosée par une rivière qui traverse le premier plan et au bord de laquelle on remarque quelques figures vêtues à l'antique. A droite, plusieurs fabriques dominent le sîte ; et à gauche, un chevrier s'est endormi sur un roc, laissant paître ses chèvres à l'entrée d'un grotte. (M. Bertin)|Vallée riante, arrosée par une rivière qui traverse le premier plan et au bord de laquelle on remarque quelques figures vêtues à l'antique. A droite, plusieurs fabriques dominent le sîte ; et à gauche, un chevrier s'est endormi sur un roc, laissant paître ses chèvres à l'entrée d'un grotte.]] réalisée par M. Bertin, vendue par Alphonse Giroux. [234]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[(Pendant du précédent). Cour principale d'une ferme. Deux blanchisseuses lavent de linge dans un baquet. Un jeune paysan, qui vient de dételer les chevaux, les mène à l'écurie et la fermière donne au petit berger l'ordre de conduire les moutons aux champs. (M. Leprince (Léopold))|(Pendant du précédent). Cour principale d'une ferme. Deux blanchisseuses lavent de linge dans un baquet. Un jeune paysan, qui vient de dételer les chevaux, les mène à l'écurie et la fermière donne au petit berger l'ordre de conduire les moutons aux champs.]] réalisée par M. Leprince (Léopold), vendue par Alphonse Giroux. [235]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jeune paysan sort d'une ferme, assis sur un cheval qu'il mène à l'abreuvoir. Il s'arrête un moment pour laisser passer un troupeau de moutons et pour écouter la conversation de deux hommes qui causent à l'ombre d'un épais feuillage. (M. Leprince (Léopold))|Un jeune paysan sort d'une ferme, assis sur un cheval qu'il mène à l'abreuvoir. Il s'arrête un moment pour laisser passer un troupeau de moutons et pour écouter la conversation de deux hommes qui causent à l'ombre d'un épais feuillage.]] réalisée par M. Leprince (Léopold), vendue par Alphonse Giroux. [236]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de la cour d'une maison de roulage, à Paris, rue d'Orléans-St.-Honoré, no. 13. Des commissionnaires sont occupés à décharger un camion, tandis qu'un autre, qui vient de dételer le cheval;, le mène à l'écurie. (Architecture et fonds de M. Dupeux). (M. Leprince)|Intérieur de la cour d'une maison de roulage, à Paris, rue d'Orléans-St.-Honoré, no. 13. Des commissionnaires sont occupés à décharger un camion, tandis qu'un autre, qui vient de dételer le cheval;, le mène à l'écurie. (Architecture et fonds de M. Dupeux).]] réalisée par M. Leprince, vendue par Alphonse Giroux. [246]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue d'une grande route sur laquelle passe un berger conduisant son troupeau sur les premiers plans, tandis qu'une laitière, dans sa charette, s'en éloigne. A droite, une villageoise, interrogée par un paysan, semble répondre complaisamment à ses questions. A gauche, s'élève un petit bâtiment consacré au culte de la Sainte-Vierge. Il est fermé, mais un pauvre, qui s'est assis près de la porte, s'y recueille ; et une bonne vieille, agenouillée, s'y livre à une fervente prière, laissant son panier à la merci d'un chien qui le flaire de près et qui paraît occupé à en diminuer le contenu. Derrière le bâtiment et à l'ombrage d'un arbre touffu et épais, deux soldats se reposent des fatigues d'une longue marche. (M. Demarne)|Vue d'une grande route sur laquelle passe un berger conduisant son troupeau sur les premiers plans, tandis qu'une laitière, dans sa charette, s'en éloigne. A droite, une villageoise, interrogée par un paysan, semble répondre complaisamment à ses questions. A gauche, s'élève un petit bâtiment consacré au culte de la Sainte-Vierge. Il est fermé, mais un pauvre, qui s'est assis près de la porte, s'y recueille ; et une bonne vieille, agenouillée, s'y livre à une fervente prière, laissant son panier à la merci d'un chien qui le flaire de près et qui paraît occupé à en diminuer le contenu. Derrière le bâtiment et à l'ombrage d'un arbre touffu et épais, deux soldats se reposent des fatigues d'une longue marche.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [249]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sîte pittoresque et boisé, où le peintre à rappelé un épisode des amours de Psyché. "La difficulté dut de traverser le torrent qui coulait au fond ; il était large, creux et rapide. Où es-tu, Zéphyre? s'écria Psyché. Mais plus de Zéphyre : l'Amour lui avait donné congé, sur l'assurance que notre héroine n'oserait attenter contre elle, puisqu'il le lui avait défendu, ni faire chose qui lui déplût En effet, elle n'avait garde. Un pont potatif, que le vieillard tirait après soi sitôt qu'il était passé, suppléa à ce défaut. C'était un tronc, à demi-pourri, avec deux bâtons de saule gros cailloux qui servaient de bordages à l'eau en cet endroit-là. Psyché passa donc, et n'eut pas plus de peine à remonter qu'elle en avait eu à descendre." Lafontaine. Psyché, liv. II. (Valenciennes)|Sîte pittoresque et boisé, où le peintre à rappelé un épisode des amours de Psyché. "La difficulté dut de traverser le torrent qui coulait au fond ; il était large, creux et rapide. Où es-tu, Zéphyre? s'écria Psyché. Mais plus de Zéphyre : l'Amour lui avait donné congé, sur l'assurance que notre héroine n'oserait attenter contre elle, puisqu'il le lui avait défendu, ni faire chose qui lui déplût En effet, elle n'avait garde. Un pont potatif, que le vieillard tirait après soi sitôt qu'il était passé, suppléa à ce défaut. C'était un tronc, à demi-pourri, avec deux bâtons de saule gros cailloux qui servaient de bordages à l'eau en cet endroit-là. Psyché passa donc, et n'eut pas plus de peine à remonter qu'elle en avait eu à descendre." Lafontaine. Psyché, liv. II.]] réalisée par Valenciennes, vendue par Alphonse Giroux. [250]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage historique borné à l'horison par des montagnes. Une source, qui s'échappe d'un rocher, laisse en cascade promener ses eaux jusques sur les premiers plans où se forme une espèce de bassin. Un berger y amarre une barque. On distingue à droite quelques morceaux d'architecture, ombragés par un bouquet d'arbres. A gauche, des pâtres se reposent à l'entrée d'un bois touffu. Et sur le devant, une prêtresse du temple voisin offre des fruits à une jeune femme qui vient de baigner son enfant. (Valenciennes)|Paysage historique borné à l'horison par des montagnes. Une source, qui s'échappe d'un rocher, laisse en cascade promener ses eaux jusques sur les premiers plans où se forme une espèce de bassin. Un berger y amarre une barque. On distingue à droite quelques morceaux d'architecture, ombragés par un bouquet d'arbres. A gauche, des pâtres se reposent à l'entrée d'un bois touffu. Et sur le devant, une prêtresse du temple voisin offre des fruits à une jeune femme qui vient de baigner son enfant.]] réalisée par Valenciennes, vendue par Alphonse Giroux. [251]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un jour que Rubens, dans son atelier, achevait l'ébauche d'un portrait en pied, un vieil alchimiste vint le trouver pour lui annoncer qu'il avait enfin découvert le moyen de faire de l'or, et lui proposa de le lui enseigner. Et moi aussi, je l'ai trouvé ce secret, dit Rubens, en montrant sa palette, le voici, je n'en connais point d'autres. (M. A. Desmoulins)|Un jour que Rubens, dans son atelier, achevait l'ébauche d'un portrait en pied, un vieil alchimiste vint le trouver pour lui annoncer qu'il avait enfin découvert le moyen de faire de l'or, et lui proposa de le lui enseigner. Et moi aussi, je l'ai trouvé ce secret, dit Rubens, en montrant sa palette, le voici, je n'en connais point d'autres.]] réalisée par M. A. Desmoulins, vendue par Alphonse Giroux. [253]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Assise auprès de la porte de son logis, une jeune italienne fait danser son enfant sur ses genoux, au son d'une guittare que pince son mari. Au fond de la chambre et dans la demi-teinte, la mère des deux époux se livre à une pieuse lecture. (M.A. Desmoulins)|Assise auprès de la porte de son logis, une jeune italienne fait danser son enfant sur ses genoux, au son d'une guittare que pince son mari. Au fond de la chambre et dans la demi-teinte, la mère des deux époux se livre à une pieuse lecture.]] réalisée par M.A. Desmoulins, vendue par Alphonse Giroux. [263]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'arrivée. Intérieur de la cour d'une maison rue Montmartre, no. 37. Un officier en semestre vient de descendre de cheval. Sa femme, animée du désir de le voir, descend l'escalier avec précipitation et court se jetter dans ses bras, tandis que la portière aid le valet à monter les paquets du voyageur et qu'on mène les chevaux à l'écuirie. (Figures de M. Xavier Leprince) (M. Dupeux)|L'arrivée. Intérieur de la cour d'une maison rue Montmartre, no. 37. Un officier en semestre vient de descendre de cheval. Sa femme, animée du désir de le voir, descend l'escalier avec précipitation et court se jetter dans ses bras, tandis que la portière aid le valet à monter les paquets du voyageur et qu'on mène les chevaux à l'écuirie. (Figures de M. Xavier Leprince)]] réalisée par M. Dupeux, vendue par Alphonse Giroux. [264]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le départ. Intérieur de la cour d'une maison rue Montmartre, no. 113. A gauche, un jeune élégant offre sa main à une dame qui descend avec précaution les dernières marches d'un escalier, tandis que le coucher fouette ses chevaux et fait avancer la voiture. A droite et assis sur le pas d'une porte, travaille un raccommodeur de faïence ; plus loin, la portière lave du linge près d'un puits. (Figures de M. Xavier Leprince). (M. Dupeux)|Le départ. Intérieur de la cour d'une maison rue Montmartre, no. 113. A gauche, un jeune élégant offre sa main à une dame qui descend avec précaution les dernières marches d'un escalier, tandis que le coucher fouette ses chevaux et fait avancer la voiture. A droite et assis sur le pas d'une porte, travaille un raccommodeur de faïence ; plus loin, la portière lave du linge près d'un puits. (Figures de M. Xavier Leprince).]] réalisée par M. Dupeux, vendue par Alphonse Giroux. [265]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Van-Dyck, âgé de seize à dix-sept ans, se rendait en Italie pour y étudier. En passant à Savelthem, petit bourg près de Bruxelles, il s'éprit des charmes d'une jeune fille et céda au désir qu'elle lui témoigna d'avoir un tableau de lui pour l'autel de sa paroisse ; il choisit le sujet de St.-Martin, et se peignit lui-même sous la figure du saint, monté sur un cheval que Rubens lui avait donné pour sa route ; Van-Dyck consulte la fille qu'il aime sur le tablea qu'il vient d'ébaucher. (M. Ducis)|Van-Dyck, âgé de seize à dix-sept ans, se rendait en Italie pour y étudier. En passant à Savelthem, petit bourg près de Bruxelles, il s'éprit des charmes d'une jeune fille et céda au désir qu'elle lui témoigna d'avoir un tableau de lui pour l'autel de sa paroisse ; il choisit le sujet de St.-Martin, et se peignit lui-même sous la figure du saint, monté sur un cheval que Rubens lui avait donné pour sa route ; Van-Dyck consulte la fille qu'il aime sur le tablea qu'il vient d'ébaucher.]] réalisée par M. Ducis, vendue par Alphonse Giroux. [268]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans son palais de Holy-Rood-House, en Écosse, Marie-Stuart exécute sur son clavecin organisé la romance si touchante où elle exprime ses regrets de quitter la France. David Rizio, musicien attaché au service de son palais, en qualité de secrétaire, l'accompagne sur un théorbe ; Rizio passe en effet pour avoir composé l'air de cette romance. (M. Ducis)|Dans son palais de Holy-Rood-House, en Écosse, Marie-Stuart exécute sur son clavecin organisé la romance si touchante où elle exprime ses regrets de quitter la France. David Rizio, musicien attaché au service de son palais, en qualité de secrétaire, l'accompagne sur un théorbe ; Rizio passe en effet pour avoir composé l'air de cette romance.]] réalisée par M. Ducis, vendue par Alphonse Giroux. [269]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur de la cour d'une maison, rue de Bondy, no. 3, à Paris. Un maquignon y fait essayer un cheval blanc ; à droite, une femme lave du linge dans un baquet, et à gauche, un valet d'ecurie puise de l'eau à une pompe. On distingue sur le premier plan au valet de chambre battant l'habit de son maitre. (Figures de M. Xavier Leprince). (M. Dupeux)|Intérieur de la cour d'une maison, rue de Bondy, no. 3, à Paris. Un maquignon y fait essayer un cheval blanc ; à droite, une femme lave du linge dans un baquet, et à gauche, un valet d'ecurie puise de l'eau à une pompe. On distingue sur le premier plan au valet de chambre battant l'habit de son maitre. (Figures de M. Xavier Leprince).]] réalisée par M. Dupeux, vendue par Alphonse Giroux. [278]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'une église de campagne, au moment du saint sacrifice. Un enfant de choeur allume les cierges, et le répondant, à genoux, attend que le prêtre soit monté à l'autel. On remarque ça et là quelques fidèles dans le recueillement. (M. Bouton)|Intérieur d'une église de campagne, au moment du saint sacrifice. Un enfant de choeur allume les cierges, et le répondant, à genoux, attend que le prêtre soit monté à l'autel. On remarque ça et là quelques fidèles dans le recueillement.]] réalisée par M. Bouton, vendue par Alphonse Giroux. [280]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Entrée de la maison, rue du Faubourg Montmartre, no 31. La vieille portière, appuyée sur une canne, et un garçon d'écurie, assis près d'un puits, regardent attentivement deux jeunes femmes qui jouent au volant. A droite, sur le premier plan, une petite fille habille sa poupée ; et à gauche, une servante se dispose à secouer un panier de salade. (Figures de M. Xavier Leprince). (M. Dupeux)|Entrée de la maison, rue du Faubourg Montmartre, no 31. La vieille portière, appuyée sur une canne, et un garçon d'écurie, assis près d'un puits, regardent attentivement deux jeunes femmes qui jouent au volant. A droite, sur le premier plan, une petite fille habille sa poupée ; et à gauche, une servante se dispose à secouer un panier de salade. (Figures de M. Xavier Leprince).]] réalisée par M. Dupeux, vendue par Alphonse Giroux. [281]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ruines d'un oratorio dans lesquelles un religieux s'est retiré pour y prier. Un coup de soleil s'échappe de la nue et vient par la gauche éclairer une partie du lieu, mais le ciel, qu'on apperçoit par les vîtraux du fond, semble disposé à l'orage. (M. Renoux)|Ruines d'un oratorio dans lesquelles un religieux s'est retiré pour y prier. Un coup de soleil s'échappe de la nue et vient par la gauche éclairer une partie du lieu, mais le ciel, qu'on apperçoit par les vîtraux du fond, semble disposé à l'orage.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [288]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans une belle matinée d'té, une porte cochère, ouverte dans une des rues de Paris, laisse voir la portière, assise dans sa loge et écoutant son fils, savetier, qui chante une chanson en achevant un soulier. A gauche, sur le premier plan, le chien de la maison, sorti de sa niche, aboie après un chat qui lui montre les dents. plus loin, à l'entrée d'une petite cour, une jeune personne, assise et vêtue de blanc, raccommode un fichu. (M. Behaghel)|Dans une belle matinée d'té, une porte cochère, ouverte dans une des rues de Paris, laisse voir la portière, assise dans sa loge et écoutant son fils, savetier, qui chante une chanson en achevant un soulier. A gauche, sur le premier plan, le chien de la maison, sorti de sa niche, aboie après un chat qui lui montre les dents. plus loin, à l'entrée d'une petite cour, une jeune personne, assise et vêtue de blanc, raccommode un fichu.]] réalisée par M. Behaghel, vendue par Alphonse Giroux. [293]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un troupeau de moutons descend d'un côteau et se dirige sur une rivière où il vients s'abreuver ; une barque, amarrée sur le premier plan, contient quelques pêcheurs qui conversent. Au fond, vers la droite, un pont d'une arche communique à une vieille tour. (M. Demarne)|Un troupeau de moutons descend d'un côteau et se dirige sur une rivière où il vients s'abreuver ; une barque, amarrée sur le premier plan, contient quelques pêcheurs qui conversent. Au fond, vers la droite, un pont d'une arche communique à une vieille tour.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [300]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Assis sur un lit de forme antique, Mars et Venus parlent de leurs amours. La Volupté et Cupidon, enveloppés de nuages, président à cet entretien. Au pied du lit, plusieurs Amours brûlent des parfums et jouent avec les armes du dieu des combats. (M. Vallin)|Assis sur un lit de forme antique, Mars et Venus parlent de leurs amours. La Volupté et Cupidon, enveloppés de nuages, président à cet entretien. Au pied du lit, plusieurs Amours brûlent des parfums et jouent avec les armes du dieu des combats.]] réalisée par M. Vallin, vendue par Alphonse Giroux. [305]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Petit effet de neige sur les ruines d'un cloître ; un religieux contemple avec attendrissement un chien couché sur la tombe de son maître. Le fond est décoré d'un mausolé que rougissent les rayons d'une lampe sépulchrale, suspendue à la voûte. (M. Renoux)|Petit effet de neige sur les ruines d'un cloître ; un religieux contemple avec attendrissement un chien couché sur la tombe de son maître. Le fond est décoré d'un mausolé que rougissent les rayons d'une lampe sépulchrale, suspendue à la voûte.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [315]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les premiers feux du jour ont frappé l'interieur d'un antique ermitage, dont le solitaire se dispose à sortir pour aller faire la quete nécessaire à son existence. Plus loin, au pied d'une colonne, on apperçoit la tombe modest du fondateur de ce saint lieu. (M. Lesaint)|Les premiers feux du jour ont frappé l'interieur d'un antique ermitage, dont le solitaire se dispose à sortir pour aller faire la quete nécessaire à son existence. Plus loin, au pied d'une colonne, on apperçoit la tombe modest du fondateur de ce saint lieu.]] réalisée par M. Lesaint, vendue par Alphonse Giroux. [316]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La lune se lève sur un étang, dont les eaux viennent jusques sous le vestibule d'un châtuea habité, donc les gens disposent les denrées nécessaires au service du soir ; la lueur d'une lampe placée sue l'escalier à gauche, vient frapper les premiers plans. (M. Renoux)|La lune se lève sur un étang, dont les eaux viennent jusques sous le vestibule d'un châtuea habité, donc les gens disposent les denrées nécessaires au service du soir ; la lueur d'une lampe placée sue l'escalier à gauche, vient frapper les premiers plans.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [317]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un avare, qui avait caché son trésor dans les ruines d'une vieille chapelle, vint le visiter et ne trouva plus que la place. Aussitôt des cris déchirans lui échappèrent et il se livra au désepoir. Un voyageur, attiré par sa curiosité et les cris qu'il entend, s'approche de l'avare et lui en demande la cause ; ce dernier la lui explique. A quoi vous servait donc cet or lui demande le voyageur? A rien, répond l'avare. Eh bien, reprend le voyageur mettez ces pierres à la place, elles vous serviront autant. (M. Renoux)|Un avare, qui avait caché son trésor dans les ruines d'une vieille chapelle, vint le visiter et ne trouva plus que la place. Aussitôt des cris déchirans lui échappèrent et il se livra au désepoir. Un voyageur, attiré par sa curiosité et les cris qu'il entend, s'approche de l'avare et lui en demande la cause ; ce dernier la lui explique. A quoi vous servait donc cet or lui demande le voyageur? A rien, répond l'avare. Eh bien, reprend le voyageur mettez ces pierres à la place, elles vous serviront autant.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [327]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le derrière d'une ferme, une grange ouverte en laisse voir l'entrée principale, deux hommes sont occupés à battre du blé, un troisième les regarde. On remarque sur un chemin qui traverse le premier plan, un troupeau de dindons, un âne qui se frotte contre un arbre et deux hommes qui causent à la porte d'un cabaret. (M. Demarne)|Sur le derrière d'une ferme, une grange ouverte en laisse voir l'entrée principale, deux hommes sont occupés à battre du blé, un troisième les regarde. On remarque sur un chemin qui traverse le premier plan, un troupeau de dindons, un âne qui se frotte contre un arbre et deux hommes qui causent à la porte d'un cabaret.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [333]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Étude d'après nature de la petite rivière de Bièvre, sur le boulevard de l'Hopital à Paris. Une femme y lave du linge. Un enfant y compte le produit d'une partie de bouchon, tandis que deux de ses camarades l'épient du haut du pont. Une vieille bergère y conduit son troupeau. (Figures de M. Duval) (M. Renoux)|Étude d'après nature de la petite rivière de Bièvre, sur le boulevard de l'Hopital à Paris. Une femme y lave du linge. Un enfant y compte le produit d'une partie de bouchon, tandis que deux de ses camarades l'épient du haut du pont. Une vieille bergère y conduit son troupeau. (Figures de M. Duval)]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [336]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un monticule au bas duquel coule une rivière, on a construit un bâtiment attenant à un moulin à eau et formant fausse-porte au milieu de chemin. Quelques figures, peintes par M. Duval, animent cette composition. On y distingue entr'autres un garde moulin chargeant un sac de farine sur un mulet, et un bûcheron qui a quitté son fagot pour l'aider dans le chargement. (M. Schaal)|Sur un monticule au bas duquel coule une rivière, on a construit un bâtiment attenant à un moulin à eau et formant fausse-porte au milieu de chemin. Quelques figures, peintes par M. Duval, animent cette composition. On y distingue entr'autres un garde moulin chargeant un sac de farine sur un mulet, et un bûcheron qui a quitté son fagot pour l'aider dans le chargement.]] réalisée par M. Schaal, vendue par Alphonse Giroux. [337]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Du dessous d'une voûte où sont déposés quelques utensiles de pêche, on apperçoit une rivière dont les eaux bordent un paysage et s'etendent jusqu'à l'horison. Des pêcheurs, ayant amarré une barque à un arbre, en sortent des paniers de poissons qu'ils apportent sous la vouûte. (M. Renoux)|Du dessous d'une voûte où sont déposés quelques utensiles de pêche, on apperçoit une rivière dont les eaux bordent un paysage et s'etendent jusqu'à l'horison. Des pêcheurs, ayant amarré une barque à un arbre, en sortent des paniers de poissons qu'ils apportent sous la vouûte.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [339]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[(Pendant du précédent). Intérieur d'une chambre rustique au milieu de laquelle sont grouppés une brouette chargée de légumes, un pot en étain, une chaudière, un panier, un pot à lait, un plat de moules et quelques débris d'un fagot. Dans le fond, à gauche une vieille femme, assise devant un rouet, s'est endormie en filant. (Mlle. Jenny Legrand)|(Pendant du précédent). Intérieur d'une chambre rustique au milieu de laquelle sont grouppés une brouette chargée de légumes, un pot en étain, une chaudière, un panier, un pot à lait, un plat de moules et quelques débris d'un fagot. Dans le fond, à gauche une vieille femme, assise devant un rouet, s'est endormie en filant.]] réalisée par Mlle. Jenny Legrand, vendue par Alphonse Giroux. [341]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'une chambre rustique au milieu de laquelle sont grouppés des pots, un tonneau, un chaudron, des paniers, une hotte et des légumes. A droite, une bonne femme épluche des poireaux, et à gauche, une petite fille, à genoux, donne à manger à deux lapins. (Mlle. Jenny Legrand)|Intérieur d'une chambre rustique au milieu de laquelle sont grouppés des pots, un tonneau, un chaudron, des paniers, une hotte et des légumes. A droite, une bonne femme épluche des poireaux, et à gauche, une petite fille, à genoux, donne à manger à deux lapins.]] réalisée par Mlle. Jenny Legrand, vendue par Alphonse Giroux. [342]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous le feuillage épais de quelques arbres plantés sue le bord d'une rivière, un bergère oisive s'est endormie. Des vaches paissent ça et là. Plus loin, un bouvier, appuyé sur son bâton, attend que ses boeufs aient bu pour retoruner à l'étable. (M. Watelet)|Sous le feuillage épais de quelques arbres plantés sue le bord d'une rivière, un bergère oisive s'est endormie. Des vaches paissent ça et là. Plus loin, un bouvier, appuyé sur son bâton, attend que ses boeufs aient bu pour retoruner à l'étable.]] réalisée par M. Watelet, vendue par Alphonse Giroux. [346]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des croix et des pierres tumulaires, éparses ça et là, indiquent assez l'intérieur d'un cimitère. on remarque vers la gauche une veuve éplorée, prosternée devant la tombe de son époux et montrant à son fils les caractères tracés sur la pierre sépulchrale. (M. Régnier)|Des croix et des pierres tumulaires, éparses ça et là, indiquent assez l'intérieur d'un cimitère. on remarque vers la gauche une veuve éplorée, prosternée devant la tombe de son époux et montrant à son fils les caractères tracés sur la pierre sépulchrale.]] réalisée par M. Régnier, vendue par Alphonse Giroux. [347]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous un ciel nébuleux et par temps de pluie, des bateliers s'efforcent d'amarrer une barque sur le bord d'une rivière. Plus loin, sur l'autre rive, dominée par quelques fabriques, un berger garde ses moutons. Les premiers plans de ce paysage sont chargés de broussailles, et sur l'horison, qui commence à s'éclaircir, se dessinent quelques montagnes. (M. Rémond)|Sous un ciel nébuleux et par temps de pluie, des bateliers s'efforcent d'amarrer une barque sur le bord d'une rivière. Plus loin, sur l'autre rive, dominée par quelques fabriques, un berger garde ses moutons. Les premiers plans de ce paysage sont chargés de broussailles, et sur l'horison, qui commence à s'éclaircir, se dessinent quelques montagnes.]] réalisée par M. Rémond, vendue par Alphonse Giroux. [348]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un chevalier errant, vaincu en combat singulier, a été recueilli dans une forêt par un religieux qui le conduit à son ermitage. L'écuyer, chargé du casque de son maître, les suit à pas lents. Ce paysage, boisé sur divers plans, est orné de fabriques et chûte d'eau. Quelques montagnes se détachent sur un horison nuageux. (M. Rémond)|Un chevalier errant, vaincu en combat singulier, a été recueilli dans une forêt par un religieux qui le conduit à son ermitage. L'écuyer, chargé du casque de son maître, les suit à pas lents. Ce paysage, boisé sur divers plans, est orné de fabriques et chûte d'eau. Quelques montagnes se détachent sur un horison nuageux.]] réalisée par M. Rémond, vendue par Alphonse Giroux. [349]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[A l'entrée d'une grotte et non loin de son ermitage, un religieux fait une lecture à deux autres moines qui sont venus le visiter. Cette scène silencieuse n'est interrompue que par le murmure des eaux d'une fontaine qui s'échappent en cascade et tombent dans une auge déjà pleine. (M. Vangorp)|A l'entrée d'une grotte et non loin de son ermitage, un religieux fait une lecture à deux autres moines qui sont venus le visiter. Cette scène silencieuse n'est interrompue que par le murmure des eaux d'une fontaine qui s'échappent en cascade et tombent dans une auge déjà pleine.]] réalisée par M. Vangorp, vendue par Alphonse Giroux. [350]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Riche prairie, bornée à l'horison par une forêt et des montagnes. Les premiers plans sont ornés de deux chênes à l'ombre desquels une villageois garde une vache et deux moutons. Plus loin, vers la gauche, on apperçoit le clocher et quelques maisons d'un village voisin. (M. Charlé)|Riche prairie, bornée à l'horison par une forêt et des montagnes. Les premiers plans sont ornés de deux chênes à l'ombre desquels une villageois garde une vache et deux moutons. Plus loin, vers la gauche, on apperçoit le clocher et quelques maisons d'un village voisin.]] réalisée par M. Charlé, vendue par Alphonse Giroux. [360]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage boisé d'une riche végétation et d'un aspect pittoresque et désert, orné de rochers, fabriques, montagnes et chûte d'eau. Les premiers plans servent de lit à une rivière sur laquelle on a jeté un petit pont de bois. Un mulet, qui refuse d'y passer, y est forcé par son maître. On distingue, vers la gauche. un berger chassant son troupeau dans une chaîne de montagnes. (M. Rémond)|Paysage boisé d'une riche végétation et d'un aspect pittoresque et désert, orné de rochers, fabriques, montagnes et chûte d'eau. Les premiers plans servent de lit à une rivière sur laquelle on a jeté un petit pont de bois. Un mulet, qui refuse d'y passer, y est forcé par son maître. On distingue, vers la gauche. un berger chassant son troupeau dans une chaîne de montagnes.]] réalisée par M. Rémond, vendue par Alphonse Giroux. [361]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue extérieure d'une église de campagne, bâtie sur une colline et bordée d'une verte pelous. Un pâtre s'y est arrêté pour faire paître ses moutons et ses chèvres. A droite, est un chemin tournant qui conduit au village ; et vers la gauche, une croix de fer s'élève sur un tertre de gazon. (M. Schaal)|Vue extérieure d'une église de campagne, bâtie sur une colline et bordée d'une verte pelous. Un pâtre s'y est arrêté pour faire paître ses moutons et ses chèvres. A droite, est un chemin tournant qui conduit au village ; et vers la gauche, une croix de fer s'élève sur un tertre de gazon.]] réalisée par M. Schaal, vendue par Alphonse Giroux. [363]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un villageois, monté sur un cheval blanc, mène boire trois vaches à une rivière qui serpente dans un paysage et le sépare en deux ; à droite sur le premier plan, un poteau, chargé d'une inscription, indique la route aux voyageurs, et vers la droite sur le deuxième plan, un paysan amarre une barque à un piquet de bois. (Leprince (Léopold))|Un villageois, monté sur un cheval blanc, mène boire trois vaches à une rivière qui serpente dans un paysage et le sépare en deux ; à droite sur le premier plan, un poteau, chargé d'une inscription, indique la route aux voyageurs, et vers la droite sur le deuxième plan, un paysan amarre une barque à un piquet de bois.]] réalisée par Leprince (Léopold), vendue par Alphonse Giroux. [367]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Adélaïde de Coucy ayant refusé d'épouser le maréchal de Metz, Enguerrand, son père, irrité de sa résistance, se rendit à l'abbaye de Chelles, où elle s'était retirée, et lui déclara qu'il la forcerait de prendre le voile, si elle n'épousait le maréchal. Adélaïde se jeta à ses pieds et lui dit : "Par pitié, mon père, ne me refusez pas le grâce de rester ici sans y prendre nul engagement." Enguerrand lui accorda huit jours. Mlle. de Rocheville, amie d'Adélaïde, retirée à quelque distance, observe cette scène avec attendrissement. (M. Renoux)|Adélaïde de Coucy ayant refusé d'épouser le maréchal de Metz, Enguerrand, son père, irrité de sa résistance, se rendit à l'abbaye de Chelles, où elle s'était retirée, et lui déclara qu'il la forcerait de prendre le voile, si elle n'épousait le maréchal. Adélaïde se jeta à ses pieds et lui dit : "Par pitié, mon père, ne me refusez pas le grâce de rester ici sans y prendre nul engagement." Enguerrand lui accorda huit jours. Mlle. de Rocheville, amie d'Adélaïde, retirée à quelque distance, observe cette scène avec attendrissement.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [368]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au milieu des ruines couvertes de neige d'un monastère abandonné, un moine, surpris par le froid, tombe sans connaissance au pied d'une pierre sépulchrale ; un pélerin qui l'apperçoit, s'en approche, lui prodigue des secours et le rappelle à la vie. (M. Bouton)|Au milieu des ruines couvertes de neige d'un monastère abandonné, un moine, surpris par le froid, tombe sans connaissance au pied d'une pierre sépulchrale ; un pélerin qui l'apperçoit, s'en approche, lui prodigue des secours et le rappelle à la vie.]] réalisée par M. Bouton, vendue par Alphonse Giroux. [369]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Marius à Minturnes. Marius, vaincu par Sylla, se réfugia dans les marais de Minturnes ; il y fut suivi par un soldat gaulois qui s'était chargé d'apporter sa tête mise à prix, mais l'air fier de ce proscrit en imposa à son assassin, et Marius ne rentra dans sa patrie que pour l'inonder de sang. (Drouais)|Marius à Minturnes. Marius, vaincu par Sylla, se réfugia dans les marais de Minturnes ; il y fut suivi par un soldat gaulois qui s'était chargé d'apporter sa tête mise à prix, mais l'air fier de ce proscrit en imposa à son assassin, et Marius ne rentra dans sa patrie que pour l'inonder de sang.]] réalisée par Drouais, vendue par Alphonse Giroux. [371]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage sablonneux orné de rochers et montagnes sur lesquels on a construit quelques fabriques. Une rivière baigne le premier plan de gauche, et sur la droite, une femme se repose au pied d'un rocher. Un homme, précédé d'un chien, s'approche d'elle et semble la regarder avec intérêt, tandis que plus loin un pâtre dirige son troupeau dans la plaine. (Guillaume de Heusch)|Paysage sablonneux orné de rochers et montagnes sur lesquels on a construit quelques fabriques. Une rivière baigne le premier plan de gauche, et sur la droite, une femme se repose au pied d'un rocher. Un homme, précédé d'un chien, s'approche d'elle et semble la regarder avec intérêt, tandis que plus loin un pâtre dirige son troupeau dans la plaine.]] réalisée par Guillaume de Heusch, vendue par Alphonse Giroux. [372]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur une terrasse, bâtie sur le bord d'une rivière et dominée par des rochers à pic, s'élève un ermitage. Un voyageur, assis à l'écart, écoute attentivement les préceptes de moral que reçoit un jeune enfant du saint ermite qui prononce ces paroles: Craignez un dieu vengeur et tout ce qui le bless : Voilà le seul chemin qui mène à la sagesse. (M. Renoux)|Sur une terrasse, bâtie sur le bord d'une rivière et dominée par des rochers à pic, s'élève un ermitage. Un voyageur, assis à l'écart, écoute attentivement les préceptes de moral que reçoit un jeune enfant du saint ermite qui prononce ces paroles: Craignez un dieu vengeur et tout ce qui le bless : Voilà le seul chemin qui mène à la sagesse.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [375]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Après avoir fait de vaines tentatives pour remouter au trône de ses ayeux, le malheureux Charles-Edouard Stuart, dont la tête était mise à prix, fut contraint de se réfugier dans les montagnes d'Écosse, caché sous les habits d'un montagnard. Le moment du sujet est celui où Mademoiselle Makdonnall découvre sa retraite et lui apporte des secours. (M. Renoux)|Après avoir fait de vaines tentatives pour remouter au trône de ses ayeux, le malheureux Charles-Edouard Stuart, dont la tête était mise à prix, fut contraint de se réfugier dans les montagnes d'Écosse, caché sous les habits d'un montagnard. Le moment du sujet est celui où Mademoiselle Makdonnall découvre sa retraite et lui apporte des secours.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [376]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Même sujet qu'au No. 474 Un soleil couchant jette ses derniers feux sur des rochers dont une chûte d'eau s'échappe à une certaine hauteur et vient alimenter un ruisseau qui fertilise une prairie dans laquelle paissent des moutons et des chêvres. (M. Salmon)|Même sujet qu'au No. 474 Un soleil couchant jette ses derniers feux sur des rochers dont une chûte d'eau s'échappe à une certaine hauteur et vient alimenter un ruisseau qui fertilise une prairie dans laquelle paissent des moutons et des chêvres.]] réalisée par M. Salmon, vendue par Alphonse Giroux. [384]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Chaumière adossée au mur extérieur d'une fabrique et ombragée par un bouquet d'arbres ; un villageois, debout sur le pas de la porte, cause avec la maîtresse du logis, tandis qu'un autre, aidé d'une femme, s'occupé à déraciner quelques troncs d'arbres ; plus loin, une blanchisseuse lave du linge au bord d'une rivière qui serpente dans le lointain et vient baigner les premiers plus. (M. Echard)|Chaumière adossée au mur extérieur d'une fabrique et ombragée par un bouquet d'arbres ; un villageois, debout sur le pas de la porte, cause avec la maîtresse du logis, tandis qu'un autre, aidé d'une femme, s'occupé à déraciner quelques troncs d'arbres ; plus loin, une blanchisseuse lave du linge au bord d'une rivière qui serpente dans le lointain et vient baigner les premiers plus.]] réalisée par M. Echard, vendue par Alphonse Giroux. [394]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage boisé et coupé de ruisseaux qui serpentent jusqu'à l'horison ; on remarque à gauche, une montagne sur laquelle s'élève un édifice nouvellement bâti ; à droite, un chemin tournant, ombragé par des arbres, vient aboutir sur les premiers plans ; une paysanne y est surprise par une pluie d'orage et s'empresse de ramener ses moutons à la bergerie. (M. Remond)|Paysage boisé et coupé de ruisseaux qui serpentent jusqu'à l'horison ; on remarque à gauche, une montagne sur laquelle s'élève un édifice nouvellement bâti ; à droite, un chemin tournant, ombragé par des arbres, vient aboutir sur les premiers plans ; une paysanne y est surprise par une pluie d'orage et s'empresse de ramener ses moutons à la bergerie.]] réalisée par M. Remond, vendue par Alphonse Giroux. [398]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Épuisé de fatigue et de besoin, un chevalier vient de s'asseoir sous la voûte spacieuse d'un couvent en ruines ; il reçoit d'une jeune fille du canton, qui vient de puiser de l'eau à une fontaine, un soulangement à sa soif brûlante ; le fond de ce joli tableau est décoré d'un échappé de paysage et d'un aqueduc. (M. Renoux)|Épuisé de fatigue et de besoin, un chevalier vient de s'asseoir sous la voûte spacieuse d'un couvent en ruines ; il reçoit d'une jeune fille du canton, qui vient de puiser de l'eau à une fontaine, un soulangement à sa soif brûlante ; le fond de ce joli tableau est décoré d'un échappé de paysage et d'un aqueduc.]] réalisée par M. Renoux, vendue par Alphonse Giroux. [407]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le Rhin coule au pied de rochers à pic, sur lesquels est construit un château ; une vieille tour en défendait autrefois le passage ; plusieurs barques chargées, voguent sur le fleuve, au bord duquel des paysans sont joyeusement à table sous la treille d'un cabaret. (J. Griffier)|Le Rhin coule au pied de rochers à pic, sur lesquels est construit un château ; une vieille tour en défendait autrefois le passage ; plusieurs barques chargées, voguent sur le fleuve, au bord duquel des paysans sont joyeusement à table sous la treille d'un cabaret.]] réalisée par J. Griffier, vendue par Alphonse Giroux. [435]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune grecque. accompagnée d'un Musulman, suspend la promenade qu'elle faisait sur le bord de la mer et s'arrête devant une barque de pêcheurs, abondamment pourvue de poissons ; l'horison, borné par la mer et quelques vaisseaux, offre à l'oeil un effet de soleil couchant. (Fouché)|Une jeune grecque. accompagnée d'un Musulman, suspend la promenade qu'elle faisait sur le bord de la mer et s'arrête devant une barque de pêcheurs, abondamment pourvue de poissons ; l'horison, borné par la mer et quelques vaisseaux, offre à l'oeil un effet de soleil couchant.]] réalisée par Fouché, vendue par Alphonse Giroux. [444]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Etude d'après nature des restes de l'ancienne abbaye de Montmartre. On y remarque l'entrée du télégraphe, près de laquelle une pauvresse cherche à interesser la pitié des passans ; les enfans du pays, font ordinairement de ce lieu, le théâtre de leurs plaisirs. Ce tableau a fait partie de l'exposition du Louvre en 1819, sous le No. 516. (M. Giroux (André))|Etude d'après nature des restes de l'ancienne abbaye de Montmartre. On y remarque l'entrée du télégraphe, près de laquelle une pauvresse cherche à interesser la pitié des passans ; les enfans du pays, font ordinairement de ce lieu, le théâtre de leurs plaisirs. Ce tableau a fait partie de l'exposition du Louvre en 1819, sous le No. 516.]] réalisée par M. Giroux (André), vendue par Alphonse Giroux. [448]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Chapelle isolée sur le bord d'un torrent. Deux ermites s'approchent lentement d'une pierre tumulaire couvrant les cendres de l'ancien desservant, tandis que vers la gauche, un vieillard, assis au pied d'une croix rustique, quitte une lecture et se livre à la médiation. (M. Pernot)|Chapelle isolée sur le bord d'un torrent. Deux ermites s'approchent lentement d'une pierre tumulaire couvrant les cendres de l'ancien desservant, tandis que vers la gauche, un vieillard, assis au pied d'une croix rustique, quitte une lecture et se livre à la médiation.]] réalisée par M. Pernot, vendue par Alphonse Giroux. [449]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'une grande forêt coupée de routes : on distingue dans le fond une voiture arrêtée, et sur le premiers plans, un cavalier et sa dame, descendus de cheval et s'entretenant, tandis qu'assis sur le sable, un jockei se désaltère. (M. Bruandet)|Intérieur d'une grande forêt coupée de routes : on distingue dans le fond une voiture arrêtée, et sur le premiers plans, un cavalier et sa dame, descendus de cheval et s'entretenant, tandis qu'assis sur le sable, un jockei se désaltère.]] réalisée par M. Bruandet, vendue par Alphonse Giroux. [459]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Avenue conduisant à la porte principale d'une ville fortifiée, dont on apperçoit les monumens ; à gauche, est un bassin carré, ombragé par deux arbres et près duquel se reposent des vaches ; à droit, on remarque une fontaine taillée dans le roc, où deux femmes prennent l'eau, tandis qu'au milieu du sîte, un cheval échappé vient de renverser son maître. (M. Bidault)|Avenue conduisant à la porte principale d'une ville fortifiée, dont on apperçoit les monumens ; à gauche, est un bassin carré, ombragé par deux arbres et près duquel se reposent des vaches ; à droit, on remarque une fontaine taillée dans le roc, où deux femmes prennent l'eau, tandis qu'au milieu du sîte, un cheval échappé vient de renverser son maître.]] réalisée par M. Bidault, vendue par Alphonse Giroux. [460]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue extérieure d'une ferme, au pied de laquelle coule une rivière et tourne un moulin à eau. Deux hommes, dans un bachot, parvenus jusqu'auprès de tronc d'un arbre abattu, cherchent à le fendre à l'aide d'une hache, tandis que sur une verte pelouse, deux blanchisseuses, étendent le linge, que porte un âne qui brait ; près de là trois vaches paissent, et plus loin on distingue un petit pont de bois, conduisant à un chemin tournant. (M. Demarne)|Vue extérieure d'une ferme, au pied de laquelle coule une rivière et tourne un moulin à eau. Deux hommes, dans un bachot, parvenus jusqu'auprès de tronc d'un arbre abattu, cherchent à le fendre à l'aide d'une hache, tandis que sur une verte pelouse, deux blanchisseuses, étendent le linge, que porte un âne qui brait ; près de là trois vaches paissent, et plus loin on distingue un petit pont de bois, conduisant à un chemin tournant.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [462]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sîte d'Italie coupé par un aqueduc conduisant à l'une des portes d'une ville, dont on apperçoit quelques monumens ; sur les premiers plans, vers la gauche, deux femmes sont venues puiser de l'eau, près d'une des arches de l'aqueduc ; on remarque à droite un jeune voyageur dessinant sous les yeux d'un vieillard, qui paraît l'aider de ses conseils. (M. Bidault)|Sîte d'Italie coupé par un aqueduc conduisant à l'une des portes d'une ville, dont on apperçoit quelques monumens ; sur les premiers plans, vers la gauche, deux femmes sont venues puiser de l'eau, près d'une des arches de l'aqueduc ; on remarque à droite un jeune voyageur dessinant sous les yeux d'un vieillard, qui paraît l'aider de ses conseils.]] réalisée par M. Bidault, vendue par Alphonse Giroux. [464]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Point de vue d'une grande étendue de mer, par un temps calme, où l'on voit plusieurs navires et chaloupes avec leurs voiles ; on découvre dans le lointain plusieurs barques. Morceau de la touche la plus précieuse, qui a toujours été regardé dans plusieurs cabinets, comme étant de ce maître. (G. Vande Velde)|Point de vue d'une grande étendue de mer, par un temps calme, où l'on voit plusieurs navires et chaloupes avec leurs voiles ; on découvre dans le lointain plusieurs barques. Morceau de la touche la plus précieuse, qui a toujours été regardé dans plusieurs cabinets, comme étant de ce maître.]] réalisée par G. Vande Velde, vendue par Alphonse Giroux. [465]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue intérieure d'une église catholique, éclairée par des flambeaux. Ce tableau capital est bien entendu de perspetcive, et les différentes lumières y sont parfaitement distribuées ; il est ornée de beaucoup de figures par Van-Thulden. (Peters-Néefs)|Vue intérieure d'une église catholique, éclairée par des flambeaux. Ce tableau capital est bien entendu de perspetcive, et les différentes lumières y sont parfaitement distribuées ; il est ornée de beaucoup de figures par Van-Thulden.]] réalisée par Peters-Néefs, vendue par Alphonse Giroux. [466]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue des ruines de la chapelle de Glenthorn, dans le Comté d'Irlande, au 15e siècle, telle qu'elle est indiquée dans le 3e acte du Mélodrame intitulé le Songe. Le moment représenté est celui ou M. Klein, dans le rôle de Jack, pêchenr sic, et M. Stokleit fils, dans le rôle d'Edwin, soldat Irlandais, ont enseble un entreitien rendant à favoriser l'évasion d'Alfred de Glenthorn, injustement accusé du meurtre de son oncle. (M. Leprince)|Vue des ruines de la chapelle de Glenthorn, dans le Comté d'Irlande, au 15e siècle, telle qu'elle est indiquée dans le 3e acte du Mélodrame intitulé le Songe. Le moment représenté est celui ou M. Klein, dans le rôle de Jack, pêchenr sic, et M. Stokleit fils, dans le rôle d'Edwin, soldat Irlandais, ont enseble un entreitien rendant à favoriser l'évasion d'Alfred de Glenthorn, injustement accusé du meurtre de son oncle.]] réalisée par M. Leprince, vendue par Alphonse Giroux. [482]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un vieux pâtre gardant ses bestiaux sur le bord d'une rivière environnée de rochers et de fabriques, charme ses ennuis en jouant de la musette. Une femme semble l'écouter avec plaisir, tandis qu'une bergère, suivie de ses moutons, passe la rivière à gué pour aller le joindre. (Lantara)|Un vieux pâtre gardant ses bestiaux sur le bord d'une rivière environnée de rochers et de fabriques, charme ses ennuis en jouant de la musette. Une femme semble l'écouter avec plaisir, tandis qu'une bergère, suivie de ses moutons, passe la rivière à gué pour aller le joindre.]] réalisée par Lantara, vendue par Alphonse Giroux. [489]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Toilette d'une jeune mariée. Une de ses amies lui attache le bouquet virginal, tandis qu'une servante lui pose les jarretières d'usage. A gauche, une porte entr'ouverte laisse appercevoir le futur dont l'impatience est excitée par quelques demoiselles de la noce, qui l'empêchent d'entrer dans l'appartement de sa nouvelle épouse. (M. Vangorp)|Toilette d'une jeune mariée. Une de ses amies lui attache le bouquet virginal, tandis qu'une servante lui pose les jarretières d'usage. A gauche, une porte entr'ouverte laisse appercevoir le futur dont l'impatience est excitée par quelques demoiselles de la noce, qui l'empêchent d'entrer dans l'appartement de sa nouvelle épouse.]] réalisée par M. Vangorp, vendue par Alphonse Giroux. [493]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vert-vert chez les religieuses de Nevers. Dans ce séjour de l'oisive indolence, Vert-vert vivait sans ennuis, sans travaux ; Dans tous les coeurs il régnait sans partage ; Pour lui soeur Thècle oublait ses moineaux, Quatre serins en étaient morts de rage ; Et deux matous, auirefois en faveur, Dépérissaient d'envie er de langueur, Qui l'aurait dit, en ces jours pleins de charmes, Qu'en pure perte on cultivait ses moeurs ; Qu'un tems viendrait, tems de crime er d'alarmes, Où, ce Vert-vert, tendre idole des coeurs, Ne serait plus qu'un triste objet d'horreurs!... Gresset,Vert-vert, poême, chant Ier. (M. Truchot)|Vert-vert chez les religieuses de Nevers. Dans ce séjour de l'oisive indolence, Vert-vert vivait sans ennuis, sans travaux ; Dans tous les coeurs il régnait sans partage ; Pour lui soeur Thècle oublait ses moineaux, Quatre serins en étaient morts de rage ; Et deux matous, auirefois en faveur, Dépérissaient d'envie er de langueur, Qui l'aurait dit, en ces jours pleins de charmes, Qu'en pure perte on cultivait ses moeurs ; Qu'un tems viendrait, tems de crime er d'alarmes, Où, ce Vert-vert, tendre idole des coeurs, Ne serait plus qu'un triste objet d'horreurs!... Gresset,Vert-vert, poême, chant Ier.]] réalisée par M. Truchot, vendue par Alphonse Giroux. [511]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'ermite du hameau. Deux jeunes filles apportent des présens à un vieux solitaire qui donne en échange à l'une d'elles un chapelet qu'elle reçoit avec beaucoup de ferveur ; l'autre tenant un panier d'oeufs frais, attend son tour avec impatience. L'ermitage est orné d'un prie Dieu, d'un bénitier et d'une statue de la Vierge. (M. Vangorp)|L'ermite du hameau. Deux jeunes filles apportent des présens à un vieux solitaire qui donne en échange à l'une d'elles un chapelet qu'elle reçoit avec beaucoup de ferveur ; l'autre tenant un panier d'oeufs frais, attend son tour avec impatience. L'ermitage est orné d'un prie Dieu, d'un bénitier et d'une statue de la Vierge.]] réalisée par M. Vangorp, vendue par Alphonse Giroux. [526]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une porte de ville près d'une promenade publique ; à gauche est une fontaine à laquelle des paysans mènent boire des bestiaux ; sur le devant, une meute conduite par un piquer qui rattache sa chaussure ; plus loin, un troupeau de moutons, une charrette et un cosaque passent devant la boutique d'une fruitière construite sous la voûte. (M. Demarne)|Une porte de ville près d'une promenade publique ; à gauche est une fontaine à laquelle des paysans mènent boire des bestiaux ; sur le devant, une meute conduite par un piquer qui rattache sa chaussure ; plus loin, un troupeau de moutons, une charrette et un cosaque passent devant la boutique d'une fruitière construite sous la voûte.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [533]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quittant leur village, dont l'entrée s'annonce par d'anciennes ruines, des paysans entrent dans un bac avec leurs chevaux, chargés des légumes qu'ils vont porter à la ville. Une âne qui refuse de suivre son maître y est forcé à coups de bâton. (Momers)|Quittant leur village, dont l'entrée s'annonce par d'anciennes ruines, des paysans entrent dans un bac avec leurs chevaux, chargés des légumes qu'ils vont porter à la ville. Une âne qui refuse de suivre son maître y est forcé à coups de bâton.]] réalisée par Momers, vendue par Alphonse Giroux. [540]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le haut d'un monticule, un âne vient de s'abattre et de renverser la charge de légumes et de fruits qu'il portait ; la villageoise sélance sur le bât et ne peut retenir qu'un panier de raisin ; la perte qu'elle rentrevoit lui arrache des lamentations. (A. Cuyp)|Sur le haut d'un monticule, un âne vient de s'abattre et de renverser la charge de légumes et de fruits qu'il portait ; la villageoise sélance sur le bât et ne peut retenir qu'un panier de raisin ; la perte qu'elle rentrevoit lui arrache des lamentations.]] réalisée par A. Cuyp, vendue par Alphonse Giroux. [541]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[La Samaritaine. Jésus Christ instruit que les Pharisiens avaient conseillé à Hérode de faire arrêter St.-Jean, se retira de la Judée où il était venu, dans le province de Galilée. En passant par Samarie, il s'arrêta près d'une fontaine où se trouvait une femme à qui il demanda de l'eau pour étaucher sa soif. Cette femme lui témoigna son étonnement qu'un juif s'adressât à une habitante de Samarie (peuple que les juifs avaient en horreur). La réponse de Jésus-Christ, dans laquelle il Découvrit à cette samaritaine sa vie passée, la rendit attentive aux paroles du Sauveur, qui lui d'evoila l'un des grands mystères de la loi nouvelle : l'adoration de Dieu en esprit et en verité. Ce que cette femme ayant entendu, elle s'empressa de reconnaître en Jésus le Messîe promis au monde, et éprouvant les effets de la grâce sur un coeur docile et bien disposé, elle excita dans ses concitoyens le désir de le voir et de l'accueillir parmi eux. (Garofalo)|La Samaritaine. Jésus Christ instruit que les Pharisiens avaient conseillé à Hérode de faire arrêter St.-Jean, se retira de la Judée où il était venu, dans le province de Galilée. En passant par Samarie, il s'arrêta près d'une fontaine où se trouvait une femme à qui il demanda de l'eau pour étaucher sa soif. Cette femme lui témoigna son étonnement qu'un juif s'adressât à une habitante de Samarie (peuple que les juifs avaient en horreur). La réponse de Jésus-Christ, dans laquelle il Découvrit à cette samaritaine sa vie passée, la rendit attentive aux paroles du Sauveur, qui lui d'evoila l'un des grands mystères de la loi nouvelle : l'adoration de Dieu en esprit et en verité. Ce que cette femme ayant entendu, elle s'empressa de reconnaître en Jésus le Messîe promis au monde, et éprouvant les effets de la grâce sur un coeur docile et bien disposé, elle excita dans ses concitoyens le désir de le voir et de l'accueillir parmi eux.]] réalisée par Garofalo, vendue par Alphonse Giroux. [544]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans une chambre rustique, recevant le jour par un croisée vitrée de petits carreaux, un charlatan s'apprête à tirer une dent de la bouche d'un paysan étendu sur un fauteuil. Une vieille femme, les mains jointes et la tête penchée sur la figure du malade, semble s'apitoyer sur le mauvais état de sa bouche, tandis qu'à genoux, au pied du fauteuil, un jeune garçon fouille dans sa valise et en retire des oeufs qu'il met dans un panier. (J. Steen)|Dans une chambre rustique, recevant le jour par un croisée vitrée de petits carreaux, un charlatan s'apprête à tirer une dent de la bouche d'un paysan étendu sur un fauteuil. Une vieille femme, les mains jointes et la tête penchée sur la figure du malade, semble s'apitoyer sur le mauvais état de sa bouche, tandis qu'à genoux, au pied du fauteuil, un jeune garçon fouille dans sa valise et en retire des oeufs qu'il met dans un panier.]] réalisée par J. Steen, vendue par Alphonse Giroux. [553]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une jeune dame, vêtue de satin blanc et tenant une guitare, joue avec un épagneul qu'elle excite à sauter en lui présentant une gimblette. Près d'elle, un joyeux convive, ayant un verre à la main, prend plaisir à ce badinage ; il est assis à une table couverte d'un riche tapis et d'un plat d'argent dans lequel sont des pêches ; un valet, placé dans la demi-seinte, vient de servir le déjeûner. Quelques amateurs attribuent ce tableau à F. Miéris, d'autres à P. Vandik. (G. Netscher)|Une jeune dame, vêtue de satin blanc et tenant une guitare, joue avec un épagneul qu'elle excite à sauter en lui présentant une gimblette. Près d'elle, un joyeux convive, ayant un verre à la main, prend plaisir à ce badinage ; il est assis à une table couverte d'un riche tapis et d'un plat d'argent dans lequel sont des pêches ; un valet, placé dans la demi-seinte, vient de servir le déjeûner. Quelques amateurs attribuent ce tableau à F. Miéris, d'autres à P. Vandik.]] réalisée par G. Netscher, vendue par Alphonse Giroux. [636]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Mariage Samnite. Les Samnites avaient une coutume qui, dans une petite république, et surtout dans la situation où était la leur, devait produire d'admirables effets. On assemblait tous les jeunes gens et on les jugeait. Celui qui était déclaré le meilleur de tous, prenait pour sa femme la fille qu'il voulait ; celui qui avait les suffrages après lui, choisissait encore, et ainsi de suite. Il était admirable de ne regarder entre les biens des garçons que les belles qualités et les services rendus à la patrie. Celui qui était le plus rich de ces sortes de biens, choisissait une fille dans toute la nation. L'amour, la beauté, la chasteté, l vertu, la naissance, les richesses mêmes, tout cela était, pour ainsi dire, la dot de la vertu. Il serait difficile d'imaginer une récompense plus noble, plus grande, moins à charge à un petit ...?, plus capable d`agir sur l'un et l'autre sexe. (Montesq. esp. des lois. liv. VII. chap. XVI). (Monsiau)|Mariage Samnite. Les Samnites avaient une coutume qui, dans une petite république, et surtout dans la situation où était la leur, devait produire d'admirables effets. On assemblait tous les jeunes gens et on les jugeait. Celui qui était déclaré le meilleur de tous, prenait pour sa femme la fille qu'il voulait ; celui qui avait les suffrages après lui, choisissait encore, et ainsi de suite. Il était admirable de ne regarder entre les biens des garçons que les belles qualités et les services rendus à la patrie. Celui qui était le plus rich de ces sortes de biens, choisissait une fille dans toute la nation. L'amour, la beauté, la chasteté, l vertu, la naissance, les richesses mêmes, tout cela était, pour ainsi dire, la dot de la vertu. Il serait difficile d'imaginer une récompense plus noble, plus grande, moins à charge à un petit ...?, plus capable d`agir sur l'un et l'autre sexe. (Montesq. esp. des lois. liv. VII. chap. XVI).]] réalisée par Monsiau, vendue par Alphonse Giroux. [674]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage boisé coupé par un rivière sur laquel est un pont de deux arches qu'on distingue dans l'éloignement, au-dessous de quelques fabriques ; sur le devant, un pêcheur jette sa ligne, tandis qu'un autre invite un jeune dame à faire un tour de promenade. (M. Rannucci)|Paysage boisé coupé par un rivière sur laquel est un pont de deux arches qu'on distingue dans l'éloignement, au-dessous de quelques fabriques ; sur le devant, un pêcheur jette sa ligne, tandis qu'un autre invite un jeune dame à faire un tour de promenade.]] réalisée par M. Rannucci, vendue par Alphonse Giroux. [678]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Pendant du précédent. Chemin forestier au bord duquel un paysan, assis sur un tertre de gazon, souhaite un bon jour à une villageoise conduisant une vache et une chèvre. A gauche, une marre d'eau baigne le pied de plusieurs arbres, et d`a droite, une brance cassée tient encore au tronc d'un arbre mort. (Figures de M. Demarne) (Bruandet)|Pendant du précédent. Chemin forestier au bord duquel un paysan, assis sur un tertre de gazon, souhaite un bon jour à une villageoise conduisant une vache et une chèvre. A gauche, une marre d'eau baigne le pied de plusieurs arbres, et d`a droite, une brance cassée tient encore au tronc d'un arbre mort. (Figures de M. Demarne)]] réalisée par Bruandet, vendue par Alphonse Giroux. [710]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Des paysans mnent boire leurs bestiaux à une rivière traversée par un pont ; sur l'autre rive, un massif d'arbres est appuyé à d'anciennes murailles. Les figures prestement exécutées font croire que ce tableau est de Béguin son élèlve. (N. Berghem)|Des paysans mnent boire leurs bestiaux à une rivière traversée par un pont ; sur l'autre rive, un massif d'arbres est appuyé à d'anciennes murailles. Les figures prestement exécutées font croire que ce tableau est de Béguin son élèlve.]] réalisée par N. Berghem, vendue par Alphonse Giroux. [729]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Près d'une ancienne porte de ville servant d'hôtellerie, des cavaliers ont fait halte ; une jeune servante leur présente à boire, tandis qu'un enfant tient la bride de l'un des cheavaux ; dans le fond, on distingue un pâtre qui ramène ses chèvres. (Van-Asselyn)|Près d'une ancienne porte de ville servant d'hôtellerie, des cavaliers ont fait halte ; une jeune servante leur présente à boire, tandis qu'un enfant tient la bride de l'un des cheavaux ; dans le fond, on distingue un pâtre qui ramène ses chèvres.]] réalisée par Van-Asselyn, vendue par Alphonse Giroux. [732]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'un estaminet. Des paysans, groupés autour d'un banc, fument et boivent de la bierre, d'autres plus loin conversent devant une cheminée. Nous croyons ce tableau de la viellesse de David Teniers fils ; quelques personnes ne sont pas de cet avis et le donnent à son père. (Teniers (David))|Intérieur d'un estaminet. Des paysans, groupés autour d'un banc, fument et boivent de la bierre, d'autres plus loin conversent devant une cheminée. Nous croyons ce tableau de la viellesse de David Teniers fils ; quelques personnes ne sont pas de cet avis et le donnent à son père.]] réalisée par Teniers (David), vendue par Alphonse Giroux. [744]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Beau paysage historique, orné d'anciennes fabriques, et éclairé au soleil couchant ; un groupe de paysans converse au pied d'un grand arbre, tandis qu'une femme debout pince de la mandoline ; à gauche, et plus loin, des frères quêteurs retournent à leur couvent chargés de leurs besaces. (Le Titien)|Beau paysage historique, orné d'anciennes fabriques, et éclairé au soleil couchant ; un groupe de paysans converse au pied d'un grand arbre, tandis qu'une femme debout pince de la mandoline ; à gauche, et plus loin, des frères quêteurs retournent à leur couvent chargés de leurs besaces.]] réalisée par Le Titien, vendue par Alphonse Giroux. [752]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Pendant du précédent. Dans une des salles d'un palais dont l'architecture et la décoration rappellent les anciens temps de chevalerie, un jeune guerrier, dont l'armure est déposée sur une table, vient de s'asseoir dans un fauteuil ; il reçoit des mains de sa dame, un petit vase de fleurs ; deux cavaliers président à cette scène, tandis qu'un page veille à ce qu'elle ne soit point interrompue. (M. Varoc)|Pendant du précédent. Dans une des salles d'un palais dont l'architecture et la décoration rappellent les anciens temps de chevalerie, un jeune guerrier, dont l'armure est déposée sur une table, vient de s'asseoir dans un fauteuil ; il reçoit des mains de sa dame, un petit vase de fleurs ; deux cavaliers président à cette scène, tandis qu'un page veille à ce qu'elle ne soit point interrompue.]] réalisée par M. Varoc, vendue par Alphonse Giroux. [758]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur le parvis d'un monastère et avant d'y faire son entreée, une religieuse fait l'aumône à un pauvre vieillard ; ce bel exemple de charité est imité par une jeune fille, accompagnée de sa gouvernante. On apperçoit au fond les jardins du couvent auxquels un escalier conduit. (M. Varoc)|Sur le parvis d'un monastère et avant d'y faire son entreée, une religieuse fait l'aumône à un pauvre vieillard ; ce bel exemple de charité est imité par une jeune fille, accompagnée de sa gouvernante. On apperçoit au fond les jardins du couvent auxquels un escalier conduit.]] réalisée par M. Varoc, vendue par Alphonse Giroux. [759]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous l'arche principale d'un grand aqueduc et près d'un petit moulin à eau, une jeune femme assise, indique du doigt à une bergère menant boire ses bestiaux, un panier de provisions placé à côte d'elle et dont elle l'invite à venir prendre sa part. (M. Watelet)|Sous l'arche principale d'un grand aqueduc et près d'un petit moulin à eau, une jeune femme assise, indique du doigt à une bergère menant boire ses bestiaux, un panier de provisions placé à côte d'elle et dont elle l'invite à venir prendre sa part.]] réalisée par M. Watelet, vendue par Alphonse Giroux. [761]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Retoure au moulin. Un meûnier décharge un cheval blanc de plusieurs sacs de grains que vient de lui confier une ferme voisine ; une femme montée sur un âne , précédée d'un chien et prête à passer un petit pont de bois, s'achemine vers le meûnier avec un sac de blé, tandis que sur le devant, un homme, nu-jambes, cherche des écrevisses. (M. Demarne)|Retoure au moulin. Un meûnier décharge un cheval blanc de plusieurs sacs de grains que vient de lui confier une ferme voisine ; une femme montée sur un âne , précédée d'un chien et prête à passer un petit pont de bois, s'achemine vers le meûnier avec un sac de blé, tandis que sur le devant, un homme, nu-jambes, cherche des écrevisses.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [762]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Esther et Assuérus. Assuérus, Roi de Perse, avait publié un édit qui condamnait tous les juifs à mort, parce qu'un seul d'entr'eux, Mardochée, avait refusé de fléchir le genou devant Aman, son favori. Esther, épouse de ce monarque et parente de juif, profita e l'ascendant qu'elle avait sur le coeur d'Assuérus pour suspendre l'arrêt fatal et dévoiler aux yeux du roi les crimes de son favori, et les services rendus à l'd'etat par Mardochée. Le moment représenté au tableau, est celui ou Assuérus détrompé et animé d'une juste colère condamne l'orgueilleux Aman à conduire Mardochée en triomphe dans toute la ville, monté sur un cheval superbe, le sceptre à la main et revêtu du manteau royal. (J. Steen)|Esther et Assuérus. Assuérus, Roi de Perse, avait publié un édit qui condamnait tous les juifs à mort, parce qu'un seul d'entr'eux, Mardochée, avait refusé de fléchir le genou devant Aman, son favori. Esther, épouse de ce monarque et parente de juif, profita e l'ascendant qu'elle avait sur le coeur d'Assuérus pour suspendre l'arrêt fatal et dévoiler aux yeux du roi les crimes de son favori, et les services rendus à l'd'etat par Mardochée. Le moment représenté au tableau, est celui ou Assuérus détrompé et animé d'une juste colère condamne l'orgueilleux Aman à conduire Mardochée en triomphe dans toute la ville, monté sur un cheval superbe, le sceptre à la main et revêtu du manteau royal.]] réalisée par J. Steen, vendue par Alphonse Giroux. [811]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Devant le portique d'un édifice en ruines, qui forme voûte à la gauche du tableau, une bergère assise près d'un jeune garçon, attache une sonnette au cou d'une brebis. Un paon, un boeuf, et quelques autres animaux terminent cette composition. (Van-Berghen)|Devant le portique d'un édifice en ruines, qui forme voûte à la gauche du tableau, une bergère assise près d'un jeune garçon, attache une sonnette au cou d'une brebis. Un paon, un boeuf, et quelques autres animaux terminent cette composition.]] réalisée par Van-Berghen, vendue par Alphonse Giroux. [813]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Entre deux coteaux couronnés d'arbres et quelques fabriques, un troupeau de vaches et de brebis traverse un gné ; le jeune pâtre qui le conduit porte la bergère entre ses bras. Cette composition est attribué à Vanberghen, autre élève d'A. Vendenvelde. (P. Vander Leuw)|Entre deux coteaux couronnés d'arbres et quelques fabriques, un troupeau de vaches et de brebis traverse un gné ; le jeune pâtre qui le conduit porte la bergère entre ses bras. Cette composition est attribué à Vanberghen, autre élève d'A. Vendenvelde.]] réalisée par P. Vander Leuw, vendue par Alphonse Giroux. [817]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Le sujet de la cène. Jésus vient de prononcer ces paroles : "En vérité, je vous le dis, un de vous me trahira." Les apôtres expriment, par différentes attitudes, la surprise et d'étonnement que leur causent ces dernières paroles du Sauveur. (P. De Champagne (Attribué à))|Le sujet de la cène. Jésus vient de prononcer ces paroles : "En vérité, je vous le dis, un de vous me trahira." Les apôtres expriment, par différentes attitudes, la surprise et d'étonnement que leur causent ces dernières paroles du Sauveur.]] réalisée par P. De Champagne (Attribué à), vendue par Alphonse Giroux. [821]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Jésus voulant faire comprendre aux Pharisiens la joie qu'excitait dans le ciel la conversion d'un pêcheur, leur proposa la parabole suivant: Une femme, qui avait dix drachmes, en ayant perdu une, alluma sa lamp, balaya sa maison et la chercha avec grand soin jusqu'à ce qu'elle l'eût retrouvée ; et l'ayant retrouvée, elle appela ses amies et ses voisines et leur dit : Réjouissez-vous avec moi, parce que j'ai retrouvé la drachme que j'avais perdue. Schalken a peint son portrait dans celui du jeune israëlite. (G. Schalken)|Jésus voulant faire comprendre aux Pharisiens la joie qu'excitait dans le ciel la conversion d'un pêcheur, leur proposa la parabole suivant: Une femme, qui avait dix drachmes, en ayant perdu une, alluma sa lamp, balaya sa maison et la chercha avec grand soin jusqu'à ce qu'elle l'eût retrouvée ; et l'ayant retrouvée, elle appela ses amies et ses voisines et leur dit : Réjouissez-vous avec moi, parce que j'ai retrouvé la drachme que j'avais perdue. Schalken a peint son portrait dans celui du jeune israëlite.]] réalisée par G. Schalken, vendue par Alphonse Giroux. [826]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sous un hangard, établi au pied d'une ancienne colonne, un cavalier, richement vêtu, s'est arrêté pour voir jouer deux paysans. Près delà, une femme adresses la parole à un jeune homme, monté sur un cheval blanc. Riche composition ornée de 21 figures. (P. Wouwermans)|Sous un hangard, établi au pied d'une ancienne colonne, un cavalier, richement vêtu, s'est arrêté pour voir jouer deux paysans. Près delà, une femme adresses la parole à un jeune homme, monté sur un cheval blanc. Riche composition ornée de 21 figures.]] réalisée par P. Wouwermans, vendue par Alphonse Giroux. [827]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[St.-Augustin et l'ange. St.-Augustin pensant être agréable à Dieu en se retirant du monde et vivant en retraite, se rendit en Afrique où il commença les livres de la trinité. Un jour qu'il se promenait sur le bord de la mer, mûrissant quelques pensées qu'il avait sur ce sujet, il apperçut un enfant qui, voulant épuiser la mer, s'efforçait de renfermer toutes ses eaux dans un petit trou qu'il avait fait sur le rivage. St.-Augustin, surpris de ce dessin, lui en représenta doucement l'impossibilité. Sachez, lui répartit l'enfant, que j'en viendrai plutôt à bout que vous de comprendre par les seules lumières de votre esprit, le mystère de la très-sainte trinité. (Albane)|St.-Augustin et l'ange. St.-Augustin pensant être agréable à Dieu en se retirant du monde et vivant en retraite, se rendit en Afrique où il commença les livres de la trinité. Un jour qu'il se promenait sur le bord de la mer, mûrissant quelques pensées qu'il avait sur ce sujet, il apperçut un enfant qui, voulant épuiser la mer, s'efforçait de renfermer toutes ses eaux dans un petit trou qu'il avait fait sur le rivage. St.-Augustin, surpris de ce dessin, lui en représenta doucement l'impossibilité. Sachez, lui répartit l'enfant, que j'en viendrai plutôt à bout que vous de comprendre par les seules lumières de votre esprit, le mystère de la très-sainte trinité.]] réalisée par Albane, vendue par Alphonse Giroux. [829]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Quelques pêcheurs, s'étant imprudemment éloignés des côtes, sont surpris à leur retour par un orage. Une femme, au milieu de la barque, les mains élevées vers le ciel, semble le coujurer d'appaiser la tempête, tandis que ses compagnons d'infortune font des efforts inutiles pour prévenir la submersion. Ils périssent à vue de port. (Lacroix)|Quelques pêcheurs, s'étant imprudemment éloignés des côtes, sont surpris à leur retour par un orage. Une femme, au milieu de la barque, les mains élevées vers le ciel, semble le coujurer d'appaiser la tempête, tandis que ses compagnons d'infortune font des efforts inutiles pour prévenir la submersion. Ils périssent à vue de port.]] réalisée par Lacroix, vendue par Alphonse Giroux. [833]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vaste abbaye bâtie sur pilotis dans un canal. Le moment représenté est celui où la nature en deuil et la rigueur des frimats procurent aux amateurs les plaisirs du patin auxquels ils se livrent. La variété de leurs costumes et de leurs poses anime cette scène. (Breughel de Velours)|Vaste abbaye bâtie sur pilotis dans un canal. Le moment représenté est celui où la nature en deuil et la rigueur des frimats procurent aux amateurs les plaisirs du patin auxquels ils se livrent. La variété de leurs costumes et de leurs poses anime cette scène.]] réalisée par Breughel de Velours, vendue par Alphonse Giroux. [834]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Au pied d'une colonnade qui semble fermer un parc, une jeune dame fait l'aumône à une femme et à ses deux enfans couverts des haillons de l'indigence ; leurs poses et l'expression de leurs figures indiquent en eux le sentiment de la reconnaissance. (M. Van-Gorp)|Au pied d'une colonnade qui semble fermer un parc, une jeune dame fait l'aumône à une femme et à ses deux enfans couverts des haillons de l'indigence ; leurs poses et l'expression de leurs figures indiquent en eux le sentiment de la reconnaissance.]] réalisée par M. Van-Gorp, vendue par Alphonse Giroux. [878]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Ste.-Hélène, fille du grand Constantin et femme de l'Empreur Constance, quitte la ville de Jérusalem y laissant, tant en bienfaits qu'en riches monumens, des preuves de sa magnificence, et s'embarque pour Constantinople avec le vrai croix, précieux gage de la rédemption du genre humain. (Guerchen)|Ste.-Hélène, fille du grand Constantin et femme de l'Empreur Constance, quitte la ville de Jérusalem y laissant, tant en bienfaits qu'en riches monumens, des preuves de sa magnificence, et s'embarque pour Constantinople avec le vrai croix, précieux gage de la rédemption du genre humain.]] réalisée par Guerchen, vendue par Alphonse Giroux. [893]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Les plaisirs du village. Une famille flamande, assise sur des tonneaux devant une table, fait un repas champêtre et boit de la bierre, tandis qu'une ménagère tire de l'eau à un puits. Au pied de la chaumière, est une vaste prairie où paissent de nombreux troupeaux. (Teniers (David))|Les plaisirs du village. Une famille flamande, assise sur des tonneaux devant une table, fait un repas champêtre et boit de la bierre, tandis qu'une ménagère tire de l'eau à un puits. Au pied de la chaumière, est une vaste prairie où paissent de nombreux troupeaux.]] réalisée par Teniers (David), vendue par Alphonse Giroux. [894]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Pendant du précédent. Habitation près d'un champ de blé ; un voyageur s'y est arrêté et cause avec des villageois qui donnent l'avione à son cheval. Plus loin, on apperçoit la laitière dirigeant sa charette sur le premier plan, précédée par une femme et des bestiaux. (M. Demarne)|Pendant du précédent. Habitation près d'un champ de blé ; un voyageur s'y est arrêté et cause avec des villageois qui donnent l'avione à son cheval. Plus loin, on apperçoit la laitière dirigeant sa charette sur le premier plan, précédée par une femme et des bestiaux.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [910]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage très-clair offrant des pâturages où paissent des bestiaux ; sur le premier plan, deux enfans s'efforcent de relever un grand pot de lait qu'ils ont laissé tomber ; la sévérité qu'exprime la figure de leur mère qui s'approche, ne contribue pas peu à redoubler leurs efforts infructueux; le lait coule en abondance. (Bossch)|Paysage très-clair offrant des pâturages où paissent des bestiaux ; sur le premier plan, deux enfans s'efforcent de relever un grand pot de lait qu'ils ont laissé tomber ; la sévérité qu'exprime la figure de leur mère qui s'approche, ne contribue pas peu à redoubler leurs efforts infructueux; le lait coule en abondance.]] réalisée par Bossch, vendue par Alphonse Giroux. [924]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur un chemin conduisant au bord d'une rivière, on apperçoit une jeune fille ayant un panier sur la tête et courant à toutes jambes afin d'arriver assez tôt, pour entrer dans une petite barque qui se rend à un temple qu'on distingue de l'autre côté de l'eau ; non loin des passagers, est un grand-prêtre en médiation. (M. Demarne)|Sur un chemin conduisant au bord d'une rivière, on apperçoit une jeune fille ayant un panier sur la tête et courant à toutes jambes afin d'arriver assez tôt, pour entrer dans une petite barque qui se rend à un temple qu'on distingue de l'autre côté de l'eau ; non loin des passagers, est un grand-prêtre en médiation.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [968]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un sîte montagneux et entouré de rochers baignés par un rivière, on a construit un vieux château-fort, sur la platte-forme duquel une femme semble remercier le ciel de lui envoyer un libérateur, dans la personne d'un chevalier qu'on aperçoit à quelques distances de la tour, un lance à la main. (M. Demarne)|Dans un sîte montagneux et entouré de rochers baignés par un rivière, on a construit un vieux château-fort, sur la platte-forme duquel une femme semble remercier le ciel de lui envoyer un libérateur, dans la personne d'un chevalier qu'on aperçoit à quelques distances de la tour, un lance à la main.]] réalisée par M. Demarne, vendue par Alphonse Giroux. [969]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une orgie. Cette composition, où le peintre a multiplé les figures, se distingue par la variété des allégories ' l'oeil s'y arrête tour-à-tour sur la peinture, la musique et la danse, le vin, le jeu et les femmes. C'est la manière dont les anciens peintres flamands célébraient la fête de St.-Luc. (M. Senave)|Une orgie. Cette composition, où le peintre a multiplé les figures, se distingue par la variété des allégories ' l'oeil s'y arrête tour-à-tour sur la peinture, la musique et la danse, le vin, le jeu et les femmes. C'est la manière dont les anciens peintres flamands célébraient la fête de St.-Luc.]] réalisée par M. Senave, vendue par Alphonse Giroux. [971]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Paysage borné à l'horison par des montagnes ; on a remarque sur le premier plan deux troncs d'arbres abattus, sur l'un desquels un homme est appuyé, tandis qu'une femme, assise sur l'autre, écoute attentivement un paysan qui joue de la musette. Des bestiaux couchés environment cette scène. (M. Duval)|Paysage borné à l'horison par des montagnes ; on a remarque sur le premier plan deux troncs d'arbres abattus, sur l'un desquels un homme est appuyé, tandis qu'une femme, assise sur l'autre, écoute attentivement un paysan qui joue de la musette. Des bestiaux couchés environment cette scène.]] réalisée par M. Duval, vendue par Alphonse Giroux. [978]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un paysage borné à l'horison par des montagnes, sur l'une desquelles sont les ruines d'un vieux château-fort ; parmi les détails nombreaux qui distinguent particulièrement cette composition, on remarque une rivière, un pont de onze arches, des bestiaux, un homme qui se désaltère, et un pêcheur en repos faisant danser une femme au son du haut-bois. (P. Véronèse)|Un paysage borné à l'horison par des montagnes, sur l'une desquelles sont les ruines d'un vieux château-fort ; parmi les détails nombreaux qui distinguent particulièrement cette composition, on remarque une rivière, un pont de onze arches, des bestiaux, un homme qui se désaltère, et un pêcheur en repos faisant danser une femme au son du haut-bois.]] réalisée par P. Véronèse, vendue par Alphonse Giroux. [983]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un riche paysage, entre un champ de blé et un ruisseau, un troupeau marche devant un pâtre qui tient un agneau dans ses bras et cause avec une paysanne à cheval ; à gauche, un paysan fait boire une vache dans une auge adossée à une chapelle. (M. Leprince (composition de M. Demarne))|Dans un riche paysage, entre un champ de blé et un ruisseau, un troupeau marche devant un pâtre qui tient un agneau dans ses bras et cause avec une paysanne à cheval ; à gauche, un paysan fait boire une vache dans une auge adossée à une chapelle.]] réalisée par M. Leprince (composition de M. Demarne), vendue par Alphonse Giroux. [987]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Achille à Scyros. Achille, sort de l'autre de Chiron, fut envoyé, par sa mère Thétis, à la cour de Lycomède, roi de l'île de Scyros, où il se déguisa en fille sous le nom de Pyrra. Les Grecs l'ayant cherché longtemps, apprirent enfin le lieu de sa retraite, et Ulysse fut député à Scyros pour l'engager à se joindre à eux. Comme il était difficile de le démêler au travers de son déguisement parmi les filles de la cour, Ulysse déguisé en marchand, s'avisa de leur presénter différens bijoux, parmi lesquels étaient des armes. Toutes choisirent suivant leur goût, Achille seul prit les armes ; ce choix le trahit, C'est le momet représenté. (H. Janssens)|Achille à Scyros. Achille, sort de l'autre de Chiron, fut envoyé, par sa mère Thétis, à la cour de Lycomède, roi de l'île de Scyros, où il se déguisa en fille sous le nom de Pyrra. Les Grecs l'ayant cherché longtemps, apprirent enfin le lieu de sa retraite, et Ulysse fut député à Scyros pour l'engager à se joindre à eux. Comme il était difficile de le démêler au travers de son déguisement parmi les filles de la cour, Ulysse déguisé en marchand, s'avisa de leur presénter différens bijoux, parmi lesquels étaient des armes. Toutes choisirent suivant leur goût, Achille seul prit les armes ; ce choix le trahit, C'est le momet représenté.]] réalisée par H. Janssens, vendue par Alphonse Giroux. [1 017]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'alchimiste. Dans un réduit enfumé, où le jour pénètre à peine, un vieillard enfoncé dans la lecture d'un bouquin, cherche le moyen de faire d l'or, tandis qu'un garçon, au milieu de la chambre, dispose dans un vase différentes drogues nécessaires aux expériences d'alchimie. (T. Wick)|L'alchimiste. Dans un réduit enfumé, où le jour pénètre à peine, un vieillard enfoncé dans la lecture d'un bouquin, cherche le moyen de faire d l'or, tandis qu'un garçon, au milieu de la chambre, dispose dans un vase différentes drogues nécessaires aux expériences d'alchimie.]] réalisée par T. Wick, vendue par Alphonse Giroux. [1 018]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Pan, dieu des campagnes, des bergers et des trompeaux, était fils de Pénélope et de Mercure ; épris des charmes de Syrinx, l'une des nymphes de Diane, il la poursuivit jusque sur les bords du Ladon, fleuve auquel Syrinx devait le jour, et par le secours duquel cette nymphe fur changée en roseau. Pan voulut éterniser le souvenir de son amour, et coupant quelques-uns de ces roseaux, il en fit cette flûte à sept tuyaux qui porte encore son nom. Les fonds sont de Breughel de Velours. (P.-P. Rubens)|Pan, dieu des campagnes, des bergers et des trompeaux, était fils de Pénélope et de Mercure ; épris des charmes de Syrinx, l'une des nymphes de Diane, il la poursuivit jusque sur les bords du Ladon, fleuve auquel Syrinx devait le jour, et par le secours duquel cette nymphe fur changée en roseau. Pan voulut éterniser le souvenir de son amour, et coupant quelques-uns de ces roseaux, il en fit cette flûte à sept tuyaux qui porte encore son nom. Les fonds sont de Breughel de Velours.]] réalisée par P.-P. Rubens, vendue par Alphonse Giroux. [1 021]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Intérieur d'une cuisine. Une femme est occupée à récurer un chaudron ; de nombreaux utensiles de ménage, répandus dans les divers plans de la composition, jettent autant d'intérêt que de variété dans cette scène qui n'est éclairée que par un demi-jour. (T. Wick)|Intérieur d'une cuisine. Une femme est occupée à récurer un chaudron ; de nombreaux utensiles de ménage, répandus dans les divers plans de la composition, jettent autant d'intérêt que de variété dans cette scène qui n'est éclairée que par un demi-jour.]] réalisée par T. Wick, vendue par Alphonse Giroux. [1 034]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Sur les bords d'une rivière est une maison de plaisance, dans le jardin de laquelle on remarque des arbres fort bien taillés ; plusieurs pêcheurs sont dans des barques, d'autres sur le bord de l'eau ; on apperçoit un pot dans l'éloignement. (M. Gandat)|Sur les bords d'une rivière est une maison de plaisance, dans le jardin de laquelle on remarque des arbres fort bien taillés ; plusieurs pêcheurs sont dans des barques, d'autres sur le bord de l'eau ; on apperçoit un pot dans l'éloignement.]] réalisée par M. Gandat, vendue par Alphonse Giroux. [1 038]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Une marine. On remarque sur le port un rocher formant arcade sous laquelle passent plusieurs personnes ; sur ce rocher est un phare, servant à éclairer les vaisseaux. Un horison borné par la mer et des montagnes, parmi lesquelles on distingue un volcan, complettent cette composition. (A. Tempeste)|Une marine. On remarque sur le port un rocher formant arcade sous laquelle passent plusieurs personnes ; sur ce rocher est un phare, servant à éclairer les vaisseaux. Un horison borné par la mer et des montagnes, parmi lesquelles on distingue un volcan, complettent cette composition.]] réalisée par A. Tempeste, vendue par Alphonse Giroux. [1 072]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'aveugle. Composition ornée de nombreux détails. Dans un village flamand, un aveugle jouant de la vielle conduit par son chien, passe et semble attirer la curiosité d'une foule d'enfans qui se presse sur son passage. On remarque à gauche, un paysan occupé à tuer un cochon, dont une femme reçoit le sang. (P. Boer)|L'aveugle. Composition ornée de nombreux détails. Dans un village flamand, un aveugle jouant de la vielle conduit par son chien, passe et semble attirer la curiosité d'une foule d'enfans qui se presse sur son passage. On remarque à gauche, un paysan occupé à tuer un cochon, dont une femme reçoit le sang.]] réalisée par P. Boer, vendue par Alphonse Giroux. [1 094]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[L'enfant Jésus, dans une étable et couché dans sa crêche, est contemplé par la Ste.-Vierge et plusieurs bergers dont l'un tient une lanterne. On remarque St.-Joseph sur la gauche, et sur le premier plan, une femme est à genoux près d'un panier d'oeufs. (Ch. Meing)|L'enfant Jésus, dans une étable et couché dans sa crêche, est contemplé par la Ste.-Vierge et plusieurs bergers dont l'un tient une lanterne. On remarque St.-Joseph sur la gauche, et sur le premier plan, une femme est à genoux près d'un panier d'oeufs.]] réalisée par Ch. Meing, vendue par Alphonse Giroux. [1 096]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Vue de l'ancienne Rome à laquelle le peintre a réuni la porte des jardins de Farnèse, attribuée à Vignole. Une femme, appuyée sur la mardelle du bassin de la fontaine, semble occupée à laver du linge. Cette composition est ornée de nombreaux détails. (B. Bréemberg)|Vue de l'ancienne Rome à laquelle le peintre a réuni la porte des jardins de Farnèse, attribuée à Vignole. Une femme, appuyée sur la mardelle du bassin de la fontaine, semble occupée à laver du linge. Cette composition est ornée de nombreaux détails.]] réalisée par B. Bréemberg, vendue par Alphonse Giroux. [1 100]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Un abreuvoir. Des villageois, montés sur des chevaux, les font boire à une fontaine au pied de laquelle une pauvre femme assise, tenant un enfant au maillot, semble réclamer des passans un soulagement à sa profonde misère ; un homme est couchée à ses pieds. On remarque plusieurs bestiaux à gauche. remarque plusieurs bestiaux à gauche. (P.-V. Bloemen)|Un abreuvoir. Des villageois, montés sur des chevaux, les font boire à une fontaine au pied de laquelle une pauvre femme assise, tenant un enfant au maillot, semble réclamer des passans un soulagement à sa profonde misère ; un homme est couchée à ses pieds. On remarque plusieurs bestiaux à gauche. remarque plusieurs bestiaux à gauche.]] réalisée par P.-V. Bloemen, vendue par Alphonse Giroux. [1 102]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Fête de Silène. Des bergers le trouvèrent un jour endormi au fond d'une grotte. Il avait selon sa costume les veines enflées du vin qu'il avait bu la veille. Sa couronne de fleurs, tombée de sa tête, était auprès de lui, et un vase pesant, dont l'anse était usée, pendait à sa ceinture ; ces bergers se jettent sur lui et le lient avec des guirlandes, Églé la plus jolie de toutes les nymphes, se joignant à eux, encourage les deux bergers timides, et au moment qu'il commence à ouvrir les yeux, elle lui barbouille tout le visage du jus de mûres. Le bon Silène, riant de ce badinage, leur dit : pourquoi, mes enfans, me liez-vous? Laissez-moi libre, je vais vous satisfaire ; il se met à chanter, vous eussiez vu aussitôt les faunes et les bêtes farouches accourir et danser autour de lui, et les chênes même agiter leur cîmes en cadence ; la lyre d'Appollon ne fit jamais tant de plaisir sur le sommet du Parnasse. Jamais Orphée, sur les monts Rhodope et Ismare, ne se fit tant admirer. (Virgile, Epilogue VI.) (N. Poussin (Copie de))|Fête de Silène. Des bergers le trouvèrent un jour endormi au fond d'une grotte. Il avait selon sa costume les veines enflées du vin qu'il avait bu la veille. Sa couronne de fleurs, tombée de sa tête, était auprès de lui, et un vase pesant, dont l'anse était usée, pendait à sa ceinture ; ces bergers se jettent sur lui et le lient avec des guirlandes, Églé la plus jolie de toutes les nymphes, se joignant à eux, encourage les deux bergers timides, et au moment qu'il commence à ouvrir les yeux, elle lui barbouille tout le visage du jus de mûres. Le bon Silène, riant de ce badinage, leur dit : pourquoi, mes enfans, me liez-vous? Laissez-moi libre, je vais vous satisfaire ; il se met à chanter, vous eussiez vu aussitôt les faunes et les bêtes farouches accourir et danser autour de lui, et les chênes même agiter leur cîmes en cadence ; la lyre d'Appollon ne fit jamais tant de plaisir sur le sommet du Parnasse. Jamais Orphée, sur les monts Rhodope et Ismare, ne se fit tant admirer. (Virgile, Epilogue VI.)]] réalisée par N. Poussin (Copie de), vendue par Alphonse Giroux. [1 108]
  • 1819.-.-/ -. Vente de l'œuvre décrite comme [[Dans un appartement d'une riche architecture, un personage distingué, assis près d'une table, est entouré da sa famille éplorée, il paraît blessé. Un geolier placé derrière lui explique en partie le motif de la douleur des assistans. (T.-V. Delen)|Dans un appartement d'une riche architecture, un personage distingué, assis près d'une table, est entouré da sa famille éplorée, il paraît blessé. Un geolier placé derrière lui explique en partie le motif de la douleur des assistans.]] réalisée par T.-V. Delen, vendue par Alphonse Giroux. [1 123]